Les pilotes de F1 reçoivent désormais des notes dans le jeu F1 2020 de Codemasters

La Formule 1 a dévoilé en exclusivité ce jeudi la dernière nouveauté du jeu officiel F1 2020 de Codemasters, qui sortira le 10 juillet prochain.

le dernier opus de Codemasters promet de faire passer le réalisme au niveau supérieur, notamment grâce à l’inclusion de notes pour les pilotes des grilles F1 et F2 en fonction de leurs capacités dans le monde réel.

Cette nouveauté sera incluse dans le mode carrière de F1 2020 est s’intitulera « Mon équipe » où les joueurs pourront créer leur propre équipe de F1 et choisir le pilote qui courra à leurs côtés en tant que coéquipier.

Les notes fixées à chaque pilote vont de 1 à 99 et sont données à partir de quatre catégories différentes : l’expérience, compétences derrière le volant, la prise de conscience et le rythme.

Expérience : Un score d’expérience plus élevé aidera les joueurs à collecter un plus grand nombre de «points de ressource», utilisés dans le jeu pour acheter des améliorations de voiture.

Compétences : Un score compétences plus élevé permet au conducteur de déclencher des dépassements plus efficaces.

Prise de conscience : Un score plus élevé signifie que le pilote est moins susceptible de perdre le contrôle de sa voiture lorsque la situation devient difficile.

Le rythme : Tout simplement, plus le score de rythme est élevé, plus un pilote sera rapide tout au long d’une course.

Ci dessous, la Formule 1 a dévoilé en exclusivité les notes des pilotes Red Bull, AlphaTauri et Racing Point. Les autres notes arriveront dans les prochains jours (cet article sera mis à jour).

Red Bull Racing

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Racing Point

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AlphaTauri

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Mercedes 

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Giovinazzi estime que ce n’était pas « le bon moment » pour remplacer Vettel chez Ferrari

L’Italien Antonio Giovinazzi se dit « vraiment heureux » d’avoir fait partie de la liste restreinte des pilotes susceptibles de remplacer Sebastian Vettel chez Ferrari, mais admet que « ce n’était pas le bon moment. »

Antonio Giovinazzi, seul pilote italien de la grille actuelle en F1, a longtemps été présenté comme un sérieux candidat au remplacement de Sebastian Vettel chez Ferrari à partir du moment où le quadruple champion du monde déciderait de partir.

Mais finalement, contre toute attente, la Scuderia Ferrari a annoncé la signature d’un pilote extérieur à Maranello il y a quelques semaines (Carlos Sainz) lorsque l’équipe italienne a officialisé le départ de Vettel à la fin de cette saison 2020.

« Je fais toujours partie de la famille et j’étais vraiment heureux d’avoir au moins peut-être la possibilité de prendre ce baquet. » a déclaré Giovinazzi sur Sky Sports.

« Dans ma carrière, je n’ai jamais eu quelques chose de facile. Je me suis toujours battu. Je pense que ce n’était peut-être pas le bon moment, après 23 Grands Prix. »

« L’année dernière, j’ai très bien évolué en cours de saison, mais cette année nous n’avons pas encore couru, donc c’est vraiment difficile pour moi. »

« Je suis encore jeune, donc je suis certain que si je continue comme ça et que je continue à me battre et à travailler très dur, je peux avoir cette possibilité. »

Questionné par la journaliste de Sky Sports pour comprendre pourquoi ce n’était pas le bon moment – en considérant que son prédécesseur chez Alfa Romeo, Charles Leclerc, n’a eu qu’une seule saison avant de rejoindre Ferrari – l’Italien a fait allusion à des circonstances différentes.

« Je sais que Charles a également eu une saison, puis est allé tout de suite chez Ferrari, mais de mon côté, si nous regardons en arrière, nous avons eu du mal dans la deuxième partie de la saison avec la voiture. »

« Donc, même si j’ai grandi en tant que pilote, les résultats n’étaient pas vraiment là. Mais je fais toujours partie de Ferrari et aussi ce que Mattia [Binotto, directeur de la Scuderia Ferrari] dit, c’est qu’ils me suivent toujours et suivent ma carrière. C’est quelque chose de vraiment génial. »

« Je suis certain qu’en continuant à travailler avec Alfa Romeo, nous pourrons toujours avoir un excellent résultat ensemble et c’est mon objectif principal pour l’instant, parce que c’est mon équipe actuellement. »

« Dans le futur nous verrons bien. Je suis toujours un pilote Ferrari, donc je suis sûr que je peux encore avoir cette occasion. »

Leclerc, Norris et Giovinazzi au Mans plutôt qu’à Montréal

Charles Leclerc, Lando Norris et Antonio Giovinazzi ne participeront pas à la dernière épreuve de la série « Virtual Grand Prix » organisée par la Formule 1 ce dimanche.

