George Russell reste focalisé sur la piste malgré les incertitudes sur son avenir chez Mercedes

Alors que les rumeurs autour d’une arrivée de Max Verstappen chez Mercedes en 2026 s’intensifient, George Russell a assuré qu’il restait concentré sur son pilotage. Bien que Toto Wolff soit un fan de longue date du pilote néerlandais, et que les contrats de Russell comme celui de son coéquipier Kimi Antonelli expirent en fin de saison, le Britannique apparaît comme le candidat le plus exposé en cas de changement.

Pourtant, Russell réalise son meilleur exercice en Formule 1, avec cinq podiums, dont une victoire, et un retard limité à 18 points sur Verstappen au classement général.

Interrogé sur les spéculations autour de son avenir, le pilote Mercedes a répondu qu’il se concentrait uniquement sur ce qu’il maîtrisait : « C’est à vous d’en juger », a-t-il lancé à la presse, évoquant les bruits persistants malgré ses performances convaincantes.

« Pour ma part, je me sens assez épais et je ne lis pas beaucoup les actualités ni n’écoute les rumeurs, je me concentre simplement sur les faits et sur la conduite. Au début de l’année, j’ai dit que vous pouviez avoir un contrat, mais que si vous ne performiez pas, vous étiez viré. Et si vous performiez, tout s’arrangerait, donc je vais simplement me concentrer sur la conduite comme je l’ai fait toute cette année. »

Spa, un fief orange de spectateurs acquis à la cause Verstappen

Quand la marée néerlandaise transforme la Belgique en fête pour la F1

Chaque été, lors du Grand Prix de Belgique, le circuit de Spa-Francorchamps se pare d’une couleur flamboyante : l’orange. Cette teinte n’est pas due à un caprice de la météo ardennaise, mais à la présence massive des supporters de Max Verstappen, l’idole néerlandaise de la Formule 1. Sur les collines et dans les tribunes, la “Verstappen Mania” s’impose comme un phénomène incontournable, transformant l’ambiance du circuit en une véritable fête populaire.

Une marée orange impressionnante

Depuis l’ascension fulgurante de Max Verstappen, Spa-Francorchamps connaît une affluence record, notamment grâce à sa proximité avec les Pays-Bas. Beaucoup de spectateurs parcourent plusieurs centaines de kilomètres pour soutenir leur champion. Lors des éditions récentes, la fréquentation a frôlé, voire dépassé, les 360 000 spectateurs sur l’ensemble du week-end, un chiffre boosté par la passion des fans néerlandais. Dimanche, jour de la course, on estime que près de 100 000 personnes assistent au départ, dont une majorité arborant fièrement maillots, drapeaux et accessoires orange.

Une ambiance électrique et festive

Dès l’aube, les fans affluent, installant des campings improvisés aux abords du circuit, partageant grillades, chants et anecdotes de courses. Les tribunes du Raidillon ou la ligne droite de Kemmel se transforment en gradins géants, où l’on scande le prénom de Max à grand renfort de tambours et de cornes de brume. Des animations sont organisées sur le paddock, des stands proposent des produits dérivés frappés du numéro 1, et des écrans géants permettent de suivre la course sous tous les angles.

L’ambiance atteint son apogée lors de la présentation des pilotes et, bien sûr, aux passages de Verstappen. Chaque dépassement, chaque tour rapide, chaque apparition du Néerlandais déclenche une acclamation collective et une vague d’enthousiasme communicative. Certains spectateurs allument des fumigènes orange, créant des nuages de couleur au-dessus du circuit.

Un soutien sans faille à Max Verstappen

Si Spa-Francorchamps est un rendez-vous pour tous les passionnés de F1, le public y reste largement acquis à la cause de Max Verstappen. On retrouve également des supporters belges, allemands, français ou britanniques, mais l’adhésion à la “Max-mania” est quasi-unanime dans les tribunes. De nombreux fans arborent des banderoles personnalisées, tandis que des clubs de supporters néerlandais organisent des déplacements collectifs.

Un impact sur la région et l’événement

Ce soutien hors norme dope non seulement l’ambiance, mais aussi l’économie locale. Hôtels, campings et commerces affichent complet ; les villages voisins se mettent à l’heure du Grand Prix. La région vit au rythme de la course, accueillant une foule bigarrée et enthousiaste, qui fait de Spa-Francorchamps un théâtre à ciel ouvert où l’orange est roi.

Ainsi, chaque Grand Prix de Belgique prend des allures de fête nationale néerlandaise, prouvant combien la passion des fans de Max Verstappen façonne l’âme et la renommée du circuit ardennais.

 

 

Andy Cowell met en avant la position avantageuse d’Aston Martin sur le marché des pilotes

Le directeur de l’équipe Aston Martin, Andy Cowell, a souligné la « position extrêmement favorable » de l’écurie sur le marché des transferts de pilotes en Formule 1. Alors que Max Verstappen a un temps été associé à un possible transfert vers l’écurie de Silverstone, les rumeurs le lient désormais davantage à Mercedes.

