Charles Leclerc : « Physiquement, ce sera dur en course »

Charles Leclerc a réalisé la seconde pole position de sa carrière ce samedi à Spielberg au volant de sa Ferrari, mais le Monégasque s’attend à vivre une course difficile ce dimanche.

Auteur de la pole avec deux dixièmes d’avance sur la Mercedes de Lewis Hamilton et quatre dixièmes sur la Red Bull de Max Verstappen, le pilote Ferrari aura fort à faire ce dimanche au départ de la course pour essayer de garder ces garçons derrière lui jusqu’à l’arrivée.

« Je me sentais à l’aise avec la voiture, elle a été incroyable depuis les essais libres 2. » explique Charles Leclerc, qui a signé la pole position au Grand Prix d’Autriche.

« Tout s’est très bien passé, je me sens très à l’aise et heureux de décrocher la pole, mais nous devons terminer le travail demain. »

Cependant, Charles Leclerc est conscient que les hautes températures vont lui rendre la vie difficile demain en course, et s’attend donc à souffrir.

« Je suis vraiment heureux de partir depuis la pole position, mais physiquement, ce sera très dur. Il va faire très chaud, on va donc devoir gérer et j’espère qu’on obtiendra un bon résultat. »

Problème de pression d’air sur la Ferrari de Vettel aux qualifications en Autriche

Sebastian Vettel n’a même pas pu aller se battre pour la pole position aux qualifications du Grand Prix d’Autriche en raison d’un problème de pression d’air sur le moteur de sa SF90 en Q3.

Le quadruple champion du monde a réussi à se qualifier en Q3 ce samedi à Spielberg, mais un problème de pression d’air détecté par ses mécaniciens à quelques minutes de la fin de séance a mis un terme prématuré à sa qualification.

Le pilote Ferrari prendra donc le départ du Grand Prix d’Autriche depuis la neuvième position ce dimanche en raison d’une pénalité de cinq places pour un changement de boîte de vitesses infligée à Kevin Magnussen, qualifié cinquième ce samedi à Spielberg.

C’est un coup dur pour Sebastian Vettel qui déclarait en arrivant en Autriche vouloir remporter le Grand Prix d’Autriche, qui fait partie de l’un de ses circuits préférés dans le calendrier.

La pole position pour Leclerc

Charles Leclerc a tout de même bien défendu les couleurs de Ferrari ce samedi, puisque le pilote monégasque a décroché la pole position au Grand Prix d’Autriche, battant de deux dixièmes la Mercedes de Lewis Hamilton et de quatre dixièmes la Red Bull de Max Verstappen.

Leclerc en pole à Spielberg

Le pilote Ferrari Charles Leclerc a signé la pole position au Grand Prix d’Autriche ce samedi en 1.03.003.

Le Monégasque devance la Mercedes de Lewis Hamilton de deux dixièmes et la Red Bull de Max Verstappen de quatre dixièmes.

Derrière, Valtteri Bottas, Kevin Magnussen, Lando Norris, Kimi Raikkonen, Antonio Giovinazzi, Pierre Gasly et Sebastian Vettel complètent le top dix.

Problème sur la Ferrari de Vettel

Sebastian Vettel n’a pas pu prendre part à la Q3 aujourd’hui. Les mécaniciens ont détecté un problème sur la monoplace de l’Allemand, l’obligeant à en rester là pour aujourd’hui. Vettel ne signera aucun chrono en Q3, il s’élancera depuis la neuvième position sur la grille de départ.

Hamilton et Raikkonen sous enquête

Un incident survenu entre Lewis Hamilton et Kimi Raikkonen lors de la Q1 a été placé sous enquête de la part des commissaires de course du Grand Prix d’Autriche, qui étudierons le cas après les qualifications.

Grosjean casse son aileron avant

Le pilote Haas a endommagé l’aileron avant de sa monoplace ce samedi en Q2. Le Français a frappé l’un des vibreurs jaune que tous les pilotes doivent absolument éviter depuis le début du week-end en raison de leur dangerosité. Romain Grosjean termine onzième de la séance.

