Sam Bird est persuadé que Virgin Racing aura la parité avec l’équipe d’usine Audi

Sam Bird estime que son équipe Envision Virgin Racing bénéficiera d’une totale parité avec Audi cette saison au niveau du groupe motopropulseur.

Pour la saison 5 de la Formule E, Envision Virgin Racing a décidé de signer un partenariat avec Audi, qui fournit son groupe motopropulseur à l’équipe, alors que le constructeur allemand est toujours engagé en Formule E avec son équipe d’usine.

« Il y a la parité, je ne vais pas rentrer dans les détails, mais le simple fait qu’un ingénieur d’Audi vienne avec nous à chaque week-end de course montre que Audi veut et nous pousse à être au premier plan. » a déclaré Bird à eRacing 365.

« Ils veulent que quatre groupes motopropulseurs Audi soient parmi les quatre premiers, et il ne seront pas satisfaits tant que ce ne sera pas le cas. »

Lors des tests de pré-saison qui se sont déroulés à Valence le mois dernier, les deux monoplaces de l’équipe Envision Virgin Racing ne semblaient pas être au top, mais Bird laisse penser qu’ils n’utilisaient pas la pleine puissance lors de ces essais.

« Personne ne connaissait la puissance que nous utilisons, et qui, à mon avis, était nettement inférieure à celle utilisée par les autres concurrents. »

« Donc, cela est une bonne chose pour nous. Je pense que nous pouvons aller à Riyad et marquer quelques points, ce serait génial de marquer des points à Riyad. »

Après le DTM, Sirotkin devrait tester la Formule E

L’ancien pilote de Formule 1, Sergey Sirotkin, est en discussion avec quelques équipes du championnat de Formule E pour participer aux tests des débutants qui auront lieu le mois prochain à Marrakech.

Le staff du pilote russe doit encore rencontrer au moins deux équipes ce mois-ci afin de permettre à l’ancien pilote Williams d’effectuer un test au Maroc le mois prochain.

La présence d’un pilote russe en Formule E serait bénéfique pour la discipline en raison de la volonté des organisateurs de programmer un ePrix russe au calendrier prochainement, alors que la ville de St Pétersbourg semble être largement favorite.

Jusqu’à présent, la Formule E s’est rendue en Russie à une seule reprise, c’était en juin 2015, avec un ePrix organisé sur la place rouge de Moscou.

Notons également que Sergey Sirotkin a effectué un test en DTM cette semaine à Jerez en Espagne. Sirotkin pourrait rejoindre l’écurie SMP Racing en WEC pour éventuellement remplacer Jenson Button, qui est retenu par son programme en Super GT au Japon.

Les différences entre la GEN 1 et la GEN 2

Alors que la saison 5 de la Formule E démarre ce week-end en Arabie Saoudite avec le premier ePrix de la saison sur le tracé d’ Al Diryah, voici une petite infographie vous montrant des différences entre les monoplaces GEN1 et GEN2.

Lors des quatre premières saisons du championnat du Formule E, les pilotes avaient à leur disposition une monoplace GEN1, qui est désormais remplacée à partir de cette année par la spectaculaire GEN2.

Plus puissante, plus grosse, plus économe en énergie, la GEN2 va permettre aux pilotes de participer à une course sans jamais devoir changer de voiture, contrairement aux saisons précédentes où chaque pilote devait repasser par les stands au moins une fois en course pour changer de monoplace.

Alors que la précédente génération de monoplace était capable de tenir environ la moitié d’une course avec sa batterie, cette GEN 2 pourra sans problème effectuer une course de 45 minutes et 1 tour (il s’agit de la limite imposée par la FIA).

Différences entre GEN1 et GEN 2 en Formule E

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Simona De Silvestro devient ambassadrice d’ABB en Formule E

Le groupe technologique suisse ABB a confié à Simona De Silvestro le rôle d’ambassadrice du championnat électrique de Formule E, peu avant le début de la saison 5, qui débute ce week-end en Arabie Saoudite.

