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Le nouveau PDG de la Formule 1, Stefano Domenicali, estime que la F1 devra se montrer très flexible cette année encore en raison de la crise sanitaire et des multiples restrictions dans différents pays.

Un calendrier révisé de la saison 2021 a été révélé il y a de cela quelques semaines, Bahreïn remplaçant l’Australie en manche d’ouverture de la saison 2021 en raison des restrictions mises en place par le gouvernement australien, tandis qu’Imola a réintégré le calendrier cette année.

Domenicali, qui a pris ses fonctions à la tête de la Formule 1 au mois de janvier, a déclaré qu’il n’y avait pas encore de changement à signaler, mais que la F1 a des « alternatives » et devra se montrer flexible une fois de plus cette année.

« Ce que je peux vous dire, c’est que je parle au quotidien avec tous les organisateurs. » a déclaré l’Italien à Sky Sports.

« Nous savons que la pandémie est toujours là, c’est pourquoi nous avons changé la place de l’Australie dans le calendrier (désormais programmé en novembre). »

« Mais pour l’instant, les informations dont nous disposons sont que tout le monde aimerait vraiment aller de l’avant avec le plan. »

« Bien sûr, nous devons être suffisamment flexibles pour comprendre que peut-être dans la première partie de la saison, nous pourrions avoir des événements sans public ou avec des membres restreints du public. »

« Mais ce que je peux assurer à nos supporters, nos fans, c’est que nous voulons vraiment nous assurer que la saison démarre, nous avons un engagement et nous voulons prendre cela en compte, et nous avons des alternatives possibles au cas où – mais jusqu’à présent personne ne nous a donné des informations différentes de celles que nous avons partagées. »

« C’est ce que nous savons aujourd’hui, mais nous savons comment la pandémie a évolué, nous devons donc être prêts pour une approche flexible sur la saison. »

La saison 2021 de Formule 1 doit normalement débuter le 28 mars avec le Grand Prix de Bahreïn.

Le nouveau PDG de la Formule 1, Stefano Domenicali, qui a pris ses fonctions en ce début d’année, est très enthousiaste sur l’avenir de la discipline.

L’ancien directeur sportif de la Scuderia Ferrari souhaite mettre en avant l’aspect positif de la Formule 1, comme il l’a confié à nos confrères de Skysport : « Il est temps de parler très sérieusement de qui nous sommes et de ce que nous proposons. Il y a de grandes opportunités à venir. »

L’Italien souligne également l’importance de l’humain dans le sport et désigne les pilotes comme étant les ambassadeurs évidents de leur discipline : « Les pilotes seront au centre de l’avenir de la Formule 1. »

« Je pense qu’ils représentent la véritable âme de la Formule 1 avec leurs visages, leurs capacités. »

« Il faut les envisager non seulement comme des pilotes mais également comme des ambassadeurs de notre sport. Ils sont cruciaux pour l’avenir. »

Le vivier de jeunes pilotes actuellement sur les grilles de départ, représentés par Charles Leclerc, Lando Norris ou encore Max Verstappen, associés aux anciens comme Lewis Hamilton, Sebastian Vettel ou Kimi Räikkönen, est une force pour la Formule 1 selon Domenicali : « Nous n’avons pas eu, au cours de la dernière décennie, autant de bons pilotes que ce que nous en avons maintenant. »

« Nous avons des jeunes pilotes incroyables et il y a aussi un record incroyable à réaliser pour Lewis [Hamilton]. Les défis sont donc grands. » conclut l’Italien.

Stefano Domenicali a été nommé PDG de la Formule 1 par Liberty Media en remplacement de Chase Carey. L’Italien avait notamment été le directeur sportif de la Scuderia Ferrari pendant un peu plus de 6 ans avant d’être limogé en 2014.

Il avait alors pris du recul par rapport à la Formule 1 en prenant la tête de Lamborghini avant de finalement revenir dans la discipline reine du sport automobile cette année.

En choisissant de passer de la fourniture des unités de puissance Renault à celle de Mercedes, McLaren ne s’est pas facilitée la tâche pour aborder cette nouvelle saison.

Il est vrai qu’au moment de ce choix, la nouvelle réglementation technique devait intervenir en 2021, mais elle a été repoussée à 2022 à cause de la crise sanitaire mondiale.

Contraint d’intégrer le moteur Mercedes dans un chassis qui ne subira que peu de modifications par rapport à celui de la saison passée, l’équipe McLaren peut néanmoins compter sur la contribution « fantastique » de Mercedes, comme l’a qualifié James Key, le directeur technique de l’écurie basée à Woking.

« Je pense que nous sommes dans un timing raisonnable. Nous sommes là où nous pensions être à ce stade de l’année, malgré les retards évidents que nous avons subis. » a précisé Key au podcast F1 Nation en décembre dernier.