Les deux Renault éliminées en Q2

Les deux pilotes Renault n’ont pas réussi à passer le cap de la Q2 ce samedi en Autriche. Daniel Ricciardo s’élancera depuis la quatorzième position sur la grille, tandis que Nico Hulkenberg, qui s’est qualifié douzième, devra reculer en fond de grille en raison d’une pénalité de cinq positions pour un changement de moteur.

Grosse frayeur pour Daniil Kvyat en Q1

Le pilote Toro Rosso, qui était dans un tour rapide en Q1, a bien failli percuter la Williams de George Russell à l’entrée de l’avant dernier virage du circuit.

Russell effectuait un tour lent pour préparer son tour, mais le pilote britannique était à cheval dans la trajectoire de Daniil Kvyat, qui lui arrivait à pleine vitesse.

Le pilote russe a mis un gros coup de volant pour éviter l’impact, ce qui lui fait perdre un temps important en passant par les vibreurs. Kvyat termine cette qualification à la dix-huitième position.

Tableau des temps

 

Le manager de Verstappen : « Nous voulons devenir champions avec Red Bull »

Le manager de Max Verstappen a confirmé ce week-end en Autriche qu’une clause de performance existait dans le contrat liant son poulain et l’équipe Red Bull Racing.

Sans jamais rentrer dans les détails, Vermeulen sous-entend qu’en fonction des performances de l’équipe dans les prochains mois, Max Verstappen pourrait très bien décider de se retirer du projet.

Plusieurs options pourraient alors s’offrir au jeune prodige de la Formule 1, et notamment la piste Mercedes, alors que l’équipe du constructeur allemand n’a jamais caché qu’elle était intéressée par Verstappen.

Cependant, Vermeulen a également rappelé que le projet initial était que Max Verstappen devienne le plus jeune champion de l’histoire avec l’équipe Red Bull Racing.

« Nous pouvons confirmer qu’il y a une clause de performance dans son contrat. » a confirmé Raymond Vermeulen, le manager de Max Verstappen.

« Mais nous ne voulons faire aucune déclaration supplémentaire concernant le contenu exact du contrat. L’équipe Red Bull et son pilote savent exactement ce que les accords impliquent. »

« Mais nous voulons devenir champions avec Red Bull, nous avons débuté avec Red Bull en 2015 avec le projet que Max Verstappen devienne le plus jeune champion de tous les temps et nous souhaitons poursuivre ce plan. »

« Nous ne sommes pas seulement préoccupés par l’année prochaine, mais aussi par les années suivantes. »

Changement de boîte de vitesses et pénalité pour Magnussen

L’équipe Haas doit procéder au changement de la boîte de vitesses sur la monoplace de Kevin Magnussen avant la séance de qualifications du Grand Prix d’Autriche 2019.

Le pilote danois a été victime d’une fuite d’huile sur sa monoplace ce samedi matin lors de la troisième séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche durant laquelle il a terminé à la dix-septième position.

Après une rapide enquête de la part des mécaniciens de l’équipe, il a été convenu que la boîte de vitesses de la monoplace de Magnussen devait être remplacée avant les qualifications.

Ce changement de boîte de vitesses signifie que Kevin Magnussen devra reculer de cinq positions sur la grille de départ du Grand Prix d’Autriche 2019.

EL3 : Avantage Leclerc avant les qualifications

Charles Leclerc a signé le meilleur temps de la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche en 1.03.987.

Le pilote Ferrari devance d’un dixième la Mercedes de Lewis Hamilton et de deux dixièmes celle de Valtteri Bottas.

Derrière, Sebastian Vettel, Max Verstappen, Lando Norris, Pierre Gasly, Carlos Sainz, Antonio Giovinazzi et Daniil Kvyat complètent le top dix.

Cette dernière séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche a été bien moins mouvementée que les EL2 de ce vendredi, qui ont été perturbés par deux drapeaux rouge avec les grosses sorties de piste de Valtteri Bottas et Max Verstappen.