Les épreuves de courses sur simulateur ont connu un grand succès auprès des pilotes de F1 ces dernières semaines avec un noyau de pilotes réguliers composé de Charles Leclerc, Alex Albon, Lando Norris, George Russell, Antonio Giovinazzi et Nicholas Latifi.

Mais ce week-end pour la grande finale du championnat Virtual Grand Prix, trois d’entre eux seront en ligne sur une autre plate-forme pour participer à l’épreuve mythique des 24 Heures du Mans virtuelles.

Alors que les deux courses ne s’affrontent pas directement, l’épreuve d’endurance occupera la majeure partie du week-end à un moment où les pilotes se préparent à la reprise de la course en Autriche dans trois semaines.

Leclerc, Norris et Giovinazzi ne pourront donc pas participer à la grande finale du championat  Virtual Grand Prix qui se disputera sur le jeu F1 2019 de Codemasters sur le tracé Gilles Villeneuve de Montréal.

L’absence de Charles Leclerc pour cette course signifie que le Britannique George Russell sera automatiquement titré, puisque le pilote Williams a 31 points d’avance sur son plus proche rival, Alexander Albon.

Notez que le Français Pierre Gasly a lui aussi été confirmé aux 24 Heures du Mans virtuelles ce week-end, mais le pilote AlphaTauri a tout de même décidé de participer au Grand Prix du Canada virtuel.

Le Grand Prix virtuel du Canada sera diffusé ce dimanche en direct à partir de 19h00 (heure de Paris) sur les différents canaux de communication de la F1 : YouTube, Facebook et F1.com.

Une jeune femme pilote bientôt chez Ferrari

La FIA et sa commission Women in Motorsport ont lancé le « FIA Girls on Track – Rising Stars », un nouveau projet innovant pour détecter et accompagner les talents féminins du futur.

Le projet, en association avec son premier partenaire, la Scuderia Ferrari, vise à identifier les meilleures pilotes âgées de 12 à 16 ans du monde entier et à les aider à accéder à une carrière professionnelle dans le sport automobile.

En s’associant à la Scuderia Ferrari et sa FDA (Ferrari Driver Academy), la FIA espère développer conjointement une voie forte et à long terme pour accompagner les jeunes femmes dans leur parcours en sport automobile.

Cette collaboration permet aux deux parties de s’engager dans un programme de quatre ans, ce qui permettra à deux pilotes de rejoindre Ferrari pour une saison du championnat FIA de Formule 4.

« FIA Girls on Track – Rising Stars est un autre immense pas en avant au niveau du sport et, avec des partenaires constructeurs, nous avons une opportunité vraiment concrète de trouver, développer et soutenir les jeunes femmes pilotes. » a déclaré Michelle Mouton, Présidente de la Commission des femmes dans le sport automobile auprès de la FIA.

« Pouvoir collaborer avec Ferrari, notre premier partenaire du programme, est une reconnaissance fantastique et réelle des progrès que nous continuons de faire après 10 ans de travail de notre Commission. »

« Il s’agit d’un accord pluriannuel incroyablement excitant, qui, nous l’espérons, fera que deux pilotes gagnantes deviendront les toutes premières coureuses de Ferrari. »

« C’est une pensée très spéciale et ce serait un moment historique pour notre commission Women in Motorsport. »

« Nous sommes très heureux de collaborer avec la FIA dans ce programme innovant Girls on Track – Rising Stars. » a jouté Mattia Binotto, directeur de la Scuderia Ferrari.

« Nous croyons fermement à la valeur d’aider les jeunes à se développer dans le sport automobile. »

« La FDA fonctionne depuis plus d’une décennie maintenant, non seulement en sélectionnant purement et simplement les meilleurs pilotes, mais en travaillant également sur leur éducation culturelle, technique et éthique. »

« Dans cet esprit, nous avons estimé que nous devions faire un effort supplémentaire pour étendre notre zone d’opération afin d’inclure les jeunes femmes qui souhaitent se lancer dans le sport automobile. »

« Bien qu’il n’y ait aucun obstacle réel à leur participation, nous sommes conscients qu’il est plus difficile pour les femmes de progresser dans ce domaine. »

« C’est pourquoi nous avons répondu avec enthousiasme à l’initiative de la FIA et nous pensons que nous pouvons aider à initier encore plus de jeunes femmes à ce sport fantastique. »

« Qui sait, peut-être verrons-nous un jour une femme participer à un championnat du monde de Formule 1 pour la première fois depuis 1976. »

Pirelli rejoint le programme

Le manufacturier de pneus Pirelli a également décidé de rejoindre Ferrari et la FIA en soutenant le programme pour soutenir la progression des jeunes femmes dans le sport automobile.

« Pour Pirelli, c’est un plaisir de soutenir cette initiative qui est totalement alignée sur notre tradition. » a déclaré Mario Isola, directeur de Pirelli en F1.

