Carlos Sainz dans la McLaren : « Un rêve devenu réalité »

Carlos Sainz a fait ses débuts au volant d’une McLaren ce mercredi à Abou Dhabi lors des tests Pirelli organisés par le manufacturier italien pour développer ses gommes 2019.

Le pilote espagnol, qui a passé plus d’une saison chez Renault, a enfin pu prendre le volant de la MCL33 de son idole Fernando Alonso lors de cette journée, un rêve devenu réalité pour le madrilène.

« Sortir du garage pour le premier jour en tant que pilote McLaren, c’est un rêve devenu réalité. » déclare Carlos Sainz.

« Je me sentais bien après mon premier relais, et je dois dire que la journée s’est très bien passée. L’équipe m’a permis de me sentir comme chez moi dés le premier jour. Je suis très reconnaissant envers l’équipe de m’avoir donné une voiture aussi fiable pour pouvoir débuter ce nouveau chapitre et connaître cette nouvelle auto. »

« J’ai apprécié chaque tour, du premier jusqu’au 150éme, j’ai eu de bonnes sensations et nous avons pu clore cette saison de la meilleure façon possible. »

« Dés que je suis sorti du garage, je me suis senti à l’aise dans la voiture. Bien-sûr, il y a toujours des choses à améliorer et à adapter, comme la position dans le baquet et le style de pilotage. Mais dés le premier tour, j’ai pu apprendre les nouvelles procédures, ce fut une excellente journée. »

Daniil Kvyat a roulé l’équivalent de trois Grands Prix pour sa première journée

Remercié par Toro Rosso avant la fin de la saison 2017, le Russe Daniil Kvyat fera son grand retour en F1 en 2019 avec Toro Rosso.

Daniil Kvyat a pu prendre le volant d’une F1 ce mercredi pour la première fois depuis 2017 lors des tests organisés par Pirelli sur le circuit de Yas Marina à Abou Dhabi, un retour brillant, puisque le Russe a effectué l’équivalent de trois Grands Prix un une seule journée.

« Je pense qu’aujourd’hui fut une journée positive, nous avons pu couvrir 155 tours, soit l’équivalent de trois Grands Prix en une seule journée. » déclare Kvyat.

« Pour être honnête, je me suis senti à l’aise et confiant tout de suite dans la voiture, ce qui est super. Ce qui est important aujourd’hui c’est que nous avons pu tester une bonne quantité de pneus pour l’année prochaine, la collecte d’un grand nombre d’informations et de données utiles pour l’équipe. »

« Je me sens vraiment à l’aise dans cette équipe et c’est génial d’être de retour, j’ai vraiment hâte d’être à l’année prochaine. »

Charles Leclerc : « C’est toujours spécial de piloter une Ferrari »

Charles Leclerc a fait ses débuts avec la Scuderia Ferrari ce mercredi lors des tests Pirelli organisés sur le circuit de Yas Marina à Abou Dhabi.

Le Monégasque a signé le meilleur temps de la journée avec des pneus 2019 montés sur sa monoplace, mais les chronos signés durant ces essais ne sont absolument pas significatifs, puisqu’ils sont effectués avec des monoplaces 2018.

Charles Leclerc admet qu’il a été très ému de prendre la piste pour la première fois de sa carrière en tant que pilote officiel Ferrari.

« C’était émouvant, parce que piloter une Ferrari est toujours quelque chose de spécial. » déclare Leclerc ce mercredi soir à Abou Dhabi.

« C’est un jour que j’attendais depuis si longtemps, mais sans être vraiment certain que cela arrive un jour. »

« Je suis vraiment heureux de tout ça, ainsi que du travail que nous avons accompli. Notre programme était basé sur des tests comparatifs entre les pneus 2018/2019. »

« Cela m’a également donné l’occasion de mieux connaitre l’équipe.  Au cours des prochaines semaines, je travaillerai pour être dans la meilleure forme possible et apprendre de tout le monde dans l’équipe et de mon coéquipier. Je suis très impatient de débuter la nouvelle saison. »

Robert Kubica : « Ces tests sont cruciaux pour Williams »

Robert Kubica, qui a participé aux tests Pirelli cette semaine avec l’équipe Williams, estime que ces essais sont cruciaux pour aider Williams à entamer la saison 2019 d’un bon pied.

Le pilote polonais a signé un contrat avec l’équipe Williams pour 2019 et fera son grand retour en catégorie reine du sport automobile pour le Grand Prix d’Australien 2019 à Melbourne en mars prochain.

Kubica affirme que ces deux journées de tests pour le compte de Pirelli sur le circuit de Yas Marina à Abou Dhabi sont essentiels pour l’équipe, alors que Williams a terminé la saison 2018 à la dernière place au classement constructeurs.