Dans ce contexte, le nom de George Russell a émergé comme une alternative potentielle pour Aston Martin, au cas où il serait écarté par Mercedes. Toutefois, la structure britannique dispose déjà d’un duo de pilotes sous contrat jusqu’en 2026 : Fernando Alonso et Lance Stroll.

L’équipe s’apprête par ailleurs à aborder une nouvelle ère dès la saison prochaine avec l’arrivée de Honda comme motoriste, dans le cadre du nouveau règlement technique. Le châssis 2026, quant à lui, est en développement sous la direction du célèbre ingénieur Adrian Newey.

« Nous avons beaucoup de chance », a déclaré Cowell aux médias. « Nous avons un programme passionnant pour 2026. « Nous travaillons avec Honda sur le changement de moteur, Adrian [Newey] travaille sur l’aérodynamique et nous avons de nouvelles installations. »

Cowell a souligné que Alonso et Stroll jouent tous deux un rôle central dans l’élaboration du cadre de l’équipe pour l’avenir, laissant entendre qu’Aston Martin n’est pas intéressée par un changement de pilotes.

« La stabilité que nous apporte le fait d’avoir signé Lance et Fernando pour l’année prochaine signifie qu’ils nous aident non seulement à développer les outils que nous utiliserons en 2026, 2027 et au-delà, mais qu’ils travaillent aussi directement sur le concept de la voiture », a-t-il déclaré. « Les discussions dans la soufflerie portent sur la forme aérodynamique, mais aussi sur l’environnement du pilote. Combien d’espace y a-t-il dans le cockpit ? Adrian a tendance à ne pas laisser beaucoup d’espace dans le cockpit. Tout est extrêmement compact. Mais cette stabilité, le fait d’avoir deux pilotes engagés jusqu’en 2026, nous aide vraiment. »

Vidéo – Il y a un an, Oscar Piastri remportait son premier Grand Prix en F1

Oscar Piastri a décroché sa première victoire en Formule 1 lors du Grand Prix de Hongrie 2024. L’Australien a mené McLaren vers un doublé, franchissant la ligne d’arrivée devant son coéquipier Lando Norris. Lewis Hamilton a complété le podium pour Mercedes, grâce à une stratégie d’arrêt anticipé.

Derrière, Charles Leclerc, Max Verstappen, Carlos Sainz, Sergio Perez, George Russell, Yuki Tsunoda et Lance Stroll ont complété le top 10.

Pierre Gasly, parti depuis la voie des stands après une séance de qualifications manquée par Alpine, a dû abandonner sur problème hydraulique, signant son deuxième abandon consécutif.

Mal parti depuis la pole, Norris s’était fait dépasser par Piastri, puis brièvement par Verstappen, contraint de rendre sa position. Hamilton, grâce à un arrêt précoce, avait pris l’ascendant sur le Néerlandais, avant un contact en fin de course qui avait relégué Verstappen à la cinquième place.

Depuis ce premier succès en F1, Oscar Piastri a remporté six autres Grands Prix (Bakou, Shanghai, Sakhir, Djeddah, Miami, Barcelone) et se positionne aujourd’hui en tête du classement des pilotes, faisant de lui un réel prétendant au titre mondial en 2025 !

Sebastian Vettel écarte définitivement un retour en Formule 1

Légende de la Formule 1, Sebastian Vettel a fermé la porte à un éventuel retour en tant que pilote. Quadruple champion du monde avec Red Bull entre 2010 et 2013, l’Allemand a ensuite tenté de renouer avec le succès chez Ferrari, avant de conclure sa carrière chez Aston Martin fin 2022.

À 38 ans, Vettel reste plus jeune que Fernando Alonso et Lewis Hamilton, toujours en activité, et partage l’âge de Nico Hülkenberg, récemment monté sur son premier podium. Toutefois, l’ancien pilote a affirmé ne plus envisager de retour en piste, malgré la longévité de certains de ses anciens rivaux.

Depuis son départ, Vettel s’est retiré du monde médiatique, préférant se consacrer à sa vie personnelle. Il affirme aujourd’hui vouloir laisser la place à la nouvelle génération, sans ressentir le besoin de revenir sur la grille.

« La Formule 1, c’est fini », a-t-il déclaré à Auto Motor und Sport. « À un moment donné, il est temps de laisser la place à d’autres. On le voit surtout avec les débutants. Je pense que c’est une bonne chose qu’un groupe entier de pilotes ait été remplacé. Ce n’est pas un vote contre les anciens pilotes, mais plutôt en faveur des jeunes pilotes. Dans le passé, je me moquais bien de savoir lequel des pilotes confirmés ne courait plus. L’essentiel, c’est que je puisse piloter. »

Montoya voit Carlos Sainz comme le successeur idéal de Verstappen chez Red Bull

Alors que l’avenir de Max Verstappen en F1 reste incertain, Juan Pablo Montoya estime que Red Bull pourrait se tourner vers Carlos Sainz en cas de départ du Néerlandais vers Mercedes.

