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Seizième sur la grille de départ du Grand Prix de Turquie, le Danois Kevin Magnussen ne cache pas sa colère d’avoir vu plusieurs pilotes améliorer leur temps alors que des drapeaux jaunes étaient agités en piste.

Dans des conditions dantesques ce samedi à Istanbul, les pilotes ont eu le plus grand mal à rester sur la piste pendant les qualifications, ce qui a eu pour conséquence de voir apparaître plusieurs drapeaux jaunes.

Magnussen regrette le fait que certains d’entre eux n’ont pas respecté la règle et ont pu améliorer leur temps, ce qui leur a permis de passer en Q2, contrairement à lui.

« Il y avait un drapeau jaune tout au long de ce dernier tour et tout le monde a amélioré son temps. » a déclaré Magnussen.

« J’ai levé le pied pour ces trois drapeaux jaunes, mais tout le monde a semblé améliorer à ce moment-là. »

« J’étais P7 à ce moment et je me suis fait sortir sous le drapeau à damier. J’ai respecté les règles. Nous devons interrompre notre tour, pas simplement lever le pied, s’il y a un double drapeau jaune – ce qui était le cas. »

« Je suis vraiment ennuyé avec ça. Tous les autres ont poussé, amélioré leurs tours, mais moi je suis éliminé en Q1. »

Pour info, après les qualifications Lance Stroll et Lando Norris ont été placés sous investigation pour nos respect des drapeaux jaunes.

Grille de départ du GP de Turquie

Le Français Romain Grosjean s’élancera ce dimanche depuis la dix-huitième position sur la grille de départ du Grand Prix de Turquie au volant de sa Haas.

Dans des conditions de roulage très difficiles ce samedi en qualifications, Grosjean a perdu le contrôle de sa monoplace au premier virage du tracé turc et est resté planté dans les graviers.

« De façon générale, je pense que je n’ai pas bien piloté. Sur mon premier run, je n’ai pas fait du bon travail. » nous explique un Romain Grosjean dépité qui a terminé ses qualifications dans le bac à gravier.

« Je pense que le premier drapeau rouge a été un bon choix, parce qu’il n’y avait vraiment aucun moyen de continuer. »

« Le tour de sortie des stands lors de mon second run était bien meilleur pour moi. Je suis entré dans le rythme, j’ai appuyé sur l’accélérateur dans la ligne droite – ce qui était un grand défi aujourd’hui. »

« J’étais assez confiant de m’améliorer, mais je suis arrivé au premier virage et je me suis bloqué [dans le bac à gravier]. C’était tout – Game over. »

Grille de départ du Grand Prix de Turquie

Mise à jour à 17h00 : Le pilote McLaren Carlos Sainz a été pénalisé de trois positions sur la grille de départ du Grand Prix de Turquie pour avoir gêné la Racing Point de Sergio Perez pendant les qualifications.

L’Espagnol – qui s’était qualifié treizième – s’élancera donc depuis la seizième position et a fait gagner une place à Charles Leclerc, Pierre Gasly et Kevin Magnussen par la même occasion.

En plus de cette pénalité, Carlos Sainz a écopé également d’un point de pénalité sur sa super licence.

Le pilote Carlos Sainz va devoir faire un tour au bureau des commissaires ce samedi soir à 18h00 (heure locale) après avoir été placé sous investigation par la direction de course à l’issue de la séance de qualifications du GP de Turquie.

Les commissaires reprochent à l’Espagnol Carlos Sainz d’avoir bloqué Perez pendant la séance qualificative disputée ce samedi à Istanbul et risque donc une pénalité.

C’est un Lance Stroll impressionnant dans des conditions dantesques qui a décroché la pole position au Grand Prix de Turquie ce samedi à l’issue de la séance de qualifications ce samedi à Istanbul en 1,47.765.

Le pilote Racing Point devance la Red Bull de Max Verstappen de deux dixièmes et la seconde Racing Point de Sergio Perez.

Alex Albon, Daniel Ricciardo, Lewis Hamilton, Esteban Ocon, Kimi Raikkonen, Valtteri Bottas et Antonio Giovinazzi complètent le top dix sur la grille de départ en Turquie.

Une vraie loterie

Les pilotes ont débuté la séance sur une piste humide toujours aussi glissante à Istanbul et rapidement la direction de course a pris la décision de stopper la session avec un drapeau rouge tant les conditions sont devenues dantesques.

