Hamilton en pole en France

Lewis Hamilton a signé la pole positon au Grand Prix de France 2019, le pilote Mercedes devance son coéquipier Valtteri Bottas et la Ferrari de Charles Leclerc.

Derrière, Max Verstappen, Lando Norris, Carlos Sainz, Sebastian Vettel, Daniel Ricciardo, Pierre Gasly et Antonio Giovinazzi complètent le top dix.

Le déception chez Ferrari

Du côté de la Scuderia Ferrari, c’est la déception avec la monoplace de Charles Leclerc en troisième position mais tout de même à six dixièmes des Mercedes, alors que Sebastian Vettel n’a pas pu faire mieux que le septième temps.

Une seule Renault dans le top dix

Seule la Renault de Daniel Ricciardo a réussi à se hisser en Q3 ce samedi, l’Australien a signé le huitième temps de cette séance de qualifications du Grand Prix de France.

Les deux McLaren dans le top dix

Lando Norris et Carlos Sainz ont réussi à se qualifier pour la Q3 ce samedi au Grand Prix de France. Les deux pilotes de l’écurie britannique se sont qualifiés en Q3 avec des gommes Médiums et prendront donc le départ avec ce type de pneus ce dimanche au Castellet.

Raikkonen sous investigation

Le pilote Alfa Romeo a été placé sous investigation pour avoir effectué à deux reprises un retour en piste jugé dangereux par les commissaires du Grand Prix de France.

Une première fois devant la monoplace de Romain Grosjean et une seconde fois devant la Renault de Daniel Ricciardo.

Romain Grosjean éliminé en Q1

Pour son Grand Prix à domicile, Romain Grosjean a été éliminé dès la Q1 ce samedi en séance de qualifications.

Le pilote Haas n’arrive pas à trouver le grip avec sa monoplace depuis le début du week-end, alors qu’une erreur de pilotage dans son tour rapide et une nette amélioration des temps au tour de tous les pilotes dans les dernières secondes de la Q1 ont fait dégringoler le Français au classement.

Romain Grosjean prendra donc le départ du Grand Prix de France depuis la dix-septième position sur la grille de départ ce dimanche.

Rendez-vous désormais ce dimanche à 15h00 [heure française] pour le départ du Grand Prix de France 2019, huitième manche de la saison.

Quelques inquiétudes sur la Mercedes d’Hamilton avant les qualifications du GP de France

Les mécaniciens Mercedes ont détecté un problème sur la monoplace de Lewis Hamilton juste avant la séance de qualifications du Grand Prix de France.

A un peu plus de 40 minutes de la séance qualificative au Castellet, la monoplace du pilote britannique a été montée sur les tréteaux, alors que les mécaniciens ont commencé à démonter une grande partie de l’arrière.

Impossible de vous dire avec précision ce qu’il s’est passé sur la voiture de Lewis Hamilton, mais il semblerait que les mécaniciens soient occupés au niveau de la boîte de vitesses, alors que l’on sait également que le Britannique a déjà rencontré un petit problème ce vendredi en essais libres avec l’unité de puissance montée sur sa W10.

L’équipe du constructeur allemand a dû demander à son pilote de rentrer au garage pour des vérifications poussées, après que des ratés ont été constatés sur le bloc V6 hybride.

Impossible de dire avec exactitude si le problème détecté ce samedi après-midi sur la monoplace du quintuple champion du monde touche le moteur ou la boîte de vitesses, mais il ne reste que 30 minutes aux mécaniciens de l’équipe pour régler le problème avant la séance de qualifications.

Mise à jour à 14h55 : Tout semble ok pour la monoplace de Lewis Hamilton. Les mécaniciens ont remonté le capot moteur.

La flexibilité de l’aileron arrière de la Ferrari fait débat

Il se murmure dans le paddock du Grand Prix de France que plusieurs équipes ont demandé à la FIA de regarder d’un peu plus près la flexibilité de l’aileron arrière de la Ferrari SF90.

