Revivez la dernière victoire de Raikkonen avec Ferrari ce samedi

La F1 va rediffuser le Grand Prix des Etats-Unis 2018 remporté par le Finlandais Kimi Raikkonen au volant d’une Ferrari ce samedi 9 mai.

Au terme de ce Grand Prix des Etats-Unis 2018, le Finlandais Kimi Raikkonen signera son 21e succès en Formule 1 au volant de sa Ferrrari.

Raikkonen aura dû attendre 114 Grands Prix depuis sa dernière victoire à l’ouverture de la saison 2013 en Australie sur Lotus-Renault, ainsi que 179 courses au volant d’une Ferrari (son dernier succès en rouge remontant au Grand Prix de Belgique 2009) pour gagner à nouveau, quelques jours après avoir fêté ses 39 ans.

Le pilote finlandais doit cette victoire à un excellent départ en pneumatiques Ultra-Tendres qui lui permettra de dépasser le pilote Mercedes dès le premier virage.

Kimi Raikkonen pourra ensuite profiter d’une excellente stratégie de la part de son équipe en course, alors que cette ultime victoire avec la Scuderia Ferrari empêchera Lewis Hamilton d’être titré à Austin cette année-là.

A la fin de cette saison 2018, Kimi Raikkonen quittera la Scuderia Ferrari pour rejoindre l’équipe Alfa Romeo Racing et laisser sa place au jeune Charles Leclerc.

Comment suivre le GP des Etats-Unis 2018 ?

La course sera rediffusée ce samedi 9 mai à 16h00 (heure de Paris) sur les différents canaux de communication de la F1 : YouTube, Facebook et F1.com.

La F1 pourrait terminer sa saison 2020 en janvier 2021

La F1 n’écarte absolument pas l’idée de terminer la saison 2020 au mois de janvier 2021 si cela est nécéssaire.

La F1 est toujours en train d’élaborer un nouveau calendrier 2020 et espère pouvoir débuter au mois de juillet avec le Grand Prix d’Autriche sur le circuit Red Bull Ring.

Mais avec déjà dix courses annulées ou reportées et un début de saison programmé cinq mois après les essais hivernaux 2020, la catégorie reine s’attend à enchaîner les courses jusqu’à la fin de l’année afin d’en disputer entre 15 et 18.

Ce nouveau calendrier ultra concentré obligera certainement la F1 à terminer la saison plus tard que la date d’origine (29 novembre à Abou Dhabi) et bien que l’objectif soit de terminer la saison 2020 en décembre, l’idée de prolonger en janvier 2021 si besoin n’est pas écartée.

« Je pense qu’en ce moment, notre plan cible actuel nous permet de terminer plus tard en décembre par rapport au plan d’origine. » explique Chase Carey, le PDG de la F1.

« Mais nous évaluons et envisageons de terminer en janvier [2021]. C’est une option, nous pourrions le faire, nous pouvons le faire. »

« Je pense que si nous le pouvons, nous aimerions terminer au mois de décembre. Nous devrons évidemment faire une pause assez longue assez longue pendant les vacances de noël, parce que vous ne pouvez pas courir durant les semaines de vacances. »

« Mais cela reste une option [terminer la saison 2020 en janvier 2021]. Nous allons devoir travailler avec nos promoteurs et avec toutes les parties concernées pour y arriver, mais c’est quelque chose à considérer. »

« Je dirais que notre objectif principal est de terminer seulement quelques semaines plus tard que notre date d’origine, terminer à la mi-décembre avant les vacances. »

Le gouvernement britannique refuse un prêt à McLaren

Le gouvernement britannique a rejeté une demande de prêt de 150 millions de livres sterling au groupe McLaren dont fait partie l’équipe de F1.

Selon nos confrères de Sky News, le groupe McLaren a vu sa demande de prêt rejetée cette semaine et en a été informé par le ministère de l’économie, de l’énergie et de la stratégie industrielle.

Le groupe McLaren a subi de lourdes pertes durant cette crise du coronavirus, les ventes de voitures ayant considérablement diminué depuis le mois de mars ce qui, avec la fermeture de certaines usines et entreprises, a fait chuter les revenus chez de nombreux constructeurs.

Outre les pertes de revenus liées aux ventes de voitures, McLaren a également fermé l’usine de son équipe de Formule 1 pendant la crise et a dû placer au chômage partiel une grande partie de ses employés.

Comme toute autre entreprise, le groupe McLaren a donc demandé un prêt de 150 millions de livres sterling, mais ce prêt a été refusé selon Sky News.

Un porte parole de l’équipe britannique a expliqué à nos confrères que la demande de McLaren n’avait rien d’étrange dans une situation très spéciale en raison de la crise actuelle, mais cet employé n’a pas voulu rentrer dans les détails.

« Comme de nombreuses autres entreprises britanniques, nous avons été gravement touchés par la pandémie actuelle. » a déclaré un porte parole de l’équipe McLaren.