« C’est un test crucial, nous devons nous concentrer sur cela. » affirmait Kubica ce mardi à Yas Marina. « Nous devons essayer de comprendre [les pneus], nous devons faire notre travail, qui débute ici par ces essais. »

« Bien-sûr, les voitures seront différentes l’année prochaine, mais les pneus sont toujours un élément crucial en Formule 1. »

« Ces sessions sont très importantes, c’est pourquoi, nous devons nous concentrer et faire notre travail. »

Robert Kubica a signé le dixième temps ce mercredi à Yas Marina, il a notamment pu rouler un peu plus que prévu et a passé le relais à son coéquipier George Russell pour les deux dernières heures de la journée.

Les tests Pirelli à Abou Dhabi en images

Les deux journées d’essais pour le compte de Pirelli sur le circuit de Yas Marina à Abou Dhabi sont désormais terminées et c’est Charles Leclerc, au volant de sa Ferrari, qui a signé le meilleur temps des deux jours.

Ces tests, axés sur le développement des pneus Pirelli qui seront introduits en Formule 1 en 2019, étaient les derniers essais officiels de la Formule 1 pour cette année 2018.

La prochaine fois qu’une monoplace prendra la piste sera à Barcelone au mois de février prochain pour les traditionnels essais hivernaux avec les monoplaces de la saison 2019.

Les tests Pirelli à Abou Dhabi en images

Leclerc place Ferrari en tête aux tests Pirelli à Abou Dhabi

Charles Leclerc a fait ses débuts avec la Scuderia Ferrari ce mercredi sur le circuit d’Abou Dhabi lors des tests Pirelli en battant le temps référence fixé par Sebastian Vettel hier avec un chrono en 1,36.450.

Le pilote monégasque devance de plus d’une seconde et demie la Red Bull RB14 pilotée ce mercredi par Pierre Gasly, qui fait lui aussi ses débuts avec sa nouvelle équipe, après avoir quitté Toro Rosso dimanche soir.

Lance Stroll, le nouveau pilote Racing Point Force India, termine quant à lui cette deuxième journée d’essais au troisième rang avec un chrono en 1,38.044.

Bottas à nouveau au volant de la Mercedes

Pour cette seconde et dernière journée d’essais à Abou Dhabi, Mercedes a décidé de laisser rouler pour la seconde journée consécutive Valtteri Bottas avec la W09.

Le pilote finlandais termine la séance au quatrième rang, à presque deux secondes de la Ferrari de Charles Leclerc et aura bouclé plus de 140 tours aujourd’hui.

Notons que le Français Esteban Ocon est lui aussi à Abou Dhabi pour ces tests Pirelli, il est en tenue Mercedes, prêt à assumer son rôle de troisième pilote, mais le constructeur allemand a décidé de ne pas le faire rouler durant ces deux journées.

Daniil Kvyat de retour dans une Formule 1

Le pilote russe Daniil Kvyat a effectué son grand retour au volant d’une Formule 1 ce mercredi chez Toro Rosso. Kvyat termine la journée au huitième rang et reste le pilote le plus assidu avec 155 tours bouclés.

Première fois au volant d’une McLaren pour Sainz

Carlos Sainz, qui a quitté Renault dimanche au terme du Grand Prix d’Abou Dhabi, a pu prendre pour la toute première fois le volant de la McLaren MCL33 de son idole, Fernando Alonso.

Le pilote madrilène a signé le cinquième temps de cette dernière journée d’essais avec 150 tours effectués, il fera équipe avec le jeune Lando Norris l’an prochain chez McLaren.

Du temps de roulage supplémentaire pour Kubica

L’équipe Williams a dû légèrement modifier son programme aujourd’hui pour permettre à Robert Kubica de rouler plus longtemps en piste.

Le Polonais (dixième) a ensuite passé le relais à son coéquipier, George Russell, qui terminera la journée au 7° rang avec seulement 38 tours au compteur.

La prochaine session de roulage officielle pour la Formule 1 aura lieu en 2019 sur le circuit de Barcelone pour les traditionnels essais hivernaux avec les monoplaces 2019.

La W Series établit une première liste de 55 pilotes femmes

La W Series, nouvelle série exclusivement féminine, a dévoilé une liste de 55 pilotes qui se disputeront une place pour figurer sur une grille limitée à 18 pilotes à partir de 2019.

Cette série, qui a été lancée plus tôt cette année, vise à mettre en valeur le talent de jeunes femmes pilotes et à soutenir leur quête d’atteindre un jour la Formule 1.

La W Series débutera en mai 2019 et comportera six manches de 30 minutes programmées sur des pistes Européennes, toutes les pilotes bénéficiant du même châssis pour la saison, et qui est sur une base de monoplace Tatuus de Formule 3.

