Paroles et vision d’un dirigeant iconique de la Formule 1, qui ose souvent dire ce que beaucoup tairaient.
« Dans la vie, il ne faut jamais avoir peur de prendre des risques. »
Briatore a souvent évoqué l’importance de l’audace, un principe qui a guidé ses choix en affaires comme en sport automobile.
« Gagner n’est pas une option, c’est une nécessité. »
Un leitmotiv qui illustre la mentalité de Briatore lorsqu’il était à la tête de Benetton et Renault F1.
« La Formule 1, c’est 80 % de management et 20 % de technique. »
Pour lui, le succès passait avant tout par la gestion humaine et organisationnelle.
« J’engage des gens intelligents, pas des amis. »
Une explication de sa manière de constituer ses équipes.
« Michael Schumacher était comme un ordinateur sur la piste. »
À propos de son légendaire pilote, soulignant sa précision et sa constance.
« En affaires comme en course, il ne faut jamais regarder en arrière. »
Briatore encourage l’audace et le regard tourné vers l’avenir.
« Le talent seul ne suffit pas, il faut savoir le cultiver. »
Sur le développement des jeunes pilotes, notamment Fernando Alonso.
« La clé, c’est de surprendre l’adversaire quand il s’y attend le moins. »
Sa philosophie de la compétition et de la stratégie.
« En Formule 1, la loyauté est rare, mais essentielle. »
À propos des relations complexes dans le paddock.
« Ce n’est pas le plus rapide qui gagne, c’est le plus intelligent. »
Sa vision du pilotage et de la gestion des courses.
« Les règles sont faites pour être comprises, pas pour être contournées. »
Un clin d’œil à la réputation sulfureuse du personnage.
« Pour réussir, il faut du flair et un peu de chance. »
À propos de sa carrière atypique de self-made man.
« Mon job, c’est de faire briller les gens autour de moi. »
Sa philosophie de manager et de leader d’équipe.
« La pression, c’est un privilège. »
Pour lui, les grands enjeux font partie du jeu et motivent la performance.
« Avec Schumacher, on savait qu’on pouvait viser la lune. »
Sur sa confiance envers son pilote vedette chez Benetton.
« Le succès ne vient jamais seul, il faut savoir le provoquer. »
Sa manière d’aborder les défis en Formule 1.
« La meilleure stratégie est parfois de ne pas en avoir. »
Sur l’importance de l’improvisation et de l’adaptation.
« J’aime transformer les outsiders en champions. »
Un clin d’œil à ses succès avec Benetton et Renault, deux équipes considérées comme outsiders à l’époque.
« Ce qui compte, c’est ce que tu fais quand personne ne te regarde. »
Sur la valeur du travail et de la discrétion dans la réussite.
« En Formule 1, tout le monde a une opinion, seuls les résultats comptent. »
Une déclaration résumant sa vision pragmatique de la compétition.