Max Verstappen remporte le GP d’Italie 2022 qui se termine sous Safety Car

C’est le pilote Red Bull Max Verstappen qui a remporté le Grand Prix d’Italie 2022, le Néerlandais devance sur la ligne d’arrivée la Ferrari de Charles Leclerc et la Mercedes de George Russell.

Derrière, Carlos Sainz, Lewis Hamilton, Sergio Perez, Lando Norris, Pierre Gasly, Nyck de Vries et Guanyu Zhou complètent le top dix à l’arrivée de l’épreuve, tandis que la fin de ce Grand Prix a été marquée par l’entrée en piste d’une voiture de sécurité pour dégager la McLaren de Daniel Ricciardo en panne. La course s’est finalement terminée sous Safety Car et sous les sifflets du public…

Les deux Aston Martin abandonnent

Aston Martin a vu ses deux pilotes abandonner ce dimanche au Grand Prix d’Italie. D’abord c’est Sebastian Vettel qui a dû immobiliser sa monoplace sur le bord de la piste au 12e tour de course en raison d’un problème, alors que son coéquipier Lance Stroll a lui aussi abandonné sur surchauffe des freins.

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Abandon pour Alonso

Le pilote Alpine Fernando Alonso a lui aussi abandonné ce dimanche au Grand Prix d’Italie. Son équipe lui a demandé de stopper sa monoplace dans la voie des stands après avoir detecté un problème mécanique sur le moteur Renault.

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Belle performance de Nyck de Vries

Le Néerlandais Nyck de Vries – qui participait à son tout premier Grand Prix de Formule 1 – a terminé le Grand Prix d’Italie dans le top dix et a ainsi marqué ses premiers points en catégorie reine du sport automobile. Il termine donc ce week-end à Monza avec une excellente note globale, ce qui pourrait s’avérer crucial pour son avenir en F1….

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Abandon pour Ricciardo

Le pilote McLaren Daniel Ricciardo a lui aussi subi une panne mécanique ce dimanche à Monza, ce qui a obligé l’Australien à immobiliser sa monoplace en bord de piste. La direction de course a donc déployé une Safety Car pour permettre aux commissaires de dégager la MCL36. Malheureusement, la course s’est terminée sous régime de voiture de sécurité.

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Le public pas content

Le public présent à Monza ce dimanche – et qui est venu soutenir en grande partie les pilotes Ferrari – n’a pas du tout apprécié le fait que la course se soit terminée sous Safety Car et ils l’ont fait savoir en sifflant les pilotes à l’arrivée.

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La prochaine course du championnat du monde 2022 se disputera sur le tracé urbain de Singapour fin septembre, vous pourrez évidemment suivre cette dix-septième manche de l’année en direct sur notre site.

Résultats du GP d’Italie

 

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La grille de départ définitive du GP F1 d’Italie 2022

Voici la grille de départ officielle et définitive du Grand Prix F1 d’Italie 2022, seizième manche du championnat du monde de Formule 1, qui se déroule ce week-end du 9 au 11 septembre sur le tracé de Monza près de Milan.

C’est le pilote Ferrari Charles Leclerc qui a décroché la pole position au Grand Prix d’Italie 2022, le Monégasque a signé un 1,20.161 et devance d’un dixième la Red Bull de Max Verstappen et de deux dixièmes l’autre Ferrari pilotée par Carlos Sainz.

Derrière, Sergio Perez, Lewis Hamilton, George Russell, Lando Norris, Daniel Ricciardo, Pierre Gasly et Fernando Alonso complètent le top dix à l’issue de cette séance de qualifications, mais plusieurs pilotes ont écopé de pénalités moteur et la grille a donc été complétement chamboulée.

Notez que la grille de départ présentée ci-dessous prend en compte les diverses pénalités infligées aux différents pilotes. Cette grille sera mise à jour en temps réel, même dans le cas d’une pénalité tardive. Lorsqu’un pilote reçoit une pénalité, celle-ci est matérialisée dans le tableau par un (+xP) à côté du nom du pilote en question.

Grille de départ GP d’Italie

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Revivez le Grand Prix d’Italie 2022

Bienvenue sur ce live pour suivre en direct le Grand Prix d’Italie 2022, seizième manche du championnat du monde de Formule 1, dont le départ est donné ce dimanche 11 septembre à Monza.

C’est le pilote Ferrari Charles Leclerc qui s’élance depuis la pole position ce dimanche à Monza, le Monégasque devance la Mercedes de George Russell et la McLaren de Lando Norris. Derrière, Daniel Ricciardo, Pierre Gasly, Fernando Alonso, Max Verstappen, Nyck de Vries, Guanyu Zhou et Nicholas Latifi complètent le top dix au départ de la course (voir la grille complète ici).

Le départ du Grand Prix d’Italie sera donné à 15h00 (heure de Paris), les pilotes s’élancent pour 53 tours. Ce dimanche, j’ai le plaisir d’être accompagné par la très productive Laurie Vermeersch pour vous faire vivre ce Grand Prix d’Italie en direct. Bonne course à toutes et à tous.

Le GP d’Italie en direct


Grand Prix d’Italie : les stratégies possibles en course ce dimanche à Monza

Selon Pirelli, le manufacturier de pneumatiques de la F1, la stratégie la plus rapide pour boucler les 53 tours du Grand Prix d’Italie ce dimanche à Monza est d’un seul et unique arrêt.