Les meilleures pilotes pourront se disputer des primes d’un total de 1,5 millions de dollars, dont 500 000 dollars pour la championne de la catégorie.

Les 55 premiers noms ont été soigneusement sélectionnés parmi plus de 100 candidates provenant de 30 pays différents.

« Il y a tout simplement trop peu de femmes qui courent en monoplace, et W Series va fortement accroître ce nombre en 2019. » expliquait Bond Muir, PDG de la série lors de la présentation le mois dernier.

« Cela va permettre de libérer le potentiel de nombreuses autres pilotes, et les pilotes des W Series deviendront des super-stars mondiales-des modèles pour toutes les femmes, et chaque organisation, chaque entreprise, chaque sponsor et en effet chaque personne qui aide les vainqueurs et les championnes de W Series à atteindre ce succès révolutionnaire pourra se satisfaire d’y avoir joué un rôle. »

Liste des 55 pilotes sélectionnées

Ayla Agren, 25 ans, Norvège

Amna Al Qubaisi, 18 ans, Émirats arabes unis

Chelsea Angelo, 22 ans, Australie

Carmen Boix, 23 ans, Espagne

Sarah Bovy, 29 ans, Belgique

Toni Breidinger, 19 ans, États-Unis

Ivana Cetinich, 22 ans, Afrique du Sud

Jamie Chadwick, 20 ans, Royaume-Uni

Veronika Cicha, 31 ans, République tchèque

Saber Cook, 24 ans, États-Unis

Courtney Crone, 17 ans, États-Unis

Natalie Decker, 21 ans, États-Unis

Mira Erda, 18 ans, Inde

Carlotta Fedeli, 26 ans, Italie

Cassie Gannis, 27 ans, États-Unis

Marta Garcia, 18 ans, Espagne

Michelle Gatting, 24 ans, Danemark

Angelique Germann, 27 ans Allemagne

Megan Gilkes, 17 ans, Canada

Samin Gomez, 26 ans, Venezuela

Grace Gui, 27 ans, Chine

Michelle Halder, 19 ans, Allemagne

Esmee Hawkey, 20 ans, Royaume-Uni

Jessica Hawkins, 23 ans, Royaume-Uni

Shea Holbrook, 28 ans, États-Unis

Carmen Jorda, 30 ans, Espagne

Vivien Keszthelyi, 17 ans, Hongrie

Emma Kimilainen, 29 ans, Finlande

Natalia Kowalska, 28 ans, Pologne

Stéphane Kox, 24 ans, Pays-Bas

Miki Koyama, 21 ans, Japon

Fabienne Lanz, 32 ans, Afrique du Sud

Milla Mäkelä, 25 ans, Finlande

Alexandra Marinescu, 18 ans, Roumanie

Milou Mets, 28 ans, Pays-Bas

Sheena Monk, 29 ans, États-Unis

Sarah Moore, 25 ans, Royaume-Uni

Marylin Niederhauser, 22 ans, Allemagne

Tasmin Pepper, 28 ans, Afrique du Sud

Vicky Piria, 24 ans, Italie

Taegen Poles, 20 ans, Canada

Alice Powell, 25 ans, Royaume-Uni

Charlotte Poynting, 20 ans, Australie

Naomi Schiff, 24 ans, Belgique

Carrie Schriener, 20 ans, Allemagne

Sharon Scolari, 23 ans, Suisse

Doreen Seidel, 33 ans, Allemagne

Siti Shahkirah, 24 ans, Malaisie

Sneha Sharma, 28 ans, Inde

Bruna Tomaselli, 21 ans, Brésil

Shirley Van Der Lof, 31 ans, Pays-Bas

Beitske Visser, 23 ans, Pays-Bas

Fabienne Wohlwend, 21 ans, Lichenstein

Caitlin Wood, 21 ans, Australie

Hanna Zellers, 21 ans, États-Unis

Haas décide de ne pas faire appel de la décision en faveur de Force India

L’équipe Haas a finalement annoncé qu’elle ne ferait pas appel de la décision des commissaires dans l’affaire l’opposant à Racing Point Force India.

Pour rappel, Haas a déposé une réclamation auprès de la FIA ce jeudi en arrivant à Abou Dhabi sur les deux monoplaces de l’équipe Racing Point Force India.

La formation américaine estime que Racing Point Force India [qui est une nouvelle équipe depuis le 23 août] utilise les châssis construits par l’ancienne entité [Force India], ce qui pose problème dans l’attribution des revenus et primes en fin d’année.

En effet, toute nouvelle équipe enregistrée auprès de la FIA ne peut percevoir de revenus liés aux droits TV au cours des deux premières années, mais selon le directeur de l’équipe Haas, Racing Point Force India va conserver les primes obtenues par l’ancienne entité.

