Suivez à partir de 14h50 le Grand Prix de France 2019 en direct commenté depuis le circuit Paul Ricard au Castellet.
Le départ de la course sera donné à 15h10 [heure française], alors que le live commenté débutera à 14h50.
Le départ de la course sera donné à 15h10 [heure française], alors que le live commenté débutera à 14h50.
Notez que parmi les dix premiers pilotes sur la grille de départ, seuls Pierre Gasly et Antonio Giovinazzi prendront le départ de la course avec les pneus Tendres, tous les autres partiront avec des gommes Médiums.
Pour ce Grand Prix de France, Pirelli préconise une stratégie à un seul arrêt au Paul Ricard, avec un premier relais en pneus Médiums, puis un second en pneus Tendres.
“Ce fut l’une des séances de qualifications les plus importantes de l’année en termes de rythme, avec une pole position 1,7 seconde plus rapide que l’an dernier sur un pneu équivalent, avec des températures de piste dépassant les 50 degrés centigrades.” explique Mario Isola, directeur de Pirelli en F1.
“Nous avons vu la piste continuer à évoluer assez rapidement, ce qui a entraîné moins de dérapages par rapport aux jours précédents.”
“La stratégie favorise clairement un départ en pneus Médiums, alors que la plupart des pilotes du Top 10 ont opté pour cette stratégie.”
“Cela pourrait nous offrir quelques situations intéressantes en début de course avec des voitures équipées des pneus Tendres et qui partent derrière les huit premiers pilotes.”



Lando Norris [cinquième au départ] et Carlos Sainz [sixième au départ] s’élanceront ce dimanche devant la Ferrari de Sebastian Vettel [septième], la Renault de Daniel Ricciardo [huitième].
Autre fait intéressant, Lando Norris n’a pas réussi à se qualifier devant la Red Bull de Max Verstappen [quatrième] pour seulement quelques millièmes, ce qui démontre le potentiel de la McLaren MCL34 ce week-end au Castellet.
“Ça été très serré, mais nous avons fait quelques ajustements avant les qualifications.” explique Lando Norris.
“Nous avons fait ce que nous devions faire et j’ai réussi à faire un tour décent, même si je pense que j’ai un peu foiré dans le dernier virage, j’étais trop impatient et j’ai un peu glissé. En dehors de cela, c’est évidemment un bon résultat, mais la course sera longue.”
Pour Andreas Seidl, le team principal de l’équipe McLaren, il ne faut surtout pas s’emballer après ce beau résultat en qualifications, l’Allemand soulignant que les points ne sont distribués que le dimanche.
“C’est le meilleur résultat en qualifications pour McLaren depuis un certain temps.” souligne Seidl. “Ce fut une qualification bien exécutée de la part des deux pilotes, ainsi que de toute l’équipe.”
“Nous sommes passés en Q3 et nous pourrons prendre le départ de la course avec les pneus Médiums, ce qui pourrait être très important à l’issue de la course.”
“Mais nous ne sommes pas surexcités avec ce résultat, nous allons garder la tête basse et rester concentrés. Les points ne seront distribués que demain [dimanche].”
En pleine restructuration, McLaren vise à revenir au sommet : l’écurie a renouvelé ses équipes, modifié l’alignement de ses pilotes et prévoit donc de moderniser ses installations à Woking avec la construction d’une nouvelle soufflerie, alors que les travaux devraient durer deux ans.
La soufflerie qui se trouve pour le moment dans le centre technologique de Woking est devenue obsolète en comparaison avec celles de ses concurrents. Il ne semble pas envisageable qu’elle soit modernisée. C’est la raison pour laquelle l’équipe britannique a décidé d’en construire une nouvelle.
Ces dernières années, McLaren utilisait la soufflerie de Toyota à Cologne en Allemagne équipée d’une des technologies les plus avancées du domaine mais le fait d’en avoir une au sein de ses propres installations devrait permettre à l’équipe britannique d’accélérer considérablement le travail de développement de sa monoplace d’ici 2021.
Andreas Seidl a confirmé que les travaux devraient prendre deux ans mais n’a pas donné d’indications sur la date de début de ces travaux.
Rappelons que l’équipe McLaren se bat actuellement pour la quatrième place au championnat du monde des constructeurs.
Le départ du Grand Prix de France sera donné ce dimanche 23 juin 2019 à 15h10 et la course est à suivre en direct sur TF1, Canal+ et en direct commenté sur F1only.fr.