Le quadruple champion du monde est de plus en plus lié à l’équipe allemande, à l’approche du Grand Prix de Belgique. Avec les deux baquets Mercedes vacants pour 2026 et des tensions internes persistantes chez Red Bull — notamment après le départ de Christian Horner — l’avenir de Verstappen semble plus ouvert que jamais.

Malgré ses déclarations affirmant sa satisfaction chez Red Bull, le pilote a toujours placé la compétitivité de la voiture au cœur de ses priorités. À l’approche du changement réglementaire majeur prévu pour 2026, Mercedes est pressentie comme favorite.

Montoya pense qu’en cas de départ de Verstappen, Red Bull misera sur Sainz, tandis que Mercedes conserverait Russell et placerait Kimi Antonelli en prêt chez Williams.

« Écoutez, si Max part et qu’ils ne se débarrassent pas de George, Red Bull signera probablement Sainz. Et ensuite, ils mettront Kimi chez Williams », a déclaré Montoya sur le podcast MontoyAS « Cela donnera à Antonelli le temps de se développer comme ils l’ont fait avec George. Je pense qu’ils avaient la possibilité de faire venir Carlos, mais Max ne voulait pas de Carlos comme partenaire. C’est la seule chose, je crois que Max n’a pas eu la possibilité ou le droit de choisir qui il voulait comme coéquipier chez Mercedes. C’est la seule chose qu’il n’aura pas, contrairement à Red Bull. Au final, nous essayons de deviner ce qui va se passer. Ce qui sera intéressant, c’est de voir s’il y aura un changement ou non, et le nombre de sièges qui bougeront lorsque cela se produira. »

Honda dément toute prolongation avec Red Bull au-delà de 2025

Le président de Honda Racing, Koji Watanabe, a fermement démenti les rumeurs évoquant une possible prolongation de la collaboration avec Red Bull en 2026, dans l’hypothèse où l’écurie ne serait pas prête à produire son propre moteur à temps.

À partir de la saison prochaine, Red Bull franchira une étape historique en développant pour la première fois ses propres groupes motopropulseurs, dans le cadre de la nouvelle réglementation technique de la F1. Pour ce faire, l’équipe de Milton Keynes a mis en place sa propre division moteur.

De son côté, Honda s’apprête à entamer un nouveau partenariat avec Aston Martin dès 2026, mettant un terme à sa relation avec Red Bull à la fin de l’année. Interrogé par « as-web.jp », Watanabe a catégoriquement écarté l’idée d’une continuité technique avec Red Bull au-delà de 2025, qualifiant ces spéculations d’infondées.

« C’est tout à fait impossible », a insisté Watanabe auprès d’as-web.jp. « Même s’ils nous le demandaient maintenant, nous ne serions pas en mesure de respecter l’échéance de 2026. C’est impossible. »

« Nous avons déjà reçu plusieurs demandes d’Aston Martin pour améliorer la compétitivité », a révélé Watanabe. « Nous ne savons pas si elles proviennent de Newey, mais en plus de Newey, Andy [Cowell] a également dirigé le département des unités motrices chez Mercedes, il a donc une bonne connaissance des unités motrices. C’est positif pour nous d’avoir quelqu’un avec ces connaissances dans le domaine du développement automobile et de pouvoir discuter avec lui. Nous avons déjà reçu des demandes concernant la configuration [du groupe motopropulseur] et une équipe travaille avec Aston Martin à ce sujet. »

La Formule E voit ses pertes financières presque doubler en un an

La Formule E a vu ses pertes avant impôts presque doubler pour atteindre 78,3 millions d’euros (92,2 millions de dollars américains) au cours de l’exercice financier clos le 30 septembre 2024.

Les pertes ont augmenté de 87,4 % en glissement annuel, passant de 41,8 millions d’euros (49,2 millions de dollars américains) en 2023. Le chiffre d’affaires a de son côté baissé de 13,7 % pour s’établir à 189,6 millions d’euros (223,3 millions de dollars américains. Le coût des ventes est resté pratiquement inchangé à 202,1 millions d’euros (238 millions de dollars américains)

La baisse du chiffre d’affaires du championnat FIA de monoplaces tout électriques est principalement attribuée à la réduction du nombre de courses et d’autres activités liées à la course. Contrairement à la saison précédente, la campagne 2023/24 n’a pas comporté de courses au Cap, à Jakarta et à Rome, tandis qu’une épreuve à Hyderabad a finalement été annulée. À leur place, Misano, Tokyo et Shanghai ont toutes rejoint le calendrier de la saison.

Malgré ce changement de calendrier, la Formule E a déclaré que son audience et sa base de fans avaient considérablement augmenté, avec une hausse de 35 % du nombre cumulé de téléspectateurs, qui est passé à 491 millions, et une augmentation de 23 % du nombre de fans, qui est passé à 371 millions.

La série a réaffirmé que ses actionnaires « soutenaient » son plan de croissance global. Toutefois, sa solvabilité reste dépendante du soutien de sa société mère.

