La liste des pilotes pour le GP d’Espagne virtuel de ce dimanche

Voici la liste des pilotes qui seront présents ce dimanche 10 mai au départ du Grand Prix virtuel d’Espagne organisé par la F1.

Outre des pilotes de F1 de la grille actuelle, de nombreuses stars du ballon rond seront également présentes ce dimanche pour le GP virtuel d’Espagne.

Les footballeurs Thibaut Courtois, Arthur Melo ou encore Sergio Aguero viendront se frotter aux pilotes professionnels sur la piste de Catalunya pour une course de Formule 1 virtuelle ce dimanche sur le jeu officiel F1 2019 de Codemasters.

Arthur Melo du FC Barcelone rejoint le pilote d’essais Pietro Fittipaldi pour représenter l’équipe Haas F1, tandis que le gardien du Real Madrid Thibaut Courtois revient pour son deuxième Grand Prix Virtuel, cette fois au volant d’une Alfa Romeo aux côtés d’Antonio Giovinazzi.

La semaine dernière pour le Grand Prix des Pays-Bas (disputé sur le circuit d’Interlagos au Brésil), c’est le pilote Red Bull Alex Albon qui s’est imposé, après une bataille incroyable pour la victoire avec le pilote Ferrari Charles Leclerc.

Comment suivre le GP virtuel d’Espagne ?

Pour suivre en direct le GP virtuel d’Espagne ce dimanche, rendez-vous sur les différents canaux de communication de la F1 : Youtube, Facebook, Twitch, Weibo ou encore F1.com.

Le départ de la course sera donné ce dimanche 10 mai à 19h00 (heure de Paris) et la diffusion devrait durer environ 1h30.

La liste des pilotes pour le GP d’Espagne virtuel

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Coronavirus : Williams ne fera prendre aucun risque à ses employés

La patronne de l’équipe Williams assure que la santé et la sécurité de ses employés passera toujours avant son équipe de F1.

La F1 souhaite toujours débuter sa saison 2020 en Autriche au mois de juillet avec deux courses à huis clos et bien que Williams a répété qu’il était essentiel pour la survie de l’équipe de reprendre la compétition, elle a également dit qu’elle ne renverrait pas son personnel sur les pistes de course – ou à l’usine – si ce n’était pas sûr.

« C’est effrayant de savoir que vous pourriez perdre, pas seulement une ou deux équipes, mais énormément d’équipes si vous ne retournez pas courir, parce que le modèle financier que nous avons dans notre sport est fait de telle manière que nous dépendons tous de l’argent que nous recevons en fonction des résultats au championnat des constructeurs. » explique Claire Williams au micro de Sky Sports.

« Mais vous devez évaluer la nécessité de reprendre la course afin d’assurer la survie de votre équipe par rapport à la réalité importante de garder votre personnel en sécurité. »

« Pour moi, au final, mes employés passeront toujours avant tout. J’espère que cela ne coûtera pas trop à notre équipe, mais la sécurité de nos employés, qu’il s’agisse de les envoyer à Grove (à l’usine) ou de les faire voyager, va être absolument primordiale. »

« Nous ne renverrons certainement pas les gens en course tant qu’il ne sera pas opportun de le faire. Je sais le travail qui est fait par la F1, ils consacrent énormément de temps et d’énergie pour voir ce qu’ils peuvent faire pour nous faire courir et le faire en toute sécurité. »

« Ils vont s’assurer qu’ils mettent en place tous les règlements possibles en matière de santé et de sécurité dont ils ont besoin et s’assurer que nous le faisons tous de la bonne manière avant de retourner sur la piste. »

Sebastian Vettel revient sur son plus beau moment chez Ferrari

Sebastian Vettel est revenu sur quelques-uns des moments les plus marquants de sa carrière, notamment sa première victoire en F1 en 2008.

Le pilote allemand a débuté sa carrière en F1 en 2008 avec la modeste écurie Toro Rosso et c’est justement cette année-là qu’il décrochera sa toute première victoire au Grand Prix d’Italie.

Invité à répondre à quelques questions concernant ses plus beaux souvenirs en F1, le pilote Ferrari n’a pas hésité longtemps pour évoquer cette première victoire à Monza devant les tifosi avec une équipe italienne.

« C’est arrivé il y a longtemps, mais c’était un sentiment très agréable, très spécial, une chose pour laquelle vous travaillez toute votre vie. » explique le quadruple champion du monde de F1.

« J’ai eu beaucoup de chance que cela se produise si tôt, déjà lors de ma première saison complète en F1. Alors oui, ce fut une belle sensation de gagner avec Toro Rosso à Monza dans des circonstances tout aussi spéciales. C’est définitivement quelque chose que je n’oublierai jamais. »

Son meilleur moment avec Ferrari ?

Lorsqu’on lui demande de revenir sur son plus beau moment passé avec la Scuderia Ferrari depuis son arrivée dans l’équipe en 2015, le pilote allemand est revenu sur sa première victoire en rouge au Grand Prix de Malaisie.

« Je pense que les premiers moments sont toujours ceux dont on se souvient le plus, donc je dirais la première victoire avec Ferrari en Malaisie il y a maintenant cinq ans. »

« C’était quelque chose de très beau et de splendide à savourer. Depuis lors, il y a eu d’autres victoires, mais évidemment, on en veut toujours plus ! »

Rappelons que le contrat de Sebastian Vettel avec Ferrari arrive à son terme à la fin de cette saison 2020. Pour l’instant, les deux parties sont toujours en pleine discussion.

Mika Salo : « La F1 ne jouera pas avec la santé des gens »

Mika Salo estime que la F1 ne prendra pas le risque de jouer avec la santé des personnes présentes dans le paddock.

