Les dépassements à la sortie de la voie des stands sur le tracé de Yas Marina à Abou Dhabi sont désormais interdits à partir de ce samedi a confirmé le directeur de course de la FIA dans une note mise à jour avant le début de la journée.

Ce vendredi à Abou Dhabi, le triple champion du monde Max Verstappen s’est fait remarquer durant la deuxième séance d’essais libres en dépassant les deux Mercedes de George Russell et Lewis Hamilton à la sortie de la voie des stands dans la descente menant au tunnel qui permet de passer sous la piste.

Ce action n’a pas du tout plu au directeur de course qui a mis à jour ce samedi les notes de l’événement en précisant à toutes les écuries de la grille que les dépassements sont désormais interdits dans la voie de sortie des stands, autrement dit dans la section entre la ligne de sortie de la pitlane et celle qui matérialise l’entrée en piste après le tunnel. 

« Conformément à l’article 33.4 du Règlement Sportif de Formule 1 de la FIA, les pilotes ne sont pas autorisés à conduire inutilement lentement, ce qui inclut l’arrêt d’une voiture sur la voie rapide de la voie des stands. » peut-on lire dans cette note.

« De plus, les dépassements sont interdits sur la route de sortie des stands, sauf si une voiture ralentit avec un problème évident. »

Il est bon de noter que cette mise à jour a été apportée dans la rubrique « qualifications » sur les notes de l’événement et il n’est donc pas stipulé que les dépassements sont interdits pour la troisième séance d’essais libres du Grand Prix d’Abou Dhabi qui se dispute ce samedi avant la séance de qualifications.

Ultime manche du championnat 2023 de Formule 1, le Grand Prix d’Abou Dhabi se dispute ce week-end du 24 au 26 novembre sur le tracé de Yas Marina. 

Ce vendredi 24 novembre, les pilotes de F1 étaient en piste pour participer aux deux premières séances d’essais libres du Grand Prix d’Abou Dhabi. Les EL1 étaient programmés à 10h30 (résultats ici), tandis que la deuxième séance [EL2] était programmée à 14h00 (résultats ici).

Ce samedi 25 novembre, la troisième et dernière séance d’essais libres de l’année [EL3] est programmée à 11h30 (heure de Paris), alors que la très attendue séance de qualifications qui détermine la grille de départ du Grand Prix d’Abou Dhabi est programmée à 15h00 (heure de Paris).

Le départ du Grand Prix d’Abou Dhabi est programmé le dimanche 26 novembre à 14h00 (heure de Paris). Les pilotes s’élanceront pour 58 tours de courses sous les projecteurs de Yas Marina puisqu’il s’agit d’une course nocturne.

Nous vous rappelons que toutes les séances de roulage de chaque week-end de la saison 2023 sont à suivre en direct sur F1only.fr (essais libres 1,2 et 3, qualifications, course Sprint et Grand Prix). Rendez-vous donc ce samedi 25 novembre pour suivre les derniers essais libres du GP d’Abou Dhabi et les qualifications en direct sur notre Live Center accessible ici.

L’Espagnol Carlos Sainz a connu un vendredi très frustrant à Abou Dhabi où le pilote Ferrari a terminé sa journée de travail dans les barrières de Tec Pro dix minutes à peine après le début de la deuxième séance d’essais libres dans l’après-midi.

Les EL2 venaient à peine de débuter que Carlos Sainz a perdu le contrôle de sa monoplace à l’entrée du virage numéro 3 en roulant sur une bosse située dans la trajectoire. L’Espagnol s’est alors retrouvé simple passager de sa monoplace et a terminé sa course encastré dans les barrières de protection situées au fond de la zone de dégagement.

La séance a été immédiatement interrompue par un drapeau rouge et Carlos Sainz a dû se contenter de regarder ses camarades sur les écrans de télévision depuis le garage Ferrari pour le reste de la session : « Ce n’est évidemment pas le vendredi que je souhaitais ici à Abou Dhabi. » a déclaré Carlos Sainz ce vendredi soir à Yas Marina.