Selon les rumeurs du paddock au Castellet, Ferrari utiliserait ce week-end au Grand Prix de France un aileron arrière dont le plan inférieur serait très, voire trop flexible.

Rappelons que ce week-end au Grand Prix de France, Ferrari a introduit plusieurs nouveautés sur sa monoplace, dont un aileron avant, un aileron arrière, un fond plat ou encore des écopes de freins modifiées.

Plusieurs équipes auraient demandé à la FIA de contrôler d’un peu plus près la flexibilité de l’aileron arrière de la SF90, car cet élément permettrait à Ferrari de gagner beaucoup de vitesse en ligne droite, ce qui est le vrai point fort de l’équipe italienne en 2019.

Selon plusieurs sources, c’est la planche inférieure de l’aileron arrière qui se plierait un peu trop dans les lignes droites, ce qui pourrait donner un certain avantage à Ferrari, qui disposerait ainsi presque d’un second DRS.

Officiellement, la SF90 de Ferrari est tout à fait légale, puisque la monoplace de Maranello doit passer, comme toutes les autres F1, le fameux contrôle technique obligatoire avant chaque épreuve le jeudi dans le garage de la FIA.

Affaire à suivre …

EL3 : Mercedes quatre dixièmes devant Ferrari

Valtteri Bottas a signé le meilleur temps de la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix de France en 1.30.159.

Le pilote Mercedes devance son coéquipier Lewis Hamilton de 41 millièmes et la Ferrari de Charles Leclerc de quatre dixièmes.

Derrière, Sebastian Vettel, Max Verstappen, Pierre Gasly, Lando Norris, Daniel Ricciardo, Carlos Sainz et Kimi Raikkonen complètent le top dix.

Mercedes creuse l’écart

Les deux pilotes Mercedes semblent sur une autre planète ce samedi avec des Ferrari reléguées à plus de quatre dixièmes à la fin de cette troisième séance d’essais libres du Grand Prix de France.

Toutes les nouveautés apportées par Ferrari ce week-end au Castellet n’ont pas apporté le résultat escompté, la Scuderia ayant même décidé de n’en garder que la moitié.

Soupe à la grimace chez Haas

Du côté de chez Haas, la situation n’a guère évolué depuis ce vendredi, puisque les deux pilotes occupent les quatorzième et quinzième positions au termes de ces EL3.

L’équipe américaine ne semble pas comprendre les pneus Pirelli une nouvelle fois ce qui promet un Grand Prix de France compliqué pour Haas.

Une Renault dans le top dix

Daniel Ricciardo, qui bénéficie de la Spec B du moteur Renault ce week-end, a réussi à se hisser à la huitième position lors de ces EL3.

Rendez-vous désormais à 15h00 pour la séance de qualifications du Grand Prix de France 2019.

Les qualifications du Grand Prix de France en direct sur TMC ce samedi

Grand Prix de France oblige, le groupe TF1 diffusera ce week-end la manche française de la saison 2019 gratuitement.

Comme l’impose la loi lorsqu’un événement sportif majeur se passe sur le territoire français, au moins un diffuseur gratuit doit retransmettre l’épreuve pour permettre au plus grand nombre d’y avoir accès.

Pour la Formule 1, c’est la chaîne TF1 qui a diffusera le Grand Prix de France gratuitement, alors que les qualifications programmées le samedi sur le circuit Paul Ricard seront également diffusées gratuitement sur la chaîne TMC, qui appartient au groupe TF1.

Vous pourrez donc regarder la séance de qualifications du Grand Prix de France sur TMC ce samedi à partir de 14h55, tandis que le départ de la course sera visible sur TF1 le dimanche 23 juin à partir de 14h50.

Pour le dispositif mis en place par TF1, rien ne change par rapport au Grand Prix de Monaco [autre Grand Prix diffusé par TF1], puisque nous retrouverons Marion Jollès Grosjean, Jean-Eric Vergne, Adrien Paviot et Romain Chemoul.

Notez qu’après le Grand Prix de France, TF1 diffusera également gratuitement le Grand Prix de Belgique 2019, ainsi que le Grand Prix des Etats-Unis au mois de novembre.

