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Max Verstappen n’aimerait pas voir Sebastian Vettel quitter la F1 lorsque son contrat arrivera à son terme avec Ferrari à la fin de la saison 2020.

Le quadruple champion du monde de F1 Sebastian Vettel quittera la Scuderia Ferrari à la fin de cette année, et pour l’instant, personne n’est en mesure de dire ce que le pilote allemand fera en 2021.

Les rumeurs suggèrent depuis quelques semaines qu’il pourrait rejoindre Lewis Hamilton chez Mercedes en remplacement de Valtteri Bottas, mais le directeur de l’équipe du constructeur allemand a déjà annoncé que Mercedes donnerait la priorité à ses propres pilotes avant de regarder d’autres options.

Officiellement donc, la porte n’est pas fermée pour Sebastian Vettel chez Mercedes, mais à l’heure actuelle, et alors que la saison 2020 n’a même pas encore débutée, il est bien difficile de dire qui occupera le baquet de la seconde monoplace chez Mercedes l’an prochain.

Interrogé pour savoir s’il estimait possible de voir arriver Vettel chez Mercedes, Max Verstappen a d’abord admis qu’il avait été surpris par la décision commune de Ferrari et Vettel de se séparer après six années de collaboration.

« Bien-sûr que j’ai été surpris, mais en fin de compte, Seb [Vettel] et Ferrari ont probablement estimé que leur séparation était la meilleure chose pour les deux parties. » a indiqué le Néerlandais à la télévision allemande RTL.

« Honnêtement, je pensais qu’il allait renouveler son contrat avec Ferrari pour une année ou deux. »

Concernant une possible arrivée de Vettel chez Mercedes, le pilote Red Bull a répondu : « Pourquoi pas? Bien-sûr que cela peut arriver. Vettel a tellement accompli dans ce sport qu’il serait vraiment dommage qu’il s’en aille. »

Suite à la publication d’une directive technique de la FIA, les équipes de F1 ne seront plus autorisées à développer les équipements de stands à partir du 30 septembre 2020.

Dans une logique de réduction des coûts, et dans le cadre de l’introduction du plafond budgétaire en F1 à partir de 2021, les 10 équipes de la grille devront fournir une description complète des équipements de ravitaillement qu’elles utilisent à l’organe directeur avant le 22 juillet.

Chaque équipe est autorisée à modifier la description soumise après cette date, mais avant la date limite de septembre, à condition de mettre à jour la FIA .

Après le 30 septembre, seules des modifications mineures peuvent être effectuées, telles que des modifications sur les crics pour s’adapter à différentes plages de hauteur de caisse, mais celles-ci devront être approuvées par l’organe directeur.

Initialement, les décideurs ont envisagé d’introduire un équipement des stands standard, mais ont accepté que, ce faisant, toutes les équipes devraient acheter un nouvel ensemble d’équipement, ce qui augmenterait en fait les coûts.

Il est dans la nature des équipes de développer tout ce qui peut leur donner un avantage, et cela inclut d’essayer d’économiser même une nanoseconde de temps pour avoir un arrêt au stand plus rapide. Ce développement est coûteux, il a donc été convenu de le geler en vue de se diriger vers l’introduction de certaines pièces standard à l’avenir.

En utilisant cette méthode, l’équipement d’arrêt au stand restera tout de même sophistiqué, mais les coûts seront plafonnés car les pièces seront homologuées.

Pierre Gasly a signé un contrat de sponsoring avec la marque de lunettes Hawkers, qui fait son entrée dans le monde de la F1.

Déjà présente en MotoGP, la marque Hawkers sera à partir de cette saison 2020 présente dans les paddocks de la Formule 1 grâce à un partenariat signé avec le pilote AlphaTauri Pierre Gasly.

Pour célébrer cette collaboration, la société Hawkers et Pierre Gasly ont tourné un spot commercial intitulé « The Machine » dans lequel le pilote français explique – entre autre – comment il a connu la marque Hawkers.

« La première fois que j’ai vu la marque Hawkers, c’était en MotoGP. Je regardais la télévision et j’ai été frappé par les lunettes portées par Alex Rins (pilote de MotoGP) sur la grille de départ. Je me souviens que les verres étaient bleus. » explique Gasly.

