Cadillac tease une annonce majeure pendant le week-end du Grand Prix de Miami

L’écurie Cadillac F1 a teasé une annonce majeure à venir lors du week-end du Grand Prix de Miami, attisant la curiosité alors qu’elle se prépare à intégrer la Formule 1 en tant que 11e équipe sur la grille.

La structure américaine, soutenue par General Motors et portée initialement par Michael Andretti, s’apprête à faire ses débuts en F1, ce qui porterait le nombre de voitures à 22 – une première depuis 2016. Alors que Miami accueille la première des trois manches disputées sur le sol américain cette saison, Cadillac entend visiblement marquer le coup avec une révélation prévue pour ce samedi.

Aucune précision n’a été donnée sur la nature de l’annonce, mais l’équipe n’a toujours pas dévoilé l’identité de ses futurs pilotes pour son entrée en lice. Cadillac a fait savoir par le passé qu’elle privilégiait un profil expérimenté pour encadrer ses premiers pas en catégorie reine. Parmi les noms évoqués figure celui de Sergio Perez, actuellement libre après avoir été remercié par Red Bull à l’issue de la saison 2024 de F1.

 
 
 
 
 
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Mercedes : un nouveau contrat pour George Russell attendu « avant l’été » selon Toto Wolff

George Russell devrait prolonger son aventure avec Mercedes dans un avenir proche, à en croire les déclarations de Toto Wolff. Le directeur de l’écurie allemande a confirmé que la signature d’un nouveau contrat pour le pilote britannique était attendue « très bientôt ».

Malgré des performances solides et un statut de valeur montante dans le paddock, l’avenir contractuel de Russell reste officiellement en suspens. Son engagement actuel avec Mercedes arrive à son terme à la fin de la saison, et les discussions en vue d’un renouvellement ont, jusqu’ici, été mises en attente.

« Je pense que ce sera avant l’été », a récemment déclaré Wolff lorsqu’on lui a demandé quel était le calendrier prévu.

S’adressant au New York Times, Russell, 27 ans, a exprimé une légère frustration face à un phénomène récent : les négociations contractuelles – et les signatures – ont lieu de plus en plus tôt.

« Quand Lewis (Hamilton) était là, ils ne discutaient jamais du contrat avant juin, juillet », a-t-il déclaré. « C’était toujours l’été. Ce qui est anormal, c’est probablement le nombre de pilotes qui ont signé si tôt. Je pense que beaucoup de pilotes qui sont obsédés par leur avenir sont peut-être ceux qui n’ont pas autant confiance en eux et qui ressentent le besoin d’avoir cette sécurité. »

L’année dernière, Wolff a mené une campagne acharnée pour sortir Max Verstappen du chaos chez Red Bull et le faire courir pour Mercedes. Certains pensent désormais que Wolff garde clairement le siège actuel de Russell potentiellement libre pour le Néerlandais en 2026.

« Maintenant, tout dépend si Max respecte son contrat », a déclaré l’ancien patron de Racing Bulls, Franz Tost, à Sport1. « S’il part, plusieurs équipes s’intéressent à lui, et Mercedes est la priorité absolue. »

David Croft réagit aux critiques des fans de Verstappen après une question sur l’avenir du pilote chez Red Bull

Pris pour cible sur les réseaux sociaux, David Croft, commentateur emblématique de Sky Sports F1, a répondu aux critiques formulées par certains supporters de Max Verstappen après une question posée au Néerlandais lors du Grand Prix d’Arabie saoudite.

L’incident est survenu pendant la traditionnelle conférence de presse des pilotes, où Croft a interrogé le quadruple champion du monde sur son avenir chez Red Bull, dans un contexte marqué par les récentes inquiétudes exprimées par le conseiller Helmut Marko. Ce dernier avait laissé entendre que Verstappen pourrait envisager un départ si les performances de l’écurie venaient à décliner.

Visiblement peu enclin à s’étendre sur le sujet, Verstappen a sèchement interrompu la première tentative de Croft avant que ce dernier ne relance en demandant si Marko se trompait dans son analyse. La réponse, un brin provocante, a été interprétée par Croft comme une plaisanterie, soulignant la relation cordiale qu’il entretient avec le pilote.

Mais certains fans de Verstappen, ignorant le ton complice entre les deux hommes, n’ont pas tardé à se mobiliser en ligne pour critiquer Croft, l’accusant de chercher à alimenter des rumeurs inutiles. Le commentateur de 54 ans n’en est pas à sa première polémique de ce genre et affirme rester imperméable à ce type d’attaques.

« Max n’y a pas prêté attention », a déclaré Croft au Times. « Je m’y attendais un peu, alors j’ai juste dit : « Helmut s’est trompé ? » Et il a répondu : ‘Concentre-toi sur tes commentaires.’ il plaisantait. »

« Max et moi avons une très bonne relation, je le connais depuis le début. Nous ne nous sommes jamais disputés, il n’est jamais venu me voir pour me dire : « Je n’aime pas ce que tu as dit ».