Ferrari ne conservera pas toutes ses améliorations pour le reste du week-end

La Scuderia Ferrari a introduit quelques évolutions sur sa SF90 ce vendredi au Grand Prix de France, mais après la première journée d’essais, l’équipe de Maranello a décidé de ne pas garder tout le nouveau package.

Outre un nouvel aileron avant ou un nouveau fond plat, Ferrari a apporté au Castellet plusieurs éléments aérodynamiques sur la SF90 censés améliorer la performance globale de la monoplace et ainsi permettre à Ferrari de réduire son retard sur Mercedes.

Mais après la première journée d’essais, Mattia Binotto, directeur de Ferrari, a confirmé que certaines évolutions ne resteraient pas sur la voiture pour le reste du week-end.

« Tout n’a pas été parfait, nous avons apporté des pièces qui étaient importantes et que nous devions tester pour comprendre la direction à prendre pour le développement de la voiture. » a expliqué Mattia Binotto ce vendredi soir au Castellet.

« Parmi les pièces que nous avons testées, certaines resteront sur la voiture pour le reste du week-end. Certaines ont été conservées et considérées comme positives, alors que celles qui ont été retirées feront partie de notre plan d’essais. Ces dernières ne seront pas utilisées ce week-end. »

Parmi les pièces que Ferrari a décidé de conserver pour la suite du week-end au Grand Prix de France figurent l’aileron avant, l’aileron arrière, des écopes de freins modifiées, ainsi que plusieurs autres éléments moins visibles et sur lesquelles le directeur de l’équipe italienne n’a pas voulu entrer dans les détails.

Alerte moteur sur la Mercedes de Lewis Hamilton ce vendredi au Castellet

Le pilote Mercedes Lewis Hamilton a connu une alerte moteur ce vendredi pendant les essais libres 2 du Grand Prix de France au circuit Paul Ricard.

Deuxième au termes de la seconde séance d’essais libres du Grand Prix de France avec quatre dixièmes de retard sur son coéquipier Valtteri Bottas, le Britannique en a gardé sous la pédale, puisqu’il a été le seul pilote du top dix à avoir signé son chrono le plus rapide avec des gommes Médiums quand tous les autres étaient chaussés en Tendres.

Il reste donc une certaine marge en termes de performance pour Lewis Hamilton, mais il est à noter que l’équipe Mercedes a détecté un problème sur l’unité de puissance montée sur la monoplace d’Hamilton ce vendredi.

« Lewis trouvait qu’il était difficile de trouver le bon équilibre avec la voiture, et il a même commis une petite erreur lors de son run avec des pneus Tendres. » explique Andrew Shovlin, ingénieur de course en chef chez Mercedes.

« Nous aurions aimé continuer avec ce pneu, mais nous avons détecté un raté [sur le moteur] peu de temps après et nous avons ramené la voiture pour enquêter. »

Pour Hamilton, pas de panique pour le moment. Le Britannique admet que les réglages de sa monoplace doivent encore être légèrement affinés, mais le rythme général de la W10 semble bon selon le pilote Mercedes.

« De façon générale, le rythme de la voiture est vraiment bon. » explique Hamilton. « Nous devons juste ajuster la balance, je n’ai pas fait un très bon tour en EL2, et j’ai eu une sortie de piste au virage 3. »

« J’ai eu un petit problème avec l’unité de puissance par la suite et j’ai dû revenir au garage. Sinon, dans l’ensemble, la journée s’est plutôt bien passée. »

Déjà un problème au Canada

Rappelons que le moteur Mercedes monté sur la monoplace de Lewis Hamilton au Canada a déjà connu un problème juste avant la course, ce qui a obligé les mécaniciens à effectuer des changements sur la W10 du Britannique peu avant le départ du Grand Prix le dimanche matin.

Mercedes avait détecté une fuite hydraulique sur l’unité de puissance dès le samedi soir après les qualifications, mais en raison du couvre feu instauré par la règle du parc fermé, les mécaniciens ne pouvaient pas toucher la voiture.