« Nous avons un peu joué avec les réglages lors des EL1 et j’attendais avec impatience les EL2 après avoir apporté quelques modifications à la voiture. »

« Malheureusement, j’ai franchi la grosse bosse à l’entrée du virage 3 et j’ai perdu la voiture, je suis parti et j’ai heurté les barrières. »

« Cela a été une erreur coûteuse et je suis désolé pour les mécaniciens de leur avoir donné du travail supplémentaire aujourd’hui. »

« Je suis sûr que demain nous serons de retour sur la piste et prêts à repartir. Il semble que le peloton va être serré et nous pouvons donc nous attendre à des qualifications intéressantes. »

Avant le Grand Prix d’Abou Dhabi, la Scuderia Ferrari occupe la troisième place au championnat du monde des constructeurs avec quatre points de retard sur Mercedes. 

Le patron de l’équipe Red Bull, Christian Horner, a développé ses commentaires sur Lewis Hamilton qui ont été publiés à l’approche du Grand Prix d’Abou Dhabi, le Britannique déclarant qu’il avait eu des conversations avec le père du pilote Mercedes, Anthony, mais que les discussions n’avaient jamais été « sérieuses ».

À la veille de la finale de la saison de ce week-end, un article a été publié par le Daily Mail dans lequel Christian Horner affirmait qu’un membre des représentants de Lewis Hamilton l’avait contacté au sujet d’un éventuel contrat avec Red Bull en 2024. 

Hamilton, qui a signé un nouveau contrat de deux ans avec Mercedes en septembre dernier, n’a pas tardé à nier les affirmations de Horner et a clairement indiqué que « personne de mon équipe ne l’a contacté », hormis un bref échange de SMS entre les deux hommes.

Invité à clarifier la situation à la suite des gros titres générés par ses remarques initiales et le démenti de Hamilton, Horner a expliqué aux journalistes : « Il est remarquable de voir à quel point cela a suscité un intérêt. »

« Merci donc au Daily Mail d’avoir mis l’accent sur cet article en exclusivité. » a déclaré Christian Horner ce vendredi à Abou Dhabi lors de la conférence de presse des chefs d’équipe.

« Il s’agit de savoir ce qu’il a dit, ce qu’elle a dit, qui a dit, ce qui a été dit. Il est tout à fait normal que les pilotes, les représentants des pilotes et les parents des pilotes aient différentes conversations au cours d’une année. »

« Nous n’avons eu aucune discussion sérieuse avec Lewis, il n’y a jamais eu de place disponible. Je connais Anthony Hamilton [le père de Hamilton] depuis de nombreuses années, c’est un gars bien, un père très fier. »

« Inévitablement, lorsque les pilotes traversent des moments difficiles – et soyons réalistes, Lewis n’a pas remporté de Grand Prix depuis deux ans – des questions seront posées dans le paddock. Mais il n’y a jamais eu d’engagement. »

« Je ne sais pas qui représente qui ou quoi, mais avec le même nom de famille, on pourrait penser qu’ils étaient raisonnablement proches. C’est difficile à dire, mais à part les plaisanteries, il n’y avait pas eu de question précise : « Puis-je conduire pour Red Bull l’année prochaine ? », à moins qu’Anthony ne veuille conduire. »

« Comme je l’ai dit, ce n’est pas inhabituel, il y a de nombreux pilotes, comme vous pouvez l’imaginer, dont nous entendons parler au cours d’une année. »

Lorsqu’on lui a demandé s’il pensait que Mercedes serait surpris d’apprendre que le père de Hamilton était en contact avec Red Bull, Horner a ajouté : « Pas vraiment. Il est le pilote le plus titré de tous les temps et n’a pas remporté de Grand Prix depuis 2021. Il n’est pas nécessaire d’être un génie pour comprendre cela. »

« Il n’y a pas grand-chose de plus à dire. Beaucoup de choses ont été dites à partir de quelque chose d’assez inoffensif. » a conclu Horner.