Problème moteur pour Gasly

Le Français Pierre Gasly a dû rentrer au garage après avoir perdu de la puissance sur le moteur Honda monté sur sa Red Bull, alors qu’il n’avait pas encore signé le moindre chrono.

C’est un coup dur pour Pierre Gasly, qui a signé un bon vendredi en essais libres avec un troisième temps à la clé, à quatre dixièmes de la Ferrari de Charles Leclerc, le plus rapide des EL2.

Cette panne mécanique a amputé la séance de roulage de Pierre Gasly de 40 minutes ce samedi matin, le Français terminera finalement les EL3 en sixième position avec un problème visiblement résolu.

Magnussen au garage

Le pilote Haas a rencontré un problème de pression d’huile avec sa monoplace, obligeant les mécaniciens à démonter une grande partie de sa voiture lors de ces EL3. Le Danois termine à la dix-septième position.

Les vitesses de pointe des EL3

Rendez-vous désormais à 15h00 [heure française] pour les qualifications du Grand Prix d’Autriche 2019.

Tableau des temps

Honda décide de monter un second moteur neuf sur la voiture de Albon

Toro Rosso a décidé de monter une deuxième unité de puissance Honda neuve sur la monoplace de Alex Albon pour la seconde fois du week-end.

Ce vendredi, Alex Albon bénéficiait de la Spec 3 du moteur Honda sur sa voiture, ce qui se traduira par une pénalité sur la grille de départ du Grand Prix d’Autriche. L’introduction de cette Spec 3 comprenait un nouveau V6, un turbo, un MGU-H et un MGU-K.

Le moteur V6, ainsi que le MGU-K utilisés ce vendredi en essais libres ne peuvent pas être conservés dans le pool des pièces réutilisables cette saison sans écoper d’autres pénalités, car ces pièces contribuaient déjà aux pénalités encaissées par Albon en Autriche.

Toutefois, le turbo du vendredi et le MGU-H peuvent être conservés dans le pool et réutilisés sans craindre de pénalités, ce qui a forcé Honda à monter un autre moteur neuf sur la voiture du Thaïlandais ce samedi afin que le turbo et le MGU-H montés ce vendredi soient disponibles pour les prochaines courses.

Tous ces changements ne changeront pas grand chose pour Alex Albon ce week-end, puisque le pilote Toro Ross devait initialement prendre le départ depuis le fond de la grille.

Vettel : « Nous n’avons pas vraiment essayé de nouvelles mises à jour »

Sebastian Vettel assure que sa sortie de piste ce vendredi en EL2 n’a eu aucun impact sur le programme de l’équipe Ferrari pour la première journée d’essais.

Ce vendredi en essais libres, Sebastian Vettel s’est fait une grosse frayeur dans le dernier virage du circuit de Spielberg lorsqu’il a perdu l’arrière de sa monoplace.

Fort heureusement, le pilote allemand a réussi à ne pas taper le mur de pneus et a ramené sa SF90 au garage pour quelques vérifications d’usage.

Crédité du huitième temps en EL2, Sebastian Vettel a essentiellement travaillé sur la compréhension des pièces introduites sur sa voiture au Grand Prix de France la semaine dernière, et qui n’avaient pas donné entière satisfaction à l’équipe.

« Mon excursion hors piste n’a pas eu d’effet majeur sur notre programme, à part le fait que nous ne pouvions pas faire le long relais sur les pneus Tendres. » explique Vettel.