La pilote suisse, âgée de 30 ans, associera son nouveau rôle cette saison à celui de pilote d’essais pour l’équipe de Formule E Venturi, la première écurie de la série à avoir nommé une femme en tant que responsable d’équipe en la personne de Susie Wolff.

« Je suis ravie de faire partie d’un partenariat aussi passionnant avec ABB et la Formule E. » déclare De Silvestro.

« Le championnat gagne en force chaque année, ses valeurs relatives à la durabilité et à la mobilité, parmi beaucoup d’autres, sont des sujets très importants pour nous tous et je suis fière de pouvoir contribuer à cette mission commune. »

De Silvestro, qui a déjà couru en Formule E, rejoint son compatriote Sebastien Buemi, qui est lui aussi ambassadeur de ABB. Ensemble, ils contribueront à promouvoir le rôle d’ABB en tant que pionnière des nouvelles technologies durables au cours des différentes courses cette saison.

Vettel a des sentiments mitigés concernant le retour de Kubica en F1

Le pilote Ferrari, Sebastian Vettel, admet avoir des sentiments mitigés concernant le retour de Robert Kubica l’an prochain en Formule 1.

En 2019, Robert Kubica sera pilote titulaire pour l’équipe britannique Williams, alors que le Polonais a été absent de la discipline durant huit années à la suite d’un accident de Rallye survenu durant l’hiver 2011.

Handicapé de la main droite, Robert Kubica n’a pas eu d’autre choix à l’époque que de stopper sa carrière de pilote de Formule 1, alors qu’il roulait pour l’équipe Renault et était même en contact avec la Scuderia Ferrari.

Interrogé pour connaitre son avis sur le retour du Polonais en F1 l’an prochain, Sebastian Vettel dit avoir des sentiments mitigés.

« J’ai des sentiments mitigés. » admet Sebastian Vettel dans les colonnes du Blick lorsque Roger Benoit l’interroge.

« D’une part cela me plait personnellement, parce que personne ne peut même imaginer à quel point ce fut difficile pour lui et ce qu’il a vécu. »

« Mais d’un autre côté, je pense qu’il y a aussi des jeunes pilotes qui méritent leur chance de venir en Formule 1. »

L’an prochain, Robert Kubica fera équipe avec le jeune Britannique George Russell, les deux hommes auront la lourde tache de faire remonter Williams dans la hiérarchie, alors que l’équipe de Grove  a terminé la saison 2018 à la dernière position.

Gilles Dufeigneux : « Le GP de France est un lieu idéal pour rencontrer les décideurs »

Le retour de la Formule 1 en France en 2018 a été un vrai succès aussi bien sur le plan sportif que commercial.

Les fans étaient au rendez-vous durant les trois journées du Grand Prix de France, même si il est vrai, l’accès au circuit Paul Ricard durant ces trois journées n’était pas facile.

Concernant ce point d’ailleurs, Gilles Dufeigneux, le directeur général du Grand Prix de France, est bien conscient qu’il reste encore du travail pour améliorer l’expérience des spectateurs et des clients pour la prochaine édition.

Mais le Grand Prix de France est aussi l’occasion pour de petites, moyennes ou grandes sociétés de développer leur réseau en profitant d’une offre large d’opportunités d’hospitalités et des conditions de service et d’expérience au niveau d’exigence de la Formule 1.

En ce sens, plus de 200 entreprises ont répondu présent en 2018 et ont pu utiliser les hospitalités mises à leur disposition durant tout le week-end du Grand Prix de France.

« La Formule 1 a vécu son grand retour en France en juin dernier, après dix ans d’absence. Le Circuit Paul Ricard a ainsi retrouvé son Grand Prix, vingt-huit ans après la dernière édition organisée dans le Var. » explique Gilles Dufeigneux lors d’un entretien accordé à Nomination.

