Pirelli dévoile ses choix pour les quatre premiers GP 2019

Pirelli, le manufacturier unique de la Formule 1, a dévoilé sa première sélection pneumatiques pour les quatre premiers Grands Prix de la saison 2019.

Après la simplification de l’appellation des gommes, qui entrera en vigueur dés les saison prochaine, Pirelli dévoile aujourd’hui sa première sélection de l’année avec les nouvelles dénominations de pneumatiques.

Les ancienne dénominations [Tendre, Ultra-Tendres ou Super-Tendres] ne seront plus utilisées en 2019, mais le manufacturier utilisera plutôt des codes comme qui correspondront à “Durs”, “Mediums” et “tendres” durant les week-ends de Grand Prix.

Pirelli a donc dû choisir parmi cinq composés pour former la sélection de trois gommes pour chaque Grand Prix sur une gamme de pneus allant du plus dur [C1] au plus tendre [C5].

La sélection Pirelli pour les quatre premiers Grands Prix 2019

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Après 15 ans en DTM, Gary Paffett a hâte de débuter sa saison de Formule E

Le pilote HWA, Gary Pafett, se dit impatient de débuter un nouveau chapitre dans sa carrière, lui qui n’a finalement jamais vraiment quitté le DTM en presque quinze ans.

Titré en DTM en 2005 et 2018, Gary Paffett a rejoint la Formule E cette année pour la toute première fois de sa carrière.

Le Britannique fera équipe avec Stoffel Vandoorne en 2019 chez HWA, et ne cache plus désormais son envie d’en découdre dans une discipline qu’il ne connait pas encore.

Je suis vraiment impatient de commencer la cinquième saison de Formule E avec HWA.” nous explique Gary Paffett.

“En gros, c’est la première fois en 15 ans que je change de série, et avec cela, le véhicule également. Ce sera un grand défi, pour moi comme pour l’équipe. La plupart d’entre eux sont – comme moi – en arrivage du DTM. Il y a donc beaucoup à apprendre de nous.”

“Le départ ne sera pas facile, mais nous sommes prêts et tout le monde a hâte. La formule E est une série très prometteuse avec de bonnes perspectives. C’est formidable d’en faire partie. J’ai vu la course à Marrakech plus tôt cette année et j’ai adoré l’ambiance.”

“C’est tout à fait différent du DTM et de tout ce que j’ai vu. Nous devons nous adapter à ce nouveau format et adapter notre approche à un tel week-end de course en conséquence.”

Audi est prêt à défendre son titre en Formule E

Après une pause de cinq mois, la Formule E revient en piste à l’occasion du tout premier ePrix de la saison 5 qui se déroulera ce samedi 15 décembre en Arabie Saoudite.

Nouvelle saison, nouvelles monoplaces, nouvelles règles, la Formule E est de retour et c’est Audi qui remettra son titre en jeu cette année.

Audi Sport ABT Schaeffler a décroché le titre des constructeurs la saison dernière et fera tout pour le conserver cette année avec un duo de pilotes qui reste inchangé en 2018/19, avec Lucas Di Grassi et Daniel Abt.

“On ne peut plus attendre pour débuter la saison maintenant.” déclare le team principal de l’équipe Audi, Allan McNish.

“Toutes les émotions de la finale [de la saison 4] sont loin maintenant et nous voulons aller de l’avant désormais.”

“Les tests de pré-saison nous ont donné une première impression des points forts par rapport à la nouvelle saison, mais dans le sport automobile, rien s’est comparable à la magie du premier jour de course, avec la première qualification et la course et où vous saurez vraiment où vous vous situez.”

“Après des mois de travail accompli par tout le monde, mon sentiment peut être décrit comme anticipation, suspense et nervosité.”

Audi pourra compter sur l’expérience de Daniel Abt et Lucas Di Grassi pour cette saison 5, qui sont deux des cinq pilotes ayant couru les 45 courses de Formule E depuis la création du championnat en 2014.

Le pilote allemand Daniel Abt se sent déjà comme un vétéran, alors qu’il n’a que 26 ans : “C’est difficile de croire, maintenant, à l’âge de 26 ans, que je suis déjà l’un des pilotes les plus chevronnés de la série de la Formule E.” déclare Abt.

