Jos Verstappen a du mal à imaginer une course de F1 à Zandvoort en 2020

L’ancien pilote de F1 Jos Verstappen a du mal à croire que le Grand Prix des Pays-Bas puisse se tenir cette année à Zandvoort.

En raison de l’épidémie de coronavirus, le Grand Prix des Pays-Bas fait partie des courses qui ont été reportées à une date ultérieure encore inconnue.

Les organisateurs eux-mêmes sont assez pessimistes quant à la tenue du Grand Prix des Pays-Bas cette année, notamment parce que le gouvernement a annoncé qu’aucun rassemblement ne pourrait avoir lieu avant le mois de septembre aux Pays-Bas.

Jos Verstappen pour sa part estime lui aussi que l’annulation de l’épreuve semble de plus en plus probable en raison de la situation sanitaire actuelle.

« Le Grand Prix des Pays-Bas était l’une des courses que tout le monde en Formule 1 attendait avec impatience. » a déclaré Jos Verstappen à la presse néerlandaise.

« Tout était prêt pour une grande fête, alors que désormais, je ne peux pas imaginer qu’il y ait une course à Zandvoort. »

« Reporter la course à l’année prochaine est une option, mais c’est une décision qui appartient à la F1 et au circuit. »

« J’ai du mal à imaginer que sans vaccin [pour le Covid-19] nous puissions être à nouveau ensemble avec 100 000 personnes. C’est une situation absurde. »

Les organisateurs du GP des Pays-Bas aimeraient pouvoir caler leur course au mois de septembre, mais sont bien conscients que ce sera difficile.

« Nous travaillons avec une fenêtre étroite. Tout d’abord, nous devons [attendre] le 1er septembre. Avant cela, nous ne pouvons rien dire, à moins que quelque chose ne change substantiellement jusqu’au 1er septembre. » a déclaré Jan Lammers, directeur du GP des Pays-Bas, à MotorsportWeek.

« Mais même dans le cas d’une course à huis clos, cela signifierait que vous avez toujours quelques milliers de personnes dans les installations. Ce serait un peu comme un stade complet dans un match de football amateur. »

« Où en est le gouvernement ? Nous devons avoir un réponse claire. Mais pour cela, nous devons vérifier auprès du gouvernement où nous en sommes. »

« Cela peut être faisable, à la fois en raison du nombre de personnes et du calendrier dont nous parlons, ce pourrait être quelque part vers fin septembre au plus tôt. »

« Mais nous ne comptons plus trop là-dessus, nous avons juste accepté qu’il est très probable que ce sera simplement reporté une année plus tard. »

Ce Japonais fait le buzz avec son simulateur F1 impressionnant

Le Japonais Atsushi Hrok fait le buzz auprès des fans de F1 depuis quelques jours après avoir posté une courte vidéo de son simulateur de F1.

Fervent admirateur du regretté Ayrton Senna, le Japonais Atsushi Hrok s’est offert un simulateur de pilotage reproduisant à la perfection les mouvements de caisse et les différentes aspérités de la piste.

Atsushi Hrok a partagé une vidéo Onboard avec la McLaren de 1991 ( MP4/6) dans les rues étroites de la principauté de Monaco et dans laquelle on peut voir son simulateur doté de vérins hydrauliques et d’une boîte de vitesses manuelle comme à l’époque.

Mais la passion du Japonais pour la Formule 1 ne se résume pas seulement à Ayrton Senna, puisque lorsqu’il ne se prend pas pour le pilote brésilien au volant de la McLaren, Hrock enfile la combinaison rouge de Ferrari pour imiter son autre idole, Sebastian Vettel aux commandes d’une monoplace moderne.

 

Williams Racing annonce l’arrivée d’un nouveau partenaire

L’équipe de F1 Williams Racing annonce ce mardi un nouveau partenariat avec Precision Hydration.

L’écurie Williams Racing a annoncé aujourd’hui l’arrivée de Précision Hydratation en tant que fournisseur officiel de l’équipe pour la saison 2020 de F1. Precision Hydration est l’un des leaders dans le domaine de la science de l’hydratation sportive.

Precision Hydration utilisera sa technologie brevetée de test de la sueur au repos, adaptée de l’industrie médicale, pour mesurer avec précision la quantité de sodium que chaque pilote et chaque membre de l’équipe des stands perd dans leur sueur.

Cela permettra au personnel de l’équipe Williams de concevoir et de mettre en œuvre des plans d’hydratation personnalisés pour aider toute l’équipe à rester parfaitement hydratée dans les voitures et le garage.

« En tant qu’équipe, notre recherche de performances est implacable et nous avons donc souhaité sécuriser l’opportunité de travailler avec une entreprise comme Precision Hydration. » explique Tim Hunt, directeur commercial et marketing chez Williams.

