Officiel : Ferrari demande une révision de la pénalité de Vettel

La Scuderia Ferrari a confirmé ce lundi soir avoir écrit à la FIA pour demander une révision de la pénalité infligée à Sebastian Vettel au Grand Prix du Canada 2019.

L’équipe de Maranello avait jusqu’au dimanche du Grand Prix de France pour formuler sa requête auprès de la FIA, mais la Scuderia n’a pas attendu tout ce temps pour faire sa demande officielle.

Selon la procédure, cette demande de révision de la part de Ferrari veut dire que la Scuderia possède des preuves qui n’étaient pas disponibles au moment où les commissaires de course du Grand Prix du Canada ont rendu leur décision suite à l’infraction de Sebastian Vettel.

Officiellement, il est impossible de faire appel d’une sanction, mais le code sportif offre aux compétiteurs l’option d’un passage en revue des décisions après une course, à partir du moment où de nouvelles preuves son disponibles.

La FIA devrait logiquement convoquer les commissaires lors du Grand Prix de France ce week-end pour revoir le cas et voir si les preuves apportées par Ferrari sont recevables.

A partir de là, les commissaires écouteront les arguments de la Scuderia afin de juger si oui ou non la décision de sanctionner Sebastian Vettel au Grand Prix du Canada était juste ou pas.

Daniel Ricciardo : « Nous commençons à montrer notre vrai rythme »

Sixième au Canada, Daniel Ricciardo a signé son meilleur résultat avec les couleurs Renault tout en ayant obtenu la quatrième place sur la grille de départ.

De plus en plus en confiance au volant de la Renault R.S.19, le pilote australien espère pouvoir offrir à Renault un autre bon résultat pour la course à domicile de l’équipe du constructeur français au Paul Ricard.

« Nous arrivons au Castellet après deux courses disputées à Monaco et à Montréal, des tracés non permanents où les murs sont proches et la marge d’erreur infime. En France, les risques sont beaucoup plus faibles étant donné la largeur de la piste. Cela peut sembler aseptisé en comparaison, mais la course avait été plutôt excitante l’an dernier… Cela compense ! » explique Daniel Ricciardo.

« Les virages longs et techniques constituent un véritable défi, tout comme les nombreuses opportunités de dépassement. Nous chercherons à tirer profit de chacune d’entre elles ! »

« C’était génial de voir de la positivité sur tous les visages après l’arrivée. Nous avons entamé la saison avec beaucoup d’attentes, mais je pense que nous commençons à montrer notre vrai rythme. »

« Je suis ravi que l’équipe ait connu un week-end solide même s’il a été parfois stressant. Nous avons toutefois continué de travailler et je crois que nous sommes sur la bonne voie. »

Encore du travail à fournir

« Il y a assurément encore plus de travail à fournir pour satisfaire nos ambitions, mais c’était très amusant de se battre avec les trois écuries de pointe pendant un temps au Canada. »

« Je suis impatient de ressentir toute la ferveur du public français et j’espère que l’équipe sera fière de moi. Je sais qu’il s’agit d’une course importante pour eux et tout ce que cela représente pour toutes les personnes impliquées. »

« Notre objectif doit être de répéter notre performance du Canada. L’an dernier, l’équipe avait un bon rythme au Circuit Paul Ricard, donc nous arrivons sur un sentiment plutôt positif. »

« Nous avons des évolutions qui devraient marquer le début d’une véritable tendance. Tout avance bien et je vais également continuer de me perfectionner puisque j’ai de plus en plus confiance au fil des progrès de la voiture. »

Lando Norris sait que la moindre petite erreur peut coûter très cher au championnat

Le pilote McLaren Lando Norris s’apprête à rouler pour la première fois de sa carrière sur le circuit Paul Ricard au volant d’une Formule 1.

Le jeune Britannique, qui a rejoint l’équipe McLaren cette année, s’attend une nouvelle fois à une bataille intense au milieu du peloton pour le Grand Prix de France, alors que son équipe McLaren est actuellement quatrième au championnat du monde, deux points devant Renault.

Dans ce contexte, Norris sait très bien que la moindre petite erreur peut coûter très cher à son équipe au classement des constructeurs.

« Je suis excité de reprendre la course après le Canada et d’avoir ma première expérience au Paul Ricard pour la première fois en F1. » déclare Lando Norris, qui a dû abandonner sur défaillance mécanique à Montréal.

« Les équipes du milieu de peloton sont vraiment proches, et nous avons eu de bonnes batailles au cours des dernières courses. »

« Nous savons que le combat en France sera tout aussi difficile, et j’ai beaucoup travaillé à l’usine pour me préparer pour ce week-end. En tant qu’équipe, nous devons continuer à tout donner à chaque course, parce que même de petites erreurs peuvent nous coûter cher. »

« Je vais me concentrer pour être aussi rapide que possible vendredi. J’ai déjà de l’expérience au Paul Ricard, ayant couru là-bas en Formula Renault et en F2. »

Le GP de France sera une bonne occasion de comparer les gommes 2018 et 2019 pour Pirelli

Pirelli s’attend à ce que les équipes puissent faire des comparaisons sur ses gommes ce week-end au Paul Ricard par rapport à 2018.