La durée de ce partenariat entre Hawkers et Pierre Gasly n’a pas été révélée par la marque, qui s’est contentée de déclarer : « L’accord avec Pierre Gasly nous permet de consolider la visibilité de notre marque dans le sport automobile et d’accéder à un partenariat exclusif avec Pierre Gasly qui concourt en Formule 1. » explique Ximena Guzmán, directrice de la marque Hawkers.

« C’est une étape importante pour nous. Nous sommes très heureux de travailler avec Pierre, un pilote avec beaucoup de projection qui partage nos valeurs et notre personnalité de marque : optimiste, rupture et transgression : pas de limites. »

La future usine de la future équipe Aston Martin F1 ne pourra pas être livrée avant au moins l’été 2022, notamment parce que les travaux ont pris beaucoup de retard cette année en raison du coronavirus.

Le directeur de l’écurie Racing Point [qui deviendra Aston Martin l’an prochain] nous explique pourquoi il a été décidé de retarder la livraison du bâtiment d’une année complète.

« Et bien, au premier trimestre de cette année, nous étions complétement bloqués. Personne n’a pu travailler. » explique Otmar Szafnauer dans le podcast F1 nation publié sur le site de la Formule 1.

« Les équipes de Formule 1 ont eu la pause annuelle imposée par la FIA à cause de la pandémie de coronavirus. Comme personne ne pouvait faire progresser les travaux, ils ont été suspendus. »

« Nous avons perdu beaucoup de temps à cause du virus et des réglementations du gouvernement en matière de confinement. Il était donc impossible de fixer la date d’achèvement en août 2021. »

« Lorsque nous avons examiné la situation, il était logique de la déplacer d’une année entière jusqu’en août 2022, car cette pause d’août est le moment idéal pour déplacer les usines pour nous sans perturber le reste de l’organisation. »

Étant donné que le nouveau plafond des coûts de la F1 entrera en vigueur l’année prochaine, Szafnauer a été invité à dire s’il était toujours judicieux de construire une toute nouvelle installation.

« Vous devez vous souvenir que l’usine que nous avons maintenant a été construite à la fin des années 80. » souligne l’Américain.

« Je pense qu’elle a été construite pour 150 personnes et nous débordons de tous les côtés. Nous avons aussi des poches d’ingénieurs qui travaillent à différents endroits et ce serait beaucoup plus efficace de les relocaliser -tout le monde sous le même toit. »

« Cela vaut la peine de construire une nouvelle usine, rassemblant tout le monde sous un même toit. Nos simulateurs sont maintenant dans un endroit différent, notre soufflerie est dans un endroit différent, les modélistes sont dans un endroit différent – ce n’est tout simplement pas aussi efficace. »

Le président de la FIA, Jean Todt, souhaite profiter de cette période si particulière dans le monde pour trouver des idées innovantes et rendre le sport plus créatif.

Touchée de plein fouet par la crise sanitaire mondiale, la Formule 1 doit profiter de la situation pour se réinventer et introduire des nouveautés selon Jean Todt.

« Nous devons profiter de cette période différente pour atteindre des objectifs normalement inaccessibles. Nous devons également être créatifs sur le calendrier, non seulement en F1, mais aussi dans toutes les disciplines. » explique Jean Todt dans un entretien accordé au Corriere Della sera.

Il y a quelques jours, l’idée de proposer des courses sprint pour déterminer la grille de départ d’une course le dimanche a été abandonnée par la F1, notamment parce que Mercedes s’y est opposée.

En effet, pour faire passer une telle idée, la F1 a besoin de l’accord unanime des dix équipes de la grille.

Pour sa part, le président de la FIA indique qu’il soutient cette idée, et même si elle a été rejetée, la FIA continue de travailler en coulisses pour trouver d’autres idées innovantes.

« Un tel moment offre des opportunités. Faire deux Grands Prix sur la même piste vous permettrait de faire d’autres tentatives. »

« La course sprint était l’une des possibilités, mais elle n’est pas passée parce que l’unanimité des équipes était nécéssaire. »

« Mais il n’est pas encore dit que nous ne trouverons pas d’autres idées innovantes. Il faut nous laisser travailler. »

Le pilote Mercedes Valtteri Bottas n’est pas resté inactif durant cette longue pause forcée de quatre mois et a choisi de se rendre en Finlande plutôt que de rester confiné dans son domicile monégasque.