Au cours de sa dixième saison, la Formule E a constaté que ses émissions brutes sont passées de 32 569 tCO2  à 33 529 tCO2 en glissement annuel. Elle a ainsi réduit de 33 % ses émissions totales équivalentes de 2023 en termes d’émissions absolues de scope 1 et 2, avec une utilisation à 100 % d’énergie durable pour toutes les courses, à l’exception de celle de Tokyo. Néanmoins, ce n’est pas réellement sur ces élements de communication et marketing qu’est jugé le championnat, pour qui il est important de vite redresser une tendance actuellement négative en termes de retours sur investissement pour les parties prenantes. 

Zak Brown sur le départ d’Horner : « Pas une surprise, mais un timing étonnant »

Le PDG de McLaren, Zak Brown, a réagi au départ de Christian Horner de Red Bull, survenu trois jours après le Grand Prix de Grande-Bretagne, estimant que si la décision n’était « pas surprenante », le moment choisi l’était davantage.

Après plus de deux décennies à la tête de l’écurie de Milton Keynes, Horner a quitté ses fonctions de directeur d’équipe et de PDG dans un contexte de turbulences internes. Ces dernières saisons, il avait été confronté à une enquête pour comportement inapproprié – dont il a été blanchi –, aux critiques publiques de Jos Verstappen, à une lutte de pouvoir en interne, au départ de plusieurs cadres clés et à une baisse des performances.

Zak Brown a décrit la situation comme un « drame » prolongé et estime que le camp Red Bull n’a jamais retrouvé de stabilité depuis le début de cette crise.

Interrogé sur le caractère surprenant du départ de Horner, Brown a déclaré à TSN : « Peut-être le moment, mais pas le résultat. Je pense qu’il y a eu beaucoup de remous ces deux dernières années, et il ne semble pas que ces vagues se soient dispersées. Peut-être que cela commence à empirer, donc je ne suis pas surpris en milieu de saison, mais nous restons concentrés sur le championnat. Max est toujours dans la course, nous devons donc rester vigilants. Mais oui, ils ont connu un succès formidable [avec Horner]. »

Charles Leclerc – « Je ne suis pas satisfait de mon niveau en qualifications »

Longtemps considéré comme l’un des spécialistes de l’exercice, Charles Leclerc s’interroge sur le recul de ses performances en qualifications cette saison. Fort de 26 pole positions en carrière – un record pour un pilote sans titre mondial et le 12e total de l’histoire à égalité avec Mika Häkkinen – le Monégasque peine à retrouver son niveau habituel.

En 2025, sa moyenne en qualifications est tombée à une modeste 6,3e place, et il n’a signé qu’une seule pole position sur les 21 dernières courses, à Bakou en 2024. Un contraste saisissant pour celui que beaucoup considéraient comme le plus rapide sur un tour.

Face à lui, Lewis Hamilton a pris l’ascendant lors de trois des quatre derniers Grands Prix. À Silverstone, Leclerc a exprimé sa frustration après une sixième place sur la grille, évoquant un dernier tour raté et une perte de repères qu’il ne parvient pas à expliquer.

« Je ne fais pas le travail, et depuis le début de la saison, j’ai très bien performé en course », a déclaré Leclerc aux médias. « Il n’y a pas beaucoup de courses où je reviendrais en arrière pour changer quelque chose que j’ai fait dans la voiture, mais malheureusement, quand je repense aux qualifications, qui étaient mon point fort, il y a beaucoup de choses que je changerais. Chaque fois que j’arrive en Q3, ça ne fonctionne pas. Nous avons eu de bonnes qualifications, mais pas d’excellentes, alors que c’était mon point fort. Je ne suis donc pas satisfait de mon niveau en qualifications. Nous avons des problèmes. »

Interrogé sur la nature de ces problèmes, Leclerc est resté évasif, mais a donné quelques indices.

« Ce n’est pas un problème d’équilibre, ni d’adhérence », a-t-il déclaré. « Je ne veux pas entrer dans les détails, mais c’est juste quelque chose d’étrange auquel nous devons faire face dans la voiture, et quand on roule à grande vitesse, cela rend les choses encore plus difficiles, mais j’espère que nous pourrons résoudre ce problème. »

Combien reste-t-il de Grands Prix dans le calendrier F1 2025 ?

Le championnat du monde de Formule 1 est bien entamé et promet une lutte à couteaux tirés jusqu’en fin de saison entre les équipiers du team McLaren, Oscar Piatri et Lando Norris, pour déterminer le nom du champion du monde 2025.

Ce week-end, la F1 pose les valises à Spa Francorchamps, en Belgique, avant de se rendre une semaine plus tard sur le Hungaroring, pour le premier week-end d’août. Par la suite, le paddock fera une pause bienvenue pour les corps et les esprits pendant trois semaines, avant de remettre le cap vers les Pays-Bas, lors du dernier week-end d’août. 

Parmi les 12 épreuves demeurant encore à disputer en cette saison 2025, 4 manches, dont celle de ce week-end, en Belgique, proposeront un format comprenant une course Sprint le samedi. Les pilotes connaitront donc moins de séances d’essais sur ces week-ends, et une seconde séance de qualifications, l’une correspondant à la course Sprint et la seconde au Grand Prix du dimanche.

