Présentation : Le circuit du Hungaroring, désormais un grand classique du calendrier F1

Situé à une vingtaine de kilomètres du centre de Budapest, le Hungaroring accueille chaque année depuis 1986 le Grand Prix de Hongrie de Formule 1 sur un tracé unique entouré de collines et de forêts. Surnommé parfois le “Monaco sans barrières”, ce circuit de 4,381 km se distingue par ses enchaînements sinueux et son absence de longues lignes droites, offrant un défi aussi bien aux pilotes qu’aux ingénieur·es.

Chiffres clés du Hungaroring

  • Longueur du circuit : 4,381 km
  • Nombre de virages : 14 (8 à droite, 6 à gauche)
  • Nombre de tours en course : 70 (soit 306,63 km au total)
  • Premier Grand Prix : 1986
  • Largeur de la piste : 12 à 15 mètres
  • Vitesse moyenne : Environ 200 km/h
  • Vitesse de pointe : Jusqu’à 310 km/h sur la ligne droite principale
  • Zone DRS : 1 principale sur la ligne droite et une courte après le virage 1

Caractéristiques techniques et environnement

Construit dans un vallon naturel, le Hungaroring se distingue par sa visibilité exceptionnelle pour le public — plus des deux-tiers de la piste sont visibles depuis de nombreux gradins. Les températures estivales peuvent grimper au-delà de 30°C, rendant la gestion de la chaleur et des pneus primordiale, surtout sous le soleil implacable hongrois ou dans des conditions parfois orageuses.

Le revêtement, refait à plusieurs reprises, reste poussiéreux en début de week-end, ce qui rend la piste “verte” et glissante, avant que le caoutchouc ne s’y dépose. La proximité de Budapest et les infrastructures modernes du circuit en font un lieu apprécié des équipes et des fans.

Un circuit pour les techniciens et les stratèges

Le Hungaroring est réputé difficile pour les dépassements : sa succession de virages lents et moyens, sans réelle ligne droite hormis la courte ligne principale, oblige à soigner chaque détail de la préparation technique. Il exige un appui aérodynamique maximal, comparable à Monaco ou Singapour. Les équipes optent donc pour des réglages à fort appui (« maximum downforce »), privilégiant la stabilité dans les enchaînements rapides et la traction à la sortie des virages serrés.

Le moteur est moins sollicité qu’ailleurs, mais la température joue un rôle crucial, tout comme le comportement des freins, mis à rude épreuve par les freinages courts et répétés. Les pneus tendres sont souvent privilégiés, mais leur dégradation rapide, surtout sur la surface abrasée du Hungaroring, fait de la gestion des gommes l’un des enjeux majeurs du week-end.

Réglages et gestion des voitures

  • Aérodynamique : Appui maximal, ailes très chargées
  • Suspension : Réglages souples pour maximiser l’adhérence en virage lent
  • Freins : Ventilation renforcée en cas de forte chaleur
  • Boîte de vitesses : Rapports courts pour favoriser la ré-accélération
  • Stratégie pneu : Deux arrêts sont courants, alternance soft/medium selon la température

Le Hungaroring vu par les pilotes

« C’est comme un karting géant », résume souvent Lewis Hamilton, recordman de victoires sur ce circuit. « Il n’y a pas de temps mort, tu dois enchaîner les virages comme un ruban, sans relâcher la concentration. » D’autres, comme Fernando Alonso, saluent « le défi physique et mental, car la chaleur et l’enchaînement des virages testent l’endurance comme rarement ailleurs. » Charles Leclerc insiste sur « l’importance de la position sur la grille », tant les dépassements sont difficiles : « Si tu rates ta qualif’, tu te retrouves vite bloqué. »

Environnement et atmosphère

Avec l’ambiance électrique des gradins, la proximité de la capitale hongroise et la ferveur des supporters, le week-end de Budapest est l’un des plus festifs du calendrier. Le circuit offre de nombreux points de vue, des aires de camping ombragées et une logistique facilitée par les liaisons directes avec le centre-ville. La météo, souvent capricieuse, ajoute au suspense, et le public hongrois sait réserver un accueil unique aux pilotes comme aux écuries.

Un rendez-vous à ne pas manquer

Chaque été, le Hungaroring est le théâtre de scénarios imprévisibles où la stratégie, la gestion de la chaleur et la maîtrise du pilotage font la différence. Entre tracé exigeant, environnement accueillant et ambiance survoltée, le circuit hongrois demeure un joyau incontournable de la Formule 1 moderne.

Verstappen devrait piloter pour Red Bull en 2026 : sa clause de sortie est caduque

Max Verstappen poursuivra sa carrière chez Red Bull en 2026. Le Néerlandais, quadruple champion du monde, ne pourra plus activer la clause de sortie de son contrat, désormais caduque. Cette clause, dont les détails précis ne sont pas publics, aurait pu lui permettre de quitter l’écurie avant l’échéance fixée à fin 2028, à condition qu’il ne figure pas parmi les trois premiers du championnat à la trêve estivale.