« Nous avons déjà travaillé avec des pilotes et des mécaniciens individuels en Formule 1, mais  Williams Racing est la première équipe à s’engager à comprendre les besoins d’hydratation de toute son équipe en utilisant notre technologie et notre savoir-faire. » ajoute Andy Blow, fondateur de la société Precision Hydratation.

Max Verstappen n’aura pas le droit à sa marrée orange en début de saison

Max Verstappen trépigne d’impatience et espère que la saison 2020 de F1 va débuter en Autriche en juillet comme prévu.

Vainqueur en Autriche lors des deux dernières éditions, le pilote Red Bull Max Verstappen apprécie particulièrement le tracé du Red Bull Ring de Spielberg et espère que la saison 2020 de F1 pourra bien débuter sur ce circuit au mois de juillet.

« J’aime toujours piloter là-bas [sur le Red Bull Ring en Autriche] et j’espère que nous aurons deux courses, en tout cas, les deux dernières courses se sont bien déroulées pour nous. » a déclaré Max Verstappen sur Servus TV.

Cependant, le pilote Red Bull regrette déjà le fait que la marrée orange de fans néerlandais, qui sont toujours très présents en Autriche chaque année, ne sera pas là en 2020 en raison de la crise sanitaire obligeant la F1 à disputer des courses à huis clos dans un premier temps.

« Voir cette marrée orange est vraiment sympa et c’est dommage qu’ils ne soient pas là. Mais le plus important est que nous puissions courir à nouveau pour le titre mondial. »

« Donc, je veux aller sur la piste le plus tôt possible, j’espère que ce sera en Autriche, en tout cas je suis prêt à partir. »

Lewis Hamilton regrette le manque de diversité sociale en F1

Lewis Hamilton regrette le manque de diversité en F1 et aimerait que les classes sociales moins aisées soient plus représentées dans le paddock.

Le natif de Stevenage faisait partie de cette « classe ouvrière » avant d’être chapeauté par Ron Dennis [McLaren] dès ses débuts en Karting, ce qui lui aura ouvert plus tard les portes de la Formule 1.

Désormais millionnaire et extrêmement populaire en F1, Lewis Hamilton n’en n’oublie pas pour autant d’où il vient et n’hésite pas à aborder des sujets dont personne ne parle dans le monde si fermé de la  catégorie reine du sport automobile.

« La vérité, c’est qu’il m’a été incroyablement difficile de percer dans cette industrie et j’aimerais dire que la situation s’est améliorée aujourd’hui, mais elle est devenue encore pire qu’avant. » déplore le sextuple champion du monde de F1 dans un entretien accordé au magazine Style.

« Le sport automobile est tellement cher que la classe ouvrière et les catégories percevant de faibles revenus sont exclues dès la base.

« Il existe un diction en Grande-Bretagne qui dit : ‘Tu ne peux pas en être si tu ne t’y vois pas’. Les gamins doivent voir des gens victorieux qui leur ressemblent afin qu’ils se disent que leurs rêves sont réalisables. »

« Malheureusement, en F1 de nos jours il y a un vrai manque de diversité : pas seulement au niveau des pilotes, mais aussi chez les mécaniciens et les ingénieurs. »

« Si nous ne faisons pas d’efforts pour créer des voies d’accès pour donner une chance à ceux qui viennent de parcours personnels différents, nous serons tous coupables. »

Allison estime que Toto Wolff est l’un des meilleurs chefs d’équipe en F1

Le directeur technique de l’équipe Mercedes, James Allison, estime que Toto Wolff est de loin l’un des meilleurs directeurs d’écurie en Formule 1.

Depuis l’introduction des moteurs hybrides en F1 en 2014, l’équipe Mercedes a dominé outrageusement la catégorie en remportant six titres de champion du monde des constructeurs.

Cette domination est bien évidemment le résultat des efforts de toute une équipe (mécaniciens, pilotes, dirigeants…), mais pour James Allison, le directeur exécutif de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, a une énorme part de responsabilité dans le succès de l’écurie depuis 2014.

« En tant que chef d’équipe, Toto Wolff est largement supérieur à tout le monde. Il dégage une chaleur et une vitalité incroyables. » explique le directeur technique de l’équipe Mercedes.

« Il fait confiance à ses collaborateurs, il donne aux différents spécialistes une marge de manœuvre dans leurs domaines très spécifiques. »

« Les gens devraient pouvoir décider par eux-mêmes et travailler dans une large mesure de manière indépendante. »

« Mais en même temps, Toto attend beaucoup des gens et si nous ne répondons pas à ses attentes, nous devons nous défendre, mais la critique reste toujours limpide, simple et constructive. »

Rappelons que jusqu’en 2018, Toto Wolff était épaulé chez Mercedes par l’ancien champion de Formule 1 Niki Lauda, qui est décédé en mars 2019 victime d’une infection pulmonaire. On devait notamment à Niki Lauda l’arrivée de Lewis Hamilton chez Mercedes en 2013.

