GP de Bahreïn : le bulletin météo

Disputé depuis 2004 en début de saison, le Grand Prix de Bahreïn a cette année été déplacé fin novembre pour cause pandémie.

Les conditions météo pour cette région sont souvent simples à prévoir : soleil et chaleur mais pour ce week-end, il y a bien un petit risque de pluie faible pour la journée de samedi!

Situation générale

Situé dans sur la façade Ouest du Golfe Persique, le royaume de Bahreïn bénéficie d’un climat aride et très chaud en été. Les pluies sont rares et se produisent principalement en hiver.

Un anticyclone positionné à l’Est de la mer Caspienne favorise une circulation du Sud-Est au-dessus de la région de Sakhir. Une zone perturbée se développe au nord du Golf Persique et pourrait engendrer de faibles précipitations pour la journée de samedi. Dimanche verra le retour d’un temps ensoleillé grâce au vent sec et chaud venu du sud.

Vendredi 27 novembre – Essais libres 1 et 2

La première journée de roulage se déroulera sous un ciel couvert avec très peu de chance de voir le soleil. Les températures évolueront entre 24°C et 26°C et le vent soufflera de façon modérée entre 10 et 20 km/h du secteur Sud-Est sur le circuit International de Sakhir.  Le risque de précipitation est faible.

Samedi 28 novembre – Essais libres 3 et qualifications

Et oui comme annoncé il y a quelques jours sur le site, la journée de samedi pourrait être perturbée par de faibles précipitations en après-midi ce qui serait une première pour cette course qui est organisée depuis 2004.

Combiné avec le sable (rappelons que le circuit est construit en plein désert), le revêtement pourrait alors devenir extrêmement glissant. Si c’est le cas, il y aura peu de chance de battre le temps de la pôle réalisé par Charles Leclerc en 2019 avec 1:27.866.

Le soleil pourrait tout de même faire de belles apparitions pour la dernière séance d’essais libres et le mercure affichera 25°C.

A noter que la séance des qualifications est prévue à 17h00 heure locale (15h heure de Paris) et se déroulera tout juste après le coucher du soleil. La séance se terminera donc sous les projecteurs et les pilotes devront gérer le changement de température.

Dimanche 29 novembre – La course

Alors que le championnat des pilotes a été remporté il y a deux semaines, à l’occasion du GP du Turquie, la quatrième place du championnat est toujours âprement disputée.

En effet trois pilotes se tiennent à moins de 4 points : Sergio Pérez 100 points, Charles Leclerc 97 points et Daniel Ricciardo avec 96 points. A noter que la troisième place au niveau du championnat des constructeurs est aussi en jeu ce qui va rendre la course intéressante.

Côté météo, les conditions seront bien meilleures que la veille avec un temps chaud et sec. 24°C est attendu lors de l’extinction des feux rouges (15h10 heure de Paris) pour cette course de nuit qui comporte 57 tours.

Le vent du sud soufflera entre 15 et 25 km/h. Dernière statistique intéressante : seulement 40% des courses ont été remportées à Sakhir par le pilote partie en pôle!

Pour nos lecteurs qui souhaitent obtenir les dernières prévisions météo, nous les invitons à consulter le site de notre partenaire météo Celinium qui met à disposition les conditions météo heure par heure durant les week-ends de Grand Prix.

Renault F1 : « la troisième place est à notre portée »

Après le Grand Prix de Turquie où seul la monoplace de Daniel Ricciardo a réussi à terminer dans le top dix (dixième), Renault F1 a perdu sa troisième position au classement des constructeurs et accuse désormais 18 points de retard sur Racing Point troisième et 13 points sur McLaren quatrième.

Avant les trois dernières courses de la saison, l’équipe du constructeur français veut encore y croire et pense toujours que la troisième position est à sa portée et espère que le fait de rouler sur des circuits plus familiers va l’aider à rattraper son retard.

« Après plusieurs courses sur des circuits méconnus et dans des conditions dignes de l’automne européen, Bahreïn représente un retour en territoire plus familier. » nous explique Ciaron Pilbeam, ingénieur en chef chez Renault F1.

« Les pilotes et les équipes connaissent bien le tracé et ont une bonne idée de ce à quoi s’attendre. L’une des caractéristiques de Bahreïn réside dans les horaires avec les EL1 et EL3 de jour, mais les EL2, les qualifications et la course plus tard dans l’après-midi, lorsque la piste commence à se refroidir après le coucher du soleil. »

« Cela a un effet significatif sur l’adhérence et les performances des pneus. Tout cela fait clairement des EL2 la séance d’essais la plus pertinente comme elle est plus représentative des conditions rencontrées en qualifications et en course. »

« Le circuit est généralement assez sévère sur les gommes avec des courbes rapides générant beaucoup d’énergie et une certaine motricité requise en sortie des virages lents. »

Lorsqu’on lui demande si l’équipe a pu apprendre quelque chose en Turquie malgré les conditions de piste très piégeuses et le fait que Renault n’a marqué qu’un seul point, Pilbeam répond :  « La Turquie était évidemment un résultat très décevant pour notre écurie. Les conditions étaient exceptionnelles avec une adhérence faible, des températures basses et deux jours sous la pluie. »

« Certaines équipes ont géré cela avec plus de succès que nous. Bien qu’il soit peu probable que nous rencontrions régulièrement des conditions similaires, nous devons mettre notre déception de côté, tirer les enseignements de ce week-end et nous concentrer sur les trois dernières courses de l’année. »

« L’équipe a connu un revers au championnat constructeurs lors de la dernière course à Istanbul puisque nos concurrents directs ont marqué de gros points. »

« Nous avons désormais du terrain à rattraper dans le match pour la troisième position. Elle est toujours à notre portée et nous devons rapidement retrouver la forme affichée sur les courses précédentes. »

Tsunoda : les fans au Japon attendent un pilote de F1 japonais

Yuki Tsunoda, petit protégé de Honda et membre du programme junior de Red Bull, a de très grandes chances de se retrouver en F1 en 2021, probablement chez AlphaTauri aux côtés du Français Pierre Gasly.