La F1 souhaite toujours débuter sa saison 2020 en Autriche au mois de juillet (le 5 juillet) avec deux courses à huis clos sur le tracé Red Bull Ring.

Cependant, en pleine crise sanitaire, la catégorie reine du sport automobile va devoir présenter un plan d’action pour assurer la sécurité du personnel qui sera présent dans le paddock lors de cette manche d’ouverture en Autriche.

Mika Salo pour sa part fait totalement confiance à la F1 et estime que le sport fera tout pour assurer la sécurité des personnes en premier lieu, même si de grosses sommes d’argent et des milliers d’emplois sont en jeu.

« La santé est une priorité, c’est pourquoi nous ne parlons que de courses à huis clos. De plus, la difficulté de voyager va limiter la vie de chacun. » explique Salo au média finlandais MTV.

« Nous allons voir comment ils mettent en oeuvre leurs intentions, mais je ne pense pas qu’ils vont jouer avec la santé des gens. Ils prennent la pandémie très au sérieux. »

« Cependant, on parle évidemment de beaucoup d’argent et de milliers d’emplois. Il doit donc y avoir un plan. »

« J’ai hâte de voir comment ils vont faire, ils devront être créatifs d’une certaine manière, mais pour l’instant, vous ne pouvez voyager nulle part. J’espère juste qu’il y aura bientôt un vaccin. »

La raison pour laquelle la F1 souhaite débuter sa saison 2020 en Autriche est dû au fait que le pays a été l’un des premiers d’Europe à assouplir les restrictions mises en place à la suite de cette pandémie.

Comparé à d’autres pays, les chiffres en relation avec la pandémie sont relativement faibles en Autriche, cependant, Salo craint que l’arrivée de personnes en provenance de pays plus touchés comme l’Italie ou le Royaume-Uni puisse provoquer un rebond de l’épidémie.

« Si des milliers de personnes viennent de pays dont le nombre de personnes infectées est beaucoup plus élevé qu’en Autriche, le risque de contagion est beaucoup plus élevé. Même si tout le monde est testé avant d’entrer dans le pays. » estime Salo.

Rappelons que la F1 souhaite mettre en place « une bulle » en Autriche en testant toutes les personnes qui seront présentes dans le paddock avant leur arrivée, puis tous les deux jours une fois sur place.

Renault F1 s’attardera sur la légalité de la Racing Point « plus tard »

Cyril Abiteboul espère bien que la nouvelle réglementation en F1 entrera bien en vigueur à partir de la saison 2022.

Les nouvelles règles sportives et technique en F1 devaient être introduites en 2021, mais en raison de la crise actuelle, l’introduction de ces règles a été repoussée d’une année supplémentaire.

Le mois dernier, le patron de Racing Point, Otmar Szafnauer, a déclaré qu’il serait favorable à un nouveau report des nouvelles réglementations, mais le manager de la F1, Ross Brawn, a indiqué cette semaine qu’il n’y aurait plus de report de ces règles, ce qui convient parfaitement à Renault.

« Je suppose que Otmar a dit ça parce qu’il sait qu’il a une voiture très compétitive en ce moment et que s’il y a un changement de règles, il ne pourra faire ce qu’il a fait, c’est très clair. » explique Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing au site de la F1.

« C’est leur tactique depuis le premier jour pour prolonger ce cycle de règlements. Je ne suis pas d’accord, et pas seulement parce que cela vient de nos concurrents les plus directs. »

« Je ne suis pas d’accord parce que la F1 doit progresser et, parce que, quand tout le monde sortira de cette crise, autant d’un point de vue de la santé que de l’économie, il y aura une forte compétition entre tous les sports pour se relancer, afin de faire revenir les fans et les sponsors. »

« Nous ne devons jamais perdre de vue le fait que nous devons offrir un sport de compétition et une plate-forme attrayante pour les fans, les sponsors et les médias. »

« Et c’est précisément autour de cet objectif, que les nouveaux règlements ont été élaborés, c’est la première fois que nous développons un ensemble de règlements avec un tel objectif, et je veux vraiment que cela se produise. »

Quid de la légalité de la Racing Point ?

Cyril Abiteboul a déclaré que la question de la légalité de la Racing Point n’avait pas été soulevée lors de la réunion regroupant les principales parties prenantes de la F1, mais il y avait une discussion sur ce qui définit un constructeur, d’autant plus que de nombreuses équipes ont des partenariats comme celui de Racing Point et Mercedes.

« Les réunions ont été axées sur la survie à court terme et la durabilité à moyen et long terme du sport, ce qui est exactement ce qui doit se produire. »

« Il est important que nous évitons les sujets les plus controversés que nous avons eu pendant l’hiver. Je suis sûr que ces sujets reviendront, car ils sont directement liés au modèle commercial de la F1. »

« C’est toujours bien de s’entendre sur le niveau du plafond budgétaire, mais si vous pouvez mettre en commun vos ressources, mettre en commun vos activités de recherche et développement entre les équipes, cela signifie que les niveaux de plafond budgétaire dont nous parlons ne sont pas exactement ceux dont nous parlons. »

« Nous ne parlons pas directement de l’affaire Racing Point, nous parlons de ce que signifie être un constructeur et de ce que cela implique que d’être constructeur, c’est ce dont nous parlons et c’est un point intéressant. »

« Nous réfléchirons et parlerons de la légalité de la Racing Point plus tard. En disant cela, je ne fais aucune menace, je dis simplement que nous devons penser un peu plus stratégiquement dans les circonstances actuelles. »

McLaren ne devra pas tout miser sur le moteur Mercedes en 2021 selon Norris

Lando Norris estime que le moteur Mercedes qui équipera la McLaren à partir de la saison prochaine en F1 sera un sérieux atout, mais qu’il ne faudra pas tout miser dessus.