« A la base, nous voulions commencer plus tôt que ce que nous l’avons fait […] mais je pense que nous nous sommes bien rattrapés. »

La bonne entente et la collaboration avec Mercedes ont été la clé de voute de ces progrès : « L’interaction avec Mercedes a été fantastique. Ils nous ont été d’un grand support et ont reconnu le fait que nous avions des délais très courts. »

« Nous avons travaillé avec eux de manière efficace ces derniers mois. » poursuit l’ingénieur.

« Nous sommes là où nous voulons être concernant l’installation du bloc propulseur et la fabrication des nouvelles pièces pour 2021. »

En effet, McLaren se voit dans l’obligation d’utiliser des jetons de développements pour adapter l’arrière de la future MCL35M au moteur Mercedes.

Mais cela ne semble pas nuire au plan de travail de l’équipe britannique à en croire les propos de Key : « Il y a toujours du travail en cours. Nous planchons sur ce projet depuis un moment, même si la réglementation 2021 a été décidée un peu tardivement. »

En 2021, McLaren comptera sur Lando Norris et Daniel Ricciardo pour faire au moins aussi bien que la saison dernière lors de laquelle l’équipe britannique avait décroché la 3ème place du championnat des constructeurs.

Les États-Unis vivent une journée historique avec l’investiture de leur 46ème président en la personne de Joe Biden.

L’accession au pouvoir du démocrate était attendue après les quatre années de mandat chaotique de son prédécesseur, Donald Trump.

Lors de la cérémonie de son investiture, Biden à notamment déclaré : « Nous avons beaucoup à faire, beaucoup à réparer, à construire, à soigner (…) Peu de personnes dans notre histoire ont eu à faire face à des temps aussi troublés. »

Il a choisi de nommer à ses côtés, en tant que vice-présidente, Kamala Harris, qui devient ainsi la première femme et la première personne afro-américaine et asio-américaine, à obtenir ce poste.

Très engagé dans la lutte pour la diversité et contre le racisme, Lewis Hamilton n’a pas manqué de commenter cette étape historique de l’histoire des États-Unis.

« C’est une journée historique en Amérique. Aujourd’hui il y a tellement plus d’espoir en l’avenir. » a notamment écrit le septuple champion du monde britannique sur son compte Twitter.

« C’est un exemple de diversité dans le leadership qui j’espère, va se refléter dans les industries et les gouvernements. Félicitations à Joe Biden et Kamala Harris. » a ajouté Hamilton.

En 2020, le pilote Mercedes a mis en lumière nombreux de ses combats, notamment pour l’égalité et contre le racisme anti-noir au travers du mouvement #BlackLivesMatter.

Il a été largement suivi par les dirigeants de la F1, les autres pilotes et les équipes qui ont mis en avant l’importance de la diversité dans le sport en arborant notamment le message #WeRaceAsOne.

Son équipe, Mercedes, avait même choisi de repeindre ses monoplaces en noir avant le début de la saison pour confirmer son engagement au côté de son pilote.

En Formule 1 rien ne se fait au hasard. Et la signature d’un nouveau pilote par la Scuderia Ferrari, encore moins.

En 2021, Charles Leclerc aura un nouvel équipier à ses côtés au sein de l’équipe italienne. En effet, Ferrari a choisi d’accorder sa confiance à l’ex-pilote McLaren, Carlos Sainz.

Le choix de recruter le pilote espagnol ne s’est pas fait au hasard et toutes les données disponibles ont été analysées par les dirigeants de Maranello, jusqu’aux conversations radio que Sainz a eu tout au long de la saison avec McLaren.

« Avant de lui faire une offre, nous avons écouté toutes ses communications radio, afin de nous rendre compte de la façon dont il communiquait. » a précisé Mattia Binotto, le directeur sportif de la Scuderia, au site officiel de la F1.

« Sa manière de communiquer en dit long sur la façon dont il aborde l’exercice…c’est très précis. » poursuit le Suisse.

« C’est un travailleur acharné, il est méthodique, solide et je trouve que c’étaient des qualités qui étaient très importantes pour nous. »

Ferrari et Binotto ont donc porté un regard très précis sur les performances de Sainz mais aussi sur sa manière de travailler : « En course, il est constant, rapide, il sait attaquer et défendre mais il ramène toujours la voiture à l’arrivée. Tout ça de manière très cohérente. »

« Je pense donc que c’est un bon pilote pour réaliser une bonne saison au championnat des constructeurs. »

« Nous avons également analysé sa vitesse. Je le crois rapide. Nous avons constaté qu’il était rapide et je crois qu’il a prouvé cette saison qu’il était même très rapide en comparaison avec Norris qui avait prouvé la saison passée qu’il était également très rapide. »

« Mais si vous regardez le Carlos de 2020, vous constatez qu’il a été très fort. Il s’est amélioré en qualifications par rapport aux saisons passées et il est toujours très fort en course. C’est donc un gros travailleur. »

« En plus de tout cela, il est jeune et il possède déjà un grande expérience en F1. »

« C’est encore un jeune pilote et il a beaucoup de temps devant lui pour se développer. Il n’est pas à la fin de sa carrière. » conclut Binotto.