En raison d’une dégradation supposée plutôt limitée des pneumatiques et d’un très long lors du passage par la voie des stands à Monza, l’option la plus rapide pour boucler les 53 tours du Grand Prix d’Italie reste celle à un seul arrêt ce dimanche. Le choix le plus judicieux pour les pilotes serait de prendre le départ de la course avec les pneus Tendres afin de profiter du maximum d’adhérence sur le premier relais, puis de passer aux pneus Durs qui, en raison des températures attendues, garantirait un niveau de performance constant et compétitif. Les pilotes pourront toutefois choisir une alternative en prenant le départ en Mediums, puis en passant sur les Durs pour rallier l’arrivée.

Éventuellement, les pilotes pourront aussi opter pour un départ en pneus Tendres, avant de passer sur les gommes Mediums dans une fenêtre située entre le 22e et le 28e tour de course. Pirelli estime qu’une stratégie autre que celle à un seul arrêt ne serait pas rentable ce dimanche, à part si la voiture de sécurité entre en piste…

Stratégies possibles au GP d’Italie

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Pneus disponibles en course

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Alpine était proche d’un accord pour placer Piastri chez Williams

Le PDG d’Alpine, Laurent Rossi, a indiqué que l’intention première d’Alpine était de placer le jeune Oscar Piastri chez Williams à partir de la saison 2023 avant de le faire revenir pour le titulariser.

Cet été, Fernando Alonso a été annoncé en partance pour l’équipe Aston Martin à partir de la saison 2023 à la grande surprise du management de l’équipe Alpine qui pensait être proche d’un accord avec le double champion du monde pour une reconduction de contrat pour au moins une année supplémentaire. A la suite de cette annonce, Alpine a immédiatement titularisé son pilote de réserve, Oscar Piastri, mais ce dernier a indiqué sur les réseaux sociaux qu’il ne piloterait pas pour Alpine en 2023 et qu’il n’avait signé aucun contrat avec l’écurie du constructeur français, alors qu’en réalité l’Australien avait déjà signé chez McLaren.

L’affaire a donc été portée devant le CRB (bureau de reconnaissance des contrats) qui a confirmé que le contrat signé entre Piastri et McLaren était valable. Suite à ce verdict, McLaren a annoncé l’arrivée de Piastri dans son équipe aux côtés de Lando Norris à partir de la saison prochaine.

Revenant en détail sur cette « Affaire Piastri », Laurent Rossi, PDG de la marque, explique que Alpine avait pris un engagement, acté dans un document officiel, de former Oscar Piastri de façon intensive avant de le placer dans une autre équipe de la grille en attendant qu’un baquet soit disponible chez Alpine une fois que le contrat de Fernando Alonso prendrait fin. Le Français précise qu’un accord avait même été trouvé avec Williams et qu’un moulage de baquet était même prévu.

« Nous avons tenu notre engagement avec Oscar très rapidement, car nous avons exercé notre option le 15 novembre en précisant dans un document qu’il serait réserviste et qu’il recevrait un programme de formation approfondi, entre autres 5000 kilomètres de pilotage tout au long de l’année, et que nous allions lui trouver un baquet pour 2023 et 2024. » explique le PDG d’Alpine dans un long entretien accordé au site de la F1.

« C’est exactement ce que nous avons fait. Nous l’avons annoncé comme réserviste le lendemain. Nous avons très vite imaginé un programme d’entrainement et un programme d’essais de 5000 kilomètres qui a débuté en février aux côtés de Fernando Alonso et Esteban Ocon, c’est un programme d’entrainement sérieux, parce que vous pilotez avec deux pilotes de F1 et vous apprenez d’eux. »

« Il a parcouru 3700 kilomètres en Août et nous aurions facilement pu obtenir les 5000 kilomètres. Nous lui avons donné un accès complet à l’équipe, aux débriefings, aux réunions techniques et il était avec moi la plupart des dimanches pour écouter la course [à la radio dans le garage]. Non seulement il était réserviste, mais il aurait été le débutant le plus entraîné de tous les temps. Il savait comment l’équipe fonctionnait, comment un pilote de F1 est censé fonctionner dans une équipe. Nous avons l’impression d’avoir livré et nous sommes allés bien au delà. »

« Nous avons embauché une personne juste pour lui trouver une place [dans une autre équipe], parce que nous voulions le faire correctement. Fin avril, nous lui avons trouvé une place chez Wililams. »

Mais quand il est devenu clair pour Oscar Piastri que Alpine cherchait à prolonger le contrat de Fernando Alonso pour au moins deux ans, le jeune Australien a pris la décision de signer chez McLaren avec qui son équipe de management était en contact depuis plusieurs semaines. C’est alors que Alpine a pris connaissance que McLaren avait fait une offre à Piastri, qui a signé son contrat avec l’écurie britannique en juillet.

« Lorsque l’opportunité Williams était sur le point de se concrétiser et de se transformer en un accord –  à tel point que le moulage du baquet était prévu – ils [l’équipe qui gère la carrière de Piastri] ont dit « nous avons une opportunité possible chez McLaren ». » explique Laurent Rossi.