A partir de l’an prochain, McLaren sera de nouveau motorisée par Mercedes en F1, après un partenariat de trois années avec le constructeur Renault.

Lando Norris dit que le moteur Mercedes augmentera certainement les performances de McLaren la saison prochaine, mais le jeune Britannique insiste sur le fait que de nombreuses autres améliorations seront nécessaires pour que l’équipe basée à Woking puisse se battre pour des victoires en course.

« C’est quelque chose qu’il faut espérer. C’est sûr que nous pensons que ce sera un atout et quelque chose qui nous aidera à avancer, mais ce ne sera pas tout. » explique Lando Norris au sujet du moteur Mercedes.

« Il nous reste encore beaucoup de temps à trouver avec le châssis lui-même et nous ne devons pas juste compter sur le moteur. »

« Donc, c’est une aide et c’est un pas en avant, mais il y a beaucoup de choses en Formule 1, tellement de choses qui font partie de la fabrication d’une voiture de Formule 1 pour aller vite et ce n’est qu’une chose parmi des centaines de milliers. »

« C’est quelque chose que nous attendons avec impatience, quelque chose qui, selon nous, va certainement nous aider. »

« Nous devons sortir des sentiers battus cette saison et travailler aussi dur que possible pour le moment et l’attendre pour l’année prochaine avec impatience. »

Quid de la saison 3 de Drive To Survive sur Netflix ?

Y aura-t-il une saison 3 de la série Drive To Survive de Netflix ? C’est la question que les fans de F1 sont en droit de se poser en raison de la crise sanitaire.

Au mois de février 2020, Netflix a mis en ligne la saison 2 de Drive To Survive tournée lors de la saison 2019 de F1. Après la saison 1 sortie en mars 2019 et axée sur la saison 2018, la deuxième saison de Drive to Survive donnait aux fans un aperçu approfondi de la saison 2019.

La principale nouveauté pour la saison 2 a été la participation des équipes Mercedes et Ferrari, qui étaient les seules à ne pas avoir ouvert leurs portes aux caméras lors de la saison 1 en 2018 en raison de la lutte au championnat du monde.

Mais alors que de plus en plus de fans ont déjà terminé la saison 2 et ses dix épisodes d’une trentaine de minutes chacun, des questions concernant les saisons futures de Drive to Survive sont posées.

Le tournage a bien débuté à Barcelone

Pour le moment, Netflix n’a pas encore confirmé si une saison 3 verrait le jour, mais nous pouvons vous confirmer que pendant les essais hivernaux de Barcelone cet hiver, des caméras de Netflix étaient bien présentes sur le circuit de Catalunya.

La présence d’une équipe de tournage de Netflix à Barcelone durant les essais hivernaux 2020 signifie évidemment que l’entreprise américaine avait déjà débuté le tournage de la saison 3 de Drive To Survive, mais pour le moment aucune confirmation officielle n’a encore été faite de la part de Netflix.

Une chose est certaine, pour le moment la crise sanitaire du coronavirus a fait voler en éclats tous les plans de la F1 et des différents protagonistes évoluant dans le paddock (médias, prestataires de services, intérimaires, organisateurs de Grand Prix…).

Le tournage va-t-il reprendre ?

Impossible de répondre à cette question pour l’instant en raison de l’incertitude qui plane sur la saison 2020 de Formule 1. Le tournage de Drive To Survive pourrait peut-être reprendre dès que la saison 2020 débutera, mais l’équipe de tournage sera t-elle autorisée à venir dans un paddock complètement fermé en raison de l’épidémie de coronavirus ?

On peut même aller plus loin en se posant la question de savoir si une saison 3 aurait le même intérêt et la même saveur pour les fans avec plusieurs courses en moins au calendrier de la F1…

Un test à Fiorano pour Ferrari a suffi à remotiver Kvyat en 2018

Écarté de la F1 en 2017 pour manque de performance, le Russe Daniil Kvyat a effectué son retour en catégorie reine lors de la saison 2019 avec l’écurie Toro Rosso.

Après avoir perdu son baquet en F1 chez Toro Rosso fin 2017, le Russe Daniil Kvyat a trouvé refuge chez Ferrari en tant que pilote de simulateur pour l’équipe italienne durant une année complète.

De son passage à Maranello, Daniil Kvyat n’en garde que de bons souvenirs et affirme que c’est lors d’un test sur la piste privée de Fiorano que l’envie de revenir en F1 en tant que titulaire lui est revenue soudainement tant la Ferrari qu’il était en train de piloter lui a procuré des sensations.

« Finalement, j’ai testé la voiture de cette année-là une fois à Fiorano. C’était tellement émouvant pour moi, tout d’abord, c’était Ferrari et Fiorano, puis c’était une monoplace actuelle [2018] et ça c’était vraiment cool. » explique le pilote AlphaTauri dans le podcast de la F1 Beyond The Grid.

« Je n’avais rien piloté pendant six mois ou quelque chose comme ça. J’ai tellement aimé ça, ce jour là j’ai compris que je voulais revenir à tout prix en Formule 1. »

« De plus, ce test a été très solide, avec des temps au tour très cohérents. Tout le monde était très content. »

Le pilote russe avait bien d’autres options pour 2019 en dehors de la F1, mais Kvyat souhaitait plus que tout revenir au plus vite en catégorie reine du sport automobile.