L’an dernier, Pirelli avait introduit des pneus à bande de roulement plus fine lors de trois courses : le Grand Prix d’Espagne, le Grand Prix de France et celui de Grande-Bretagne.

Le manufacturier unique de la Formule 1 avait fait ce choix en raison d’un asphalte neuf sur ces trois tracés, alors que cette saison, Pirelli a introduit ses gommes à bande de roulement plus fine pour l’intégralité de la saison.

Pour le Grand Prix de France, Pirelli s’attend donc à ce que les équipes puissent comparer directement les données de 2018 à celles de cette année, tout comme ce fut déjà le cas à Barcelone le mois dernier.

« Notre choix de pneus ce week-end est légèrement plus conservateur que les pneus Tendres, Super-tendres et Ultra-tendres de 2018 que nous avions en France l’an dernier, car les pneus Super-tendres ne font plus partie de la gamme en 2019. » explique Mario Isola, le responsable de Pirelli en F1.

« Par conséquent, les pilotes devraient être capables de pousser fort du début à la fin de chaque relais. Avec Barcelone et Silverstone, nous avons utilisé les pneus à bande de roulement plus fine en France l’année dernière. Nous pourrons donc effectuer une nouvelle comparaison directe sur l’évolution des voitures à partir de 2018. »

« Bien qu’une grande partie du circuit ait été ré-asphaltée, cela ne devrait pas faire beaucoup de différence pour les caractéristiques de la piste. Etant donné que ce n’est que la deuxième fois sur le circuit, les équipes ne disposent toujours pas d’un ensemble complet de données. »

« Nous allons donc beaucoup apprendre. Nous avons déjà utilisé le Paul Ricard pour les tests cette année, mais la configuration est bien plus courte et différente que le circuit complet du grand prix. »

Diffusion du GP de France : TF1, TMC et Canal+ au taquet

Pour le Grand Prix de France 2019, le groupe TF1 diffusera gratuitement la course ce dimanche 23 juin, mais également les qualifications sur sa chaîne TMC le samedi 22 juin.

Cette année, TF1 diffuse quatre Grand Prix de Formule 1 de la saison 2019 : Le Grand Prix de Monaco, le Grand Prix de France, le Grand Prix de Belgique et le Grand Prix des Etats-Unis à Austin.

Petite nouveauté par rapport au récent Grand Prix de Monaco, le groupe TF1 a décidé de retransmettre la séance de qualifications du Grand Prix de France programmée le samedi 22 juin sur sa chaîne TMC.

Vous pourrez suivre gratuitement les qualifications du Grand Prix de France à partir de 15h00 sur TMC, alors que le départ de la course sera donné ce dimanche 23 juin sur TF1.

Récapitulatif

Diffusion des essais libres 1 et 2 du GP de France : Canal+

Diffusion des essais libres 3 du GP de France : Canal+

Diffusion des qualifications du GP de France : Canal+ et TMC

Diffusion du Grand Prix de France 2019 : Canal+ et TF1

Tous les horaires du Grand Prix de France 2019 en cliquant ici

Une plus large couverture pour Canal+

Evidemment, si vous êtes un abonné Canal+, vous pourrez vivre l’intégralité du week-end du Grand Prix de France 2019 [toutes les séances d’essais libres, les qualifications, la grille, la course et Formula One].

Le groupe Canal+ est le seul diffuseur français à diffuser l’intégralité de la saison de Formule 1, soit les 21 week-ends de Grand Prix, moyennant un abonnement.

Renault : « Nous voulons reprendre la quatrième place »

Après une belle prestation de la part de Renault au Canada, le directeur technique moteur Rémi Taffin revient sur ce temps fort tout en détaillant le plan d’action pour maintenir cette dynamique avant une course très attendue à domicile.

Après un début d’année compliqué en raison de problèmes de fiabilité moteur, notamment sur une bielle, l’équipe Renault arrive au Castellet avec la ferme ambition de signer un résultat dans la continuité de celui obtenu au Canada la semaine dernière.

« Du point de vue du moteur, les demandes sont proches de celles de Montréal. Cependant, il y a davantage de virages à moyenne et haute vitesse au Castellet. » explique Taffin.

« C’est un aspect que nous devons prendre en compte au moment de régler les monoplaces. Nous avons démontré à Montréal que notre ensemble était à la hauteur dans les longues lignes droites et les gros freinages. »

« L’objectif du groupe propulseur est donc de rouler autant que possible et d’être fiable pour permettre à l’équipe d’évaluer nos évolutions sur le châssis. »

« Montréal est un circuit très typé « moteur », d’où une certaine satisfaction de voir ces bonnes performances. Pour la première fois de la saison, nous avons pu travailler sur un ensemble performant tout au long du week-end. »

« Il faut désormais répéter cela et nous avons une belle occasion d’afficher le même niveau de compétitivité pour notre course à domicile en France. Nous avons enfin lancé notre saison, mais il nous reste beaucoup de travail. Nous voulons reprendre la quatrième place et distancer le peloton. »

Etre le meilleur des autres

Après un excellent résultat à Montréal [les deux voitures dans le top dix], Renault veut désormais récupérer sa place de meilleur des autres qu’occupe actuellement l’équipe McLaren, seulement deux points devant Renault.