Tsunoda, qui évolue actuellement en Formule 2, a participé à un test au volant de l’AlphaTauri il y a quelques semaines afin d’accumuler les 300 kilomètres nécessaires à l’obtention d’une super licence, sésame indispensable pour espérer passer en F1.

Dans un entretien accordé au site de la F2, Yuki Tsunoda est revenu un peu plus en détail sur les objectifs que lui a fixé Helmut Marko, le conseiller motorsport de Red Bull, qui suit la carrière du Japonais depuis ses débuts.

On apprend ainsi que Yuki Tsunoda doit impérativement terminer sa saison 2020 de F2 parmi les cinq premiers s’il souhaite passer en Formule 1 en 2021.

« Helmut [Marko] m’a informé que je devais bien faire cette saison, que je devais être cinquième pour obtenir une super licence. » a expliqué Tsunoda.

« Il a dit que si j’étais cinquième, alors je me qualifierais pour piloter en Formule 1, mais si j’ n’y arrivais pas, je devrais piloter de nouveau au Japon. »

« C’était strict, mais je suis d’accord avec lui. Si vous êtes un bon pilote comme George Russell, Lando Norris ou Charles Leclerc, alors que je pense que vous n’avez besoin que d’un an en Formule 2 – vous n’avez pas besoin de deux ou trois ans. »

« Il faut être performant à chaque course. C’est de la pression, mais c’est une bonne mentalité. Cette année n’a pas été trop mauvaise, mais nous verrons ce qui se passera à l’avenir. »

« Mon rêve est d’être champion de Formule 1 et si j’avais eu des difficultés en Formule 2, cela serait devenu vraiment difficile. »

« Vous savez, les fans au Japon attendent qu’un pilote soit en Formule 1. Je peux voir cela sur les réseaux sociaux. Je dirais que j’ai une pression qui arrive du Japon, mais c’est une bonne pression. »

« Ils attendent un pilote de F1 japonais et je suis l’un des plus proches pour y parvenir. Je veux le faire pour eux. »

Bien que la décision finale ne lui revient pas, Tsunoda a pour l’instant coché toutes les cases, puisque le Japonais est actuellement troisième du championnat de F2, alors qu’il ne reste que deux manches à disputer.

Renault et Ferrari pourraient finalement accepter le gel des moteurs

Selon Helmut Marko, le conseiller motorsport de l’équipe Red Bull, les discussions au sujet d’un gel du développement des moteurs à partir de 2022 se poursuivent et vont dans « la bonne direction ».

A la fin de la saison 2021, le constructeur japonais Honda, qui fournit ses moteurs à Red Bull et AlphaTauri, stoppera son programme en Formule 1, ce qui veut dire que ces deux équipes se retrouveront sans moteur à partir de cette date.

L’une des solutions envisagées par Red Bull est de racheter la propriété intellectuelle de Honda pour pouvoir continuer à utiliser son unité de puissance, mais face à la complexité de ces moteurs et au coût que cela engendrerait en termes de développement, l’écurie de Milton Keynes fait pression auprès de la FIA pour qu’un gel du développement moteur soit voté.

Si Mercedes ne serait pas opposée à un gel du développement des moteurs, Ferrari et Renault eux ne semblaient pas disposés à faire plaisir à Red Bull jusqu’à présent, mais les discussions avancent désormais dans la bonne direction selon Helmut Marko.

« Les discussions se poursuivent et elles vont dans la bonne direction. » a expliqué l’Autrichien, cité par AMUS.

« Nous ne pourrons pas utiliser une technologie aussi complexe sans un gel du développement. Il est juste impensable de mettre en place un centre technologique comme celui de Honda à Sakura. »

Renault et Ferrari pourraient donc finalement accepter un gel des moteurs, mais les deux constructeurs souhaitent d’abord terminer leurs travaux concernant l’introduction du carburant E10, qui entrera en vigueur en Formule 1 à partir de 2022 et qui demande aux motoristes d’adapter leur moteur, notamment au niveau de la culasse.

En cas de gel du développement des moteurs, l’argent économisé par les constructeurs pourrait être utilisé pour la conception de nouveaux moteurs « neutres en carbone » avec l’utilisation de carburants synthétiques, mais avec un moteur beaucoup plus simple que les unités de puissance actuelles et qui entrerait alors en vigueur en 2025.

Roy Nissany confirmé au volant de la Williams pour les EL1 à Bahreïn

Le pilote de réserve de l’équipe Williams Racing, Roy Nissany, participera à sa troisième et dernière séance d’essais libres de l’année le vendredi 27 novembre à Bahreïn.

Après avoir déjà pris le volant de la Williams FW43 à deux reprises cette année lors d’essais libres du vendredi [Barcelone et Italie], Nissany participera à sa dernière séance d’essais libres au Grand Prix de Bahreïn sur le tracé de Sakhir.

Après ce roulage, le pilote israélien aura de nouveau la possibilité de prendre les commandes de la FW43 lors de la seule journée de tests d’après saison qui est organisée à Abou Dhabi le mardi 15 décembre.

Lors de ce test des jeunes pilotes, Roy Nissany roulera toute la journée sur la piste de Yas Marina, alors que Jack Aitken sera lui aussi en piste au même moment dans la seconde Williams FW43.

« Le test d’Abou Dhabi est une autre excellente occasion pour moi de développer ma connexion avec la voiture. » a déclaré Nissany.

« Contrairement à des EL1, le test nous donne beaucoup plus de temps et de kilomètres pour affiner et mettre en synergie la voiture et ma conduite. »

Le directeur de Pirelli en F1 testé positif au Covid

La Formule 1 a confirmé ce lundi que le directeur de Pirelli, Mario Isola, a été testé positif au Covid-19 ce dimanche 15 novembre avant le départ du Grand Prix de Turquie.