« Je sentais que j’avais encore beaucoup de choses à faire en F1. Il y a eu des discussions dans différentes catégories, mais j’étais concentré sur un retour en Formule 1. »

« J’envisageais de m’arrêter complétement (sa carrière en sport automobile) si je n’obtenais pas à nouveau un contrat en Formule 1. »

En tant que pilote de simulateur, Ferrari a également offert à Daniil Kvyat une expérience supplémentaire inestimable, notamment parce que le Russe a pu travailler étroitement avec deux champions du monde : Kimi Raikkonen et Sebastian Vettel.

« C’était super aussi de les voir travailler – deux champions du monde – des gars très expérimentés. »

« Avec Sebastian [Vettel], quand j’y pense, nous étions au Canada [2018] et mon travail consistait à regarder les onboard et d’essayer d’identifier ce qui était différent. Et j’ai dit : ‘tu pourrais prendre un peu plus le vibreur à la chicane’, et il a accepté, il a essayé et le lendemain c’était mieux. »

Renault F1 était prête à déployer un plan de développement « très agressif »

Cyril Abiteboul affirme que Renault F1 était prête à déployer un plan de développement « très agressif » avec la RS20 en ce début d’année.

Avant que la saison 2020 de F1 ne soit interrompue, Renault avait prévu d’apporter de nouveaux packages de mise à niveau importants pour la troisième course – au Vietnam – et la cinquième course – les Pays-Bas.

Ces plans ont évidemment volé en éclats suite aux annulations et aux reports de courses avec une nouvelle stratégie à élaborer. Cependant, elle ne pourra pas être finalisée tant qu’ils ne savent pas combien de courses figureront sur le calendrier 2020 révisé.

« Je dois gérer les attentes [dans l’équipe], mais c’est vrai, aux tests [hivernaux], nous avons eu une bonne impression générale. » explique Cyril Abiteboul au site de la F1.

« Nous avons coché toutes nos cases, mais ces cases dépendent également beaucoup de ce que font les autres. »

« Une question restée sans réponse était la compétitivité relative de notre voiture et nous nous attendions à la découvrir qu’à Melbourne le samedi après-midi. Évidemment, cela ne s’est pas produit. Nous sommes très curieux de le découvrir. »

« Nous étions prêts pour un plan de développement très agressif. Nous souhaitons vivement que l’usine soit de nouveau opérationnelle et que nous puissions reprendre cette activité. »

« Les chiffres semblaient très bons dans la soufflerie et la production était très occupée à produire les packages de la troisième course et de la cinquième course. »

« Tout cela est complètement en suspens, donc c’est la situation que nous avons. Mais encore une fois, beaucoup de gens ont de plus grandes frustrations que celles-ci, nous devons donc accepter que nous devons être un peu patients. »

Le GP F1 de Belgique pourrait être maintenu en août

Le conseil national de sécurité belge a décidé de modifier certaines mesures mises en place en Belgique, dont une concernant les compétitions sportives.

Lors de sa dernière réunion qui a lieu le 15 avril dernier, le conseil national de sécurité belge avait décidé plusieurs mesures, dont une qui interdisait tout événement sportif ou culturel de masse avant le 31 août en Belgique.

Avec l’application de cette mesure, il était donc impossible de maintenir le Grand Prix de Belgique qui est programmé du 28 au 30 août 2020 sur le circuit de Spa Francorchamps, puisque pour une seule journée l’événement se retrouvait directement impacté.

Mais ce mercredi 06 mai, le conseil de sécurité national belge s’est de nouveau réuni et après plus de quatre heures de réunion, certaines mesures ont été assouplies dont celle interdisant les compétitions sportives.

Désormais, les compétitions sportives en Belgique ne seront pas permises jusqu’au 31 juillet 2020 inclus, ce qui veut dire que le championnat de Football ne pourra pas reprendre.

Le Grand Prix de Belgique 2020 en revanche pourrait éventuellement avoir lieu à huis clos sur le tracé de Spa Francorchamps à la fin du mois d’août, mais il faudra tout de même attendre une confirmation officielle de la part de la F1, ainsi que des autorités belges.

Rappelons que la Formule 1 souhaite débuter sa saison 2020 en Autriche avec deux courses à huis clos sur le circuit Red Bull Ring de Spielberg.

La catégorie reine du sport automobile souhaite ensuite enchaîner avec quelques courses en Europe durant l’été, puis partir vers l’Eurasie et l’Asie, avant de se diriger vers l’Amérique et enfin les pays du Golfe pour clôturer la saison avec Bahreïn et Abou Dhabi.

Coronavirus : Singapour continue de suivre la situation avec la F1

Les organisateurs du GP de Singapour affirment qu’ils maintiennent un dialogue ouvert avec les officiels de la F1 concernant leur événement programmé pour le 20 septembre.

La pandémie de coronavirus a entraîné le report de sept des dix premiers grands prix de la saison 2020 de F, et trois autres – l’Australie, Monaco et la France – ont été annulés.

La Formule 1 a annoncé son intention de commencer la saison 2020 en Autriche le 5 juillet – avec l’ambition de disputer deux courses à huis clos sur le Red Bull Ring- suivie d’une manche en Grande-Bretagne plus tard dans le mois.

La catégorie reine du sport automobile espère ensuite pouvoir organiser d’autres événements en Europe, avant de partir vers l’Eurasie et l’Asie, puis en Amérique et enfin dans le Golfe pour terminer la saison 2020 avec Bahreïn et Abou Dhabi.

Le Grand Prix de Singapour quant à lui serait le premier de la tournée « hors Europe » et est programmé au calendrier à la date du 20 septembre.

Mais depuis quelques semaines, la cité-état de Singapour doit faire face à une augmentation des cas confirmés de Covid-19 et ce sont principalement les travailleurs étrangers séjournant dans des dortoirs qui sont concernés.

Singapour a également annoncé ce mardi avoir identifié neuf nouveaux clusters, tandis que le plus grand cluster de la ville enregistre à ce jour 2525 cas confirmés.