Les commissaires sportifs de la FIA n’ont pas donné raison à Haas et ont donc rejeté la réclamation de l’équipe samedi dernier, laissant cependant la possibilité à la formation américaine de faire appel de cette décision.

L’affaire est donc officiellement classée, même si d’autres éléments pourraient éventuellement donner envie à Haas de rouvrir ce dossier avant la fin de l’année 2018.

Zak Brown : « Nous avons donné à Stoffel le même matériel que Fernando »

Le PDG de McLaren, l’Américain Zak Brown, estime que l’équipe a donné sa chance à Stoffel Vandoorne au cours des deux dernières années, mais le Belge n’a pas réussi à la saisir.

Brown souligne que Stoffel Vandoorne a eu exactement le même matériel que Fernando Alonso durant ses deux saisons passées chez McLaren, mais le pilote belge n’aura jamais réussi à prendre le dessus sur son double champion du monde de coéquipier.

Cependant, Brown estime qu’un retour en catégorie reine pour Vandoorne est tout à fait possible, le futur pilote de Formule E ayant largement le calibre d’un pilote de F1.

« Je pense que Stoffel a beaucoup de talent, je pense qu’il a eu sa chance dans une mauvaise voiture, mais nous lui avons donné sa chance pendant deux ans et nous lui avons donné le même matériel que Fernando [Alonso]. » déclare Zak Brown.

« Il a eu un coéquipier difficile à affronter, mais parfois ça ne fonctionne pas et je pense qu’il aura du succès en Formule E. »

« Je pense qu’on pourrait le voir revenir en Formule 1, je ne serai pas surpris, ce ne serait pas la première fois qu’un pilote en difficulté dans un premier temps se reprenne après. »

« Je pense que Stoffel a définitivement le calibre d’un pilote de Formule 1, donc, on pourrait bien le voir revenir. »

Stoffel Vandoorne va rejoindre l’équipe de Formule E HWA pour la saison 2019, le Belge sera aussi pilote de simulateur pour Mercedes en F1.

Russell a pris ses marques chez Williams ce mardi au volant de la FW41

George Russell a fait ses débuts en Formule 1 avec Williams ce mardi lors des tests Pirelli à Abou Dhabi, le Britannique a roulé en matinée avant de passer le volant à Robert Kubica.

Le nouveau champion de Formule 2 avait déjà roulé avec la Mercedes, accessoirement la meilleure voiture du plateau, mais n’avait pas encore eu l’occasion de tester la FW41 de Williams.

Au terme de la première journée d’essais, George Russell a signé le dixième chrono, soit quatre dixième moins rapide que son coéquipier Robert Kubica, mais ce fut surtout l’occasion pour Russell de prendre ses marques dans sa nouvelle équipe.

« J’ai pu faire 36 tours avant de passer mon volant à Robert. » a déclaré Russell au point presse après sa séance de roulage.

« Mon sentiment reste très positif pour être honnête. J’ai vite vu après les deux premiers relais que j’avais des soucis avec l’équilibre de la voiture, j’ai donc modifier certaines chose, puis j’ai été plus en confiance. »

« Je pense avoir eu un bon feeling pour pouvoir pousser et explorer les limites de la voiture, et pour un pilote, c’est très important d’avoir confiance. »

« J’ai pu trouver un réglage pour cela, ce n’était peut-être pas le plus rapide, mais il est important de bien découvrir une Formule 1. »

Russell, qui a également pu tester une Force India cette année, ne veut pas faire de comparaisons entre chaque machine.

« C’est toujours difficile de juger, parce que chaque Formule 1 est différente, même si on a l’impression que les F1 se ressemblent toutes. »

« En ce qui concerne les pneus, j’ai pu tester ceux de 2018 sur la Mercedes et la Force India, mais pas sur la Williams. Là aussi, cela rend les comparaisons difficiles. Je pense que ce sera plus facile pour Robert [Kubica] de juger cela, car il connait la voiture et les pneus de 2018. »

Les pilotes en piste ce mercredi à Abou Dhabi

Les équipes de F1 participent à la seconde et dernière journée des tests Pirelli sur le circuit de Yas Marina à Abou Dhabi ce mercredi.

Hier, c’est Sebastian vettel, au volant de sa Ferrari, qui a signé le meilleur temps de la journée. Le pilote allemand devançait la Mercedes de Valtteri Bottas et la Racing Point Force India de Lance Stroll.

Tous les pilotes ont pu tester différentes gommes proposées par le manufacturier italien durant cette première journée, notamment les pneus qui seront introduits l’an prochain en Formule 1.

La liste des pilotes en piste ce mercredi à Yas Marina

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136 tours pour Lando Norris à Abou Dhabi ce mardi

Pour sa première journée en tant que pilote officiel McLaren, Lando Norris a bouclé 136 tours au volant de la MCL33 sur le circuit de Yas marina ce mardi.