« C’était un peu décevant et nous avons pensé que c’était un peu étrange, car nous nous attendions à un peu plus de fidélité compte tenu de tout ce que nous avions investi. Il n’a pas dit qu’il allait y aller [chez McLaren], il a dit qu’il avait une opportunité. »

« Puis nous avons vu en juillet – le six je crois – que Daniel [Ricciardo] confirmait [sur ses réseaux sociaux] qu’il serait dans l’équipe l’année suivante [en 2023]. Nous avons donc pensé qu’il y avait un intérêt [pour Piastri] mais qu’il n’y aurait pas de baquet, qu’il y avait peut-être une opportunité, mais que la porte se fermait, donc Oscar était toujours en jeu pour nous. Cela explique pourquoi nous avons décidé de le promouvoir, il était réserviste et nous l’avons considéré comme un pilote de course. »

« Otmar [Szafnauer, team principal d’Alpine] l’a vu, lui a dit, puis nous l’avons annoncé. Nous n’avons jamais su avec certitude qu’il avait signé [chez McLaren]. Il ne nous l’a jamais dit. Nous pensions toujours que le baquet Williams était excellent pour lui, c’était une excellente occasion d’apprendre avec un peu moins de pression – c’est une très bonne équipe pour apprendre, très aguerrie, capable de développer des talents comme George [Russell, qui a passé trois ans chez Williams avant de rejoindre Mercedes]. Mais nous pouvions comprendre qu’il était attiré par la perspective d’un meilleur défi sportif. Nous avons senti que lorsque nous vouions lui offrir un meilleur baquet, je dirais, avec nous car nous sommes une équipe d’usine, nous avions le sentiment que nous lui offririons et qu’il accepterait parce qu’il n’avait pas de meilleure option si Ricciardo restait [chez McLaren]. »

« Nous avons agi très logiquement, conformément à notre engagement envers lui. De notre point de vue, c’est une histoire simple et très linéaire. Nous avons été tellement engagés, je ne pense pas que nous aurions pu donner plus à un pilote pour être honnête. »

La F1 observera une minute de silence ce dimanche à Monza

Toute la grille de la Formule 1 observera une minute de silence ce dimanche à Monza juste avant le coup d’envoi du Grand Prix d’Italie en hommage à Sa Majesté la reine Elizabeth ll décédée ce jeudi 8 septembre à l’âge de 96 ans.

Ce sera la deuxième fois depuis le début du week-end à Monza que la Formule 1 rendra un hommage à Sa Majesté la reine Elizabeth ll, puisque déjà ce vendredi, toutes les équipes de la grille ont observé une minute de silence dans la voie des stands dix minutes avant le début de la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie. Lors de cet hommage, le portrait de la reine Elizabeth ll était affiché sur l’écran géant positionné sur le podium.

En plus de cette minute de silence observée, la F1 a également décidé de ne pas diffuser de musique tout au long de la journée – y compris la musique de générique sur sa chaîne F1TV avant chaque séance de roulage. D’autre part, plusieurs événements programmés dans le paddock de Monza ont été annulés, alors que toutes les équipes de la grille ont positionné un bandeau noir sur leurs monoplaces, tandis qu’une grande partie du personnel britannique travaillant dans le paddock portait un brassard noir en signe de deuil.

Ce dimanche 11 septembre, la F1 et toutes les équipes de la grille – dont sept sont basées au Royaume-Uni – observeront une nouvelle fois une minute de silence en hommage à Sa Majesté la reine Elizabeth ll à 14h44 précise, soit seize minutes avant le départ du tour de formation du Grand Prix d’Italie.

Une seule Alpine dans le top dix ce dimanche sur la grille à Monza

Ce dimanche au Grand Prix d’Italie, seizième manche du championnat, seul Fernando Alonso partira depuis le top dix sur la grille de départ pour l’équipe Alpine.

En Italie, Fernando Alonso a réussi à s’inviter une fois de plus en Q3, terminant la séance de qualifications à la dixième place, alors que son seul chrono en Q3 a été annulé pour non respect des limites de la piste. Cependant, En raison des nombreuses pénalités liées aux changements d’éléments moteur, la grille de départ du Grand Prix d’Italie a été largement chamboulée par rapport au classement des qualifications disputées ce samedi et le double champion du monde a gagné quatre positions et s’élancera sixième devant Max Verstappen.

« Terminer dixième en Q3 est un peu décevant. Mon dernier chrono – supprimé pour non respect des limites de piste – aurait été assez bon pour la huitième position me dit-on, et ce avant que les pénalités ne soient appliquées aux autres. » nous expliquait Alonso ce samedi soir à Monza.

« Dans l’ensemble, il semblerait que nous ayons manqué un peu de performance durant ces qualifications par rapport au reste du week-end. La voiture se comporte bien et semble être dotée d’un bon rythme de course. Nous devrons cependant faire attention à plusieurs voitures rapides qui partent derrière nous. Nous avons marqué des points lors de dix courses consécutives, donc, nous allons faire en sorte de porter cette série à onze. »

De l’autre côté du garage, le Français Esteban Ocon s’élancera pour sa part depuis la quatorzième place sur la grille. Le pilote Alpine s’est classé onzième ce samedi, mais une pénalité de cinq places l’a fait reculer en seizième position avant de finalement remonter de deux crans en raison des différentes pénalités infligées aux pilotes l’entourant.

Grille de départ GP d’Italie

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A quelle heure est programmé le départ du GP F1 d’Italie ce dimanche ?

Ce dimanche 11 septembre, les pilotes de F1 prendront le départ du Grand Prix d’Italie, seizième manche du championnat du monde 2022 de Formule 1, sur le tracé de Monza.

C’est le pilote Ferrari Charles Leclerc qui s’élancera depuis la pole position ce dimanche à Monza, le Monégasque devance sur la grille la Mercedes de George Russell et la McLaren de Lando Norris. Derrière, Max Verstappen, Daniel Ricciardo, Pierre Gasly, Fernando Alonso Nyck de Vries, Guanyu Zhou et Sergio Perez complètent le top dix au départ de la course.