Lando Norris devrait rentrer chez lui au Royaume-Uni plus tard cette semaine après avoir terminé sa quarantaine à Dubaï à la suite de son test Covid-19 positif révélé la semaine dernière confirme la Formule 1 ce mercredi soir.

Le pilote McLaren s’est rendu à Dubaï en vacances avant un camp d’entraînement prévu et a passé un test Covid-19  après avoir perdu le goût et l’odorat.

En raison du résultat positif, Norris a été dans l’obligation de s’auto-isoler pendant les 14 jours suivants dans son hôtel comme le stipule le protocole mis en place par la FIA.

Le Britannique, qui, selon l’équipe, se sent mieux, doit désormais renvoyer un test négatif avant d’embarquer sur son vol de retour au Royaume-Uni, conformément aux directives du gouvernement. Dès son retour sur le sol britannique, il devra de nouveau s’isoler à son domicile près de l’usine McLaren.

Il est entendu qu’il ne se rendra au MTC (McLaren Technology Center) à Woking que si cela est vraiment nécessaire, tandis que son programme a été revu pour qu’il puisse continuer à suivre ses entrainements.

Norris disputera sa troisième saison avec McLaren en 2021, aux côtés de son nouveau coéquipier Daniel Ricciardo, qui remplace Carlos Sainz, qui a rejoint Ferrari.

Il est l’un des cinq pilotes de Formule 1 avec Sergio Perez, Lance Stroll, Lewis Hamilton et Charles Leclerc  à avoir été testé positif au Covid-19 depuis le début de la pandémie.

L’ancien pilote de Formule 1, Kevin Magnussen, a déclaré que son premier test au volant du prototype Cadillac du championnat IMSA (endurance) lui avait montré à quel point la F1 moderne « manque d’âme ».

Remercié par l’équipe Haas à la fin de la saison 2020, le Danois Kevin Magnussen a réussi à rebondir dans le championnat IMSA Américain avec le Chip Ganassi Racing.

Kevin Magnussen débutera dans la discipline aux 24 Heures de Daytona, mais le pilote danois a déjà pu se familiariser avec sa machine lors d’un test réalisé cette semaine sur la piste très bosselée de Sebring.

« C’est vraiment génial de piloter à nouveau une vraie voiture de course. J’ai l’impression que depuis six ou sept ans je pilotais un avion. » explique Magnussen au journaliste américain, Marshall Pruett.

« Piloter une voiture de Formule 1 est incroyable, elle a beaucoup d’adhérence, beaucoup de puissance, c’est très amusant, mais cela manque un peu d’âme. »

« Je ne sais pas comment le dire, il manque quelque chose. C’était donc une vraie révélation pour moi de revenir un peu en arrière et de piloter une voiture comme la Cadillac DPI. »

Bien que Kevin Magnussen n’ait conduit qu’une partie du test à Sebring, en raison des tests IndyCar en cours simultanément, le Danois a indiqué que c’était aussi un changement de rythme par rapport à la F1.

« C’est mon genre de course, j’aime vraiment le défi de ces pistes super bosselées avec des vibreurs incohérents. »

« Vous savez, en F1 vous vous habituez à avoir des vibreurs aux mêmes spécifications et qui sont utilisés partout. Sur chaque piste sur laquelle vous allez, c’est exactement le même vibreur que la FIA a mis partout. »

« Toutes les pistes deviennent presque les mêmes et le caractère de chacune d’entre elles se perd un peu. Mais lorsque vous venez ici à Sebring, il n’y a aucune autre piste ayant le même caractère. »

Le pilote Alpine F1 Team Esteban Ocon prendra le volant de l’Alpine A110S ce jeudi 21 janvier avec une série de passages sur les spéciales du Rallye Monte-Carlo 2021.

Esteban Ocon prendra pour la première fois le volant de l’Alpine A110S en tant que pilote Alpine F1 Team à l’occasion de sa première participation à un rallye.

Le Français parcourra deux spéciales lors de la journée d’ouverture du 89e Rallye Monte-Carlo avec la voiture ouvreuse VIP, en commençant par une séance d’essais privée matinale afin de comprendre toutes les subtilités de l’Alpine A110S dans les conditions uniques de l’épreuve.

Le coup d’envoi du rallye sera ensuite donné jeudi à 13h10 à Gap. Esteban Ocon négociera l’ES1, un parcours de 20,58 km entre Saint-Disdier et Corps, et l’ES2 reliant Saint-Maurice à Saint-Bonnet 70 minutes avant les ténors du Championnat du Monde des Rallyes, dont ses compatriotes Sébastien Ogier, Champion du Monde en titre, et Pierre-Louis Loubet, son partenaire d’entraînement durant la pause hivernale.