L’Italien a été immédiatement placé à l’isolement et tous les cas contacts ont été testés aussi, mais aucun d’entre eux n’a renvoyé de résultat positif.

« La FIA, la Formule 1 et Pirelli peuvent confirmer que le directeur de Pirelli, Mario Isola, a été testé positif au COVID-19 le dimanche 15 novembre lors du Grand Prix de Turquie. » indique la Formule 1 ce lundi.

« Mario a renvoyé un résultat positif lors du programme de tests Covid régulier du dimanche. Il a été isolé, est asymptomatique et adhérera aux directives médicales locales. »

« Tous les cas contacts étroits ont été déclarés, testés à nouveau et aucun cas n’a renvoyé de résultat positif. Mario Isola sera rapatrié en Italie suivant les protocoles sanitaires rigoureux. »

Mario Isola a rapidement donné de ses nouvelles sur les réseaux sociaux en précisant qu’il se sentait bien et qu’il n’avait aucun symptôme.

Rappelons également qu’avant le début du week-end à Istanbul, le directeur par intérim de l’équipe Williams, Simon Roberts, a lui aussi été testé positif au Covid et placé à l’isolement pour dix jours.

Les classements F1 2020 après le GP de Turquie

Voici les classements F1 2020 pilotes et constructeurs après le Grand Prix de Turquie 2020 disputé ce dimanche 15 novembre sur le tracé d’Istanbul Park.

C’est le pilote Mercedes Lewis Hamilton qui a remporté le Grand Prix de Turquie 2020 ce dimanche à Istanbul, une victoire qui assure désormais au Britannique d’être titré une septième fois dans sa carrière et d’égaler le record de titres de Michael Schumacher.

Le pilote Mercedes devance sur la ligne d’arrivé la Racing Point de Sergio Perez et la Ferrari de Sebastian Vettel.

Charles Leclerc, Carlos Sainz, Alexander Albon, Max Verstappen, Lance Stroll, Lando Norris et Daniel Ricciardo complètent le top dix à l’arrivée de l’épreuve.

Les classements présentés ci-dessous sont évolutifs en temps réel et sont donc mis à jour en cas de pénalité infligée à un ou plusieurs pilotes après le classement officiel de la course et qui aurait une conséquence directe sur les positions aux championnats.

Classement pilotes F1 2020

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Classement constructeurs F1 2020

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Les résultats définitifs du Grand Prix de Turquie 2020

Le Grand Prix de Turquie, quatorzième manche de la saison 2020 de F1, a été remporté ce dimanche 15 novembre par le pilote Mercedes Lewis Hamilton.

Le Britannique a devancé la Racing Point de Sergio Perez et la Ferrari de Sebastian Vettel au drapeau à damier.

Charles Leclerc, Carlos Sainz, Max Verstappen, Alex Albon, Lando Norris, Lance Stroll et Daniel Ricciardo complètent le top dix à l’arrivée de l’épreuve.

Au terme de ce Grand Prix de Turquie, Lewis Hamilton décroche son septième titre mondial et égale le record établi par Michael Schumacher.

Il y a eu trois abandons pendant ce Grand Prix de Turquie : Romain Grosjean, Nicholas Latifi et Antonio Giovinazzi ont tous les trois abandonné sur problème mécanique.

C’est le pilote Ferrari Sebastian Vettel qui a été élu pilote du jour en Turquie, l’Allemand a terminé sur la troisième marche du podium ce dimanche à Istanbul, signant au passage son premier podium de la saison.

Enfin, le point du meilleur tour en course revient au pilote McLaren Lando Norris avec un chrono signé en 1.36.806 dans le dernier tour de course [tour 58].

Résultats définitifs du Grand Prix de Turquie 2020

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La réaction de Lewis Hamilton, désormais septuple champion du monde

C’est le pilote Mercedes Lewis Hamilton qui a remporté le Grand Prix de Turquie 2020 ce dimanche à Istanbul, une victoire qui assure désormais au Britannique d’être titré une septième fois dans sa carrière et d’égaler le record de titres de Michael Schumacher.

Le pilote Mercedes devance sur la ligne d’arrivé la Racing Point de Sergio Perez et la Ferrari de Sebastian Vettel.

Charles Leclerc , Carlos Sainz, Alexander Albon, Max Verstappen, Lando Norris, Lance Stroll et Daniel Ricciardo complètent le top dix à l’arrivée de l’épreuve.

« Je ne trouve pas mes mots. Bien-sûr, je veux commencer par remercier toute mon équipe ici sur la piste et à l’usine, ainsi que tous nos partenaires. » a déclaré le désormais septuple champion du monde, bien qu’il ne recevra son trophée qu’en fin d’année.

« Je n’aurais pas eu toutes ces opportunités si je n’avais pas rejoint cette équipe. Mon respect pour eux est juste immense. »

« Je veux aussi dire merci à tous les gens qui me suivent, mes fans du team LH et à ma famille également. »

« J’ai rêvé de ça quand j’étais jeune, je regardais les Grands Prix et c’était bien au delà de tous mes rêves. J’espère juste qu’il y a des enfants qui nous regardent et qui rêvent de ça et surtout qu’ils ne laissent personne leur dire que c’est impossible. Vous devez vous exprimez pour ne jamais lâcher et ne jamais douter de vous. »

« On savait que ce serait un week-end difficile ici, j’étais en retrait pendant les qualifications, mais on a fait du mieux qu’on pouvait. On a beaucoup appris, et c’est ce que l’on fait toujours en tant qu’équipe. »

« On travaille, on se donne à fond et on essaye toujours de s’améliorer. On ne fait pas toujours tout bien. »

« Pendant la course, il y a eu ce moment où j’avais des difficultés face à Sebastian [Vettel] avec mes pneus, et je me suis dit que ça allait être une course très compliquée pour moi. Mais j’ai gardé la tête baissée, J’ai retrouvé de la ressource à certains moments et je m’en suis servi. »