Covid-19 : un test tous les deux jours dans le paddock

Ross Brawn, est revenu un peu plus en détail sur la façon dont seront pratiqués les tests Covid-19 sur les membres du paddock en F1 dès la reprise de la saison 2020.

La F1 espère toujours pouvoir débuter la saison 2020 en Autriche au mois de juillet avec deux courses à huis clos sur le tracé du Red Bull Ring de Spielberg.

Dans le cadre de l’application des règles de sécurité liées au coronavirus, le manager sportif de la F1, Ross Brawn, a détaillé le protocole qui sera mis en place pour tous les membres du personnel des équipes, de la F1, de la FIA et des quelques journalistes qui seront présents sur place.

« Nous travaillons avec la FIA, qui est en train de mettre en place une excellente structure. » indique Ross Brawn au micro de Sky Sports ce lundi soir.

« Chaque personne sera testée et aura une autorisation avant de pouvoir entrer [dans le paddock]. Ensuite, tous les deux jours, elles seront à nouveau testées pendant qu’elles sont dans le paddock. »

« Il s’agira [l’équipe qui pratiquera les tests] d’une autorité habilitée et permanente et nous utiliserons certainement la même infrastructure pour tous les Grands Prix Européens afin de mener des tests. »

Des restrictions dans le paddock

« Nous aurons certainement des restrictions quant à la façon dont les gens pourront circuler dans le paddock. Nous ne pourrons pas avoir de distanciation sociale entre le personnel, donc, nous devons créer un environnement qui en fait une petite bulle d’isolement. »

« Les équipes resteront avec leur propre groupe et ne se mélangeront pas aux autres équipes et elles resteront dans leur propre hôtel et il n’y aura pas de motorhomes sur place. »

La F1 en passe de fixer un plafond budgétaire à 145 millions de dollars

Ross Brawn, a déclaré que la catégorie reine du sport automobile en était à la dernière étape d’un accord sur un budget limité à 145 millions de dollars.

La F1 devait initialement introduire un plafond budgétaire de 175 millions de dollars à partir de 2021, mais en raison de la crise sanitaire et, surtout économique liée au coronavirus, la catégorie reine du sport automobile a dû revoir cette limite à la baisse.

Depuis plusieurs semaines, les dix équipes de la grille, la F1 et la FIA discutent pour trouver un accord qui pourrait convenir à toute le monde et l’hypothèse de baisser le plafond budgétaire à 100 millions de dollars a été avancée, mais elle a très vite été écartée parce que Ferrari et Red Bull s’y sont opposées.

Mais après une énième réunion qui a eu lieu ce lundi entre la FIA et la F1, il semblerait qu’un accord fixant la limite à 145 millions de dollars ait été trouvé.

« La réunion d’aujourd’hui était entre la FIA et la Formule 1. » a déclaré Ross Brawn au micro de Sky Sports.

« Les détails seront communiqués aux équipes dans les prochains jours. Il y a eu beaucoup de consultations et je pense que nous en sommes maintenant aux toutes dernières étapes. Tout deviendra clair sous peu. »

Bien que Ferrari, en particulier, ait publiquement exprimé sa préoccupation concernant un plafond de coûts trop bas, Brawn dit qu’il est devenu clair que la F1 doit introduire des restrictions de dépenses plus strictes pour protéger toutes les équipes.

« Les objectifs initiaux du plafond budgétaire étaient de trouver un domaine compétitif et je pense qu’avec la situation que nous connaissons actuellement, la durabilité économique de la Formule 1 est la priorité. »

« Je pense que cela compte autant pour les grandes équipes que pour les petites équipes. Il est devenu très clair pour les gens qui se tiennent au-dessus de certains des directeurs d’équipe et de la direction de ces équipes que le message est clair – nous devons réduire les coûts. »

« Nous avons commencé à 175 [millions de dollars], ce fut une longue bataille pour y arriver, et avec la crise actuelle, nous allons maintenant débuter à 145 [millions de dollars] et la discussion devra ensuite s’orienter pour voir jusqu’où nous pourrons aller dans les prochaines années. »

Une annonce officielle de la part de la F1 annonçant l’introduction de cette limite budgétaire devrait arriver dans les prochaines heures.

Zandvoort se prépare à un report de sa course à 2021

Le directeur du Grand Prix des Pays-Bas se dit ouvert à toute opportunité pour que sa course ait lieu, mais pense que le report à 2021 est très probable.

Le Grand Prix des Pays-Bas aurait dû se tenir ce week-end à Zandvoort, après 35 années d’absence au calendrier de la F1.

Mais en raison de la crise sanitaire actuelle, l’épreuve a été reporté à une date ultérieure inconnue, alors que le gouvernement a annoncé la semaine dernière qu’aucun rassemblement ne serait permis jusqu’au 1er septembre 2020.