Le départ du Grand Prix d’Italie 2022 sera donné à 15h00 (heure de Paris), les pilotes s’élanceront pour 53 tours ce dimanche. Pour suivre en direct la course, cliquez sur ce lien pour accéder à notre live.

Grille de départ à Monza

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Russell ne s’attend pas à pouvoir lutter contre Ferrari et Red Bull en course à Monza

Deuxième sur la grille de départ du Grand Prix d’Italie, le pilote Mercedes George Russell compte bien attaquer Charles Leclerc dès le premier tour, mais le Britannique ne pense pas pouvoir rivaliser longtemps contre le pilote Ferrari.

En raison d’une multitude de pénalités imposées à différents pilotes, George Russell se retrouve sur la première ligne au départ du Grand Prix d’Italie, mais le pilote Mercedes ne s’attend pas à pouvoir affronter Charles Leclerc très longtemps en course, notamment parce que le rythme de la Ferrari, mais aussi celui de la Red Bull de Verstappen [P4] est bien trop rapide selon lui.

« Nous savions que nous ne pourrions pas lutter contre Red Bull ou Ferrari aujourd’hui [en qualifications], et nous devions simplement nous assurer que nous avions une bonne voiture de course et nous qualifier avant le milieu de peloton. » a commenté Russell.

« Je ferai de mon mieux pour essayer de dépasser Charles au départ, mais Max [Verstappen] va être dans une ligue à part – nous ne mettrons probablement pas trop l’accent sur lui. Nous devons [également] voir à quelle vitesse Checo [Perez], Lewis [Hamilton] et Carlos [Sainz] traversent le peloton. »

« Nous devrons mener notre propre course, nous concentrer sur le maintien des places sur le podium et mener une bonne lutte. »

Grille de départ GP d’Italie

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Nyck de Vries – P8 sur la grille – revient sur sa journée folle à Monza

Le Néerlandais Nyck de Vries s’élancera depuis la huitième place ce dimanche sur la grille de départ du Grand Prix d’Italie, pour ce qui sera sa toute première course en Formule 1.

Grosse surprise ce samedi à Monza lorsque l’équipe Williams a annoncé que Nyck de Vries remplacerait Alexander Albon – hospitalisé pour une appendicite – pour la suite du week-end au Grand Prix d’Italie. Ni une ni deux, le Néerlandais a enfilé sa tenue Williams pour participer aux derniers essais libres du week-end avant de participer à sa première séance de qualifications en Formule 1 où il a particulièrement brillé en terminant à la treizième place, quand son coéquipier Nicholas Latifi s’est fait éliminer dès la Q1.

Profitant finalement des différentes pénalités imposées à plusieurs pilotes devant lui, Nyck de Vries prendra le départ de son tout premier Grand Prix depuis la huitième place ce dimanche. Revenant sur cette journée folle, le Néerlandais a indiqué qu’il avait appris qu’il piloterait la Williams à peine une heure et demie avant le début des essais libres, alors qu’il était censé participer à l’émission pré-qualifications sur F1TV.

« Nous étions censés faire le show de pré-qualification ensemble ! » a expliqué De Vries à Will Buxton après les qualifications.

« Je m’y préparais le matin avec mon café et mon porridge et tout, je devais aussi faire une apparition au Paddock Club, mais les choses tournent très vite. Ce n’est qu’une heure et demie avant la première séance que j’ai été informé. »

« Donc, le revirement a été très rapide, mais l’équipe a été formidable et très favorable. Évidemment, j’espère qu’Alex est en bonne santé et qu’il se rétablira rapidement mais de mon côté je ne suis jamais assez satisfait de moi-même. »

« Je pense que j’ai fait de bons tours, en particulier le deuxième tour en Q1 était assez bon, mais je sentais toujours qu’il y avait plus à aller chercher. Et puis nous avons fait quelques changements lors de la première manche de Q2 et cela n’a pas tout à fait fonctionné. »

Lors de la Q2, Nyck de Vries s’est un peu emmêlé les pinceaux en appuyant sur un mauvais bouton sur son volant et a donc tiré tout droite, mettant ainsi un terme à sa séance : « Évidemment, la préparation des pneus a été un peu compromise sur la piste. Et lors du dernier run, j’ai appuyé sur un interrupteur, ce qui signifiait que l’équilibre des freins était d’environ 1,5 % vers l’arrière, et c’est ainsi que j’ai en quelque sorte perdu l’arrière dans le virage 4 ! »

Ce dimanche, le pilote Williams s’élancera derrière l’Alpine de Fernando Alonso et devant l’Alfa Romeo de Guanyu Zhou.

Grille de départ GP d’Italie

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Alpine F1 veut un pilote « expérimenté et efficace » pour remplacer Alonso

Le PDG d’Alpine, Laurent Rossi, insiste sur le fait que l’équipe du constructeur français ne veut pas se précipiter dans le choix du futur coéquipier d’Esteban Ocon en 2023, d’autant que le baquet laissé vacant par Fernando Alonso à partir de l’an prochain attire beaucoup de monde.

Suite au départ de Fernando Alonso à la fin de l’année (l’Espagnol rejoindra Aston Martin) et le refus de la part du jeune Oscar Piastri de rouler pour Alpine en 2023 (l’Australien a signé chez McLaren), l’équipe du constructeur français se retrouve avec un baquet disponible aux côtés du Français Esteban Ocon. L’identité du futur coéquipier d’Ocon n’a pas encore été confirmée et plusieurs noms circulent depuis quelques semaines comme celui de Pierre Gasly ou encore celui du jeune Jack Doohan, membre de l’Alpine Académie.