« A un moment donné, Seb a repris de l’avance et je ne savais pas ce qu’il se passait. Je regardais les températures de mes pneus, je ne savais pas si mes pneus étaient trop chauds ou trop froids. »

« Il y avait plusieurs zones séchés et je pense qu’à cet endroit cela brulait un peu les pneus. Et puis finalement, j’ai réussi à améliorer mon pilotage pour bien placer ma voiture et retrouver du rythme et Seb s’est arrêté. Mais pour moi, je savais que ce n’était pas le bon choix. »

« C’est pour ça qu’on est resté en piste, mes pneus étaient de plus en plus lisses. D’habitude, c’est ce qu’il vous faut, mais sur les pneus Intermédiaires, ça n’aide pas à garder la température. »

Lorsqu’on lui indique que les pneus de sa monoplace étaient complétement lisses lorsqu’il a franchi la ligne d’arrivée, Hamilton a répondu : « J’ai retenu la leçon de 2007 où j’ai perdu le championnat en rentrant au stand. »

GP de Turquie : 94e victoire et septième titre mondial pour Hamilton

C’est le pilote Mercedes Lewis Hamilton qui a remporté le Grand Prix de Turquie 2020 ce dimanche à Istanbul, une victoire qui assure désormais au Britannique d’être titré une septième fois dans sa carrière et d’égaler le record de titres de Michael Schumacher.

Le pilote Mercedes devance sur la ligne d’arrivé la Racing Point de Sergio Perez et la Ferrari de Sebastian Vettel.

Charles Leclerc , Carlos Sainz, Alexander Albon, Max Verstappen, Lando Norris, Lance Stroll et Daniel Ricciardo complètent le top dix à l’arrivée de l’épreuve.

Giovinazzi et Russell tapent avant le départ

L’Italien Antonio Giovinazzi a été victime d’une sortie de piste ce dimanche dans son tour de reconnaissance juste avant le départ de la course. Le pilote italien est resté planté dans le bac à gravier, mais a pu repartir pour aller se placer sur la grille de départ.

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Au même moment, la Williams de George Russell allait s’encastrer dans le mur à l’entrée de la voie des stands, obligeant les mécaniciens de l’équipe britannique à procéder au changement de l’aileron avant de la FW43 avant le départ.

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Pierre Gasly pénalisé

Le Français Pierre Gasly a reçu une pénalité sur la grille de départ en raison d’un changement d’éléments moteur dans la nuit de samedi à dimanche, alors que sa monoplace était sous régime du parc fermé.

Le pilote AlphaTauri a dû prendre le départ de la course depuis la dix-neuvième position ce dimanche sur la grille.

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Un départ difficile

Le pilote Red Bull Max Verstappen, second sur la grille de départ, est véritablement resté collé sur son emplacement, ce qui lui a fait perdre de nombreuses places.

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En arrivant au premier virage, le pilote Renault Esteban Ocon a été percuté par son coéquipier Daniel Ricciardo, tandis que le pilote Mercedes Valtteri Bottas est lui aussi parti en tête-à-queue à l’extérieur du virage.

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Départ incroyable de Vettel

Onzième sur la grille de départ, le quadruple champion du monde Sebastian Vettel s’est retrouvé à la troisième place du Grand Prix avant même la fin du premier tour de course.

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La piste s’assèche

Rapidement, la piste a commencé à s’assécher dans la trajectoire, ce qui a obligé la quasi totalité des pilotes à passer au stand pour chausser les Intermédiaires…sauf Max Verstappen, qui a insisté auprès de son équipe pour rester en piste avec les pneus Full Wet.

En tête de la course, le poleman Lance Stroll s’est lui aussi arrêté pour chausser des Intermédiaires, il ressortira de la voie des stands troisième…derrière les deux pilotes Red Bull.

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Deux tours plus tard, Verstappen s’arrêtera finalement au stand pour chausser les pneus Intermédiaires. Le Néerlandais ressortira des stands troisième devant la Ferrari de Sebastian Vettel, sur qui il buttait depuis plusieurs tours.

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Giovinazzi abandonne

Le pilote Alfa Romeo, Antonio Giovinazzi, a finalement abandonné ce dimanche au Grand Prix de Turquie.

L’Italien a dû se résoudre à immobiliser sa monoplace sur le bas côté de la piste en raison d’un problème technique. Sale journée pour lui, il partait dixième sur la grille.

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Verstappen fait un 360°

Au dix-huitième tour de course, un Max Verstappen déchainé a tenté de dépasser la Racing Point de Sergio Perez pour s’emparer de la seconde position.

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Mais le pilote Red Bull a perdu le contrôle de sa monoplace au virage numéro 11 et a fait plusieurs 360° avant de pouvoir récupérer sa voiture.

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Il rentrera de nouveau au stand pour chausser des gommes neuves après avoir fusillé ses pneus lors de cet incident et ressortira des stands à la huitième position.

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Notez que le pilote Red Bull fait l’objet d’une enquête concernant sa sortie des stands lors de son premier arrêt (il a touché la ligne blanche à la sortie).

Une piste séchante

A un moment donné, les pilotes ont été confrontés à un véritable casse-tête avec une trajectoire quasiment sèche, mais encore de nombreuses zones d’humidité ici et là.

Personne n’a osé chausser des gommes slicks et le leader de la course Lance Stroll a lui aussi été confronté à ce dilemme.

Cependant, voyant que ses pneus Intermédiaires devenaient de plus en plus slicks, le Canadien a décidé de renter au stand pour un second arrêt et a perdu la tête de la course à ce moment-là.

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Septième titre pour Hamilton

Sixième sur la grille de départ, Lewis Hamilton a réussi à remonter petit à petit jusqu’aux leaders et s’est emparé de la tête de la course après avoir attaqué la Racing Point de Sergio Perez.

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Personne n’est plus venu inquiéter le pilote Mercedes pour le reste de la course qu’il a donc remportée, ce qui lui permet désormais d’être titré une septième fois dans sa carrière (il égale le record de Michael Schumacher).

