Le pilote Red Bull Pierre Gasly ne voudrait pas que les essais hivernaux soient réduits à partir de la saison prochaine en F1.

Il se murmure depuis quelques semaines dans le paddock de la F1 que les essais hivernaux pourraient être réduits de deux journées en 2020, afin de compenser un potentiel calendrier à 22 courses.

Jusqu’à présent, les essais hivernaux se déroulent sur huit journées en deux sessions de quatre jours sur le circuit de Barcelone quelques jours avant la première course de l’année.

Pour 2020, il se murmure que ces journées d’essais pourraient passer de huit à six jours, soit deux sessions de trois jours chacune, ce qui n’est pas du goût de certains pilotes dont Pierre Gasly.

« Pour moi, j’aime piloter une Formule 1, donc, il pourrait y avoir 10 ou 12 jours d’essais, ce serait génial. » explique Pierre Gasly.

« Après, je pense que l’on doit trouver un compromis pour les gens [les employés], parce qu’au final, il faut beaucoup de personnes pour faire rouler une voiture, des mécaniciens ou des ingénieurs pour tout préparer. »

« Je pense que par le passé c’était probablement plus intense et peut-être même trop. Mais désormais avec huit journées, je pense que c’est bien, donc, je ne voudrais qu’il y en ait moins. »

Pour l’heure, aucune annonce officielle n’a encore été faite par la Formule 1, alors que ni le calendrier définitif de la saison 2020, ni les dates des essais hivernaux n’ont également été publiés.

Le directeur des opérations de Racing Point espère que les périodes de back to back en F1 ne deviendront pas une routine à l’avenir.

Avec une augmentation significative du nombre de courses au calendrier de la F1 dans les années à venir, les équipes seront de plus en plus confrontées aux périodes de back to back [plusieurs courses consécutives sans pause].

L’an dernier déjà, la F1 a enchaîné le Grand Prix de France, d’Autriche et de Grande-Bretagne en seulement trois semaines, ce qui a représenté un sérieux défi pour toutes les équipes.

« Ce n’était pas une bonne chose à faire, et même si nous nous dirigeons vers un calendrier à 22 courses [en 2020], je pense qu’il ne devrait pas y avoir trois courses consécutives. » explique Otmar Szafnauer, le directeur des opérations chez Racing Point.

Le détenteur des droits commerciaux du sport, Liberty Media, souhaite ajouter plus de courses au calendrier pour générer plus de revenus, alors que l’objectif final est de 25 Grands Prix par an.

Szafnauer a toutefois souligné que, à mesure que le calendrier évoluait, les équipes atteindraient un «point de basculement» où elles auraient besoin d’embaucher davantage de personnel, ce qui augmenterait automatiquement leurs coûts.

« Je pense que c’est beaucoup. Nous aurions besoin d’ajouter des mécaniciens, des employés et cela ferait plus de voyages. »

« L’année prochaine, avec 22 courses, et si nous n’avons pas de back to back [enchaînement de courses], ce sera réalisable. Nous verrons bien à quoi cela ressemble, mais nous l’avons encore jamais fait. Nous devons juste faire attention de ne pas en faire trop. »

George Russell voudrait que son équipe Williams soit un peu plus flexible et permette à ses pilotes de tester davantage de choses.

Le jeune Britannique, qui a terminé le Grand Prix de Hongrie à la seizième position la semaine dernière [devant Racing Point et Alfa Romeo], aimerait que son équipe teste plus de choses lors des week-ends de Grand Prix, afin de lui permettre à lui, ainsi qu’à son coéquipier, d’avoir une vue d’ensemble bien plus large.

« J’espère bien que l’on pourra répéter ce genre de résultat lors des prochaines courses, mais je pense que nous devons être plus flexibles dans notre approche, nous ne devrions pas être aussi prudents lorsque nous essayons des choses. » explique George Russell.