Malgré cette seconde vague de contamination au Covid-19 qui frappe Singapour depuis quelques semaines, les organisateurs de l’épreuve ne souhaitent pas encore parler d’annulation ou de report.

« Le GP de Singapour surveille de près la situation du COVID-19 et maintient un dialogue ouvert avec la Formule 1, le gouvernement de Singapour et nos parties prenantes pendant cette période. » a indiqué un porte-parole du Grand Prix de Singapour.

« Le calendrier de la Formule 1 pour la saison 2020 est en cours de révision (…). Le GP de Singapour continuera de suivre de près les développements, plaçant la santé et la sécurité de nos clients, fans, spectateurs, équipes et personnel comme notre priorité absolue. »

Singapour fait partie du calendrier de la F1 depuis la saison 2008. Son contrat expire à la fin de la saison 2021.

Hülkenberg : la pandémie de coronavirus est « une opportunité » pour la F1″

L’ancien pilote Renault F1, Nico Hülkenberg, estime que la pandémie de coronavirus est le moment idéal pour que la F1 envisage de grands changements.

Avec un début de saison 2020 reporté au mois de juillet en raison de la pandémie de coronavirus, la F1 se retrouve dans une situation inédite avec un écart de cinq mois entre les essais hivernaux et la première course de l’année.

La Formule 1 espère toujours débuter sa saison 2020 en Autriche au mois de juillet avec deux courses à huis clos sur le tracé Red Bull Ring de Spielberg. Mais en attendant la reprise, le sport doit avant tout s’occuper des équipes de la grille, dont certaines sont en grande difficulté financière.

Selon Nico Hülkenberg, cette pause forcée offre à la F1 l’opportunité de changer certaines choses qui pourraient être bénéfiques pour tout le monde au final.

« C’est évidemment réel et beaucoup d’industries, d’entreprises et de sociétés sont en difficulté. » explique l’ancien pilote Renault F1 dans un entretien accordé à CNN.

« Je pense qu’il y aura beaucoup de conséquences, mais je pense aussi que c’est une opportunité pour la F1 de changer certaines choses, notamment concernant les budgets et certains types de réglementations. »

« Je vois cela comme une opportunité, et j’espère, qu’il y aura de bonnes réponses et que tout le monde survivra et que nous pourrons revenir à la compétition après cela. »

Justement, concernant le plafond budgétaire qui sera introduit en F1 à partir de 2021, il devait être fixé à 175 millions de dollars par saison, mais le manager sportif de la Formule 1, Ross Brawn, a indiqué qu’il serait réduit de 30 millions (une proposition a été faite par la F1 pour 135 millions). 

Nico Hülkenberg pour sa part estime que la mise en place d’un tel plafond est une excellente opportunité pour niveler les performances des équipes, bien que l’Allemand pense que les grandes écuries auront toujours l’avantage pendant un certain temps.

« Je pense qu’une fois qu’il sera mis en oeuvre, ce ne sera pas immédiat. Les meilleures équipes auront toujours un avantage qu’elles conserveront pendant un certain temps. »

Le contrat de Ricciardo est un sujet « stratégique » pour Renault F1

Le directeur général de Renault Sport Racing, Cyril Abiteboul, admet que les négociations pour la reconduction du contrat de Daniel Ricciardo est un sujet stratégique pour Renault F1.

Le pilote australien Daniel Ricciardo est sous contrat avec Renault F1 jusqu’à la fin de la saison 2020 et, pour le moment, il est bien difficile de négocier quoi que ce soit avec les pilotes en raison du report du début de saison.

Renault F1 avait prévu un calendrier en interne pour identifier des étapes clés avec Ricciardo pour discuter prolongation, mais ces plans ont volé en éclats avec la crise sanitaire actuelle.

«  C’est compliqué pour Daniel comme pour nous. On avait envie de voir l’esprit, la performance, la façon dont l’équipe fonctionnait au cours de cette deuxième année ensemble, quels progrès on avait effectués sur la voiture, voir aussi comment lui se sentait. » explique Cyril Abiteboul à nos confrères d’Auto Hebdo.

« On avait discuté d’un calendrier pour identifier les étapes clés où nous avions envie de parler. Tout ça, c’était dans un univers normal qui a volé en éclats depuis. Après, on se parle d’ores et déjà sur cet aspect-là, parce qu’il a envie de voir où il va. »

« Je n’ai pas de grande révélation à vous faire. Daniel est une option pour nous, c’est une évidence. Mais on se doit d’en envisager d’autres. »

« L’absence de courses rend les choses plus compliquées pour prendre les bonnes décisions, mais on ne pourra pas éternellement les reculer. »

« On échange beaucoup avec Jérôme (Stoll, Président de Renault Sport Racing), Alain (Prost, directeur non-exécutif de Renault F1), et le comité de direction de Renault sur cette question car c’est un sujet stratégique. »

F1 2020 : Codemasters devra revoir sa copie pour le tracé de Zandvoort

Le responsable de la société Dromo, en charge des travaux sur le circuit de Zandvoort, estime que quelques détails dans le jeu F1 2020 ne correspondent pas à la réalité.

La semaine dernière, Codemasters, qui a développé le jeu F1 2020 qui sortira le 10 juillet prochain, a dévoilé une vidéo (voir en bas de l’article) du tracé de Zandvoort, qui fait sa première apparition cette année dans le jeu vidéo.

Mais pour le responsable de société en charge des travaux sur le circuit néerlandais, certains détails du tracé ne représentent pas fidèlement la réalité dans cette vidéo (qui n’est qu’une préview du jeu et non la version finale).