Privilège de posséder plusieurs résidences dans différents pays, Valtteri Bottas a préféré se rendre dans sa Finlande natale pendant le confinement pour pouvoir profiter au maximum des grands espaces et y pratiquer diverses activités physiques.

Pour se préparer au mieux à la reprise de la saison de F1 et pour ne surtout pas perdre la main au volant d’une voiture, le pilote Mercedes a révélé qu’il pouvait rouler presque tous les jours pendant le confinement.

« Le plus important pour moi était de continuer à conduire. Je me considère chanceux d’avoir pu le faire. » explique Valtteri Bottas lors d’un live sur le compte Instagram de la F1.

« Chaque semaine depuis Melbourne, je conduis quelque chose, donc que ce soit une voiture de rallye ou du kart, et ça a toujours été à fond. »

« C’est aussi pourquoi mardi dernier, je me sentais bien avec la voiture [à Silverstone, lors des tests Mercedes]. »

Outre le Karting, Bottas a aussi pu rouler avec une voiture de Rallye, lui qui a participé et remporté le Rallyecircuit sur le tracé Paul Ricard cet hiver.

« Le Rallye est très populaire en Finlande. Il y a une équipe locale qui a réussi à l’organiser dans le respect des règles et règlements et à prendre soin de la santé et de la sécurité, nous avons donc réussi à le faire, en gardant la distance et en effectuant quelques jours de test – certains sur le tarmac, d’autres sur le gravier – donc oui, ce fut des jours heureux. »

Cependant, Valtteri Bottas souligne que rien ne pourra jamais remplacer le pilotage si particulier d’une monoplace de Formule 1 : « C’est une longue pause et rien ne se compare à la Formule 1 mais oui, vous pouvez aider à garder ces réactions et cette sensation de conduite avec d’autres choses. »

«  Et bien sûr, avec mon entraînement physique également, ces dernières semaines j’ai mis davantage l’accent sur la vitesse, les compétences et le genre de réaction juste pour rester précis. »

Le pilote Red Bull Max Verstappen a hâte que la saison 2020 de F1 débute enfin, après une pause de quatre mois depuis les essais hivernaux disputés en Espagne au début du mois de mars.

Le Néerlandais se dit prêt à reprendre du service et assure que le seul objectif de son équipe sera d’aller se battre pour le titre mondial cette année.

« Je me sens bien, je suis prêt, mais il fallait s’y attendre après une si longue pause. » a déclaré Max Verstappen lors d’un entretien accordé à David Coulthard sur CarNext.com.

« J’ai vraiment hâte de recommencer. En tant qu’équipe Red Bull Racing, nous voulons gagner avec Aston Martin. »

« Nous voulons pouvoir concourir pour le championnat. C’est notre seul objectif. Tout le monde est très motivé et j’ai hâte de recommencer et de voir où nous en sommes. J’espère que ce sera une saison passionnante. »

« Nous sommes tous très motivés. » a t-il ajouté sur RTL. « Il est difficile de dire quel écart nous sépare de Mercedes, mais je pense qu’il n’est pas si grand. »

« Je pense que nous pouvons gagner toutes les courses. Nous avons encore des choses à améliorer de notre côté, mais de façon générale, les tests se sont bien passés pour nous. »

La saison 2020 débutera le 3 juillet avec le Grand Prix d’Autriche et dont les deux dernières éditions ont été remportées par Max Verstappen.

Le Français Pierre Gasly ne serait pas contre une participation au Mans dans un futur plus ou moins proche, après avoir goûté ce week-end à l’endurance depuis son simulateur lors des 24H du Mans virtuelles.

A défaut de pouvoir disputer les « vraies » 24 Heures du Mans cette année à cause de la crise sanitaire, une édition virtuelle a été mise en place ce week-end pour permettre à quelques 200 pilotes professionnels et amateurs de participer à la plus grande course automobile du monde.

Le pilote AlphaTauri Pierre Gasly faisait partie de ces privilégiés et faisait équipe avec Jean-Eric Vergne, Jarno Opmeer et Isaac Gillissen. Ensemble, ils se sont classés à la cinquième place du classement général, à un tour de l’Oreca LMP#1 de Rebellion Williams Esport victorieuse.

Pierre Gasly a pris beaucoup de plaisir et n’écarte pas l’idée de participer un jour aux 24 Heures du Mans sur le circuit de la Sarthe.