« Nous devons simplement tester plus de choses durant les week-ends de course, nous n’avons jamais essayé assez de choses pour le moment. »

« Les pneus par exemple, nous n’avons pratiquement aucun changement d’approche tous les week-ends, je suis un peu déçu sur ce point. »

« La situation actuelle des pneus en Formule 1 est très difficile, les pneus jouent un rôle tellement important que vous devez en maîtriser chaque détail. »

L’équipe Williams est actuellement dernière du championnat du monde avec un seul point marqué grâce à la dixième place de Robert Kubica au Grand Prix d’Allemagne, bien aidé il est vrai par le déclassement des deux pilotes Alfa Romeo.

L’objectif de McLaren pour la seconde partie de la saison 2019 est très clair, l’écurie de Woking cherchera à continuer sur sa lancée dès la rentrée.

Quatrième au championnat du monde 2019, l’équipe McLaren est la grosse surprise de cette saison avec déjà 82 points inscrits depuis le début de la saison.

McLaren a dû faire face à quelques problèmes de fiabilité en début d’année, mais depuis quelques courses, la MCL34 se montre compétitive et fiable, permettant à McLaren de partir en vacances en étant la quatrième force de la grille.

« Notre objectif est très clair, nous voulons conserver cette dynamique jusqu’à la fin de la saison. » affirme Andreas Seidl, le team principal de McLaren.

« Nous voulons nous battre pour la quatrième place au championnat des constructeurs jusqu’à la fin de la saison dans cette bataille serrée. »

Néanmoins, l’Allemand considère que McLaren devra arriver à passer au bon moment une grande partie de ses ressources sur la monoplace de la saison prochaine.

« Il importera de changer le focus de l’équipe sur la voiture de l’année prochaine au bon moment. » insiste Seidl.

« Il s’agira de la première sous le leadership de James Key [qui a rejoint l’équipe cette année en tant que directeur technique]. A partir de là, notre objectif sera clairement de franchir la prochaine étape en termes de compétitivité pour la prochaine campagne. »

Le manager de l’équipe McLaren en a également profité pour dresser un bilan de la première partie de la saison 2019.

« L’équipe a fait un travail fantastique, nous apportons continuellement des mises à jour sur la voiture et nous sommes très forts sur les départs, les arrêts au stand et la stratégie de course, ainsi que sur la manière dont nous fonctionnons avec nos pilotes durant les week-ends de course. »

Daniel Ricciardo estime que la pause estivale arrive au bon moment pour l’équipe Renault, qui profitera de cette trêve pour effectuer un reset.

Le pilote australien, qui a rejoint Renault en début d’année, occupe après les douze premières courses de la saison la onzième position au classement des pilotes.

L’équipe Renault pour sa part est désormais sixième, devancée par Toro Rosso pour quatre points, alors que l’écurie cliente de Renault, McLaren, occupe la quatrième place du championnat avec 43 points d’avance sur Renault.

La pause estivale arrive donc au bon moment selon Daniel Ricciardo, qui en profitera pour dresser un premier bilan de ses six premiers mois dans sa nouvelle équipe.

« Je ne veux pas le dire de façon négative, mais parfois il est bon d’effectuer un reset pour tout le monde. » explique Daniel Ricciardo.

« Parfois, il est bon de prendre du recul pour revoir certaines choses. Le genre « GO, GO, GO », spécialement avec les week-ends qui s’enchaînent, ne t’aide pas à prendre du recul et ne me dit pas où je peux m’améliorer. »

« Ce sera également pour moi l’occasion d’évaluer mes six premiers mois avec ma nouvelle équipe. J’avais, je ne vais pas dire des attentes, mais des scénarios dans ma tête de comment les choses se passeraient. »

« Désormais, je veux évaluer où nous en sommes et essayer de comprendre ce que je peux faire de mieux, ainsi que l’équipe, et ne pas laisser des jours comme celui-ci [après ses qualification à Budapest où il a terminé à la dix-huitième place] me faire faire des choses qui ne sont pas positives. »

« Les vacances d’été seront bonnes pour nous, et je suis convaincu que la seconde moitié de saison sera meilleure. Nous allons maintenant essayer de garder la tête au dessus de l’eau et garder le moral. Je sais que nous allons y arriver. »

Largement dominé par son coéquipier George Russell, le Polonais Robert Kubica se retrouve tout de même devant le Britannique au championnat.