Le pilote Alpine F1 arborera son numéro de course, le n° 31, apposé sur l’Alpine A110S parée de sa traditionnelle et emblématique livrée bleue.

« C’est une opportunité fantastique et j’ai vraiment hâte de vivre ma première expérience au Rallye Monte-Carlo. » nous explique Ocon.

« C’est un événement légendaire, un joyau du calendrier du sport automobile et je sais à quel point il sera spécial d’en faire partie. Je suis impatient de piloter la magnifique Alpine A110S. »

« J’ai découvert l’Alpine A110 en octobre dernier à l’occasion de trois tours sur la Nordschleife. Cette journée est inoubliable avec une voiture très confortable et agile. »

« Elle est née pour ce type de défis faits d’épingles serrées et de cols montagneux. Le rallye a toujours fait partie de mes rêves, donc piloter l’Alpine A110S au Monte-Carlo est parfait pour commencer l’année. »

Cette semaine, Alpine comptera cinq équipages engagés dans la catégorie R-GT du Rallye Monte-Carlo avec Cédric Robert, Emmanuel Guigou, Philippe Baffoun, Pierre Ragues et Raphaël Astier au volant d’Alpine A110 Rally lors des quatre jours de compétition. 

Esteban Ocon a un message à vous adresser 🙏 #RallyeMonteCarlo #StayAtHome #TheRallyComestoYou pic.twitter.com/bkBTi30RjX

— Automobile Club de Monaco (@ACM_Media) January 21, 2021

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Présent en Formule 1 depuis dix saisons maintenant, le Mexicain Sergio Perez a enfin réussi à signer avec l’une des plus grandes équipes de la grille, l’écurie Red Bull Racing.

Le nouveau coéquipier de Max Verstappen a débuté son travail avec sa nouvelle équipe ce mardi en se rendant à l’usine de Milton Keynes pour y mouler son baquet et rencontrer les personnes avec lesquelles il va travailler tout au long de l’année.

Le Mexicain est ensuite revenu sur ce moment si spécial pour lui de faire désormais partie d’un top team en Formule 1.

« C’est une marque fantastique. De toutes les équipes de Formule 1, je pensais que je n’avais aucune chance de la rejoindre car je ne faisais pas partie du programme junior, mais quand l’occasion s’est présentée, je l’ai saisie. » nous explique Sergio Perez.

« C’est un rêve devenu réalité. Quand je mets ma chemise Red Bull ou que je bois une canette, je pense que «wow, c’est la marque pour laquelle je pilote! »

« C’est incroyable et difficile à imaginer. C’est une opportunité pour laquelle j’ai travaillé si dur – pendant plus de 15 ans. Je pense que c’est arrivé au bon moment, je suis prêt pour cela et je vais le saisir à deux mains. »

« J’ai déjà travaillé avec Christian [Horner] dans l’équipe Arden International GP2 en 2009. J’ai aussi travaillé avec Christian et son père, j’ai piloté pour lui lors de ma première saison en GP2. »

« C’est fou de penser qu’après 12 ans, nous travaillerons à nouveau ensemble. J’admire beaucoup Christian. »

« Tout d’abord, c’est une personne fantastique à avoir autour de vous, et c’est aussi un excellent chef d’équipe, de grands moments nous attendent. »

Sergio Perez se dit fier de ses réalisations dans sa carrière jusqu’à présent, mais le Mexicain sait que le travail ne fait que commencer : « Je pousse toujours au maximum et l’année dernière, j’ai enfin eu une voiture avec laquelle je pouvais montrer un peu plus et les gens ont vu de quoi je suis capable, mais c’est maintenant ma grande opportunité. »

« Je dois passer à l’étape suivante dans tous les aspects et je pense que j’y suis prêt. La seule chose qui me manquait était l’opportunité. »

« Maintenant que je l’ai, c’est à moi de la faire fonctionner. Je vais m’assurer de performer. Si nous avons une voiture qui peut gagner le championnat, je veillerai à ce que nous le gagnions. Et sinon, et si nous n’avons qu’une voiture assez bonne pour la troisième place, je veillerai à ce que nous finissions deuxièmes. »

« J’espère que nous allons avoir une très bonne saison et c’est la seule façon pour moi de remercier M. Mateschitz, le Dr Marko, Christian, Adrian [Newey, directeur technique de Red Bull] et toute l’équipe. »

« Personne auparavant ne m’a donné la chance de faire partie d’une grande équipe. Nous allons entendre l’hymne national mexicain plusieurs fois l’année prochaine, je l’espère! » conclut le Mexicain.

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Le Français Pierre Gasly reste convaincu que le départ anticipé du motoriste Honda de la Formule 1 à la fin de la saison 2021 ne signifie pas que les ingénieurs de la firme nippone seront moins assidus.