Or, à l’issue du Grand Prix de Belgique, Verstappen occupe solidement l’une de ces trois premières places, avec 28 points d’avance sur George Russell, alors qu’il ne reste que 25 unités à distribuer avant la pause, lors du Grand Prix de Hongrie. Le scénario nécessaire à une activation de la clause ne peut donc plus se produire.

Si son départ prématuré ne peut plus se faire par ce biais, une porte reste théoriquement ouverte : celle d’un rachat massif de contrat. Des rumeurs évoquent une clause de libération avoisinant les 120 millions d’euros. Mais selon le journaliste néerlandais Erik van Haren, Verstappen aurait d’ores et déjà choisi de rester fidèle à Red Bull, indépendamment de ces conditions contractuelles.

Le journal De Telegraaf indique toutefois qu’un départ en 2027 reste envisageable, notamment si Red Bull devait perdre en compétitivité après l’importante refonte réglementaire prévue l’an prochain.

Les déclarations récentes de Verstappen laissent peu de place au doute : le pilote semble motivé à collaborer avec le nouveau patron sportif de Red Bull, Laurent Mekies, qui a succédé à Christian Horner. Par ailleurs, Mercedes a écarté tout mouvement vers un transfert en 2026. Son directeur Toto Wolff a affirmé vouloir conserver son duo actuel, composé de George Russell et du jeune espoir Kimi Antonelli, au moins pour une saison supplémentaire.

Vidéo – Le résumé du Grand Prix de Belgique 2025

Oscar Piastri a remporté sa sixième victoire de la saison en Belgique, après une course retardée de 80 minutes par la pluie. Le départ a été lancé derrière la voiture de sécurité, puis donné sous drapeau vert. Piastri a pris la tête dès le premier tour en dépassant Lando Norris à Les Combes. Grâce à une stratégie efficace et un rythme constant, il a gardé l’avantage jusqu’à l’arrivée. Norris, malgré une remontée tardive, a échoué à revenir. Leclerc a complété le podium devant Verstappen. Hamilton, parti 17e, a terminé septième après un pari stratégique sur les pneus slicks en première partie de course.

Le Face-à-face des coéquipiers de F1 : Qualifications, Course, classement de la saison 2025

Consultez cette page après chaque week-end de course de la saison de F1 pour connaître les derniers scores et voir quel pilote de chaque équipe est en tête dans les qualifications, les courses et au championnat.

McLaren : Lando Norris VS Oscar Piastri

 

 

Norris

Piastri

QUALIF

Qualification

6

7

 

Sprint

0

3

COURSE

Grand Prix

6

7

 

Sprint

1

2

CHAMPIONNAT

Points

250

266

 

Classement

2e

1er

Mercedes : George Russell VS Kimi Antonelli

 

 

Russell

Antonelli

QUALIF

Qualification

12

1

 

Sprint

2

1

COURSE

Grand Prix

13

0

 

Sprint

3

0

CHAMPIONNAT

Points

157

63

 

Classement

4e

7e

Red Bull : Max Verstappen VS Yuki Tsunoda

 

 

Verstappen

Tsunoda

QUALIF

Qualification

11

0

 

Sprint

2

0

COURSE

Grand Prix

10

1

 

Sprint

2

0

CHAMPIONNAT

Points

185

10

 

Classement

3e

17e

Ferrari : Charles Leclerc VS Lewis Hamilton 

 

 

Leclerc

Hamilton 

QUALIF

Qualification

9

4

 

Sprint

2

1

COURSE

Grand Prix

10

2

 

Sprint

1

2

CHAMPIONNAT

Points

139

109

 

Classement

5e

6e

Haas : Esteban Ocon VS Oliver Bearman

 

 

Ocon

Bearman

QUALIF

Qualification

7

6

 

Sprint

2

1

COURSE

Grand Prix

8

5

 

Sprint

2

1

CHAMPIONNAT

Points

27

8

 

Classement

10e

18e

Williams : Alex Albon VS Carlos Sainz 

 

 

Albon

Sainz

QUALIF

Qualification

8

5

 

Sprint

2

1

COURSE

Grand Prix

10

3

 

Sprint

2

1

CHAMPIONNAT

Points

54

16

 

Classement

8e

15e

Aston Martin : Lance Stroll VS Fernando Alonso

 

 

Stroll

Alonso

QUALIF

Qualification

0

13

 

Sprint

1

2

COURSE

Grand Prix

5

8

 

Sprint

3

0

CHAMPIONNAT

Points

20

16

 

Classement

12e

14e

VCARB : Isack Hadjar VS Liam Lawson 

 

 

Hadjar

Lawson

QUALIF

Qualification

9

2

 

Sprint

2

0

COURSE

Grand Prix

9

2

 

Sprint

2

0

CHAMPIONNAT

Points

22

16

 

Classement

11e

16e

Sauber : Nico Hülkenberg VS Gabriel Bortoleto

 

 

Hülkenberg

Bortoleto

QUALIF

Qualification

6

7

 