« Nous poursuivons donc un dialogue continu avec nos banques, nos investisseurs et le gouvernement pour nous aider à surmonter les interruptions d’activité à court terme. »

Rappelons que les deux pilotes de l’équipe McLaren ont accepté de réduire leur salaire de 30%, tout comme leurs dirigeants.

Monza confirme la date du GP F1 d’Italie 2020

Le circuit de Monza a confirmé ce jeudi la date du Grand Prix F1 d’Italie qui se déroulera sur le tracé italien au mois de septembre.

Petit à petit, les inconnues entourant le nouveau calendrier de la saison 2020 de F1 que les dirigeants sont en train d’élaborer sont progressivement levées.

Ce jeudi, le circuit de Monza a confirmé la date du Grand Prix d’Italie 2020 qui se disputera du 4 au 6 septembre comme initialement prévu dans le calendrier originel de la F1 avant que la crise du coronavirus ne vienne perturber tous les plans de la discipline.

Autre information intéressante, les billets pour assister au Grand Prix d’Italie 2020 sont toujours en vente sur la billetterie en ligne, ce qui voudrait dire que la course pourrait être disputée avec du public dans les tribunes. Toutefois, cette information reste à confirmer.

Rappelons également que le Grand Prix d’Italie 2020 devrait être l’ultime course en Europe, avant que la F1 ne parte vers l’Asie et l’Eurasie, puis les Amériques et enfin les pays du Golfe.

La F1 confirme son souhait d’organiser deux courses en Autriche

Le PDG de la F1, Chase Carey, a confirmé que le sport visait deux courses consécutives sur le circuit Red Bull Ring en Autriche pour débuter la saison 2020.

La Formule 1 travaille actuellement dur pour reconstruire un calendrier 2020 suite à l’annulation ou au report des dix premières courses de la saison.

L’idée d’organiser des doubles Grands Prix sur un même site a émergé comme une solution viable pour le sport et lui permettre de débuter enfin sa saison en enchaînant les courses et en éliminant les problèmes liés à la logistique.

Chase Carey, le PDG de la F1, a confirmé une nouvelle fois ce jeudi que l’idée était bien de débuter la saison 2020 en Autriche et d’organiser deux courses consécutives sur le Red Bull Ring (la première le 5 juillet et la seconde une semaine plus tard).

« Notre objectif est de lancer la saison le week-end des 4 et 5 juillet en Autriche. Il est probable que nous courions également le week-end des 11 et 12 juillet en Autriche. » a déclaré Carey.

« Nous en sommes dans les étapes avancées de l’élaboration d’un calendrier de courses européennes supplémentaires jusqu’au début septembre, y compris des courses pendant la pause traditionnelle d’août. »

« Nous nous attendons à ce que la première partie du calendrier soit composée de courses sans fans mais nous espérons pouvoir permettre aux fans d’assister aux courses à la fin de l’année. »

« Nous travaillons avec la FIA, les autorités locales et d’autres experts pour identifier les étapes et les procédures nécessaires pour transporter tout le monde en toute sécurité sur chaque site de course et pour permettre à ces personnes de fonctionner et d’être logées de manière sûre et sécurisée. »

« Nous nous sentons de plus en plus positifs quant au nombre d’emplacements qui pourront et voudront organiser des courses cette année. »

Chase Carey a également confirmé que la F1 était aussi entrée en contact avec des circuits ne faisant pas partie du calendrier 2020 originel afin de « n’écarter aucune option. »

Chandhok mettrait Sainz chez Ferrari : « Ricciardo a déjà eu sa chance »

Le pilote de F1 Karun Chandhok pense que Carlos Sainz mériterait plus que Daniel Ricciardo de rejoindre une grande équipe.

Alors que le contrat de Sebastian Vettel arrive à son terme à la fin de cette saison avec Ferrari, plusieurs rumeurs suggèrent que Daniel Ricciardo pourrait rejoindre l’équipe de Maranello l’an prochain (son contrat avec Renault arrive à son terme fin 2020).

Mais pour Karun Chandhok, le pilote australien a déjà eu l’opportunité de rouler pour un top team dans sa carrière (Red Bull Racing), alors que des jeunes pilotes comme Carlos Sainz n’ont pas encore eu cette opportunité.

« Je pense qu’il y a une différence entre Ricciardo et Sainz. Daniel a déjà eu une opportunité avec une équipe de haut niveau, alors que Carlos ne l’a pas encore eu. » estime Karun Chandhok sur Sky Sports.

« Je voudrais voir Carlos avoir cette opportunité, parce que je pense qu’il a été excellent chez McLaren, il a pris un virage. »

Chandhok pense que si la Scuderia Ferrari renouvelle Sebastian Vettel pour 2021, l’écurie italienne pourrait proposer un contrat d’une année à l’Allemand, avant de proposer le baquet à Carlos Sainz en 2022.

« Si vous me demandiez de parier là-dessus, je dirais qu’ils garderaient Seb [Vettel] pour 2021 juste à cause de tout ce qui se passe [crise sanitaire], et alors je pourrais les voir poursuivre avec Carlos en 2022. »

En ce qui concerne Sebastian Vettel justement, Chandhok pense que le pilote allemand devra certainement accepter une baisse de salaire pour espérer rester avec Ferrari l’an prochain.