Le Britannique a signé le sixième meilleur temps de la journée et a pu comparer les différences entre les gommes 2018 et celles qui seront introduites par Pirelli en 2019, mais Norris aura surtout pu en apprendre un peu plus sur son nouveau métier avec plus de kilométrage.

« Je pense que c’est le plus grand nombre de tours que je n’ai jamais fait en une seule journée. » déclare Norris.

« Je suis arrivé à faire beaucoup de choses que j’avais besoin de faire, comme les longs relais, que je n’avais pas réussi à faire jusqu’à maintenant. »

« Si l’on considère tout ça, je pense que ce n’était pas trop mal, je n’ai pas vraiment ressenti de dégradation sur les pneus avant aujourd’hui, ce qui a été l’une des plus grandes choses [à vérifier]. »

« Je vais avoir un peu plus d’expérience pour l’année prochaine maintenant, la compréhension des pneus et ce genre de chose. Je voulais aussi mettre plusieurs choses ensemble, comme des essais de départ et donner de bons retour. »

Ce mercredi, c’est Carlos Sainz qui sera au volant de la MCL33 pour sa première journée officielle avec l’équipe McLaren.

La première journée de Raikkonen chez Sauber écourtée par une panne

Kimi Raikkonen était au volant de la Sauber C37 ce mardi à Yas Marina, le pilote finlandais a effectué 102 tours au total au cours de la journée, se familiarisant avec la voiture et les systèmes d’exploitation de sa nouvelle équipe.

Le programme de la journée était axé sur les essais de pneumatiques Pirelli – notamment l’utilisation des gommes 2019 ainsi que sur différents composés de la sélection actuelle.

Grâce aux retours de Kimi Räikkönen et aux données collectées, l’équipe a obtenu une bonne référence en prévision de la saison à venir.

Cependant, durant la dernière heure de la journée, Kimi Raikkonen a dû immobiliser sa monoplace en piste suite à un problème mécanique, obligeant les commissaires à agiter un drapeau rouge.

L’équipe Sauber a tout de même pu compléter son programme de la journée, alors que les causes de cette panne sont toujours sous enquête.

Demain mercredi, ce sera au tour d’Antonio Giovinazzi de prendre part à la deuxième journée d’essais sur le circuit de Yas Marina.

Sebastian Vettel sur les pneus Pirelli 2019 : « Des pneus similaires à ceux de 2018 »

Malgré le fait qu’il ait signé le meilleur temps de la première journée des tests Pirelli à Abou Dhabi, Sebastian Vettel a connu quelques soucis en matinée à Yas Marina.

Le pilote allemand est allé taper les barrières avec sa Ferrari au premier virage du circuit, provoquant une interruption de séance avec un drapeau rouge durant quelques minutes.

Heureusement, plus de peur que de mal pour le pilote Ferrari, mais ce petit incident lui aura fait perdre un temps précieux durant cette première journée.

« Malheureusement, nous avons perdu un peu de temps de piste car il a fallu réparer certaines pièces. » déclare Vettel.

« Il n’y avait rien de très important, mais nous avons tout de même perdu un peu de temps. Ce test est surtout important pour les pneus, afin d’avoir un premier ressenti. »

« Les impressions du dernier week-end de course sont encore assez  fraîches » dans nos esprits, ce qui nous donne un point de comparaison. »

« Il n’y a pas de surprise majeure, les pneus semblent être assez similaires à ceux de cette année, les différences sont vraiment minimes. »

« La bande de roulement est un peu moins épaisse, donc, les Hyper-Tendres sont plus proches des autres pneus, et les durs, que nous n’avons pas utilisés cette année, devraient un peu plus ressembler aux autres pneus plus tendres. »

« Maintenant, il va falloir voir à quel point le règlement l’an prochain affectera la vitesse de toutes les voitures et leur comportement avec les pneus. Cela dépendra aussi des choix de chaque composé sur les différents circuits. »

Ce mercredi, c’est Charles Leclerc qui prendra le volant de la Ferrari à Yas Marina, le Monégasque débutera officiellement avec son nouvel employeur.

Pietro Fittipaldi garde un souvenir incroyable de sa première journée avec Haas

Pietro Fittipaldi était au volant de la Haas VF18 ce mardi lors des tests Pirelli à Abou Dhabi, une journée que le jeune brésilien n’est pas prêt d’oublier.

Fittipaldi a terminé la journée à la huitième place (sur 12 pilotes), mais a connu une matinée compliquée avec une panne mécanique impactant son temps de roulage.

Les mécaniciens de l’équipe ont décidé de procéder au remplacement de l’unité de puissance montée sur sa voiture, ce qui a encore un peu plus impacté le temps de roulage du Brésilien, cependant, Pietro Fittipaldi garde un souvenir incroyable de cette première journée de travail avec l’équipe Haas.