« Nous savions que le moteur affichait de bonnes performances dès les premiers essais et la première course. Dans l’ensemble, nous avons connu un hiver productif et intense sur ce front, mais nous avons été pris au piège de deux incidents dans les deux premières courses. »

« Nous avons depuis montré notre capacité à réagir en introduisant des évolutions à Barcelone, contrecarré nos problèmes et démontré que notre groupe propulseur pouvait être fiable d’une part et performant d’autre part. »

« Nous disposons d’une bonne base, mais nous sommes conscients qu’il reste beaucoup à faire et que nous en avons encore bien plus à venir. Nous pouvons toutefois dire que nous étions satisfaits à Montréal d’être exactement à la place que nous visions : « meilleurs des autres. »

Une excellente ambiance au sein de l’équipe

En arrivant au Grand Prix de France, Renault aborde sa course à domicile avec une excellente ambiance au sein de l’équipe.

L’écurie du constructeur français compte notamment sur le soutien du public français ce week-end, ce qui est toujours une source de motivation supplémentaire.

« L’ambiance est excellente au sein de l’équipe, surtout après Montréal. Nos collaborateurs ont apprécié cette course et c’est peut-être une première cette saison. C’est un véritable coup de pouce pour tous avant notre course à domicile. »

« C’est toujours agréable d’évoluer sur ses terres, où l’on peut sentir la chaleur, l’énergie et la fierté du public. Cela nous donne un surplus de motivation, même s’il y a un tout petit plus de pression. »

Charles Leclerc : « Vettel a fait moins d’erreurs que moi en course »

Charles Leclerc admet volontiers que son statut au sein de l’équipe Ferrari a légèrement changé après le Grand Prix de Bahreïn, qu’il a bien failli remporter cette année.

Le pilote monégasque a signé sa première pole position au Grand Prix de Bahreïn en 2019 au volant de sa Ferrari, et alors qu’il semblait se diriger vers sa toute première victoire en Formule 1, un souci mécanique a empêché le Monégasque de monter sur la plus haute marche du podium.

Pas de victoire donc pour Charles Leclerc, mais le jeune pilote a clairement gagné plus de respect auprès de son équipe grâce à ses solides performances tout au long du week-end.

« Après Bahreïn, il y a eu un petit changement, c’est vrai. Ils ont plus de respect pour moi. » explique le pilote Ferrari au journal L’Equipe.

« J’ai enfin fait mes preuves, j’ai montré que je pouvais, moi aussi, faire de belles choses. Après, je comprends que dans une grosse structure comme Ferrari, il soit nécessaire d’établir une hiérarchie. »

Leclerc estime qu’il est normal que son coéquipier Sebastian Vettel soit considéré comme le leader de l’écurie en tant que quadruple champion du monde,

« Seb possède une longue expérience en F1, il est quatre fois champion du monde. Cela s’entend qu’il soit devant. C’est à moi de faire le reste sur la piste. J’ai fait des erreurs en course ; il en a fait moins. Il le mérite. Il faut que je sois au top à chaque course et que je sois devant plus souvent. »

Pas de politique

Charles Leclerc aborde ensuite la question des hiérarchies au sein de la Scuderia Ferrari : « Je ne pense pas qu’il n’y ait plus de hiérarchie. Elle existe toujours et cela a été clairement dit. On essaye de gérer nos courses de la meilleure manière possible. »

« La politique, ce n’est pas mon truc. Je déteste faire cela. Ce n’est pas quelque chose qui me correspond. Ce n’est pas moi. Je ne peux pas devenir ami avec quelqu’un que je n’apprécie pas parce que cela peut m’être utile. »

« Dire des choses à quelqu’un pour le flatter ou lui faire plaisir, ce n’est pas ce que je veux, ce n’est pas ce que je suis ! Je veux des relations naturelles. Je pense que c’est ce qui marche le plus. La politique, je n’en ai pas besoin. Pour l’instant, j’apprécie tout le monde chez Ferrari. Je fais le boulot en piste, et cela me va. »

Jean Todt : « Nous avons les meilleurs stewards du monde »

Le président de la FIA, Jean Todt, a donné son avis concernant la controverse qui a éclaté après la pénalité infligée à Sebastian Vettel au Grand Prix du Canada 2019.

Alors leader de la course, Sebastian Vettel a reçu une pénalité de cinq secondes pour avoir coupé un virage et être revenu en piste de façon « dangereuse ».

Cette pénalité a coûté la victoire au pilote Ferrari au profit de son adversaire Lewis Hamilton, ce qui a fait réagir les fans du monde entier.

Interrogé pour savoir ce qu’il pensait de cette situation, Jean Todt n’a pas voulu donner son opinion personnelle, mais a tenu à défendre les commissaires de course qui ont pris la décision de pénaliser Vettel à Montréal.