“Mais quand on regarde toutes les choses qui ont changé en Formule E, les 22 pilotes de la nouvelle saison pourront sans doute passer pour des débutants.”

“Nous avons travaillé dur au cours des derniers mois, à la fois sur et hors de la piste. Mais désormais, nous voulons avoir le meilleur départ possible à Riyad.” 

Pas d’idée pour vos cadeaux de Noel ? Pas de panique on vous vient en aide

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Jean Todt : 2018 a démontré l’importance du Halo

Le président de la FIA, Jean Todt, estime que la saison 2018 a démontré l’importance du dispositif de protection du poste de pilotage : le Halo.

Vivement critiqué avant son introduction en 2018, notamment en raison de son esthétique, le Halo a encore fait parler de lui au cours de la saison 2018, en particulier au Grand Prix de Belgique, où la McLaren de Fernando Alonso a été catapultée dans les airs au départ de la course et est retombée pile sur le Halo de la Sauber de Charles Leclerc.

Lorsque’il lui a été demandé si le Halo avait sauvé des vies lors de sa première apparition en compétition cette année, Jean Todt a répondu : “Honnêtement, je ne sais pas.”

“Cela a probablement démontré que c’était une bonne décision, pour moi, tout ce que nous pouvons faire pour améliorer la sécurité, nous devons le faire.”

“Nous avons pu le voir non seulement en Formule 1, mais aussi dans d’autres catégories du sport automobile, avec Sophia Florsch à Macao [en GP3], ou comme en Formule 2.”

“C’est important, nous ne ferons jamais de compromis, nous avons besoin de voir à chaque fois comment nous pouvons mieux regarder les choses, et je suis certain que nous aurons la possibilité de nous améliorer.”

“Le plus important est de prendre les bonnes décisions et d’améliorer ce qui peut être amélioré. De toute évidence, le Halo faisait partie de ces choses-là.”

Cette année, le Halo fera également sa première apparition sur les monoplaces de Formule E. La saison 5 de la FE débute ce week-end en Arabie Saoudite et est à suivre sur F1only.fr.

Robert Kubica “n’a pas peur de revenir” après huit ans d’absence

Robert Kubica assure qu’in n’a pas peur de revenir en Formule 1 en 2019 et d’affronter des pilotes ayant plus d’expérience que lui au volant de monoplaces modernes.

Après huit années passées loin des circuits en raison d’un accident de Rallye en 2011, Robert Kubica fera son grand retour en compétition en 2019 avec l’équipe Williams.

“Bien-sûr, je sais ce qu’il faut pour être un bon pilote de F1.” assure Kubica. “Je n’ai donc pas peur et je sais que cela demande beaucoup de travail et de dévouement et je suis prêt à le faire.”

“D’un point de vue technique, du point de vue du pilotage, nous allons effectuer des essais cet hiver. Par conséquent, d’ici au premier Grand Prix en Australie, le temps est suffisant pour être prêt.”

“En 2019, nous partirons tous de zéro, je n’ai donc pas peur de m’être absenté pendant huit ans. Je suis impatient et je sais ce que ça prend [comme temps] et ce que je dois faire.”

“Si je fais bien mon travail, je suis certain que tout le monde sera content. Comme vous pouvez l’entendre, et cela depuis de nombreuses années, les gens ont du mal à croire que je pourrais le faire. Si j’étais un chef d’équipe, j’aurais moi aussi des doutes.”

Robert Kubica insiste sur le fait que la saison 2018, qu’il a vécu en tant que pilote de développement pour Williams, a été décisive pour le reste de sa carrière.

“C’est la raison pour laquelle j’ai dit que cette année était très utile parce que dés ma première réunion [avec Claire Williams, la patronne de l’équipe de Grove], j’ai dit que si elle avait des doutes on ne devrait pas le faire. Je devais tout d’abord être sûr de pourvoir le faire, c’est pourquoi je suis ici.”

“Deuxièmement, toute l’équipe doit être convaincue que je suis capable de faire le travail. Je pense que nous avons beaucoup parlé de pilotage, mais je pense pouvoir donner beaucoup à l’équipe loin de la voiture.”