« Ce fut une journée incroyable, je suis très heureux d’avoir eu mon premier test dans une monoplace de Formule 1. » déclare Fittipaldi.

« La puissance de freinage de la voiture, l’accélération, les vitesses de passage dans les courbes, c’est totalement fou, la voiture est si rapide. »

« Elle est collée au sol, la quantité d’appui est juste incroyable. Nous avons eu de petits problèmes au début de la journée, mais l’équipe les a réglés. . Ils ont vraiment fait un travail fantastique pour que je puisse revenir en piste dans l’après-s-midi. »

« Nous avons ensuite pu travailler sur le programme que nous avions, nous avons pu comparer les gommes 2018 et 2019 de Pirelli. J’ai essayé de donner aux ingénieurs les meilleurs retours possibles afin qu’ils puissent commencer à travailler avec toutes ces informations. »

« L’équipe m’a donné une énorme opportunité de tester avec eux l’année prochaine. Je vais apprendre autant que je peux, mais aussi les aider à développer la voiture pour 2019 et tout au long de la saison. »

Vettel le plus rapide de la première journée à Abou Dhabi

Les équipes de F1 en ont terminé avec cette première journée de tests pour le compte de Pirelli sur le circuit de Yas Marina à Abou Dhabi.

C’est Sebastian Vettel qui a signé le chrono le plus rapide de cette première journée en 1,36.812, le pilote Ferrari devance de quatre dixièmes la Mercedes de Valtteri Bottas et de si dixièmes la Force India pilotée par Lance Stroll.

Max Verstappen, Sergio Perez, Lando Norris, Nico Hulkenberg, Robert Kubica, George Russell, Kimi Raikkonen, Sean Gelael et Pietro Fittipaldi complètent le classement.

Vous l’aurez bien compris, les chronos ne sont absolument pas significatifs pour ces tests Pirelli, puisque les pilotes roulent avec différents composés au même moment sur la piste.

D’ailleurs, très peu d’information ont filtré quant à la spécification de pneus chaussés par les pilotes, puisque les écuries ont la possibilité de jongler entre les composés 2018 et ceux de 2019 durant ces tests, afin de pouvoir évaluer la différence de performance en piste.

Première sortie avec Sauber pour Raikkonen

Kimi Raikkonen a effectué sa première sortie officielle pour Sauber ce mardi à Abou Dhabi, le pilote finlandais a quitté Ferrari pour rejoindre l’équipe suisse pour 2019 où il fera équipe avec l’Italien Antonio Giovinazzi.

Première apparition de Stroll chez Force India

L’ancien pilote Williams a effectué sa toute première apparition sous les couleurs Force India ce mardi, le Canadien remplacera Esteban Ocon en 2019, alors que son père, Lawrence Stroll, a racheté l’équipe basée à Silverstone l’été dernier avec l’aide d’un consortium canadien.

Russell fait ses débuts avec Williams

George Russell a effectué ses débuts en piste avec Williams ce mardi matin, le Britannique a terminé à la dixième position du classement et aura parcouru au total 42 tours de circuit.

Dans l’après-midi, c’est Robert Kubica qui a pris le relais au volant de la Williams FW41, le Polonais signe le neuvième temps du jour, soit quatre dixièmes plus rapide que Russell.

Sebastian Vettel dans le rail

Le pilote Ferrari a été victime d’une sortie de piste ce matin à Abou Dhabi, provoquant une interruption de séance avec un drapeau rouge. L’Allemand est allé taper les barrières de Techpro au virage numéro 1, endommageant légèrement sa monoplace.

Sean Gelael le plus assidu

Sean Gelael, au volant de la Toro Rosso, a été le pilote le plus assidu de cette première journée d’essais avec 150 tours bouclés. L’Indonésien termine cette première journée au 12° rang.

Pietro Fittipaldi change de moteur

Pietro Fittipaldi a lui aussi déclenché un drapeau rouge en matinée, le pilote brésilien ayant été victime d’un problème technique au volant de sa Haas.

Les mécaniciens de l’équipe américaine ont décidé de changer l’unité de puissance Ferrari montée sur la monoplace de Fittipaldi, le pilote brésilien a pu reprendre la piste en début d’après-midi à Yas Marina, il termine la journée avec 56 tours au compteur et signe le huitième chrono.

Livraison spéciale pour Mercedes

A noter que Mercedes a reçu une livraison spéciale dans le paddock d’Abou Dhabi aujourd’hui. Le constructeur allemand a reçu la Mercedes Vison EQ Silver Arrow, un concept car, et selon les dernières rumeurs, c’est Valtteri Bottas qui pourrait la tester sous peu.