« Nous avons les meilleurs stewards du monde, et ils font très bien leur travail. Bien-sûr, vous aurez toujours des discussions sur l’application d’une pénalité, vous avez également cela dans d’autres sports, ce n’est pas propre à la Formule 1. » explique Jean Todt, le président de la FIA.

« Les pilotes sont les premiers à insister pour respecter toutes les règles. Lorsque nous commençons à les desserrer, cela peut parfois amener à des situations dangereuses. »

« On peut voir cela notamment en Formule E, où les pilotes ont beaucoup plus de liberté qu’en Formule 1. »

Verstappen estime qu’une petite mise à jour moteur pourrait faire une grande différence

Max Verstappen estime qu’avec un peu plus de puissance moteur il pourrait être en mesure d’aller défier plus régulièrement les Mercedes et les Ferrari en course.

Le pilote Red Bull, qui est désormais quatrième au classement des pilotes, a déjà pu signer deux podiums depuis le début de la saison avec sa RB15 équipée du moteur Honda.

Cependant, sur des tracés moteur comme celui de Montréal la semaine dernière, le bloc V6 du motoriste japonnais reste en deçà des moteurs Ferrari ou Mercedes en termes de performance pure.

Verstappen espère donc que Honda, mais aussi Red Bull avec le châssis, seront en mesure de lui offrir ce surplus de performance avant la fin de l’année, alors que Honda apportera sa seconde mise à jour moteur de l’année la semaine prochaine au Grand Prix de France.

« Bien-sûr, nous savons tous que nous devons faire mieux. » explique Verstappen. « Mais je crois vraiment au projet Honda. »

« Donc, nous travaillons dur maintenant pour essayer d’améliorer la performance et nous verrons lors des prochaines courses où nous en serons. »

« Si nous pouvons obtenir un peu plus de puissance, un peu plus d’équilibre avec la voiture, tout à coup, cela aura l’air très différent. A Monaco, nous étions la seconde meilleure équipe, alors qu’à Montréal, je savais que ça n’allait pas être formidable. »

« L’année dernière, nous étions assez compétitifs, mais je pense qu’à l’époque, notre voiture était bien meilleure que les Mercedes et Ferrari. Désormais, je ne dirais pas la même chose. »

Un match caritatif organisé par l’association Jules Bianchi à Bandol

Ce mercredi 19 juin 2019, un match de football caritatif sera organisé par l’association Jules Bianchi au stade André Deferrari à Bandol dans le var.

Une équipe formée par des pilotes de Formule 1, dont Charles Leclerc, Pierre Gasly, Daniel Ricciardo ou encore Daniil Kvyat, affrontera lors de ce match caritatif une équipe formée de footballeurs professionnels, d’acteurs et de chanteurs.

Pour acheter vos billets pour assister à l’événement, vous devez vous rendre directement à l’office du tourisme à la boutique de l’association Jules Bianchi, 33 rue des vignes 83170 Brignoles ou bien les acheter directement sur place le mercredi 19 juin à partir de 16h30. Tarif unique de 15 euros.

Ont déjà été confirmées des personnalités telles que Fabien Barthez, Maxime Mermoz, Yohan Cardinale, Jérôme Fernandez, Manuel Amoros, Marcel Dib, Youri Djorkaeff, Thomas Mangani, Gael Givet, Sébastien Squillaci, Olivier Veigneau, Tex, Daniel Levi, Nicolas Marin, Marcel Dib, Christophe Pignol, Cédric Mouret…

Du côté des pilotes : Charles Leclerc, Pierre Gasly, Olivier Panis, Daniel Ricciardo, Stephane Ortelli, Daniel Elena, Felipe Massa, Giuliano Alesi, Patrick Lemarié, Thimoté Buret…

Notez que le coup d’envoi du match sera donné à 18h30 ce mercredi 19 juin 2019 au stade de Bandol.

Le patron de Haas voudrait que Pirelli revienne aux pneus de l’an dernier

Le patron de l’équipe Haas aimerait que la Formule 1 revienne aux pneus Pirelli de la saison 2018, bien meilleurs que la version 2019 à bande de roulement plus fine.

Depuis le début de la saison, l’équipe américaine n’arrive toujours pas à comprendre le fonctionnement des pneus Pirelli 2019, qui ont une bande de roulement plus fine que la version 2018, ce qui a donné des maux de tête à plusieurs équipes, notamment Haas.

« Il doit y avoir une fin » déclare Steiner à propos des performances en dent de scie de l’équipe depuis le début de la saison 2019. « Que pouvons-nous faire ? Il y a un moment, vous ne pouvez plus vous énerver. »

« Je ne dirais pas que je suis déprimé, mais il doit y avoir une fin, il doit y avoir une tendance à la hausse quelque part parce que cela ne peut pas s’empirer. J’espère que ce point arrivera bientôt. »

« Pour nous, les pneus sont tellement incohérents et je pense que c’est la même chose pour les autres. » souligne Steiner.