La seule solution pour que le Grand Prix des Pays-Bas ait lieu cette année serait d’organiser une course à huis clos et de trouver une place au calendrier de la F1 à partir du mois de septembre, ce qui semble très compliqué selon Jan lammers.

« Au début, ma réaction personnelle a été ‘on ne peut pas faire ça sans les fans’. » explique Jan Lammers, le directeur du GP des Pays-Bas à MotosportWeek.com.

« Mais ça c’était il y a un mois. Entre-temps, on a demandé aux spectateurs qui avaient acheté un billet s’ils préféraient voir [Verstappen] à Zandvoort et être présents, ne pas du tout le voir courir à Zandvoort ou bien à la télévision. »

« Ils ont simplement accepté de le voir courir à Zandvoort à la télévision. Ils ont accepté et n’ont blâmé personne. Nous sommes très chanceux d’avoir une telle base de fans. »

« Pour le moment, les fans sont ouverts à cela, ils veulent le voir courir à Zandvoort et s’ils ne peuvent pas être présents, ils acceptent que leur billet reste valable pour l’année prochaine. »

« Il ne me semble pas probable que nous courions ici, mais on peut voir que la situation peut changer chaque jour. »

Le report à 2021 semble inévitable

« Nous travaillons avec une fenêtre étroite. Tout d’abord, nous devons [attendre] le 1er septembre. Avant cela, nous ne pouvons rien dire, à moins que quelque chose ne change substantiellement jusqu’au 1er septembre. »

« Mais même dans le cas d’une course à huis clos, cela signifierait que vous avez toujours quelques milliers de personnes dans les installations. Ce serait un peu comme un stade complet dans un match de football amateur. »

« Où en est le gouvernement ? Nous devons avoir un réponse claire. Mais pour cela, nous devons vérifier auprès du gouvernement où nous en sommes. »

« Cela peut être faisable, à la fois en raison du nombre de personnes et du calendrier dont nous parlons, ce pourrait être quelque part vers fin septembre au plus tôt. »

« Mais nous ne comptons plus trop là-dessus, nous avons juste accepté qu’il est très probable que ce sera simplement reporté une année plus tard. »

McLaren n’envisage aucune protestation au sujet de la « Mercedes rose »

L’équipe McLaren ne voit aucune raison de protester contre l’équipe Racing Point, qui a développé une « copie conforme » de la Mercedes de 2019.

Lors des essais hivernaux 2020 de la F1 , la Racing Point RP20 a fait couler beaucoup d’encre en raison de sa similitude avec la Mercedes W10 de la saison 2019.

L’équipe Racing Point a en effet légèrement copié le concept d’une monoplace ayant remporté le championnat du monde l’an dernier, ce qui a fait réagir certains de ses rivaux dès les essais hivernaux.

Si certaines écuries de la grille envisagent éventuellement de protester officiellement, l’équipe McLaren elle considère que la RP20 de Racing Point est parfaitement légale et n’envisage donc aucune protestation.

« McLaren est un constructeur indépendant de voitures de course et nous souhaitons le rester. Nous poursuivons des objectifs ambitieux et nous voulons les atteindre avec un travail acharné. » explique Andreas Seidl, le team principal de l’équipe McLaren.

« Je suis certain que tout ce qui concerne cette voiture [la Racing Point RP20] est légal. Je ne vois donc aucune raison de protester. »

« Je n’ai pas le temps de gaspiller mon énergie là-dessus, pour moi, d’autres questions sont bien plus importantes comme la prochaine limite budgétaire. »

Rappelons tout de même que la FIA a rendu visite à Racing Point avant le début de la saison pour vérifier en détail si la RP20 était bien une monoplace développée par l’équipe au cours de l’hiver et non pas une simple copie de la Mercedes. Après cette visite, aucune irrégularité n’a été constatée par la FIA.

Le groupe Sauber lance une collection de vêtements pour soutenir Save The Children

Sauber Group et Creightivist se joignent au projet #GarageTime pour soutenir Save the Children.

Le groupe d’entreprises Sauber s’est associé aux experts de la mode sur mesure Creightivist pour lancer une collection de mode spéciale afin de collecter des fonds pour Save the Children et soutenir son travail en cette période de pandémie.

À partir du 1er mai 2020, la série limitée #GarageTime est disponible sur www.creightivist.com: cette gamme exclusive comprend des sweat-shirts et des t-shirts arborant le nouveau logo #GarageTime ainsi que quinze fonds d’écran rétro et actuels de l’équipe célébrant les Grands Prix du Saison 2019, ainsi que Melbourne 2020 – la course qui n’a jamais jamais eu lieu…

Ces images rétro, ainsi que le visuel clé de la campagne, la Sauber House, qui imagine comment les pilotes d’Alfa Romeo Racing  passent leur temps pendant le confinement, sont conçues par l’artiste valencien Juan Alcalá (IG: @jalcalara). Les vêtements sont disponibles en différentes couleurs et peuvent être personnalisés.