Laurent Rossi s’étant fixé un objectif de cent courses avant que Alpine ne soit compétitive et ne se batte pour des podiums régulièrement, le manager français a insisté sur le fait que le futur coéquipier d’Esteban Ocon aura pour mission première de poursuivre le travail entamé.

« Il y aura des bosses sur la route, je ne suis pas un imbécile – je sais que nous allons passer de mauvais moments [rapport à son objectif des 100 courses]. L’idée est de continuer la progression, nous sommes la quatrième force de la grille et notre baquet est très demandé. C’est bien. Nous prendrons notre temps. » a insisté Laurent Rossi, PDG d’Alpine, en entretien avec le site du championnat du monde.

« Nous ne voulons pas nous précipiter dans la décision. C’est un processus qu’Otmar [Szafnauer] dirige, car il sait ce qui est le mieux pour l’équipe. Nous prenons l’avis de nos ingénieurs. Le pilote est important, mais la voiture est de loin la plus importante. »

« Nous avons besoin de quelqu’un qui aide à développer l’équipe, qui aide à développer la voiture. Nous avons besoin d’un pilote suffisamment expérimenté, suffisamment efficace qui marquera des points tout de suite et emmènera également l’équipe avec lui. Ce sont des critères que nous examinons. »

« Il y en a pleins de bons. Helmut [Marko] a mentionné Pierre [Gasly]. Pourquoi vous ne le voudriez pas ? C’est un très bon pilote, il serait un bon candidat pour nous. Vous avez mentionné Jack [Doohan], il est une considération. Malgré ce que qu’il se dit à propose de l’Académie, nous croyons en lui. Il a montré beaucoup de potentiel, surtout ces derniers temps – quand on parle d’être présent au bon moment. C’est une personne formidable, il est rapide, son père est aussi un champion que j’admire et une personne que j’admire. Ce sont des gars formidables. Il est dans nos plans. D’une manière ou d’une autre, nous essaierons de le mettre dans une F1 à un moment donné. Mais encore une fois, une fois mordu, deux fois timide. »

Lorsqu’on lui demande à quel moment Alpine prendra une décision définitive, Laurent Rossi a déclaré : « Nous verrons quel est le paysage d’ici la fin septembre. Nous aurons plus de clarté sur toutes les options. D’ici là, je suppose que nous ferons un choix. »

Mattia Binotto revient sur les récents commentaires du président de Ferrari

Le directeur de Ferrari, Mattia Binotto, est revenu sur les récents propos tenus par le président de la marque au cheval cabré, John Elkann, qui a déclaré qu’il s’attendait à voir Ferrari se battre pour le titre mondial avant 2026.

Dans un long entretien accordé à la Gazzetta Dello Sport à la veille du Grand Prix d’Italie, le président de Ferrari John Elkann a de nouveau apporté son soutien à un Mattia Binotto de plus en plus critiqué tout en admettant que des progrès sont nécessaires : « Nous apprécions tout ce que lui [Binotto] et nos ingénieurs ont fait, mais il ne fait aucun doute que le travail à Maranello, dans le garage, sur le muret des stands et au volant doit être amélioré. » a déclaré Elkann.

« Nous devons continuer à progresser et cela vaut pour les mécaniciens, les ingénieurs, les pilotes et bien-sûr, toute l’équipe dirigeante, y compris le directeur de l’équipe. Nous avons vu qu’il y a encore trop d’erreurs en termes de fiabilité, de pilotage et de stratégie. »

« Notre premier objectif était d’être compétitif. Si vous ne l’êtes pas, vous n’avez nulle part où aller, alors que vous pouvez toujours travailler sur la fiabilité. C’est pourquoi je pense qu’avant 2026, Ferrari remportera à nouveau les titres constructeurs et pilotes, avec Charles [Leclerc] en pole position. Nous avons la chance d’avoir deux grands pilotes, probablement le duo le plus solide de la Formule 1. »

Invité à répondre aux propos de son président, Mattia Binotto a admis qu’il reste encore « des étapes à franchir » pour que Ferrari puisse de nouveau remporter des championnats, mais a insisté sur le fait que l’ambition première de l’équipe italienne est d’y arriver le plus tôt possible.

« Je pense que c’est une question de gérer les attentes, mais plus que cela, je pense que ce qu’il a dit précisément, c’est avant 2026 – d’ici à 2026 – et je pense que l’ambition de l’équipe est de le faire le plus tôt possible. » a déclaré Binotto ce samedi à Monza.

« Si nous regardons la saison actuelle, nous sommes pleinement conscients qu’il reste encore des étapes à franchir pour être d’une manière ou d’une autre en position de remporter le championnat. Ferrari a fait, je pense, un énorme développement en termes de performance entre la saison dernière et celle-ci – et si nous regardons en arrière chez Ferrari – il faut remonter de nombreuse années pour voir un tel développement. »

« Dans l’ensemble, l’équipe a fait un travail fantastique dans le développement de la voiture actuelle, mais il y a quand même des situations : d’abord en termes de fiabilité, car la fiabilité nous a coûté au moins quelques victoires, et pour gagner le championnat, il faut être fiable, sans aucun doute. Il y a aussi la gestion de la course, la stratégie, les arrêts au stand où des améliorations sont nécessaires. »

« Je pense que pendant un week-end de course vous pouvez toujours faire des erreurs et je pense qu’être parfait reste impossible mais…ce dont nous avons besoin, c’est d’être les meilleurs, et le fait que nous commettons encore des erreurs signifie qu’il y a encore des points à améliorer. »

« L’équipe a fait une si belle voiture, mais nous sommes certainement conscients qu’il reste encore des étapes à franchir pour nous améliorer et être en mesure de gagner un championnat. Combien de temps cela prendra t-il ? Ici sur le circuit, à l’usine, nous travaillons tous très dur pour y arriver le plus vite possible. »

Charles Leclerc en pole position au Grand Prix d’Italie 2022

C’est le pilote Ferrari Charles Leclerc qui a décroché la pole position au Grand Prix d’Italie 2022, le Monégasque a signé un 1,20.161 et devance d’un dixième la Red Bull de Max Verstappen et de deux dixièmes l’autre Ferrari pilotée par Carlos Sainz.