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Bottas à l’agonie

Le coéquipier de Lewis Hamilton, le Finlandais Valtteri Bottas, a connu une course compliquée avec plusieurs tête-à-queue effectués ce dimanche à Istanbul. Il termine la course en dehors des points avec un tour de retard sur Hamilton.

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Renault perd gros au championnat

Troisième au championnat constructeurs avant le Grand Prix de Turquie, l’équipe Renault voit l’équipe McLaren et l’écurie Racing Point repasser devant. L’écurie du constructeur français se retrouve désormais cinquième, alors qu’il ne reste que trois courses à disputer avant la fin de la saison.

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Résultats et classement du GP de Turquie

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Horner pense que 23 courses par an est la limite à ne pas dépasser

Le patron de l’équipe Red Bull, Christian Horner, a déclaré qu’un calendrier de 23 courses est « à la limite de la tolérance humaine », après que la F1 ait dévoilé plus tôt cette semaine un calendrier provisoire pour 2021 composé justement de 23 Grands Prix.

Bien que le calendrier initial de la saison 2020 comportait 22 courses avant que la crise sanitaire ne vienne tout perturber, la F1 n’a jamais eu de calendrier composé de plus de 21 manches, ce qui veut dire que la campagne 2021 et ses 23 courses serait une grande première pour la catégorie.

« Il y a beaucoup de choses à dire sur ces 23 courses du calendrier de l’année prochaine. La demande pour des courses de F1 augmente. » a déclaré Horner.

« Mais quand on regarde les 23 courses sur une saison par rapport à ce que nous avons réussi à faire cette année en si peu de temps, cela semble plus simple. »

« Mais ce sera aussi très exigeant. Alors oui, il y a aura un peu moins de tests [vers des essais hivernaux de trois jours], ce qui devrait compenser partiellement, mais ce sera tout de même un défi pour tous les membres de l’équipe. »

« Ca le sera un peu moins pour les pilotes, car ils n’arrivent pas et ne repartent pas au même moment que l’équipe, mais pour tout le monde ce sera dur. Il y a de grandes courses prévues, mais bien-sûr, c’est à la limite de la tolérance humaine. »

L’an prochain, l’Arabie Saoudite a fait son entrée au calendrier de la Formule 1 avec une course programmée fin novembre dans la ville de Jeddah.

Le calendrier provisoire dévoilé par la Formule 1 cette semaine doit encore être approuvé par le conseil mondial du sport automobile de la FIA, ce qui devrait être une simple formalité.

Qualifs GP de Turquie : les réactions du top trois

C’est un Lance Stroll impressionnant dans des conditions dantesques qui a décroché la pole position au Grand Prix de Turquie ce samedi à l’issue de la séance de qualifications ce samedi à Istanbul en 1,47.765.

Le pilote Racing Point devance la Red Bull de Max Verstappen de deux dixièmes et la seconde Racing Point de Sergio Perez.

Alex Albon, Daniel Ricciardo, Lewis Hamilton, Esteban Ocon, Kimi Raikkonen, Valtteri Bottas et Antonio Giovinazzi complètent le top dix sur la grille de départ en Turquie.

Lance Stroll – en pole : « J’ai du mal à mettre des mots sur ce que je ressens pour l’instant, je suis sous le choc, je ne m’y attendais pas. » a déclaré le Canadien.

« Après les EL3, je n’étais pas très certain de notre niveau, mais là je suis vraiment heureux. J’ai réussi à tout mettre bout à bout dans mon dernier tour. J’avais beaucoup de pression, parce que je n’avais qu’un seul tour pour y arriver. »

« Ils m’ont fait rentrer au stand pour les Intermédiaires, j’ai eu du trafic, j’ai vu Valtteri [Bottas] partir en tête-à-queue devant moi, et à la fin il ne me restait qu’un seul tour à faire pour faire ma performance. »

« J’étais confiant avec la voiture, j’ai réussi à accrocher tous les points de corde, et rebondir après quelques semaines compliquées, ça fait du bien, je me sens vraiment très bien. »

Max Verstappen – second : « J’ai essayé de passer avec les Intermédiaires dès la Q1, mais il n’y avait aucun grip. » a expliqué le pilote Red Bull.

« Pour nous, les Intermédiaires étaient catastrophiques, ça allait beaucoup mieux avec les Full Wet, j’étais plus à l’aise. »

Lorsqu’on lui indique qu’il est tout de même bien placé pour le départ ce dimanche, Verstappen répond : « Sur l’instant, je suis déçu, mais on peut toujours espérer faire bien, mais quand vous avez été devant tout le week-end et que vous finissez deuxième, c’est un peu dur à accepter. »

Sergio Perez – troisième : « C’est vraiment une chose à laquelle on ne s’attendait pas, dans le dernier tour j’avais Giovinazzi devant moi et il ne s’est pas écarté de la trajectoire. » explique Perez.

« Mais c’était une bonne tentative que de partir avec les Intermédiaires, c’était difficile aujourd’hui de maintenir les températures dans les pneus, mais je préfère clairement partir troisième que deuxième sur le bon côté de la piste pour demain. »

Grille de départ GP de Turquie 

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Holiday on Ice sur la piste d’Istanbul avant les qualifications !

C’est le pilote Red Bull Max Verstappen qui a signé le meilleur temps de cette troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix de Turquie en 1,48.485 (Intermédiaires).

Le Néerlandais devance de neuf dixièmes la Ferrari de Charles Leclerc (Intermédiaires) et d’un peu plus d’une seconde la Red Bull d’Alex Albon (Intermédiaires).

Esteban Ocon (+5.4), Lando Norris (+5.5), Sebastian Vettel (+6.0), Sergio Perez (+7.0), Valtteri Bottas (+7.1), Kevin Magnussen (+7.3) et Lance Stroll (+8.3) complètent le top dix de cette troisième séance d’essais libres du Grand Prix de Turquie.