« Une voiture est très rapide lors d’une course, et lors de la course suivante, elle est nulle part. Lorsque vous êtes au sommet, vous pensez avoir trouvé quelque chose, et lors de la course suivante, vous êtes de retour à la réalité. Ce sont des montagnes russes. »

« Si vous regardez Monte-Carlo, en qualifications, nous n’avions même pas deux dixièmes de retard sur une Ferrari. Au Canada, combien de secondes nous ont échappé ? Ce ne peut pas être que la voiture, ce sont les pneus. »

« Ferrari n’a pas eu une mauvaise voiture à Monte Carlo. Peut-être qu’ils n’avaient pas les pneus pour travailler là-bas, alors que nous nous avons réussi. »

« Ce qui se passe est très sporadique. Le niveau général de confiance est théorique. Nous ne savons pas quand ils marcheront et quand ils ne marcheront pas [les pneus]. Beaucoup de gens demandent à revenir à la bande de roulement des pneus de l’an dernier, car ils semblent plus cohérents. Ce n’est pas seulement nous. »

Jos Verstappen participera à la parade des légendes au GP d’Autriche

Jos Verstappen, le père du pilote Red Bull Max Verstappen, participera à la parade des légendes organisée comme chaque année sur le circuit de Spielberg dans le cadre du Grand Prix d’Autriche.

Neuvième manche de la saison 2019, et programmée juste dans la foulée du Grand Prix de France, le Grand Prix d’Autriche propose aux fans la désormais incontournable parade des légendes.

Cette année, les voitures de course de rêve qui ont marqué histoire du sport automobile se retrouveront sur l’asphalte du Red Bull Ring pendant le week-end du Grand Prix avec la participation de nombreuses personnalités, dont Jos Verstappen.

Une légende, cependant, ne reviendra jamais sur la piste. Niki Lauda, la légende autrichienne, qui est décédé le mois dernier à l’âge de 70 ans. Depuis 2014, Lauda avait participé à presque tous les défilés de la parade des légendes, alors que des pilotes tels que Gerhard Berger, Hans-Joachim Stuck, Jean Alesi, le Dr Helmut Marko et, bien sûr, Dieter Quester honoreront sa mémoire lors du défilé des légendes 2019.

La parade des légendes 2019 est dédiée aux voitures de rêve, et des constructeurs haut de gamme tels que Porsche, McLaren, Bugatti et Aston Martin présenteront des éditions limitées de leurs modèles les plus recherchés.

Liste des pilotes pour la parade des légendes 2019

Jos VERSTAPPEN (Pagani Huayra)
Jean ALESI (Ferrari / Ferrari La Ferrari)
Gerhard BERGER (McLaren Senna)
David COULTHARD (Mercedes AMG GT R Pro)
Tom KRISTENSEN (Audi R8 V10)
Helmut MARKO (Aston Martin DBS Superleggera)
Emanuele PIRRO (Lamborghini Aventador SVJ)
Dieter QUESTER (Glickenhaus SCG 003)
Hans-Joachim STUCK (Porsche 918 Spyder hybride)
Mark WEBBER (Porsche GT2 RS CS)

Binotto : « Ne vous attendez pas à une version B de la Ferrari »

Le patron de la Scuderia Ferrari, Mattia Binotto, assure que son équipe travaille énormément en coulisses pour essayer de rendre la SF90 plus performante.

Binotto a déjà admis à plusieurs reprises que le concept de la SF90 n’était pas bon cette année et que plusieurs mises à jour devraient être introduites avant de pouvoir espérer battre Mercedes sur tous types de circuit.

Cependant, le team principal de l’équipe italienne demande de la patience aux tifosi, alors qu’il souligne qu’il ne faut surtout pas s’attendre à voir une version B de la monoplace après l’introduction des quelques mises à jour.

« [En Chine] Il est clairement apparu que nous avions un problème, et à Barcelone, nous en avons eu la confirmation. » explique Mattia Binotto à AMUS.

« Nous n’avons pas fait de changement sur la voiture depuis Barcelone, nous nous sommes donc rendus à Montréal avec les mêmes faiblesses et limitations sur la voiture qu’il y a quatre semaines. »

« Il est toujours difficile de juger les performances des adversaires pendant les essais hivernaux. Mais je pense que Mercedes a été un peu la surprise lors des premières courses. De notre côté, nous avons fait ce que nous pouvions lors des essais hivernaux. »

« Pour comparaison, entre les essais [hivernaux] et la course à Barcelone, nous avons fait pire pour une simple raison. Nous avons développé la voiture dans une mauvaise direction parce que nous avions mal évalué les faiblesses et les limites de notre package. »

« Notre concept ne correspond pas aux pneus 2019, la voiture n’est pas l’une des meilleures en termes d’appui maximal. Au cours des deux dernières années, nous avons bien réussi avec une aérodynamique efficace, mais cela ne fonctionne plus avec ces pneus. »

« Comme nous manquons d’appui, nous avons du mal à chauffer les gommes et à les maintenir dans la bonne fenêtre qui offre plus d’adhérence. »

Des tests faussés

Mattia Binotto explique que les essais Pirelli qui ont eu lieu l’an dernier à Abou Dhabi ont été faussés par les hautes températures présentes sur le circuit de Yas Marina.