Sprint

1

2

COURSE

Grand Prix

9

4

 

Sprint

1

2

CHAMPIONNAT

Points

37

6

 

Classement

9e

19e

Alpine : Pierre Gasly VS Franco Colapinto

 

 

Gasly

Colapinto

QUALIF

Qualification

6

1

 

Sprint

1

0

COURSE

Grand Prix

5

2

 

Sprint

0

1

CHAMPIONNAT

Points

20

0

 

Classement

13e

20e

Pour Carlos Sainz, le report du départ de la course était « une décision prudente »

Carlos Sainz a pris position en faveur de Rui Marques, directeur de course de la FIA, après le départ retardé du Grand Prix de Belgique, dimanche à Spa-Francorchamps. La course n’a débuté qu’à 16h20, soit avec 80 minutes de retard sur l’horaire initial, en raison de conditions de visibilité jugées insuffisantes.

Un tour de formation derrière la voiture de sécurité avait permis d’évaluer la situation, avant que Marques ne décide de suspendre le départ. Une décision critiquée par plusieurs pilotes, notamment Max Verstappen, qui s’est agacé à la radio : « C’est un peu ridicule… Ils sont beaucoup trop prudents. »

Même si la pluie s’est interrompue pendant une vingtaine de minutes, la direction de course est restée sur une ligne conservatrice, préférant attendre une amélioration durable avant de relancer les hostilités. La course a finalement repris avec un départ lancé, et les pilotes sont rapidement passés aux pneus pour piste sèche.

Lewis Hamilton s’est lui aussi montré critique, jugeant le délai excessif. À contre-courant, Carlos Sainz a défendu la prudence de Marques, soulignant la difficulté de juger la visibilité dans ces conditions particulières et le besoin d’assurer une sécurité maximale pour l’ensemble du plateau.

Sainz a déclaré qu’il avait « du respect » pour le directeur de course Marques en raison de la décision difficile qu’il a prise de prendre son temps avant de reprendre la course.

« Sur un circuit normal, oui, je pense que nous aurions pu commencer peut-être 5 à 10 minutes plus tôt. À Spa-Francorchamps et compte tenu de l’histoire de ce circuit, il vaut mieux être prudent », a déclaré Sainz.« Vous avez pu voir toute la course, vous avez pu la regarder en entier, donc je ne pense pas que ce soit une mauvaise décision, c’était une décision prudente, mais je respecte le directeur de course car il nous avait dit après Silverstone et les accidents à Silverstone qu’il serait plus prudent ici, et c’est ce qu’il a fait. C’est pourquoi il vaut mieux être prudent que d’avoir un accident et le regretter. »

Lewis Hamilton révèle un changement clé dans son équipe d’ingénieurs

Lewis Hamilton a levé le voile sur un ajustement important dans son entourage technique à l’occasion du Grand Prix de Belgique, marquant l’arrivée d’un nouvel ingénieur de performance à ses côtés.

Le Britannique, auteur d’une solide remontée de la 18e à la 7e place après un week-end difficile, a précisé qu’il s’agissait d’un professionnel issu de son ancienne équipe, suggérant un lien avec Mercedes. Ce nouvel ingénieur travaille désormais en tandem avec Riccardo Adami, ingénieur de course chez Ferrari.

« Ce n’est jamais simple de changer en cours de saison, mais c’est quelqu’un que je connais bien. Nous devons apprendre à collaborer rapidement, et ce week-end en a été un bon point de départ », a confié Hamilton.

Le pilote Ferrari avait connu deux éliminations précoces en qualifications et une course sprint sans point, avant de redresser la barre dimanche. Il a évoqué des difficultés liées aux récents changements sur sa monoplace, notamment une suspension arrière révisée introduite à Spa. Il a également salué l’adaptation plus rapide de son coéquipier Charles Leclerc, monté sur le podium.

Ni Hamilton ni l’équipe n’ont encore précisé l’identité de ce nouvel ingénieur.

« De toute évidence, la mise à niveau dont nous disposons comporte essentiellement deux éléments », a expliqué Hamilton. « L’un de ces éléments, nous devions le tester à Montréal, mais je ne l’ai finalement pas fait. Charles l’a fait. Il a fini par l’utiliser en partie pendant deux courses. Il a donc vraiment fait du bon travail aujourd’hui. Il se sent plus à l’aise et mieux acclimaté. Pour moi, c’était la première fois que je l’utilisais et ce tête-à-queue m’a pris au dépourvu, car je ne m’y attendais pas. Il y a aussi le changement d’ingénieur, nous sommes tous les deux dans le grand bain, en gros. Et je pense que nous avons fait du très bon travail pendant la nuit pour rectifier certains réglages et affiner les réglages. La voiture était tellement plus agréable à conduire aujourd’hui. J’ai donc pris beaucoup de plaisir à essayer de me frayer un chemin. »

Hamilton a ajouté : « Je pense que je peux définitivement mettre cette course derrière moi. Je me sens vraiment confiant pour la suite. J’ai appris davantage sur la voiture aujourd’hui, je l’ai réglée avec précision. Je la réglerai encore mieux pour la semaine prochaine. Je serai à l’usine mercredi. Donc oui, je ne vois pas pourquoi nous ne pourrions pas obtenir de meilleurs résultats à l’avenir. »

Max Verstappen critique le report du départ du Grand Prix de Belgique

Max Verstappen a exprimé son désaccord avec la décision de la direction de course de retarder le départ du Grand Prix de Belgique, estimant que les conditions ne justifiaient pas une telle attente.