Une véritable patinoire

C’est avec des pneus intermédiaires et sur une piste déclarée humide que les pilotes ont débuté cette troisième séance d’essais libres du Grand Prix de Turquie ce samedi matin.

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Aujourd’hui, la piste d’Istanbul est toujours aussi glissante (encore plus même avec l’apparition de la pluie) et ce, malgré les efforts de l’organisation qui a décidé d’envoyer plusieurs voitures de tourisme en piste dans la nuit pour essayer de gommer l’asphalte neuf…avant que la pluie n’arrive et ne vienne anéantir leurs efforts.

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Tous les pilotes ont été piégés dans ces conditions et on ne comptait plus les sorties de piste après les premières minutes de la session…même avec des pneus Full Wet.

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Impossible donc d’exploiter le potentiel des monoplaces dans ces conditions, et aucun pilote n’a réussi à boucler un tour rapide ce matin avant la séance de qualifications programmée cet après-midi.

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La pluie s’intensifie

Après 30 minutes de glisse, la pluie s’est intensifiée sur l’Istanbul Park et tous les pilotes sont rentrés au stand pour se mettre à l’abris. Ils participeront cet après-midi à une séance de qualifications qui s’annonce dores et déjà épique.

La séance de qualifications du Grand Prix de Turquie est programmée ce samedi après-midi à 13h00 (heure de Paris).

Résultats des EL3 à Istanbul

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Red Bull prendra une décision pour son moteur avant fin novembre

L’équipe Red Bull Racing aimerait dans la mesure du possible prendre une décision définitive concernant le futur moteur qu’elle utilisera à partir de la saison 2022 avant la fin du mois de novembre.

Honda, le motoriste actuel de Red Bull en Formule 1, a annoncé récemment qu’il stopperait son projet F1 à la fin de la saison 2021, laissant Red Bull Racing et AlphaTauri sans solution moteur pour la saison 2022.

Dans ce contexte, Red Bull Racing envisage sérieusement de conclure un accord avec Honda pour pouvoir utiliser la propriété intellectuelle de son unité de puissance à partir de 2022, mais l’équipe de Milton Keynes souhaite aussi – et c’est là que tout se complique – un gel du développement des moteurs à partir de 2022 pour lui permettre d’utiliser le bloc V6 Honda sans devoir investir des millions de dollars en développement.

Selon Christian Horner, le patron de l’équipe Red Bull, le temps presse désormais et il faudra qu’une décision soit prise dans les prochaines semaines.

« Il y a encore beaucoup de choses qui doivent être décidées. Les unités de puissance sont très longues à fabriquer, et si nous devions prendre en charge un tel projet, nous aurions beaucoup de travail en coulisses. » a explique Horner à Istanbul ce week-end.

« Nous allons devoir nous positionner d’ici la fin du mois [novembre], et je pense que notre option préférée serait de continuer à utiliser le moteur [Honda] qui sera encore dans la voiture l’année prochaine et que nous pourrions rebadger. »

« Nous aimerions conclure un accord concernant l’utilisation de la propriété intellectuelle, ainsi que le développement. Ce serait vraiment dommage de voir ces moteurs abandonnés quelque part dans une usine au Japon. »

Alors que la priorité de Red Bull est de conserver le moteur Honda à partir de 2022, l’écurie de Milton Keynes aura toujours la possibilité d’utiliser un moteur fournit par Renault qui, selon la réglementation, aura l’obligation de fournir une unité de puissance à Red Bull et AlphaTauri à partir de 2022.

Istanbul – EL2 : Verstappen confirme sur une piste toujours glissante

Tout comme ce matin en EL1, c’est le pilote Red Bull Max Verstappen qui a signé le meilleur temps de la seconde séance d’essais libres du Grand Prix de Turquie en 1,28.330 (Tendres).

Le Néerlandais devance la Ferrari de Charles Leclerc (Tendres) pour quatre dixièmes et la Mercedes de Valtteri Bottas (Tendres) pour cinq dixièmes.

Alexander Albon (+1.033), Daniil Kvyat (+1.359), Pierre Gasly (+1.614), Sebastian Vettel (+1.692), Lance Stroll (+1.967) et Lando Norris (+2.577) complètent le top dix de ces EL2 du Grand Prix de Turquie.

Bien qu’un peu plus représentative que ce matin, la hiérarchie pourrait encore beaucoup évoluer au fil du week-end, notamment parce que la piste s’améliore après chaque séance et les écarts devraient donc logiquement se resserrer lors des qualifications programmées ce samedi.

On rattrape le temps perdu en EL1…

En raison d’une piste extrêmement glissante en début de journée, les pilotes ont très peu roulé en EL1 ce vendredi matin et ont donc rattrapé le retard dans l’après-midi sur une piste bien plus rapide, bien que le grip n’était pas encore à son maximum sur ce tracé entièrement resurfaçé avant l’arrivée de la F1.

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Les pneus vont souffrir

En raison du manque de grip, des températures relativement fraiches, du nouvel asphalte et du fameux virage 8, les gommes Pirelli vont souffrir ce week-end en Turquie.

Plusieurs pilotes se sont plaints de graining sur les gommes avant, notamment sur le pneu avant droit après plusieurs passages à haute vitesse dans le « Super 8 ».

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Sainz de retour en piste 

L’Espagnol Carlos Sainz était bien en piste ce vendredi après-midi au volant de sa McLaren après avoir dû immobiliser sa monoplace ce matin en EL1.

C’est un problème hydraulique qui a forcé le futur pilote Ferrari à stopper prématurément sa séance en matinée, mais le problème a été rapidement résolu pendant la pause déjeuner par les mécaniciens.

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Les Renault hors du top dix

Les deux pilotes Renault, Esteban Ocon et Daniel Ricciardo, terminent cette première journée de travail en dehors du top dix. Ocon a coupé la ligne à la douzième position, tandis que son coéquipier Ricciardo termine à la quinzième place.