Le calendrier F1 2025 des courses demeurant à disputer : 

25-27 juillet Belgium Belgique (sprint) Spa
1-3 août Hungary Hongrie Budapest
29-31 août Netherlands Pays-Bas Zandvoort
5-7 septembre Italy Italie Monza
19-21 septembre Azerbaijan Azerbaïdjan Bakou
3-5 octobre Singapore Singapour Singapour
17-19 octobre United States USA (sprint) Austin
24-26 octobre Mexico Mexico Mexico
7-9 novembre Brazil São Paulo (sprint) Interlagos
21-23 novembre (20-22 en local) United States Las Vegas Las Vegas
28-30 novembre Qatar Qatar (sprint) Losail
5-7 décembre United Arab Emirates Abu Dhabi Yas Marina

Spa-Francorchamps : le joyau belge de la Formule 1

Niché dans la région vallonnée des Ardennes, en Belgique, le circuit de Spa-Francorchamps s’impose depuis près d’un siècle comme l’un des tracés les plus mythiques et appréciés du championnat du monde de Formule 1. Son histoire, sa topographie naturelle et ses virages emblématiques en font un rendez-vous incontournable pour les passionné·e·s de sport automobile et les pilotes du monde entier.

Un tracé qui défie le temps

Le circuit de Spa-Francorchamps a vu le jour en 1921. Conçu à l’origine comme un triangle reliant les villes de Francorchamps, Malmedy et Stavelot, il s’étendait sur près de 15 kilomètres. Avec le temps et les exigences croissantes de la sécurité, le tracé a été considérablement raccourci, atteignant aujourd’hui 7,004 kilomètres, ce qui en fait l’un des plus longs du calendrier de la F1.

Son parcours sinueux épouse parfaitement le relief ardennais, offrant des variations d’altitude spectaculaires et des enchaînements rapides. Le célèbre virage de l’Eau Rouge-Raidillon représente un défi technique et physique unique, où chaque erreur peut se payer cher. Ce passage, extrêmement rapide, requiert à la fois courage, précision et maîtrise absolue.

Un rendez-vous prestigieux

Spa-Francorchamps accueille chaque année le Grand Prix de Belgique, épreuve phare du championnat du monde de Formule 1. Son climat imprévisible, alternant souvent pluie et éclaircies, ajoute à la complexité et au prestige de l’événement. Il n’est pas rare de voir certaines portions du circuit détrempées tandis que d’autres, à quelques centaines de mètres, restent sèches, rendant la stratégie de course particulièrement délicate.

De nombreux·ses pilotes légendaires ont brillé sur ce tracé, tels Ayrton Senna, Michael Schumacher ou Lewis Hamilton. Plusieurs considèrent d’ailleurs Spa comme le circuit ultime, où le talent pur s’exprime sans filtre.

Un site moderne et vivant

Malgré son héritage, Spa-Francorchamps n’a cessé d’évoluer. Infrastructures modernisées, amélioration constante de la sécurité, le site accueille aujourd’hui de nombreux événements, allant de la F1 aux 24 Heures de Spa en passant par des compétitions d’endurance et des courses historiques. Les spectateurs affluent chaque année pour profiter d’une ambiance unique, entre nature préservée et ferveur sportive.

Spa-Francorchamps demeure ainsi, à travers les décennies, un temple du sport automobile et une véritable fierté pour la Belgique.

 

 

Vidéo – Brad Pitt pilote une F1 de l’équipe McLaren sur le Circuit des Amériques

Regardez Brad Pitt, star de la Formule 1, et Martin Brundle, présentateur de Sky Sports F1, prendre la piste du Circuit des Amériques, où se déroule le Grand Prix des États-Unis, au volant d’une McLaren F1 moderne, guidée par Lando Norris.

Dans le cadre de sa promo pour le film F1, Brad Pitt, acteur principal à l’affiche du film, a eu la chance de recevoir l’invitation de Zak Brown pour piloter une Formule 1 de l’équipe McLaren. Le tout s’est déroulé sur le COTA, à Austin, au volant d’une F1, ce qui représentait de manière amusante une première pour Brad Pitt, qui s’était certes livré à un entrainement et des prises d’images au volant pour les besoins du film, mais à bord d’une F2 modifiée. 

Pour cette expérience en piste au volant d’une F1, la star hollywoodienne a reçu en plus les conseils de Lando Norris, pilote McLaren, et de l’ex-pilote F1 Martin Brundle, désormais commentateur et expert pour la chaîne anglaise Sky Sports F1, qui est à l’origine de cette vidéo. 

 

Toto Wolff relativise les critiques sur les règles 2026 : « On s’y habituera »

Face aux inquiétudes croissantes entourant la réglementation technique de la Formule 1 pour 2026, Toto Wolff a tenu à rassurer le paddock, estimant que les changements à venir finiront par être acceptés : « Tout le monde s’y habituera », a déclaré le patron de Mercedes.