« J’ai pu m’arrêter à temps et ne pas endommager la voiture. Nous essayons encore beaucoup de choses et nous nous rapprochons. »

« C’était un peu difficile l’après-midi avec le vent. Nous n’avons pas réellement essayé de nouvelles mises à jour, nous avons monté les mêmes éléments que le week-end dernier pour pouvoir en apprendre davantage à leur sujet et je pense que cela a été un succès. »

« Nous avons désormais besoin de temps pour comprendre quoi faire ensuite. Notre équilibre dans les virages n’est pas mauvais, nous pouvons encore améliorer la voiture et nous avons essayé quelques trucs dans l’après-midi. »

« Les spécificités de la piste nous aident peut-être un peu, mais cela reste une piste difficile où il est crucial d’avoir une bonne sensation dans la voiture et c’est ce sur quoi nous devons travailler maintenant. »

Renault a modifié son DRS, après des soucis rencontrés ce vendredi

L’équipe Renault a décidé de modifier le DRS monté sur la RS19 avant la troisième séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche.

Ce vendredi en essais libres, le flap supérieur de l’aileron arrière de la Renault RS19 de Nico Hulkenberg et Daniel Ricciardo effectuait des mouvements anormaux à partir d’une certaine vitesse et lorsque le DRS était activé.

Renault a décidé de revenir à l’ancienne spécification de l’activateur de DRS monté devant l’aileron arrière de la RS19, Cet activateur bénéficie d’un double bras, alors que celui monté sur la voiture ce vendredi n’en possédait qu’un seul.

Renault va donc tester cette spécification lors des essais libres 3 ce samedi à Spielberg, alors qu’un problème similaire est déjà apparu un peu plus tôt cette année lors des essais hivernaux de Barcelone.

Le flap supérieur de l’aileron arrière de la RS19 pilotée par Daniel Ricciardo s’est arraché en bout de ligne droite, provoquant une sortie de piste sans gravité pour l’Australien.

La troisième séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche 2019 est programmée ce samedi à 12h00 [heure française].

Officiel : Cinq places de pénalité pour Nico Hulkenberg en Autriche

Nico Hulkenberg devra reculer de cinq positions sur la grille de départ du Grand Prix d’Autriche ce week-end, après avoir reçu la Spec B du moteur Renault.

Comme nous vous le révélions ce jeudi, Renault a décidé d’équiper la monoplace de Nico Hulkenberg avec la Spec B de son unité de puissance, la même montée sur la monoplace de Daniel Ricciardo au Grand Prix de France, ainsi que sur la McLaren de Carlos Sainz ce week-end.

Il s’agit de la cinquième unité de puissance de la saison montée sur la monoplace de Nico Hulkenberg, alors que la réglementation limite les équipes à trois moteurs par saison, avant d’écoper de pénalités.

Hier, lors de la première journée d’essais libres du Grand Prix d’Autriche, Nico Hulkenberg a terminé à la seizième position en EL2, alors que la monoplace de l’Allemand était encore équipée de l’ancienne version du moteur Renault : la Spec A2.

« C’était une journée piégeuse dans l’ensemble. La voiture manquait de rythme. En plus d’être lent sur la feuille de temps, je ne me suis pas senti totalement à l’aise au volant. » expliquait Hulkenberg ce vendredi.

« Nous devons examiner ce qu’il s’est passé, car tout semblait un peu étrange aujourd’hui. Les conditions étaient difficiles, notamment cet après-midi avec des températures de piste élevées et du vent par endroits. C’était un vendredi difficile de notre côté, mais nous allons travailler dur pour trouver des solutions d’ici demain. »

Pirelli : « Un retour aux pneus 2018 aurait été mauvais pour la sécurité »

Le patron de Pirelli en Formule 1, Mario Isola, se dit satisfait que les équipes aient voté contre un retour aux pneus 2018 ce vendredi lors d’un vote exceptionnel à Spielberg.

Mario Isola explique qu’un retour aux gommes 2018 aurait pu tout simplement mal tourner pour la sécurité des pilotes, alors que le spectacle en piste n’aurait certainement pas été meilleur.

« Lors des essais à Barcelone l’année dernière, nous avons eu beaucoup de cloques à cause du nouvel asphalte. » explique Mario Isola, le directeur de Pirelli.