« Une mobilisation régionale hors norme nous a permis d’être en mesure d’accueillir cet événement de classe internationale. »

« Une ambitieuse programmation d’animations a également permis de faire du Grand Prix une grande fête. Notre volonté a été pour cette première édition de proposer à notre public des conditions exceptionnelles, tant dans les 50 000 places de tribunes, spécialement construites pour l’occasion, que dans nos zones d’hospitalités. »

« En 2018, ces hospitalités ont connu un très grand succès, en raison de la qualité de leurs emplacements, de leurs aménagements et des services qui y étaient associés. »

« Bien sûr il reste beaucoup de travail pour améliorer encore l’expérience de nos spectateurs et de nos clients, notamment en matière d’accessibilité, mais pour une première édition, la satisfaction est là. »

« Dès l’année dernière, notre ambition était d’installer le Grand Prix de France de Formule 1 dans le calendrier comme un événement majeur et premium pour les entreprises locales, régionales et nationales. »

« Cela était déjà le cas au niveau mondial à travers les partenaires internationaux de la Formule 1 accueillis dans les espaces d’hospitalité de Formula One Management : en l’occurrence le Paddock Club. »

« Nous avons souhaité ouvrir le Grand Prix de France au marché français en proposant une offre large d’opportunités d’hospitalités et des conditions de service et d’expérience au niveau d’exigence de la Formule 1. »

Une évolution de la gamme d’offres pour 2019

Pour la prochaine édition du Grand Prix de France, les offres « hospitalités » vont évoluer aussi bien en qualité qu’en quantité.

« Nous allons faire évoluer nos offres en qualité et en quantité pour répondre encore plus efficacement aux attentes de nos clients. Nous proposerons également des offres sur mesure et, le vendredi, des produits séminaires intégrant karting, suivi des qualifications et temps de travail dans un salon aux couleurs du Grand Prix de France. »

« Nous ouvrirons également des vols directs entre Le Bourget et quelques grandes villes françaises en direction de l’aéroport du Castellet situé au cœur du circuit. Cela permettra à nos clients parisiens et régionaux de faire l’aller-retour sur la journée pour assister au Grand Prix de France dans des conditions exceptionnelles de confort et de service. »

Le Grand Prix de France 2019 aura lieu le 23 juin, les billets sont déjà disponibles à la vente sur la billetterie officielle du Grand Prix de France.

Le circuit de Monza va devoir se moderniser pour continuer à accueillir la F1

Afin de rendre le circuit de Monza conforme aux normes internationales, plus moderne et surtout plus fonctionnel, les organisateurs du Grand Prix d’Italie vont devoir trouver au minimum 100 millions d’euros pour continuer d’accueillir la F1.

Il est vrai que le circuit de Monza n’est absolument pas représentatif de ce qui se fait de plus moderne en Formule 1, si l’on compare le tracé italien à des circuits comme Abou Dhabi, Singapour ou bien encore Bahreïn.

Situé en plein cœur d’un parc, l’autodrome national de Monza fait partie de ces circuits historiques de la Formule 1 à lutter pour leur survie, alors que de nouvelles destinations plus exotiques, comme le Vietnam [en 2020], arrivent au calendrier.

Angelo Sticchi Damiani, président de l’automobile club d’Italia et actionnaire majoritaire de la société qui gère le circuit de Monza, assure de son côté que l’argent nécessaire à la modernisation du circuit italien sera trouvé en temps et en heure. « L’argent sera trouvé d’une manière ou d’une autre. » affirme t-il.

Parmi les travaux les plus urgents attendus, il y a l’élargissement de la piste, qui actuellement ne mesure qu’une dizaine de mètres à certains endroits, alors que la norme en F1 est de douze mètres de large.

Il est également envisagé de supprimer une des deux premières chicanes du tracé, tandis que le second virage de Lesmo pourrait être élargi pour retrouver son angle initial.

Lance Stroll est aussi rapide que Ocon dans le simulateur

Otmar Szafnauer, le directeur de l’équipe Racing Point, assure que Lance Stroll, qui a rejoint l’équipe en remplacement d’Esteban Ocon, est aussi rapide que le pilote français dans le simulateur.

Stroll, dont le père a racheté l’équipe Force India en 2018, fera équipe avec Sergio Perez l’an prochain, et va donc devoir prouver qu’il mérite sa place au sein de la structure basée à Silverstone, après avoir essuyé beaucoup de critiques suite au rachat de l’écurie Force India par son paternel.