« Mais certains fans de Max s’en sont emparés et m’ont reproché ma question. C’est mon travail, les gens choisissent simplement de m’attaquer. Très bien. Vous pouvez m’attaquer autant que vous voulez. Je serai là lors de la prochaine conférence de presse, et cela ne m’empêchera pas de poser des questions. Quand on est sous les feux des projecteurs et sur les réseaux sociaux, il faut avoir la peau dure. »

Timo Glock critique la présidence de Mohammed Ben Sulayem à la tête de la FIA

Timo Glock a vivement critiqué le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, pointant du doigt les nombreuses controverses qui, selon lui, entachent la gouvernance de l’instance dirigeante du sport automobile.

L’ancien pilote de Formule 1 estime que Ben Sulayem « ne se rend pas service » au regard des critiques persistantes autour de sa présidence. Depuis son arrivée à la tête de la FIA, le dirigeant émirati a multiplié les décisions contestées, accentuant les tensions au sein du paddock.

Parmi les voix les plus critiques figure David Richards, ancien patron d’écurie en F1, qui s’est montré particulièrement incisif ces derniers mois. Les relations entre Ben Sulayem et les pilotes se sont également tendues, notamment après ses prises de position publiques sur l’usage du langage grossier.

La controverse a été relancée avec l’introduction en début d’année de l’annexe B du Code sportif international, qui prévoit des sanctions allant jusqu’à la suspension en cas de langage inapproprié ou de critiques envers la FIA. Une disposition qui a provoqué un tollé, notamment dans le WRC, où les pilotes ont organisé un boycott médiatique après la sanction infligée à Adrien Fourmaux.

En F1, Max Verstappen s’est montré peu bavard à l’issue du Grand Prix d’Arabie saoudite, préférant éviter les commentaires potentiellement répréhensibles après avoir écopé d’une pénalité. Pour Timo Glock, cette atmosphère pesante nuit à la spontanéité et à l’authenticité des échanges dans un sport où l’émotion fait partie intégrante du spectacle.

Selon lui, les choix de communication et de gestion de Ben Sulayem risquent de nuire durablement à l’image du sport automobile s’ils ne sont pas rapidement corrigés.

« J’ai rarement vu un président susciter autant de controverse », a-t-il déclaré à Sky Sports Germany. « Ce n’est pas bon pour le sport. Au final, ce que l’on veut voir, ce sont des émotions, y compris de la part des fans. Il ne se rend pas service dans sa position. »

Sondage – Voyez-vous Max Verstappen quitter Red Bull à l’issue de la saison 2025 de F1 ?

Depuis plusieurs mois, l’avenir de Max Verstappen chez Red Bull alimente les spéculations, mais rien n’indique encore clairement si le quadruple champion du monde quittera un jour l’écurie de Milton Keynes.

Les premières rumeurs d’un départ remontent au début de la saison dernière, en pleine tourmente médiatique autour de Christian Horner. Bien que le directeur d’équipe ait été blanchi à l’issue de l’enquête interne, la tension n’a pas diminué, notamment en raison d’un conflit supposé entre Horner et Helmut Marko, conseiller influent de Red Bull Racing.

Le climat interne s’est davantage tendu lorsque Jos Verstappen, père du pilote néerlandais, a publiquement critiqué la gestion d’Horner, alimentant les spéculations sur un possible départ de son fils. Mercedes est rapidement apparue comme une destination potentielle, avant d’annoncer l’arrivée du jeune Kimi Antonelli pour 2025.

En parallèle, les incertitudes autour de la compétitivité de la Red Bull RB21 cette saison – moins dominante que ses devancières – ainsi que les inquiétudes concernant le nouveau moteur développé pour 2026, ont ravivé les discussions sur l’avenir de Verstappen.

Le Néerlandais a été tour à tour lié à Mercedes et Aston Martin, deux écuries ambitieuses pour le prochain cycle réglementaire. Pourtant, malgré les rumeurs persistantes, Verstappen a maintenu qu’il restait pleinement engagé avec Red Bull et n’envisageait pas de départ à court terme.

 

 

George Russell présente sa nouvelle Mercedes « de tous les jours »

George Russell a dévoilé sa nouvelle « voiture de tous les jours » après avoir pris possession d’une Mercedes-AMG ONE.

Russell en est actuellement à sa quatrième saison en F1 en tant que pilote Mercedes, mais il est associé au constructeur allemand depuis 2017, date à laquelle il a rejoint son programme junior.

Le pilote de 27 ans a remporté trois Grands Prix avec l’équipe et s’est hissé à 15 reprises sur le podium, malgré son arrivée dans l’écurie alors que celle-ci traversait des difficultés avec sa monoplace.

Suite au départ de Lewis Hamilton chez Ferrari, Russell a pris le rôle de leader au sein de Mercedes.