« Bien qu’il s’agisse encore d’un travail en cours, un certain nombre de choses ne correspondent pas à la réalité. » indique Jarno Zafelli de la société Dromo à F1Maximaal.nl.

« Il est particulièrement clair pour moi que les courbes sont moins spectaculaires que dans le monde réel. »

« Les anciennes courbes non ajustées sont à peu près les mêmes, mais le virage Hugenholtz, par exemple, est beaucoup plus raide dans la vie réelle. »

« Dans le jeu, le banking semble un peu plat, cela signifie que les pilotes auront une sensation très différente dans la vraie vie. »

Zafelli prend pour référence le pilote Red Bull Max Verstappen, qui a été le premier à pouvoir piloter une F1 sur le tracé de Zandvoort cette année.

« Lorsque Max a piloté pour la première fois sur la nouvelle piste, il a dit : ‘wow, je ne pouvais même pas voir le sommet du virage !’. »

« Il en va de même pour les virages 11 et 12, vous ne pouvez pas voir l’intérieur de la courbe là non plus. C’est ce qui rend la piste si difficile pour certains pilotes, parce que de nombreux virages sont à l’aveugle. »

Malgré cela, Zafelli se dit impressionné par le travail effectué par Codemasters sur la modélisation du tracé de Zandvoort et a hâte de voir les quelques corrections apportées à la version finale du jeu.

« Les courbes 11 et 12 sont beaucoup plus compliquées dans la vie réelle, parce que dans une voiture normale, vous ne pouvez pas voir le sommet de la courbe à gauche. »

« Je pense que Codemasters a obtenu les données du circuit avant sa construction. Nous sommes prêts à aider Codemasters pour rendre le circuit aussi réaliste que possible. »

« Je suis extrêmement impressionné par ce que Codemasters a fait avec les graphismes. L’atmosphère est très bien faite et j’espère que les courses dans le jeu seront également très réalistes. S’ils apportent quelques modifications supplémentaires avant la sortie du jeu, ce sera une belle expérience. »

La F1 rediffuse l’incroyable GP de Monaco 1982 ce mercredi

La F1 rediffuse ce mercredi 6 mai le Grand Prix de Monaco 1982 remporté par l’Italien Riccardo Patrese au volant de sa Brabham-Ford.

C’est un paddock endeuillé qui arrive à Monaco en 1982, seulement deux semaines après la mort de Gilles Villeneuve, décédé lors des qualifications du Grand Prix de Belgique à Zolder.

Pour ce Grand Prix de Monaco 1982, Ferrari n’engagera qu’une seule de ses monoplaces au départ de la course en hommage à Gilles Villeneuve.

Sur un plan purement sportif, le Français Alain Prost est en tête du classement en arrivant à Monaco et est suivi de près par John Watson, Keke Rosberg et Niki Lauda.

Lors des qualifications, le pilote Renault René Arnoux décroche la pole position, battant l’Italien Riccardo Patrese et sa Brabham d’une demi-seconde, alors que les Renault avec leur moteur turbo n’étaient clairement pas la favorites sur le tracé monégasque.

René Arnoux prend un bon départ et conserve la tête de la course, mais au quinzième tour, le pilote Renault part en tête-à-queue et est dans l’obligation d’abandonner. C’est alors Alain Prost qui se retrouve aux commandes de la course.

Une fin de course mouvementée

Mais à seulement trois tours de l’arrivée, Prost toujours en tête, heurte le mur à l’entrée de la chicane et Riccardo Patrese s’empare de la tête de la course. Mais au tour suivant, l’Italien tombe en panne.

Didier Pironi sur Ferrari prend alors la tête de la course, mais dans le dernier tour, la monoplace du pilote français est à l’arrêt sous le tunnel en raison d’une panne d’essence. Au même moment, Andrea De Cesaris sur son Alfa Romeo tombe également en panne, alors que Derek Daly envoie sa Williams-Ford dans les rails au Bureau de Tabac.

Pendant ce temps-là, les commissaires de piste ont aidé Riccardo Patrese à repartir en poussant sa Brabham-Ford qui était tombée en panne quelques tours plus tôt. L’Italien remportera la toute première victoire de sa carrière à Monaco en 1982.

Ce mythique Grand Prix de Monaco 1982 sera rediffusé ce mercredi 6 mai à 20h00 (heure de Paris) sur les différents canaux de communication de la F1 : YouTube, Facebook et F1.com.

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Covid-19 : le protocole médical appliqué en F1 détaillé par le Pr Saillant

Le Professeur Gérard Saillant, responsable médical de la FIA, est revenu en détail sur les mesures sanitaires qui seront mises en place dès que la saison 2020 de F1 débutera.

La F1 n’a toujours pas débuté sa saison 2020, après un faux départ en Australie au mois de mars où la catégorie reine du sport automobile a été « obligée » d’annuler l’épreuve au tout dernier moment en raison de la crise sanitaire du coronavirus.

Désormais, la F1 espère pouvoir débuter sa saison 2020 en Autriche au mois de juillet (le 5 juillet) avec deux courses disputées à huis clos sur le tracé du Red Bull Ring de Spielberg.

Mais pour que toutes les conditions de sécurité sanitaire soient respectées, la F1 devra mettre en place toute une série de mesures dans le paddock, à commencer par des tests sur toutes les personnes se rendant sur place.

Le Professeur Saillant a confirmé que la FIA travaille actuellement sur les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et du Comité International Olympique (CIO), affirmant que cette dernière organisation est intéressée par les plans de l’instance dirigeante, la F1 devant devenir « le premier événement sportif international à repartir ».

« Ce qui se passera en Autriche peut être différent de ce qui se passera en Allemagne ou en Hongrie. » insiste le Professeur Saillant dans les colonnes de l’Equipe.