Les fonds collectés par la vente d’articles de l’édition #GarageTime soutiendront le partenaire caritatif officiel du groupe Sauber, Save the Children.

En plus d’acheter les produits, les fans pourront également participer à une tombola pour gagner un prix offert par l’équipe.

Pour ce faire, les fans devront simplement télécharger un selfie d’eux-mêmes portant leurs vêtements #GarageTime sur Instagram, en utilisant le hashtag #GarageTime.

« Partager, c’est prendre soin et la solidarité au vrai sens du terme est le seul moyen de faire face à la crise qui affecte le monde entier. » explique Frederic Vasseur, le team principal de l’équipe Alfa Romeo Racing.

« La responsabilité sociale a toujours joué un rôle important dans notre culture d’entreprise. Je suis fier que nous, en tant que Groupe Sauber, en coopération avec notre partenaire Save the Children et avec Creightivist, nous nous sommes consacrés à transformer cette crise en une opportunité de soutenir les membres les plus fragiles de la société mondiale: les enfants du monde entier. »

Silverstone avertit que le GP de Grande-Bretagne n’est pas encore confirmé

Le directeur général de Silverstone a averti qu’il n’y avait encore aucune certitude que le GP de Grande-Bretagne puisse se tenir à huis clos.

La semaine dernière, les organisateurs du Grand Prix de Grande-Bretagne ont annoncé que leur course était maintenue au calendrier de la saison 2020 de F1, mais que celle-ci ne pourrait se tenir qu’à huis clos.

Cependant, le directeur du tracé britannique a tenu à rappeler que cette annonce ne voulait en aucun cas dire que le GP de Grande-Bretagne était dores et déjà assuré d’être disputé.

« Nous ne savons pas encore si nous aurons une course à huis clos, je dois être clair sur ce sujet. » a déclaré Stuart Pringle à la BBC.

« Nous devons encore comprendre les critères du gouvernement qui doivent être atteints pour être autorisé à organiser un événement sportif à huis clos. »

« On a beaucoup parlé de la nécessité que les sites ressemblent à une « île », pour être contrôlés. Nous pouvons y parvenir, nous avons toutes les installations dont nous avons besoin à l’intérieur du circuit, à l’exception d’un hôtel. Nous avons un bâtiment en semi-dur si cela peut aider. »

« Mais nous devons également comprendre ce qui devrait être en place pour organiser un événement sûr et sécurisé à huis clos. »

« Cela devrait comprendre des choses que nous ne faisons pas habituellement, comme des tests pour le Covid-19 et diverses procédures médicales. »

Pringle a également expliqué que dans l’intérêt de toutes les personnes impliquées dans l’organisation d’un tel événement, il faudrait certainement quelques jours, voire quelques semaines avant d’arriver à une confirmation définitive.

« Nous ne voulons pas être une sorte de fardeau. Si nous le sommes, cela n’arrivera pas [pas de GP]. Nous devons également parvenir à un accord avec le championnat du monde de Formule 1. »

« Il y a absolument le désir des deux parties d’y arriver, mais c’est compliqué. C’est contractuel, il faudra encore quelques jours, voire des semaines pour y arriver. »

Vidéo : les pilotes Red Bull en Road trip aux Pays-Bas

L’équipe Red Bull Racing a mis en ligne la vidéo d’un Road trip tournée il y a quelques mois et qui devait être publiée avant le Grand Prix des Pays-Bas.

Le duo de pilotes de l’équipe Red Bull Racing a participé à un Road trip sur les routes des Pays-Bas au volant de leurs monoplaces dans le cadre d’un film promotionnel qui devait être publié avant le Grand Prix des Pays-Bas 2020.

Mais en raison de la crise du coronavirus, le GP des Pays-Bas n’a pas pu avoir lieu au mois de mai comme prévu initialement et a été reporté à une date inconnue.

Ce voyage, qui a débuté à Rotterdam et qui se termine à Zandvoort, a permis aux deux pilotes Red Bull de visiter dix des plus beaux sites du pays au volant d’une RB8.

« Je voulais montrer les Pays-Bas à Alex de cette façon. » a déclaré Max Verstappen. « Nous avons tourné ce film au début de l’année et nous voulions le montrer au public au moment du GP des Pays-Bas. »

A la fin de la vidéo, les pilotes Red Bull ont eu le privilège de tourner sur le tracé de Zandvoort qui doit accueillir le GP des Pays-Bas.

Road trip Red Bull aux Pays-Bas

 

Alex Albon décroche sa première victoire (virtuelle) en F1

Alexander Albon a remporté ce dimanche sa première victoire (vituelle) en F1 sur le tracé d’Interlagos au Brésil.