Alors que cinq manches de la saison sont déjà passées, Russell a pris la parole sur les réseaux sociaux pour présenter sa nouvelle voiture de route.

Seuls 275 modèles de la Mercedes AMG ONE existent, et son moteur haute performance est une version modifiée du premier moteur turbo-hybride utilisé en F1.

 
 
 
 
 
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Quand Riccardo Patrese a refusé la Williams après la mort d’Ayrton Senna

Riccardo Patrese, ancien pilote de Formule 1, se souvient de l’accident tragique d’Ayrton Senna à Imola en 1994 et raconte comment il a vécu ce terrible moment.

Voici les souvenirs de l’Italien sur le podcast de Red Bull : « Je me suis proposé comme pilote d’essai pour Williams afin de les aider à développer la voiture avec des suspensions passives. L’objectif était de rester en forme et peut-être, si j’étais aussi rapide que je le pensais, de récupérer mon siège en 1995. Je suis arrivé à Imola avec cette proposition durant le tragique week-end du 1er mai. Après en avoir discuté avec Patrick Head et Frank Williams [les deux cofondateurs de l’équipe], nous nous sommes mis d’accord sur un test, surtout compte tenu des difficultés d’Ayrton [Senna] », précise-t-il.

« Il [Senna] a tout de suite montré beaucoup d’enthousiasme ; après tout, nous étions de bons amis et nous passions souvent du temps ensemble en vacances. En sortant du camping-car Williams, Ayrton m’a emmené dans les stands pour voir la voiture et me parler de ses difficultés dans le cockpit. Le lendemain, j’ai regardé le Grand Prix à la télévision, et nous savons tous ce qui s’est passé : malheureusement, Ayrton nous a quittés, et j’ai automatiquement compris que je pouvais le remplacer » a-t-il ajouté.

« Nous n’avons pas eu de nouvelles de Williams pendant un certain temps, jusqu’à Monaco. Frank m’a alors proposé une place en course au lieu d’un rôle de testeur, et à ce moment-là, j’ai dit oui. Cependant, pendant 15 jours, je n’ai pas pu dormir à cause de la perte de mon ami. Je savais que quelque chose de technique s’était produit et je craignais que cela ne m’arrive à moi aussi. Toutes ces pensées tourbillonnaient dans ma tête jusqu’à ce que je me rende compte qu’avec ces doutes, je ne pouvais pas revenir avec l’objectif que j’avais : gagner. En fin de compte, quelques jours plus tard, La Gazzetta dello Sport m’a appelé pour me demander de confirmer que je deviendrais le remplaçant d’Ayrton » a expliqué l’ancien pilote de Formule 1.

« À ce moment-là, j’ai répondu que j’avais décidé de me retirer officiellement de la Formule 1, et je l’ai immédiatement fait savoir à Frank Williams. Et ce fut officiellement la fin de ma carrière en F1 », a conclu Riccardo Patrese.

 

Le PDG de la F1 estime que le GP d’Imola est en danger après 2025

Stefano Domenicali laisse entendre qu’Imola pourrait disparaître du calendrier alors que l’intérêt mondial est grandissant.

La F1 court actuellement à Monza et Imola en Italie. Le contrat d’Imola expire à la fin de l’année 2025. La Thaïlande, l’Afrique du Sud et le Rwanda sont intéressés pour rejoindre le calendrier de la F1

Stefano Domenicali, directeur général de la Formule 1, a indiqué qu’Imola pourrait disparaître du calendrier de la série à la fin de cette saison.

Dans une interview accordée à Rai Radio en Italie, Domenicali a révélé que l’intérêt croissant d’autres pays pour l’organisation de courses de Formule 1 signifiait que des décisions difficiles devaient être prises en ce qui concerne le calendrier.

« L’Italie a toujours été et restera un élément important de la Formule 1 », a déclaré M. Domenicali. « Il sera de plus en plus difficile d’organiser deux courses dans le même pays parce que l’intérêt pour la F1 augmente et c’est une situation à laquelle nous devrons faire face dans les mois à venir.

C’est une situation que nous devrons gérer dans les mois à venir. Il est difficile pour cette situation d’Imola et de Monza de continuer à figurer ensemble au calendrier pendant longtemps.»

Seuls l’Italie et les États-Unis accueillent plus d’une course dans le calendrier actuel, et il est peu probable que la série cherche à réduire le nombre de courses dans ce dernier pays de sitôt, étant donné la taille du marché.

Trois courses – Imola, Mexico et Las Vegas – ont des contrats qui expirent à la fin de cette saison. De ce trio, Imola semble être la course la plus susceptible d’être retirée du calendrier, car la Formule 1 continuerait à courir à Monza pour maintenir sa présence en Italie.

Madrid accueillera le Grand Prix d’Espagne à partir de la saison prochaine, mais le Circuit de Barcelona-Catalunya a un contrat en cours pour accueillir une course de Formule 1 une année de plus, de sorte qu’il y aura deux Grands Prix en Espagne l’année prochaine.