« Certaines parties de la bande de roulement manquaient, dans ce cas, c’est une question de sécurité. C’est pourquoi nous avons demandé à la FIA de modifier les pneus pour trois courses. »

« La FIA a approuvé cette demande, ce n’était pas seulement une demande de Pirelli, mais la FIA a analysé la situation et nous a dit « oui, vous avez raison, les preuves que vous nous avez fournies sont bonnes, vous pouvez le faire. »

« Au Paul Ricard, les temps au tour pendant la course et les qualifications étaient beaucoup plus rapides que l’an dernier. Cela signifie que les pneus consomment plus d’énergie que l’an dernier. »

« Ils fonctionnent donc très bien, au Paul Ricard nous avons trouvé 23 cloques après la course, mais elles étaient très petites. »

« Les ampoules au Paul Ricard n’étaient pas dangereuses, mais il faut se dire que ces voitures actuelles sont très rapides et mettent beaucoup d’énergie dans les pneus. Si nous revenons aux pneus de l’an dernier, nous aurons plus de cloques. »

« Nous aurons plus de cloques, les pilotes ne pourront plus attaquer et le spectacle devrait s’empirer. C’est ce que j’envisageais. »

« L’an dernier, les plaintes les plus importantes concernaient les surchauffes. Nous l’avions vu en Autriche, et en fin de saison, quand les voitures se sont améliorées, la situation a empiré. Comme je l’ai déjà dit, les faits techniques sont les suivants : plus de surchauffe, donc, plus de cloques. »

Romain Grosjean se dit satisfait de sa voiture ce week-end

Romain Grosjean a passé une bonne première journée sur le circuit de Spielberg ce vendredi avec une sixième place au terme de la seconde séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche.

Le pilote Haas se dit satisfait du comportement de sa monoplace ce week-end et estime que l’équipe a fait de grands progrès depuis la semaine dernière au Grand Prix de France où le pilote français a dû abandonner après un week-end très compliqué.

« Ce fut une bonne journée. Je pense que dans l’ensemble, nous sommes satisfaits de la voiture. » a déclaré Romain Grosjean.

« Nous avons fait des progrès et travaillons dans la bonne direction – c’est donc positif. C’est très serré ici, il y a très peu de virages. C’est assez excitant de se battre avec les gars. Alors qu’il y a quelques endroits ici où vous pouvez gagner du temps. »

« Nous avons évité les ennuis avec la voiture, mais nous avons eu un peu de malchance en EL2 avec notre premier train de pneus Médiums. Il y a eu une grosse déchirure dessus et nous ne pouvions pas les réutiliser. »

« Ce n’était pas l’idéal, parce que c’est un pneu sur lequel nous voulions avoir plus d’informations.

Officiel : 5000 euros d’amende pour l’équipe Alfa Romeo

L’équipe Alfa Romeo Racing a écopé d’une amende au Grand Prix d’Autriche pour avoir utilisé lors des EL2 du carburant à la mauvaise température.

Les commissaires de course du Grand Prix d’Autriche ont tout de suite placé Antonio Giovinazzi sous investigation après la seconde séance d’essais libres ce vendredi à Spielberg, suspectant l’équipe d’utiliser un carburant avec une température en dessous des normales.

Une fois l’infraction constatée par les commissaires de course, ces derniers ont décidé d’infliger une amende de 5000 euros à l’équipe Alfa Romeo.

« La température du carburant utilisé était 13 degrés en dessous de la température ambiante enregistrée par le fournisseur de prévisions météo de la FIA une heure avant le début de la seconde séance d’essais libres. » peut-on lire dans le compte rendu des commissaires.

L’équipe Renault à la peine ce vendredi à Spielberg

Le week-end de Renault au Grand Prix d’Autriche a commencé par un vendredi décousu en raison de plusieurs drapeaux rouges à Spielberg.

Nico Hülkenberg a prématurément mis fin à la première séance d’essais libres après avoir endommagé sa Renault R.S.19 sur le vibreur à la sortie du neuvième virage. En parallèle, Daniel Ricciardo signait le huitième temps en 1’05’’846.