Les équipes seront à nouveau en piste demain mercredi à Yas Marina pour la toute dernière journée de tests de l’année 2018. La prochaine séance de roulage officielle aura lieu en février à Barcelone avec les monoplaces 2019.

Famille, amis, bricolage : Vettel a besoin de couper avec la F1

Après une saison 2018 difficile et épuisante, Sebastian Vettel admet qu’il attend désormais les vacances avec impatience afin de se ressourcer chez lui et revenir au top pour la nouvelle année.

Le pilote Ferrari a perdu la bataille face à Lewis Hamilton cette année, plusieurs erreurs importantes ayant rendu son défi difficile à relever, malgré cinq victoires et cinq pôle positions pour l’Allemand.

Après la dernière course de l’année disputée à Abou Dhabi le week-end dernier, Sebastian Vettel a admis qu’il était désormais impatient de terminer ses derniers engagements officiels de l’année.

« Nous avons encore quelques événements à venir, mais ce que j’attends avec impatience après cette année, pour être très honnête, c’est de tout désactiver. » déclare Vettel.

« J’ai besoin d’un peu de temps pour moi, ce fut une année difficile et épuisante pour moi. J’ai vraiment besoin de prendre du recul. »

« Je suis à peu près certain, d’après les derniers hivers, que très bientôt, généralement après 111 jours, j’ai à nouveau très faim de courir la prochaine course. »

« Mais bon, nous avons encore les tests [Pirelli à Abou Dhabi], donc, il n’est pas encore temps de se reposer. Je pense que ce sera important avec les pneus pour la saison prochaine. »

« Après, je ne sais pas, je vais juste profiter de la maison, ma famille, mes amis. Faire des choses que tu n’a pas souvent le temps de faire comme du bricolage, quelques réparations à la maison, des petits travaux. »

Sept femmes en Formule E : qui sont-elles ?

Elles s’appellent Simona de Silvestro, Tatiana Calderón ou encore Katherine Legge, elles seront sept femmes à être au volant d’une Formule E à Riyad le 16 décembre.

Pas pour le E-Prix – disputé, lui, le 15 décembre – mais pour une journée d’essais officielle. L’occasion pour F1Only.fr de vous faire une piqûre de rappel sur les femmes qui piloteront en Arabie Saoudite en décembre. Ceci, six mois après que L’Arabie saoudite a commencé à leur délivrer des permis de conduire.

Simona de Silvestro : la plus expérimentée

Ce nom vous est familier ? C’est sans doute, car la Suissesse a déjà disputé 12 E-Prix sous les couleurs du Team Andretti. Son meilleur résultat est une neuvième place en 2016 à Long Beach et à Berlin.

Elle a été promue mardi 20 novembre pilote de développement de l’écurie Venturi, écurie dirigée entre autres par Susie Wolff. Par le passé, De Silvestro a piloté en Indycar et depuis trois ans, elle dispute au volant d’une Nissan, le championnat australien Supercars.

Tatiana Calderón : future titulaire ?

Calderón fait partie des noms qui reviennent souvent quand on parle d’expérience. 16 ans de carrière à 25 ans, la Colombienne est à ce jour 16e du championnat de GP3 – la dernière manche s’est déroulée les 24 et 25 novembre – mais aussi pilote d’essai pour l’écurie Alfa Romeo Sauber en F1.

En novembre, elle a d’ailleurs pu tester à Fiorano la Sauber C32. On la retrouvera au volant de la DS e-tense de l’écurie DS Techeetah. Un pas de plus vers une éventuelle titularisation ?

Carmen Jordá : la plus controversée

C’est aussi sur une Nissan de l’équipe Nissan e.dams que l’Espagnole de 30 ans va être testée. Elle a aussi mis un pied en Formule 1. Ancienne pilote de développement de l’écurie de F1 Lotus-Renault en 2015 et 2016, Jordá s’est attiré les foudres de ses anciens coéquipiers lorsqu’elle fut nommée par la FIA à la tête de la Commission des femmes en 2017.

Beaucoup jugeant ses résultats en GP3 insuffisants. Sans oublier que Carmen Jordà était en faveur d’un championnat entièrement féminin, car une « barrière physique empêche les femmes d’être en compétition » au plus haut niveau. Voilà une occasion en or de se refaire une réputation.

Amna Al Qubaisi : la plus précoce

Elle est la première pilote des Émirats arabes unis à 18 ans. Cette année Al Qubaisi a découvert la F4 Italienne au sein de l’écurie Prema Powerteam.

Elle testera le 16 décembre une Audi Gen2 de l’équipe Envision Virgin Racing. Fait marquant de sa jeune carrière : elle est la première personne des Émirats à remporter le Rotax Max Challenge en 2017. Ce jeune talent est à suivre…

Beitske Visser : retour aux sources

La Hollande sera représentée par cette ancienne membre de l’équipe junior de Red Bull. Elle sera au volant de l’équipe BMW i Andretti Motorsport.

