Quatorzaine obligatoire au Royaume-Uni : la F1 attend les détails de cette mesure

Les patrons de la F1 sont en pourparlers avec le gouvernement britannique pour savoir si les mesures annoncées ce dimanche auront un impact sur les plans de la F1.

Ce dimanche, le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé que les voyageurs « aériens » arrivant au Royaume-Uni seraient obligés de respecter une quatorzaine dès leur arrivée sur le territoire, afin de lutter contre l’épidémie de coronavirus.

Techniquement, cela pourrait anéantir tous les plans de la F1, qui prévoyait de débuter sa saison au mois de juillet en Autriche, avant de se rendre au Royaume-Uni sur le circuit de Silverstone.

Boris Johnson n’a pas encore révélé tous les détails des plans du gouvernement concernant la mise en quarantaine des arrivées internationales, y compris quand elles seront imposées et pour combien de temps elles devraient durer.

Si cette mesure se poursuit jusqu’en juillet – date à laquelle la F1 souhaite se rendre à Silverstone – elle pourrait avoir un énorme impact sur les plans de la F1 et le Grand Prix de Grande-Bretagne tomberait certainement à l’eau.

Il faudra donc scruter attentivement dans les prochains jours les plans détaillés de cette mesure mise en place par le gouvernement britannique, alors que les patrons de la F1 ont déjà annoncé qu’ils étaient en pourparlers avec le gouvernement britannique.

Un documentaire inédit sur le GP de Monaco historique

La 12e édition du GP F1 de Monaco Historique ayant été annulée en raison de la pandémie de Covid-19, le Circuit de Monaco est resté silencieux ce dimanche 10 Mai 2020.

Le dimanche du Grand Prix de Monaco Historique étant en temps normal un véritable « Jour de Courses », l’Automobile Club de Monaco propose à la communauté du sport automobile de profiter d’images de F1 d’époque et de leurs sons magiques, accompagnés d’entretiens de pilotes de renom ayant participé à l’évènement depuis sa création en 1997, dans un film documentaire inédit.

Ainsi l’Automobile Club de Monaco dédie ce programme de 23 minutes à l’ensemble des personnes impliquées dans la réalisation de cette manifestation internationale unique et exceptionnelle.

Ce film documentaire est l’occasion ce week-end, de stimuler leur passion pour l’Histoire du sport automobile à Monaco, et très certainement aussi, leur enthousiasme de se retrouver pour la prochaine édition. Vous pouvez visionner ce documentaire inédit ci-dessous.

La magie du GP de Monaco Historique

Fanatec annonce une édition limitée de son volant pour F1 2020

Fanatec a décidé une nouvelle fois de proposer aux fans de F1 une édition limitée de son volant Club Sport pour 2020.

Si vous êtes un simracer F1 , vous voulez certainement ce qui se fait de mieux en matière de matériel et Fanatec nous a déjà habitués à de très belles choses depuis quelques années.

Cette année, pour fêter comme il se doit le lancement du jeu F1 2020 le 10 juillet prochain, Fanatec a décidé (tout comme l’année dernière) de lancer une édition spéciale de son volant Club Sport  et qui sera limité à…2020 exemplaires dans le monde ! (ce n’est pas le volant en image d’illustration !)

Ce volant entièrement compatible avec le jeu F1 2020 de Codemasters sera disponible à l’achat à partir de ce jeudi 14 mai à partir de 15h00 (heure de Paris) sur le site internet de Fanatec.

Attention, il ne s’agit là que du volant et il vous faudra évidemment déjà être en possession d’une base Fanatec compatible pour pouvoir l’utiliser. Aucun prix pour le moment n’a été dévoilé par le fabriquant, mais celui-ci devrait se situer dans une fourchette allant de 350 à 400 euros. Ce volant Fanatec sera évidemment compatible avec la PS4, Xbox, et PC.

Pour pouvoir faire partie des 2020 chanceux sur la planète à avoir ce Fanatec F1 2020, il vous suffit de vous rendre sur le site du fabricant (à cette adresse) ce jeudi 14 mai à 15h00.

Gameplay F1 2020

Stewart : « il y a plus d’accidents au premier virage de nos jours en F1 »

Sir Jackie Stewart est convaincu qu’en F1 il y a plus d’accidents au premier virage maintenant qu’auparavant.

Selon le triple champion du monde de F1 Jackie Stewart, les pilotes de la génération actuelle prennent beaucoup plus de risques au premier virage lors des départs qu’auparavant.

Pour l’Ecossais, les progrès en terme de sécurité au fil des années en F1 ont certainement joué un rôle dans l’accroissement du nombre d’incidents survenus au premier virage en raison du sentiment de sécurité total que peuvent avoir les pilotes dans leur cockpit désormais.