En 2020, Honda a annoncé son retrait de la compétition à la fin de la saison 2021 après avoir signé son grand retour en Formule 1 en 2015 en tant que motoriste.

Après les premières années compliquées avec l’équipe McLaren, Honda a réussi à retrouver des couleurs avec, dans un premier temps, l’équipe Toro Rosso en 2018, avant de motoriser également l’écurie Red Bull Racing une année plus tard.

L’an dernier, Honda a réussi à décrocher pas moins de douze podiums, dont trois victoires à Silverstone (Verstappen), Monza (Gasly) et Abou Dhabi (Verstappen) et n’aura connu aucun problème majeur sur son unité de puissance, terminant la campagne 2020 sans aucune pénalité de grille due à une défaillance de son moteur.

Pour ce qui sera sa dernière saison en Formule 1 en tant que motoriste, Honda visera le titre constructeurs et Pierre Gasly reste convaincu que les Japonais feront tout ce qu’il faut pour y arriver.

« Je pense que Honda a un bon plan. Ils ont des idées prometteuses, mais je ne peux pas parler pour eux. » explique Gasly, cité par GrandPX.news.

« Ce dont je suis certain, c’est qu’ils n’abandonneront pas avant la fin de l’année. Ce n’est pas dans leur mentalité. »

« Ils travaillent constamment pour s’améliorer, et à Abou Dhabi [la dernière course de la saison 2020], Verstappen a dépassé Mercedes pour monter sur le podium et les quatre voitures à moteur Honda ont atteint la Q3. »

« C’est certainement un bon point de départ, même s’il est évident qu’il vaudrait mieux obtenir plus de puissance dès les premières courses de la saison prochaine. »

Au terme de la saison 2021, Honda stoppera son programme en Formule 1, mais l’équipe Red Bull Racing envisage de racheter la propriété intellectuelle du motoriste pour continuer à utiliser les unités de puissance de la firme japonaise à partir de 2022.

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L’ancien pilote de réserve de l’équipe Renault F1 (il n’a toujours pas été annoncé pour 2021 avec Alpine), le Russe Sergey Sirotkin, estime que le combat entre Fernando Alonso et Esteban Ocon cette année chez Alpine sera très serré.

Le jeune russe ne pense pas que le double champion du monde Fernando Alonso arrivera à faire de l’ombre au Français Esteban Ocon, du moins pas lors des premières courses de la saison.

« Esteban comprendra mieux l’équipe et la voiture. Je ne m’attends pas à ce qu’il reste dans l’ombre d’Alonso. » explique Sergey Sirotkin au site russe Championnat.

« Il me semble qu’il sera très difficile pour Fernando d’être immédiatement au niveau auquel Dan [Daniel Ricciardo] a laissé « sa » voiture. »

« Et Fernando aura certainement beaucoup d’exigences pour l’équipe, mais l’équipe aura également des exigences élevées pour Fernando. Il devra commencer la saison aussi fort que possible. »

« Je pense – du moins au stade initial – que le combat entre Alonso et Ocon sera très serré. De plus, décrocher un podium [à Sakhir] a beaucoup aidé Esteban. A Abou Dhabi, on a eu l’impression qu’un poids était tombé de ses épaules. »

« Il était capable de rouler plus détendu, et dans les courses, c’est très important. Lorsqu’on est tendu, on perd. »

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Grand nettoyage de printemps à l’usine Mercedes à Brackley, puisque l’équipe du constructeur allemand a décidé de se séparer des baies de course qui étaient utilisées depuis 1999.

Depuis la saison 1999, les voitures construites dans ces aires de course à l’usine de Brackley ont remporté 115 victoires, 253 podiums, 126 pôles, 79 tours les plus rapides et 57 doublés.

Mais après plus de deux décennies d’utilisation, Mercedes a pris la décision de moderniser ses infrastructures et a dévoilé les premiers aperçus 3D des nouvelles baies de course qui seront livrées dans les prochains jours.

Au cours des dernières années, tous les employés de l’équipe Mercedes avaient pris pour habitude de se réunir devant ces aires de course pour célébrer les victoires ou bien des moments plus douloureux.

« Comme une personne sage l’a dit un jour : « si vous n’allez pas de l’avant, vous reculez ». » explique Mercedes.

« Alors qu’un chapitre de l’histoire touche à sa fin, un nouveau et passionnant commence. Voici donc un premier aperçu numérique de nos nouvelles baies de course. »

But as a wise person once said ‘If you’re not moving forward, you’re falling back!’

And as one chapter in the Team’s history comes to an end, a new and exciting one starts.

So here’s a first digital look at our new Race Bays ? pic.twitter.com/QvD9u2PmCJ

— Mercedes-AMG PETRONAS F1 Team (@MercedesAMGF1) January 19, 2021

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McLaren a annoncé une collaboration avec la marque de mode de luxe, Rhude, pour produire un ensemble de collections exclusives lancées tout au long de la saison de Formule 1 2021.