Tous les pilotes sont partis à la faute et les écarts entre les pneus Intermédiaires et Full Wet étaient si grands que certains pilotes comme le Monégasque Charles Leclerc ou encore le Français Pierre Gasly se sont fait piéger avant le drapeau rouge et se sont retrouvés en bas de classement dès la Q1.

Reprise de la séance 

Après une quarantaine de minutes, la séance de qualifications a pu reprendre alors que la pluie a cessé et après que la Safety Car ait effectué plusieurs tours de reconnaissance et qu’une balayeuse soit passée sur la piste pour essayer d’évacuer un maximum d’eau pour permettre aux pilotes de rouler.

Nouveau drapeau rouge 

Après à peine trois minutes de roulage, la séance a de nouveau été interrompue à la suite d’une sortie de piste du Français Romain Grosjean au premier virage du circuit.

Le pilote Haas a planté sa monoplace dans le bac à gravier, obligeant la direction de course à interrompre une nouvelle fois la session pour permettre aux commissaires de dégager la voiture de Grosjean.

A la relance, tous les pilotes ont amélioré leur temps sur une piste devenue tout à coup beaucoup plus rapide, ce qui a permis à Leclerc et Gasly de passer en Q2.

**Notez tout de même que plusieurs pilotes ont amélioré leur temps alors que plusieurs secteurs étaient sous drapeau jaune en Q1, ce qui veut dire que la direction de course examinera touts les temps de chaque pilote après la séance de qualifications***

Une piste qui s’améliore

En Q2, la piste n’a jamais cessé de s’améliorer, ce qui a permis à tous les pilotes d’améliorer un à un leur temps.

Cependant, les deux pilotes Ferrari et les deux pilotes McLaren se sont fait piéger dans ces conditions changeantes et n’ont pas réussi à passer en Q3, contrairement aux pilotes Renault ou aux pilotes Alfa Romeo.

Russell pénalisé sur la grille

Le pilote Williams George Russell prendra le départ de la course ce dimanche depuis le fond de la grille en raison de multiples pénalités pour des changements d’éléments moteur avant le début du week-end à Istanbul.

Le départ du Grand Prix de Turquie sera donné ce dimanche 15 novembre à 11h10 (heure de Paris) et la course sera à suivre en direct sur F1only.fr.

Résultats et classement des qualifications

Ce samedi 14 novembre, les pilotes de F1 prendront la piste pour la toute dernière séance d’essais libres du Grand Prix de Turquie [EL3] avant de participer à la séance de qualifications qui déterminera la grille de départ de dimanche.

La troisième séance d’essais libres est programmée à 10h00 (heure de Paris), tandis que les qualifications du GP de Turquie débuteront à 13h00 (heure de Paris).

Ce vendredi à Istanbul, c’est le pilote Red Bull Max Verstappen qui a dominé les deux premières séances d’essais libres sur une piste très glissante en raison d’un nouvel asphalte fraichement posé.

Ce dimanche 15 novembre, le départ du Grand Prix de Turquie 2020 sera donné à 11h10 (heure de Paris) et la course sera à suivre en direct sur F1only.fr.

Horaires GP de Turquie (heure de Paris)

Six pilotes de F1 disposent d’une boîte de vitesses neuve ce week-end au Grand Prix de Turquie 2020, quatorzième manche de la saison 2020.

Antonio Giovinazzi, Esteban Ocon, George Russell, Max Verstappen, Kevin Magnussen et Pierre Gasly ont tous reçu une boîte de vitesses neuve à l’arrière de leur monoplace avant le début du week-end à Istanbul.

Dans le cas du pilote Alfa Romeo Antonio Giovinazzi, l’Italien n’écopera d’aucune pénalité car il a utilisé son ancienne boîte de vitesses durant six courses consécutives comme l’exige la réglementation.

Concernant Verstappen, Gasly, Magnussen, Russell et Ocon, ces quatre pilotes n’ont pas terminé la course précédente à Imola. La réglementation leur permet donc d’obtenir une boîte de vitesses neuve pour cette épreuve sans prendre de pénalité.

Bien que le rythme de Ferrari s’est amélioré au cours des dernières courses, Charles Leclerc ne s’attendait probablement pas à terminer les deux séances d’essais libres du Grand Prix de Turquie parmi les trois premiers – le Monégasque espérant continuer sur cette lancée jusqu’aux qualifications et à la course.