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Retour sur les EL1 de ce vendredi matin

Vous pouvez retrouver les résultats et le classement des EL1 disputés ce vendredi matin en cliquant sur le lien ci-dessous. N’hésitez pas au passage à vous abonner au compte Twitter de F1only.fr

La troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix de Turquie est programmée ce samedi 14 novembre à 10h00 (heure de Paris).

Résultats des EL2 à Istanbul 

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GP de Turquie – EL1 : Verstappen leader sur une piste glissante

C’est le pilote Red Bull Max Verstappen (Dur) qui a terminé la première séance d’essais libres du Grand Prix de Turquie en tête ce vendredi matin à Istanbul en 1,35.078.

Le Néerlandais devance d’un peu plus de deux dixièmes la Red Bull d’Alexander Albon (Dur) et de quatre dixièmes la Ferrari de Charles Leclerc (Dur).

Pierre Gasly (+0,466), Sebastian Vettel (+0.543), Daniil Kvyat (+1.661), Lando Norris (+2.139), Antonio Giovinazzi (+2.426), Valtteri Bottas (+2.552) et Esteban Ocon (3.351) complètent le top dix.

L’ordre hiérarchique de cette première séance d’essais libres du Grand Prix de Turquie n’est absolument pas représentative des forces en présence en raison des conditions de piste compliquées ce matin et il faudra donc attendre la seconde séance d’essais programmée cet après-midi pour y voir un peu plus clair.

Une piste très, très glissante

Les organisateurs du Grand Prix de Turquie ont eu l’idée lumineuse de laver la piste ce vendredi matin avant que les pilotes ne débutent leur journée de travail.

Le problème est que le tracé a été entièrement resurfacé avant que la F1 n’arrive à Istanbul, ce qui a rendu l’asphalte extrêmement glissant avec quelques zones d’humidité encore présentes au moment où les pilotes ont pris la piste pour les EL1.

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Conséquence : tous les pilotes sans exception ont eu le plus grand mal à rester sur la piste, même à très faible vitesse, tandis que Charles Leclerc s’est même payé le cône à l’entrée de la voie des stands, obligeant la direction de course à agiter un drapeau rouge à peine cinq minutes après le début de séance pour permettre aux commissaires d’enlever les boulons d’encrage encore fixés au sol.

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Pour la suite de la séance, les pilotes étaient sur des œufs avec une piste qui a évolué très lentement et qui ne leur permettait pas d’accélérer comme ils le souhaitaient.

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Carlos Sainz en panne

Le pilote McLaren Carlos Sainz a dû immobiliser sa monoplace en bord de piste à la suite d’une panne probablement hydraulique.

Russell pénalisé sur le grille de départ

George Russell sait déjà qu’il devra reculer sur la grille de départ ce week-end en Turquie après avoir reçu à l’arrière de sa monoplace plusieurs éléments moteur neufs.

Le Britannique ayant dépassé son quota de pièces neuves pour la saison 2020, il devra s’élancer dimanche depuis le fond de la grille.

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La prochaine séance d’essais libres du Grand Prix de Turquie [EL2] est programmée cet après-midi à 13h00 (heure de Paris).

Résultats des EL1 à Istanbul 

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Romain Grosjean en discussions avec des équipes d’Indycar

Le Français Romain Grosjean a confirmé qu’il était actuellement en négociations avec plusieurs équipes en Indycar en vue de rejoindre la discipline l’an prochain.

A la fin de cette saison 2020, Romain Grosjean quittera l’équipe américaine Haas avec laquelle il collabore depuis la saison 2016, ce qui pourrait signifier la fin de l’aventure en F1 pour le Français en raison du peu d’options qu’il reste.

Interrogé ce jeudi à Istanbul, Grosjean a donc confirmé qu’il était en discussions avec certaines équipes d’Indycar aux Etats-Unis, mais n’a pas souhaité entrer dans les détails, ni donner de noms.

« Oui, c’est vrai je négocie avec différentes équipes en Indycar. » a confirmé Romain Grosjean.

« Mais pour que cela soit concret, je dois encore avoir une offre entre mes mains. Cela ne résoudrait pas non plus le problème des voyages, je dois encore décider si je devrai faire des aller-retour ou si je vais m’installer aux Etats-Unis. Je ne suis plus célibataire, donc je ne peux plus juste attraper mon sac à dos et sauter dans le premier avion. »

« J’ai une famille, j’ai trois enfants et élever nos enfants est très important pour moi et ma femme. C’est actuellement un sujet important. »

« Ce qui m’excite le plus en Indycar, c’est que tout le monde utilise un châssis Dallara, ce qui créé un certain niveau d’égalité. » a poursuivi le Français.

« Il n’y a aussi que deux types de moteurs différents, ce qui signifie que vous avez de bonnes chances d’obtenir une première place en course. Les courses sont extrêmement divertissantes. »

« L’inconvénient c’est que je ne connais pas assez l’Indycar. Je ne connais que les tracés que j’ai vu à la télévision. J’ai donc beaucoup à apprendre. »

« Je sais que j’ai déjà à plusieurs reprises exprimé mes inquiétudes sur l’Indycar, mais cela ne concernait que les courses sur ovale, et il n’y en a plus beaucoup sur le calendrier. »

Grosjean a expliqué qu’il avait eu de longues conversations avec Simon Pagenaud, ainsi qu’un ancien pilote de F1, Marcus Ericsson.

« J’ai eu une longue conversation avec Simon Pagenaud et Marcus Ericsson. Surtout avec Marcus, parce qu’il a exactement la comparaison sur la quelle je souhaite en savoir plus en passant de la Formule 1 à l’Indycar. »

Le coéquipier de Romain Grosjean, le Danois Kevin Magnussen, a lui aussi confirmé qu’il était intéressé pour rejoindre l’Indycar l’an prochain.