« Je ne serais pas surpris s’il devait accepter une grosse baisse de salaire. Ferrari a maintenant Leclerc, qui est une future star, et ils n’ont pas vraiment besoin de payer Sebastian autant qu’auparavant. »

La F1 confirme des discussions avec des circuits ne faisant pas partie du calendrier

Le PDG de la Formule 1, Chase Carey, a confirmé que des discussions avaient eu lieu avec des circuits ne figurant pas au calendrier officiel de la F1.

La Formule 1 prévoyait un calendrier record de 22 manches pour 2020, mais celui-ci a maintenant été fortement perturbé par la pandémie de coronavirus en cours.

La catégorie reine du sport automobile travaille désormais sur l’élaboration d’un calendrier composé entre 15 et 18 courses pour un début de saison 2020 souhaité à partir du mois de juillet.

Lors d’une conférence téléphonique pour discuter des revenus de Liberty Media au premier trimestre 2020 (qui ont chuté de façon spectaculaire), Chase Carey a également indiqué que la possibilité de ne pas débuter la saison 2020 avait été évoquée.

En outre, l’Américain a également confirmé que la Formule 1 avait pris contact avec plusieurs tracés ne faisant pas partie du calendrier pour « n’écarter aucune option », mais Carey n’est pas entré dans les détails (peut-être la Malaisie, le Portugal, Hockenheim,..).

« Nous travaillons sans relâche depuis l’Australie et nous sommes activement engagés avec nos promoteurs dans l’élaboration d’un calendrier de course potentiel pour 2020. » a indiqué Chase Carey, le PDG de la F1.

« Nous avons deux principaux défis: identifier les endroits où nous pouvons organiser une course et déterminer comment nous pouvons transporter toutes les personnes nécessaires et leur équipement à cet endroit pour une course. »

« Nous sommes en discussion avec tous nos promoteurs ainsi que certaines pistes qui ne figurent pas actuellement sur notre calendrier 2020 pour nous assurer que nous explorons toutes les options. »

Chase Carey a également ajouté qu’il espérait que les fans pourraient « assister à des courses dans la dernière partie de l’année. »

Les revenus de la F1 en chute libre

Les revenus de la F1 ont chuté de 84% au premier trimestre de l’année 2020 en raison de la pandémie de coronavirus qui impacte directement le sport.

Les revenus de la F1 ont chuté de 84% au premier trimestre de l’année par rapport à 2019 – passant de 246 millions de dollars en 2019 à 39 millions de dollars en 2020.

La propagation mondiale de Covid-19 a incité la plupart des agences gouvernementales locales, étatiques et fédérales, au niveau national et international, à imposer des restrictions de voyage et des quarantaines locales ou à rester à la maison pour limiter la propagation.

En conséquence, les opérations commerciales de la Formule 1 ont été en grande partie, sinon complètement, suspendues. Bien qu’il soit prévu que ces restrictions soient finalement assouplies ou levées, le calendrier est incertain et pourrait changer compte tenu de l’évolution des circonstances.

Au premier trimestre, le Groupe Formula One a engagé environ 12 millions de dollars de frais  généraux et administratifs au niveau de l’entreprise. Les revenus principaux de la F1 quant à eux comprennent les frais de promotion des courses, les frais de diffusion et les frais de publicité et de parrainage. En raison de l’épidémie de Covid-19, aucune course de F1 n’a eu lieu au premier trimestre de 2020.

La F1 prévoit actuellement que les courses commenceront en juillet et se poursuivront jusqu’en décembre avec un calendrier cible de 15 à 18 courses. On ignore cependant à quel moment les fans seront autorisés à y assister.

Étant donné qu’aucun événement n’a eu lieu au cours du premier trimestre de 2020, les revenus principaux de la F1 ne comprenaient que les éléments des contrats de parrainage associés à des droits non liés à la course qui ont été reversés au cours de la période, et aucun frais de promotion de la course ni frais de diffusion n’ont été reversés.

De même, les autres revenus de la F1 ont diminué en raison du chiffre d’affaires nul constaté du Paddock Club et des autres activités événementielles et des activités de production télévisuelle.

« Nous sommes reconnaissants à la FIA, aux équipes, aux promoteurs, à nos employés et à d’autres partenaires clés pour leur soutien et leurs efforts pendant cette période difficile. » a déclaré Chase Carey, PDG de la F1.

« Nous allons de l’avant avec nos plans pour 2020, tout en travaillant à renforcer l’avenir à long terme de la Formule 1 grâce à de nouvelles réglementations techniques, sportives et financières qui amélioreront encore la compétition et l’action sur la piste et en feront une entreprise plus saine pour toutes les parties concernées. »

Notez que les résultats financiers de la F1 devraient être similaires pour le prochain trimestre, puisque aucune course n’est programmée au calendrier.