« En fait, Pirelli soutient des programmes pour jeunes pilotes depuis de nombreuses années et a été impliqué avec la FIA dans plusieurs campagnes axées sur la durabilité et la sécurité. »

« FIA Girls on Track – Rising Stars rassemble tous les meilleurs de ces points et possède de nombreuses caractéristiques pour écrire une page importante dans l’histoire du sport automobile. »

Un stage à la FDA à la clé

Le programme FIA ​​Girls on Track – Rising Stars a débuté plus tôt cette année avec une détection mondiale parmi les 145 autorités sportives nationales de la FIA, qui ont nommé de jeunes pilotes prometteuses ayant une expérience de course nationale ou internationale.

Vingt pilotes des cinq continents ont déjà été sélectionnées et seront désormais invitées à un rassemblement en octobre organisé par la Winfield Racing School, l’école de course emblématique et historique basée sur le Circuit Paul Ricard en France.

À partir de là, 12 pilotes seront sélectionnées pour participer à deux camps d’entraînement différents axés sur le karting et la Formule 4 en octobre et novembre, également organisés par Winfield Racing School avec son partenaire de karting, Praga.

Seules quatre pilotes seront ensuite sélectionnées pour suivre une formation d’une semaine à la Ferrari Driver Academy, également en novembre.

Basée à Maranello, en Italie, l’Académie a pour objectif d’aider à façonner les pilotes dans différents aspects de la préparation personnelle et de la technique de pilotage, ainsi que de les initier au monde économique et médiatique du sport.

La Formule 4 en 2021

Sous réserve de l’évaluation finale, la meilleure des quatre pilotes pourrait se voir attribuer un contrat d’un an pour rejoindre le programme Ferrari Driver Academy pour une saison de Formule 4 FIA en 2021.

Ferrari ayant la possibilité de renouveler le contrat de pilote pour une année supplémentaire, sa première femme pilote de course pourrait également concourir en 2022.

Charles Leclerc de retour en piste au volant d’un Karting

Le pilote Ferrari Charles Leclerc était de retour sur une piste au volant d’un Karting ce mercredi, alors que le Monégasque prépare activement son retour aux affaires avec le début de la saison 2020 programmé le 5 juillet en Autriche.

Charles Leclerc s’est rendu sur la piste South Garda Karting de Lonato en Italie – un incontournable du calendrier européen de karting, que ses rivaux George Russell et Alex Albon ont également visité pendant les vacances d’hiver 2019-2020 – pour y faire quelques tours mercredi, avec des images de la course diffusées en direct via Twitch sur son compte officiel.

« C’est si bon d’être de retour sur la piste. C’était une journée amusante, je piloterai à nouveau demain [jeudi]. » a déclaré Leclerc sur son compte Twitter.

Le Monégasque profite de ces deux journées de roulage pour se remettre en jambe avant de pouvoir rouler au volant d’une F1 dans les prochains jours pour le compte de Ferrari, qui s’apprête à mettre en piste une monoplace de la saison 2018.

En effet, tout comme Mercedes cette semaine, la Scuderia Ferrari va permettre à ses deux pilotes de rouler au volant de la SF71H sur la piste de Fiorano dans le cadre de tests privés et qui serviront uniquement à « enlever la rouille » et aider l’équipe à se familiariser avec les nouveaux protocoles sanitaires mis en place dans le paddock par la Formule 1.

Seulement cinq pilotes de F1 confirmés pour la finale « Virtual Grand Prix »

La F1 a confirmé la présence de cinq pilotes de la grille actuelle ce dimanche pour la grande finale du championnat virtuel de Formule 1.

Ce dimanche 14 juin se tiendra en effet la finale du championnat « Virtual Grand Prix » organisé par la catégorie reine du sport automobile pour pallier au manque d’action en piste en raison de la crise sanitaire.

Pour cette ultime course, qui se disputera sur le tracé Gilles Villeneuve de Montréal, cinq pilotes de F1 ont été confirmés : Valtteri Bottas, George Russell, Alexander Albon, Pierre Gasly et Nicholas Latifi.

Notez que Charles Leclerc ou encore Lando Norris ne seront pas présents pour cette grande finale, ce qui assure quasiment le titre à George Russell, qui a 31 points d’avance sur Alex Albon avant cette ultime manche.

Plusieurs pilotes de Formule 2 et de Formule 3 ont confirmé leur présence, tandis que des grands noms du sport ou des réseaux sociaux seront également présents pour ce Grand Prix virtuel du Canada.

L’épreuve sera à suivre ce dimanche 14 juin à partir de 19h00 (heure de Paris) sur les différents canaux de communication de la F1 : YouTube, Facebook ou encore F1.com.