« A Abou Dhabi l’année dernière, les problèmes étaient masqués par la chaleur et la configuration de la piste.  Lors des essais hivernaux à Barcelone, nous avons peut-être été induits en erreur par nos bonnes performances. »

« Du coup, si vous pensez être aussi bon que les autres, vous êtes plus détendus. Donc, vous n’identifiez pas cela comme étant votre plus gros problème. »

« Mais de façon générale, tout le monde a des problèmes de réchauffement dans une certaine mesure, même avec les gommes les plus tendres. »

« Beaucoup se plaignent de ne pas arriver à exploiter cette fenêtre, alors que les pneus ne s’usent pas, il ne reste que des courses à un seul arrêt. Je pense que le spectacle souffre de cela, et cela devrait être corrigé au profit de la Formule 1. »

Pas de version B de la Ferrari

Mattia Binotto demande de la patience aux tifosi, car changer le concept de la SF90 demande du temps et ne se fera pas en un claquement de doigt.

« Il y a deux facteurs. D’abord les pneus. Bien sûr, nous ne pouvons pas influencer cela. Ce que nous pouvons faire, c’est changer le concept de notre voiture. Cela signifie plus d’appui, mais aussi plus de résistance à l’air. « 

« Et vous ne pouvez pas corriger cela en un jour. Le processus prendra plusieurs semaines, car nous devons également nous assurer que tous nos changements en matière d’aérodynamique vont dans la bonne direction. »

« Ne vous attendez pas à une version B de notre voiture. Il faudra deux ou trois mises à niveau avant de pouvoir défier Mercedes partout. »

« Le titre n’est pas la question que je pose en ce moment. La priorité est que nous arrivions à régler nos problèmes et que nous y réagissions de la meilleure façon possible afin de pouvoir reprendre des forces le plus rapidement possible. »

« Vous pouvez imaginer que la pression est forte. Tout le monde attend immédiatement une réponse et des victoires de notre part. Mais nous sommes tellement occupés par notre tâche que nous ne percevons presque plus la pression de l’extérieur. »

« Par expérience, je peux dire que la stabilité et la continuité sont maintenant la chose la plus importante. Il faut du temps pour rattraper. Nous ne pouvons le faire que si nous nous concentrons sur nous-mêmes. »

La première mise à jour devrait arriver cette semaine au Grand Prix de France avec l’introduction d’un nouvel aileron avant sur la SF90.

GP de France : Les horaires

Huitième manche du championnat du monde 2019, le Grand Prix de France se déroule cette semaine sur le circuit Paul Ricard au Castellet.

Après une victoire très controversée de Lewis Hamilton au Grand Prix du Canada, le circus de la F1 débarque au Castellet cette semaine pour le Grand Prix de France, qui marque également le retour de la Formule 1 en Europe après une petite escapade en Amérique du nord.

Vendredi 21 juin – Essais libres 1 et 2

La première séance d’essais libres du GP de France est programmée à 11h00, tandis que la seconde séance d’essais libres se déroulera dans l’après-midi à 15h00.

Samedi 22 juin – Essais libres 3 et qualifications

La troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix de France aura lieu le samedi matin à 12h00, alors que la séance de qualifications est programmée à 15h00.

Dimanche 23 juin – La course

Petite nouveauté cette année, l’heure du départ de la course a été décalée d’une heure par rapport à l’an dernier. Le départ du Grand Prix de France 2019 sera donné à 15h10 ce dimanche.

Un tour embarqué sur le Paul Ricard en 2018

Daniel Ricciardo et Nico Hulkenberg en Renault Twingo à Paris

A quelques jours du Grand Prix de France F1, Renault a laissé les clés de la Twingo à Nico Hulkenberg et Daniel Ricciardo pour un petit tour en plein centre de Paris.

Au volant de la nouvelle Renault Twingo Le Coq Sportif, les deux pilotes de Formule 1 doivent rejoindre la boutique Le Coq Sportif pour un cocktail prévu à 19h00.

Petit moment de détente pour Hulkenberg et Ricciardo, qui ont d’ailleurs fait un bel effort en alignant quelques mots de Français dans cette vidéo.

McLaren n’envisage pas un retour de Fernando Alonso

Le patron de l’équipe McLaren, Zak Brown, ne semble pas envisager un retour de Fernando Alonso en Formule 1 pour la saison prochaine.

L’Américain assure que McLaren est très heureuse de son Line Up de pilotes actuels avec Carlos Sainz et Lando Norris et n’envisage donc pas un quelconque changement au sein de l’équipe pour le moment.

« Premièrement, je devrais demander à Chase Carey si nous pouvons utiliser une troisième monoplace. » plaisante Zak Brown, PDG de McLaren dans les colonnes d’AMUS.

« Nous avons des contrats à long terme avec nos pilotes actuels et nous sommes satisfaits de leurs performances, et heureusement, Fernando n’a pas encore appelé. »

« De toute façon, il n’y a pas de place disponible. Nos pilotes sont excellents jusqu’à présent, ils ont atteint la Q3 dans 50% des cas et nous offrent de bons retours. De plus, ils s’entendent très bien, donc, je n’ai pas de peur à avoir lorsqu’ils se battent. »

En termes de performance, le patron de l’équipe McLaren estime que la MCL34 n’est pas la quatrième monoplace la plus rapide de la grille, malgré la position qu’occupe l’écurie britannique après les sept premières courses.