Les collections réinventeront les histoires puissantes et l’iconographie de l’histoire de McLaren en Formule 1, « transmettant le style et l’énergie de la course dans des designs innovants et progressifs ».

Rhude, fondée par Rhuigi Villaseñor en 2015, est une entreprise de design née à Los Angeles, équilibrant les techniques de luxe avec des éléments streetwear présentés comme des collections de prêt-à-porter et sur mesure.

McLaren et Rhude réuniront les idéaux pionniers et l’histoire unique des marques pour former une collaboration qui rendra hommage à la légende de la course Bruce McLaren, vue à travers le prisme du luxe moderne et du propre respect de Rhuigi pour la Formule 1, résultant en une fusion unique de sport et mode.

Une sélection de pièces de la première collection capsule sera présente à la Fashion Week de Paris 2021 dans la collection Rhude Automne et Hiver 2021, Storms Never Last.

Le lancement officiel de la première collection Rhude x McLaren est prévu pour l’été 2021 avec un aperçu numérique exclusif pour les fans qui sera annoncé.

« La collaboration de McLaren Racing avec Rhude est une étape passionnante alors que nous continuons à engager une base de fans mondiale. » nous explique Ben Priest, vice-président principal, développement des partenariats chez McLaren.

« Rhude a un doigt sur le pouls de la culture et du style de vie en Amérique, et nous sommes ravis de collaborer avec Rhuigi alors qu’il s’inspire de l’histoire de notre marque emblématique et réinvente le style de piste pour cet ensemble de collections. »

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Sebastian Vettel assure qu’il n’a pas eu besoin de comprendre la décision de Ferrari, qui a indiqué au pilote allemand avant même le début de la saison 2020 qu’il ne serait pas reconduit pour 2021.

Le quadruple champion du monde, remercié par la Scuderia Ferrari après six années de bons et loyaux services, a été informé en début d’année 2020 qu’il devrait quitter l’équipe à la fin de la saison et serait remplacé par l’Espagnol Carlos Sainz.

Le directeur de l’écurie italienne, Mattia Binotto, a justifié ce choix en indiquant que la crise sanitaire avait joué un rôle clé dans cette prise de décision et avait contraint Ferrari à changer ses plans.

Bien que surpris dans un premier temps de recevoir l’appel de son patron début mai venant lui expliquer que Ferrari ne comptait pas le garder, Sebastian Vettel a admis qu’une fois la nouvelle encaissée il s’est concentré sur son avenir.

« Je n’ai pas besoin de comprendre [la décision de Ferrari] pour être honnête, et cela ne change rien. » insiste Vettel dans un entretien accordé à Racer.

« Je ne vois pas les choses de cette façon, je ne travaille pas de cette façon. Ca me va et je l’accepte complétement, et quand Mattia [Binotto, directeur de l’équipe Ferrari] me l’a dit au téléphone c’était clair. »

« Ce n’était pas comme si j’avais essayé de riposter ou de le convaincre du contraire, pas du tout. »

« Je pense vraiment que si une porte se ferme, une autre s’ouvre, et évidemment cela a pris un peu de temps et cela a soulevé beaucoup de questions sur la porte que je voulais ouvrir. »

« Ce n’est pas que j’avais le choix de toutes les équipes, mais juste en termes de ce que je veux faire – plus pour le futur, si je veux rester en Formule 1 ou pas. Mais évidemment, j’ai pris ma décision et ouvert la porte. »

Cette porte dont parle Sebastian Vettel est bien-sûr celle d’Aston Martin que le pilote allemand a rejoint cette année, mais le quadruple champion du monde admet que ce n’était pas forcément la piste envisagée dès le début, notamment à cause de la crise sanitaire qui est venue complétement chambouler le quotidien et les perspectives d’avenir de beaucoup de personnes dans le monde.

« Le processus de réflexion est probablement vrai pour nous tous avec ce qui s’est passé [le Covid] et cela a d’abord mis beaucoup de choses en perspective, pas seulement si vous changez d’équipe, ou si vous faites autre chose. Je pense que cela a joué un grand rôle. »

« Je suis assez rationnel avec ces choses, je regarde cela, mais je ne me vois pas en Formule 1 à 40 ans. Je vais faire quelques années, mais pas dix de plus. Je pense donc que vous devez en être conscient. »

« Et après ce que j’ai accompli dans le sport, il y avait le temps et l’espace pour réfléchir sur ce que je pensais être juste. Evidemment, maintenant nous connaissons le résultat et nous verrons comment je vais avancer. »

Après ses six années passées à Maranello, il n’aura finalement manqué qu’une seule chose à Sebastian Vettel, un cinquième titre mondial.