Mais il est peu probable que cette situation perdure au-delà de 2026, de sorte que la Formule 1 évitera d’organiser deux courses dans le même pays à temps pour que les nouveaux marchés aient une véritable chance d’intégrer le calendrier. Le Grand Prix des Pays-Bas à Zandvoort disparaîtra également à la fin de la saison 2026, libérant ainsi de l’espace.

Parmi les pays intéressés par l’inscription au calendrier de la Formule 1, la Thaïlande est celui dont les discussions sont les plus avancées, même si elle ne fera ses débuts qu’en 2027 ou 2028 au plus tôt.

Le championnat étudie également la possibilité d’un retour en Afrique, l’Afrique du Sud travaillant sur une candidature et le Rwanda étant également sur les rangs.

 

Les statistiques des pilotes français en Formule 1

Voici les chiffres des plus grands pilotes français de l’histoire de la Formule 1

L’annonce d’Isack Hadjar comme nouveau pilote Racing Bulls pour 2025 a renforcé la présence de la France en Formule 1. Alors qu’Alpine, propulsée jusqu’à cette saison par des moteurs Renault (l’accord avec Mercedes pour les moteurs allemands débute en 2026), navigue en F1 sous pavillon tricolore, la grille compte elle trois pilotes français, soit le plus grand nombre de ressortissants après les quatre pilotes britanniques Russell, Hamilton, Bearman et Norris. Outre Hadjar, Gasly et Ocon, anciens coéquipiers chez Alpine sont également présents sur la grille. Cependant, le seul élément manquant pour la France en 2025 sera le Grand Prix, absent depuis 2023.

Isack Hadjar, qui possède également un passeport algérien, sera le 72e pilote français à participer à un GP dans l’histoire de la Formule 1. Le record absolu du nombre de courses disputées appartient à l’ancien pilote Ferrari Jean Alesi, le seul à avoir dépassé les 200, avec précisément 201 GP. Cependant, le pilote qui a effectué le plus de tours, et donc parcouru le plus de kilomètres, est Alain Prost, en dépit du fait d’avoir disputé deux GP de moins que son ancien coéquipier chez Ferrari en 1991.

Le plus titré

Le « Professeur » détient d’autres records significatifs : outre le fait d’être le pilote français ayant remporté le plus de victoires (51), de pole positions (33), de tours rapides (41) et de podiums (106), il est également le seul pilote français à figurer au Panthéon de la Formule 1. De plus, Prost a remporté quatre fois le championnat du monde, un exploit égalé par deux pilotes Red Bull, Sebastian Vettel et Max Verstappen.

Les vainqueurs

Hormis Prost, treize autres pilotes français ont remporté au moins une course au cours de leur carrière en F1. Derrière le « Professeur », on retrouve René Arnoux, autre pilote de l’histoire de Ferrari, avec 7 victoires. Jacques Laffite, avec 6 victoires, suit sur le podium, et à la quatrième place, on retrouve le regretté Didier Pironi avec 3 victoires. Maurice Trintignant, Jean-Pierre Jabouille, Patrick Depailler et Patrick Tambay ont chacun remporté deux victoires, tandis que la « Marseillaise » n’a été jouée qu’une seule fois pour François Cevert, Jean-Pierre Beltoise, Jean Alesi et Olivier Panis. Il en va de même pour Pierre Gasly et Esteban Ocon, qui sont toujours en activité.

Franco Colapinto pressenti au volant de l’Alpine à Imola selon une indiscrétion d’un sponsor

Franco Colapinto pourrait effectuer ses débuts en Formule 1 avec Alpine lors du Grand Prix d’Émilie-Romagne, à Imola, si l’on en croit une déclaration involontaire de l’un de ses principaux soutiens.

C’est lors d’une interview diffusée sur la chaîne d’information argentine A24 qu’Horacio Marin, PDG de la société énergétique YPF – sponsor du pilote – a laissé entendre que Colapinto serait aligné par l’écurie à Imola. Alors que le dirigeant affirmait à plusieurs reprises ne pas connaître la date exacte des débuts du jeune Argentin, un micro resté ouvert a capté ses mots en aparté : « à Imola », laissant entendre que cette échéance pourrait être imminente.

Âgé de 21 ans, Franco Colapinto a rejoint Alpine cet hiver en tant que pilote de réserve après une saison encourageante en F2 et plusieurs apparitions convaincantes avec Williams. Il avait été un temps pressenti pour remplacer Jack Doohan.

Des rumeurs persistantes évoquaient une fenêtre de seulement quelques courses laissée à Doohan pour convaincre la direction d’Alpine, bien que l’écurie ait publiquement relativisé cette pression. La sortie accidentelle de Marin vient toutefois raviver ces spéculations, suggérant qu’un remplacement pourrait être plus proche que prévu.