Depuis son grand retour en Formule 1 cette année, le Polonais Robert Kubica a brillé par son manque de performance flagrant, alors que son jeune coéquipier, George Russell, l’a dominé sur toutes les séances de qualifications.

En course, les statistiques restent très favorables à George Russell, puisque le Britannique a réussi à terminer à 10 reprises devant Robert Kubica en douze courses.

Kubica n’a jamais caché qu’il ne se sentait pas à l’aise avec la FW42 et a d’ailleurs utilisé récemment les réglages de la monoplace de son coéquipier, mais a été encore plus lent qu’avec ses propres réglages.

Le Polonais regrette évidemment la situation, alors qu’il ne peut que constater impuissant que son coéquipier le domine depuis le début de la saison.

« Lorsque j’ai décidé d’utiliser les mêmes réglages que George, j’étais encore plus lent. » explique Robert Kubica à Eleven Sports.

« C’est juste que lui il a une sensation différente dans la voiture. Il est à l’aise, donc, j’espère que j’aurai aussi un sentiment similaire au volant de la FW42. »

« Nous suivons notre propre chemin, mais en ce moment, c’est un peu comme si nous mangions tous les deux deux plats différents. C’est comme s’il avait commandé de la nourriture dans un bon restaurant, alors que moi je l’ai préparée moi-même et alors que je suis un très mauvais cuisinier. »

Comble de l’ironie, Robert Kubica se retrouve tout de même devant le Britannique au championnat du monde des pilotes avec un point marqué.

Robert Kubica a en effet profité du déclassement des deux Alfa Romeo en Allemagne pour empocher le point de la dixième place lors de l’une des deux seules courses où il se trouvait devant George Russell.

Les classements pilotes 2019

Christian Horner, estime que la F1 devrait remercier son équipe et plus particulièrement Max Verstappen d’avoir assuré le spectacle au cours des dernières courses.

Après un Grand Prix de France soporifique au mois de juin, nous avons eu la chance d’assister à quatre Grands Prix très animés avant la pause estivale, alors que le pilote Red Bull Max Verstappen en a été le principal protagoniste.

Victorieux en Autriche au terme d’une superbe remontée, le pilote néerlandais a de nouveau assurer le spectacle à Silverstone quinze jours plus tard dans un duel avec la Ferrari de Charles Leclerc.

Au Grand Prix d’Allemagne, là encore le pilote Red Bull a réussi à éviter les ennuis malgré des conditions météo difficiles et a signé sa seconde victoire de la saison. Enfin, au Grand Prix de Hongrie, Max Verstappen a décroché sa toute première pole position en F1 et nous a gratifié d’une belle bataille avec la Mercedes de Lewis Hamilton.

« La Formule 1 devrait remercier Max Verstappen et Red Bull, parce que sans cela, ce serait vraiment ennuyeux pour le moment. » a lancé Christian Horner, le team principal de l’équipe Red Bull, après le Grand Prix de Hongrie.

« Je pense que des courses comme celle que nous avons pu voir en Hongrie sont vraiment bonnes, même si nous ne terminons pas sur la plus haute marche du podium. »

« C’est ce que les fans veulent voir, je pense que les quatre dernières courses ont toutes offert un bon spectacle. J’espère que nous pourrons continuer sur cette lancée après la pause, si nous pouvons voir à nouveau Max se battre contre Lewis et les Ferrari, cela nous promet de bonnes choses pour l’avenir. »

« Je pense que nous avons fait du bon travail au cours des deux derniers mois, nous espérons juste pouvoir conserver cette dynamique après la pause estivale. »

Fernando Alonso se dit heureux de voir à quel point Honda s’est amélioré en termes de compétitivité.