La FIA a déclaré que plusieurs pilotes avaient fait part de leur inquiétude quant à la visibilité derrière la voiture de sécurité, ce qui a conduit les officiels à suspendre la procédure de départ. Les monoplaces ont finalement été renvoyées dans la voie des stands, où elles sont restées immobilisées plus d’une heure, le temps que la météo s’améliore.

Interrogé sur le moment où il aurait souhaité que le départ soit donné, Verstappen a laissé entendre que, selon lui, la course aurait pu débuter bien plus tôt.

« À trois heures, sans attendre. Il ne pleuvait même pas. Bien sûr, entre les virages 1 et 5, il y avait pas mal d’eau. Mais si vous faites deux ou trois tours derrière la voiture de sécurité, la visibilité aurait été bien meilleure, et le reste de la piste était prêt à rouler de toute façon. C’est un peu dommage. Je savais qu’ils seraient un peu plus prudents à cause de Silverstone, mais cela n’avait pas de sens non plus. Il aurait mieux valu dire ‘attendons que la piste soit complètement sèche’ et nous aurions pris le départ avec des pneus slicks, car pour moi, ce n’était pas vraiment une course sur piste mouillée. »

Verstappen a passé la majeure partie de la course derrière Charles Leclerc, cherchant à décrocher une place sur le podium. Cependant, le Néerlandais a dû se contenter de la quatrième place, signant ainsi sa troisième course consécutive sans podium.

« Avec les pneus intermédiaires, nous avons fait un choix de réglages, puis ils ne nous ont autorisés à rouler que dans des conditions presque sèches », a déclaré Verstappen.

« C’est un peu décevant, car après Silverstone, nous avions décidé d’être un peu plus prudents dans nos décisions. Mais c’était l’autre extrême pour moi. Le choix que nous avons fait pour la configuration de la voiture était alors le mauvais, car ils ne nous ont pas permis de courir sur piste mouillée. Une fois que nous avons chaussé les pneus secs, nous étions tout simplement trop lents dans les lignes droites. Et puis, avec les problèmes d’équilibre généraux que j’ai avec cette voiture, cela n’a fait qu’empirer les choses. »

Lando Norris promet une analyse approfondie après sa défaite face à Piastri

Lando Norris a annoncé son intention d’« analyser » en détail sa course à Spa-Francorchamps, après avoir vu son coéquipier Oscar Piastri s’imposer et creuser l’écart au championnat. Le Britannique pointe désormais à 16 longueurs de l’Australien dans la lutte pour le titre mondial.

Après un départ repoussé de 80 minutes en raison des fortes pluies, Norris, parti en pole, a cédé la tête dès le premier tour lancé, dépassé par Piastri dans la ligne droite de Kemmel.

Lors des arrêts au stand, McLaren a séparé ses stratégies : pneus mediums pour Piastri, durs pour Norris, entré un tour plus tard. Mais la dégradation attendue des pneus mediums ne s’est pas matérialisée, laissant Norris en poursuite tout au long des 32 tours restants.

Le Britannique a vu ses efforts contrariés par deux erreurs importantes : une sortie large à Pouhon au 26e tour, puis un blocage de roues à La Source au 34e, pour un total de près de deux secondes perdues. Un retard aggravé au 40e tour lorsqu’il est resté coincé derrière Isack Hadjar.

Malgré sa frustration, Norris a salué la performance de Piastri, refusant de chercher des excuses.

« Oscar a fait du bon travail, il n’y a rien à dire », a déclaré Norris en revenant sur sa course. « Il s’est un peu plus engagé dans Eau Rouge [avant le dépassement] et a pris l’avantage, donc je n’ai rien à redire, c’est tout. Je ne pouvais rien faire de plus à ce moment-là. J’aurais adoré finir en tête, mais Oscar le méritait. »

Quant aux erreurs et à la question de savoir s’il aurait eu une chance de battre Piastri, Norris a répondu : « C’est facile de dire après coup. Oscar le méritait. Je suis sûr qu’il a fait quelques erreurs, donc s’il avait fait une course parfaite… je n’aurais pas pu gagner, donc je vais revoir mes erreurs. Mais je suis très heureux pour l’équipe, c’est un nouveau doublé, je pense que c’est le premier ici depuis de nombreuses années, c’est donc très agréable de ramener cela à l’équipe, et c’est un résultat bien mérité pour eux et pour Oscar. Avec la prochaine course prévue le week-end prochain à Budapest, et la dernière avant la pause estivale de la F1, Norris espère que son amour bien connu pour le circuit jouera en sa faveur.»