« Il y a plus d’accidents au premier virage de nos jours. » a déclaré Sir Jackie Stewart dans le podcast de la F1.

« Aujourd’hui, les gens prennent des libertés que nous ne nous serions jamais permises autrefois. Désormais, ils prennent de nombreux risques, parce qu’ils savent que les voitures sont plus sûres. »

« Je pense que le pire exemple est probablement celui de Hamilton et Rosberg en Espagne lorsqu’au départ de la course ils sont rentrés en collision. Même avec une petite partie de la voiture sur l’herbe, ils essayaient toujours de piloter. »

« Cette certaine liberté ne pouvait exister de nos jours, et si quelqu’un pilotait mal, le GPDA (Grand Prix Driver Association) secouait la personne devant tout le monde à la prochaine course de façon à ce qu’il ne le refasse plus. »

GP d’Espagne virtuel : la grille de départ est désormais compléte

La liste des pilotes présents pour le Grand Prix virtuel d’Espagne qui se déroule ce dimanche est désormais complète.

Les vingt pilotes qui prendront part au Grand Prix d’Espagne virtuel ce dimanche 10 mai sont désormais connus, après les annonces des équipes Mercedes, McLaren et Racing Point.

Outre des pilotes de F1 de la grille actuelle, de nombreuses stars du ballon rond seront également présentes ce dimanche pour le GP virtuel d’Espagne.

Les footballeurs Thibaut Courtois, Arthur Melo ou encore Sergio Aguero viendront se frotter aux pilotes professionnels sur la piste de Catalunya pour une course de Formule 1 virtuelle ce dimanche sur le jeu officiel F1 2019 de Codemasters.

Arthur Melo du FC Barcelone rejoint le pilote d’essais Pietro Fittipaldi pour représenter l’équipe Haas F1, tandis que le gardien du Real Madrid Thibaut Courtois revient pour son deuxième Grand Prix Virtuel, cette fois au volant d’une Alfa Romeo aux côtés d’Antonio Giovinazzi.

La semaine dernière pour le Grand Prix des Pays-Bas (disputé sur le circuit d’Interlagos au Brésil), c’est le pilote Red Bull Alex Albon qui s’est imposé, après une bataille incroyable pour la victoire avec le pilote Ferrari Charles Leclerc.

Pour suivre en direct le GP virtuel d’Espagne ce dimanche, rendez-vous sur les différents canaux de communication de la F1 : Youtube, Facebook, Twitch, Weibo ou encore F1.com.

Le départ de la course sera donné ce dimanche 10 mai à 19h00 (heure de Paris) et la diffusion devrait durer environ 1h30.

Les pilotes présents au GP d’Espagne virtuel

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Lewis Hamilton n’est pas un grand fan des simulateurs de F1

Le sextuple champion du monde de F1 Lewis Hamilton admet qu’il n’est pas un grand fan des courses en ligne sur simulateur.

En cette période de confinement, de nombreux pilotes de F1 se sont occupés en participant à des courses en ligne, mais Lewis Hamilton lui, n’a pas souhaité y participer.

Le sextuple champion du monde de Formule 1 explique qu’il n’est pas un grand fan des simulateurs de pilotage, bien qu’il ait un partenariat avec la franchise Gran Turismo et Sony.

« Je ne m’intéresse pas beaucoup à la conduite de simulateur. » a déclaré Lewis Hamilton à propos des courses en ligne.

« Mais Gran Turismo et Sony viennent de m’envoyer toute cette configuration. J’ai grandi en jouant à Gran Turismo et en passant des heures à gagner de l’argent pour essayer d’acheter toutes ces voitures [dans le jeu] et c’est vraiment une excellente occasion de faire quelque chose avec elles. »

« Donc, je travaille avec eux [Sony] depuis quelques années et je dois relever ce défi de battre mon propre temps. Je cours moi-même en essayant de battre mes propres tours. Ça été assez frustrant, parce que mes tours étaient assez décents je pense. »

Le fait de pouvoir piloter sa propre monoplace dans le jeu (celle de 2017) est l’un des aspects les plus agréables pour le pilote britannique.

« Honnêtement, c’est l’une des choses les plus cool ! Une fois arrivé en F1, je n’ai joué à aucun jeu de course, en particulier la F1, mais je ne sais pas pourquoi. »

« Heureusement, dans ce jeu je n’ai pas eu à travailler beaucoup pour gagner ma voiture. Cela m’aurait pris trop de temps, alors ils m’ont envoyé des crédits et j’ai acheté ma voiture. »

« C’est incroyable de penser au long chemin parcouru et que la voiture que mon équipe et moi avons aidé à faire développer est dans ce jeu et que les gens peuvent la gagner et la piloter. »

Pas fan des simulateurs !