« Chaque pays a des réglementations différentes, et la situation du circuit, des hôtels, va également influencer cette règle de confinement. Si la piste est à la campagne, les choses sont différentes que si c’est dans une ville. »

« Singapour ou le Vietnam auraient une organisation médicale complètement différente s’ils avaient un grand prix à organiser maintenant. Déjà, le gouvernement singapourien pourrait forcer l’isolement du paddock pendant une quinzaine de jours avant que nous puissions accéder à la piste. »

« Pour l’Autriche, c’est différent. Le pays sort de la crise qui, chez eux, a été relativement modérée. Dans ce pays sûr, la règle du jeu serait de faire quelque chose dans le paddock d’encore plus sûr. »

Avec tout de même presque 2000 personnes devant encore assister à un grand prix à huis clos, Saillant affirme que des contrôles réguliers seraient effectués soit par PCR ou par test de contrôle de la température, tandis que le personnel à risque ne serait pas autorisé à voyager.

« Toutes ces précautions permettraient à 1 000 ou 2 000 personnes d’être à l’intérieur du circuit, pour qui un maximum de mesures seront prises. »

« Et s’ils sortent du circuit, selon des règles très strictes [même bus, même endroit, même hôtel], nous répéterons les tests à un rythme qui reste à définir par les autorités locales et l’OMS. »

En ce qui concerne le nombre de personnes potentiellement nécessaires pour les tests, Saillant a déclaré: « Nous renforçons actuellement un excellent partenariat avec la Croix-Rouge internationale afin d’avoir, en plus de la couverture médicale habituelle, du personnel COVID spécialisé. »

« Mais les tests pratiqués aujourd’hui ne seront peut-être pas les mêmes en juillet. On parle de plus en plus de tests de salive plus rapides pour éviter d’immobiliser 1 000 personnes, des kits avec des résultats en quelques minutes. »

Pour que la Formule 1 puisse reprendre dans les plus stricte conditions de sécurité, Ross Brawn a annoncé il y a quelques jours qu’une « biosphère » serait mise en place en Autriche dans le paddock, ce que confirme le Professeur Saillant : « Nous devons limiter les risques. »

« Avec un grand prix à huis clos, il n’y a pas besoin d’hospitalité (Motorhomes). Les personnes présentes seront dans un espace ventilé et non confiné, et auront été sélectionnées. »

« Au sein de cette » bulle « , nous travaillons avec le service juridique pour mettre en place, sur une base volontaire, une application qui permettrait de savoir quel contact a été établi, à moins d’un mètre, avec quelqu’un de positif. »

Pas d’annulation si un cas positif est detecté

Précision importante du Professeur Saillant : si un cas positif est detecté dans le paddock, il ne devrait pas y avoir d’annulation de l’épreuve.

« « La situation a évolué depuis l’Australie. Nous avons prévu tout un dispositif de réponse rapide pour confirmer le diagnostic, isoler et tester les personnes qui ont été en contact avec un cas positif. »

« Pour moi, le Grand Prix ne serait pas annulé. C’est comme si vous me disiez que le métro est fermé parce qu’un voyageur y a été diagnostiqué positivement. »

BMW ne regrette pas d’avoir quitté la F1 et ne compte pas revenir

Le constructeur allemand BMW ne compte pas revenir en F1 et n’a absolument aucun regret d’avoir quitté la catégorie reine en 2009.

Après seulement quatre saisons avec sa propre équipe, le constructeur allemand BMW a décidé de quitter la F1 en 2009, quelques mois après Honda.

A l’époque, la crise économique a obligé les grands constructeurs automobiles à revoir leur implication dans le sport auto et BMW, bien que solide financièrement, n’a pas été épargnée par cette crise.

Interrogé pour savoir si l’on pouvait espérer revoir un jour une équipe d’usine BMW en F1, le responsable du développement de la marque bavaroise a été très clair sur le sujet.

« La contribution pour la marque est minime et l’investissement est énorme, donc, nous n’avons pas regretté notre départ de la Formule 1. » a déclaré Klaus Fröhlich, responsable du développement de la marque BMW au journal Süddeutsche Zeitung.

« Entre autres choses, la catégorie traverse une période très difficile avec les changements. Notre stratégie dans le sport automobile suit celle de notre société. Nous n’avons pas besoin d’un championnat particulier pour mettre en valeur la marque. »

« Pour certains grands constructeurs, c’est peut-être la cas, mais d’un autre côté, nous avons des stratégies liées au produit de série avec des moteurs thermiques et électriques pour nous guider. »

« Le fait est que, de façon générale, la volonté d’investir est moindre et avec l’ajout des problèmes liés au coronavirus, nous devons faire face à ce qui est probablement la plus grande récession économique depuis 1945. C’est pour cela que je pense qu’il sera difficile de voir arriver de nouveaux constructeurs en F1. »

Fernando Alonso va annoncer ses plans pour 2021 « bientôt »

Le double champion du monde de F1 Fernando Alonso a déclaré qu’il ferait une annonce très prochainement sur ses plans pour 2021.

Depuis son départ à la retraite fin 2018, le pilote de F1 Fernando Alonso s’est essayé à diverses disciplines, la dernière en date étant le Rallye Dakar en début d’année.

L’Espagnol ne cache plus depuis quelques mois maintenant qu’il aimerait revenir en F1 dans une équipe capable de lui offrir des chances de se battre pour le titre mondial, et l’Asturien comptait sur l’introduction des nouvelles règles en 2021 pour tenter de revenir.

Mais en raison de la crise du coronavirus et du report du début de la saison 2020 de F1, les nouvelles règles en catégorie reine du sport automobile ne seront pas introduites avant la saison 2022, ce qui pourrait chambouler les plans de Fernando Alonso.