C’est le pilote Mercedes Lewis Hamilton qui s’élancera depuis la pole position ce dimanche au Grand Prix de France, le Britannique devance son coéquipier Valtteri Bottas et la Ferrari de Charles Leclerc.
Du côté de chez Renault, l’Australien Daniel Ricciardo s’élancera depuis la huitième position ce dimanche, alors que son coéquipier Nico Hulkenberg prendra le départ de la course depuis la treizième place sur la grille.
Du côté des pilotes français, Pierre Gasly s’élancera depuis la neuvième position, tandis que Romain Grosjean partira seizième au volant de sa Haas, après des qualifications compliquées pour lui.

Les deux pilotes Mercedes ont devancé la Ferrari de Leclerc d’un peu plus de six dixièmes ce samedi en qualifications, alors que Max Verstappen a signé le quatrième temps, devant les deux pilotes McLaren.
Notez que cette grille de départ officielle du Grand Prix de France prend en compte les différentes pénalités infligées à Daniil Kvyat et George Russell.
Les deux pilotes prendront le départ de la course depuis le fond de la grille, après avoir reçu de nouveaux éléments sur leur monoplace ce week-end [moteur pour Kvyat et batterie et boitier électronique pour Russell].

Nico Hülkenberg sera treizième à l’extinction des feux après avoir manqué de justesse la Q3. L’Allemand avait signé une performance impressionnante en Q1 avec le quatrième meilleur temps et le deuxième secteur le plus rapide, mais une petite excursion hors trajectoire dans sa dernière tentative en Q2 lui a coûté un dixième de seconde l’empêchant de poursuivre plus loin.
“Tous les écarts étaient faibles aujourd’hui. Nous n’avons pas connu une Q2 totalement linéaire et voilà pourquoi nous sommes en dehors du top dix.” explique Nico Hulkenberg.
“Rien de mal toutefois. Mon premier tour en Q2 en médiums était bon, mais dans le deuxième – censé être plus rapide – j’ai perdu l’arrière dans le huitième virage et c’en était fini de mes chances. Je vais tenter d’attaquer fort demain.”
“Notre rythme de course semblait prometteur aux essais et nous essaierons d’éviter les problèmes. Le potentiel pour des points est bien là et nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour remettre la voiture dans le top dix.”
Lors des qualifications du Grand Prix de France, Charles Leclerc a demandé par radio à son équipe de dire à Sebastian Vettel d’accélérer et de créer un plus grand écart avec lui afin de lui permettre de franchir la ligne d’arrivée avant la fin du chrono.
En effet, si Charles Leclerc ne passait pas la ligne de départ avant la fin du chrono, le Monégasque n’aurait tout simplement pas pu faire une ultime tentative.
Lorsqu’on lui a demandé s’il avait été “bloqué” par la monoplace de Sebastian Vettel, le pilote Ferrari a répondu : “Non, pas du tout.”
“La seule chose, c’est que j’ai dû réfléchir à deux reprises, je ne me souviens plus combien exactement, mais je crois à deux reprises nous avons été très serrés au niveau du temps pour franchir la ligne d’arrivée.”
“C’est pour cela que j’ai demandé à l’équipe de demander à Seb d’aller plus vite, parce que c’était très serré, c’était la seule raison. Mais non, Seb n’a pas compromis mes qualifications.”
Au termes des qualifications, Charles Leclerc a signé le troisième temps au volant de sa Ferrari, à six dixièmes de secondes des Mercedes de Valtteri Bottas et Lewis Hamilton.
Le pilote Ferrari se dit satisfait du travail qu’il a accompli en qualifications depuis quelques courses, alors qu’il s’agissait selon lui de l’un de ses points faibles.
“J’étais tout à fait conscient de mes points faibles lors des dernières qualifications et j’ai donc travaillé dur là-dessus. Je suis très heureux de constater des améliorations ce week-end.”
“Je suis très heureux de cela, même si l’écart est encore assez grand. J’espère que nous aurons une course excitante demain.”
Daniel Ricciardo a signé le meilleur résultat de l’équipe Renault ce samedi au Castellet avec une huitième position sur la grille de départ du Grand Prix de France.
L’Australien, qui bénéficie de la Spec B du moteur Renault ce week-end, prendra le départ de la course juste derrière la Ferrari de Sebastian Vettel demain après-midi.
“Je me contente de ma huitième place aujourd’hui. Nous avons réussi à maintenir notre récente série d’apparitions en Q3. Je pense que la huitième position était le maximum que je puisse faire.” explique Daniel Ricciardo.