La seconde session a été marquée par des conditions piégeuses provoquant deux drapeaux rouges distincts et successifs mettant à mal le programme prévu par l’équipe.

« C’était une journée piégeuse dans l’ensemble. » explique Nico Hülkenberg. « La voiture manquait de rythme. En plus d’être lent sur la feuille de temps, je ne me suis pas senti totalement à l’aise au volant. »

« Nous devons examiner ce qu’il s’est passé, car tout semblait un peu étrange aujourd’hui. Les conditions étaient difficiles, notamment cet après-midi avec des températures de piste élevées et du vent par endroits. C’était un vendredi difficile de notre côté, mais nous allons travailler dur pour trouver des solutions d’ici demain. »

Pour Nick Chester, le directeur technique de l’équipe Renault, les ingénieurs vont avoir du travail ce soir pour essayer de trouver des solutions avant les qualifications.

« Aujourd’hui, nous avons manqué de rythme en EL2 et nous allons analyser cela ce soir. Nous travaillerons avec les pilotes pour revenir dans la bonne direction demain. » explique Chester.

Après son crash de 25G, Bottas admet qu’il préfère les pistes qui pénalisent pour les erreurs

Malgré un gros crash, Valtteri Bottas admet qu’il affectionne particulièrement les circuits comme celui de Spielberg qui ne pardonnent aucune erreur aux pilotes.

En totale opposition avec le circuit Paul Ricard au Grand Prix de France la semaine dernière, le tracé de Spielberg est un circuit « old school » qui ne pardonne quasiment aucune erreur aux pilotes.

Pas de grandes zones de dégagement, des bacs à graviers omniprésents, une piste relativement étroite et rapide, et des virages très rapides, sont le mélange parfait pour offrir un peu de spectacle en catégorie reine du sport automobile.

« Cela fait une différence. Même si je me suis crashé, je préfère être pénalisé pour mes erreurs. » explique Valtteri Bottas après son crash en EL2 ce vendredi à Spielberg.

« Cela rend les choses plus excitantes. Je pense que c’est comme ça que ça devrait être, et  définitivement, les erreurs ici coûtent beaucoup plus avec des virages agressifs et des échappatoires minimes. »

Malgré son crash, Valtteri Bottas a tout de même terminé à la seconde position de la seconde séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche.

« Cela a un peu compromis notre journée, mais nous avons tout de même trouvé une direction claire pour les réglages de la voiture, alors que nous avons apporté de gros changements lors des EL2. »

« Mais avant cela [le crash], je me sentais très bien. Donc, dans l’ensemble c’est bon, mais les autres équipes sont rapides aussi. »

Victime d’un crash en EL2, Max Verstappen accuse le vent

Max Verstappen a été victime d’une grosse sortie de piste ce vendredi en essais libres 2 du Grand Prix d’Autriche, obligeant le Hollandais à mettre un terme à sa journée de travail prématurément.

Le pilote Red Bull a perdu l’arrière de sa monoplace à l’entrée du dernier virage du circuit Red Bull Ring ce vendredi en EL2 et est allée frapper le mur de pneus avec l’arrière de sa RB15.

Pour le jeune hollandais, c’est le vent qui est le seul responsable de cet accident, alors que quelques minutes plus tard, c’est le pilote Mercedes Valtteri Bottas qui s’est lui aussi fait surprendre dans un virage et est allé frapper la barrière de pneus à son tour.

« J’ai déjà dit à l’équipe que c’était difficile avec le vent. » explique Max Verstappen. « Il était irrégulier et très fort parfois. »

« L’arrière de la voiture partait à certains endroits, ce qui était clairement visible sur les données au moment du crash. »

« Les voitures sont très sensibles au vent, ce que vous nous avons pu voir avec Valtteri [Bottas], entre autres. »

« Bien sûr, un accident n’aide pas, mais cela peut arriver. Heureusement, les dégâts peuvent tous être réparés. Nous avions également une boîte de vitesses du vendredi sur la voiture, ce qui ne posera pas de problème. »

Mercedes : « Pas un spectacle que l’on aime voir, mais Valtteri va bien »

Valtteri Bottas a été victime d’une grosse sortie de piste ce vendredi lors de la seconde séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche.