En 2015, Honda a fait son grand retour en F1 en tant que motoriste avec l’équipe McLaren en laçant un programme de grande envergure auquel Fernando Alonso a participé.

Déçu ne pas pouvoir décrocher le titre mondial avec Ferrari, le pilote espagnol a décidé en 2015 de rejoindre le projet très ambitieux de McLaren-Honda, mais après quatre saisons compliquées, le double champion du monde a décidé de se retirer de la catégorie reine du sport automobile.

Très enthousiaste au début du programme, la frustration a petit à petit pris le dessus pour l’Espagnol et les premières critiques en public sur le moteur Honda n’ont pas du tout été appréciées par le motoriste nippon.

On se souviendra longtemps du fameux « GP2 engine » lâché par un Fernando Alonso frustré de se faire doubler en ligne droite au Grand Prix du Japon.

Mais depuis le début de la collaboration entre Honda et Red Bull en 2019, le motoriste nippon a réussi à décrocher deux victoires et cinq podiums en douze courses, ce qui a permis à l’équipe Red Bull de revenir à seulement 44 points de la Scuderia Ferrari au championnat constructeurs.

Interrogé pour connaître son avis sur les performances du moteur Honda cette année, Fernando Alonso se dit heureux de constater à quel point le moteur de la firme nippone est devenu compétitif.

« Ils ont eu de très bonnes améliorations, je suis vraiment heureux de voir que les gars avec lesquels nous avons souffert au début du programme sont maintenant compétitifs. » a déclaré Fernando Alonso.

« Renault aussi [en tant que motoriste]. Je pense que les deux ont fait un bon pas en avant et que cela profitera au sport dans les prochaines années. »

Fernando Alonso sera-t-il de retour en catégorie reine du sport automobile en 2020 ? L’Espagnol continue de faire planer le doute.

Le double champion du monde de Formule 1, Fernando Alonso, a quitté la catégorie reine du sport automobile à la fin de la saison 2018 pour se concentrer sur le championnat du monde de WEC avec Toyota.

L’Espagnol a également participé aux 500 Miles d’Indianapolis, toujours dans l’espoir de décrocher la triple couronne qu’il convoite depuis quelques années maintenant.

Désormais cantonné à un simple rôle de spectateur en F1, Fernando Alonso souligne à quel point les écarts entre les équipes sont toujours aussi importants et estime que les problèmes de ces dernières années sont toujours présents.

« La Formule 1 restera toujours la Formule 1. Dans le même temps, les problèmes de ces dernières années sont toujours présents, il y a toujours d’énormes différences entre les équipes. » affirme le pilote espagnol.

« Heureusement, il y a des performances telles que celles de Max Verstappen et Lewis Hamilton, qui rendent la course encore plus intéressante, du moins pour eux. »

Concernant son potentiel retour en catégorie reine du sport automobile, Fernando Alonso continue de jouer le mystère sur son avenir : « J’ai été un peu surpris de voir combien de personnes ont parlé de moi ces derniers temps. »

« Pour l’instant, j’ai eu ma meilleure première moitié de saison durant laquelle j’ai gagné le championnat du monde, Daytona, Sebring, Le Mans…Si un jour je décide de revenir, vous le saurez. »

« Tous les rêves que j’ai eus en Formule 1 ont été accomplis, donc, essayer d’être le meilleur dans toutes les catégories, toutes les voitures, me semble être un rêve aussi ambitieux. C’est excitant ! ».

« Qui sait ce que l’avenir nous réserve, beaucoup de gens me posent des questions sur la Formule 1[..] On verra. »

Pour rappel, le pilote espagnol est désormais libre de tout engagement, puisque le patron de McLaren a récemment déclaré que Fernando Alonso pourrait aller dans n’importe qu’elle équipe en F1 dans l’hypothèse où il souhaiterait faire son grand retour.

Selon Chase Carey, le PDG de la F1, la mise en place d’un plafond budgétaire en catégorie reine du sport automobile sera essentielle pour attirer de nouvelles équipes.