“Lors de mon premier run en Q2, j’ai fait une erreur, alors j’ai avorté ma tentative et j’ai chaussé les pneus Médiums. C’était clairement un risque parce que c’était la première fois que nous l’utilisions de tout le week-end.”
“Mais clairement, l’équipe savait que ça allait m’apporter quelque chose car j’ai réussi un bon tour pour me qualifier en Q3. La grille de départ de demain est intéressante, car plus ou moins tout le monde partira en Médiums. Je vais cibler les voitures devant moi et viser une bonne course.”
Le pilote Ferrari n’est tout simplement pas dans le coup ce week-end sur le circuit Paul Ricard avec une Ferrari mise à jour mais nettement moins performante que les flèches d’argent.
En qualifications ce samedi, le pilote allemand a tout juste réussi à se hisser en Q3, mais jamais il n’aura pu aller se battre directement avec la Red Bull de Verstappen, et encore moins les Mercedes.
“Je ne sais pas ce qui s’est passé.” a expliqué Vettel après les qualifications du Grand Prix de France où il a terminé septième.
“Je n’étais plus sur la même lancée que la Q2 et mon premier tour en Q3 était moyen avec beaucoup de perte d’adhérence. Mon second tour était pire et cela ne servait plus à rien de le terminer.”
“La journée a été faite de hauts et de bas, avec des bons tours et des moins bons. Je n’ai tout simplement pas réussi à tirer le meilleur de la voiture et c’était difficile pour moi de trouver de l’adhérence.”
“Mercedes est encore loin devant, mais je pense que nous devrions tout de même être dans le cup derrière, avec les Red Bull.”
Depuis le début de l’année, la Haas VF-19 est une monoplace “capricieuse” et l’équipe américaine a jusqu’à présent toujours pointé du doigt les pneumatiques Pirelli.
Mais aujourd’hui, après son élimination en Q1 au Grand Prix de France, Romain Grosjean estime que c’est peut-être le concept-même de sa monoplace qui est à revoir, lui qui n’a pas encore obtenu les mises à jour dont bénéficie son coéquipier depuis deux courses déjà.
“Je n’ai pas l’évolution de Magnussen depuis deux week-ends et ici ça coûte cher.” a déclaré Romain Grosjean au micro de Canal+ après sa séance de qualifications écourtée.
“La voiture demande du travail, il faut qu’on la comprenne. On a beaucoup blâmé les pneus en début de saison, mais ici il fait 58 degrés au sol, il y a des virages rapides et on y arrive pas. On a raté la course au développement, on est tombé derrière.”
Romain Grosjean prendra le départ du Grand Prix de France depuis la dix-septième position ce dimanche.
Derrière, Max Verstappen, Lando Norris, Carlos Sainz, Sebastian Vettel, Daniel Ricciardo, Pierre Gasly et Antonio Giovinazzi complètent le top dix.
Du côté de la Scuderia Ferrari, c’est la déception avec la monoplace de Charles Leclerc en troisième position mais tout de même à six dixièmes des Mercedes, alors que Sebastian Vettel n’a pas pu faire mieux que le septième temps.
Seule la Renault de Daniel Ricciardo a réussi à se hisser en Q3 ce samedi, l’Australien a signé le huitième temps de cette séance de qualifications du Grand Prix de France.
Lando Norris et Carlos Sainz ont réussi à se qualifier pour la Q3 ce samedi au Grand Prix de France. Les deux pilotes de l’écurie britannique se sont qualifiés en Q3 avec des gommes Médiums et prendront donc le départ avec ce type de pneus ce dimanche au Castellet.
Le pilote Alfa Romeo a été placé sous investigation pour avoir effectué à deux reprises un retour en piste jugé dangereux par les commissaires du Grand Prix de France.
Une première fois devant la monoplace de Romain Grosjean et une seconde fois devant la Renault de Daniel Ricciardo.

Pour son Grand Prix à domicile, Romain Grosjean a été éliminé dès la Q1 ce samedi en séance de qualifications.
Le pilote Haas n’arrive pas à trouver le grip avec sa monoplace depuis le début du week-end, alors qu’une erreur de pilotage dans son tour rapide et une nette amélioration des temps au tour de tous les pilotes dans les dernières secondes de la Q1 ont fait dégringoler le Français au classement.
Romain Grosjean prendra donc le départ du Grand Prix de France depuis la dix-septième position sur la grille de départ ce dimanche.

Rendez-vous désormais ce dimanche à 15h00 [heure française] pour le départ du Grand Prix de France 2019, huitième manche de la saison.