En tout cas, l’ancien pilote McLaren a annoncé avoir déjà pris une décision pour la suite de sa carrière et a déclaré qu’il ferait une annonce « bientôt ».

« L’une des choses que je répète depuis 2018, c’est que je voulais vivre quelque chose de différent comme le WEC, Daytona ou le Dakar. » explique Alonso.

« Je voulais aussi mettre un peu de côté la F1 et son ‘écosystème ». J’ai toujours dit que les nouvelles règles pouvaient faire l’affaire, j’ai encore faim, mais désormais, les nouvelles règles ont été décalées à 2022. Je sais ce que je vais faire l’année prochaine, j’espère l’annoncer bientôt. »

Un retour au Mans

« Oui [je reviendrai au Mans]. Je dirais que oui. Les Hypercars semble être un grand projet tout comme les LMdh. Il y a beaucoup de choses pour l’avenir qui peuvent donner un coup de pouce pour l’endurance. Je ne peux dire quand, mais j’y serai à nouveau. »

« J’ai toujours voulu courir au Mans, et mon expérience avec Toyota et mes deux victoires ont dépassé toutes mes attentes. Lorsque vous avez l’adrénaline et la passion du Mans, vous trouvez la course très courte et vous voulez encore plus d’heures. »

Budget capé : La F1 fait une ultime proposition aux équipes

Les patrons de la F1 ont fait une proposition aux équipes d’un plafond budgétaire variable passant de 145 millions à 135 de dollars au cours des trois prochaines années.

Comme nous vous le rapportions ce lundi, la Formule 1 a proposé l’introduction d’un plafond budgétaire de 145 millions de dollars à partir de la saison 2021, mais ce plafond sera réduit à 140 millions en 2022 et à 135 millions pour la période allant de 2023 à 2025.

Dans les prochains jours, les équipes de F1 vont évaluer cette idée et devront ensuite voter pour  ou contre l’introduction de ce budget capé « mobile ».

La décision finale sera prise lors d’une réunion entre les chefs d’équipe, le président de la FIA Jean Todt, le président de la F1, Chase Carey et Ross Brawn, le manager sportif de la F1.

En plus de réduire le niveau du plafond budgétaire, deux propositions clés ont été faites régissant la recherche aérodynamique et la « valeur notionnelle » des pièces des écuries clientes.

L’une vise à niveler les écarts dans le peloton et l’autre à refléter la valeur des ressources de recherche et développement investies par les grandes équipes dans les pièces qu’elles vendent à d’autres.

En ce qui concerne la recherche aérodynamique, il y aura une quantité de référence définie de temps de soufflerie et de données de calcul autorisées, ainsi qu’une échelle mobile d’allocation de ces données en fonction de la position finale d’une équipe au championnat précédent.

Les trois meilleures équipes d’une année donnée ne seront autorisées qu’à 70% de l’allocation totale; l’équipe qui a terminé quatrième 80%, puis un accroissement de 5% jusqu’à ce que les équipes neuvième et dixième soient autorisées à 105% et 110% du total.

En bref, cela signifie que l’équipe qui a terminé dernière aura 40% de recherches aérodynamiques en plus l’année suivante par rapport aux trois premières.

La règle de la « valeur notionnelle » définit une évaluation pour les pièces généralement achetées par les équipes clientes auprès des fabricants, telles que les boîtes de vitesses, les suspensions, etc… Une fois qu’une équipe a acheté ces pièces, leur valeur définie est retirée de leur plafond budgétaire total.

Dans le cas d’un désaccord au sujet de l’introduction de ces règles d’une ou plusieurs équipes, la FIA aura toujours la possibilité d’activer sa « clause de sauvegarde » ajoutée au code sportif international il y a quelques jours et qui lui permet d’annuler l’exigence d’approbation unanime des concurrents pour modifier les règles à la dernière minute.

La FIA a déclaré que ce changement était nécessaire « compte tenu de la crise sans précédent de Covid-19 ». Cela signifie que tant que cinq équipes accepteront les propositions, aucune objection ne les empêchera d’être adoptées.

Carlos Sainz : « Mon père est une grande inspiration pour moi »

Le pilote de F1 Carlos Sainz ne cache pas son admiration pour son père Carlos Sainz Sr et admet qu’il est pour lui une réelle inspiration.

Carlos Sainz Sr, surnommé « El Matador », continue d’impressionner son fils, après avoir remporté cette année son troisième Dakar au volant d’un Mini Buggy à l’âge de 57 ans.

Le pilote espagnol, double champion du monde de WRC en 1990 et 1992, reste une inspiration pour son fils Carlos Sainz Jr , qui évolue pour sa part en Formule 1 chez McLaren.

Lorsqu’on demande à Carlos Sainz Jr quelle est sa principale inspiration dans sa carrière de pilote, l’Espagnol n’hésite pas une seconde à citer son propre père avec qui il participe à de nombreuses activités sportives.

« J’ai le meilleur exemple à la maison sur la façon de réussir dans le sport et il [Sainz Sr] continue de réussir à 57 ans. » déclare le pilote McLaren.

« Je pense qu’il est une grande inspiration pour moi et la façon dont il se prépare chaque jour pour continuer à réussir sur le Dakar est quelque chose de très spécial. »

« En Rallye, il me dépasse, même si je me rapproche. En Kart, je gagne logiquement parce que c’est ma discipline. Dans tous les autres sports, c’est très compétitif : tennis, paddle…le squash, il continue à me battre, il a été champion d’Espagne. »

« Il est meilleur que mois dans beaucoup de domaines. Il a beaucoup de talent et petit à petit j’essaye de le battre. »