Le franc-parler de Gunther Steiner en quelques mots

Ex-directeur d’équipe emblématique en F1, Guenther Steiner a passé ses dernières années de carrière dans le paddock à gérer l’équipe Haas avant que l’ingénieur Ayao Komatsu ne soit désigné pour prendre sa succession. Durant cette période, Steiner s’est fait une réputation d’homme bavard et entretenant sa « marque », notamment avec son langage fleuri et sa propension à être attiré par les caméras et micros, y compris après avoir quitté le monde de la F1. Voici quelques citations de Gunther Steiner avec son habituel langage direct…

« Si tu n’as pas les tripes de tout donner, tu peux rester à la maison. »

Sur l’exigence de courage et de détermination en Formule 1.

 

« La F1, ce n’est pas pour les amateurs : ici, tu te fais bouffer ou tu bouffes. »

À propos de la dureté du milieu et la nécessité de s’imposer.

 

« On n’a pas le temps pour les conneries, c’est la course qui décide. »

Sur la gestion des priorités lors d’un week-end de Grand Prix.

 

« Arrête de pleurnicher, va sur la piste et montre ce que t’as dans le ventre ! »

Pour motiver ses pilotes à dépasser leurs limites.

 

« Les excuses, c’est bon pour les perdants. Ici, on trouve des solutions, point barre. »

En réaction aux revers rencontrés par l’équipe.

 

« Peu importe les critiques, tant qu’on ferme la bouche des rageux avec des résultats. »

Sur le rôle de la performance pour faire taire les détracteurs.

 

« Si tu veux des câlins, va voir ta mère, ici on fait de la course. »

Pour rappeler la rudesse et la réalité du paddock.

 

« Tout le monde a un avis, mais à la fin, c’est le chrono qui parle. »

Sur l’importance des faits et du temps plutôt que des opinions.

 

« On n’a pas besoin de pleurnichards, on a besoin de battants ! »

En encourageant l’esprit de combat au sein de l’équipe.

 

« Les beaux discours, ça ne fait pas avancer la voiture. »

Sur la nécessité d’action concrète plutôt que de simples paroles.

 

« Si tu te plantes, relève-toi et recommence. Pas le choix, c’est ça la course. »

À propos de la résilience après un échec en piste.

 

« Le paddock, c’est pas le pays des Bisounours. »

Pour illustrer l’ambiance sans concession de la Formule 1.

 

« On n’a pas de baguette magique, alors on bosse, on bosse, et on bosse encore. »

Pour insister sur la valeur du travail acharné.

 

« Arrête de rêver, ici tout se gagne à la sueur du front. »

Pour rappeler que seul l’effort paie dans ce sport.

 

« Ceux qui n’aiment pas la pression, qu’ils changent de métier. »

Sur la capacité à gérer le stress en Formule 1.

« La meilleure stratégie est de ne pas en avoir » – 20 citations marquantes de Flavio Briatore

Paroles et vision d’un dirigeant iconique de la Formule 1, qui ose souvent dire ce que beaucoup tairaient.

 

« Dans la vie, il ne faut jamais avoir peur de prendre des risques. »

Briatore a souvent évoqué l’importance de l’audace, un principe qui a guidé ses choix en affaires comme en sport automobile.

 

« Gagner n’est pas une option, c’est une nécessité. »

Un leitmotiv qui illustre la mentalité de Briatore lorsqu’il était à la tête de Benetton et Renault F1.

 

« La Formule 1, c’est 80 % de management et 20 % de technique. »

Pour lui, le succès passait avant tout par la gestion humaine et organisationnelle.

 

« J’engage des gens intelligents, pas des amis. »

Une explication de sa manière de constituer ses équipes.

 

« Michael Schumacher était comme un ordinateur sur la piste. »

À propos de son légendaire pilote, soulignant sa précision et sa constance.

 

« En affaires comme en course, il ne faut jamais regarder en arrière. »

Briatore encourage l’audace et le regard tourné vers l’avenir.

 

« Le talent seul ne suffit pas, il faut savoir le cultiver. »

Sur le développement des jeunes pilotes, notamment Fernando Alonso.

 

« La clé, c’est de surprendre l’adversaire quand il s’y attend le moins. »

Sa philosophie de la compétition et de la stratégie.

 

« En Formule 1, la loyauté est rare, mais essentielle. »

À propos des relations complexes dans le paddock.

 

« Ce n’est pas le plus rapide qui gagne, c’est le plus intelligent. »

Sa vision du pilotage et de la gestion des courses.

 

« Les règles sont faites pour être comprises, pas pour être contournées. »

Un clin d’œil à la réputation sulfureuse du personnage.

 

« Pour réussir, il faut du flair et un peu de chance. »

À propos de sa carrière atypique de self-made man.

 

« Mon job, c’est de faire briller les gens autour de moi. »

Sa philosophie de manager et de leader d’équipe.

 

« La pression, c’est un privilège. »

Pour lui, les grands enjeux font partie du jeu et motivent la performance.

 

« Avec Schumacher, on savait qu’on pouvait viser la lune. »

Sur sa confiance envers son pilote vedette chez Benetton.

 

« Le succès ne vient jamais seul, il faut savoir le provoquer. »

Sa manière d’aborder les défis en Formule 1.

 

« La meilleure stratégie est parfois de ne pas en avoir. »

Sur l’importance de l’improvisation et de l’adaptation.

 

« J’aime transformer les outsiders en champions. »

Un clin d’œil à ses succès avec Benetton et Renault, deux équipes considérées comme outsiders à l’époque.

 

« Ce qui compte, c’est ce que tu fais quand personne ne te regarde. »

Sur la valeur du travail et de la discrétion dans la réussite.

 

« En Formule 1, tout le monde a une opinion, seuls les résultats comptent. »

Une déclaration résumant sa vision pragmatique de la compétition.