Les futures monoplaces connaîtront une refonte majeure, avec l’introduction d’une aérodynamique active et une nouvelle répartition des performances entre moteur thermique et électrique. Dès 2026, ces deux sources d’énergie devront fournir une puissance équivalente.

Certaines voix s’élèvent cependant contre le risque de panne d’énergie électrique sur des circuits rapides comme Monza, ce qui pourrait brièvement laisser les F1 moins puissantes que les F2.

Tandis que Christian Horner plaidait pour un ajustement de la part électrique, Wolff invite au contraire la discipline à embrasser pleinement cette évolution.

« Je pense que les fans doivent prendre plaisir à regarder la Formule 1, et la Formule 1 doit rester fidèle à elle-même, c’est-à-dire un sport de haut niveau », a déclaré Wolff aux médias. « Le meilleur pilote et la meilleure machine gagnent, c’est donc ce que nous devons offrir : de belles courses. Certaines voitures ont été très agréables à conduire pour les pilotes. Certains pneus ont été très agréables, d’autres moins. Donc, d’une certaine manière, on s’y habituera. »

« En regardant les simulations d’aujourd’hui, il est très difficile de savoir exactement comment cela se passera l’année prochaine. Il s’agit d’une nouvelle réglementation très difficile à respecter, qui impose de maintenir ces niveaux d’énergie tout au long du tour sur certains circuits. Il est clair qu’à l’heure actuelle, cela reste un défi. »

Helmut Marko reste évasif sur l’avenir de Verstappen chez Red Bull

Helmut Marko, conseiller historique de Red Bull, a refusé de commenter en détail l’avenir de Max Verstappen, dont un éventuel départ vers Mercedes continue d’alimenter les spéculations.

L’écurie autrichienne traverse une saison 2025 délicate, marquée notamment par le départ de Christian Horner, écarté après plus de deux décennies à la tête de l’équipe. Laurent Mekies, venu de Racing Bulls, a été nommé pour lui succéder, héritant ainsi de la double fonction de directeur d’équipe et PDG.

Sur la piste, Red Bull peine à retrouver sa domination, rétrogradée au quatrième rang du classement constructeurs, tandis que Yuki Tsunoda peine à inscrire des points.

Marko a confirmé que Verstappen était informé en amont du licenciement de Horner, mais s’est gardé de tout commentaire sur les conséquences de cette décision sur l’avenir du triple champion du monde.

« Max en a certainement été informé, mais je ne souhaite pas m’exprimer davantage à ce sujet », a déclaré Marko à OE24.
Bien que Wolff ait confirmé que des discussions avaient eu lieu avec le Néerlandais, Red Bull et le camp Verstappen restent discrets sur le sujet. « Max peut rencontrer qui il veut », a insisté Marko.

Marko a souligné que son pilote vedette était sous contrat jusqu’à la fin de 2028 et que l’équipe partait du principe que le pilote de 27 ans resterait.

« Nous avons un contrat qui est toujours valable jusqu’en 2028, et nous partons du principe que Max restera avec nous pendant cette période », a ajouté Marko.

Stats – Combien de victoires comptent les meilleurs pilotes F1 en activité ?

Le top 10 des pilotes les plus victorieux en Grand Prix dans l’Histoire de la Formule est composé de 3 pilotes en activité. Pour figurer dans ce top 10, il faut avoir cumulé 25 succès en GP, signifiant que l’on appartient à la catégorie de champions tels que Jim Clark ou encore Jackie Stewart. 

Avec ses 105 succès en GP, Lewis Hamilton demeure le détenteur incontesté du plus grand palmarès de l’Histoire de la F1 à ce jour. Le Britannique rêve cependant de signer un 106e succès, qui serait le premier signé avec Ferrari, l’écurie de légende qu’il a rejointe en début de cette saison 2025. Derrière le Britannique, Michael Schumacher demeure avec ses 91 succès encore intouchable de la majorité de ceux qui prendront un jour le volant d’une F1. Mais Max Verstappen peut rêver de s’approcher du palmarès de celui-ci : avec 65 succès en GP, le Hollandais de l’équipe Red Bull a certes du mal à étoffer son palmarès cette saison face aux redoutables McLaren, mais il dispose toujours du troisième plus grand palmarès de l’Histoire de la F1 avant même d’avoir approché de son trentième anniversaire.

Bloqué à 32 succès et deux titres de champion du monde depuis des années, Fernando Alonso espère que le retour d’une nouvelle réglementation en 2026 permettra de rebattre les cartes pour Aston Martin et lui permettre de faire bouger son compteur personnel et s’approcher d’Ayrton Senna. 

Encore en activitémais en tant que réserviste, Valtteri Bottas compte 10 succès et en compte ainsi deux de plus que Charles Leclerc et Lando Norris, tous deux à 8. Le Britannique a signé à Silverstone son succès le plus savoureux, devant son public, en venant à bout de la météo et de son équipier Oscar Piastri, qui se taille un joli palmarès et compte 7 succès à ce jour. Nul doute que le duo McLaren devrait avoir atteint ou surpassé le total de 10 victoires d’ici la fin de la saison. 