Derrière, Sergio Perez, Lewis Hamilton, George Russell, Lando Norris, Daniel Ricciardo, Pierre Gasly et Fernando Alonso complètent le top dix à l’issue de cette séance de qualifications, mais plusieurs pilotes vont devoir reculer sur la grille de départ en raison de pénalités moteur.

Nyck de Vries remplace Alex Albon

La nouvelle officielle est tombée ce samedi matin juste avant la dernière séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie : Nyck de Vries remplace Alex Albon pour la suite du week-end à Monza. Le pilote Williams a été hospitalisé en raison d’une appendicite, le Thaïlandais devrait être de retour pour le Grand Prix de Singapour fin septembre. Sportivement parlant, De Vries a battu son coéquipier Nicholas Latifi et s’est hissé en Q2 en treizième place pour la première séance de qualifications de sa carrière…

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Plusieurs pilotes pénalisés

Les résultats de cette séance de qualifications ne sont que provisoires car il va falloir désormais appliquer les différentes pénalités à certains pilotes. Ci-dessous, la liste des pilotes pénalisés à Monza ce week-end sur la grille de départ du Grand Prix d’Italie :

  • Max Verstappen : 5 places
  • Esteban Ocon : 5 places
  • Sergio Perez : 10 places
  • Valtteri Bottas : 15 places
  • Kevin Magnussen : 15 places
  • Mick Schumacher : 15 places
  • Lewis Hamilton : fond de grille
  • Yuki Tsunoda : fond de grille
  • Carlos Sainz : fond de grille

Le départ du Grand Prix d’Italie 2022 sera donné ce dimanche à 15h00 (heure de Paris) et la course sera évidemment à suivre en direct et gratuitement sur notre site.

Résultats des qualifications

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Revivez la séance de qualifications du Grand Prix d’Italie 2022

Bienvenue sur ce live pour suivre en direct la séance de qualifications du Grand Prix d’Italie, seizième manche du championnat du monde 2022 de Formule 1.

Ce samedi, l’ultime séance d’essais libres du week-end [EL3] était programmée à 13h00 (voir les résultats ici), alors que la séance de qualifications qui déterminera la grille de départ du Grand Prix d’Italie 2022 est programmée à 16h00 (heure de Paris).

Enfin, le dimanche 11 septembre le départ du Grand Prix d’Italie 2022 sera donné à 15h00 (heure de Paris), les pilotes s’élanceront pour 53 tours de course cette année.

Les qualifications en direct à Monza


Le point sur les pilotes pénalisés sur la grille à Monza

Plusieurs pilotes ont écopé de pénalités sur la grille de départ du Grand Prix d’Italie qui se dispute ce dimanche 11 septembre sur le tracé de Monza.

A la veille de cette seizième manche de l’année, plusieurs équipes ont pris la décision de monter un moteur neuf ou plusieurs éléments neufs sur la monoplace de leur pilote. C’est le cas de Mercedes, Red Bull, Alfa Romeo, Ferrari ou encore AlphaTauri, ce qui signifie que Sergio Perez, Max Verstappen, Lewis Hamilton, Valtteri Bottas, Carlos Sainz et Yuki Tsunoda seront tous pénalisés sur la grille de départ du Grand Prix d’Italie.

Chez Ferrari, l’équipe italienne a décidé de monter sur la monoplace de Carlos Sainz un sixième MGU-K, un cinquième turbo, un cinquième moteur à combustion interne, un troisième pack batterie neuf et plusieurs éléments neufs dans la boîte de vitesses, ce qui veut dire que l’Espagnol prendra le départ de la course depuis le fond de la grille.

Chez Mercedes, l’équipe du constructeur allemand a décidé de monter sur la monoplace de Lewis Hamilton un quatrième moteur à combustion interne, un quatrième turbo, un quatrième MGU-H et un quatrième MGU-K, ce qui veut dire que le Britannique s’élancera depuis le fond de la grille ce dimanche.

Chez Red Bull, l’équipe de Milton Keynes a choisi de monter un cinquième moteur à combustion interne sur la monoplace de Max Verstappen, ce qui se traduit par une pénalité de cinq places, tandis que son coéquipier Sergio Perez a reçu un quatrième moteur à combustion interne et écope donc de dix places de pénalité sur la grille ce dimanche.

Chez AlphaTauri, Yuki Tsunoda a écopé d’une pénalité de dix places sur la grille pour avoir reçu sa cinquième réprimande de l’année le week-end dernier à Zandvoort. Dans ce contexte, l’équipe italienne a donc pris la décision de monter sur la monoplace du Japonais un sixième moteur à combustion interne, un sixième turbo, un sixième MGU-H et un sixième MGU-K, ce qui l’obligera à s’élancer depuis le fond de la grille ce dimanche. En plus de ces pénalités, Tsunoda a aussi reçu 3 places de pénalité supplémentaires pour ne pas avoir respecté un drapeau jaune ce vendredi en essais libres.