Mais loin d’être démotivé, Vettel insiste sur le fait que son expérience passée chez Ferrari au cours des dernières années, ne fera que le renforcer et le motiver pour l’avenir : « Le titre était la chose la plus importante, donc il manque certainement quelque chose, mais je suis sûr que je ne serai pas frustré pour le reste de ma vie. »

« Je pense que tout se passe pour une raison – les bonnes choses arrivent pour une raison et les mauvaises choses arrivent pour une raison – et les six dernières années, en parlant de performances sur piste et ainsi de suite, j’ai beaucoup appris. »

« Je pense que cela m’aidera pour le reste de mon chemin en Formule 1 et en dehors de la Formule 1, sur moi-même, sur les gens… Je suis définitivement convaincu que je pars plus riche qu’avant, et je ne veux pas dire cela financièrement ou avec plus de victoires, mais je pense plus riche en expériences et en choses qui m’aideront en cours de route. »

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Le Mexicain Sergio Perez s’est rendu pour la première fois à l’usine de sa nouvelle équipe Red Bull à Milton Keynes pour mouler son baquet et rencontrer les personnes avec lesquelles il travaillera cette année en Formule 1.

L’ancien pilote Racing Point sera le coéquipier de Max Verstappen cette saison chez Red Bull et remplacera directement le Thaïlandais Alexander Albon, qui n’a pas convaincu son employeur de le conserver une année de plus après une saison 2020 compliquée.

Disponible sur le marché des pilotes en fin d’année à la suite de la signature de Sebastian Vettel par l’équipe Aston Martin (ancienne équipe de Perez), le Mexicain a été choisi par les dirigeants de Red Bull au tout dernier moment, tandis qu’ils espèrent que son expérience en Formule 1 pourra aider l’équipe à aller battre les intouchables Mercedes cette saison.

« Checo [Sergio Perez] a beaucoup d’expérience, il pilote en Formule 1 depuis dix ans. Ses performances la saison dernière étaient excellentes. » a déclaré Christian Horner, le team principal de l’équipe Red Bull Racing, à Racing News 365.

« Ses performances en course étaient très, très bonnes. Je pense qu’il peut pousser Max plus que Albon ne pouvait le faire. J’espère que cela nous donnera plus de force pour affronter Mercedes. »

#HolaCheco 🇲🇽👋 pic.twitter.com/jVFWOCHv9z

— Oracle Red Bull Racing | オラクル・レッドブルレーシング (@redbullracing) January 19, 2021

Le conseiller motorpsort de l’équipe Red Bull, l’Autrichien Helmut Marko, a pour sa part déjà indiqué ce qu’il attendait du Mexicain cette année : « Perez doit être proche de Max durant les courses. »

« On verra en qualifications, parce que personne n’a encore réussi à rouler à son niveau, mais il doit être à maximum deux dixièmes. »

Chez Red Bull, Sergio Perez devra être tout de suite dans le coup, car l’équipe de Milton Keynes est bien connue pour son manque de patience avec les pilotes qui ne sont pas assez performants, tandis que Red Bull souhaite terminer son partenariat avec Honda (le motoriste stoppe son programme en F1 fin 2021) en beauté en remportant le championnat du monde constructeurs.

🤔 pic.twitter.com/iBNNS44hml

— Oracle Red Bull Racing | オラクル・レッドブルレーシング (@redbullracing) January 19, 2021

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Après des débuts prometteurs chez Ferrari en 2019, avec sept pole positions et deux victoires, le Monégasque Charles Leclerc est redescendu de son nuage en 2020 au volant d’une monoplace compliquée à maitriser et lui permettant de ne marquer que 98 points en dix-sept courses (contre 264 en 2019).

Malgré cela, le directeur de la Scuderia Ferrari, Mattia Binotto, a estimé que les problèmes rencontrés par l’équipe en 2020 ont permis à Charles Leclerc de démontrer ses qualités en tant que futur leader au sein de la Scuderia.

« Sur l’ensemble de la saison, je pense que cela a été une saison importante pour lui. » estime Mattia Binotto, cité par la Formule 1.

« C’était très difficile du point de vue compétitivité avec notre voiture, mais je pense qu’en terme de leadership au sein de l’équipe, il s’est développé. »

« Je pense que Charles n’a pas besoin de prouver sa vitesse. Je pense que tout le monde sait à quel point il est bon, son pilotage, en qualifications, en course, dans des conditions difficiles. Je pense encore une fois à cet égard qu’il a très bien fait [en 2020]. »

« Charles est très favorable, parce qu’il comprend quand il est temps de soutenir l’équipe, quand il est temps de pousser, quand il est temps de…vraiment s’améliorer. »

« Il est conscient que les résultats de l’avenir dépendent aussi en quelque sorte de sa contribution. Je pense que c’est vraiment un leader, pas seulement en tant que pilote, il s’est beaucoup développé. »

« En plus de cela, il a aussi beaucoup appris en terme de pilotage, de gestion des pneumatiques, de rythme de course, et je pense qu’en terme de capacité de pilotage il s’est encore amélioré au cours de la saison. »

« Donc, je suis à peu près sûr que Charles sera un puissant pilote à l’avenir. Il est déjà très fort, mais il le sera encore plus – et certainement l’année prochaine aussi [en 2021]. »

Rappelons qu’en 2021 Charles Leclerc aura un nouveau coéquipier chez Ferrari en la personne de Carlos Sainz, mais Ferrari a déjà annoncé que ses deux pilotes débuteraient la saison au même niveau.