Alexander Albon et Charles Leclerc ont été les deux principaux protagonistes du GP virtuel des Pays-Bas disputé ce dimanche soir sur…le tracé d’Interlagos au Brésil (le circuit de Zandvoort n’est pas disponible sur F1 2019).

Leclerc et Albon ont tous les deux bénéficié d’un départ chaotique de Stoffel Vandoorne pour s’emparer des deux premières places dès le début de la course et ont mené une bataille incroyable tour après tour en se dépassant chacun leur tour, mais sans jamais pouvoir s’échapper ou prendre l’avantage sur l’autre.

Même la stratégie agressive de Charles Leclerc, qui s’est arrêté plus tôt qu’Albon au stand, n’aura rien changé à la situation et les deux hommes se sont battus pour la victoire jusqu’au bout.

Finalement, au terme des 36 tours de course, c’est bien Alex Albon qui franchira la ligne d’arrivée en vainqueur. Charles Leclerc pour sa part devra se contenter de la troisième marche du podium en raison d’une pénalité reçue pour avoir franchi les limites de la piste à plusieurs reprises.

George Russell (Williams) s’empare donc de la seconde marche du podium à l’arrivée de ce GP virtuel des Pays-Bas, tandis que le Belge Stoffel Vandoorne (Mercedes) termine quatrième. Il devance Esteban Gutierrez (Mercedes), Christian Lundgaard (Renault), Enzo Fittipaldi (Ferrari), Louis Deletraz (Haas), Nicholas Latifi (Williams) et Lando Norris (McLaren).

Le classement à l’arrivée

Virtual Grand Prix Interlagos top 10

Une majorité des fans d’Alonso souhaitent son retour en F1

Les fans de Fernando Alonso ont été une large majorité à voter pour que le double champion du monde de F1 fasse son retour en catégorie reine du sport automobile.

Il y a quelques jours, l’ancien pilote McLaren a mis en place un sondage sur son compte Twitter dans lequel il demandait à ses fans de choisir une catégorie du sport automobile dans laquelle ils aimeraient voir le pilote espagnol évoluer à l’avenir.

Après plus de 100 000 votes (113 000 votes exactement), 82% des personnes ayant répondu au sondage souhaitent que le double champion du monde de F1 fasse son retour en catégorie reine du sport automobile.

Le pilote espagnol n’a jamais caché son souhait de revenir en Formule 1, après avoir pris sa retraite fin 2018, et il souhaitait d’ailleurs le faire à partir de 2021 en profitant de l’introduction des nouvelles règles.

Mais en raison de la crise de coronavirus, qui a obligé la F1 à décaler le début de la saison 2020 et donc également d’une année l’introduction des nouvelles règles de 2021 à 2022, Fernando Alonso devra certainement attendre encore un peu avant d’effectuer son retour.

En effet, le report du début de saison aura un impact direct sur le marché des transferts cette année et il semblerait que toutes les équipes décident de jouer le statu quo en 2020 en termes de transferts…

Après plusieurs décennies à la tête de la F1, Ecclestone n’a qu’un seul regret

Après plusieurs décennies passées à la tête de la F1, le Britannique Bernie Ecclestone assure n’avoir qu’un seul regret.

En 2008, Max Mosley, alors président de la FIA, s’est retrouvé dans une tempête médiatique après la publication de photographies et d’une vidéo le montrant lors d’une séance sado-masochiste, évoquant un camp de concentration nazi.

Cette affaire a pris une ampleur incroyable à l’époque lorsque le tabloïd News Of The World a divulgué des photographies où l’on pouvait voir le président de la FIA en compagnie de cinq jeunes femmes, dont certaines étaient vêtues d’un uniforme rayé de prisonnier.

Les médias à l’époque n’hésitaient pas à parler « d’orgie nazi », alors que Max Mosley s’exprimait en allemand dans la vidéo publiée et jouait tour à tour le rôle d’un détenu et d’un gardien de camp de concentration.

La réaction la plus attendue à l’époque était celle du patron de la F1, Bernie Ecclestone. L’associé de longue date et ami de Mosley n’avait pas hésité à son tour à tirer à boulets rouges sur le président de la FIA.

« C’est un comportement dérangeant. C’est incroyable, spécialement quand on connaît son histoire. » déclarait Ecclestone à la presse en 2008.

En effet, Max Mosley n’est autre que le fils de d’Oswald Mosley, fondateur de la British Union Of Facists et accessoirement leader des chemises noires (milice volontaire fasciste).