« L’Indycar est en haut de ma liste de souhaits. » a indiqué Magnussen. « J’ai toujours été un grand fan, même enfant, cela m’a toujours attiré. »

« Je pense que les ovales sont vraiment cool et spectaculaires. Ce serait de toute façon quelque chose de complétement différent [par rapport à la F1]. »

« Les tracés sur lesquels ils roulent sont vraiment « old school », j’aime beaucoup. J’ai toujours très bien aimé les Etats-Unis et je pourrais très bien m’imaginer vivre là-bas et y courir. »

« Il y a des négociations avec les équipes, mais il ne reste plus beaucoup de cockpits et le plus gros problème est que je ne peux pas arriver avec beaucoup d’argent. »

Les horaires du Grand Prix de Turquie 2020 (Istanbul)

Quatorzième manche de la saison 2020 de F1, le Grand Prix de Turquie se dispute ce week-end sur le tracé d’Istanbul.

Pas de surprise pour cette saison 2020, puisque c’est toujours le groupe Canal+ qui détient les droits exclusifs de la F1 en France et vous devrez donc être abonné à la chaîne à péage pour pouvoir regarder les Grands Prix tout au long de la saison.

Ce week-end, toutes les séances d’essais [EL1, EL2, EL3 et qualifications) seront diffusées sur Canal+ Sport, tandis que la course programmée dimanche sera diffusée sur Canal+ et sera également à suivre en direct sur F1only.fr.

Attention : Vous devrez faire attention à l’heure de départ de la course ce dimanche, puisque le coup d’envoi du Grand Prix de Turquie sera donné en fin de matinée à 11h10 (heure de Paris).

Horaires du GP de Turquie 2020 (heure de Paris)

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Le bulletin météo pour le GP de Turquie

Inauguré en 2005, le circuit d’Istanbul Park se trouve à 37 kilomètres à l’est d’Istanbul et est l’œuvre de l’architecte allemand Hermann Tilke.

Long de 5,338 km et vallonné, c’est l’un des rares circuits qui est emprunté dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Très apprécié des pilotes (notamment pour le virage numéro 8 qui est un long gauche qui se passe à fond sur presque 300 mètres), le circuit a accueilli la F1 jusqu’en 2011. Voici le bulletin météo pour cette 8e édition du GP de Turquie.

Situation générale

Un anticyclone situé au nord de l’Ukraine engendre un flux du nord-est au-dessus de la Mer Noire. L’air en mouvement se charge d’humidité et vient perturber le temps dans la région d’Istanbul surtout pour la journée de samedi.

Vendredi 13 novembre – Essais libres 1 et 2

La journée de vendredi débutera par un ciel très nuageux à couvert au lever du jour. Quelques éclaircies de plus en plus nombreuses feront leurs apparitions en fin de matinée et les nuages seront de retour dans l’après-midi pour la deuxième séance d’essais libres.

Le mercure oscillera entre 10°C le matin à 14°C au plus chaud de l’après-midi. Le vent du secteur Nord-Est sera faible tout au long de la journée. Le risque de précipitation pour cette première journée de roulage est faible.

Samedi 14 novembre – Essais libres 3 et qualifications

Une faible bruine et un ciel bas sont au programme pour samedi matin. Ces conditions humides devraient perdurer tout au long de la matinée et espérons qu’elles n’empêcheront pas l’hélicoptère médical de pouvoir décoller (comme ce fut le cas au Nürburgring le mois dernier).

Quelques faibles précipitations sont aussi attendues en après-midi ce qui ne manquera pas de pimenter la séance des qualifications qui, nous le rappelons, débutera à 15h00 heure locale (13h heure de Paris). La température évoluera entre 10°C le matin et 13°C l’après-midi. Le vent du Nord entre 5 et 15 km/h viendra renforcer la sensation de fraîcheur.

Dimanche 15 novembre – La course

Pour la course de dimanche, dont le départ sera donné à 13h10 heure locale (11h10 – heure de Paris), les conditions météo seront bien plus agréables que la veille. Il y aura tout de même encore de nombreux nuages mais le soleil devrait faire de belles apparitions.

Un risque d’averses faibles et isolées est toujours présent en après-midi. Ces prévisions seront affinées au cours des prochaines heures. A ce titre nous vous invitons à consulter les prévisions horaires qui sont mises spécialement à votre disposition sur le site de notre partenaire météo : Celinium. Ces prévisions sont rafraîchies toutes les 10 minutes.

Côté mercure, 15°C sont attendus au moment de l’extinction des feux rouges. La température devrait rester stable tout au long des 58 tours. 

Le patron de l’équipe Williams positif au Covid-19

Le directeur par intérim de l’équipe Williams, Simon Roberts, a été testé positif au Covid-19 durant son voyage vers Istanbul où se déroule ce week-end la quatorzième manche de la saison 2020 de F1.

L’équipe Williams a confirmé ce mercredi soir que Roberts a été placé à l’isolement pour une période de dix jours et ne sera donc pas présent à Istanbul ce week-end avec l’équipe.

« La FIA et la Formule 1 peuvent confirmer que Simon Roberts, directeur de l’équipe par intérim de Williams Racing, a été testé positif au COVID-19 avant de se rendre à Istanbul pour le Grand Prix de Turquie de ce week-end. »

« Simon a renvoyé un test négatif lundi pendant le programme de test COVID régulier de l’équipe, mais après avoir présenté des symptômes mineurs, il a subi un autre test ce matin qui a renvoyé un résultat positif et s’isole maintenant pendant la période de 10 jours requise, conformément aux directives nationales britanniques. »

« Simon n’a été en contact étroit avec aucun autre membre de l’équipe Williams Racing et l’équipe continuera à fonctionner en piste comme prévu. »

Dave Redding, team manager et responsable de la conception du véhicule, remplacera Simon Roberts chez Williams ce week-end au Grand Prix de Turquie.

Un peu plus tôt cette semaine, l’équipe Williams a indiqué que certains membres de l’écurie ont été testés positifs au Covid-19, obligeant Williams à modifier ses plans pour son voyage en Turquie, notamment en faisant appel à du personnel supplémentaire.