Le pilote Mercedes a perdu l’arrière de sa voiture au virage 6 et est allé frapper violemment la barrière de pneus après avoir traversé le bac à graviers en tant que passager de sa Mercedes.

L’impact a été violent, ce qui a obligé Valtteri Bottas à passer par le centre médical du circuit pour des contrôles de routine, mais fort heureusement, le pilote finlandais va bien et sera de retour au volant de sa voiture dès ce samedi pour la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche.

L’équipe Mercedes a d’ailleurs rapidement communiqué sur l’état de santé de son pilote : « Ce n’est pas un spectacle que nous aimons voir, mais heureusement, Valtteri Bottas va bien. » a déclaré le porte parole de l’équipe.

« Ce sera une nuit bien remplie pour tous les gars dans le garage, mais nous reviendrons plus fort demain. »

A l’issue de la seconde séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche, Valtteri termine à la seconde position sur le tableau des temps, à trois dixièmes de la Ferrari de Charles Leclerc, qui a signé le temps le plus rapide.

EL2 : Gros crash pour Bottas et Verstappen

Charles Leclerc a signé le meilleur temps de la seconde séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche en 1.05.086.

Le pilote Ferrari devance de trois dixième la Mercedes de Valtteri Bottas et de quatre dixièmes la Red Bull de Pierre Gasly.

Derrière, Lewis Hamilton, Carlos Sainz, Romain Grosjean, Kimi Raikkonen, Sebastian Vettel, Max Verstappen et Lando Norris complètent le top dix de ces EL2 du Grand Prix d’Autriche.

Les chronos signés lors de ces EL2 ne sont pas très significatifs puisque la séance d’essais a été largement perturbée par deux crashs, ce qui a obligé certains pilotes [Hamilton et Gasly] à modifier leur programme pour accumuler des données pour l’équipe en l’absence de la seconde monoplace sur la piste.

Max Verstappen dans le mur

Le pilote Red Bull Max Verstappen est allé percuter le mur de pneus dans le dernier virage du circuit au moment d’entrer dans la dernière heure de cette séance d’essais libres 2 du Grand Prix d’Autriche.

Le Hollandais a perdu l’arrière de sa monoplace à l’entrée du dernier virage du circuit Red Bull Ring et est allé taper le mur de pneus en marche arrière.

Les dégâts sont importants sur l’arrière de la Red Bull RB15 de Max Verstappen, qui a dû se contenter de regarder la fin de séance depuis son stand.

Violente sortie de piste pour Valtteri Bottas

Après la reprise de la séance à la suite de l’accident de Max Verstappen, c’est au tour de Valtteri Bottas au volant de sa Mercedes d’aller frapper le mur de pneus.

Le pilote finlandais a perdu l’arrière de sa monoplace dans le virage 6 du tracé autrichien, un virage très rapide où les pilotes passent à 250 km/h en moyenne.

Après avoir perdu l’arrière de sa W10, le Finlandais n’a rien pu faire pour rattraper sa Mercedes, qui a traversé le bac à gravier et qui s’est encastrée dans le mur de pneus.

Valtteri Bottas a été transporté au centre médical du circuit par mesure de précaution, mais le Finlandais est sorti de lui-même de la carcasse de sa voiture.

Vettel se fait une grosse frayeur

Dès la reprise de la séance après le gros crash de Valtteri Bottas, c’est au tour de Sebastian Vettel de perdre l’arrière de sa Ferrari exactement au même endroit que Max Verstappen un peu plus tôt.

Le quadruple champion du monde a eu un peu plus de chance que Max Verstappen puisque l’Allemand a réussi à ne pas frapper le mur de pneus. Sa monoplace a terminé sa course dans le bac à graviers, quelques centimètres avant la barrière de pneus.