Interrogé par nos confrères d’Autocar dans une longue entrevue [que vous pouvez retrouver ici], Bernie Ecclestone est revenu en détail sur sa carrière et l’orsqu’on lui demande s’il exprime des regrets après plusieurs décennies passées aux commandes de la Formule 1, le Britannique répond : « Oui. Juste un. »

« Ne pas avoir soutenu Max Mosley, alors qu’il avait besoin de soutien pour l’histoire du News Of The World [en 2008]. »

« Beaucoup de gens ont alors dit que nous ne pouvions plus l’avoir comme Président de la FIA après cela. Je ne l’ai pas assez soutenu publiquement. Je me suis excusé, mais cela a endommagé notre relation pendant un certain temps. »

« Je pense que Max a compris que j’ n’avais pas d’autre choix. Mais c’était une affaire privée qui n’aurait jamais dû tomber dans le domaine public. »

Monaco n’avait « pas d’autre choix » que d’annuler son GP de F1 en 2020

Le Président de l’Automobile Club de Monaco est revenu en détail sur la décision d’annuler le Grand Prix de Monaco 2020 suite à la pandémie de coronavirus.

Il y a quelques semaines, la F1 annonçait officiellement le report du Grand Prix de Monaco 2020 en raison de l’épidémie de coronavirus. Mais dans la foulée de cette annonce, les organisateurs de l’épreuve ont annoncé l’annulation pure et simple de la course pour cette année.

Ce sera la première fois depuis 1955 que le Grand Prix de Monaco, joyaux du calendrier de la F1, n’aura pas lieu, et c’est surtout pour des raisons évidentes de logistique que l’épreuve monégasque a été annulée par les organisateurs.

« Tout était en place, la construction du circuit avait commencé et nous avions déjà vendu plus de 80% des billets. Malheureusement, il était devenu impossible de se battre contre une épidémie qui gagnait du terrain. » explique Michel Boeri, président de l’Automobile Club de Monaco.

« Comme la FIA et la Formule 1 annonçaient que les événement du mois de mai ne pourraient pas avoir lieu, nous n’avions pas d’autre choix. »

« Une telle décision ne pouvait pas être prise à la légère et après une analyse précise de la crise à travers le monde, c’est avec beaucoup de tristesse que le conseil d’administration de l’ACM a pris la décision d’annuler la 78ème édition du Grand Prix de Monaco de Formule 1 et le 12ème Grand Prix de Monaco historique. »

Lorsqu’on lui demande pourquoi l’ACM a préféré annuler et pas reprogrammer le Grand Prix de Monaco, Michel Boeri explique qu’une reprogrammation de l’épreuve monégasque n’était tout simplement pas possible.

« Ce n’était pas réaliste. Demander aux 1500 volontaires de changer leur disponibilité de mai à août, ou aux entreprises, dont certaines sont loin d’ici, de revenir et de construire le circuit plus tard? C’était impossible. Nous étions coincés. »

« De plus, nous ne sommes pas les seuls en Principauté de Monaco: il y a tellement d’événements entre août et octobre, on ne peut pas se chevaucher, surtout quand on sait qu’il nous faut 45 jours pour construire le circuit et 25 pour déconstruire. »

L’Azerbaïdjan souhaite accueillir la F1 en septembre

Les organisateurs du Grand Prix d’Azerbaïdjan de F1 affirment que leur événement a une date limite pour la mi-octobre 2020.

Le Grand Prix d’Azerbaïdjan fait partie des courses reportées en ce début de saison en raison de la pandémie de coronavirus, mais les organisateurs espèrent toujours que leur événement ait lieu cette année.

La Formule 1 de son côté prévoit un retour à l’action en Autriche en juillet, suivi d’une manche en Grande-Bretagne, et espère toujours disputer entre 15 et 18 courses, pour conclure la saison 2020 avec des événements à Bahreïn et à Abou Dhabi en décembre.

« Nous sommes en contact étroit avec le gouvernement de l’Azerbaïdjan, la F1 et d’autres parties prenantes. » explique le directeur exécutif du circuit de Bakou à nos confrères de MotorsportWeek.com.

« Nous avons convenu avec F1 que la course ne devrait pas être reportée après mi-octobre. Nous nous soucions vraiment de nos fans et nous voudrions qu’ils puissent profiter d’un temps agréable à Bakou pendant un week-end de course. »

Rahimov a reconnu qu’il y avait des complications supplémentaires liées au fait d’organiser un événement en ville, mais il estime cependant que l’infrastructure peut être organisée dans un délai plus court si nécessaire.

« Habituellement, nous programmons nos activités de construction pour qu’elles commencent 13-14 semaines avant le week-end de course. »

« Dans la situation actuelle, cependant, nous pourrions essayer de réduire cette durée à 11-12 semaines, ce qui impliquerait un calendrier de construction plus intensif. »

« Si nous étions en mesure de disputer la course entre la mi-septembre et la mi-octobre, alors je serais très positif que nous puissions atteindre cet objectif, étant donné que la plupart des travaux de construction seraient achevés en été. »

« Le fait que nous courions la course dans les rues de la ville ajoute une complication – comme sur n’importe quel circuit urbain. En tant que tel, il serait idéalement formidable d’essayer de courir la course avant le redémarrage des écoles après la pause estivale le 15 septembre. »

Une seule course !