Le directeur de Racing Point assure déjà que Lance Stroll est un pilote rapide, au moins aussi rapide que le Français Esteban Ocon, qui a dû laisser sa place au Canadien pour 2019 et qui a trouvé refuge chez Mercedes en tant que troisième pilote.

« Lance a aimé le temps passé dans la voiture [lors des tests Pirelli à Abou Dhabi], il nous a dit qu’il pouvait faire ce qu’il voulait avec la voiture, ce qui est toujours bon. » explique le directeur de Racing Point.

« Nous avons été très impressionnés par Lance, nous avions déjà été impressionnés par sa performance dans le simulateur, il était très rapide, il était au niveau d’Esteban [Ocon] dans le simulateur, nous étions donc confiants de retrouver ce rythme vu dans le simulateur lorsqu’il serait sur la piste. »

« Nous avons un grand potentiel avec Lance, nous allons travailler avec lui pour lui apprendre certaines des connaissances que nous avons sur la façon de gérer les pneumatiques, de les préserver et de les faire fonctionner plus vite et plus longtemps, nous ferons tout ça avec lui. »

« Il a de grandes compétences, il est rapide, il fait du bon travail et nous sommes très heureux de pouvoir travailler avec lui. »

Wolff : Pas de cinquième titre mondial pour Hamilton sans Bottas !

Le directeur exécutif de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, estime que Lewis Hamilton n’aurait jamais obtenu son cinquième titre mondial sans l’aide de son coéquipier Valtteri Bottas.

Wolff estime même que l’équipe Mercedes aurait eu beaucoup de mal à décrocher le titre constructeurs pour la cinquième année consécutive sans la présence du pilote finlandais.

Paradoxalement, Valtteri Bottas a signé un bien piètre saison 2018 en terminant seulement à la cinquième place au championnat du monde, tandis que le pilote finlandais n’aura remporté aucune course cette année.

Toutefois, Toto Wolff a apprécié la contribution de Valtteri Bottas cette saison, qui n’aura eu finalement qu’un rôle de soutien.

« Nous n’aurions pas remporté le championnat pilotes et celui des constructeurs sans Valtteri. » a déclaré Toto Wolff.

« Valtteri, malgré sa malchance, n’a jamais permis à l’esprit et à l’état d’esprit de s’évanouir au sein de l’équipe. Il a toujours été capable de maintenir un moral élevé. »

« Chez certains pilotes, lorsqu’ils perdent la capacité de remporter le championnat, tout cela tombe à l’eau. Tout devient négatif, tout dysfonctionne, mais Valtteri, jusqu’au dernier moment est resté positif. »

Valtteri Bottas a reçu la permission de la part de Mercedes de participer à un Rallye cet hiver, le Finlandais sera au volant d’une Ford Fiesta WRC à la fin du mois de janvier.

McLaren satisfait de sa première année avec Renault

McLaren tire un bilan positif de sa première année de collaboration avec Renault, alors que l’association avec le constructeur français a déjà permis à l’équipe britannique d’égaler ses meilleurs résultats obtenus avec Honda lors des trois précédentes campagnes.

La performance, mais surtout, la fiabilité était bien au rendez-vous en 2018 avec le moteur Renault, ce qui enchante le PDG de McLaren et le rassure pour la suite de ce partenariat.

« Nous sommes satisfaits avec Renault. » déclare Zak Brown au site officiel de la Formule 1. « Nous avons de très bonnes relations avec eux, j’ai reçu un rapport sur l’état d’avancement de l’unité de puissance pour l’an prochain, et c’est très encourageant. »

« Ils nous ont donné un moteur fiable cette année, alors nous sommes contents de la décision que nous avons prise, nous sommes heureux avec Renault. »

« Je pense que nous bénéficierons du fait qu’ils auront deux équipes sur la grille l’an prochain, ils seront donc concentrés sur eux-mêmes et sur nous, et nous sommes enthousiastes à l’idée d’avoir un avenir à long termes avec eux. »

Le moteur Renault sera monté sur la monoplace de l’équipe d’usine de Renault en 2019, ainsi qu’à l’arrière de la MCL34 de McLaren.