Trois pilotes reçoivent une boîte de vitesses neuve au Grand Prix de France

Trois pilotes bénéficient d’une boîte de vitesses neuve ce week-end au Grand Prix de France, mais aucun d’entre eux n’écopera de pénalité.

Le pilote McLaren Lando Norris, ainsi que le pilote Toro Rosso Alex Albon ont tous les deux reçu une boîte de vitesses neuve sur leur monoplace avant la huitième manche de la saison 2019 au Castellet.

Ces deux pilotes n’ont pas terminé la précédente course à Montréal, ce qui leur permet de recevoir une boîte de vitesses neuve sans être pénalisé comme le stipule la réglementation.

Kevin Magnussen, qui a été victime d’un gros crash il y a quinze jours au Canada a lui aussi reçu une boîte de vitesses neuve lors de la septième manche de la saison, le Danois ne sera pas pénalisé au Castellet.

Avec des températures élevées ce vendredi, Renault n’a pas pu exploiter tout le potentiel de la RS19

La journée a été notamment consacrée à l’évaluation de plusieurs évolutions aérodynamiques et moteur apportées à la Renault R.S.19 et au groupe propulseur Renault E-Tech 19.

L’équipe a utilisé plusieurs améliorations aérodynamiques, dont une carrosserie plus compacte. Du côté du groupe propulseur, Daniel Ricciardo a utilisé la nouvelle spécification B du moteur à combustion interne.

Le mercure montant jusqu’à 52°C en piste, tout le défi était de trouver toute l’adhérence nécessaire sur les 5842 mètres du Castellet. Déjà difficile, ce circuit l’est encore plus lorsque les températures grimpent et que le vent s’en mêle.

« La première journée de roulage était intéressante. La matinée a été productive, mais il semble que nous ayons perdu un peu de rythme l’après-midi. » explique Nick Chester, le directeur technique de Renault.

« Bien que nous ayons l’air assez compétitifs sur les longs relais, nous devons trouver plus de performances sur les plus courts. Les deltas entre les composés de pneus ne sont pas tout à fait ceux qui étaient prévus ici tant ils se tiennent en peu de choses. »

« Nous devons étudier les données récoltées pour évaluer les nouvelles évolutions châssis et moteur et nous assurer que tout fonctionnera ensemble demain. »

Avec son neuvième temps signé en EL2, l’Australien Daniel Ricciardo se dit satisfait de l’évolution moteur dont il bénéficie depuis ce vendredi.

« C’était une journée positive même si les feuilles de temps ne reflètent peut-être pas les véritables sensations au volant de la voiture. Elle était bonne dans tous nos relais aujourd’hui. » explique le pilote Renault.

« Le nôtre en pneus tendres et en mode qualifications était légèrement piégeux, notamment en raison des températures de piste élevées. »

« Nous y avons possiblement lâché un peu de temps. Cela ne semblait toutefois pas être très loin du compte et je suis optimiste pour demain. Les évolutions semblent positives et nous avons des données à analyser pour progresser encore davantage. »

Officiel : Pas de pénalité pour Lewis Hamilton

Lewis Hamilton n’écopera d’aucune pénalité au Grand Prix de France, après que les commissaires de course se soient penchés sur son cas juste après les EL2.

Le pilote Mercedes a été placé sous investigation à la suite des EL2, après avoir effectué un retour en piste jugé dangereux juste devant la Red Bull de Max Verstappen.

Mais les commissaires de course du Grand Prix de France ont décidé de ne pas pénaliser Lewis Hamilton pour cette action après avoir entendu les deux pilotes.

« Les pilotes ont jugé que la situation n’était pas particulièrement dangereuse et que cela n’avait pas désavantagé Max Verstappen. » peut-on lire dans le compte rendu de la FIA.

« Les deux pilotes se sont accordés sur le fait que la vision arrière limitée et l’angle dans lequel se trouvait la voiture 44 ne permettait pas à Hamilton de voir la voiture qui approchait. »

Il a également été constaté que Lewis Hamilton est revenu sur la piste de façon lente.