La Formule 1 prévoit de tenir deux courses chacune en Autriche et en Grande-Bretagne au cours des week-ends successifs, mais Rahimov a averti qu’un tel calendrier ne serait pas possible en Azerbaïdjan.

« Dans le cas où nous pourrions organiser une course cette année, nous ne prévoyons certainement pas de modifier le format de la course, et cela n’a jamais été discuté avec la F1. »

« Je ne pense pas non plus qu’il serait possible d’organiser des courses à Bakou sur plusieurs week-ends, car cela entraînerait trop de désagréments pour nos résidents en raison du fait que le circuit est situé en plein cœur de la ville. »

La FIA veut éviter les conflits entre différentes disciplines lors de la reprise

La FIA a suggéré que les différentes séries de sport automobile travaillent ensemble au cours des prochains mois pour éviter des clashs de calendrier.

La F1 a indiqué son intention de commencer sa saison 2020 en juillet avec des événements à double courses sur certains circuits, dont l’Autriche au Red Bull Ring et la Grande-Bretagne à Silverstone, qui semblent de plus en plus susceptibles d’accueillir les quatre premières courses.

Pendant ce temps, le MotoGP envisage de reprendre sa saison en juillet avec plusieurs autres séries, mais avec la moitié de l’année déjà annulée et de nombreux circuits permanents partagés par plusieurs disciplines, il y aura une précipitation à réserver des week-ends.

Le vice-président de la FIA, Graham Stoker, a averti que cela pourrait conduire à des conflits, insistant sur le fait qu’il pourrait être avantageux de travailler ensemble et même éventuellement de partager les week-ends de course.

« Ce sera un environnement extrêmement compétitif et potentiellement très encombré, et d’une certaine manière, c’est ce que nous devons espérer. » explique Stoker.

« Nous voulons voir le retour de l’environnement de sport automobile extrêmement dynamique et diversifié auquel nous sommes habitués. Cependant, il faudra une gestion très prudente. »

« Quand on regarde des choses comme le Code Sportif International et le calendrier sportif international, l’approche doit être flexible. »

« Il est crucial de prioriser l’organisation des événements. Ce qui serait contre-productif serait de s’impliquer dans des guerres de territoire. »

« Ne nous impliquons pas dans les litiges concernant qui a quel créneau horaire et quels accords antérieurs pourraient prévaloir. Cette approche ne fonctionnera pas. »

« La priorité principale est de relancer le sport automobile et si cela signifie des « super week-ends » avec de multiples événements, en coopération et avec flexibilité, eh bien, pourquoi pas ? »

« Le sport automobile doit se ressaisir, et nous devons avoir de la flexibilité en termes d’événements et de lieux et penser en dehors des sentiers battus afin de remettre les choses en marche de manière spectaculaire, ce qui attirera évidemment l’intérêt du public. »

« Nous devons également démontrer que le sport automobile reste pertinent et a une influence positive, à travers ses messages et ses actions. »

Covid-19 : Les mécaniciens devront respecter les distances dans le garage

Le directeur de l’équipe AlphaTauri Franz Tost pense que son personnel sera en mesure de respecter les gestes barrières en Autriche lors de la première course de la saison 2020 de F1.

La F1 souhaite débuter la saison 2020 en Autriche au mois de juillet avec deux courses à huis clos sur le tracé du Red Bull Ring de Spielberg.

Le Grand Prix d’Autriche sera interdit au public et certainement aux médias afin de respecter au maximum les distanciations sociales sur le circuit.

Mais même sans public et sans médias, le nombre de personnes présentes dans le paddock de Spielberg au mois de juillet lorsque la F1 reprendra devrait tout de même se situer aux alentours des 2000 personnes.

Dans ce contexte, les équipes devront évidemment mettre en place des mesures strictes et pourraient même utiliser un box supplémentaire si besoin, afin de respecter au maximum les distances obligatoires.

« Nous aurons deux voire trois boxes [en Autriche]. Je ne m’en fais pas trop, les mécaniciens qui travaillent sur la voiture sont logiquement plus proches les uns des autres, mais cela fait cinq ou six mécaniciens par voiture. » explique Franz Tost à Speedweek.

« Toutes les autres personnes pourront facilement se conformer aux règles de distanciation de 1 mètre en Autriche. »

« Les pneumatiques seront préparés dans un autre département, l’électronique travaille également dans son propre département, l’informatique est également dans son propre département. »

« Ces techniciens sont de toute façon séparés des autres mécaniciens des boxes. Les techniciens seront bien-sûr assis côté à côte car leurs ordinateurs sont branchés en réseau. »

Concernant les arrêts au stand pendant les séances de roulage : « Ce ne sera pas un problème, car tous les mécaniciens portent un casque. » souligne Franz Tost.