Renault F1 met en garde sur une soudaine augmentation des coûts dès la reprise

Cyril Abiteboul met en garde sur une soudaine augmentation des coûts en F1 à partir du moment où les équipes vont reprendre leurs activités.

Depuis le début de la crise du coronavirus, toutes les équipes de F1 observent une trêve obligatoire imposée par la Formule 1 afin de réduire les coûts au maximum en cette période économiquement difficile.

Plusieurs écuries de la grille ont placé une partie de leur personnel au chômage partiel (c’est le cas de Renault F1), alors que les usines sont fermées au moins jusqu’à la fin du mois de mai.

Ces mesures permettent aux écuries de réduire les coûts pendant cette période d’inactivité forcée, mais le patron de l’équipe Renault met en garde sur une nette augmentation de ces coûts lorsque l’activité reprendra, ce qui pourrait être une période encore plus difficile pour certaines équipes de la grille.

« Quand viendra le temps de sortir de la trêve et de redémarrer l’activité, les coûts vont grimper. » prévient Cyril Abiteboul, directeur général de Renault Sport Racing au site de la F1.

« Nous allons devoir ré-embaucher des personnes et cela pourrait se produire à un moment où les revenus ne progressent pas de la même manière, ce qui pourrait être une période plus difficile que celle que nous avons eue jusqu’à présent. »

« Il y aura un certain nombre de coûts et de charges associés à la sortie de la trêve et à la production de toutes les pièces. »

« Cela pourrait être plus difficile pour certaines équipes par rapport à d’autres. Les équipes indépendantes pourraient avoir plus de difficultés avec leur flux de trésorerie. »

« C’est pourquoi il est si important que lorsque nous décidons de revenir et de reprendre nos activités, nous ne le faisons pas pour une seule course, nous devons le faire pour faire en sorte de sauver la saison. »

La F1 ne veut perdre aucune équipe en cours de route pendant la crise

Ross Brawn, le manager sportif de la F1, assure qu’il ne veut perdre aucune équipe en cours de route en pleine crise de coronavirus.

Depuis le début de la pandémie de coronavirus, la crise à laquelle nous devons tous faire face est avant tout sanitaire, mais elle est aussi économique et la F1 n’y échappe pas.

Sans aucune course depuis le début de l’année, les équipes de F1 ne perçoivent quasiment aucun revenu, ce qui a fragilisé encore un plus la situation financière de certaines écuries du fond de grille comme Williams ou Haas.

Certaines équipes de la grille ont déjà reçu des paiements anticipés de la part de la F1 en ce début d’année, mais Ross Brawn insiste sur le fait qu’il souhaite qu’aucune équipe ne disparaisse durant cette crise.

« Nous avons 10 très bonnes équipes en Formule 1 et nous voulons que cela continue. » a déclaré Ross Brawn à Sky Sports.

« Nous allons juger à quel niveau nous devrons les soutenir financièrement au cours des six ou douze prochains mois. Si nous perdons des équipes pendant cette période, ce sera une tragédie. »

« Nous travaillons très dur pour trouver une solution juste et équitable entre les différentes équipes. Je pense que Liberty [media] a montré ses forces et a créé un fonds et l’a rendu disponible. Nous devons voir maintenant comment les choses évoluent. »

« Nous devons regarder à quoi ressemble le calendrier, regarder à quoi vont ressembler les revenus pour le reste de la saison, puis nous asseoir avec les équipes et nous assurer que nous poursuivrons tous ce voyage, parce que le futur a l’air beau. »

Vers des jours meilleurs !


Le futur dont parle Ross Brawn avec un certain optimisme est celui où les nouvelles réglementations seront introduites en F1 (2022) et où le plafond budgétaire sera limité à 135 millions de dollars par an (2021).

Ross Brawn fait également allusion aux accords Concorde qui doivent être signés entre les différentes parties et qui devraient être définitivement plus équitables qu’actuellement.

« Il y aura un « cash prize » beaucoup plus équitable dans le nouvel accord. Les équipes de milieu de peloton en particulier seront mieux loties en termes de « Prize Money ». »

« Donc, il [l’accord Concorde] sera mieux équilibré dans tous les sens. Nous allons réduire le montant qui peut être dépensé en Formule 1 et nous allons améliorer la répartition des revenus de façon plus équitable entre les équipes. »

Spa-Francorchamps reste attentif à la prochaine communication du CNS

Le circuit de Spa-Francorchamps restera attentif à la prochaine communication du CNS (Conseil National de Sécurité), qui pourrait autoriser la tenue du GP de F1 en Belgique.

Ce mercredi 6 mai, le Conseil National de Sécurité belge a pris diverses décisions concernant l’assouplissement du confinement sur le territoire belge dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19.  

Il a, dans ce cadre, annoncé l’interdiction de la tenue de toute compétition sportive jusqu’au 31 juillet inclus. Aucune course ne pourra dès lors se tenir sur le Circuit de Spa-Francorchamps jusqu’à cette date.

Le circuit belge attend donc désormais la prochaine communication du CNS pour savoir s’il pourra ou pas organiser le Grand Prix de Formule 1 initialement prévu le 30 août à Spa.