Le patron de la Formule 1 a révélé que des discussions étaient en cours avec de potentielles nouvelles équipes, mais que le sujet d’un plafond budgétaire restait pour l’instant au centre des préoccupations de ces potentiels nouveaux arrivants.

A l’heure actuelle, il y a dix équipes sur la grille de la Formule 1, mais à terme, la catégorie reine aimerait en avoir au moins douze.

« Nous avons eu des discussions avec de nouvelles équipes potentielles, et pour lesquelles l’introduction d’un plafond budgétaire et une meilleure répartition des revenus sont essentiels. » a confirmé Chase Carey, le PDG de la Formule 1.

« Nous souhaitons créer un sport plus sain avec un plafond budgétaire, il existe des objectifs concurrentiels, mais il est également important qu’un plafond budgétaire créé un modèle commercial sain pour les équipes actuelles et les nouveaux arrivants potentiels. »

« Nous souhaitons plus d’action, de spectacle, d’imprévisibilité et, dans le même temps, une activité plus saine pour les équipes. »

A partir de la saison 2021, les équipes pourront dépenser 175 millions de dollars au maximum par an, cette somme n’incluant pas les salaires des pilotes, les frais liés aux déplacements ou encore le marketing.

Les pilotes Sergio Perez et Lance Stroll sont en passe d’être confirmés chez Racing Point pour la saison 2020.

Otmar Szafnauer, le directeur de l’équipe Racing Point, a indiqué à Reuters que le duo de pilotes resterait probablement inchangé l’an prochain.

Il ne faisait aucun doute sur le fait que Lance Stroll resterait chez Racing Point en 2020, mais concernant le Mexicain Sergio Perez, la reconduction de son contrat semblait moins certaine ces dernières semaines.

« Je ne le pense pas », a-t-il déclaré à la question de savoir s’il envisageait un changement chez Racing Point en 2020.

« Lance est jeune et est en apprentissage, il a beaucoup de potentiel. C’est une équipe totalement différente pour lui et cela prend du temps de s’engager avec tout le monde et de s’installer, mais cela se passe à un bon rythme. »

« Nous lui apprenons des choses sur la façon dont nous nous occupons de nos affaires et Sergio nous aide à cela. Sergio est ici depuis longtemps, donc je pense que c’est un bon mélange, une bonne combinaison. »

L’annonce officielle du line-up de l’équipe Racing Point devrait être faite dans les prochaines semaines, certainement à Spa pour la première course de la seconde moitié de la saison 2019.

Otmar Szafnauer, directeur de Racing Point, a déclaré que ce n’est qu’une question de temps avant que l’équipe ne redevienne la meilleure des autres.

Racing Point est actuellement avant dernière au championnat avec 31 points marqués depuis le début de l’année et à seulement 8 points de l’équipe Renault.

Le directeur de Racing Point insiste sur le fait que Renault devrait se méfier de son écurie pour la seconde partie de la saison 2019, puisque de nombreuses mises à jour seront introduites sur la RP19, ce qui devrait permettre à Racing Point de remonter dans la hiérarchie.

« Nous y arriverons, nous avons les mêmes personnes, les mêmes processus et plus d’argent, donc, ce n’est qu’une question de temps. » a déclaré Szafnauer.

« La seconde partie de la saison devrait plus ressembler à celle du passé, Renault a intérêt à faire attention. »

Szafnauer n’a pas exclu la quatrième place au championnat en tant que cible et ce, même si l’équipe Racing Point semble encore loin de cet objectif.

« Je pense toujours que c’est possible mais ce sera difficile. Non pas parce que nous sommes loin, mais plutôt parce que la concurrence en milieu de peloton est très intense et que nous ne nous battons que pour quelques points et quelques dixièmes.

« Si les trois premières équipes font ce qu’elles ont à faire, vous ne vous battez que pour une poignée de points, et nous sommes nombreux au milieu de terrain à nous battre pour cette poignée. »