A un peu plus de 40 minutes de la séance qualificative au Castellet, la monoplace du pilote britannique a été montée sur les tréteaux, alors que les mécaniciens ont commencé à démonter une grande partie de l’arrière.
Impossible de vous dire avec précision ce qu’il s’est passé sur la voiture de Lewis Hamilton, mais il semblerait que les mécaniciens soient occupés au niveau de la boîte de vitesses, alors que l’on sait également que le Britannique a déjà rencontré un petit problème ce vendredi en essais libres avec l’unité de puissance montée sur sa W10.
L’équipe du constructeur allemand a dû demander à son pilote de rentrer au garage pour des vérifications poussées, après que des ratés ont été constatés sur le bloc V6 hybride.
Impossible de dire avec exactitude si le problème détecté ce samedi après-midi sur la monoplace du quintuple champion du monde touche le moteur ou la boîte de vitesses, mais il ne reste que 30 minutes aux mécaniciens de l’équipe pour régler le problème avant la séance de qualifications.
Mise à jour à 14h55 : Tout semble ok pour la monoplace de Lewis Hamilton. Les mécaniciens ont remonté le capot moteur.
Selon les rumeurs du paddock au Castellet, Ferrari utiliserait ce week-end au Grand Prix de France un aileron arrière dont le plan inférieur serait très, voire trop flexible.
Rappelons que ce week-end au Grand Prix de France, Ferrari a introduit plusieurs nouveautés sur sa monoplace, dont un aileron avant, un aileron arrière, un fond plat ou encore des écopes de freins modifiées.
Plusieurs équipes auraient demandé à la FIA de contrôler d’un peu plus près la flexibilité de l’aileron arrière de la SF90, car cet élément permettrait à Ferrari de gagner beaucoup de vitesse en ligne droite, ce qui est le vrai point fort de l’équipe italienne en 2019.
Selon plusieurs sources, c’est la planche inférieure de l’aileron arrière qui se plierait un peu trop dans les lignes droites, ce qui pourrait donner un certain avantage à Ferrari, qui disposerait ainsi presque d’un second DRS.
Officiellement, la SF90 de Ferrari est tout à fait légale, puisque la monoplace de Maranello doit passer, comme toutes les autres F1, le fameux contrôle technique obligatoire avant chaque épreuve le jeudi dans le garage de la FIA.
Affaire à suivre …
Le pilote Mercedes devance son coéquipier Lewis Hamilton de 41 millièmes et la Ferrari de Charles Leclerc de quatre dixièmes.
Derrière, Sebastian Vettel, Max Verstappen, Pierre Gasly, Lando Norris, Daniel Ricciardo, Carlos Sainz et Kimi Raikkonen complètent le top dix.
Les deux pilotes Mercedes semblent sur une autre planète ce samedi avec des Ferrari reléguées à plus de quatre dixièmes à la fin de cette troisième séance d’essais libres du Grand Prix de France.
Toutes les nouveautés apportées par Ferrari ce week-end au Castellet n’ont pas apporté le résultat escompté, la Scuderia ayant même décidé de n’en garder que la moitié.
Du côté de chez Haas, la situation n’a guère évolué depuis ce vendredi, puisque les deux pilotes occupent les quatorzième et quinzième positions au termes de ces EL3.
L’équipe américaine ne semble pas comprendre les pneus Pirelli une nouvelle fois ce qui promet un Grand Prix de France compliqué pour Haas.
Daniel Ricciardo, qui bénéficie de la Spec B du moteur Renault ce week-end, a réussi à se hisser à la huitième position lors de ces EL3.
Rendez-vous désormais à 15h00 pour la séance de qualifications du Grand Prix de France 2019.

La séance d’essais libres 3 du Grand Prix de France débute à 12h00 [heure française], le direct commenté débutera à 11h50.
Comme l’impose la loi lorsqu’un événement sportif majeur se passe sur le territoire français, au moins un diffuseur gratuit doit retransmettre l’épreuve pour permettre au plus grand nombre d’y avoir accès.
Pour la Formule 1, c’est la chaîne TF1 qui a diffusera le Grand Prix de France gratuitement, alors que les qualifications programmées le samedi sur le circuit Paul Ricard seront également diffusées gratuitement sur la chaîne TMC, qui appartient au groupe TF1.
Vous pourrez donc regarder la séance de qualifications du Grand Prix de France sur TMC ce samedi à partir de 14h55, tandis que le départ de la course sera visible sur TF1 le dimanche 23 juin à partir de 14h50.