Red Bull Racing, qui était équipée du moteur Renault jusqu’en 2018, a décidé de devenir partenaire de Honda à partir de 2019.

Lopez : « La première course est toujours très spéciale »

La saison 2018/19 sera la troisième campagne de José Maria Lopez en Formule E, une saison 5 qui s’annonce dores et déjà palpitante pour les fans.

Cette année, les monoplaces futuristes GEN2 font leur apparition en Formule E, ce qui enchante Jose Maria Lopez, qui entamera sa seconde année avec l’équipe Dragon.

« La première course est toujours très spéciale, car il y a toujours beaucoup de changements et beaucoup de nouveautés. » déclare Lopez à Just Electric.

« La nouvelle voiture a fait un grand pas en avant, elle a beaucoup changé par rapport à la GEN1 et est beaucoup plus difficile, non seulement pour les pilotes, mais aussi pour les ingénieurs. Je n’aime pas spéculer, mais ces voitures m’ont impressionné. »

Lopez estime que l’opinion du public sur la Formule E a favorablement changé au fil des saisons, la série 100% électrique ayant connu une croissance impressionnante en seulement quatre années.

« Je pense que l’opinion des gens a définitivement changé pour de bon…La série a connu un croissance impressionnante en si peu de temps, et j’ai vraiment hâte de voir ce qu’il se passera dans quelques années. »

« Mais le plus important, ce sont les grandes courses, les dépassements et le fait que les gens puissent interagir avec des choses comme le Fan Boost. »

José Maria Lopez entamera sa seconde saison avec l’équipe Dragon en 2018/19.

Daniel Abt s’inquiète des risques de dommages causés par un accident

Le pilote Audi, Daniel Abt, s’inquiète d’éventuels accidents en Formule E cette saison et de l’impact que cela pourra avoir sur un week-end de course.

Le pilote allemand redoute un nombre de contacts plus élevé cette année en raison de la taille plus imposante des monoplace GEN2.

Abt souligne également le fait que les équipes de Formule E n’auront à leur disposition qu’une seule voiture par week-end et par pilote, d’où l’importance de ne pas crasher sa monoplace avant la course.

« Nous avons vu beaucoup de contacts la saison dernière. » explique le pilote allemand à e-racing 365.

« Nous ne le saurons que lorsque nous serons dans des épingles serrées dans les premiers tours de course, car nous risquons assurément de nous retrouver avec un diffuseur cassé parce que quelqu’un s’est précipité derrière nous. »

« Le danger est bien présent, mais je pense que tout le monde doit être plus conscient de cela [avec les monoplaces GEN2]. J’espère donc qu’il y aura suffisamment de respect sur la piste, pour au moins être en sécurité de ce côté là. »

L’Allemand a également fait part de son inquiétude quant au fait que les pilotes disposeront désormais d’une seule monoplace pour chaque course, au lieu de deux précédemment.

« Désormais, si vous vous crashez avant la course [en qualifications par exemple], il n’y a pas de seconde voiture et votre week-end peut être lourdement compromis. » souligne Daniel Abt.

« J’ai pu tester à Valence [lors des tests de pré-saison] comment se comportait le museau en cas de crash. En fait, j’ai été assez surpris lors de mon crash à la chicane, puisque à part quelques dommages sur le nez, tout le reste était n’avait pas trop bougé. »

« Je pense que la voiture est beaucoup plus solide que l’an dernier, mais cela reste identique, car si vous vous crashez, vous perdrez des pièces et ce sera une journée difficile. »

L’équipe de cyclisme Bahraïn Merida et McLaren s’associent

Le groupe McLaren a annoncé aujourd’hui son intention de devenir un partenaire à 50% de la coentreprise Team Bahrain Merida.

Le partenariat est ancré dans trois domaines clés: la collaboration technique, la haute performance humaine et les services marketing et commerciaux, fournis par l’intermédiaire de McLaren Applied Technologies et de la spécialisation marketing du groupe.