Le sextuple champion du monde de F1 n’est pas un grand fan des simulateurs de F1 et ne pilote que très rarement avec ce genre de matériel.

« Je ne pilote jamais dans un simulateur, très, très rarement. Avec les simulateurs, c’est très difficile, parce que le mouvement n’est jamais parfait. »

« C’est quelque chose qu’ils essaient d’améliorer, mais si vous êtes à la maison avec un simulateur, le siège ne bouge pas, alors que votre esprit vous dit que la voiture bouge, mais vous ne recevez aucun signal de mouvement. »

« Vous devez en quelque sorte passer outre votre esprit et je n’aime pas vraiment faire ça et passer par ce processus. Ensuite, vous entrez dans la réalité et c’est complétement différent. »

« Je ne trouve personnellement aucun avantage à faire de la simulation, mais le côté ludique lorsque vous jouez en ligne avec des amis par exemple est le côté positif. »

Kvyat sur la promotion d’Albon chez Red Bull : « Je n’étais pas très content »

Daniil Kvyat admet qu’il n’était pas très content lorsqu’il a appris en 2019 la nomination d’Alex Albon chez Red Bull Racing.

L’année dernière, le Français Pierre Gasly a été « rétrogradé » chez Toro Rosso, après une première partie de saison 2019 en deçà des attentes de son équipe.

Red Bull Racing a alors pris la décision de placer son jeune pilote Alex Albon à la place de Gasly, alors que le pilote thaïlandais n’en était qu’à sa toute première saison en Formule 1.

Daniil Kvyat, qui a fait son grand retour en F1 en 2019 après une année en off, admet qu’il n’était pas très content sur le coup lorsqu’il a appris que le jeune Albon était promu chez Red Bull, mais le Russe a très vite compris et accepté la décision de l’équipe.

« Bien-sûr, je n’étais pas content, bien que lorsqu’ils m’ont appelé et m’ont communiqué la décision, j’ai respecté cela et j’étais entièrement d’accord. » explique le pilote russe dans le dernier podcast de la F1.

« Moi j’y étais déjà allé, et je savais que Red Bull a toujours souhaité placer des jeunes pilotes dans son équipe mère. Pour ma part, je savais quel était mon rôle et ce que je devais faire dans l’équipe. »

Malgré ses mésaventures avec l’équipe Red Bull dans le passé, Daniil Kvyat est le parfait exemple que tout est possible en Formule 1.

« Tout est possible dans la vie, et mon retour en F1 démontre que rien n’est impossible. Ce que j’ai appris de tout ça, c’est que vous n’avez pas à rêver dans votre travail, mais juste à vous concentrer afin d’obtenir ce qu’on vous demande. »

« En ce moment, Red Bull m’a demandé d’obtenir les meilleurs résultats possibles pour AlphaTauri et c’est ce sur quoi je me concentre. J’ai la possibilité de démontrer que je suis assez bon. »

Daniel Ricciardo ne compte pas quitter la F1 sans titre mondial

Le pilote Renault Daniel Ricciardo pense qu’il peut toujours prétendre à décrocher son premier titre mondial en F1.

Âgé désormais de 30 ans, le pilote Renault F1 évolue en catégorie reine du sport automobile depuis la saison 2011 où il a débuté sa carrière avec la modeste écurie HRT.

Le pilote australien a ensuite rejoint le clan Red Bull avec Toro Rosso dans un premier temps, puis a été promu au sein de l’écurie mère Red Bull Racing en 2014. Depuis le début de la saison 2019, Daniel Ricciardo fait partie de l’équipe Renault F1 avec laquelle il a signé un contrat de deux saisons.

Interrogé par la BBC pour savoir s’il pensait pouvoir décrocher le titre mondial un jour, l’Australien admet qu’il n’envisage pas de quitter le sport sans avoir réussi à atteindre « son but ultime. »

« Mon objectif de base dans toute cette aventure n’est pas seulement d’être en Formule 1, mais de la quitter en étant champion du monde. » explique le pilote Renault à la BBC.

« Étais-je excité à l’idée d’aller en F1? Absolument. Est-ce que j’aime ça? Oui. Je n’y suis pas encore arrivé. Mais est-ce que j’apprécie toujours? Absolument. »

« Mais si ça se terminait aujourd’hui, serais-je déçu? Une grande partie de moi le serait parce que c’est quelque chose que je pense pouvoir réaliser [devenir champion du monde]. Ça laisserait donc un goût d’inachevé. »

« C’est le but ultime. Le jour où j’arrêterai de croire que je pourrai encore le faire, c’est le jour où vous me verrez probablement m’éloigner du sport, mais je crois toujours que cela peut arriver. »

« Il est frustrant de voir que presque tout dans ce sport soit décidé si vous êtes dans la bonne voiture, la bonne saison. Mais je me suis engagé pour cela, et en soi, c’est également une partie intéressante du spectacle. »