 

Officiel : La FIA n’a pas été convaincue par les preuves de Ferrari

Les commissaires de course de la FIA ont estimé que les preuves apportées par Ferrari concernant la pénalité de Vettel au Canada n’étaient pas significatives.

Les commissaires de course, qui se sont réunis ce vendredi au Castellet en présence de Laurent Mekies [directeur sportif de Ferrari], n’ont pas été convaincus de la pertinence et du caractère nouveau des éléments apportés par Ferrari.

La Scuderia Ferrari a apporté les éléments suivants aux commissaires :

  • L’analyse des données de la télémétrie de la voiture de Vettel
  • L’analyse vidéo de toutes les caméras disponibles pendant la course (onboard Vettel, onboard Hamilton, vue de face et vue d’en haut)
  • une analyse d’une vidéo de Sky Sports
  • une vidéo de Sebastian Vettel face caméra fournie par F1 Limited après la course
  • des images et vidéos après course
  • l’analyse des données GPS de la Ferrari de Sebastian Vettel au moment de l’action, ainsi que les tours précédents
  • le témoignage de Sebastian Vettel

Tous ces éléments n’ont pas été jugés neufs et d’autres n’ont pas été jugé suffisamment pertinents par les commissaires de course. La FIA ne révisera pas la pénalité infligée à Sebastian Vettel.

EL2 : Doublé de Mercedes

Valtteri Bottas a signé le meilleur temps de la seconde séance d’essais libres du Grand Prix de France en 1.30.937.

Le pilote Mercedes devance de quatre dixièmes son coéquipier Lewis Hamilton, mais le Britannique a signé son tour le plus rapide avec une gomme moins rapide [Medium]. Charles Leclerc place sa Ferrari à la troisième position à six dixièmes de la Mercedes de Bottas.

Derrière, Sebastian Vettel, Lando Norris, Max Verstappen, Carlos Sainz, Pierre Gasly, Kimi Raikkonen et Kevin Magnussen complètent le top dix.

La majeure partie des pilotes ont rencontré des problèmes de dégradation avec les pneus Tendres [rouge], ce qui pourrait les forcer à se qualifier pour la Q3 avec les pneus Mediums ce samedi en qualifications pour pouvoir prendre le départ avec ce type de pneus.

Lewis Hamilton sous investigation

Le pilote Mercedes s’est fait une grosse frayeur lorsqu’il a perdu l’arrière de sa monoplace au virage 4 du tracé varois. Le quintuple champion du monde est rentré dans le virage avec une grosse vitesse, mais le train arrière de sa W10 a décroché subitement, ce qui a fait partir sa monoplace tout en travers.

En revenant sur la piste, le pilote Mercedes a gêné la Red Bull de Max Verstappen qui arrivait juste derrière lui. Les commissaires de course ont donc décidé de placer le pilote Mercedes sous investigation. Ils étudieront son cas après la séance d’essais libres 2.

Mise à jour à 17h55 : Pas de pénalité pour Hamilton

Romain Grosjean ne trouve pas de solution

Depuis ce matin, Romain Grosjean n’a toujours pas trouvé de solution aux problèmes de compréhension des pneumatiques sur sa Haas VF-19.

Le pilote français a été incapable d’aligner plus de quatre tours rapides d’affilé en raison de la chute brutale des performances des gommes Pirelli montées sur sa monoplace.

Depuis le début de la saison 2019, l’équipe américaine n’a jamais vraiment réussi à comprendre les pneus Pirelli, qui semblent mieux fonctionner sur certains circuits que d’autres, mais sans que l’écurie Haas ne sache vraiment pourquoi.

Les vitesses de pointe en essais libres 2

Rendez-vous désormais ce samedi à 12h00 pour la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix de France.

L’équipe Renault à l’amende

L’équipe Renault a écopé de deux amendes ce vendredi au Grand Prix de France, après que ses deux pilotes ont été flashés en excès de vitesse dans la voie des stands en EL1.