Encore des ailerons avant cassés

La situation pourrait devenir critique pour les équipes après une nouvelle séance d’essais libres durant laquelle plusieurs pilotes sont allés casser l’aileron avant de leur monoplace sur les vibreurs.

Les équipes pourraient se retrouver rapidement à cours de pièces avant la fin du week-end si à chaque séance d’essais les pilotes brisent plusieurs ailerons avant.

Déjà ce matin en EL1, pas moins de huit ailerons avant ont été brisés, ce qui a provoqué la colère des directeurs d’équipes qui ne comprennent pas l’utilité de ces « boudins » jaunes montés juste derrière les vibreurs du circuit autrichien.

Les vitesses de pointe des EL2

Tableau des temps

Les équipes en colère après plusieurs ailerons avant cassés ce vendredi

Après la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche disputée ce vendredi matin à Spielberg, plusieurs équipes se montrent très mécontentes, après la casse de plusieurs ailerons avant.

Ce vendredi matin sur le Red Bull Ring, pas moins de cinq pilotes ont abîmé l’aileron avant de leur monoplace sur les vibreurs jaunes placés un peu partout sur le tracé autrichien.

Ces « saucisses » ont littéralement brisé en deux l’aileron avant la Renault de Nico Hulkenberg, ce qui a provoqué un drapeau rouge en toute fin de séance en EL1.

Un peu plus tôt, Lewis Hamilton a brisé deux ailerons, Pierre Gasly a fait de même avec un aileron, tandis que chez Ferrari ou Racing Point, la situation était similaire.

Pour Mercedes, un des deux ailerons abîmés n’est pas réparable dans l’immédiat a annoncé l’équipe du constructeur allemand, tandis que chez Renault, la facture s’annonce encore plus lourde sur la voiture de Nico Hulkenberg puisqu’en plus de l’aileron, les bargeboards et plusieurs ailettes ont volé en éclat ce matin au passage de la RS19 sur les saucisses du virage 9.

Pour Helmut Marko, le conseiller motorsport chez Red Bull, cela n’a aucun sens de laisser de tels vibreurs sur le tracé : « A quoi ça sert ? Ils ont ruiné toutes les voitures. » a déclaré l’Autrichien.

Pour le patron de l’équipe Red Bull Racing, Christian Horner, la facture s’élève déjà à 280 000 euros : « Nous avons utilisé quelque chose comme trois ailerons jusqu’ici. » explique Horner.

« Nous avons pour probablement 280 000 de dégâts. Mais nous ne sommes pas les seuls et je suis certain qu’il va y avoir un débat sur l’angle d’attaque de ces vibreurs jaunes. »

La pénalité de Vettel au Canada immortalisée dans une vitrine

La société BBR Models a intelligemment réussi à représenter en modèle réduit la « non-victoire » de Sebastian Vettel au Grand Prix du Canada 2019.

Au Canada, Sebastian Vettel a bien franchi la ligne d’arrivée à la première position, mais le pilote Ferrari a ensuite reçu une pénalité de cinq secondes pour « conduite dangereuse », après être passé par l’herbe au virage 3 et être revenu sur la piste devant la Mercedes de Lewis Hamilton.

Après l’arrivée de la course, Sebastian Vettel a donc exprimé son mécontentement en déplaçant le panneau #1, qui été positionné devant la Mercedes de Lewis Hamilton, sur l’emplacement vide où aurait dû se trouver sa Ferrari.

sebastian vettel canada arrivée panneau

La société BBR Models modélise la scène

BBR a réussi à recréer l’emplacement exact où Sebastian Vettel a positionné le panneau #1 au Grand Prix du Canada, alors que nous pouvons même voir l’ombre de la Mercedes de Lewis Hamilton, ainsi que la plaque d’égout située au fond de la photo ci-dessus.

Pour la modique somme de 17 euros, vous pourrez vous offrir ce modèle réduit de l’emplacement vide où aurait dû se trouver la Ferrari de Sebastian Vettel à l’arrivée du Grand Prix du Canada 2019. Pour commander, c’est par ici