« Le défi est de se positionner avec la meilleure équipe à ce moment-là et quand les changements de règles arrivent, c’est, comme, est-ce toujours la bonne équipe ? ou manquons-nous de quelque chose? Devons-nous essayer de construire sur ce nous avons ici ? »

« C’est un peu comme les jeux d’échecs. Si c’était soit noir, soit blanc, nous pourrions tous savoir où aller et quand. Mais ce n’est pas comme ça que cela fonctionne. Je pense cependant que le meilleur trouvera toujours un moyen d’atteindre le sommet. »

Le huis clos en F1 laissera un « sentiment de vide » à Lewis Hamilton

Lewis Hamilton a expliqué que cela le rendait très triste de savoir que les courses de F1 se disputeraient dans un premier temps sans spectateurs.

La F1 prévoit de débuter sa saison 2020 en Autriche au mois de juillet, mais pour des raisons évidentes de sécurité, les premières courses de l’année devront se tenir à huis clos.

Pour le sextuple champion du monde de F1, Lewis Hamilton, rouler devant des tribunes vides sur les différents circuits du calendrier sera évidemment un sentiment particulier pour les pilotes, plus habitués à rouler devant des milliers de fans.

« Ce sera un grand sentiment de vide, parce que les fans sont l’essence même de la course automobile. Partout dans le monde, il y aura toujours une meilleure atmosphère quand il y aura des fans. » explique Lewis Hamilton.

« C’est l’une des raisons pour lesquelles des endroits comme Silverstone ou Monza sont si grands. Mais tout sera très vide cette année. »

« Cela montre à quel point le sport est important dans nos vies. Je ne sais pas à quoi cela ressemblera à la télévision, mais c’est mieux que rien. »

« Pour nous [les pilotes], ce sera comme une journée pendant les tests de prè-saison, peut-être pire, parce qu’il n’y aura vraiment personne dans les tribunes. »

Le PDG de la F1, Chase Carey, a indiqué cette semaine que le public pourrait éventuellement revenir sur les circuits dans la dernière partie de la saison. Evidemment, tout cela dépendra de la situation sanitaire mondial à ce moment-là.

Ricciardo s’attend à une première course « chaotique » lors de la reprise de la F1

Daniel Ricciardo de Renault s’attend à ce que la première course de la saison soit chaotique après la pause forcée due au coronavirus.

Le pilote Renault F1 estime que la longue pause forcée pourrait entraîner des erreurs et des incidents lorsque la Formule 1 débutera enfin sa saison 2020.

Si la saison 2020 de F1 débute bien en Autriche comme prévu au mois de juillet, cela fera cinq mois que les pilotes n’auront pas poser leur fessier dans un baquet de Formule 1.

Une pause anormalement longue pour la catégorie reine du sport automobile, ce qui pourrait créer un certain chaos lors de la première course selon Daniel Ricciardo, notamment parce que les pilotes seront excités de reprendre.

« Ce sera une forme de chaos, espérons-le, de manière contrôlée. Je ne fais vraiment référence aux voitures, mais il va y avoir tellement de rouille, d’émotion, d’excitation, d’empressement. » explique Daniel Ricciardo à la BBC.

« Tout le monde sera prêt à partir, vous allez avoir des gars qui performent avec ce niveau d’adrénaline, et d’autres qui, au contraire, pourraient ne pas y arriver. »

Lorsqu’on lui a demandé s’il lui faudrait du temps pour se réhabituer à piloter une F1, Ricciardo a déclaré : « S’il s’agissait de ma première ou deuxième année en F1, et si je n’étais pas encore complétement adapté, ma réponse serait oui. »

« Mais les essais hivernaux sont normalement un bon point de référence. Lors de mes premiers essais hivernaux, j’ai ressenti un choc et puis plus j’ai avancé dans ma carrière moins ce choc a été présent. »

« Je pense que les débutants, les gars qui en sont à leur première ou deuxième année, le ressentiront un peu plus. »

L’Angleterre envisage une quatorzaine pour les entrées sur son territoire

Le gouvernement britannique envisagerait d’introduire une quatorzaine obligatoire pour les arrivées internationales au Royaume-Uni.

Selon le Times, le gouvernement britannique s’apprête à annoncer ce dimanche l’introduction d’une quatorzaine obligatoire, ce qui obligerait toutes les personnes arrivant par voie aérienne, maritime ou ferroviaire de s’isoler pendant deux semaines.

La BBC de son côté avance que cette quatorzaine devrait entrer en vigueur fin mai, citant des sources gouvernementales et l’organisme de l’industrie aéronautique Airlines UK.