 

Lewis Hamilton

105

Michael Schumacher

91

Max Verstappen

65

Sebastian Vettel

53

Alain Prost

51

Ayrton Senna

41

Fernando Alonso

32

Nigel Mansell

31

Jackie Stewart

27

Jim Clark

25

Niki Lauda

25

Juan Manuel Fangio

24

Nico Rosberg

23

Nelson Piquet

23

Damon Hill

22

Kimi Raikkonen

21

Mika Hakkinen

20

Stirling Moss

16

Jenson Button

15

Jack Brabham

14

Emerson Fittipaldi

14

Graham Hill

14

David Coulthard

13

Alberto Ascari

13

Mario Andretti

12

Alan Jones

12

Carlos Reuteman

12

Felipe Massa

11

Rubens Barrichello

11

Jacques Villeneuve

11

Gerhard Berger

10

James Hunt

10

Ronnie Peterson

10

Jody Scheckter

10

Valtteri Bottas

10

Mark Webber

9

Lando Norris

8

Charles Leclerc

8

Denny Hulme

8

Jacky Ickx

8

Oscar Piastri

7

Daniel Ricciardo

7

Juan Pablo Montoya

7

Rene Arnoux

7

Sergio Perez

6

Ralf Schumacher

6

Tony Brooks

6

Jacques Lafitte

6

Riccardo Patrese

6

Jochen Rindt

6

John Surtees

6

Gilles Villeneuve

6

Michele Alboreto

5

Giuseppe Farina

5

Clay Regazzoni

5

Keke Rosberg

5

John Watson

5

Renault dévisse en bourse après un avertissement financier et le départ de Luca de Meo

Renault traverse une zone de turbulences financières. Le constructeur automobile français a émis un avertissement sur ses résultats, faisant état d’un flux de trésorerie disponible (FCF) de seulement 47 millions d’euros — un chiffre bien en deçà des 645 millions attendus par les analystes, selon Reuters. Cette annonce intervient peu après la démission de Luca de Meo, son PDG depuis cinq ans, officialisée en juin.

Conséquence immédiate : l’action Renault (RENA.PA) a chuté de 18 %, tombant à 33,8 euros. À 11h30 BST ce jeudi 17 juillet, le titre s’échangeait à 33,63 euros, contre 35,92 à l’ouverture, et bien en dessous des 40,79 euros observés une semaine plus tôt.

La direction du groupe est désormais assurée par Duncan Minto, directeur financier, désigné PDG par intérim. Renault a attribué ses résultats décevants à des ventes inférieures aux prévisions, malgré une relative protection contre les droits de douane américains.

Par ailleurs, sur le plan sportif, la marque conserve son engagement en Formule 1 via l’écurie Alpine, qu’elle a repositionnée en 2021 pour promouvoir sa gamme sportive. Des changements majeurs sont à venir pour l’équipe : à partir de 2026, Alpine abandonnera la fabrication de ses propres moteurs à Viry-Châtillon et deviendra cliente de Mercedes, rompant ainsi avec son statut d’écurie d’usine.

Combien de courses reste-t-il au calendrier MotoGP cette saison ?

Le MotoGP a installé son paddock ce week-end en République Tchèque, sur le fameux long circuit de Brno, connu pour son caractère extrêmement physique pour les pilotes en raison de sa nature sinueuse. Ensuite viendra la trêve estivale du championnat, dont on sait déjà quoi qu’il en soit qu’il sera dominé mathématiquement par le pilote Ducati officiel Marc Marquez. 

Après la pause estivale bien méritée, les pilotes auront encore 10 épreuves au menu, avec une rentrée sur le GP d’Autriche, sur le tracé du Red Bull Ring, le week-end du 20 juillet, puis trois autres déplacements en Europe sur la fin de l’été, sur le Hungaroring, le Circuit de Catalogne, à Barcelone, et enfin à Saint Marin. 

Une longue campagne extra-européenne débutera ensuite fin septembre, avec comme premier rendez-vous le GP du Japon, suivi du GP d’Indonésie, terre de deux roues par excellence, puis l’emblématique manche australienne de Phillip Island. Pour les trois derniers GPs de la saison, lors desquels la lutte pour le titre pourrait être déjà bien réduite tant la domination de Marc Marquez se fait sentir cette année, le MotoGP se rendra sur le beau circuit de Sepang, en Malaisie, avant de revenir en Europe au Portugal et à Valence, où se dérouleront aussi dans la foulée les tests de préparation à la saison MotoGP 2026.

Le calendrier MotoGP 2026 restant à disputer : 

20 juillet
République Tchèque
 
17 août
Autriche
 
24 août
Hongrie
 
07 septembre
Catalogne
 
14 septembre
Saint-Marin
 
28 septembre
Japon
 
05 octobre
Indonésie
 
19 octobre
Australie
 
26 octobre
Malaisie
 
09 novembre
Portugal
 
16 novembre
Valence
 

Pierre Gasly écarte les rumeurs Bottas chez Alpine et défend son bilan

Pierre Gasly a balayé les rumeurs annonçant une possible arrivée de Valtteri Bottas chez Alpine en cours de saison, évoquant « beaucoup de bruit » sans fondement. L’écurie française traverse une campagne 2025 difficile, plombée des résultats décevants.