Dans un premier temps, c’est Nico Hulkenberg qui a été flashé à la vitesse de 68,4 km/h dans la voie des stands limitée à 60 km/h. Cette infraction a coûté à Renault une amende de 900 euros.

Quelques minutes plus tard, c’est son coéquipier Daniel Ricciardo qui a été flashé à 63, 8 km/h dans la voie des stands. Renault a écopé pour cette infraction d’une amende de 400 euros.

Au total, l’équipe Renault devra s’acquitter de la modique somme de 1300 euros pour les deux excès de vitesse commis par ses deux pilotes en EL1.

Daniil Kvyat prendra le départ du GP de France depuis le fond de la grille

Daniil Kvyat prendra le départ du Grand Prix de France depuis le fond de la grille ce dimanche, après avoir reçu plusieurs éléments neufs sur sa Toro Rosso.

Honda a décidé de monter la Spec 3 de son unité de puissance sur trois de ses monoplaces ce week-end au Grand Prix de France, dont celle du Russe Daniil Kvyat.

Dans le détail, le Russe a reçu un quatrième moteur à combustion interne, un 3eme MGU-K, une 3eme batterie et une 3eme unité de contrôle.

Cette mise à jour moteur composée en plusieurs éléments signifie que le pilote Toro Rosso devra prendre le départ depuis le fond de la grille ce dimanche et ce, quel que soit son résultat lors des qualifications ce samedi.

EL1 : Doublé Mercedes, Ferrari souffre

Lewis Hamilton a signé le meilleur temps de la première séance d’essais libres du Grand Prix de France en 1.32.738.

Le pilote Mercedes devance de 69 millièmes de secondes Valtteri Bottas et de trois dixièmes la Ferrari de Charles Leclerc.

Derrière, Max Verstappen, Sebastian Vettel, Pierre Gasly, Lando Norris, Carlos Sainz, Daniel Ricciardo et Alex Albon complètent le top dix de ces EL1.

RAS chez Mercedes

Du côté de chez Mercedes, les deux pilotes se sont amusés à signer le meilleur temps de la séance à tour de rôle au volant d’une monoplace au comportement impeccable, même si quelques petites erreurs en raison d’une piste encore sale sont venues entacher leur performance.

Les pilotes Ferrari souffrent

Les deux pilotes Ferrari ont rencontré des soucis de graining avec les pneumatiques de leur monoplace ce vendredi matin en raison d’une piste pas encore assez gommée.

Sebastien Vettel et Charles Leclerc n’arrivaient pas à effectuer plus de deux tours d’affilé sans dégrader le pneus avant gauche de leur Ferrari.

Sebastian Vettel et Charles Leclerc sont donc rentrés au stand et y sont restés un long moment pour permettre aux mécaniciens Ferrari d’effectuer des réglages.

Pendant cette période, la monoplace de Charles Leclerc a reçu un nouveau fond plat, alors que l’équipe italienne a apporté au Grand Prix de France plusieurs évolutions sur sa SF90 ce week-end.

Quelques minutes plus tard, Sebastian Vettel s’est à nouveau plaint du comportement du train avant sur sa monoplace. Le pilote allemand termine les EL1 à la cinquième position avec plus d’une seconde de retard sur la Mercedes de Lewis Hamilton.

Ça fume sur les Renault

De la fumée s’est échappée du cockpit de la RS19 des deux pilotes Renault ce vendredi matin lors de cette première séance d’essais libres du Grand Prix de France.

Cependant, pas d’inquiétude du côté de l’équipe du constructeur français, puisque les deux pilotes ont pu continuer leur programme.

Moteur Spec B pour Daniel Ricciardo

Daniel Ricciardo bénéficie d’une Spec B du moteur Renault ce week-end au Grand Prix de France. Seule la monoplace du pilote australien a été équipée de cette Spec B ce week-end, tandis que Nico Hulkenberg devrait en bénéficier « lors d’une course future » a déclaré l’équipe Renault.

Cette Spec B devrait apporter un gain de puissance significatif selon l’écurie du constructeur français. Réponse ce dimanche.