Cette quatorzaine compliquerait encore un peu plus la tâche de la F1, qui est actuellement en train d’élaborer un nouveau calendrier 2020 en prenant évidemment en compte toutes les mesures gouvernementales de chaque pays visité.

Si le gouvernement britannique confirme l’introduction de cette quatorzaine, la situation pourrait devenir très compliquée pour l’organisation du Grand Prix de Grande-Bretagne qui doit se dérouler le 19 juillet à Silverstone.

En effet, cela voudrait dire que les équipes seraient dans l’obligation d’arriver en Angleterre au moins quinze jours avant la date du Grand Prix de Grande-Bretagne, mais le problème est que la F1 souhaite organiser deux courses en Autriche début juillet pour lancer sa saison 2020.

La première course se disputerait le 5 juillet sur le circuit Red Bull Ring, tandis que la seconde serait disputée la semaine suivante (12 juillet) toujours sur le même tracé.

Vous comprendrez qu’il sera donc impossible pour les équipes d’entrer au Royaume-Uni quinze jours à l’avance pour observer une quatorzaine, à moins que la date du GP de Grande-Bretagne ne soit décalée, ce qui n’est pas impossible, ou bien que la saison 2020 débute en Angleterre.

GP d’Espagne virtuel : le demi-frère d’Hamilton roulera pour McLaren

L’équipe McLaren a décidé de placer le demi-frère de Lewis Hamilton aux côtés de Lando Norris ce dimanche pour le GP virtuel d’Espagne.

Grosse surprise pour ce Grand Prix virtuel d’Espagne organisé par la F1, puisque l’équipe McLaren a décidé de placer Nicolas Hamilton, le demi-frère du sextuple champion du monde de F1 Lewis Hamilton, aux cotés de Lando Norris ce dimanche.

Nicolas Hamilton évolue actuellement en BTCC où il court avec une voiture spécialement modifiée en raison de sa paralysie cérébrale.

Le Britannique sera donc aux côtés de son compatriote Lando Norris ce dimanche au départ du GP virtuel d’Espagne dont le coup d’envoi sera donné à 19h00 heure de Paris.

Vous pourrez suivre la course en direct via les différents canaux de communication de la F1 : YouTube, Facebook ou encore F1.com.

La liste des pilotes présents au GP virtuel d’Espagne

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Le GP F1 des Pays-Bas à huis clos au moins jusqu’en 2022 ?

Le Grand Prix des Pays-Bas a très peu de chance de pouvoir se produire devant du public avant au moins 2022.

En raison de la pandémie de coronavirus, les dix premières courses de la saison 2020 de F1 ont été soit reportées pour sept d’entre elles, soit annulées pour trois autres.

Parmi les courses reportées à une date ultérieure on retrouve le Grand Prix des Pays-Bas, qui devait faire cette année son grand retour au calendrier de la F1 après 35 années d’absence.

La course qui doit se produire à Zandvoort n’a toujours pas de date alternative au nouveau calendrier que la F1 est en train d’élaborer, mais une chose est certaine désormais : si course il y a, ce sera sans public.

Le gouvernement des Pays-Bas a en effet annoncé ce jeudi que plus aucun événement sportif ne pourrait accueillir du public tant qu’un vaccin contre le Covid-19 n’a pas été découvert.

« Pour la dernière étape (les événements sportifs avec public), les événements de masse avec un rayonnement national, nous ne pouvons pas encore dévoiler de date. » a écrit le ministre de la santé néerlandais Hugo De Jonge dans une lettre envoyée au parlement.

« Cela pourrait bien être uniquement quand un vaccin sera disponible et personne ne peut dire combien de temps cela pourra durer. Nous espérons le plus rapidement possible mais un an ou plus est une échéance réelle. »

Concrètement, cela voudrait dire que le Grand Prix des Pays-Bas ne pourrait pas accueillir du public tant qu’un vaccin n’a pas été trouvé, ce qui pourrait prendre au moins une année. les éditions 2020 et 2021 du GP des Pays Bas devraient donc se dérouler sans public.

Pilote de F1 : « une grande responsabilité » pour Esteban Ocon

Esteban Ocon rappelle qu’un pilote de F1 doit endosser une grande responsabilité au cours de sa carrière.

Derrière les pilotes de F1 il y a évidemment toute une équipe d’ingénieurs qui travaillent sans relâche pour faire en sorte de trouver de la performance tout au long de l’année sur la monoplace.

Mais les pilotes de F1 doivent également endosser une grande responsabilité puisqu’ils sont le dernier rouage et se doivent de transformer tous les efforts consentis par des hommes et des femmes depuis plusieurs mois en résultats concrets au cours d’un week-end de course.

Du haut de ses 23 ans, le jeune Esteban Ocon est bien conscient de la grande responsabilité qui pèse sur ses épaules et sur celles de son coéquipier, mais le Français n’échangerait sa place pour rien au monde.