« Le Circuit de Spa-Francorchamps reste attentif à la prochaine communication du Conseil National de Sécurité concernant ses autres activités (événements sportifs) en piste qui sera étudiée dans le cadre de la phase 2 prévue le 18 mai mais également pour ses compétitions sportives après le 31 juillet. «  indique le circuit belge dans un communiqué de presse.

« Nous tenons à remercier chaleureusement tous nos organisateurs, les teams et nos fans pour leur compréhension et leur soutien. »

« La priorité est et doit rester, pour chacun d’entre nous, de respecter les consignes édictées et ce, dans l’intérêt de toutes et tous. »

« Soyez prudents, respectez les recommandations officielles, évitez les contacts inutiles. Prenez également bien soin de vos proches. »

Jeu F1 2020 : Codemasters dévoile un nouveau trailer onboard

Codemasters a dévoilé ce jeudi un nouveau trailer de son jeu F1 2020, il s’agit d’un onboard sur le circuit de Barcelone en Espagne.

Après un premier trailer onboard dévoilé la semaine dernière sur le tracé de Zandvoort aux Pays-Bas, Codemasters dévoile aujourd’hui le circuit de Catalunya en Espagne.

C’est à bord de la McLaren pilotée par l’Espagnol Carlos Sainz que vous pourrez découvrir le tracé catalan composé de seize virages pour une distance totale de 4,655 km.

Ceux qui ont peut-être déjà piloté sur cette piste dans les jeux précédents remarqueront les changements subtils de l’élévation entre les virages 13 et 14, avec un soin particulier apporté sur le secteur final du tour.

Cette année, la F1 célèbre son 70e anniversaire. Le jeu vidéo F1 2020 sera donc disponible pour le système de divertissement informatique PlayStation 4, Xbox One, y compris la Xbox One X, Windows PC (DVD et via Steam) et, pour la première fois , Google Stadia.

Pour cette édition, Codemasters sortira son jeu le 10 juillet 2020 avec notamment un nouveau mode de jeu intitulé « My team » qui vous permettra de prendre place sur la grille aux côtés de vos pilotes préférés dans votre propre monoplace.

Un tour onboard à Barcelone sur F1 2020

La liste des pilotes pour le GP d’Espagne virtuel de ce dimanche

Voici la liste des pilotes qui seront présents ce dimanche 10 mai au départ du Grand Prix virtuel d’Espagne organisé par la F1.

Outre des pilotes de F1 de la grille actuelle, de nombreuses stars du ballon rond seront également présentes ce dimanche pour le GP virtuel d’Espagne.

Les footballeurs Thibaut Courtois, Arthur Melo ou encore Sergio Aguero viendront se frotter aux pilotes professionnels sur la piste de Catalunya pour une course de Formule 1 virtuelle ce dimanche sur le jeu officiel F1 2019 de Codemasters.

Arthur Melo du FC Barcelone rejoint le pilote d’essais Pietro Fittipaldi pour représenter l’équipe Haas F1, tandis que le gardien du Real Madrid Thibaut Courtois revient pour son deuxième Grand Prix Virtuel, cette fois au volant d’une Alfa Romeo aux côtés d’Antonio Giovinazzi.

La semaine dernière pour le Grand Prix des Pays-Bas (disputé sur le circuit d’Interlagos au Brésil), c’est le pilote Red Bull Alex Albon qui s’est imposé, après une bataille incroyable pour la victoire avec le pilote Ferrari Charles Leclerc.

Comment suivre le GP virtuel d’Espagne ?

Pour suivre en direct le GP virtuel d’Espagne ce dimanche, rendez-vous sur les différents canaux de communication de la F1 : Youtube, Facebook, Twitch, Weibo ou encore F1.com.

Le départ de la course sera donné ce dimanche 10 mai à 19h00 (heure de Paris) et la diffusion devrait durer environ 1h30.

La liste des pilotes pour le GP d’Espagne virtuel

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Coronavirus : Williams ne fera prendre aucun risque à ses employés

La patronne de l’équipe Williams assure que la santé et la sécurité de ses employés passera toujours avant son équipe de F1.

La F1 souhaite toujours débuter sa saison 2020 en Autriche au mois de juillet avec deux courses à huis clos et bien que Williams a répété qu’il était essentiel pour la survie de l’équipe de reprendre la compétition, elle a également dit qu’elle ne renverrait pas son personnel sur les pistes de course – ou à l’usine – si ce n’était pas sûr.

« C’est effrayant de savoir que vous pourriez perdre, pas seulement une ou deux équipes, mais énormément d’équipes si vous ne retournez pas courir, parce que le modèle financier que nous avons dans notre sport est fait de telle manière que nous dépendons tous de l’argent que nous recevons en fonction des résultats au championnat des constructeurs. » explique Claire Williams au micro de Sky Sports.