La septième manche du championnat se tiendra à Imola, juste après le Grand Prix de Miami. À ce jour, ni Alpine ni Colapinto n’ont confirmé l’information, et le terme de « débuts » reste flou – il pourrait aussi bien s’agir d’une participation aux Essais Libres.

Ce possible changement intervient dans un contexte où Alpine cherche encore à retrouver de la stabilité après un début de saison en demi-teinte.

Ralf Schumacher défend Hamilton : « La Chine n’était pas un accident »

Ralf Schumacher a pris la défense de Lewis Hamilton, affirmant que le septuple champion du monde reste capable de briller au plus haut niveau, malgré un début de saison compliqué avec Ferrari. « La Chine n’était pas un accident », a-t-il déclaré dans le podcast de Sky Germany, en référence à la victoire du Britannique lors de la course sprint à Shanghai.

Depuis son arrivée au sein de la Scuderia, Hamilton peine à trouver ses marques. Son meilleur résultat reste pour l’instant cette performance en Chine, tandis que le Grand Prix d’Arabie saoudite a marqué un sérieux revers, où il a franchi la ligne avec plus de 30 secondes de retard sur son coéquipier Charles Leclerc.

Déconcerté par l’irrégularité de ses performances, Hamilton a reconnu ne pas avoir encore trouvé la clé de ses difficultés et qu’aucune solution immédiate ne se profilait.

À l’approche du Grand Prix de Miami, organisé également selon le format sprint, Hamilton espère renouer avec le niveau de compétitivité affiché en Chine. Pour Ralf Schumacher, l’épisode de Shanghai prouve que le pilote britannique a encore les ressources pour s’imposer, à condition que Ferrari parvienne à mieux cerner ses besoins techniques.

« Les attentes sont très élevées et Ferrari veut en avoir pour son argent », a déclaré Schumacher. « Cela signifie qu’il doit être performant. Il le sera probablement, car ce qui s’est passé en Chine n’était pas un accident. Ce n’est pas qu’il en soit incapable. Il doit simplement trouver les conditions et la voiture qui lui conviennent, et il y a certainement des circuits à venir qui lui conviennent. S’il abandonne maintenant, ce serait très prématuré. J’ai du mal à y croire, mais s’il le fait, l’équipe se concentrera alors entièrement sur Charles Leclerc et sur le développement de la voiture dans son sens. On ne peut pas développer deux voitures dans une même équipe, ça ne marche pas. La voie est alors toute tracée. »

La Scuderia Ferrari passe au bleu pour le Grand Prix de Miami

Ferrari a donné un nouvel indice sur la livrée spéciale de ses monoplaces pour le Grand Prix de Miami en dévoilant les combinaisons des pilotes pour le week-end à venir.

Les combinaisons rouges habituelles ont été entièrement redessinées pour le week-end à Miami, qui débutera vendredi avec les essais libres et les qualifications sprint. La nouvelle combinaison ignifugée est principalement blanche, avec la partie supérieure recouverte de bleu pour célébrer son sponsor principal HP.

Le week-end de course de F1 à Miami marque le premier anniversaire du nouveau partenariat entre Ferrari et HP. L’édition 2024 de la course verra également l’écurie italienne dévoiler une livrée spéciale. La livrée 2025 sera dévoilée mercredi, à l’approche du week-end à Miami, lorsque Lewis Hamilton et Charles Leclerc piloteront les deux SF-25 lors d’une démonstration sur la piste.

Ferrari aborde le week-end de course avec l’intention de remporter sa première victoire de la saison. Lors de la dernière course à Djeddah, Leclerc a décroché la troisième place, le premier podium de Ferrari cette année.

Sondage – Quel pilote remportera le Grand Prix de Miami 2025 de F1 ?

Oscar Piastri a pris les commandes du Championnat du monde des pilotes en remportant le Grand Prix d’Arabie saoudite. L’Australien devance son voisin de garage chez McLaren, Lando Norris, de 10 points et le quadruple Champion du monde, Max Verstappen de 12 unités. Pour rappel, le Grand Prix de Miami, édition 2024, avait été remporté par Lando Norris. Quel pilote voyez-vous remporter la course de dimanche prochain ?

Aston Martin tient la corde sur le dossier Verstappen selon Franz Tost

La récente baisse de régime de Red Bull en Formule 1 ravive les spéculations sur l’avenir de Max Verstappen au sein de l’écurie autrichienne. Malgré un contrat courant jusqu’en 2028, le Néerlandais disposerait, selon les déclarations répétées de l’équipe de Milton Keynes, d’une clause de sortie liée aux performances de l’écurie.

Pour Franz Tost, l’initiative d’un éventuel départ appartient désormais au quadruple champion du monde, d’autant que plusieurs équipes de pointe seraient prêtes à l’accueillir. L’ancien patron d’AlphaTauri cite notamment Mercedes, en quête d’un successeur à Lewis Hamilton, et surtout Aston Martin, qu’il considère comme le mieux placé pour séduire Verstappen.