« Piloter une Formule 1 ! C’est tellement bon quand les sensations offertes par la monoplace sont au rendez-vous tout en sachant que vous l’avez développée avec l’équipe pour l’exploiter comme vous le voulez. Je trouve cela merveilleux et aucune voiture ne surpasse une F1 à son maximum. » nous explique Esteban Ocon.

« J’ai un rôle immense en tant que pilote de course. Plus de mille personnes travaillent sans relâche derrière moi pour construire une voiture fantastique dont je suis responsable des performances avec Daniel [Ricciardo]. »

« Elles y consacrent des milliers d’heures, donc c’est une grande responsabilité d’être le dernier rouage et de faire du bon travail. »

Pour relâcher un peu la pression, Esteban Ocon nous explique qu’il vit comme une personne « normale » la plupart du temps : « Je ne suis qu’un jeune homme normal. »

« Si j’ai du temps libre, je m’entraîne, mais je sors ensuite avec des amis pour m’amuser en allant au cinéma, jouant au bowling, au billard ou quelque chose de cool. J’aime déconnecter un peu. »

Barcelone optimiste pour un GP de F1 cet été à huis clos

Les organisateurs du Grand Prix d’Espagne sont optimistes quant à la possibilité de reporter leur événement au milieu de l’été.

Le Grand Prix d’Espagne de Formule 1 devait se tenir sur le Circuit de Barcelona-Catalunya ce week-end (du 8 au 10 mai) mais fait partie des sept courses reportées indéfiniment en raison de la pandémie de coronavirus.

Barcelone, qui accueille les essais de pré-saison de la Formule 1 au mois de février, devait normalement accueillir pour la dernière fois la manche espagnole du championnat du monde de F1, son contrat n’ayant pas été renouvelé pour la saison prochaine.

En raison de la crise du coronavirus et de toutes les restrictions gouvernementales, la catégorie reine du sport automobile n’a pas pu se déplacer en Catalogne mais les organisateurs de l’épreuve veulent rester optimistes et estiment qu’une nouvelle date au milieu de l’été est envisageable.

« En ce qui concerne cette année, je pense que nous sommes assez optimistes pour pouvoir accueillir un Grand Prix de Formule 1 à huis clos au milieu de l’été. » explique le directeur général du Circuit de Barcelona-Catalunya, à MotorsportWeek.com.

Rappelons que la F1 souhaite toujours débuter la saison 2020 au mois de juillet en Autriche avec deux courses à huis clos, avant de partir vers Silverstone et quelques autres dates en Europe.

Ensuite, la Formule 1 prendrait la direction de l’Eurasie et de l’Asie, puis des Amériques et enfin des pays du Golf pour clôturer sa saison 2020 en décembre, voire en janvier 2021.

« C’est de cela que nous parlons avec Liberty Media et j’espère que nous pourrons inclure notre grand prix dans ces premières manches de la saison, avec les grands prix européens. » conclut le directeur du tracé espagnol.

Les pilotes de F1 devront eux aussi s’adapter face au coronavirus

Alexander Wurz, président du GPDA (Association des pilotes de Grand Prix), explique que les pilotes de F1 aussi devront s’adapter face au coronavirus.

La F1 compte toujours débuter sa saison 2020 en Autriche au mois de juillet avec deux courses sur le tracé Red Bull Ring, mais ces courses se dérouleront à huis clos.

Différentes mesures seront mises en place dans le paddock par la F1 afin de permettre à tout le personnel évoluant en catégorie reine du sport automobile de travailler dans des conditions de sécurité optimales face à la menace du coronavirus.

Parmi les mesures qui seront introduites, le personnel sera testé avant de se déplacer vers l’Autriche, puis des tests seront à nouveau effectués tous les deux jours dans le paddock, le but étant de créer une « bulle » sanitaire.

Concernant les pilotes eux-mêmes, ils devront évidemment passer des tests (PCR et prise de température), mais les athlètes devront également adopter certaines pratiques afin de respecter les gestes barrières dans le garage avec le personnel évoluant autour de la voiture.

Alex Wurz a expliqué que les pilotes pourraient bien devoir monter dans leur monoplace déjà casqués et gantés à partir de cette saison, alors qu’ils pourraient également devoir attacher leur ceinture de sécurité seul (même si cela nous semble impossible).

« Les pilotes pourraient boucler leur ceinture de sécurité eux-mêmes, ce serait mieux, mais ils porteraient également leur casque et leurs gants. » explique Alex Wurz à nos confrères de RaceFans.

