F1 – Quatre pilotes avertis après le Grand Prix de Chine

Les commissaires ont décidé d’avertir plusieurs pilotes pour des infractions commises en amont du Grand Prix de Chine.

Avant la course, Nico Hülkenberg, Gabriel Bortoleto, Alex Albon et Yuki Tsunoda ont été avertis et placés sous enquête pour non-respect présumé des notes du directeur de course sur le lieu où les simulations de départs devaient être effectuées.

Au cours de leurs enquêtes, les commissaires ont constaté que les quatre pilotes étaient hors position lors de ces départs, mais que les tours de reconnaissance vers la grille de départ sont considérés comme des tours effectués lors d’une séance d’entraînement et non d’une course.

Aucun des pilotes n’a gêné les autres, et aucun des départs n’a été effectué de manière dangereuse. Les commissaires ont estimé que des avertissements seraient une sanction suffisante. Albon a terminé à la neuvième place, Bortoleto à la dix-septième, Hülkenberg à la dix-huitième et Tsunoda à la dix-neuvième après un arrêt au stand en fin de course pour remplacer un aileron avant cassé.

L’autre pilote sous enquête était Jack Doohan pour avoir forcé Isack Hadjar à sortir de la piste au virage 14 du 46e tour. Le pilote Alpine a écopé d’une pénalité de 10 secondes pendant la course, et les commissaires lui ont également infligé deux points de pénalité, ce qui porte son total à quatre pour le week-end, après deux autres points pour un dépassement raté, également au virage 14, lors du sprint. Doohan a franchi la ligne d’arrivée en 14e position, mais est tombé à la 15e place du classement final, Hadjar gagnant une place.

Pour les amateurs de sensations fortes, ces rebondissements rappellent ceux que l’on retrouve dans un casino en ligne argent réel, où chaque décision peut faire basculer le jeu — ou la course — en un instant.

Adrien Fourmaux, première “victime” de la nouvelle réglementation de la FIA sur les jurons

Adrien Fourmaux, pilote du Championnat du monde des rallyes, est devenu le premier pilote sanctionné conformément aux nouvelles directives des commissaires de la FIA en matière de sanctions.

Après avoir terminé la Power Stage du Rallye de Suède dimanche, le Français a utilisé le mot en « F » lors de son interview d’après-étape, qui a été diffusée en direct.

En réponse, les commissaires lui ont infligé une amende de 30 000 euros, dont 20 000 euros avec sursis pendant 12 mois. Conformément au Code Sportif International (CSI) de la FIA, les premiers 10 000 euros doivent être payés dans les 48 heures suivant la notification.

C’est la première fois que les changements apportés au Code sportif international (CSI) pour 2025, en particulier la nouvelle annexe B, entrent en vigueur.

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Le rapport des commissaires confirme que le pilote Hyundai a expliqué qu’il avait « utilisé les mots de manière familière et descriptive, dans le sens où il avait fait une erreur. Il s’est excusé, car il n’avait pas l’intention d’offenser ou d’insulter qui que ce soit en utilisant ces mots ».

Cependant, les officiels ont jugé qu’une sanction était néanmoins nécessaire. Il est rapporté que : « Les commissaires ont rappelé au pilote et au représentant de l’équipe la position de la FIA concernant non seulement les propos inappropriés, mais aussi les violences verbales/physiques, ainsi que les déclarations ou commentaires politiques, religieux et personnels, notamment en violation du principe général de neutralité promu par la FIA en vertu de ses statuts.»

« Les commissaires et la FIA reconnaissent que les mots en question sont malheureusement devenus des expressions familières courantes. Cependant, il est essentiel de souligner que cela n’enlève rien au fait qu’un tel langage est largement considéré comme blasphématoire et inapproprié dans le discours public, y compris dans les émissions de télévision en direct. »

En dehors du monde du sport automobile, les réactions sur les réseaux sociaux n’ont pas tardé à fuser. Certains internautes, entre deux paris sur un site casino en ligne ou une session de poker, ont exprimé leur soutien au pilote français, soulignant la pression constante à laquelle ces athlètes sont soumis.

Il a également déclaré que pour décider de la sanction appropriée à l’encontre de Fourmaux, il avait tenu compte d’un certain nombre de circonstances atténuantes, dont beaucoup seront pertinentes pour les pilotes participant aux championnats de la FIA, y compris la F1.

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