Renault : “Aucune raison de ne pas arriver à réduire l’écart face à Mercedes et Ferrari”

Renault prévoit d’introduire une nouvelle version de son unité de puissance en 2019, ce qui va se traduire par une charge de travail considérable durant l’hiver pour les ingénieurs travaillant pour le constructeur français.

Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing, admet que le moteur Renault affiche un déficit de puissance par rapport aux moteurs Ferrari et Mercedes, mais Renault va tout faire pour réduire cet écart au cours des deux prochains mois.

“En course il nous manquait entre 20 et 30 chevaux ce qui, sous certaines conditions, a pu être effacé par le châssis Red Bull Racing, mais en qualifications, nous estimons notre déficit à environ 50 chevaux.” explique Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing à AMUS.

“Avec un moteur client Mercedes ou Ferrari, nous nous serions qualifiés à la septième place à Abou Dhabi [Hulkenberg s’est qualifié à la sixième place]”

“Je ne veux pas avoir à dire l’an prochain que nous manquons de performance en qualifications, et il n’y a aucune raison pour laquelle nous ne pourrions pas réduire l’écart face à Mercedes et Ferrari durant l’hiver au niveau du moteur. Cela prendra un peu plus de temps avec le châssis.”

Verstappen se montrera patient en 2019 et ne devrait pas critiquer Honda

Max Verstappen assure qu’il pourra se montrer patient avec Honda lors de  la première année de collaboration entre le motoriste japonais et Red Bull Racing en 2019.

Au cours des quatre dernières saisons, Max Verstappen n’a cessé de critiquer le moteur Renault monté à l’arrière de sa monoplace, mais le pilote hollandais assure qu’il va changer d’attitude dés le mois de janvier.

Verstappen est bien conscient que Honda n’a pas encore trouvé un niveau de fiabilité et de performance correct, et sait qu’il devra se montrer patient au cours de la première année.

“Je n’ai jamais eu l’intention de les abattre, mais je voulais les faire progresser.” déclare Verstappen.

“Bien-sûr, nous avons désormais un accord avec Honda, mais si nous avions continué avec Renault l’année prochaine, j’aurais voulu que nous progressions.”

“Je suis juste très clair dans ce que je dis, mais je peux aussi leur dire [à Honda] qu’ils peuvent se détendre, je ne suis pas comme ça.”

“Il [le moteur Honda] peut et doit être meilleur, je veux juste toujours un engagement total. Il faut être ouvert à la critique, c’est comme ça que j’ai grandi, et je suis désolé s’ils ne peuvent pas faire face à cela, mais je veux gagner, et pour cela, toutes les parties doivent s’engager.”

“J’espère qu’il s’agira d’une collaboration à long terme, mais je ne m’attends pas à une première saison sans faille.”

“Je ne m’attends pas à ce que tout se passe bien d’un coup, j’aurais toujours des attentes, mais il faut croire au projet. Nous ne pourrons pas nous impatienter tout de suite avec Honda.”

“Après quatre années durant lesquelles ça n’a pas marché, vous atteigniez vos limites et ça explose. Mais c’est différent avec Honda.”

Les variables du Mode Attack seront connues 60 minutes avant la course

Le Conseil Mondial du Sport Automobile de la FIA, réuni en Russie la semaine dernière à Saint Petersbourg, a confirmé que le nombre, la durée et le temps minimum pendant lesquels les pilotes pourront armer le MODE ATTACK, seront déterminés par la FIA lors de chaque E-Prix, une heure avant le départ, en fonction des caractéristiques des circuits.

Avec un délai de 60 minutes avant de rejoindre la grille de départ, dites adieu aux stratégies mûrement réfléchies longtemps auparavant. Équipes et pilotes devront se montrer réactifs, rendant ainsi plus imprévisibles encore les épreuves de la série 100% électrique.

Pour déclencher le MODE ATTACK, les pilotes devront armer leur voiture en quittant la trajectoire de course et passer à travers la zone d’activation. C’est alors qu’ils profiteront d’une puissance supplémentaire de 25 kW.

Ils pourront l’utiliser pendant plusieurs tours, lorsqu’ils le souhaitent, afin de pouvoir ménager leurs arrières ou tenter de dépasser. Le Mode Attack peut être activé à partir du troisième tour, et sera visible sur le Halo, alors paré d’une teinte bleu électrique.