P3 lors des EL1 et second lors de la deuxième séance d’essais libres ce vendredi à Istanbul, Leclerc a semble t-il un peu moins souffert que ses camarades des conditions de piste piégeuses, ce qui pourrait être selon lui une bonne opportunité pour Ferrari.

« Au début, je n’étais vraiment pas convaincu par l’adhérence de la piste, et je me suis dit: « Ça va être une très mauvaise journée. » a admis le pilote Ferrari ce vendredi soir.

« Mais après quelques tours, j’ai vraiment apprécié. C’était en fait très amusant d’avoir aussi peu d’adhérence. »

« Nous devons savoir pourquoi pour être honnête, parce que ce n’est probablement pas génial d’avoir un vendredi comme celui-ci. »

« Nous n’avons pas appris beaucoup de choses, mais en termes de pilotage, c’était très amusant et nous étions très compétitifs. »

« Je ne pense pas que la piste s’améliorera beaucoup pour le reste du week-end, donc c’est bien que nous ayons bouclé pas mal de kilomètres aujourd’hui pour essayer de comprendre les conditions et nous espérons pouvoir maximiser tout ça demain en qualifications. »

Cependant, le Monégasque estime que si la pluie arrive ce samedi pour les qualifications, il pourrait avoir de grandes difficultés pour se positionner en haut de la grille.

« Je crois que les prévisions ne sont pas très bonnes pour demain. Je ne sais pas comment ça va se passer s’il pleut, parce que déjà aujourd’hui c’était comme s’il y avait de la pluie. Donc, demain pourrait être une journée difficile. »

Classement des EL2 à Istanbul

Le pilote Mercedes, Valtteri Bottas, a eu le plus grand mal (tout comme les autres pilotes) à boucler un temps au tour correct aujourd’hui à Istanbul sur une piste très glissante en raison d’un nouvel asphalte.

Cependant, le Finlandais a réussi à signer le troisième temps et a pris du plaisir au volant de sa Mercedes. Il a notamment pu mettre en pratique certaines techniques issues du Rallye dont il est particulièrement fan [Bottas était encore au volant d’une Citroën C3 R5 de Rallye le mois dernier].

« Quand je suis parti pour la première fois en piste ce matin, cela ressemblait plus à du rallye, c’était assez loin des normes de conduite normales auxquelles nous sommes habitués en Formule 1. » nous explique Bottas ce vendredi soir.

« Mais je me suis amusé à jouer sur la piste, à expérimenter des choses avec la voiture, c’était en fait assez agréable. »

« Le tarmac est neuf et très lisse, ce qui rend particulièrement difficile la chauffe du pneu. Il est crucial dans ces conditions d’augmenter les températures, et nous en avons déjà fait l’expérience lors des essais hivernaux, mais jamais à ce point. »

« Nous avons également vu beaucoup de sorties de piste aujourd’hui, réduisant les temps au tour, ce qui se poursuivra pendant le week-end. »

« Le pneu Tendre semblait être le meilleur dans l’ensemble, offrant la meilleure adhérence, même si nous avions un peu de graining à l’avant. »

« Il y a encore beaucoup à apprendre d’aujourd’hui, et il a été difficile de prendre les bonnes décisions, non seulement en termes de réglages mais aussi pour la stratégie. Il nous reste encore pas mal de travail. »

Le classement des EL2 à Istanbul 

Renault F1 a fait face à une journée d’essais piégeuse ce vendredi à l’Istanbul Park pour le retour de la Formule 1 en Turquie après neuf ans d’absence.

Le roulage d’aujourd’hui s’annonçait loin d’être simple entre le récent resurfaçage du circuit de 5,338 km et les pneumatiques les plus durs de la gamme Pirelli apportés ce week-end.

À l’issue d’une première séance d’essais libres sur une piste glissante, Esteban Ocon se classait dixième avec les pneus médiums et Daniel Ricciardo dix-huitième avec les durs. Les deux pilotes ont profité du début de session pour s’acclimater au tracé et aux conditions piégeuses qu’ont rencontré tous les pilotes de la grille aujourd’hui.

L’adhérence augmentait l’après-midi avec davantage de gomme déposée sur le circuit et le travail de l’équipe pour améliorer les réglages de la voiture. Les deux hommes terminaient la journée avec davantage de rythme en vue des qualifications, prévues demain à 15h00 heure locale, mais tout de même en dehors du top dix.