Romain Grosjean à l’arrêt

Le pilote Haas termine la première séance d’essais libres du Grand Prix de France à la dernière position du classement. Un problème a été détecté sur sa monoplace, obligeant les mécaniciens à procéder au démontage du fond plat et d’autres éléments.

Rendez-vous désormais à 15h00 pour suivre la seconde séance d’essais libres du Grand Prix de France en direct sur F1only.fr

Renault introduit une Spec B sur la voiture de Daniel Ricciardo au GP de France

L’équipe Renault a décidé d’introduire une mise à jour moteur sur la monoplace de Daniel Ricciardo ce week-end au Grand Prix de France.

Pour sa course à domicile, Renault veut mettre toutes les chances de son côté pour signer un bon résultat et a donc décidé d’introduire une mise à niveau moteur offrant un peu plus de puissance au pilote australien.

L’autre pilote, Nico Hulkenberg, n’aura le droit à la Spec B du moteur Renault qu’à partir d’une course future et devra écoper d’une  pénalité de grille.

« Nous introduisons une nouvelle Spe B ce week-end sur la voiture de Daniel Ricciardo. » a confirmé l’équipe Renault.

« Cette mise à jour devrait être un pas en avant en termes de puissance. Nico recevra son nouveau moteur lors d’une course future, mais il devra écoper d’une pénalité pour avoir utilisé les trois éléments autorisés. »

Rappelons que la précédente évolution moteur introduite par Renault n’était pas une Spec B mais plutôt une Spec A2.

McLaren et Renault signent un accord pour utiliser Sergey Sirotkin

L’équipe McLaren a signé un accord avec Renault pour pouvoir utiliser le pilote de réserve Sergey Sirotkin dans le cas où l’un des pilotes titulaires de l’écurie britannique ne pourrait pas piloter lors d’un week-end de course.

L’accord permet aux deux parties d’avoir un pilote de réserve présent à chaque course pour le reste de la saison 2019.

« Il s’agit d’une solution avantageuse pour McLaren en 2019. » a déclaré Andreas Seidl, le team principal de l’équipe McLaren.

« Sergey est reconnu, il a les points nécessaires sur sa Super Licence et il travaille de façon officielle avec notre fournisseur de moteur, Renault. Il est donc le candidat idéal. »

En parallèle, Sergey Sirotkin conserve également son rôle de pilote de réserve pour l’écurie Renault.

Vettel : « Je ne sais pas s’ils vont me rendre la victoire »

Sebastian Vettel ne sait pas si les nouveaux éléments que va apporter Ferrari ce vendredi auprès des commissaires de la FIA lui permettront de « récupérer » sa victoire au Canada.

Interrogé sur la sanction qu’il lui a fait perdre la victoire lors du Grand Prix du Canada, Sebastian Vettel a évité d’évoquer l’audience de la FIA qui aura lieu ce vendredi sur le circuit du Paul Ricard et durant laquelle il ira témoigner.

« Je ne sais pas s’ils me rendront la victoire, mais je garde le même point de vue qu’il y a deux semaines. Je pense qu’il faut d’abord rouvrir le dossier et le regarder autrement.« 

« Nous apportons des informations que les commissaires n’avaient peut-être pas à ce moment-là, nous verrons ce qu’il se passe. » a déclaré Sebastian Vettel sans préciser s’il estimait que ces nouveaux éléments pourrait faire pencher la balance en sa faveur.

Le pilote allemand a répété qu’il n’avait rien fait d’extraordinaire mais qu’il avait commis une erreur :  » On peut dire que j’ai commis l’erreur au mauvais endroit. Si je l’avais faite dans l’épingle par exemple, j’aurais perdu moins de temps. Ici, j’en ai perdu un peu plus puisque j’ai dû rouler dans l’herbe. »

Dans un tout autre registre, Sebastian Vettel est arrivé sur le circuit du Castellet avec un petit détail qui a attiré l’attention : une alliance. Le quadruple champion du Monde s’est en effet marié avec sa compagne de longue date, Hanna Prater, entre le Grand Prix du Canada et le Grand Prix de France.