Autre nouveauté pour cette saison 2018 / 2019, le FANBOOST a été revu et concernera cinq pilotes plébiscités (au lieu de trois) qui pourront profiter d’un surcroît de puissance de 25 kW durant la course.

Cette énergie sera disponible à partir de la 22e minute. Lorsqu’il sera activé, le Halo ornera une couleur magenta.

Le premier ePrix de la saison 2018/19 se déroulera ce week-end (15 décembre) en Arabie Saoudite sur le tracé de Ad Diriyad.

Lando Norris : “McLaren me donnera le temps de me développer”

Lando Norris, le futur pilote McLaren pour la saison 2019, estime qu’il va pouvoir beaucoup apprendre avec Carlos Sainz comme coéquipier l’an prochain.

Le jeune britannique a signé son premier contrat en tant que pilote titulaire en F1, et sait qu’il devra faire ses preuves dés sa première saison, même s’il est certain que McLaren lui laissera le temps de se développer.

Norris pourra de toute façon compter sur l’expérience de son coéquipier Carlos Sainz, qui débutera en 2019 sa cinquième année en Formule 1 avec McLaren.

“C’est un nouveau défi pour moi-même, mais aussi pour l’équipe avec deux nouveaux pilotes.” déclare Norris.

“Je peux apprendre beaucoup de Carlos, il est très expérimenté, je le considère comme un très bon pilote, donc, je peux apprendre beaucoup de lui.”

“Je ne pense pas avoir besoin de précipiter quoi que ce soit, je peux prendre mon temps. Mclaren travaille dans tous les domaines : sur les jeunes pilotes, les nouveaux pilotes, moi-même, la voiture pour l’année prochaine, etc…”

“Donc, je ne pense pas qu’il y ait trop de pression, de toute évidence, il y a de la pression et je devrais bien faire, ne pas commettre d’erreur.”

“Ce n’est pas comme si je devais montrer que je suis capable de remporter un championnat du monde lors de ma première course. J’ai le temps de me développer, ils me donnent le temps de me développer.”

“Ils peuvent m’aider à faire cela, bien-sûr, ce ne sera pas la situation idéale, mais on se sait jamais comme sera la voiture l’année prochaine, elle pourrait être incroyable.”

“Elle pourrait être aussi mauvaise, on ne sait jamais. Mais évidemment, nous travaillons sur tous les aspects et essayons de la rendre meilleure. Nous verrons bien lors des tests de pré-saison.”

Carlos Sainz a un sentiment d’inachevé en quittant Renault

Carlos Sainz admet qu’il quitte l’équipe Renault avec un sentiment d’inachevé, alors que le pilote espagnol va rejoindre McLaren en 2019, après une saison passée au sein de l’équipe du constructeur français.

Sainz est arrivé chez Renault à la fin 2017, dans le but de devenir le fer de lance de la marque au losange en F1, mais la signature de Daniel Ricciardo avec le constructeur français pour la saison 2019 a précipité son départ pour l’équipe McLaren.

L’Espagnol a terminé la saison 2018 sur une note positive, après avoir battu son coéquipier Nico Hulkenberg lors de six des neufs dernières courses disputées en seconde moitié de saison.

Sainz déclare qu’il regrette que son départ coïncide avec le moment où il était le plus performant avec Renault, car il estime, qu’ensemble, ils auraient pu réaliser plus de choses.

“Je laisse de très bons amis ici, je pense aussi que nous avons des problèmes en suspens.” a déclaré l’Espagnol à SoyMotor.

“Peut-être qu’avec une année supplémentaire dans l’équipe…Je dis toujours que plus on passe de temps au sein d’une équipe, plus on a de chances d’obtenir plus de performances de la voiture.”

“Cela a été un défi, je n’ai perdu confiance en moi à aucun moment, et je savais ce que je devais faire pour gagner cette confiance.”

“Je savais qu’il ne me restait qu’un an pour le faire, ça s’est terminé comme ça s’est terminé, je ne regrette rien, la fin a été bonne.”

D’Ambrosio s’attend à un défi unique sur la piste d’Ad Diriyah en Arabie Saoudite

Jerome D’Ambrosio, le pilote Mahindra Racing, estime que le circuit Ad Diriyad en Arabie Saoudite, qui accueillera la toute première manche de la saison 5 de Formule E, offrira plusieurs défis uniques aux pilotes.