Carlos Sainz est un choix très intelligent de la part de Ferrari selon Jean Alesi

L’ancien pilote de F1 Jean Alesi estime que Ferrari a fait le bon choix en signant l’Espagnol Carlos Sainz à partir de la saison prochaine.

Sainz, qui roule actuellement pour l’équipe McLaren, rejoindra le Monégasque Charles Leclerc chez Ferrari l’an prochain, en remplacement direct de Sebastian Vettel, qui quittera l’écurie de Maranello après six années.

Pour Alesi, le choix de la Scuderia Ferrari est très intelligent, notamment parce que Carlos Sainz ne devrait pas faire de vagues et se concentrera sur son pilotage aux côtés du jeune Leclerc.

« Carlos Sainz est un choix très intelligent de la part de Ferrari. Il est un très bon pilote, avec une famille bien établie dans le sport automobile. » explique Jean Alesi à la Gazzetta Dello Sport.

« Le succès ne leur est pas monté à la tête, de plus, il a déjà piloté pour des équipes telles que Renault ou McLaren. »

« Charles Leclerc ne pourra pas supporter seul le poids de Ferrari sur ses épaules, il a besoin d’un coéquipier rapide et qui ne fait pas de politique au sein de l’équipe. »

Racing Point fera rouler sa monoplace 2020 la semaine prochaine à Silverstone

L’équipe Racing Point fera rouler sa monoplace de la saison 2020 le mercredi 17 juin sur le circuit de Silverstone dans le cadre d’un tournage promotionnel rapporte l’Equipe.

Mercredi 17 juin, le Canadien Lance Stroll sera au volant de la RP20 de cette saison lors d’un essai limité à 100 kilomètres sur le circuit britannique de Silverstone, comme l’autorise la réglementation.

En effet, les équipes ont le droit à deux journées de « skakedown » pour collecter des images pour les partenaires et médias pendant une saison, ce qui leur permet d’utiliser la monoplace de l’année en cours mais pour un kilométrage limité.

De plus, les équipes doivent impérativement utiliser des pneumatiques spéciaux de démonstration fournis par Pirelli, afin d’éviter que certaines écuries ne profitent de ces journées de roulage pour collecter des données leur servant pour la saison en cours.

Tout comme Mercedes l’a déjà fait cette semaine avec deux journées de tests privés à Silvertone, l’équipe Racing Point profitera de cette journée de roulage pour se familiariser avec les nouveaux protocoles sanitaires mis en place par la F1 en raison de la crise sanitaire.

Un programme solide et de bonnes sensations pour Hamilton à Silverstone

Lewis Hamilton a retrouvé ses sensations ce mercredi au volant d’une Mercedes vieille de deux ans sur le tracé de Silverstone.

L’équipe Mercedes a réalisé deux journées de tests sur le circuit de Silverstone ce mardi et ce mercredi afin de se familiariser avec les nouveaux protocoles sanitaires que la F1 a mis en place pour cette saison 2020 en raison de la crise sanitaire.

Pour les pilotes, ce fut l’occasion de reprendre leurs marques, après plus de trois mois sans roulage sur une piste.

« A partir du moment où on sort du garage pour la première fois, il y a toujours ce buzz, peu importe depuis combien d’années on fait ça. » a expliqué Hamilton dans une vidéo publiée par l’équipe Mercedes.

« Il y a toujours de nouvelles sensations, bien-sûr, c’est une ancienne monoplace, mais elle reste fantastique. »

« Nous avons suivi un programme solide aujourd’hui, Valtteri a réalisé sa journée sur une piste sèche, alors que la mienne a débuté sur le mouillé, elle était grasse. »

« Mais j’ai grandi avec ce type de météo, j’y suis donc habitué. J’ai quand même pu avoir de bonnes sensations et je n’ai jamais eu l’impression de m’être arrêté, donc, c’est positif. »

« Je pense qu’à chaque fois que nous avons une longue pause – je crois que là c’était 103 jours ou quelque chose comme ça – on se demande si on arrivera encore à piloter. Mais ce sont de bonnes sensations, je suis prêt, je suis en forme. »

Bottas assure qu’il n’a « aucun stress » pour son baquet chez Mercedes en 2021

Valtteri Bottas insiste sur le fait qu’il n’a « aucun stress » sur les rumeurs selon lesquelles il pourrait être remplacé chez Mercedes – et ne croit pas que Sebastian Vettel soit un candidat pour 2021.

Le Finlandais Valtteri Bottas est encore sous contrat avec Mercedes jusqu’à la fin de la saison 2020, mais bien que le contrat de son coéquipier Lewis Hamilton soit sur le point d’être reconduit, l’avenir de Bottas n’est pas encore très clair au sein de l’équipe du constructeur allemand.