« C’était un vendredi d’abord très difficile tant l’adhérence était faible en piste, notamment avec les gommes dures. » nous explique Ciaron Pilbeam, ingénieur de course en chef chez Renault.

« Les basses températures, la nouvelle surface de piste et les composés les plus durs se sont associés pour rendre la première séance piégeuse pour tout le monde, et encore plus pour nous. »

« Nous avons toutefois franchi un cap pendant la pause déjeuner et c’était un peu mieux dans l’après-midi avec la piste davantage gommée. »

« Nous avons également effectué quelques ajustements positifs sur la monoplace. Nous étions encore assez loin du rythme jusqu’à la fin de la session avant d’apporter des modifications supplémentaires. »

« Nous étions plutôt frustrés la majeure partie de la journée, mais tout ce que nous avons fait pour améliorer la voiture au fil des deux séances nous a donné une bonne direction avant les qualifications de demain. »

Classement des EL2 à Istanbul 

Quatorzième de la seconde séance d’essais libres du Grand Prix de Turquie, l’Espagnol Carlos Sainz a vécu l’un des vendredi les plus étranges de sa carrière à Istanbul aujourd’hui.

Tout comme les autres pilotes de la grille, Carlos Sainz a eu le plus grand mal à garder sa monoplace sur la piste ce vendredi en raison d’un tracé complétement resurfacé et extrêmement glissant.

« Il s’agissait de la session la plus étrange que j’ai faite de ma vie, le vendredi le plus étrange. » a déclaré Carlos Sainz ce vendredi soir à Istanbul.

« Avant d’arriver ici, nous pensions pouvoir faire des temps au tour en 1m22/1m23 et ce matin nous étions en 1m45… »

« Vous pouvez donc facilement imaginer à quel point c’était difficile, à quel point c’était délicat. C’était tellement étrange, mais en même temps, c’était un bon défi pour les pilotes ingénieux. C’est un défi différent que je suis prêt à relever. »

Le pilote McLaren a également connu un souci mécanique ce vendredi matin, ce qui l’a forcé à immobiliser sa monoplace sur le bord de la piste et à mettre fin prématurément à sa séance.

« Ce n’est certainement pas l’idéal d’avoir perdu tous ces tours ce matin, principalement parce que la piste est toute nouvelle pour moi et les conditions sont très difficiles. »

« C’est quelque chose que nous allons devoir examiner pour nous assurer que cela ne se reproduira plus, mais en même temps, j’ai pu faire pas mal de tours en EL2, donc, je me sens prêt pour demain. »

Enfin, lorsqu’on lui demande si le rêve de piloter sur la piste d’Istanbul est devenu une réalité aujourd’hui, l’Espagnol répond : « Ce n’était pas ce à quoi je m’attendais à cause de la surface de la piste. »

« Quoi qu’il en soit, aujourd’hui j’ai pris le virage 8 à fond, même avec ce manque d’adhérence sur la piste. Cela montre donc à quel point ces voitures seraient rapides et incroyables sans ce problème d’adhérence. Mais cela devrait s’améliorer au fil du week-end. »

Classement des EL2 à Istanbul 

Lewis Hamilton n’a pas mâché ses mots ce vendredi au sujet du nouvel asphalte du circuit d’Istanbul qui a causé bien des misères aux équipes aujourd’hui en essais libres.

Dès la première séance d’essais en matinée, les pilotes ont eu le plus grand mal à rester sur la piste tant cette dernière était glissante, alors qu’elle a été entièrement resurfacée il y a de cela quelques jours.

Résultat des comptes, le meilleur temps signé par Max Verstappen en EL1 était plus de dix secondes plus lent que la pôle signée en 2011, tandis que son meilleur temps signé en EL2 était encore à plus de trois secondes de la référence de 2011.

Lewis Hamilton pour sa part a terminé la journée avec le quatrième temps à plus de huit dixièmes de la Red Bull de Verstappen et ne cachait pas sa colère de rouler sur une piste impraticable selon lui.

« Cette piste est vraiment fantastique et je ne comprends pas pourquoi ils ont dépensé une fortune pour refaire la surface. » a déclaré Hamilton ce vendredi soir à Istanbul.