« Mais vous devez évaluer la nécessité de reprendre la course afin d’assurer la survie de votre équipe par rapport à la réalité importante de garder votre personnel en sécurité. »

« Pour moi, au final, mes employés passeront toujours avant tout. J’espère que cela ne coûtera pas trop à notre équipe, mais la sécurité de nos employés, qu’il s’agisse de les envoyer à Grove (à l’usine) ou de les faire voyager, va être absolument primordiale. »

« Nous ne renverrons certainement pas les gens en course tant qu’il ne sera pas opportun de le faire. Je sais le travail qui est fait par la F1, ils consacrent énormément de temps et d’énergie pour voir ce qu’ils peuvent faire pour nous faire courir et le faire en toute sécurité. »

« Ils vont s’assurer qu’ils mettent en place tous les règlements possibles en matière de santé et de sécurité dont ils ont besoin et s’assurer que nous le faisons tous de la bonne manière avant de retourner sur la piste. »

Sebastian Vettel revient sur son plus beau moment chez Ferrari

Sebastian Vettel est revenu sur quelques-uns des moments les plus marquants de sa carrière, notamment sa première victoire en F1 en 2008.

Le pilote allemand a débuté sa carrière en F1 en 2008 avec la modeste écurie Toro Rosso et c’est justement cette année-là qu’il décrochera sa toute première victoire au Grand Prix d’Italie.

Invité à répondre à quelques questions concernant ses plus beaux souvenirs en F1, le pilote Ferrari n’a pas hésité longtemps pour évoquer cette première victoire à Monza devant les tifosi avec une équipe italienne.

« C’est arrivé il y a longtemps, mais c’était un sentiment très agréable, très spécial, une chose pour laquelle vous travaillez toute votre vie. » explique le quadruple champion du monde de F1.

« J’ai eu beaucoup de chance que cela se produise si tôt, déjà lors de ma première saison complète en F1. Alors oui, ce fut une belle sensation de gagner avec Toro Rosso à Monza dans des circonstances tout aussi spéciales. C’est définitivement quelque chose que je n’oublierai jamais. »

Son meilleur moment avec Ferrari ?

Lorsqu’on lui demande de revenir sur son plus beau moment passé avec la Scuderia Ferrari depuis son arrivée dans l’équipe en 2015, le pilote allemand est revenu sur sa première victoire en rouge au Grand Prix de Malaisie.

« Je pense que les premiers moments sont toujours ceux dont on se souvient le plus, donc je dirais la première victoire avec Ferrari en Malaisie il y a maintenant cinq ans. »

« C’était quelque chose de très beau et de splendide à savourer. Depuis lors, il y a eu d’autres victoires, mais évidemment, on en veut toujours plus ! »

Rappelons que le contrat de Sebastian Vettel avec Ferrari arrive à son terme à la fin de cette saison 2020. Pour l’instant, les deux parties sont toujours en pleine discussion.

Mika Salo : « La F1 ne jouera pas avec la santé des gens »

Mika Salo estime que la F1 ne prendra pas le risque de jouer avec la santé des personnes présentes dans le paddock.

La F1 souhaite toujours débuter sa saison 2020 en Autriche au mois de juillet (le 5 juillet) avec deux courses à huis clos sur le tracé Red Bull Ring.

Cependant, en pleine crise sanitaire, la catégorie reine du sport automobile va devoir présenter un plan d’action pour assurer la sécurité du personnel qui sera présent dans le paddock lors de cette manche d’ouverture en Autriche.

Mika Salo pour sa part fait totalement confiance à la F1 et estime que le sport fera tout pour assurer la sécurité des personnes en premier lieu, même si de grosses sommes d’argent et des milliers d’emplois sont en jeu.

« La santé est une priorité, c’est pourquoi nous ne parlons que de courses à huis clos. De plus, la difficulté de voyager va limiter la vie de chacun. » explique Salo au média finlandais MTV.

« Nous allons voir comment ils mettent en oeuvre leurs intentions, mais je ne pense pas qu’ils vont jouer avec la santé des gens. Ils prennent la pandémie très au sérieux. »

« Cependant, on parle évidemment de beaucoup d’argent et de milliers d’emplois. Il doit donc y avoir un plan. »

« J’ai hâte de voir comment ils vont faire, ils devront être créatifs d’une certaine manière, mais pour l’instant, vous ne pouvez voyager nulle part. J’espère juste qu’il y aura bientôt un vaccin. »

La raison pour laquelle la F1 souhaite débuter sa saison 2020 en Autriche est dû au fait que le pays a été l’un des premiers d’Europe à assouplir les restrictions mises en place à la suite de cette pandémie.

Comparé à d’autres pays, les chiffres en relation avec la pandémie sont relativement faibles en Autriche, cependant, Salo craint que l’arrivée de personnes en provenance de pays plus touchés comme l’Italie ou le Royaume-Uni puisse provoquer un rebond de l’épidémie.

« Si des milliers de personnes viennent de pays dont le nombre de personnes infectées est beaucoup plus élevé qu’en Autriche, le risque de contagion est beaucoup plus élevé. Même si tout le monde est testé avant d’entrer dans le pays. » estime Salo.