« Une chose est sûre : Max est en position de choisir son écurie », a déclaré Tost. « Je pense que tout le monde aimerait le recruter, car il est tout simplement trois dixièmes plus rapide que tous les autres par tour, ce qui est un énorme avantage. »

« Pour l’instant, il est toujours pilote Red Bull et il a un contrat à long terme. Tout dépend maintenant s’il respectera ce contrat. S’il décide de partir, plusieurs équipes s’intéresseront à lui. Mercedes est la priorité absolue, mais Aston Martin pourrait également l’intéresser. Mercedes réalise d’excellentes performances. Bien sûr, Mercedes doit réfléchir avant de signer Max, car George Russell est très performant en ce moment. »

«Au final, c’est à Toto Wolff de décider. Personnellement, je pense qu’Aston Martin est le favori. »

Quand Sebastian Vettel adoubait Charles Leclerc chez Ferrari

Sebastian Vettel a obtenu son premier podium en F1 en plus d’un an au GP de Turquie 2020 après avoir dépassé Charles Leclerc dans le dernier tour ; Leclerc avait de son côté dépassé Sergio Perez mais avait commis une erreur dans le virage suivant, une pilule difficile à avaler pour le Monégasque qui s’était montré très critique avec lui-même. « Je me reconnais en lui », avait alors déclaré Vettel.

Vettel avait capitalisé sur l’erreur de Leclerc lors de l’un de ses meilleurs dimanches d’une saison décevante, décrochant son premier podium depuis plus d’un an, mais le quadruple champion du monde avait tout de même pris le temps de faire l’éloge de son jeune coéquipier, qu’il considérait comme une star du futur.

« Évidemment, c’est encore plus douloureux quand cela se produit dans le dernier tour », avait déclaré Vettel lors de la conférence de presse d’après-course. « Je pense qu’en ayant Charles comme coéquipier, je me vois souvent en lui aussi. »

« Il est beaucoup plus jeune, il est très rapide et je pense que le fait d’être sur le podium ou non n’a pas vraiment d’importance pour lui parce qu’il a tant d’années devant lui et tant de podiums à venir, ce dont je suis sûr. C’est normal qu’il soit en colère, il a fait une erreur et a perdu le podium de cette façon, mais comme je l’ai dit, dans l’ensemble, cela n’a probablement pas d’importance pour lui », avait-il cherché à dédramatiser.

« Je suis heureux de tout ce qu’il accomplit et accomplira à l’avenir, car c’est un bon garçon. »

« Charles va me manquer », avait déclaré Vettel plus tard, lors du GP d’Abou Dhabi, lors de son échange de casque avec celui de Leclerc alors qu’il s’apprêtait à quitter Ferrari pour terminer sa carrière F1 chez Aston Martin. « Il m’a évidemment donné quelques maux de tête ici et là, et nous sommes à des étapes très différentes de nos vies et de nos carrières. Mais c’est certainement un bon gamin et je pense qu’il ira loin, il sera l’homme de l’avenir. J’espère qu’il aura la voiture qu’il mérite. »

Sebastian Vettel achevait un passage de six saisons chez Ferrari.

Sergio Perez encouragé à revenir en F1 par un ancien de chez Red Bull

Sergio Perez pourrait envisager de revenir en Formule 1, d’après Jonathan Wheatley, nouveau directeur de l’écurie Stake F1 Team (ex-Sauber). Ancien directeur sportif de Red Bull, Wheatley a collaboré étroitement avec le pilote mexicain durant ses quatre saisons au sein de l’équipe autrichienne, période durant laquelle Perez a décroché cinq victoires en Grand Prix et a terminé vice-champion du monde en 2023.

Mais la dynamique s’est inversée en 2024 : confronté à une baisse de performance persistante, Perez a vu son contrat être brisé par Red Bull à l’issue de la saison. Face à cette rupture, le pilote de 34 ans a choisi de faire une pause en 2025 afin de se recentrer sur sa vie personnelle, tout en gardant la porte ouverte à un éventuel retour en 2026.

Parmi les projets envisagés pour un come-back figure notamment l’arrivée de Cadillac en F1, prévue pour 2026. Le constructeur américain, associé à Andretti, cherche encore à construire une équipe compétitive pour son entrée sur la grille.

Pour Wheatley, il ne fait aucun doute que Perez aurait encore les capacités pour rivaliser au plus haut niveau s’il décidait de revenir dans le paddock : « S’il revient, je suis sûr qu’il sera prêt à performer », a-t-il confié. Ce soutien venant d’un ancien collaborateur clé laisse penser que l’avenir de Perez en F1 reste une option sérieusement envisagée.