« Certains pilotes par le passé montaient dans leur voiture sans casque, ni gants. L’interaction avec le mécanicien qui attache la ceinture du pilote est grande, donc vous serez exposé à des gouttelettes de la bouche et du nez du mécanicien qui pourraient entrer dans vos yeux ou votre bouche. »

« Dans ce cas là, tout le monde doit être conscient qu’il faudra mettre la cagoule, le casque et les gants avant de monter dans la voiture, et peut-être même, fermer la visière du casque, afin que cela devienne leur protection. »

« C’est un petit exemple parmi tant d’autres que nous pensons pouvoir appliquer tout au long d’un week-end. »

Evidemment, cela ne reste qu’une proposition dans l’immédiat et il faudra attendre de voir ce que la F1 proposera lorsqu’elle détaillera son plan d’action concernant la mise en sécurité du paddock version Covid-19.

Quand Marc Marquez découvrait le pilotage d’une F1

Marc Marquez, le sextuple champion du monde de MotoGP, est revenu sur les différences et similitudes entre la F1 et le MotoGP.

En 2018, le pilote espagnol a pu prendre le volant d’une Toro Rosso de la saison 2012 pour un test d’un tour sur le tracé Red Bull Ring en Autriche. Marquez explique les principales différences qu’il a pu constater entre les deux disciplines lors de cette journée.

« Je ne pouvais pas vraiment prendre de référence en regardant les voitures. Ils freinent si tard. C’était agréable de voir la vitesse de passage dans les virages, c’était incroyable. » explique Marc Marquez, qui est d’abord resté en bord de piste pour « observer » avant de prendre le volant de la Toro Rosso.

« Mais il est impossible de voir les différences de style de conduite. En MotoGP, vous pouvez voir comment le pilote déplace le corps, mais en F1, vous ne pouvez pas voir cela. »

L’une des principales différences entre la F1 et le MotoGP réside dans le fait qu’il n’y a pas de simulateur pour les pilotes moto, contrairement à la Formule 1.

« Vous ne pouvez pas vraiment avoir de simulateur pour le Moto GP car tout dépend de la façon dont vous roulez. Vous bougez peut-être beaucoup, vous ne bougez peut-être pas, vous êtes peut-être fatigué, ce qui affecte la façon dont la moto se comporte. Cela change beaucoup l’équilibre de la moto. »

L’autre différence de taille en MotoGP par rapport à la F1 est justement la taille des garages : « Tout est plus grand. » souligne Marquez.

« Même si nous avons deux motos dans le garage, ils sont toujours plus petits. Le fonctionnement de l’équipe est également différent et la position des ingénieurs. Il y a beaucoup, beaucoup de gens. En Moto GP, c’est plus familial. »

Beaucoup d’appuis sur les F1 !

Lorsque Marc Marquez a pu prendre le volant d’une Toro Rosso sur le tracé Red Bull Ring en Autriche, l’Espagnol a d’abord été impressionné par les points de freinage, bien différents par rapport à la moto.

« Ce fut une belle expérience de pilotage. Au début, je freinais au même point que je le ferais sur une moto. Mais en fait, vous pouvez aller encore beaucoup, beaucoup plus loin dans le virage. »

« Et les appuis sont différents. Nous n’avons pas d’appui sur les motos, mais en F1, c’est la chose la plus importante dans les virages à grande vitesse, et on a l’impression que vous ne pouvez pas aller plus vite, mais en fait, plus vous allez vite mieux c’est. C’est difficile à comprendre. »

« Lorsque je pilotais la voiture, je me sentais en sécurité. J’étais dans une ‘boîte ». Je n’avais pas peur, Mark [Webber, qui l’épaulait] m’a dit de freiner plus tard. »

« Si vous sortez de la piste, vous êtes en sécurité dans la voiture. Le MotoGP est différent, vous jouez avec le corps, vous pouvez sentir la moto trembler et si vous freinez plus tard, et si vous sortez de la piste, il y a un plus grand risque. »

« Le deux roues c’est mon monde ! »

Après ce test, l’Espagnol a déclaré que, même s’il avait beaucoup apprécié son essai au volant d’une Formule 1, il ne comptait pas quitter « son monde » de la moto.

« Le deux roues c’est mon monde ! C’est agréable de piloter une F1, mais en F1, nous avons déjà les meilleurs pilotes du monde. »

« Je ne pense pas que je serais capable de le faire. J’aime être rapide et si je ne suis pas compétitif, ça ne me plait pas. »

Revivez la dernière victoire de Raikkonen avec Ferrari ce samedi

La F1 va rediffuser le Grand Prix des Etats-Unis 2018 remporté par le Finlandais Kimi Raikkonen au volant d’une Ferrari ce samedi 9 mai.

Au terme de ce Grand Prix des Etats-Unis 2018, le Finlandais Kimi Raikkonen signera son 21e succès en Formule 1 au volant de sa Ferrrari.