« Budapest est l’un des meilleurs circuits pour moi, compte tenu de mes performances ces dernières années », a-t-il déclaré. « Normalement, ce circuit me convient un peu mieux que Spa. » Il a ensuite ajouté : « Je suis content de ma journée, un peu déçu, mais bien sûr, j’ai hâte d’être à la semaine prochaine. »

GP de Belgique : Piastri revient sur son dépassement décisif sur Norris

Oscar Piastri est revenu sur le moment-clé qui lui a permis de s’imposer dimanche lors du Grand Prix de Belgique, après un dépassement autoritaire sur son coéquipier Lando Norris.

La course, retardée de plus d’une heure en raison de fortes pluies, s’est finalement élancée derrière la voiture de sécurité, avec un départ lancé en raison des conditions délicates. Dès les premiers virages, Piastri est resté dans le sillage de Norris, poleman du jour.

C’est dans la ligne droite de Kemmel, profitant d’une meilleure vitesse dans l’aspiration, que l’Australien a placé son attaque décisive. Il a pris l’avantage dans la chicane de Les Combes, sans jamais être inquiété par la suite.

Maîtrisant le reste de l’épreuve malgré la dégradation progressive de ses pneus, Piastri a franchi la ligne en vainqueur, renforçant sa position en tête du championnat avec désormais 14 points d’avance sur Norris.

« Je savais que le premier tour serait probablement ma meilleure chance de gagner la course », a déclaré Piastri, expliquant son dépassement dans le premier tour. « J’ai pris un bon départ dans le virage n°1. J’ai levé le pied le moins possible dans l’Eau Rouge. Ça a suffi. J’étais un peu déçu que le départ soit donné avec un départ lancé, car je pensais que cela allait me priver d’une opportunité. Quand j’étais si près, je savais que je devais lever le pied un peu moins que Lando et essayer de rester sur la piste. C’était un peu mouvementé dans la côte, mais j’ai réussi à tenir bon. Et à partir de là, l’aspiration m’a aidé. Je suis fier de mon premier tour. »

Lorsque la piste a séché, Piastri est passé aux pneus moyens tandis que Norris a chaussé les pneus durs. Malgré avoir réduit l’écart, quelques erreurs de Norris l’ont empêché de tenter véritablement de reprendre la tête.

« Le reste de la course s’est très bien passé », a ajouté Piastri. « J’ai eu un peu de mal à la fin. Les pneus moyens n’étaient peut-être pas les meilleurs pour les cinq ou six derniers tours. Mais nous avons globalement bien maîtrisé la situation, ce qui était mon objectif. J’étais assez déçu de moi-même après hier, mais finalement, partir deuxième à Spa n’est pas si mal. »

Classement du championnat de F1 2025 après le Grand Prix de Belgique

Quel impact a eu le Grand Prix de Belgique de F1 2025 sur le classement du championnat des pilotes et des constructeurs ?

PPilote Equipe Points
1O. PiastriMcLaren266
2L. NorrisMcLaren250
3M. VerstappenRed Bull185
4G. RussellMercedes157
5C. LeclercFerrari139
6L. HamiltonFerrari109
7K. AntonelliMercedes63
8A. AlbonWilliams54
9N. HülkenbergSauber37
10E. OconHaas27
11I. HadjarVCARB22
12L.StrollAston Martin20
13P. GaslyAlpine20
14F. AlonsoAston Martin16
15C. SainzWilliams16
16L. LawsonVCARB16
17Y. TsunodaRed Bull10
18O. Bearman Haas8
19G. BortoletoSauber6
20F. ColapintoAlpine0
21J. DoohanAlpine0
PEquipe Points
1McLaren 516
2Ferrari248
3Mercedes220
4Red Bull 192
5Williams70
6Sauber43
7Racing Bulls41
8Aston Martin36
9Haas35
10Alpine20

GP de Belgique : Piastri s’impose et passe entre les goutes

Oscar Piastri a signé sa sixième victoire de la saison au Grand Prix de Belgique, à l’issue d’une course perturbée par les intempéries et un report de 80 minutes. Le départ initial a été suspendu après qu’un drapeau rouge a été agité durant le tour de formation, en raison d’une visibilité trop réduite sur un circuit détrempé.

Une fois les conditions redevenues praticables, les monoplaces se sont relancées pour quatre tours derrière la voiture de sécurité, avant un départ lancé. Dès le premier tour sous drapeau vert, Piastri a dépassé Lando Norris à Les Combes pour s’installer en tête, position qu’il ne quittera plus jusqu’au drapeau à damier.

Derrière, la hiérarchie est restée stable, à l’exception de George Russell, qui a pris la cinquième place à Alex Albon. Lewis Hamilton, 17e sur la grille, a profité de l’assèchement de la piste pour effectuer une remontée stratégique. Premier à passer en pneus slicks au 11e tour, il a provoqué la réaction des leaders – Piastri, Leclerc et Verstappen passant aux pneus mediums un tour plus tard, contre les durs pour Norris.