« Je pense qu’il est tout à fait capable de revenir et de très rapidement trouver ses marques dans une nouvelle équipe », a déclaré Wheatley à Formula.Hu. « Checo occupait l’un des baquets les plus difficiles de la Formule 1 l’année dernière, aux côtés de Max, et quand vous êtes confronté à quelqu’un comme lui, vous devez sans cesse vous regarder dans le miroir et vous poser des questions. »

« Je pense que si l’on regarde en arrière, il a eu un peu plus de mal avec la voiture que Max. J’ai toujours été surpris de voir comment il a réussi à se reconstruire et à revenir plus fort après chaque revers. Il semble avoir une incroyable capacité à se reconstruire, et je pense aussi qu’il a une excellente relation avec lui-même et avec l’équipe, qui lui répond naturellement bien. »

« Il comprend très bien ces choses-là, et j’ai toujours trouvé que ses explications aux ingénieurs sur le comportement de la voiture étaient très claires et faciles à comprendre », a-t-il poursuivi. « Checo est un pilote très professionnel, très talentueux et bien sûr très rapide, avec qui il est très agréable de travailler. »

« Comme toujours, tout repose sur la force mentale et la confiance. Je pense que si un pilote est mentalement fort, très confiant et qu’il pilote au maximum de ses capacités, il peut traverser une période difficile, revenir et être à nouveau rapide. C’est donc la clé, la force mentale est la clé. »

Mohammed Ben Sulayem envisage de modifier les amendes pour l’emploi de jurons en F1

Le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, a annoncé qu’une révision des règles encadrant l’usage d’un langage grossier par les pilotes était en cours, à la suite de polémiques liées à l’introduction récente de sanctions pour propos grossiers ou critiques à l’égard de l’instance dirigeante du sport.

Ces mesures, entrées en vigueur cet hiver via une nouvelle annexe au Code sportif international, prévoient des sanctions progressives pouvant aller jusqu’à une suspension d’un mois et une déduction de points au championnat après trois infractions. Cette directive vise à renforcer la discipline verbale, en particulier à la suite d’incidents tels que celui impliquant Max Verstappen, sanctionné pour ses propos tenus lors d’une conférence de presse au Grand Prix de Singapour en 2023.

Le premier à subir les conséquences de cette réglementation a été Adrien Fourmaux, pilote Hyundai en WRC, qui a écopé d’une amende de 10 000 euros — assortie d’une sanction supplémentaire de 20 000 euros avec sursis — pour un juron lâché en direct après une étape du Rallye de Suède.

En Formule 1, Carlos Sainz a été proche de devenir le premier pilote sanctionné après avoir utilisé un langage inapproprié lors d’une conférence de presse au Grand Prix de Bahreïn. Toutefois, le pilote Williams a évité une amende de 40 000 euros après avoir rapidement présenté ses excuses, ce qui a conduit la FIA à renoncer à toute pénalité.

Face aux critiques grandissantes, Mohammed Ben Sulayem a indiqué sur Instagram qu’une révision de l’annexe B était en cours d’examen, suggérant un possible assouplissement ou ajustement de cette règle controversée. Cette démarche vise à trouver un équilibre entre le respect des règles de conduite et la liberté d’expression des pilotes, dans un environnement sportif souvent sous pression.

« Suite aux commentaires constructifs des pilotes de nos sept championnats du monde FIA, j’envisage d’apporter des améliorations à l’annexe B. En tant qu’ancien pilote, je comprends mieux que quiconque les exigences auxquelles ils sont confrontés », a écrit Ben Sulayem dans un post Instagram.

« L’annexe B est un élément clé du Code sportif international et joue un rôle central pour aider à rendre ce sport accessible à toute notre famille sportive. »

« Les règles sont faites par les hommes et les hommes peuvent les améliorer. Ce principe d’amélioration continue est une valeur à laquelle j’ai toujours cru et qui est au cœur de tout ce que nous faisons à la FIA. »

« La FIA a déjà précisé aux pilotes de F1 que les propos grossiers prononcés dans le feu de l’action ne seraient pas sanctionnés. Les pilotes du WRC sont également parvenus à un accord similaire avec la FIA. »

La F1 annonce un nouveau partenariat « stratégique » pluriannuel

La F1 a annoncé un nouveau partenariat « à long terme » avec le cabinet d’audit PricewaterhouseCoopers (PwC) à la veille du Grand Prix de Miami.

PwC rejoint le cercle des partenaires de la F1 en tant que partenaire officiel en matière de conseil et fournira des services de conseil stratégique à la F1 « afin de l’aider à améliorer ses performances et à atteindre l’excellence opérationnelle ».

Dans le cadre de cet accord pluriannuel, PwC bénéficiera également d’une publicité lors de plusieurs courses, ainsi que d’opportunités d’hospitalité et de parrainage.
Emily Prazer, directrice commerciale de Formula 1, a déclaré :

« En tant que deux marques fondées sur la nécessité de résoudre des problèmes complexes au plus haut niveau, le partenariat avec PwC est tout naturel pour la Formule 1 », a expliqué Emily Prazer, directrice commerciale de la F1.