Un certain nombre de pilotes sont cités pour remplacer Valtteri Bottas l’an prochain chez Mercedes – dont Sebastian Vettel – qui quittera Ferrari à la fin de l’année.

Le patron de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, a lui même déjà confirmé que Vettel était une véritable option pour l’équipe en 2021, mais Bottas assure aujourd’hui que le quadruple champion du monde ne viendra pas chez Mercedes l’an prochain.

« C’est la même chose que chaque année pour moi. » assure Valtteri Bottas au micro de Sky Sports ce mercredi.

« Je trouve même plutôt drôle que sans aucune course disputée encore cette saison, il y ait des gens qui obtiennent déjà mon baquet. » 

« Ça m’a fait rire à quelques reprises et il n’y a pas de pression de ce côté là. J’ai mon objectif clair en tête pour la saison et c’est tout. Les choses se régleront ensuite d’une manière ou d’une autre, quoi qu’il arrive. Je n’ai aucun stress à ce sujet. »

Toute l’équipe Mercedes a été testée avant d’arriver à Silverstone

Andrew Shovlin, chef ingénieur chez Mercedes, est revenu un peu plus en détail sur les deux dernières journées passées à Silverstone par son équipe.

Depuis ce mardi, l’équipe Mercedes est à Silverstone pour effectuer des tests privés avant la reprise officielle de la saison 2020 en Autriche en juillet.

Ces essais privés servent avant tout à l’équipe pour se familiariser avec les nouvelles normes sanitaires mises en place par la F1 dans le paddock, alors que les pilotes quant à eux en profitent pour reprendre leurs marques au volant d’une monoplace.

Mardi, c’est le Finlandais Valtteri Bottas qui était en piste, alors que son coéquipier Lewis Hamilton a pris le relais ce mercredi au volant d’une Mercedes W09 de la saison 2018.

Andrew Shovlin nous explique que l’équipe a été testée avant de se rendre sur le circuit de Silverstone et qu’aucun employé n’a été infecté par le coronavirus.

« Nous avons presque fini la deuxième journée ici à Silverstone. Nous sommes ici avec l’équipe de course et les pilotes. Nous essayons principalement de nous préparer à courir en Autriche et faire en sorte que toutes les procédures pour ne pas transmettre le virus fonctionnent sans entraver la course. » explique Andrew Shovlin dans une courte vidéo publiée par Mercedes ce mercredi soir.

« Vous verrez ici beaucoup de gens qui portent le masque, nous faisons ça dés que nous ne pouvons pas maintenir les distances de sécurité et dans le garage également, nous tenons les distances entre les personnes. »

« Evidemment la difficulté se pose quand les mécaniciens sont autour de la voiture puisqu’il est compliqué de garder cet écart entre eux. »

« Pour venir ici, tout le monde a été testé. Personne dans l’équipe n’a le virus pour le moment. Nous sommes donc assez confiants qu’avec ces procédures, nous pourrons garder l’équipe en sécurité et on espère que le sport pourra continuer et que nous aurons du succès en course. »

Toto Wolff espère au moins 12 courses en F1 en 2020

Toto Wolff, le patron de l’équipe Mercedes, espère que la F1 sera en mesure de dévoiler un calendrier solide après les courses Européennes.

Un calendrier Européen comportant les huit premières courses s’étalant de juillet à septembre a déjà été annoncé par la F1 le mois dernier, alors que les équipes s’attendent à terminer la saison 2020 fin décembre, voire début janvier 2021.

La Formule 1 doit encore publier le calendrier définitif de la saison 2020 (normalement d’ici fin juin) qui devrait être composé d’au moins 15 courses pour un maximum de 19 épreuves. Cependant, plusieurs manches hors Europe sont encore en sursis en raison de la crise sanitaire,  notamment le GP d’Azerbaïdjan, celui du Canada ou encore le Japon.

En cas d’annulation de ces épreuves, la F1 pourrait décider de rester un peu plus longtemps en Europe sur des tracés ne faisant pas partie du calendrier officiel (Hockenheim, Mugello, Imola…).

Le patron de l’équipe Mercedes quant à lui espère que la Formule 1 arrivera à trouver un bon compromis pour la suite de la saison et que les deux dernières courses normalement prévues à Bahreïn et Abou Dhabi seront bien confirmées.

« Le calendrier de course réduit est un défi pour tout le monde et encore une fois, je pense que l’équipe qui a la voiture la plus rapide et le package le plus fiable remportera le championnat. » souligne l’Autrichien.

« En ce qui concerne les courses à l’étranger: je pense qu’il est bon que nous ayons un calendrier européen solide et j’espère que les deux courses au Moyen-Orient à la fin de l’année seront bientôt confirmées. »

« Ensuite, nous devons voir comment [la situation dans] chaque pays se développe. C’est une cible mouvante et j’espère vraiment que nous aurons un bon calendrier outre-mer à l’automne. »

12 courses au minimum

« Et puis il s’agit de combler le grand vide à l’automne. J’espère que nous pourrons avoir 12 courses ou plus au minimum. » a t-il ajouté sur Sky Sports.