Rappelons que la F1 souhaite mettre en place « une bulle » en Autriche en testant toutes les personnes qui seront présentes dans le paddock avant leur arrivée, puis tous les deux jours une fois sur place.

Renault F1 s’attardera sur la légalité de la Racing Point « plus tard »

Cyril Abiteboul espère bien que la nouvelle réglementation en F1 entrera bien en vigueur à partir de la saison 2022.

Les nouvelles règles sportives et technique en F1 devaient être introduites en 2021, mais en raison de la crise actuelle, l’introduction de ces règles a été repoussée d’une année supplémentaire.

Le mois dernier, le patron de Racing Point, Otmar Szafnauer, a déclaré qu’il serait favorable à un nouveau report des nouvelles réglementations, mais le manager de la F1, Ross Brawn, a indiqué cette semaine qu’il n’y aurait plus de report de ces règles, ce qui convient parfaitement à Renault.

« Je suppose que Otmar a dit ça parce qu’il sait qu’il a une voiture très compétitive en ce moment et que s’il y a un changement de règles, il ne pourra faire ce qu’il a fait, c’est très clair. » explique Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing au site de la F1.

« C’est leur tactique depuis le premier jour pour prolonger ce cycle de règlements. Je ne suis pas d’accord, et pas seulement parce que cela vient de nos concurrents les plus directs. »

« Je ne suis pas d’accord parce que la F1 doit progresser et, parce que, quand tout le monde sortira de cette crise, autant d’un point de vue de la santé que de l’économie, il y aura une forte compétition entre tous les sports pour se relancer, afin de faire revenir les fans et les sponsors. »

« Nous ne devons jamais perdre de vue le fait que nous devons offrir un sport de compétition et une plate-forme attrayante pour les fans, les sponsors et les médias. »

« Et c’est précisément autour de cet objectif, que les nouveaux règlements ont été élaborés, c’est la première fois que nous développons un ensemble de règlements avec un tel objectif, et je veux vraiment que cela se produise. »

Quid de la légalité de la Racing Point ?

Cyril Abiteboul a déclaré que la question de la légalité de la Racing Point n’avait pas été soulevée lors de la réunion regroupant les principales parties prenantes de la F1, mais il y avait une discussion sur ce qui définit un constructeur, d’autant plus que de nombreuses équipes ont des partenariats comme celui de Racing Point et Mercedes.

« Les réunions ont été axées sur la survie à court terme et la durabilité à moyen et long terme du sport, ce qui est exactement ce qui doit se produire. »

« Il est important que nous évitons les sujets les plus controversés que nous avons eu pendant l’hiver. Je suis sûr que ces sujets reviendront, car ils sont directement liés au modèle commercial de la F1. »

« C’est toujours bien de s’entendre sur le niveau du plafond budgétaire, mais si vous pouvez mettre en commun vos ressources, mettre en commun vos activités de recherche et développement entre les équipes, cela signifie que les niveaux de plafond budgétaire dont nous parlons ne sont pas exactement ceux dont nous parlons. »

« Nous ne parlons pas directement de l’affaire Racing Point, nous parlons de ce que signifie être un constructeur et de ce que cela implique que d’être constructeur, c’est ce dont nous parlons et c’est un point intéressant. »

« Nous réfléchirons et parlerons de la légalité de la Racing Point plus tard. En disant cela, je ne fais aucune menace, je dis simplement que nous devons penser un peu plus stratégiquement dans les circonstances actuelles. »

McLaren ne devra pas tout miser sur le moteur Mercedes en 2021 selon Norris

Lando Norris estime que le moteur Mercedes qui équipera la McLaren à partir de la saison prochaine en F1 sera un sérieux atout, mais qu’il ne faudra pas tout miser dessus.

A partir de l’an prochain, McLaren sera de nouveau motorisée par Mercedes en F1, après un partenariat de trois années avec le constructeur Renault.

Lando Norris dit que le moteur Mercedes augmentera certainement les performances de McLaren la saison prochaine, mais le jeune Britannique insiste sur le fait que de nombreuses autres améliorations seront nécessaires pour que l’équipe basée à Woking puisse se battre pour des victoires en course.

« C’est quelque chose qu’il faut espérer. C’est sûr que nous pensons que ce sera un atout et quelque chose qui nous aidera à avancer, mais ce ne sera pas tout. » explique Lando Norris au sujet du moteur Mercedes.

« Il nous reste encore beaucoup de temps à trouver avec le châssis lui-même et nous ne devons pas juste compter sur le moteur. »

« Donc, c’est une aide et c’est un pas en avant, mais il y a beaucoup de choses en Formule 1, tellement de choses qui font partie de la fabrication d’une voiture de Formule 1 pour aller vite et ce n’est qu’une chose parmi des centaines de milliers. »

« C’est quelque chose que nous attendons avec impatience, quelque chose qui, selon nous, va certainement nous aider. »

« Nous devons sortir des sentiers battus cette saison et travailler aussi dur que possible pour le moment et l’attendre pour l’année prochaine avec impatience. »

Quid de la saison 3 de Drive To Survive sur Netflix ?