Enfin, chez Alfa Romeo Valtteri Bottas a reçu un sixième moteur à combustion interne, un septième turbo et un septième MGU-H, ce qui veut dire que le Finlandais écope d’une pénalité de quinze places sur la grille de départ du Grand Prix d’Italie.

Chez Haas, Kevin Magnussen a reçu un cinquième moteur à combustion interne, un cinquième turbo et un cuinquième MGU-H, ce qui se traduit par 15 places de pénalité.  De l’autre côté du garage, Mick Schumacher a reçu un cinquième moteur à combustion interne et plusieurs composants neufs dans la boîte de vitesses, ce qui se veut dire que l’Allemand doit reculer de 15 places.

Chez Alpine, Esteban Ocon a reçu un cinquième moteur à combustion interne sur sa monoplace, ce qui se traduit par une pénalité de cinq places pour le Français sur la grille de départ à Monza.

Ci-dessous, voici le tableau des pénalités appliquées aux différents pilotes. Ce tableau est susceptible d’être mis à jour régulièrement avant le départ de la course prévu dimanche…

Les pénalités sur la grille

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Dans le monde des courses automobiles, tout comme dans celui des jeux d’argent, les stratégies sont essentielles pour maximiser les chances de succès. Par exemple, tout comme choisir le meilleur casino en ligne france peut influencer vos gains potentiels, les décisions stratégiques prises par les équipes de Formule 1 peuvent avoir un impact significatif sur les résultats des courses. Ce week-end, plusieurs pilotes ont dû faire face à des pénalités sur la grille de départ, ce qui a obligé les équipes à ajuster leurs stratégies en conséquence.

GP d’Italie – EL3 : avantage Verstappen avant les qualifications

C’est le pilote Red Bull Max Verstappen qui a signé le meilleur temps de la troisième et dernière séance d’essais libres du week-end à Monza en 1,21.252 (Tendres), le Néerlandais devance de trois dixièmes la Ferrari de Charles Leclerc (Tendres) et de cinq dixièmes l’autre Red Bull pilotée par Sergio Perez (Tendres).

Derrière, Carlos Sainz, Fernando Alonso, Lando Norris, George Russell, Yuki Tsunoda, Esteban Ocon et Lewis Hamilton complètent le top dix de cette ultime séance d’essais libres du week-end à Monza, une séance très calme puisque aucun incident majeur n’est à vous signaler.

De Vries remplace Alex Albon

Le pilote de réserve de l’équipe Williams, Nyck de Vries, remplace pour la suite du week-end Alexander Albon, ce dernier souffrant d’une appendicite. Le Néerlandais va donc débuter sa carrière en Formule 1 au Grand Prix d’Italie et participera à sa première séance de qualifications ce samedi avant de prendre son premier départ en Grand Prix ce dimanche.

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Ocon sera lui aussi pénalisé

L’équipe Alpine a confirmé ce samedi avoir monté un moteur à combustion interne neuf sur la monoplace d’Esteban Ocon, ce qui veut dire que le Français sera pénalisé de cinq positions sur la grille de départ du Grand Prix d’Italie. Il rejoint ainsi la longue liste des pilotes déjà pénalisés (Verstappen, Sainz, Tsunoda, Magnussen, Schumacher, Hamilton, Perez ou encore Bottas).

La séance de qualifications du Grand Prix d’Italie qui déterminera la grille de départ de la course de dimanche est programmée ce samedi à 16h00 (heure de Paris) et vous pourrez suivre cette séance en direct sur notre site.

Tableau des temps 

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Nyck de Vries remplace Alex Albon pour la suite du week-end à Monza

Le Néerlandais Nyck de Vries remplacera le pilote Williams Alex Albon pour la suite du week-end à Monza, le Thaïlandais est souffrant depuis ce vendredi soir et ne pourra donc pas piloter sa monoplace ce samedi et ce dimanche.

Alex Albon souffre d’une crise d’appendicite et ne pourra donc pas piloter pour la suite du week-end au Grand Prix d’Italie. Williams a donc décidé de titulariser son pilote de réserve, le Néerlandais Nyck de Vries, qui se trouve à Monza après avoir roulé en EL1 ce vendredi pour Aston Martin.

« Williams Racing peut confirmer qu’après s’être senti mal ce matin et avoir consulté un médecin auprès de la FIA et de l’hôpital local, Alex Albon suit actuellement un traitement pour une appendicite. » confirme l’équipe britannique ce samedi.

« Suite à cela, nous pouvons confirmer que le pilote de réserve de l’équipe, Nyck de Vries, pilotera à la place d’Alex pour le reste du week-end du Grand Prix d’Italie. Alex est de bonne humeur et l’équipe lui souhaite un prompt rétablissement. »

Le Néerlandais va donc débuter officiellement sa carrière en Formule 1 ce samedi avec Williams, il participera à sa première séance de qualifications et prendra son premier départ en catégorie reine ce dimanche sur le tracé de Monza.

Revivez la troisième séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie

Bienvenue sur ce live pour suivre la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix d’Italie 2022 en direct depuis le circuit de Monza près de Milan.

Ce samedi, les pilotes participent à l’ultime séance d’essais libres du week-end à Monza, les EL3 sont programmés à 13h00 (heure de Paris), tandis que la très attendue séance de qualifications qui va déterminer la grille de départ du Grand Prix d’Italie est à suivre en direct sur notre site à partir 16h00 (heure de Paris).