Le classement en tête est resté figé après les arrêts, tandis qu’Hamilton grimpait jusqu’à la septième place. Malgré un retour de Norris en fin de course, Piastri a conservé suffisamment d’avance pour sceller sa victoire.

Leclerc complète le podium, suivi de Verstappen, Russell, Albon, Hamilton, Lawson, Bortoleto et Gasly dans les points.

Grand Prix de Belgique de Formule 1 2025 – le classement de la course

Découvrez tous les résultats du Grand Prix de Belgique de F1 2025 à Spa !

Classement du Grand Prix de Belgique

# Pilote Écurie Écart
1
 
Oscar PIASTRI
McLaren Tour 44
2
 
Lando NORRIS
McLaren +3.415
3
 
Charles LECLERC
Ferrari +20.185
4
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull +21.731
5
 
George RUSSELL
Mercedes +34.863
6
 
Alexander ALBON
Williams +39.926
7
 
Lewis HAMILTON
Ferrari +40.679
8
 
Liam LAWSON
Racing Bulls +52.033
9
 
Gabriel BORTOLETO
Stake +56.434
10
 
Pierre GASLY
Alpine +72.714
11
 
Oliver BEARMAN
Haas +73.145
12
 
Nico HULKENBERG
Stake +73.628
13
 
Yuki TSUNODA
Red Bull +75.395
14
 
Lance STROLL
Aston Martin +79.831
15
 
Esteban OCON
Haas +86.063
16
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes +86.721
17
 
Fernando ALONSO
Aston Martin +87.924
18
 
Carlos SAINZ
Williams +92.024
19
 
Franco COLAPINTO
Alpine +95.250
20
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1 Tour

Leclerc tempère les attentes autour des évolutions Ferrari après sa 3e place à Spa

Charles Leclerc a relativisé l’impact des évolutions techniques apportées par Ferrari, estimant qu’elles sont souvent « très médiatisées », après s’être qualifié en troisième position pour le Grand Prix de Belgique.

La Scuderia a introduit une suspension arrière révisée à Spa-Francorchamps, présentée comme un élément clé pour redresser une saison 2025 jusqu’ici décevante.

Si cette mise à jour a permis quelques progrès, Leclerc souligne que l’écart avec McLaren reste conséquent. Le Monégasque a réussi à devancer de justesse Max Verstappen — pour 0,003 seconde — mais accuse plus de quatre dixièmes de retard sur Lando Norris, auteur de la pole position.

« Nous nous attendions à être en P4, mais avec un écart important devant nous. Au final, l’écart est toujours important, mais un peu moins que ce que nous avions initialement prévu, donc je pense que c’est positif », a déclaré Leclerc. « Nous avons apporté des améliorations ce week-end, qui ont fonctionné dès le début, mais nous avons dû procéder à quelques réglages entre hier et aujourd’hui et cela va dans la bonne direction, donc je suis très heureux. Je pense que c’était aussi un très, très bon tour, donc je ne pense pas avoir laissé beaucoup de choses au compteur avec le potentiel que nous avions aujourd’hui. Donc, pour cela, je suis également content. Cependant, ce n’est que la troisième place, donc nous verrons bien ce que nous pouvons faire demain. »

Verstappen interroge Red Bull après une qualification « bizarre » à Spa

Max Verstappen a demandé à Red Bull de réévaluer les réglages aérodynamiques de sa RB21 après une séance de qualifications qu’il a qualifiée de « bizarre » pour le Grand Prix de Belgique.

L’équipe autrichienne avait opté pour un niveau de charge aérodynamique plus élevé en prévision de conditions pluvieuses attendues dimanche, modifiant la configuration utilisée lors des séances de sprint, où un aileron arrière plus fin avait été privilégié.

Ce changement s’est avéré pénalisant pour le Néerlandais, qui s’est qualifié en quatrième position, derrière les deux McLaren et Charles Leclerc. Le quadruple champion du monde a reconnu ne pas avoir trouvé les bonnes sensations au volant, exprimant sa frustration face au manque de performance sur un tour lancé.

« J’espérais en fait que cela améliorerait les sensations de conduite, même si cela risquait de créer un peu plus de résistance », a déclaré Verstappen à Sky F1, à propos de la configuration à appui aérodynamique plus important. « Mais ça n’a pas été le cas. C’était juste un peu plus résistant et le bon équilibre n’était pas là. Donc, oui, c’est un peu bizarre, c’est quelque chose qu’il va falloir examiner, bien sûr. J’ai eu l’impression que je n’arrivais pas vraiment à pousser pendant toute la qualification, et ici, à Spa, il faut s’engager à fond dans les virages. Il faut que la voiture tourne bien. Et je n’y arrivais pas, en gros. »

Verstappen a appelé à la prudence quant aux possibilités pour la course, car il estime qu’il faut d’abord voir quel sera le niveau de pluie.