« Les courses, la technologie et les performances humaines sont au cœur de tout ce que nous faisons chez McLaren. Le cyclisme est une activité à laquelle nous avons participé par le passé et que nous examinons depuis longtemps. » explique John Albert, directeur du marketing chez McLaren.

« C’est un choix tout à fait naturel pour nos compétences et nos ambitions et un partenariat parfait avec l’Équipe Bahrain Merida, qui a la vision et la bonne approche pour l’avenir. »

« Nous travaillerons sans relâche dans les mois à venir, sachant que le monde du cyclisme professionnel abrite certains des meilleurs athlètes et équipes de compétition du monde du sport. »

« Ce que l’équipe Bahreïn Mérida a réalisé en moins de deux ans, à partir de zéro, est impressionnant. Travailler ensemble avec une équipe aussi motivée est une perspective très excitante. »

Les premiers tests de Ferrari en soufflerie sont « positifs »

Selon la presse italienne, souvent très bien informée du côté de Maranello, la Scuderia Ferrari a déjà effectué les premiers tests en soufflerie avec la monoplace qui disputera la saison 2019, et les données recueillies sont positives.

En 2019, Ferrari essaiera une fois de plus de briser l’hégémonie de Mercedes en Formule 1 et, surtout, la série noire dans laquelle semble être enfermée Ferrari depuis la saison 2008, date à laquelle la Scuderia a remporté son dernier championnat du monde.

L’équipe de Maranello compte donc profiter des légers changements de réglementation en 2019 pour changer la donne et, selon le Corriere Della Sera, la monoplace 2019 en est déjà à un stade très avancé.

« La monoplace 2019 est pratiquement prête. » assure le journal italien. « Les premières données recueillies en soufflerie sont positives. »

Seul bémol avant cette nouvelle saison, il semblerait que la relation entre Maurizio Arrivabene et son directeur technique, Mattia Binotto, se soit nettement dégradée au cours de la saison 2018 en raison des mauvais résultats de l’équipe lors de la seconde moitié de saison.

Binotto n’aurait pas compris les critiques de Sebastian Vettel à l’égard de la SF71-H, qu’il désigne comme principal coupable de l’échec de Ferrari en 2018, tandis que Maurizio Arrivabene prend la défense de son pilote.

Horner : « Honda comble vraiment l’écart avec Mercedes et Ferrari »

Christian Horner, le team principal de l’équipe Red Bull Racing, assure qu’il a donné carte blanche à Honda pour fabriquer son unité de puissance, alors que l’équipe de Milton Keynes ne fera que s’adapter au moteur V6 Turbo Hybride.

Contrairement à ce qu’a fait McLaren au cours des dernières années avec Honda, Red Bull Racing va adapter le châssis et les systèmes de refroidissement de sa RB15 au bloc V6 du motoriste japonais.

« Nous avons fait le contraire de McLaren. » assure Christian Horner sur Sky Sports. « Nous leur avons dit : allez-y, construisez le meilleur moteur possible, puis dites-nous quelle taille de radiateurs vous voulez et nous nous adapterons. »

Red Bull, qui a pu observer les progrès effectués par Honda au cours de la saison 2018 avec son équipe sœur, Toro Rosso, estime que le motoriste nippon rattrape peu à peu Mercedes et Ferrari en termes de puissance pure.

« Nous voulons que Honda privilégie la puissance sur le packaging, nous voyons énormément de progrès qui sont faits. Mois après mois, ils comblent vraiment l’écart avec Mercedes et Ferrari. »

« Ce qui nous encourage vraiment, ce sont les progrès effectués par Honda, c’est positif pour la Formule 1. »

Mercedes autorise Valtteri Bottas à participer à un Rallye

Valtteri Bottas va se lancer un nouveau défi le mois prochain en participant pour la toute première fois à un Rallye.

Le Finlandais s’apprête à participer au Artic Lapland Rallye organisé à la fin du mois de janvier (du 24 au 26 janvier) où il courra au volant d’une Ford Fiesta RS fournie par l’équipe M-Sport.