Le Français Théo Pourchaire a enfin pu piloter la monoplace de l’équipe Alfa Romeo ce vendredi à Abou Dhabi après un faux départ à Mexico il y a quelques semaines en raison d’un problème technique qui l’a immobilisé au garage durant toute la séance.

Théo Pourchaire – pilote de réserve de l’équipe Alfa Romeo – devait participer à sa première séance d’essais libres en Formule 1 cette saison au Grand Prix du Mexique. Mais après seulement deux tours, le Français originaire de Grasse dans les Alpes Maritimes a dû rentrer au garage en raison d’un problème technique et n’a jamais pu ressortir.

Après cette première expérience frustrante, Pourchaire avait une deuxième chance de piloter l’Alfa Romeo ce vendredi à Abou Dhabi lors des EL1, et cette fois-ci, tout s’est parfaitement déroulé pour lui. 

« J’avais vraiment hâte de piloter, surtout après avoir manqué le Mexique, et je suis satisfait de la séance productive que nous avons eue. » a déclaré Pourchaire ce vendredi à Abou Dhabi après avoir signé le quatorzième temps des EL1.

« La piste était plutôt verte et il n’y avait pas beaucoup de grip, mais je me sentais mieux à chaque tour et je sens que nous avons eu une bonne progression des gommes Dures aux Tendres. »

« Je suis heureux d’avoir pu aider l’équipe lors de la séance, et j’ai hâte de remonter dans la voiture lors des essais d’après-saison [il sera de nouveau en piste le mardi 28 novembre], notamment pour constater la différence de niveaux d’adhérence après le week-end de course complet. »

« Conduire cette voiture est toujours un sentiment incroyable, et je suis reconnaissant envers l’équipe pour la confiance qu’elle m’a accordée et pour l’opportunité qu’elle m’a donnée de contribuer à notre travail aujourd’hui. »

Leader du championnat de Formule 2, Théo Pourchaire peut décrocher le titre ce week-end à Abou Dhabi où se dispute la dernière manche de la saison.

Lando Norris pense que la séance de qualifications du Grand Prix d’Abou Dhabi sera très serrée ce samedi à Yas Marina où la Formule 1 dispute sa dernière manche de l’année.

Norris a laissé sa McLaren au Mexicain Pato O’Ward lors des EL1 du Grand Prix d’Abou Dhabi ce vendredi, le pilote de réserve de l’équipe ayant participé aux essais réservés aux « jeunes » pilotes. Lando Norris a donc débuté son week-end lors des EL2 plus tard dans l’après-midi au cours d’une séance largement perturbée par des drapeaux rouges.

S’exprimant après les EL2 au terme desquels il a signé le deuxième temps à 43 millièmes de la Ferrari de Charles Leclerc, Norris a déclaré : « C’était pas mal. C’était un peu désordonné bien sûr, on n’a pas fait beaucoup de tours aujourd’hui, je pense que j’ai fait cinq tours poussés au total. »

« Donc, ce n’est pas le vendredi que je souhaiterais, surtout lors des EL2, mais je me suis senti en confiance et à l’aise très rapidement, ce qui est toujours important le jour où on manque les EL1. »

« J’ai rapidement pris confiance et j’ai pu continuer [à pousser]. La voiture fonctionne plutôt bien, il y a encore quelques points à vérifier, mais sinon dans l’ensemble, c’est une journée décente. »

« Après une seule séance aujourd’hui, je suis assez content. La voiture est rapide, et je pense que ça va être serré demain, ça va être très serré en qualifications. »

« Un ou deux dixièmes peuvent facilement coûter cinq ou six positions demain après-midi. Il s’agira de trouver des petites choses ce soir qui pourront faire une grande différence demain. Mais nous sommes définitivement dans une bonne position, nous sommes plus confiants et plus à l’aise qu’à Vegas et dans quelques autres courses. »

Bien qu’il s’attende à être compétitif lors des qualifications, Norris admet cependant que le rythme de course reste encore un mystère car il n’a pas pu faire le travail sur les longs relais durant les EL2 à cause des interruptions de séance.