« Je sais qu’il était vieux [l’asphalte], mais ils auraient probablement pu le nettoyer au lieu de gaspiller tout cet argent. Maintenant, la piste est pire qu’à Portimao [au Portugal] qui a été aussi resurfaçée. »

"Two more laps" 🎧@Max33Verstappen only needed one to post the quickest time in FP1

This one ⬇️#TurkishGP 🇹🇷 #F1 pic.twitter.com/bpDvkx7Ylh

— Formula 1 (@F1) November 13, 2020

« Comme vous pouvez le voir, les pneus ne fonctionnent pas, c’est comme une patinoire. Du coup, vous ne pouvez même pas prendre de plaisir sur un tour comme ce devrait être le cas à Istanbul, et je ne pense pas que ça va changer. »

« En fait, c’est terrifiant tout au long du tour, parce que c’est comme s’il y avait des plaques humides partout, alors que vous êtes avec des pneus slicks, et ça va si vite. »

« Nous sommes tellement en dessous de la fenêtre de température des pneus, ils sont tellement durs [Pirelli a choisi ses gommes les plus Dures] qu’ils fonctionnent dans une certaine fenêtre. Si vous êtes 10 ou 20 degrés en dessous, ils ne fonctionnent pas. Si vous êtes 20 degrés au dessus, ils ne fonctionnent pas non plus. »

« Cette surface est beaucoup trop lisse. Sur des tracés anciens, l’asphalte est beaucoup plus ouvert entre les pierres, donc ça fait plus travailler les pneus, alors qu’ici c’est super fermé, plat et brillant. Je suppose aussi que l’huile remonte à la surface. C’est de la merde ! »

Le pilote Mercedes a également précisé qu’il n’avait été en mesure de faire aucun travail de configuration sur sa monoplace aujourd’hui : « Je n’ai pas changé une seule chose sur la voiture aujourd’hui. »

« Si les pneus ne fonctionnent pas, vous ne savez pas vraiment quel est le problème d’équilibre. »

« De toute évidence, les Red Bull s’en sortent très bien. Nous avons donc du travail à faire ce soir pour essayer de comprendre ce que nous pouvons changer. »

Classement des EL2 à Istanbul 

Le pilote Ferrari, Sebastian Vettel, promeut un message de diversité et d’inclusion ce week-end sur son casque au Grand Prix de Turquie.

Le quadruple champion du monde de F1 s’est à nouveau tourné vers son designer personnel, Jens Munser, à qui il a demandé pour le Grand Prix de Turquie de lui dessiner une décoration de casque un peu spéciale pour lui permettre de faire passer un message.

Le casque du pilote Ferrari arbore une bande arc en ciel en lieu et place du traditionnel drapeau allemand, tandis que la couleur blanche présente à l’avant du casque devient plus foncée sur l’arrière.

Selon Munser : « L’objectif de ce nouveau design de casque est un arc-en-ciel comme symbole de la diversité des personnes dans un monde uni et harmonieux. »

« Le spectre de couleurs est intégré dans la couleur de base du casque, qui passe du blanc au noir sans séparation. »

« Le message ‘Together as one’ qui est très cher au cœur de Sebastian Vettel en ces temps difficiles et qui a inspiré ce design se retrouve sur le dessus du casque. »

Le design du casque que porte Vettel ce week-end au Grand Prix de Turquie fait également écho à un mantra célèbre de la pionnière de l’aviation Amelia Earhart : « Pas de frontières, juste l’horizon – Seulement la liberté. »

The message that is very dear to Sebastian Vettel’s heart in these difficult times and which has inspired this design can be found on the top of the helmet:

Together As One ?️‍? pic.twitter.com/ejEkL8JKne

— Jens Munser Designs (@JMD_helmets) November 13, 2020

Les commissaires sportifs du Grand Prix de Turquie ont infligé une amende à la Scuderia Ferrari à la suite d’une infraction commise ce vendredi matin par Charles Leclerc en EL1.

Le pilote monégasque a été flashé en excès de vitesse dans la voie des stands du tracé d’Istanbul ce vendredi pendant la première séance d’essais libres du Grand Prix de Turquie.

Durant tout le week-end à Istanbul, la vitesse dans la voie des stands est limitée à 80km/h et le pilote Ferrari a été flashé à 101,1 km/h ce matin, soit un peu plus de 20 km/h au dessus de la limite.

Les commissaires sportifs ont donc infligé une amende de 1000 euros à l’équipe Ferrari pour cette infraction commise par son pilote.