« Ce sera une expérience totalement nouvelle pour moi, je n’ai absolument aucune expérience de la conduite d’une voiture de Rallye. » explique le pilote Mercedes.

Valtteri Bottas souhaite participer à un Rallye depuis un certain temps, mais le pilote Mercedes n’a jamais eu l’autorisation de la part de son employeur de prendre autant de risques.

Mais pour 2019, Mercedes a autorisé Valtteri Bottas à participer à ce Rallye, qui aura lieu seulement quelques semaines avant les essais hivernaux programmés à Barcelone du 18 au 21 février pour la première semaine, et du 26 février au 1er mars pour la seconde semaine de tests.

Jean-Eric Vergne impatient d’en découdre

La saison 2018/2019 du Championnat de Formula E débute ce samedi 15 décembre en Arabie Saoudite.

Vingt-deux monoplaces de nouvelle génération vont affronter de nouvelles pistes dans de nouvelles villes, avec une nouvelle réglementation et de nouveaux pilotes.

Le champion de Formule E de la saison passée, le Français Jean-Eric Vergne, se dit impatient de remettre son titre en jeu au cours d’une saison pleine de nouveautés.

Pour cette saison 2018/2019, qui débute à Ad Diriyah sur un circuit de 2,5 kilomètres. Le nouveau format de course s’étale sur 45 minutes et un tour.

Créé pour donner le pouvoir aux fans d’influencer sur le résultat de chaque épreuve, le #FanBoost évolue également. Les cinq pilotes qui auront reçu le plus de voix bénéficieront d’un surplus de puissance et la clôture des votes aura lieu quinze minutes après le début de la course.

Le championnat conserve sa volonté d’innover avec l’arrivée de l’ATTACK MODE, imaginé pour offrir de nouveaux défis aux équipes et une dose supplémentaire de stratégie destinée à rendre les courses encore plus imprévisibles pour les spectateurs

Activé, ce mode augmentera la puissance de 200 kW (RACE MODE) à 225 kW. Ce gain permettra à un pilote de dépasser en créant de nouvelles opportunités en proposant des courses encore plus dynamiques.

Pour lancer l’ATTACK MODE, le pilote devra passer dans une zone d’activation spécifique, située hors trajectoire. Le nombre d’activations possibles et la période d’utilisation seront déterminés 60 minutes avant chaque course par la FIA.

« En étant là depuis quasiment les débuts de cette compétition, j’ai pu voir les progrès considérables de la Formula E. » nous explique Vergne.

« Ce n’est pas seulement le cas pour les performances de la voiture, mais aussi pour la mise en œuvre de nouvelles idées afin de promouvoir des courses disputées comme avec l’ATTACK MODE. En tant que pilotes, nous voulons de belles courses et les fans le veulent aussi. « 

ATTACK MODE

Chaque pilote doit passer dans la zone ATTACK MODE pour terminer la course. Une fois activé, le pilote peut enclencher l’ATTACK MODE qui lui offre une puissance supplémentaire de 25 kW.

FAN BOOST

Pour voter, il suffit de tweeter #FanBoost #AndreLotterer ou #FanBoost #JeanEricVergne (ou d’autres pilotes).

Vous pouvez également voter sur https://fanboost.fiaformulae.com ou via l’application Formula E. Les votes ouvrent six jours avant la course.

Le FanBoost évolue. Désormais, ce sont les cinq pilotes qui ont le plus de votes qui reçoivent un surplus de puissance. Les votes sont fermés quinze minutes après le début de la course et le FanBoost ne peut pas être utilisé avant la 23e minute.

Kubica regrette que Williams n’ait pas écouté ses pilotes en 2018

Robert Kubica estime que Williams n’a pas suffisamment écouté ses deux pilotes en 2018, ce qui aurait pu peut-être éviter à l’équipe britannique de se retrouver dernière au championnat du monde.

Le Polonais, qui était pilote de développement de l’équipe Williams en 2018, regrette que son employeur n’ait pas réussi à percevoir les signaux envoyés par ses deux pilotes dés le début de la saison concernant les performances de la FW41.