« Je n’ai pas réussi à faire beaucoup de tours sur les longs relais avec du carburant. En fait, je n’en ai pas fait. Nous sommes un peu en retard sur les longs relais, mais peut-être que je pourrai rattraper ce retard demain. »

Avant le Grand Prix d’Abou Dhabi, l’équipe McLaren occupe la quatrième place avec onze points d’avance sur Aston Martin.

Le Français Esteban Ocon n’est pas au top de sa forme ce week-end à Abou Dhabi où la Formule 1 dispute sa dernière course de la saison 2023, le pilote Alpine ayant même fait l’impasse sur la journée réservée aux médias ce jeudi.

Après le Grand Prix de Las Vegas disputé le week-end dernier sous des températures assez fraîches dans l’état du Nevada, Esteban Ocon a pris la route vers le Moyen-Orient pour se diriger vers Abou Dhabi où se dispute la dernière course de la saison sous des températures plus clémentes. 

Absent du paddock ce jeudi, Esteban Ocon a débuté son week-end ce vendredi lors de la deuxième séance d’essais libres après avoir laissé l’Australien Jack Doohan prendre le volant de son A523 lors des EL1 dans le cadre des essais réservés aux jeunes pilotes. Toujours affaibli, Ocon espère qu’il sera plus en forme ce samedi pour la séance de qualifications.

« Ce dernier vendredi d’essais de l’année n’a pas commencé dans les meilleures conditions. Je suis assez malade depuis mercredi et je ne me sentais pas très bien en entrant dans le paddock aujourd’hui. » nous confie le Français ce vendredi soir à Abou Dhabi.

Malgré son état, Esteban Ocon était tout de même dans le rythme de son coéquipier lors des EL2, bien que cette séance a été largement perturbée par les drapeaux rouges agités après les crashs de Carlos Sainz et Nico Hülkenberg.

« Les EL2 ont été perturbés par deux drapeaux rouges, d’où un roulage très limité. » a ajouté Esteban Ocon qui a terminé quatorzième à deux dixièmes de Pierre Gasly.

« Nous avons fait de notre mieux avec notre programme et j’ai déjà hâte de faire plus de tours demain afin d’être aussi prêt que possible pour les dernières qualifications de l’année. Il y en a davantage à venir de notre côté. »

Avant le départ du Grand Prix d’Abou Dhabi, l’équipe Alpine occupe la sixième place au championnat du monde des constructeurs, place à laquelle elle terminera cette saison tant son retard est grand sur Aston Martin (153 points).

Le pilote Williams Logan Sargeant a reçu une réprimande ce vendredi au Grand Prix d’Abou Dhabi, tandis que son équipe a reçu une amende de 5000 euros pour avoir gêné l’Alpine de l’Australien Jack Doohan en piste lors de la première séance d’essais libres.

Lors des EL1 ce vendredi à Abou Dhabi, la Williams de Logan Sargeant se trouvait au ralenti en pleine trajectoire à la sortie de l’avant-dernier virage, alors que le pilote Alpine Jack Doohan arrivait à ce moment-là à pleine vitesse lancé sur un tour rapide.

Doohan a vu la Williams de Sargeant au tout dernier moment et a donc mis un coup de volant à droite pour l’éviter, mais au même instant, le pilote Williams a lui aussi mis un coup de volant à droite en voyant la monoplace de Doohan arriver derrière lui à vive allure. Le crash a été évité de justesse, mais les deux pilotes se sont fait une belle frayeur.