Le Belge, qui courra pour la première fois avec Mahindra en Arabie Saoudite, s’attend à ce que la série de virages serrés dans la première partie du circuit soit la clé d’un bon chrono.

“Il ne ressemble certainement pas à un circuit classique de Formule E que nous utilisions auparavant, en particulier du virage 1 au virage 14, ce qui entraînera beaucoup d’accélération et de vitesse élevée pour une Formule E.” explique D’Ambrosio à E-Racing.

“Cela rendra le circuit très intéressant en termes de gestion de la course et de l’énergie. Il ne ressemble vraiment à aucune autre piste que nous avons utilisée jusque là.”

“Je ne suis pas certain de savoir comment cela se passera en termes de dépassements, et il semble que cela pourrait être assez difficile à part quelques points évidents, comme à la fin de la grande ligne droite.”

La saison 5 de la Formule E débutera le 15 décembre en Arabie Saoudite pour se terminer à New-York au mois de juillet 2019.

Porsche va tester sa GEN2 à partir de mars

Le constructeur allemand Porsche, qui fera son entrée en Formule E lors de la saison 6, testera sa première monoplace 100% électrique au mois de mars 2019 et annoncera prochainement le nom de son premier pilote.

Rappelons que l’équipe du constructeur allemand a été bouleversée par le départ d’Andreas Seidl, qui était censé diriger le programme, et qui devrait selon les dernières rumeurs, occuper un poste de direction dans une équipe de F1 l’an prochain.

Fritz Enzinger, le responsable par intérim du programme Porsche en Formule E, a confirmé lors de la Night of Champions que le nom du premier pilote serait connu sous peu, alors que les potentiels candidats pour un baquet chez Porsche en FE sont Brendon Hartley et Neel Jani.

“Notre premier pilote sera annoncé sous peu, c’est déjà décidé.” a confirmé Fritz Enzinger.

Porsche a également présenté sa monoplace de démonstration lors de la Night Of Champions ce week-end, une voiture envoyée par Spark Technologies avant de recevoir la “vraie” monoplace.

“Nous recevrons la première voiture en janvier.” a déclaré Michael Steiner, vice-président du développement et membre du conseil consultatif spécial. “Nous sommes impatients de débuter les tests avec en mars.”

Romain Grosjean prévoit de rester en F1 jusqu’à l’âge de 40 ans

Romain Grosjean a déclaré qu’il espérait rester en Formule 1 jusqu’à l’âge de 40 ans, le pilote français estimant qu’il lui restait beaucoup à faire dans ce sport.

Grosjean a fait ses débuts en F1 en 2009, puis est revenu en 2012 après une absence de deux ans en raison de mauvais résultats lors de sa première saison avec Renault.

En 2019, Romain Grosjean sera le quatrième pilote le plus âgé de la grille, mais le Français assure qu’il est toujours autant motivé après huit saisons en catégorie reine du sport automobile.

“J’ai passé huit ans en Formule 1, mais je pense pouvoir encore faire six, sept ou huit ans.” déclare Grosjean à Motorsport Week.

“Kimi [Raikkonen] a 39 ans et il a signé un contrat de deux ans. J’ai commencé en F1 à 27 ans, alors ce n’est pas comme si j’avais commencé à 17 ans.”

“J’ai maintenant 32 ans et j’ai passé six années [consécutives] en F1. Je pense que je peux en faire encore six ou sept, je pense avoir l’énergie nécessaire pour le faire tant que je continue à performer.”

“Beaucoup de gens perdent leur…tu connais Fernando [Alonso], pourquoi est-il frustré et en colère à la radio ? A mon avis, c’est parce qu’il n’a pas perdu son désir de gagner et que vous voulez toujours gagner.”

“Par conséquent, lorsque vous ne gagnez pas pendant trois, quatre ou cinq ans, et que votre voiture est une merde et que vous le savez, vous êtes frustré.”

“Les autres pilotes et athlètes en général, sont contents de gagner [x] millions par an, moi je fais ce que j’aime. Je suis un peu le même que Fernando, je n’ai jamais perdu ce souhait de vouloir gagner une course.”