Enfin ce dimanche 11 septembre, le départ du Grand Prix d’Italie sera donné à 15h00 (heure de Paris), les pilotes s’élanceront pour 53 tours de course. Vous pourrez évidemment suivre cette seizième manche de l’année en direct sur notre site.

Les EL3 en direct à Monza


Red Bull ne voulait pas perdre son indépendance en s’associant à Porsche

Le patron de Red Bull, Christian Horner, a expliqué pourquoi son équipe a finalement mis un terme aux discussions entamées avec Porsche pour un éventuel partenariat à partir de 2026.

Ce vendredi à la veille du Grand Prix d’Italie, Porsche a annoncé qu’un éventuel partenariat avec l’équipe Red Bull Racing pour entrer en Formule 1 à partir de 2026 en tant que motoriste ne verra finalement jamais le jour après des discussions qui n’auront mené à rien : « Au cours des derniers mois, le Dr Ing. h.c. F. Porsche AG et Red Bull GmbH ont eu des pourparlers sur la possibilité de l’entrée de Porsche en Formule 1. Les deux sociétés sont maintenant parvenues à la conclusion conjointe que ces pourparlers ne se poursuivraient plus. » pouvait-on lire dans un court communiqué publié par le constructeur allemand.

On sait que Porsche souhaitait prendre le contrôle à hauteur de 50% de l’équipe Red Bull en Formule 1, mais l’écurie de Milton Keynes n’était pas disposée à perdre son indépendance comme l’explique Christian Horner.

« Les discussions n’ont jamais dépassé ce stade, il n’y avait que des discussions. Il n’y a jamais eu d’accord ou quoi que ce soit de signé. » a expliqué Horner ce vendredi à Monza.

« Je ne vais donc pas rentrer dans les détails, mais l’une des forces de cette équipe a toujours été son indépendance. Ce sont les valeurs de Red Bull – en tant que challenger et non-conformiste – et c’est l’un des principaux atouts qui nous a permis d’avoir autant de succès que nous avons pu avoir dans ce sport à ce jour. »

« Nous ne voulions pas diminuer cela ou le diluer de quelque manière que ce soit et ce sont les principes fondamentaux sur la façon dont nous allons également relever le défi de l’unité de puissance. »

En effet, avec l’annonce faite par Porsche ce vendredi, Red Bull devrait en toute logique faire cavalier seul sur le plan de la motorisation à partir de 2026, bien que Helmut Marko a déjà déclaré que l’équipe constate déjà l’intérêt d’autres constructeurs automobile…

Sous pression, Binotto reçoit le soutien du président de Ferrari

Le président de Ferrari, John Elkann, a admis que Ferrari a fait « trop d’erreurs » tout au long de la saison, mais a insisté sur le fait que le conseil d’administration du constructeur italien avait toujours « une grande confiance » en Mattia Binotto, l’actuel directeur de la Scuderia Ferrari.

Après un début de saison fracassant avec une victoire dès la manche d’ouverture à Bahreïn, le pilote Ferrari Charles Leclerc est apparu comme un sérieux prétendant pour le titre mondial cette année. Mais au fil de la saison, des problèmes de fiabilité, des erreurs stratégiques, ainsi que des erreurs de pilotage ont permis à Red Bull et Max Verstappen de prendre la tête des deux championnats pilotes et constructeurs.

Avant le Grand Prix d’Italie, seizième manche du championnat du monde de Formule 1 qui se déroule ce week-end à Monza, Max Verstappen est leader du championnat pilotes avec 109 points d’avance sur Charles Leclerc alors que Red Bull est également leader au championnat constructeurs avec 135 points d’avance sur la Scuderia Ferrari.

Malgré les difficultés, le président de Ferrari a soutenu publiquement Mattia Binotto, mais admet que des progrès sont désormais nécessaires : « Nous apprécions tout ce que lui et nos ingénieurs ont fait, mais il ne fait aucun doute que le travail à Maranello, dans le garage, sur le muret des stands et au volant doit être amélioré. » estime John Elkann dans un entretien accordé à la Gazzetta Dello Sport à la veille du Grand Prix d’Italie.

« Nous devons continuer à progresser et cela vaut pour les mécaniciens, les ingénieurs, les pilotes et bien-sûr, toute l’équipe dirigeante, y compris le directeur de l’équipe. Nous avons vu qu’il y a encore trop d’erreurs en termes de fiabilité, de pilotage et de stratégie. »

Le président de Ferrari a toutefois insisté sur le fait qu’il faisait toujours confiance à Mattia Binotto qui a permis à la Scuderia de devenir de nouveau compétitive : « Faire confiance à Binotto et à son équipe était la bonne décision et cela a porté ses fruits. Grâce à eux, nous sommes compétitifs et nous gagnons de nouveau. Mais je ne suis pas satisfait, car je pense que nous pouvons toujours faire mieux. »

Conscient que le titre mondial derrière lequel Ferrari court depuis 2007 n’arrivera certainement pas cette année encore, Elkann se focalise déjà sur les prochaines saisons et estime que l’équipe italienne sera en mesure de décrocher des titres constructeurs et pilotes avant 2026, lorsque la nouvelle réglementation moteur entrera en vigueur en Formule 1.

« Notre premier objectif était d’être compétitif. Si vous ne l’êtes pas, vous n’allez nulle part où aller, alors que vous pouvez toujours travailler sur la fiabilité. C’est pourquoi je pense qu’avant 2026, Ferrari remportera à nouveau les titres constructeurs et pilotes, avec Charles [Leclerc] en pole position. Nous avons la chance d’avoir deux grands pilotes, probablement le duo le plus solide de la Formule 1. »