Placé sous enquête pour cet incident, le pilote Williams a finalement écopé d’une réprimande alors que son équipe a écopé d’une amende de 5000 euros pour ne pas avoir averti Sargeant de l’arrivée de l’Alpine de Doohan derrière lui.

Dans leur rapport, les commissaires ont tout de même indiqué la présence de circonstances atténuantes compte tenu du fait que 50% du peloton étaient des pilotes remplaçants lors des EL1, « ce qui a entraîné de nombreux plans de course différents, rendant difficile pour les équipes de prédire si les voitures allaient effectuer des tours rapides ou non. »

Sur un plan purement sportif, Logan Sargeant a signé le onzième temps des EL1, alors que Jack Doohan a signé le treizième chrono de la session ce vendredi à Abou Dhabi.

L’écurie Aston Martin a écopé d’une amende de 5000 euros ce vendredi au Grand Prix d’Abou Dhabi pour avoir omis d’avertir son pilote Lance Stroll de l’arrivée de la Mercedes de Frederik Vesti derrière lui au cours de la première séance d’essais libres.

Après avoir entendu le pilote Lance Stroll, visionné les différentes caméras et écouté les communications radio, les commissaires ont estimé que c’est l’équipe Aston Martin qui a commis l’erreur de ne pas avertir son pilote suffisamment tôt que la Mercedes du Danois arrivait à pleine vitesse derrière lui.

Pour cette erreur, l’écurie Aston Martin a donc écopé d’une amende de 5000 euros. Les commissaires ont également rappelé dans leur rapport qu’il est essentiel que les équipes communiquent efficacement l’approche d’autres voitures à leurs pilotes.

Sur un plan purement sportif, Lance Stroll a signé le cinquième temps lors de la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Abou Dhabi, tandis que Frederik Vesti – qui remplaçait Lewis Hamilton au volant de la Mercedes dans le cadre des essais réservés aux jeunes pilotes – a signé le douzième temps des EL1.

Ce week-end à Abou Dhabi, la FIA utilise pour la première fois l’intelligence artificielle pour lutter contre les violations de limites de piste, le but étant de réduire la charge de travail du centre d’opérations à distance de l’instance dirigeante et d’apporter une réponse plus rapide en cas de violation des limites de piste par un pilote.

La FIA teste ce week-end à Abou Dhabi la technologie Computer Vision qui utilise l’analyse de forme pour déterminer le nombre de pixels dépassant les limites de piste. L’IA sera ainsi capable de détecter en temps réel si un pilote a franchi les limites de piste avec les quatre roues, ce qui devrait réduire considérablement la charge de travail des délégués de la FIA au centre d’opérations déporté.

Un peu plus tôt cette année, le Grand Prix d’Autriche a constitué un record pour le sport avec plus de 1200 violations des limites de piste devant être traitées par seulement quatre personnes en plus d’autres tâches. Un peu plus tard dans la saison au Qatar, l’effectif a été doublé avec huit personnes chargées d’évaluer le respect des limites de piste.

Au Grand Prix des Etats-Unis à Austin, certaines violations des limites de piste n’ont pas été punies, ce qui a permis à l’écurie Haas de contester les résultats de l’épreuve. Cependant, la FIA a rejeté la contestation de l’équipe américaine car les preuves apportées lors d’une audience qui a eu lieu en visioconférence quelques jours après le Grand Prix des Etats-Unis n’étaient pas « nouvelles ».

La FIA a toutefois reconnu que les commissaires étaient dans l’incapacité à faire respecter correctement les limites de piste et qu’une solution devait être trouvée rapidement.

En réponse donc, la FIA teste ce week-end lors de la dernière manche de la saison 2023 le système Computer Vision basé sur l’intelligence artificielle, un système qui – si les résultats sont satisfaisants – pourrait être utilisé en Formule 1 à partir de la saison 2024.