« C’est un défi. Nous savons tous pourquoi, mais je pense que nous devons à nos fans de leur donner des courses et de proposer un bon spectacle. »

« Bien sûr, ce sera lourd pour nous tous, avec des triples week-ends , on ne pourra pas rentrer à la maison, mais ce sont ces circonstances spéciales. »

Lewis Hamilton salue les « mesures positives » prises contre le racisme

Lewis Hamilton a salué les « mesures positives » prises dans la lutte contre le racisme à la suite des manifestations mondiales des deux dernières semaines.

Le sextuple champion du monde s’est une nouvelle fois exprimé sur les réseaux sociaux et a noté cette fois « les progrès réalisés grâce à nos voix et nos actions collectives ».

Lewis Hamilton, le premier pilote noir en F1, a déclaré la semaine dernière qu’il était « submergé par la rage face au racisme » et a ensuite demandé aux différents gouvernements de supprimer tous les symboles racistes, comme l’ont fait des manifestants dimanche dernier à Bristol en déboulonnant la statue d’Edward Colston, un négrier décédé au 18° siècle.

Avant son retour dans le cockpit d’une F1 ce mercredi à Silverstone pour un test privé, Hamilton a écrit sur les réseaux sociaux : « Nous avons vu des lois être adoptées. Nous avons vu des policiers tenus pour responsables et accusés de leurs actes. »

« Les marques ont commencé à s’aligner sur le mouvement Black Lives Matter et se renseignent sur la manière de faire mieux. »

« Il y a également eu une forte augmentation de la vente de livres antiracistes, et beaucoup regardent des films et des documentaires pour mieux se renseigner sur notre expérience. »

« De plus en plus, les gens veulent en savoir plus sur l’histoire des Noirs. Ce n’est que le début et il y a encore tellement de changements à venir. »

La F1 ne veut pas se presser pour annoncer son calendrier 2020 définitif

Ross Brawn dit que la F1 peut se permettre de prendre son temps avant d’annoncer la suite du calendrier de la saison 2020.

Pour le moment, la F1 a annoncé les huit premières dates de son calendrier 2020, avec un début de saison programmé sur le Red Bull Ring de Spielberg en Autriche le 5 juillet prochain.

Ces huit premières courses se disputeront toutes en Europe et à huis clos, alors que certaines manches seront doublées comme le Grand Prix d’Autriche et celui de Grande Bretagne.

Après les manches européennes, dont la dernière devrait être le Grand Prix d’Italie à Monza le 6 septembre, la Formule 1 devrait logiquement partir vers l’Asie, les Amériques et enfin les pays du Golfe.

Cependant, Ross Brawn souligne que dans certains pays la crise sanitaire n’est pas encore terminée, ce qui pourrait poser des problèmes à la F1 pour s’y rendre. On pense notamment à Singapour, dont le montage du circuit urbain nécessite un certain préavis, ce qui pourrait mettre en péril la tenue de cette course.

« Chaque pays en est à différentes phases de cette pandémie. » explique Ross Brawn, manager sportif de la F1, à Sky Sports.

« Il y a certains pays où c’est plus difficile en ce moment, mais nous sommes optimistes quant au fait qu’il y aura des améliorations suffisamment à temps pour que nous puissions y aller. »

« Je pense que là où nous avons des circuits permanents il sera plus facile de faire une annonce tardive, alors que là où nous devons construire un circuit, il faudra plus de préavis. »

« Mais bien-sûr, avec les courses « flyaway », la logistique est plus difficile. Cela peut s’avérer être un challenge en seconde partie [de saison], mais je pense que nous aurons une saison assez décente. Il y a beaucoup de choses qui commencent à se mettre en place. »

On s’attend tout de même à ce que le calendrier définitif de la saison 2020 de la F1 soit publié d’ici la fin du mois de juin.

La F1 rediffuse le Grand Prix du Japon 2005 ce mercredi

La F1 rediffuse ce mercredi 10 juin le Grand Prix du Japon 2005 remporté par le Finlandais Kimi Raikkonen.

Le Grand Prix du Japon 2005, disputé sur le tracé de Suzuka, a été remporté par Kimi Raikkonen, qui a dépassé Giancarlo Fisichella dans le dernier tour de course.

Après une séance de qualifications disputée sous des trombes d’eau, c’est l’Allemand Ralf Schumacher qui s’élance depuis la pole position au GP du Japon 2005, devançant Jenson Button et Giancarlo Fisichella.

A la fin du premier tour de course, Juan Pablo Montoya sort violemment de la piste, obligeant la direction de course à déployer la voiture de sécurité. La Safety Car libère finalement la meute au bout du septième tour et la course reprend.