Actuellement lanterne rouge au classement des constructeurs, Alpine doit ses seuls points à Gasly, auteur de 100 % du total de l’équipe. En revanche, Jack Doohan et Franco Colapinto, alignés tour à tour dans le second baquet, peinent à convaincre.

Ce contexte a alimenté des spéculations autour d’un éventuel recrutement de Bottas, aujourd’hui pilote de réserve chez Mercedes, pour apporter un « point de référence ». Gasly, interrogé sur cette hypothèse, a réaffirmé sa confiance en ses propres performances et minimisé la rumeur.

« Je ne pense pas que ce soit le cas », a déclaré Gasly. « Je pense que c’est beaucoup de bruit. Je pense que la voiture, je montre chaque week-end ce qu’on peut faire avec, en faisant un très bon travail le samedi et en la plaçant à des endroits où, sur le papier, on est tous d’accord pour dire qu’on ne devrait pas vraiment être. »

« C’est juste délicat, c’est un milieu de peloton très serré et on est à l’arrière. Il y aura toujours du bruit, surtout compte tenu de ce qui s’est passé en début d’année, mais je pense qu’au final, nous devons simplement nous concentrer sur le travail qui nous attend. La saison va être longue. Nous n’avons pas de mises à jour, la voiture n’est pas au mieux, mais nous devons tous nous concentrer sur ce que nous avons à faire et essayer de le faire du mieux possible. »

Stats F1 – Hülkenberg tient son podium, mais qui domine le classement historique ?

Le premier et unique podium de Nico Hülkenberg, signé par l’Allemand à l’occasion du Grand Prix de Grande-Bretagne, aura beaucoup fait parler et réuni de nombreux fans autour d’un consensus concernant le fait que cette récompense était bien méritée pour le pilote Sauber. 

Salué par de nombreux pilotes de la grille et d’observateurs du monde de la F1, Hülkenberg, qui avait été consacré par une victoire aux 24 Heures du Mans la dernière fois qu’il avait sabré le champagne sur un podium, tient enfin sa reconnaissance symbolique en F1. 

Profitons de l’occasion pour nous intéresser aux statistiques du nombre de podiums signés par les pilotes les plus récompensés dans l’Histoire de la F1. 

Le record de podiums est à ce jour détenu par Lewis Hamilton, qui en compte 201, et aurait certainement particulièrement aimé ajouter la troisième place de Nico Hülkenberg à son tableau de célébrations à Silverstone, le tracé anglais étant particulier pour lui et ses fans, qu’il espère un jour pouvoir saluer en rouge depuis la boite. Parmi les autres pilotes en activité, Max Verstappen dispose du quatrième plus grand palmarès de l’Histoire de la F1, avec 117 réalisations, à cinq longueurs de Sebastien Vettel, qui a lui-même constitué l’essentiel du sien avec Red Bull Racing. 

Par ailleurs, un podium supplémentaire en carrière permettrait à Fernando Alonso de surpasser Alain Prost et ses 106 podiums. A noter également qu’à son rythme actuel, Lando Norris devrait surpasser de nombreux pilotes d’ici le terme de la saison, pouvant notamment se mettre au niveau de Jackie Stewart, Damon Hill, Mark Webber, Felipe Massa, Sergio Perez ou encore Riccardo Patrese.

Nombre de podiums par pilote dans l’Histoire de la F1

(statistiques arrêtées après le GP de Grande-Bretagne 2025)

Lewis Hamilton

201

Michael Schumacher

155

Sebastian Vettel

122

Max Verstappen

117

Alain Prost

106

Fernando Alonso

106

Kimi Raikkonen

103

Ayrton Senna

80

Rubens Barrichello

68

Valtteri Bottas

67

David Coulthard

62

Nelson Piquet

60

Nigel Mansell

59

Nico Rosberg

57

Niki Lauda

54

Mika Hakkinen

51

Jenson Button

50

Gerhard Berger

48

Charles Leclerc

47

Carlos Reuteman

45

Jackie Stewart

43

Damon Hill

42

Mark Webber

42

Felipe Massa

41

Sergio Perez

39

Riccardo Patrese

37

Lando Norris

36

Graham Hill

36

Juan Manuel Fangio

35

Emerson Fittipaldi

35

Denny Hulme

33

Jody Scheckter

33

Daniel Ricciardo

32

Jim Clark

32

Jacques Lafitte

32

Jean Alesi

32

Jack Brabham

31

Juan Pablo Montoya

30

Clay Regazzoni

28

Carlos Sainz

27

Bruce McLaren

27

Ralf Schumacher

27

Ronnie Peterson

26

Eddie Irvine

26

Jacky Ickx

25

Stirling Moss

24

John Surtees

24

Alan Jones

24

James Hunt

23

Michele Alboreto

23

Jacques Villeneuve

23

Rene Arnoux

22

Oscar Piastri

20

George Russell

20

Giuseppe Farina

20

John Watson

20