Paddy Lowe estime que le nouvel aileron avant aura un grand impact en 2019

La FIA a décidé d’imposer aux équipes l’utilisation d’un aileron avant au design beaucoup plus basique en 2019, ce qui devrait, selon la fédération, améliorer considérablement le spectacle en course.

D’une largeur de deux mètres, ce nouvel aileron avant sera censé permettre aux pilotes de suivre de plus près les autres monoplaces en piste, ce qui devrait augmenter les chances de dépassement en ayant moins de turbulences dans le sillage.

Certains directeurs d’équipe, comme Toto Wolff [patron de Mercedes] ont mis en doute l’efficacité d’un tel dispositif, alors que d’autres, comme Paddy Lowe [directeur technique chez Williams] pensent que l’impact de ce nouvel aileron sera très bénéfique.

“La tendance générale est d’estimer que ce nouvel élément aérodynamique ne fera pas la différence, mais il me semble au contraire, qu’il aura beaucoup plus d’influence que l’augmentation du réservoir de carburant par exemple qui, à mon sens, ne devrait rien changer à la donne actuelle.” explique Lowe.

“Il me semble qu’on gérera toujours la consommation, car adopter un rythme contrôlé, nous le faisons autant pour les pneus que pour l’essence.”

“Ce nouvel aileron est radical, et il sera difficile de retrouver les niveaux d’appui générés précédemment, donc, j’espère que cela aura un effet positif sur le spectacle lors des Grands prix.”

Vettel s’attend à une rivalité saine avec Charles Leclerc

Sebastian Vettel admet qu’il ne connait pas encore assez Charles Leclerc pour se faire une véritable idée de sa future relation avec le Monégasque chez Ferrari l’an prochain.

Le quadruple champion du monde s’attend cependant à une relation relativement calme en 2019 avec son nouveau coéquipier qui, aux premiers abords, semble être “un bon gars”

“Le temps nous le dira évidemment, je ne connais pas encore suffisamment Charles, il ne me connait pas.” a déclaré le pilote Ferrari.

“Je pense que c’est un bon garçon, donc, je ne m’attends pas à ce qu’il y ait un problème sur la piste. Je pense que nous serons rivaux autant que Kimi [Raikkonen] et moi avons été rivaux.”

“Nous essayons toujours d’être le plus rapide, et si vous y arrivez, vous battez tout le monde, même votre coéquipier.”

“Donc, on verra, nous savons aussi que nous voulons être victorieux avec Ferrari. Mais pour lui, c’est un point différent dans sa carrière par rapport à la mienne. Mais comme je l’ai déjà dit, le temps nous le dira, mais il a l’air d’être un bon gars.”

La vraie raison derrière le départ de Sirotkin de Williams

La raison pour laquelle Sergey Sirotkin a perdu son baquet chez Williams au profit de Robert Kubica est due à un désaccord financier entre l’équipe Williams et le sponsor du pilote russe, SMP.

Sergey Sirotkin a été retenu par l’équipe Williams à la fin de la saison 2017 afin de devenir pilote titulaire pour 2018, alors que le jeune russe bénéficiait du soutien de SMP, un groupe financier spécialisé en sport automobile.

Pour Mika Salo, qui est devenu le représentant de SMP, la société était disposée à rester avec Williams en 2019 et à continuer à soutenir Sergey Sirotkin, mais les faibles performances de l’équipe lors de la dernière saison a obligé SMP à demander à Williams de revoir ses besoins financiers à la baisse.

L’équipe ayant refusé, SMP a décidé de lâcher prise et de ne plus financer le jeune pilote russe, ce qui a automatiquement écarté Sirotkin des négociations pour 2019.

“Bien-sûr, nous voulions baisser un peu le prix et avoir l’assurance que Williams aille mieux.” explique Mika Salo au diffuseur finlandais MTV.

“Nous n’avons pas trouvé de consensus, c’est l’une des raisons pour lesquelles je ne m’inquiète pas du départ de Sergey. Il a fait une bonne saison, il a fait du bon travail et l’équipe l’a apprécié.”