Raikkonen aura dû attendre 114 Grands Prix depuis sa dernière victoire à l’ouverture de la saison 2013 en Australie sur Lotus-Renault, ainsi que 179 courses au volant d’une Ferrari (son dernier succès en rouge remontant au Grand Prix de Belgique 2009) pour gagner à nouveau, quelques jours après avoir fêté ses 39 ans.

Le pilote finlandais doit cette victoire à un excellent départ en pneumatiques Ultra-Tendres qui lui permettra de dépasser le pilote Mercedes dès le premier virage.

Kimi Raikkonen pourra ensuite profiter d’une excellente stratégie de la part de son équipe en course, alors que cette ultime victoire avec la Scuderia Ferrari empêchera Lewis Hamilton d’être titré à Austin cette année-là.

A la fin de cette saison 2018, Kimi Raikkonen quittera la Scuderia Ferrari pour rejoindre l’équipe Alfa Romeo Racing et laisser sa place au jeune Charles Leclerc.

Comment suivre le GP des Etats-Unis 2018 ?

La course sera rediffusée ce samedi 9 mai à 16h00 (heure de Paris) sur les différents canaux de communication de la F1 : YouTube, Facebook et F1.com.

La F1 pourrait terminer sa saison 2020 en janvier 2021

La F1 n’écarte absolument pas l’idée de terminer la saison 2020 au mois de janvier 2021 si cela est nécéssaire.

La F1 est toujours en train d’élaborer un nouveau calendrier 2020 et espère pouvoir débuter au mois de juillet avec le Grand Prix d’Autriche sur le circuit Red Bull Ring.

Mais avec déjà dix courses annulées ou reportées et un début de saison programmé cinq mois après les essais hivernaux 2020, la catégorie reine s’attend à enchaîner les courses jusqu’à la fin de l’année afin d’en disputer entre 15 et 18.

Ce nouveau calendrier ultra concentré obligera certainement la F1 à terminer la saison plus tard que la date d’origine (29 novembre à Abou Dhabi) et bien que l’objectif soit de terminer la saison 2020 en décembre, l’idée de prolonger en janvier 2021 si besoin n’est pas écartée.

« Je pense qu’en ce moment, notre plan cible actuel nous permet de terminer plus tard en décembre par rapport au plan d’origine. » explique Chase Carey, le PDG de la F1.

« Mais nous évaluons et envisageons de terminer en janvier [2021]. C’est une option, nous pourrions le faire, nous pouvons le faire. »

« Je pense que si nous le pouvons, nous aimerions terminer au mois de décembre. Nous devrons évidemment faire une pause assez longue assez longue pendant les vacances de noël, parce que vous ne pouvez pas courir durant les semaines de vacances. »

« Mais cela reste une option [terminer la saison 2020 en janvier 2021]. Nous allons devoir travailler avec nos promoteurs et avec toutes les parties concernées pour y arriver, mais c’est quelque chose à considérer. »

« Je dirais que notre objectif principal est de terminer seulement quelques semaines plus tard que notre date d’origine, terminer à la mi-décembre avant les vacances. »

Le gouvernement britannique refuse un prêt à McLaren

Le gouvernement britannique a rejeté une demande de prêt de 150 millions de livres sterling au groupe McLaren dont fait partie l’équipe de F1.

Selon nos confrères de Sky News, le groupe McLaren a vu sa demande de prêt rejetée cette semaine et en a été informé par le ministère de l’économie, de l’énergie et de la stratégie industrielle.

Le groupe McLaren a subi de lourdes pertes durant cette crise du coronavirus, les ventes de voitures ayant considérablement diminué depuis le mois de mars ce qui, avec la fermeture de certaines usines et entreprises, a fait chuter les revenus chez de nombreux constructeurs.

Outre les pertes de revenus liées aux ventes de voitures, McLaren a également fermé l’usine de son équipe de Formule 1 pendant la crise et a dû placer au chômage partiel une grande partie de ses employés.

Comme toute autre entreprise, le groupe McLaren a donc demandé un prêt de 150 millions de livres sterling, mais ce prêt a été refusé selon Sky News.

Un porte parole de l’équipe britannique a expliqué à nos confrères que la demande de McLaren n’avait rien d’étrange dans une situation très spéciale en raison de la crise actuelle, mais cet employé n’a pas voulu rentrer dans les détails.

« Comme de nombreuses autres entreprises britanniques, nous avons été gravement touchés par la pandémie actuelle. » a déclaré un porte parole de l’équipe McLaren.

« Nous poursuivons donc un dialogue continu avec nos banques, nos investisseurs et le gouvernement pour nous aider à surmonter les interruptions d’activité à court terme. »

Rappelons que les deux pilotes de l’équipe McLaren ont accepté de réduire leur salaire de 30%, tout comme leurs dirigeants.