« C’était vraiment une très bonne expérience et j’ai apprécié. Ça m’a fait plaisir de rouler avec Jean-Eric, Isaac et Jarno. Nous terminons à la cinquième place. » a déclaré Gasly ce dimanche à l’arrivée de la course, cité par nos confrères de NewsF1.fr

« Même si ça se joue à pas grand-chose, les trois voitures qui terminent devant nous étaient vraiment rapides. Nous partions en 19e position. »

« Durant la course nous avons eu deux pénalités et un accident durant la nuit. Nous avons dû réparer la voiture et nous avons perdu 1 minute et 20 secondes. Malgré ça, nous pouvons être heureux de ce résultat. »

« C’était une belle course. Nous avons eu de bonnes bagarres et c’était intense jusqu’à la fin. J’étais presque plus stressé que pour une vraie course car je déteste ne pas avoir le contrôle. »

«  La prochaine fois, j’espère que je participerais à la course en réel parce que c’était vraiment cool. J’ai vraiment hâte que la saison reprenne. Les 24 Heures du Mans Virtuelles m’ont bien chauffé. »

Après seize années passées au département moteur de l’équipe Mercedes [HPP], Andy Cowell s’apprête à tirer sa révérence dans quinze jours juste avant le début de la saison 2020 de F1 en Autriche.

Directeur général de HPP depuis sept ans, Cowell a été l’un des grands ingénieurs qui a aidé l’équipe du constructeur allemand à décrocher ses six titres constructeurs et pilotes au cours des dernières années.

Il sera remplacé par un autre grand ingénieur maison, Hywel Thomas, qui sera nommé directeur général, directement responsable du département F1 Power Unit à partir du 1er juillet 2020.

« Après 16 années agréables de travail pour HPP, j’ai décidé que le moment était venu de quitter mon rôle et de chercher un nouveau défi pour l’ingénierie. » a déclaré Andy Cowell.

« J’ai apprécié l’opportunité de travailler avec Markus [Schäfer] et Toto [Wolff] pour définir la future structure de direction de l’entreprise et j’ai toute confiance dans la capacité de Hywel [Thomas] et de l’équipe à diriger l’entreprise. »

« Ce fut un honneur absolu de travailler pour Mercedes et surtout d’être directeur général de HPP pendant sept ans. Merci à tous ceux qui m’ont offert des opportunités incroyables et des défis agréables, en particulier Ola Källenius qui a eu le courage de me soutenir en 2006. »

Le président de la FIA, Jean Todt, assure qu’il a la conscience tranquille face aux accusations de certains, qui reprochent à la FIA et notamment à Jean Todt lui même d’avoir « étouffé » l’affaire du moteur Ferrari l’an dernier, parce que son fils manage l’actuel pilote de la Scuderia Charles Leclerc.

L’an dernier, la Scuderia Ferrari a été pointée du doigt par des concurrents pour avoir utilisé un moteur étrangement performant dans les lignes droites sur certains circuits.

A la demande de Red Bull, la FIA a diligenté une enquête sur le moteur Ferrari, mais à la surprise générale, la Fédération a annoncé avoir trouvé un « accord secret » avec l’écurie de Maranello et assure n’avoir rien à lui reprocher.

Lorsque nos confrères italiens du Corriere Della Sera lui demande comment il réagit à toutes ces rumeurs, Jean Todt se défend d’avoir fait son travail « en toute transparence » et « en respectant les règles. »

« Ce sont des rumeurs inévitables. Chaque jour il y a en a des nouvelles. Ça fonctionne comme ça, ça dure une semaine et puis on passe à autre chose. » répond Jean Todt au Corriere.

« La vérité, c’est que lorsque j’ai accepté cette mission, je savais que je devais prendre les côtés positifs et négatifs. Ma conscience est propre, pour moi, le plus important est d’être transparent avec les membres de la FIA et l’éthique. »

« Le reste fait partie de mon rôle, y compris les rumeurs désagréables. [l’affaire] a été gérée avec professionnalisme et transparence, selon les règles. »

« Et puis sur beaucoup de choses je dois prendre des décisions sur la base de ce qui m’est suggéré par ceux qui contribuent à me donner les informations, je n’agis pas tout seul. »

L’ancien directeur de la Scuderia Ferrari et désormais Président de la FIA, Jean Todt, ne critique pas le choix de Ferrari d’avoir tout misé sur un duo de jeunes pilotes à partir de 2021, mais le Français rappelle qu’en F1 la réussite est une combinaison de plusieurs facteurs.