Pour le dispositif mis en place par TF1, rien ne change par rapport au Grand Prix de Monaco [autre Grand Prix diffusé par TF1], puisque nous retrouverons Marion Jollès Grosjean, Jean-Eric Vergne, Adrien Paviot et Romain Chemoul.
Notez qu’après le Grand Prix de France, TF1 diffusera également gratuitement le Grand Prix de Belgique 2019, ainsi que le Grand Prix des Etats-Unis au mois de novembre.
Outre un nouvel aileron avant ou un nouveau fond plat, Ferrari a apporté au Castellet plusieurs éléments aérodynamiques sur la SF90 censés améliorer la performance globale de la monoplace et ainsi permettre à Ferrari de réduire son retard sur Mercedes.
Mais après la première journée d’essais, Mattia Binotto, directeur de Ferrari, a confirmé que certaines évolutions ne resteraient pas sur la voiture pour le reste du week-end.
“Tout n’a pas été parfait, nous avons apporté des pièces qui étaient importantes et que nous devions tester pour comprendre la direction à prendre pour le développement de la voiture.” a expliqué Mattia Binotto ce vendredi soir au Castellet.
“Parmi les pièces que nous avons testées, certaines resteront sur la voiture pour le reste du week-end. Certaines ont été conservées et considérées comme positives, alors que celles qui ont été retirées feront partie de notre plan d’essais. Ces dernières ne seront pas utilisées ce week-end.”
Parmi les pièces que Ferrari a décidé de conserver pour la suite du week-end au Grand Prix de France figurent l’aileron avant, l’aileron arrière, des écopes de freins modifiées, ainsi que plusieurs autres éléments moins visibles et sur lesquelles le directeur de l’équipe italienne n’a pas voulu entrer dans les détails.
Deuxième au termes de la seconde séance d’essais libres du Grand Prix de France avec quatre dixièmes de retard sur son coéquipier Valtteri Bottas, le Britannique en a gardé sous la pédale, puisqu’il a été le seul pilote du top dix à avoir signé son chrono le plus rapide avec des gommes Médiums quand tous les autres étaient chaussés en Tendres.
Il reste donc une certaine marge en termes de performance pour Lewis Hamilton, mais il est à noter que l’équipe Mercedes a détecté un problème sur l’unité de puissance montée sur la monoplace d’Hamilton ce vendredi.
“Lewis trouvait qu’il était difficile de trouver le bon équilibre avec la voiture, et il a même commis une petite erreur lors de son run avec des pneus Tendres.” explique Andrew Shovlin, ingénieur de course en chef chez Mercedes.
“Nous aurions aimé continuer avec ce pneu, mais nous avons détecté un raté [sur le moteur] peu de temps après et nous avons ramené la voiture pour enquêter.”
Pour Hamilton, pas de panique pour le moment. Le Britannique admet que les réglages de sa monoplace doivent encore être légèrement affinés, mais le rythme général de la W10 semble bon selon le pilote Mercedes.
“De façon générale, le rythme de la voiture est vraiment bon.” explique Hamilton. “Nous devons juste ajuster la balance, je n’ai pas fait un très bon tour en EL2, et j’ai eu une sortie de piste au virage 3.”
“J’ai eu un petit problème avec l’unité de puissance par la suite et j’ai dû revenir au garage. Sinon, dans l’ensemble, la journée s’est plutôt bien passée.”
Rappelons que le moteur Mercedes monté sur la monoplace de Lewis Hamilton au Canada a déjà connu un problème juste avant la course, ce qui a obligé les mécaniciens à effectuer des changements sur la W10 du Britannique peu avant le départ du Grand Prix le dimanche matin.
Mercedes avait détecté une fuite hydraulique sur l’unité de puissance dès le samedi soir après les qualifications, mais en raison du couvre feu instauré par la règle du parc fermé, les mécaniciens ne pouvaient pas toucher la voiture.
Le pilote McLaren Lando Norris, ainsi que le pilote Toro Rosso Alex Albon ont tous les deux reçu une boîte de vitesses neuve sur leur monoplace avant la huitième manche de la saison 2019 au Castellet.
Ces deux pilotes n’ont pas terminé la précédente course à Montréal, ce qui leur permet de recevoir une boîte de vitesses neuve sans être pénalisé comme le stipule la réglementation.
Kevin Magnussen, qui a été victime d’un gros crash il y a quinze jours au Canada a lui aussi reçu une boîte de vitesses neuve lors de la septième manche de la saison, le Danois ne sera pas pénalisé au Castellet.