Après une première vague de ravitaillements, Fernando Alonso double finalement Michael Schumacher au 20° tour de course.

Pendant ce temps-là, Kimi Raikkonen qui s’élançait depuis la dix-septième position sur la grille de départ au volant de sa McLaren-Mercedes, remontait peu à peu le peloton jusqu’au moment où il arrive à dépasser Michael Schumacher au 29° tour.

Finalement, grâce à une seconde valse de ravitaillements, Raikkonen arrive à remonter jusqu’à la seconde position en course derrière Giancarlo Fisichella et arrive à réduire l’écart à seulement 1,8 secondes à 4 tours de l’arrivée.

En cette fin de course, la McLaren du Finlandais semble bien plus rapide que la Renault de l’Italien et Raikkonen le prouve en prenant finalement l’avantage sur Fisichella à l’entame du dernier tour.

Après une fin de course incroyable, Kimi Raikkonen décroche sa septième victoire de la saison et probablement l’une des plus belles de sa carrière. Giancarlo Fisichella terminera second, devant son coéquipier Fernando Alonso.

Le Grand Prix du Japon 2005 sera rediffusé ce mercredi 10 juin à partir de 20h00 (heure de Paris) sur les différents canaux de communication de la F1 : YouTube, Facebook et F1.com.

Le constructeur Honda touché par une cyberattaque

Le constructeur japonais Honda a été victime cette semaine d’une cyberattaque, l’obligeant à suspendre une partie de sa production automobile.

Un porte parole de l’entreprise a confirmé à Reuters que l’attaque présumée a affecté lundi la production de Honda dans le monde, forçant certaines usines à arrêter leurs opérations car la société devait s’assurer que ses systèmes de contrôle qualité n’étaient pas compromis.

Honda a donc lancé des vérifications sur l’ensemble de ses serveurs, alors qu’un porte parole a confirmé à la BBC que : « Le virus s’est diffusé dans notre réseau. »

« Des travaux sont en cours pour minimiser l’impact et restaurer la pleine fonctionnalité des activités de production, de vente et de développement. »

Le constructeur Honda s’est montré plutôt rassurant dans un premier temps, minimisant l’impact de cette cyberattaque et ne déplorant pas de vols de données pour le moment.

Aucun impact sur le programme F1

Concernant les opérations en F1 de Honda, qui développe ses unités de puissance au Japon dans son usine de Sakura et qui a également une autre usine au Royaume-Uni à Milton Keynes près de son client Red Bull, un porte parole a déclaré à nos confrères de RaceFans que cette attaque n’avait eu aucune incidence sur ses opérations qui : « se déroulent comme d’habitude, alors que nous nous préparons pour la reprise de la saison. »

La reconduction d’Hamilton chez Mercedes devrait être une simple formalité

Toto Wolff, le directeur de l’équipe Mercedes, admet que la reconduction de Lewis Hamilton pour 2021 ne sera qu’une simple formalité.

Le sextuple champion du monde de F1, Lewis Hamilton, arrive en fin de contrat avec son équipe Mercedes cette année, mais son patron Toto Wolff ne semble pas inquiet lorsqu’on évoque les discussions avec son pilote à ce sujet.

Wolff semble prendre pour acquis la reconduction de Lewis Hamilton et admet même ne pas en avoir encore discuté en détail avec lui, alors que les deux hommes ne se sont pas vus pendant le confinement.

« Nous ne nous sommes pas vus pendant le confinement. Mais nous étions en contact très régulier. Nous n’avons pas travaillé sur un accord, cependant. Entre nous, il y a beaucoup de confiance. » explique Toto Wolff.

« Nous travaillons ensemble depuis longtemps et pendant ces années ensemble, nous n’avons jamais eu besoin de lire ce qui était écrit dans le contrat, parce que cela vient si naturellement, et donc, une fois que la course reprendra, nous passerons du temps ensemble, nous allons creuser le contrat, regarder les chiffres et les droits, puis nous espérons avoir quelque chose très bientôt. »

Si le contrat de Lewis Hamilton semble déjà prêt à être paraphé par le pilote britannique, le mystère reste entier concernant son coéquipier Valtteri Bottas, qui arrive lui aussi en fin de contrat cette année.

James Allison ne pense pas que la règle sur le handicap aéro freinera l’innovation en F1

James Allison ne pense pas pas que la nouvelle réglementation en matière de handicap aérodynamique freinera l’innovation en F1.

À partir de la saison prochaine, le nombre de tests aérodynamiques autorisés pour chaque équipe sera déterminé par leur position au championnat de l’année précédente, les champions obtenant le moins d’heures en soufflerie que l’équipe classée 10e.