Désormais, avec l’arrivée de Robert Kubica en 2019, l’équipe Williams recevra de l’argent de la part du sponsor personnel du Polonais, la société pétrolière PKN Orlen, dont le logo figurera sur la carrosserie de la FW42 en 2019.

Le Grand Prix du Mexique élu meilleur événement de l’année 2018

Le Grand Prix du Mexique 2018 a été élu meilleur événement de l’année lors du traditionnel gala de remise des prix de la FIA qui s’est déroulé ce vendredi soir en Russie.

Les organisateurs ont reçu le prix ce vendredi soir, un prix reçu en raison de la ferveur des fans mexicains, qui accueillent chaque année la Formule avec une affection sans pareil.

La Fédération Internationale de l’automobile a apprécié les efforts des organisateurs qui, année après année, developpement un programme d’activités destiné à offrir un véritable spectacle à ceux qui viennent sur le circuit avec notamment des divertissements riches et variés.

Le succès du Grand Prix du Mexique est tellement grand que pour la quatrième année consécutive tous les billets ont été vendus en 2018.

“Nous sommes très fiers et enthousiastes de voir la réponse extraordinaire des fans, sans aucun doute, l’atmosphère unique qui règne lors de cet événement spectaculaire a été un élément fondamental dans le succès et la reconnaissance internationale que nous avons reçu.” a déclaré Federico González Compeán, directeur de l’événement.

Charles Leclerc élu meilleur débutant de l’année 2018

Le futur pilote Ferrari, Charles Leclerc, a été élu meilleur débutant de l’année lors du traditionnel gala de la FIA qui s’est déroulé ce vendredi soir à St Pétersbourg en Russie.

Au volant d’une modeste Sauber, Charles Leclerc a impressionné tous les observateurs du monde de la Formule 1 en 2018 avec ses performances, qui lui ont d’ailleurs permis de signer un contrat chez Ferrari à partir de 2019.

Le Monégasque, qui n’était pas présent lors de la cérémonie de remise des prix, a tout de même envoyé un message vidéo en guise de remerciement.

“Je suis désolé de ne pas pouvoir assister à cet événement, mais je suis très reconnaissant d’avoir reçu le prix du meilleur débutant de l’année pour la seconde saison consécutive.” a déclaré Leclerc.

“Cette première année en Formule 1 a été formidable, il était très difficile de s’adapter à la voiture lors des premières courses, mais ensuite, tout s’est bien passé.”

“J’ai eu un coéquipier qui m’a poussé toute l’année, il m’a appris toutes les bases de la Formule 1. J’ai vraiment hâte d’affronter les prochains défis, à bientôt sur la piste.”

C’est la seconde fois de sa carrière que Charles Leclerc décroche le prix du meilleur débutant de l’année, la première fut après sa saison 2017 en Formule 2, durant laquelle il a décroché le titre.

La boucle est bouclée pour 2018 !

Les stars du sport automobile mondial se sont réunies dans le Grand Hall du Philharmonia historique de Saint-Pétersbourg ce vendredi pour une soirée célébrant de nombreuses réalisations sportives remarquables de l’année 2018.

La présentation du trophée du Championnat du monde des pilotes FIA de Formule 1 à Lewis Hamilton a été l’un des points forts du gala annuel. 

Le pilote Mercedes, Lewis Hamilton, est entré dans l’histoire en 2018, devenant le troisième pilote à remporter cinq victoires au championnat, à égalité avec le légendaire Juan Manuel Fangio et en s’approchant du grand Michael Schumacher, sept fois vainqueur du titre. Hamilton a remporté un total de 11 victoires au cours de l’année 2018.

Le titre des constructeurs de Formule 1, quant à lui, a été attribué à l’équipe Mercedes AMG Petronas pour la cinquième fois consécutive.

“Ce fut une saison incroyable. Ai-je apprécié la bataille avec Ferrari? Non, c’était vraiment difficile.” a déclaré Toto Wolff, le directeur exécutif de l’équipe Mercedes.

“Mais si l’on regarde en arrière, je n’aurais pas fait autrement, c’est ce qu’est la F1, c’est l’apogée de la course automobile et nous nous attendions à ce que nos concurrents soient très forts. Le résultat final est encore plus agréable.”

La boucle est donc bouclée pour 2018, rendez-vous en 2019 pour une nouvelle saison.