« Nous pensions vraiment avoir une bonne voiture en nous fiant aux données du simulateur et aux divers départements. Ils auraient dû écouter les pilotes et réagir plus vite. » estime Kubica dans un entretien accordé à AMUS.

« Je ne construis pas la voiture, mais parfois, le pilote prend conscience d’un problème plus tôt que le meilleur ingénieur du monde. »

« En début de saison, nous avions encore des problèmes de corrélation, et au final, ces écarts entre les outils et la réalité ont conduit à des erreurs de jugement avec la voiture. Cependant, nous avons fait de bons progrès dans la seconde moitié de saison, surtout dans le simulateur. »

« Nous avons débuté la saison avec beaucoup d’espoir, mais après l’avoir pilotée pendant les essais hivernaux, j’ai pensé que nous pourrions avoir un problème. »

« Les ingénieurs mettent parfois un peu plus de temps à comprendre les problèmes, c’est normal, parce que en tant que pilote, on ressent immédiatement certains problèmes, et bien que je sous parti assez longtemps, je sais encore ce qu’il me faut pour faire fonctionner une voiture, pour aller plus vite et en tirer le maximum. »

« Nous avons ensuite amélioré la voiture, mais lors du travail de développement, nous avons découvert d’autre points faibles qui n’avaient rien à voir avec les temps au tour. »

« De ce que nous avons pu voir par la suite, il était vraiment difficile de combler l’écart. Les autres ont aussi continué à se développer, Sauber était derrière nous en milieu de saison, mais ils ont continué à développer à un rythme incroyable et sont finalement arrivés en milieu de peloton. »

« Ce fut une saison difficile pour Williams, mais aussi une saison importante. Nous avons compris les erreurs et nous devons maintenant en tirer les leçons pour ne pas les répéter. Nous devons travailler sur le développement pour 2019 afin que cela ne se reproduise plus. »

OnePlus lance un smartphone en collaboration avec McLaren

La société OnePlus a dévoilé ce mardi un nouveau smartphone haut de gamme conçu en collaboration avec l’équipe de Formule 1 McLaren.

Le OnePlus 6T McLaren Edition possède un processeur Snap Dragon 845 qui équipe déjà le modèle de base de ce téléphone, mais les ingénieurs de OnePlus y ont greffé 10 GO de RAM.

Côté look, le OnePlus 6T McLaren Edition reprend la couleur orange de la monoplace de Woking, ainsi qu’une coque en fibre de carbone sur l’arrière, alors que du côté des performances, ce smartphone devrait offrir une vitesse « fulgurante » selon le communiqué de presse envoyé par McLaren.

Le prix du OnePlus 6T McLaren Edition débutera pour la France à 709 euros (version 256 GO) et sera disponible à partir du 13 décembre 2018 sur le site officiel OnePlus et en exclusivité chez Bouygues Telecom.

Les horaires de chaque séance du ePrix d’Arabie Saoudite

La première manche de la saison 5 de Formule E se déroulera ce samedi 15 décembre en Arabie Saoudite sur le circuit d’Ad Diriyah.

Particularité de la Formule E, l’intégralité du week-end de course se déroule sur une seule journée avec les essais libres, les qualifications et la course regroupés sur la journée de samedi.

La première séance d’essais libres aura lieu à 05h00 (heure française), tandis que les EL2 se dérouleront à partir de 07h05.

La séance de qualifications débutera à 08h50 où les pilotes sortiront en piste par groupe choisis au tirage au sort. Chaque pilote dispose de six minutes pour établir son meilleur temps et les cinq meilleurs se rendent en Super Pole.

La Super Pole débute à 09h35, et les pilotes arriveront en piste un à un. Le pilote le plus rapide de ce groupe de cinq se verra attribuer la pole position et un bonus de trois points.

Le départ de la course quant à lui sera donné à partir de 13h05 le samedi 15 décembre.

Les horaires du ePrix d’Arabie Saoudite 2018 (heure française)

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