Y aura-t-il une saison 3 de la série Drive To Survive de Netflix ? C’est la question que les fans de F1 sont en droit de se poser en raison de la crise sanitaire.

Au mois de février 2020, Netflix a mis en ligne la saison 2 de Drive To Survive tournée lors de la saison 2019 de F1. Après la saison 1 sortie en mars 2019 et axée sur la saison 2018, la deuxième saison de Drive to Survive donnait aux fans un aperçu approfondi de la saison 2019.

La principale nouveauté pour la saison 2 a été la participation des équipes Mercedes et Ferrari, qui étaient les seules à ne pas avoir ouvert leurs portes aux caméras lors de la saison 1 en 2018 en raison de la lutte au championnat du monde.

Mais alors que de plus en plus de fans ont déjà terminé la saison 2 et ses dix épisodes d’une trentaine de minutes chacun, des questions concernant les saisons futures de Drive to Survive sont posées.

Le tournage a bien débuté à Barcelone

Pour le moment, Netflix n’a pas encore confirmé si une saison 3 verrait le jour, mais nous pouvons vous confirmer que pendant les essais hivernaux de Barcelone cet hiver, des caméras de Netflix étaient bien présentes sur le circuit de Catalunya.

La présence d’une équipe de tournage de Netflix à Barcelone durant les essais hivernaux 2020 signifie évidemment que l’entreprise américaine avait déjà débuté le tournage de la saison 3 de Drive To Survive, mais pour le moment aucune confirmation officielle n’a encore été faite de la part de Netflix.

Une chose est certaine, pour le moment la crise sanitaire du coronavirus a fait voler en éclats tous les plans de la F1 et des différents protagonistes évoluant dans le paddock (médias, prestataires de services, intérimaires, organisateurs de Grand Prix…).

Le tournage va-t-il reprendre ?

Impossible de répondre à cette question pour l’instant en raison de l’incertitude qui plane sur la saison 2020 de Formule 1. Le tournage de Drive To Survive pourrait peut-être reprendre dès que la saison 2020 débutera, mais l’équipe de tournage sera t-elle autorisée à venir dans un paddock complètement fermé en raison de l’épidémie de coronavirus ?

On peut même aller plus loin en se posant la question de savoir si une saison 3 aurait le même intérêt et la même saveur pour les fans avec plusieurs courses en moins au calendrier de la F1…

Un test à Fiorano pour Ferrari a suffi à remotiver Kvyat en 2018

Écarté de la F1 en 2017 pour manque de performance, le Russe Daniil Kvyat a effectué son retour en catégorie reine lors de la saison 2019 avec l’écurie Toro Rosso.

Après avoir perdu son baquet en F1 chez Toro Rosso fin 2017, le Russe Daniil Kvyat a trouvé refuge chez Ferrari en tant que pilote de simulateur pour l’équipe italienne durant une année complète.

De son passage à Maranello, Daniil Kvyat n’en garde que de bons souvenirs et affirme que c’est lors d’un test sur la piste privée de Fiorano que l’envie de revenir en F1 en tant que titulaire lui est revenue soudainement tant la Ferrari qu’il était en train de piloter lui a procuré des sensations.

« Finalement, j’ai testé la voiture de cette année-là une fois à Fiorano. C’était tellement émouvant pour moi, tout d’abord, c’était Ferrari et Fiorano, puis c’était une monoplace actuelle [2018] et ça c’était vraiment cool. » explique le pilote AlphaTauri dans le podcast de la F1 Beyond The Grid.

« Je n’avais rien piloté pendant six mois ou quelque chose comme ça. J’ai tellement aimé ça, ce jour là j’ai compris que je voulais revenir à tout prix en Formule 1. »

« De plus, ce test a été très solide, avec des temps au tour très cohérents. Tout le monde était très content. »

Le pilote russe avait bien d’autres options pour 2019 en dehors de la F1, mais Kvyat souhaitait plus que tout revenir au plus vite en catégorie reine du sport automobile.

« Je sentais que j’avais encore beaucoup de choses à faire en F1. Il y a eu des discussions dans différentes catégories, mais j’étais concentré sur un retour en Formule 1. »

« J’envisageais de m’arrêter complétement (sa carrière en sport automobile) si je n’obtenais pas à nouveau un contrat en Formule 1. »

En tant que pilote de simulateur, Ferrari a également offert à Daniil Kvyat une expérience supplémentaire inestimable, notamment parce que le Russe a pu travailler étroitement avec deux champions du monde : Kimi Raikkonen et Sebastian Vettel.

« C’était super aussi de les voir travailler – deux champions du monde – des gars très expérimentés. »

« Avec Sebastian [Vettel], quand j’y pense, nous étions au Canada [2018] et mon travail consistait à regarder les onboard et d’essayer d’identifier ce qui était différent. Et j’ai dit : ‘tu pourrais prendre un peu plus le vibreur à la chicane’, et il a accepté, il a essayé et le lendemain c’était mieux. »