« L’équipe a signé de belles performances, c’est pourquoi nous sommes quatrièmes, mais nous n’avons pas la quatrième voiture plus rapide, mais plutôt la sixième. »

« Cependant, grâce à de bons arrêts au stand, de bonnes stratégies et bien-sûr de bons pilotes, nous sommes compétitifs.« 

« En outre, d’autres équipes nous ont bien aidés en faisant des erreurs. Quoi qu’il en soit, notre équipe a tout de même fait un grand pas en avant. »

Se rendre au Grand Prix de France 2019 : Notre guide complet

Pour le Grand Prix de France 2019, le plan de mobilités a été entièrement repensé par rapport à l’édition 2018, afin de fluidifier l’accueil des spectateurs.

Ce plan de mobilités s’articule autour de 4 points majeurs cette année comme mettre en adéquation le nombre de véhicules se rendant sur le circuit avec la capacité routière, refonder l’organisation des zones de stationnement, de nouveaux aménagements routiers et des mesures de renseignement du public renforcées avant, pendant et après l’événement.

Privilégiez le scooter ou la moto

Il est vivement recommandé de se rendre au Grand Prix de France en scooter ou moto si vous le pouvez. Un parking dédié gratuit en grande partie bitumé vous attend à proximité immédiate du circuit. Une consigne à casques gratuite vous y attend. Si vous le préférez, vous pourrez conserver votre casque avec vous dans l’enceinte du circuit.

Notez bien que l’accès au circuit est interdit aux vélos, vélos électriques, trottinette et trottinette électrique.

Mise en place du parking relais avec navettes

Tout d’abord, vous aurez la possibilité de stationner votre véhicule dans un parking relais en sortie d’autoroute à La Ciotat. Des navettes gratuites au départ du parking relais de La Ciotat, (située à la sortie n°9 de l’autoroute A50) seront en place et vous permettrons d’accéder ainsi au circuit Paul Ricard en 40 minutes.

Des navettes toutes les 5 minutes, de 7H à 14H pour le trajet aller et à partir de 16h et jusqu’à 30 minutes avant la fermeture du circuit le soir pour le trajet retour. Il est donc vivement conseillé d’utiliser ce parking relais.

Les navettes gratuites vous déposeront à la gare routière du Grand Prix de France, située au sud de la zone du Beausset, des équipes vous guideront vers le circuit. En fin de journée, il suffira d’effectuer le chemin inverse et de vous rendre à la gare routière pour récupérer votre véhicule.

Réservation obligatoire des navettes !

Attention ! Pour pouvoir utiliser les navettes gratuites depuis le parking relais jusqu’au circuit, vous devrez d’abord réserver votre place.

Les départs des navettes auront lieu toutes les 5 minutes en moyenne. Tous les jours, les premières navettes sont à partir de 7h et les dernières navettes, pour retourner au parking relais, sont en place jusqu’à 30 minutes avant la fermeture des portes du circuit Paul Ricard.

Pour réserver votre navette gratuite, il vous suffit de cliquer sur ce lien et de remplir le formulaire de réservation, cela ne vous prendra que deux minutes.

Des parkings gratuits aux abords du circuit

Des zones de stationnement gratuites sont prévus aux abords du circuit. Si vous êtes détenteurs d’un Pass Parking VIP, suivez les instructions indiquées sur votre Pass pour rejoindre votre parking à l’intérieur du circuit.

Pour accéder au Parking Pinède, veuillez suivre les instructions et le plan sur votre Pass Parking.

L’application Waze pour vous guider

En plus des canaux d’informations classiques [radios, presse…], le Grand Prix de France bénéficie d’une collaboration avec l’application Waze cette année.

En téléchargeant cette application sur votre smartphone, vous pourrez être informé en temps réel de l’itinéraire à suivre selon l’axe de circulation d’où vous venez, mais également les conditions de circulation.

Ce partenariat à pour but de vous informer et de vous guider dans vos déplacements pour faciliter votre trajet pour arriver et repartir du circuit.

Heures d’ouvertures des aires de stationnement

Jeudi 20 juin : 12h00 – 20h00

vendredi 21 juin : 06h00 – 22h30

samedi 22 juin : 06h00 – 22h30

dimanche 23 juin : 06h00 – 23h00

Des navettes en partance des gares

Vous avez également la possibilité de vous rendre au Grand Prix de France 2019 en navette payante depuis l’un des gares de la région située entre Nice et Marseille.

Ces navettes payantes et uniquement sur réservation vont emmèneront au circuit en empruntant une voie dédiée. Elles vous emmèneront au circuit en empruntant un axe prioritaire et vous déposeront directement à la gare routière du circuit, au sud de la zone  « Le Beausset ». Les trajets retours s’effectueront depuis cette même gare routière à 20h.