« Le circuit est toujours très difficile lorsqu’il est mouillé ici », a déclaré Verstappen. « Nous devons également attendre de voir combien il va pleuvoir. Idéalement, j’aimerais bien sûr être au moins troisième, mais la lutte avec les McLaren sera très difficile. Mais bon, tout peut arriver. »

Piastri reconnait une erreur qui lui coute la pole en Belgique

Oscar Piastri a reconnu qu’une faute dans le virage 14 avait compromis ses espoirs de décrocher la pole position pour le Grand Prix de Belgique. Lors de son dernier tour en Q3, l’Australien avait pourtant amélioré son chrono, tandis que son coéquipier Lando Norris n’était pas parvenu à progresser.

Mais la première tentative de Norris s’est révélée suffisante pour conserver la pole à Spa-Francorchamps, avec moins d’un dixième de seconde d’écart entre les deux McLaren. Un contraste marqué avec l’avantage confortable de Piastri lors des qualifications sprint, la veille.

Malgré sa deuxième place sur la grille, offrant une opportunité d’attaque dès le départ dimanche, Piastri n’a pas caché sa déception de passer si près de la pole position.

« C’est un peu décevant », a déclaré Piastri. « Le deuxième tour se déroulait très bien, mais j’ai commis une petite erreur dans le virage 14 et j’ai perdu beaucoup de temps. J’avais l’impression que la voiture était à nouveau très bonne, mais les écarts sont minimes. Ce n’est évidemment pas une mauvaise place pour prendre le départ, mais j’aurais pu faire mieux, ce qui est toujours décevant. »

« Nous formons un bon duo de coéquipiers et nous apprenons beaucoup l’un de l’autre chaque week-end », a-t-il déclaré. « C’est ce qui fait notre force en tant qu’équipe, mais cela rend aussi les choses difficiles lorsque nous essayons de nous battre l’un contre l’autre. Je pense avoir fait du bon travail aujourd’hui, mais je n’ai pas su concrétiser au moment crucial. C’est un peu dommage. »

Poleman, Norris calme les inquiétudes après sa contre-performance lors du sprint

Lando Norris s’est montré rassurant après avoir décroché la pole position pour le Grand Prix de Belgique, balayant les doutes suscités par sa performance décevante la veille. Alors que son coéquipier Oscar Piastri avait surpris en s’emparant de la pole du sprint avec une avance confortable de cinq dixièmes, Norris s’était retrouvé à bonne distance du rythme.

Vingt-quatre heures plus tard, le Britannique a renversé la situation en dominant la séance qualificative principale, devançant de justesse Piastri pour signer une pole cruciale, alors que les conditions météo prévues dimanche s’annoncent changeantes.

Interrogé après la séance, Norris a reconnu que « tout le monde était assez inquiet » au sein de l’équipe vendredi, mais il a insisté sur le fait qu’il n’avait jamais perdu confiance : « J’étais certain que nous reviendrions plus forts aujourd’hui. » Grâce à ce retour en forme, McLaren confirme sa compétitivité sur tous les formats du week-end.

« C’était un bon tour, bien sûr », a déclaré Norris. « Donc, oui, je suis content. Je sais que tout le monde était assez inquiet après hier, mais je n’étais pas si loin que ça. Nous avons juste eu quelques petits problèmes. J’étais donc assez confiant hier et je l’étais encore aujourd’hui. C’est donc agréable de voir que j’ai pu revenir en tête. »

Lorsqu’on lui a demandé où il avait gagné du temps, Norris a répondu : « Les trois dixièmes, c’est juste le slipstream et le fait de ne pas être sorti en premier de la voie des stands. Il n’y avait pas de quoi s’inquiéter, mais les gens aiment inventer des choses. Mais non, je me sentais bien. La voiture a volé tout le week-end. Oscar a fait du bon travail tout le week-end. Nous nous poussons donc beaucoup l’un l’autre. Comme vous l’avez dit, c’est difficile, car on voit facilement où se trouvent nos forces et nos faiblesses, et on apprend rapidement les uns des autres. C’est donc une bataille difficile, mais positive, que nous menons en ce moment. »

La grille départ du Grand Prix de F1 de Belgique

La grille départ du Grand Prix de F1 de Belgique

 

# Pilote Écurie
1 Lando Norris McLaren
2 Oscar Piastri McLaren
3 Charles Leclerc Ferrari
4 Max Verstappen Red Bull
5 Alex Albon Williams
6 George Russell Mercedes
7 Yuki Tsunoda Red Bull
8 Isack Hadjar Racing Bulls
9 Liam Lawson Racing Bulls
10 Gabriel Bortoleto Stake
11 Esteban Ocon Haas
12 Ollie Bearman Haas
13 Pierre Gasly Alpine
14 Nico Hulkenberg Stake
15 Carlos Sainz Williams
16 Lewis Hamilton Ferrari
17 Franco Colapinto Alpine
18 Kimi Antonelli Mercedes
19 Fernando Alonso Aston Martin
20 Lance Stroll Aston Martin

Hamilton reconnaît une performance « inacceptable » et s’excuse auprès de Ferrari

Lewis Hamilton a exprimé ses excuses à Ferrari après une prestation qu’il a lui-même qualifiée d’« inacceptable » en qualifications pour le Grand Prix de Belgique. Le septuple champion du monde, déjà éliminé en Q1 lors des qualifications sprint vendredi, a connu une nouvelle désillusion samedi sur le circuit de Spa-Francorchamps.