Depuis ces deux dernières saisons, la pilote de 23 ans roule en GT4 mais a piloté précédemment en Formule Renault et en GP3. Un comeback à son premier amour en quelque sorte pour Visser qui a débuté sa carrière en monoplace en 2012.

Katherine Legge : la plus éclectique

Le Champ, Car, le DTM, l’Indycar Series, le prototype DeltaWing et la Nascar, Legge aura connu de multiples championnats et véhicules à faire pâlir d’envie le passionné de courses. Elle sera aux commandes d’une voiture de l’équipe Mahindra en Formule E.

En 2014, Legge avait fini 15e lors des deux premières courses du championnat inaugural avant de perdre son baquet au profit de Salvador Durán.

Jamie Chadwick : un avenir encourageant

Première femme à remporter le championnat GT Britannique en 2015, son expérience en monoplace est récente. En 2017, Chadwick a obtenu son premier podium en F3 Britannique.

De bon augure sachant que cette année, la native de Bath a remporté sa première victoire à Brands Hatch qui lui permettra de finir 8e au classement général. Elle essayera la monoplace de l’équipe NIO.

Brendon Hartley : « Un sentiment d’inachevé en F1 »

Brendon Hartley, qui ne sera pas en Formule 1 l’an prochain, déclare avoir un sentiment d’inachevé après sa première année passée au plus haut niveau du sport automobile avec Toro Rosso.

Le pilote néo-zélandais a été remplacé pour la prochaine saison par le Thaïlandais Alexander Albon, qui a été libéré par Nissan en Formule E pour pouvoir rejoindre l’équipe Toro Rosso-Honda l’année prochaine en tant que titulaire.

Après une année passée aux côtés de Pierre Gasly, Brendon Hartley n’a pas réussi à convaincre le clan Red Bull de le garder, alors que son coéquipier rejoindra l’équipe mère Red Bull Racing en 2019.

« De toute évidence, j’ai un sentiment d’inachevé en Formule 1. » déclare Hartley. « J’ai terminé la saison beaucoup plus fort que je ne l’ai commencée, j’ai eu des moments difficiles, beaucoup de pression. »

« Je pense avoir bien réagi et je pense que je suis en fin de saison un pilote beaucoup plus fort et je suis très heureux de ma progression au cours de la saison. »

« Je n’ai pas toujours eu l’occasion de marquer des points, parfois c’était hors de mon contrôle, et j’ai certainement raté quelques occasions en début d’année. Mais j’ai été un bon coéquipier tout au long de l’année et je sais que j’ai contribué à la performance. »

Brendon Hartley a terminé sa dernière course en Formule 1 dimanche au Grand Prix d’Abou Dhabi à la douzième position.

Robert Kubica ne s’attend à aucun miracle avec Williams

Robert Kubica, qui deviendra pilote Williams en 2019, sait très bien que l’équipe britannique est dans une période très difficile et ne s’attend donc pas à un miracle en arrivant en Australie au mois de mars.

Le Polonais est bien conscient des lacunes de l’équipe, notamment en terme de personnel, puisque la formation de Grove peine à recruter de bons ingénieurs en raison de sa non compétitivité.

« Ce n’est pas une période facile car beaucoup de gens partent. » admet Kubica. « Il est difficile de trouver de bon employés quand il s’aperçoivent que l’équipe n’a pas une voiture rapide. »

« La plupart des gens ont la passion, et veulent donc travailler dans les meilleures équipes de Formule 1. »

Le pilote âgé désormais de 33 ans admet qu’il ne connait toujours pas le nom de son ingénieur de course pour la saison 2019.

« C’était l’un des sujets principaux avant la signature du contrat. Mais je n’ai pas encore reçu de réponse, j’ai essayé de le savoir ce week-end pour pouvoir travailler avec cette personne lors des tests [Pirelli à Abou Dhabi], car il est déjà temps de travailler. »

Au delà de la restructuration de l’équipe, Robert Kubica ne s’attend pas à des miracles pour la saison prochaine.

« Je suis dans le paddock depuis suffisamment longtemps pour m’inquiéter d’une voiture qui ne sera sur la piste que fin février. »

« En 2008 chez BMW, il nous manquait quatre secondes lors des essais. Mais en deux mois, nous avons inversé la situation. Williams est dans une situation différente de celle-là. »

« Il n’y aura pas de tels miracles, j’aborde donc la saison avec beaucoup de réalisme. Si nous occupons la huitième ou neuvième place en Australie, ce sera déjà très bien. Mais ce n’est pas à moi de fixer de tels objectifs. »