Les gares desservies par le service de navettes payantes

Gare Routière d’Aix-en-Provence : 6 boulevard Coq, 13100 Aix-en-Provence. Départ de la navette à 07h00.

Gare de Marseille-Saint-Charles : Square Narvik, 13232 Marseille. Départ de la navette à 07h00.

Gare de Nice-Ville : Avenue Thiers, 06008 Nice. Départ de la navette à 06h00.

Gare de Toulon : Place de l’Europe, 83000 Toulon. Départ de la navette à 07h30.

Attention ! Réservation obligatoire pour les navettes payantes en cliquant sur ce lien 

Taxis et VTC

Vous pourrez également vous rendre au Grand Prix de France en taxis ou en VTC. Les taxis et VTC de France Taxi, partenaire du Grand Prix de France, emprunteront un axe prioritaire et vous déposeront à l’entrée du circuit. De là, vos places et les animations ne seront plus qu’à un pas.

Pour repartir, une gare de taxis et VTC sera située au sud du circuit, au niveau du Virage du Pont.

Contact pour les réservations : Taxis: 04 48 25 02 50 / VTC: 04 48 25 12 51

Venir au Grand Prix de France en hélicoptère

Pour ceux et celles qui souhaitent se rendre au Grand Prix de France en hélicoptère, des vols privés, vols partagés et vols panoramiques vous seront proposés via Azur Hélicoptère, partenaire du Grand Prix de France F1.

Horner pense que les équipes arriveront à se démarquer avec des pièces standardisées

A partir de la saison 2021, de plus en plus de composants devraient être standardisés en Formule 1, ce qui n’est pas pour déplaire à certains patrons d’équipe comme Christian Horner.

Le team principal de l’équipe Red Bull Racing n’est pas contre la standardisation de certains composants en Formule 1, bien au contraire, le Britannique estimant que le facteur humain entrera plus en considération lors des week-ends de course et que les équipes les plus intelligentes pourront se démarquer.

« Les équipes intelligentes trouveront toujours le moyen d’obtenir un avantage, nous pouvons déjà le voir en Formule 2. » explique Chritian Horner à Motorsport-Total.

« Ils pilotent avec des monoplaces identiques, mais certaines voitures sont meilleures que d’autres. Cela dépend des personnes qui travaillent sur ces voitures et de la façon dont elles utilisent leurs ressources. »

Concernant les futures règles sur le Parc Fermé, qui devrait être mis en place dès le vendredi matin et pour toute la durée du week-end à partir de 2021, Horner estime que cela pourrait permettre de réduire les coûts en F1, même si le Britannique aimerait que la règle soit un peu moins stricte.

« Nous devons laisser une chance à ces chose-là, mais nous devons essayer d’éviter les conséquences imprévues. »

« Lorsque le Parc Fermé a été introduit, les gens ont pensé que c’était dangereux. Il serait donc peut-être préférable de ne pas rendre les règles du Parc Fermé aussi strictes. »

Sueur froide : Un documentaire avec Romain Grosjean sur Canal+

Ce dimanche 16 juin 2019, Canal+ reviendra sur toute une saison de sport à travers un angle inédit : La peur.

Qu’ils soient au volant d’un bolide de Formule 1 dépassant les 300 km/h, au sommet d’un plongeoir de 10 mètres ou au départ d’une descente de ski aux pentes vertigineuses, tous sont confrontés au même sentiment d’appréhension et de peur au moment de se lancer.

Pendant neuf mois, les caméras de Canal+ ont suivi dans leur intimité quelques grands champions du sport français – parmi lesquels Romain Grosjean, Johan Clarey ou Mathilde Gros – pour analyser leur faculté à gérer leurs émotions face au danger, parfois immense, qui les guette quotidiennement dans l’exercice souvent périlleux de leur art.

Au fil des jours, chacun dévoile les secrets de sa préparation et ont accepté de laisser les caméras de Canal+ filmer leurs doutes et leurs hésitations face aux risques. « Sueur froide » sera diffusé ce dimanche 16 juin 2019 sur Canal+ à 21h00.

40 ans après, revivez la première victoire de Renault en Formule 1

Le 1er juillet 1979, une date gravée dans l’histoire de Renault, date de la première victoire en Formule 1 pour le constructeur français.

Voici 40 ans que Jean-Pierre Jabouille et sa RS10 remportaient le Grand Prix de France à Dijon depuis la pole position !

Découvrez les coulisses de la première victoire de Renault avec notre vidéo exclusive ! Dans le style typique des années 1980, nous revenons sur la fabrication des voitures de F1 à cette époque.

De la construction des châssis et des moteurs à l’installation du pilote, en passant par l’aérodynamisme sans oublier le fameux turbocompresseur introduit pour la première fois en Formule 1 par Renault en 1977, plongez dans l’histoire de ce succès.

Le Grand Prix de France de 1979 marquait la première victoire de Renault, mais ce fut aussi l’une des plus belles, si ce n’est la plus belle bataille de l’histoire de la F1… René Arnoux contre Gilles Villeneuve pour la deuxième place derrière Jabouille. Revivez ce moment inoubliable en vidéo !