Initialement sauvé de justesse lors de la séance qualificative principale, Hamilton a finalement vu son meilleur tour annulé pour avoir dépassé les limites de piste dans le célèbre virage du Raidillon. Résultat : une 16e place sur la grille, à seulement 31 millièmes de seconde de la Sauber de Gabriel Bortoleto.

Malgré les difficultés rencontrées avec sa SF-25 tout au long du week-end, le Britannique a reconnu sa part de responsabilité. « Je n’ai pas fait le travail », a-t-il admis avec franchise, tout en saluant les efforts de son équipe.

« Nous avons apporté quelques modifications et la voiture ne semblait pas trop mal », a déclaré Hamilton à Sky Sports F1. « Cela a été encore plus difficile pour nous, car nous avons dû mettre un deuxième train [de pneus tends] juste pour passer la Q1, ce qui n’était pas idéal, et puis j’ai commis une erreur. Je dois vraiment faire mon introspection. Je présente mes excuses à mon équipe, car il est tout simplement inacceptable d’être éliminé lors des deux Q1. C’est une très, très mauvaise performance de ma part. »

Hamilton a admis au début du week-end avoir remis à Ferrari un document expliquant comment et où il pense que l’équipe peut s’améliorer à l’avenir. Le septuple Champion du monde insiste sur le fait que l’accent est désormais mis sur les changements majeurs du règlement pour 2026.

« Nous essayons de faire de notre mieux avec ce que nous avons, et bien sûr, tout le monde travaille d’arrache-pied à l’usine », a-t-il ajouté. « Nous avons bénéficié de mises à niveau, mais je pense que c’est probablement tout pour le reste de l’année. Je pense que l’équipe va désormais se concentrer sur la voiture de l’année prochaine. »

Norris en pole en Belgique, McLaren domine une séance qualificative mouvementée

Lando Norris s’est adjugé la pole position du Grand Prix de Belgique au terme d’une lutte serrée avec son coéquipier Oscar Piastri. Le Britannique a signé le meilleur chrono dès sa première tentative en Q3, que Piastri n’a pas pu battre malgré une amélioration en fin de séance, échouant à moins d’un dixième.

Charles Leclerc a pris l’ascendant sur Max Verstappen pour s’assurer la troisième place, tandis qu’Alex Albon a brillé avec une cinquième position inattendue pour Williams. George Russell a placé l’autre Mercedes au sixième rang, devant un solide Yuki Tsunoda, auteur de sa meilleure performance depuis plusieurs mois.

Les Racing Bulls ont confirmé leur forme, Isack Hadjar et Liam Lawson complétant le top 10 avec Gabriel Bortoleto, une fois encore dans le rythme pour McLaren.

Du côté des déceptions, Esteban Ocon (11e) et Oliver Bearman (12e) ont échoué aux portes du top 10, tandis que Pierre Gasly s’est classé 13e pour Alpine. Carlos Sainz n’a pu faire mieux que 15e, loin de ses ambitions.

Lewis Hamilton, dont le week-end tourne au cauchemar, a vu son temps en Q1 annulé pour avoir dépassé les limites de la piste. Relégué en 16e position, il s’élancera à nouveau depuis le fond de grille après une journée difficile. Franco Colapinto et Kimi Antonelli n’ont pas fait mieux, terminant respectivement 17e et 18e.

Enfin, énorme déconvenue pour Aston Martin : Fernando Alonso et Lance Stroll occuperont les deux dernières places sur la grille.

GP de Belgique – Résultats des qualifications

Découvrez tous les résultats des qualifications à Spa, alors que la grille de départ du Grand Prix de Belgique de F1 2025 est désormais connue !

Résultat des Qualifications du Grand Prix de Belgique

# Pilote Écurie Chrono Pneus
1
 
Lando NORRIS
McLaren 1:40.562 S
2
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:40.647 S
3
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:40.900 S
4
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:40.903 S
5
 
Alexander ALBON
Williams 1:41.201 S
6
 
George RUSSELL
Mercedes 1:41.260 S
7
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:41.284 S
8
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:41.310 S
9
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:41.328 S
10
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:42.387 S
11
 
Esteban OCON
Haas 1:41.525 S
12
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:41.617 S
13
 
Pierre GASLY
Alpine 1:41.633 S
14
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:41.707 S
15
 
Carlos SAINZ
Williams 1:41.758 S
16
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:41.939 S
17
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1:42.022 S
18
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:42.139 S
19
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:42.385 S
20
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:42.502 S