Mercedes pourrait être le plus handicapé par le nouveau système, compte tenu de leur domination au championnat des constructeurs depuis 2014. James Allison, directeur technique chez Mercedes nous explique ce qu’il pense de cette nouvelle réglementation.

« Ce règlement sera introduit l’année prochaine. il commencera donc en 2021, mais réfléchissez à ce que cela signifie: en 2021, nous allons tous utiliser des voitures largement gelées, il s’agira de monoplaces de 2020. » explique Allison dans le dernier podcast de la F1.

« Notre axe de travail important en 2021 sera de préparer cette voiture de nouvelle génération pour 2022, et donc la grande majorité de l’aérodynamique que vous pouvez vous permettre d’investir en 2021 se fera sur la saison suivante, 2022. »

« Donc, la quantité d’aérodynamique que vous pouvez apporter pour 2022 va être déterminée par votre état de forme en 2020. »

« Donc, avec cette toute nouvelle voiture, qui part d’une page blanche, et qui n’a rien à voir du tout avec la génération actuelle de voitures, votre fortune dans ce championnat sera dans une certaine mesure influencée par votre force en 2020, deux saisons auparavant. C’est un système de rétroaction très lent. »

« Je suppose que c’est la nature du défi, mais ce n’est peut-être pas aussi évident à la première lecture de ces règlements. »

Cependant, James Allison a rejeté les affirmations selon lesquelles les nouvelles règles restreindraient la créativité des concepteurs.

« Je ne suis pas sûr que ce soit anti-innovation. quel que soit le niveau de restriction des tests aérodynamiques qui vous est accordé…quel que soit le nombre de runs que vous avez, quelle que soit la quantité de CFD [Computational Fluid Dynamics testing] que vous êtes autorisé à mettre en œuvre, l’incitation à l’innovation sera toujours présente. Ce n’est donc pas anti-innovation. »

Mercedes prêt à considérer d’autres catégories pour recaser son personnel

Le directeur de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, est revenu un peu plus en détail sur les raisons pour lesquelles Mercedes a accepté l’introduction d’un plafond budgétaire plus bas.

A partir de la saison 2021, les équipes de F1 auront un budget annuel plafonné à 145 millions de dollars la première année, le but étant de réduire massivement les coûts en catégorie reine du sport automobile.

Mercedes pour sa part a accepté la réduction de ce plafond – qui était initialement fixé à 175 millions de dollars – ce qui imposera certainement au constructeur allemand la nécessité de recaser du personnel dans d’autres disciplines, sans pour autant quitter la F1.

« je pense que nous vivons dans une réalité financière très différente de celle du pré-Coronavirus. Nous avons accepté le plafond budgétaire inférieur car il est indispensable que les franchises F1 prospères gagnent réellement de l’argent plutôt que d’en perdre. » explique Toto Wolff, le directeur exécutif de l’équipe Mercedes.

« Pour nous, c’est aussi un moyen de s’assurer que Daimler [maison mère de Mercedes] apprécie non seulement les avantages sportifs et marketing de la plate-forme, mais aussi de la rendre aussi neutre que possible en termes de coûts. »

« Je pense que c’est pourquoi nous devons simplement soutenir un tel plafond de coûts. pour nous, cela signifie un réajustement, cela signifie changer notre façon de faire et déployer du personnel dans de nouveaux domaines. »

« Nous avons un département très fort qui s’appelle Mercedes-Benz Applied Science où nous travaillons pour des clients de haute performance et déployons nos services, et qui sait ? Peut-être que nous examinerons d’autres catégories de courses afin de conserver les ressources humaines et la propriété intellectuelle au sein de Daimler, au sein de Mercedes. »

Mercedes en a terminé avec ses tests à Silverstone

L’équipe Mercedes a publié les images des tests privés qui se sont tenus sur le tracé de Silverstone en Angleterre.

Avant de reprendre la piste le 3 juillet prochain dans le cadre de la première manche de la saison 2020 sur le circuit Red Bull Ring en Autriche, certaines équipes de F1 vont participer à des tests privés sur différents circuits.

Ces essais privés servent avant tout pour permettre aux pilotes de reprendre leurs marques après plusieurs mois à l’arrêt en raison de la crise sanitaire, tandis que le personnel des écuries en profitera pour se familiariser avec le nouveau protocole sanitaire mis en place par la F1 dans les garages.

Ce mardi, l’équipe Mercedes était la première des écuries de la grille à participer à un test privé sur le circuit de Silverstone et c’est le Finlandais Valtteri Bottas qui était en piste le premier derrière le volant d’une monoplace de la saison 2018.

Ce mercredi 10 juin, Lewis Hamilton a pris le relais du Finlandais toujours sur le même tracé, alors que la Scuderia Ferrari a elle aussi programmé des tests privés sur sa piste de Fiorano en Italie cette semaine (les dates sont encore inconnues).

Les images du test Mercedes à Silverstone