« Leur expertise en matière de conseil soutiendra notre activité complexe et en constante évolution alors que nous cherchons à innover et à poursuivre notre croissance mondiale. De notre côté, notre plateforme mondiale leur permettra de faire connaître leur activité à nos millions de fans, tant lors des événements que chez eux. » Paul Griggs, associé senior de PwC aux États-Unis, a ajouté : « La Formule 1 représente le type d’environnement hautement performant où la stratégie, la vitesse et l’innovation convergent, et c’est là que PwC excelle. En travaillant aux côtés de l’équipe de F1, nous voyons une opportunité incroyable de les soutenir dans leur quête de l’excellence, en apportant une réflexion innovante supplémentaire à des défis complexes, et en les aidant à façonner leur avenir dans un paysage mondial en constante évolution. »

Ralf Schumacher critique la gestion actuelle de Red Bull et cible Pierre Wache

Ralf Schumacher, ancien pilote de Formule 1 et sextuple vainqueur en Grand Prix, a exprimé des réserves sur la direction technique actuelle de Red Bull. Selon lui, Pierre Wache, désormais en charge du département technique, ne parvient pas à égaler l’influence et l’expertise de son prédécesseur Adrian Newey.

Ces déclarations interviennent alors que Red Bull traverse une période délicate, marquée par le départ de plusieurs figures clés. Outre Newey, qui a rejoint Aston Martin après près de deux décennies de collaboration, l’écurie a également vu s’en aller le concepteur Rob Marshall, le stratège Will Courtenay et le directeur sportif Jonathan Wheatley. Cet affaiblissement progressif du noyau technique a coïncidé avec une baisse de compétitivité : l’équipe, longtemps dominante, a rétrogradé à la troisième place du championnat des constructeurs et peine désormais à concevoir une monoplace à la fois performante et facile à piloter.

Promu en interne, Pierre Wache s’est vu confier les rênes du développement de la RB21, mais Ralf Schumacher estime que l’absence de Newey commence à peser lourdement sur les résultats de l’écurie de Milton Keynes.

« À mon avis, Pierre Wache n’est tout simplement pas Adrian Newey. Par conséquent, cela va être difficile », a déclaré l’Allemand à Sky Germany.

Schumacher estime que le directeur de l’écurie Red Bull, Christian Horner, est à l’origine des problèmes de Red Bull, ajoutant que le Britannique n’aurait jamais dû laisser une personne aussi talentueuse que Newey échapper à l’écurie.

« Il a construit toute l’équipe et, avec le Dr [Helmut] Marko, il en était responsable », a déclaré Schumacher. « Il aurait dû le voir. Et il n’aurait jamais dû perdre Adrian Newey. »

Franz Tost voit en Aston Martin l’écurie montante de la F1

L’ancien directeur d’AlphaTauri, Franz Tost, estime qu’Aston Martin est en passe de devenir une référence en Formule 1, portée par les lourds investissements de son propriétaire Lawrence Stroll. Sous son impulsion, l’équipe a amorcé une transformation majeure, avec notamment la construction d’une usine ultramoderne à Silverstone, dotée d’un simulateur de dernière génération opérationnel depuis mars.

Le renforcement de l’effectif technique s’est également accéléré, marqué par l’arrivée d’Andy Cowell, ex-responsable du département moteur de Mercedes, désormais directeur de l’équipe, et d’Adrian Newey, figure emblématique du design en F1, nommé directeur technique.

Aston Martin bénéficiera par ailleurs d’un partenariat stratégique avec Honda à partir de 2026, qui lui fournira des blocs moteurs sur mesure. Ce partenariat, combiné aux rumeurs persistantes autour d’un éventuel transfert de Max Verstappen, alimente les ambitions de l’écurie. Pour Franz Tost, tous les éléments sont réunis pour qu’Aston Martin s’impose comme un acteur majeur dans la nouvelle ère réglementaire de la F1.

« Je pense qu’Aston sera l’équipe de l’avenir », a déclaré Tost à Sport1. « Ils ont recruté des personnes très compétentes, notamment Adrian Newey et Andy Cowell. À mon avis, Newey est le meilleur technicien du paddock et possède une expérience immense. Et maintenant, ils ont aussi Andy Cowell. Je le connais depuis mon passage chez BMW. À l’époque, Cowell avait construit le légendaire moteur dix cylindres, qui était de loin le meilleur moteur. Il est ensuite parti chez Mercedes, où il a également fait un travail fantastique. »

« En résumé, on pourrait dire qu’Aston Martin dispose du meilleur homme dans le domaine automobile et du meilleur homme dans le domaine des groupes motopropulseurs. Bien sûr, c’est Honda, et non Cowell, qui est responsable du nouveau moteur qui sera lancé en 2026, mais j’imagine très bien qu’il y aura une communication étroite entre Honda et Cowell.

« Honda est non seulement extrêmement motivée, mais aussi très ouverte. De plus, Aston Martin dispose d’une usine très moderne avec les installations appropriées. C’est pourquoi, pour moi, ils représentent l’avenir. »