L’an prochain, la Scuderia Ferrari alignera son plus jeune duo de pilotes de son histoire avec Carlos Sainz et Charles Leclerc, ce qui pourrait s’avérer être un pari risqué pour l’écurie italienne, qui cherche toujours à décrocher un titre mondial depuis 2007.

Pour Jean Todt, une bonne paire de pilotes ne suffit pas, puisqu’il faut également avoir le bon matériel ou encore la bonne équipe.

« Le sport automobile est une combinaison d’hommes, de machine et d’équipe. La seule alchimie qui puisse fonctionner est celle qui unit tout pour gagner. » estime le Président de la FIA dans un entretien accordé au Corriere della sera.

« Sans l’un de ces éléments, les autres ne fonctionnent pas, nous l’avons déjà vu.  Sans la voiture, ni Alonso ni Vettel n’ont gagné. Sebastian a gagné quand il avait une voiture compétitive [chez Red Bull]. »

« C’était la même chose pour Schumacher. Lorsqu’il est arrivé chez Ferrari en 1996, il a dû attendre jusqu’en 2000 pour le titre. »

« Vous pouvez avoir le talent, mais si vous n’avez pas les moyens, l’équipe, la fiabilité, vous ne pouvez pas le faire. Nous devons tout rassembler. »

Jean Todt prend pour exemple la fin des années 90 lorsque la Scuderia Ferrari n’arrivait pas à gagner le titre pilotes : « En 1997, nous avons perdu lors de la dernière course, en 1998 aussi, et aussi en 1999 mais au moins nous avons conquis le championnat des constructeurs. »

« Puis les bonnes années sont arrivées ensuite. Si nous n’avons pas réussi avant, c’est simplement parce que nous n’avions pas la bonne combinaison. »

Un mot sur le départ de Vettel…

« Je n’ai pas envie de juger. Je dis juste qu’il est un pilote très talentueux et qu’il n’a pas encore de voiture pour 2021. J’espère juste pour lui et pour la F1 qu’il en aura une. »

La F1 aurait demandé à la Chine d’étudier la faisabilité d’organiser au moins deux courses sur le tracé de Shanghai pour la saison 2020.

Initialement prévu au mois de mai, le Grand Prix de Chine a été la première course de la saison 2020 à être reportée à une date ultérieur en raison de la crise du coronavirus qui a débuté dans le pays à la fin de l’année 2019.

Le directeur du bureau des sports de la ville de Shanghai, Xu Bin, a révélé au micro de Radio Shanghai que la FOM souhaite que la F1 dispute au moins une course cet automne en Chine et envisagerait même une seconde course.

« Bien qu’il y ait eu beaucoup de changements dans les événements en raison de la pandémie, nous avons obtenu le soutien d’organisations sportives nationales et internationales pour certains événements. » a t-il expliqué.

« Pour le second semestre, nous avons obtenu l’autorisation d’organiser ces événements en fonction de la situation de la pandémie. »

« Notre épreuve, qui était normalement prévue au mois de mai, a été reportée au second semestre et la FOM a demandé si nous pouvions faire deux courses à Shanghai. »

« Nous sommes toujours en discussion et aucune décision n’a encore été prise. Cela dépendra de la situation de la pandémie. »

Un rebond de l’épidémie en Asie

Ces dernières heures, la Chine a bouclé une grande partie de la ville de Pékin, après 57 nouveaux cas de Covid-19 déclarés ce week-end.

Il est bon de noter que le Japon, la Corée du Sud et Singapour ont également signalé une résurgence de la maladie ces derniers jours.

Dans ce contexte, il semble assez difficile d’imaginer que la F1 puisse se rendre en Chine d’ici quelques mois, alors que la catégorie reine du sport automobile a déjà décidé d’annuler les Grands Prix du japon, d’Azerbaïdjan et de Singapour.

Un calendrier définitif d’ici fin juin

Alors que l’on connait déjà les huit premières manches de la saison 2020, qui se disputeront toutes en Europe et à huis clos, le reste du calendrier devrait être publié d’ici la fin du mois de juin. La F1 espère toujours disputer entre 15 et 19 courses cette année.