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Lawrence Stroll a tenu à préciser que l’équipe Aston Martin fera son retour en 2021 sur les grilles de départ des Grands Prix de F1 avec une nouvelle identité « fraiche et moderne ».

En 2021, l’équipe Aston Martin remplacera l’écurie Racing Point sur les grilles de départ et le patron de la marque, le milliardaire Lawrence Stroll, assure que les fans ne seront pas déçus de voir une nouvelle facette « plus moderne » du constructeur britannique.

« Je veux qu’ils sachent que nous voulons les amener au cœur de cette équipe et de notre parcours. »

« Cela peut sembler une platitude, mais je peux vous assurer que c’est une ambition sérieuse qui a été au centre d’une énorme quantité de travail au cours des 12 derniers mois. » nous explique Lawrence Stroll, président d’Aston Martin.

« Nous investissons dans tout ce que nous faisons – en particulier dans des domaines tels que les médias sociaux pour raconter cette merveilleuse histoire. »

« Nous voulons que ce soit une équipe pour tout le monde – au-delà du sport, mais en se souvenant des fans dévoués qui nous ont amenés là où nous en sommes aujourd’hui. »

« Pour y parvenir, nous devrons sortir des sentiers battus – et j’espère que tout le monde nous verra faire exactement cela avec une identité fraîche et moderne pour l’équipe Aston Martin. »

Lorsqu’on lui parle de l’importance pour une marque comme Aston Martin d’être présente en Formule 1, Lawrence Stroll répond : « C’est là qu’Aston Martin devrait être. »

« C’est une marque qui a déjà eu un énorme succès dans le sport automobile international de haut niveau comme les 24 Heures du Mans – et maintenant nous avons l’occasion d’écrire une nouvelle page dans les livres d’histoire. »

« C’est une perspective extrêmement excitante pour tous ceux qui aiment la marque Aston Martin, pour les fans de Formule 1 et du sport lui-même. »

« [La Formule 1] C’est la pièce maîtresse de notre stratégie marketing et un élément clé de l’entreprise. »

« L’équipe Aston Martin apportera une nouvelle attitude et une nouvelle énergie avec elle, élargissant notre attrait au-delà des fans actuels et occasionnels de Formule 1. »

« Qu’il s’agisse de résultats sur les circuits, d’étendre notre présence sur des plateformes émergentes telles que l’e-sport ou de proposer de nouvelles choses passionnantes, nous voulons que les gens s’asseyent et prennent conscience. »

« L’arrivée de Cognizant [sponsor principal de l’équipe] est la première étape passionnante de notre démarche. La Formule 1 est également la vitrine parfaite pour Aston Martin en tant que marque et les voitures incroyables que nous produisons. »

« On a beaucoup parlé de la pertinence de la route en Formule 1 ces dernières saisons, et nous assisterons à un véritable ruissellement de la technologie et de l’innovation de la piste à la route. »

« Nous démontrerons ces liens entre la Formule 1 et les voitures de route, en particulier avec notre gamme de moteurs intermédiaires qui sera lancée dans le futur. »

L’équipe Aston Martin dévoilera sa monoplace 2021 au mois de mars depuis le siège du constructeur britannique à Gaydon.

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Le Danois Frederik Vesti a rejoint le programme junior de l’équipe Mercedes, tandis qu’il restera en F3 en 2021 pour une seconde année et rejoint l’équipe ART.

En 2017, Vesti a gravi les échelons de la monoplace en Formule 4, participant aux séries danoises et ADAC. Il a terminé deuxième du championnat danois avec huit victoires et septième au classement ADAC avec une victoire, restant dans cette dernière série pour 2018 tout en rejoignant la grille italienne de F4 pour trois courses – en remportant deux d’entre elles.

Frederik Vesti a terminé quatrième et 10e respectivement pour Van Amersfoort Racing au classement ADAC et F4 italien et a également fait ses débuts en Formule 3 en 2020, avec trois courses au championnat d’Europe et également une sortie au célèbre Grand Prix de Macao.

Le pilote danois rejoint désormais le programme junior deMercedes et travaillera en étroite collaboration avec l’équipe championne du monde en titre de F1.

« J’ai rêvé d’être un junior Mercedes et j’ai travaillé si dur pour cela, pendant tant d’années et cette motivation me motive chaque jour. » a déclaré Vesti. en rejoignant l’équipe junior.

« Travailler maintenant avec Mercedes, la meilleure équipe du monde, est un énorme coup de pouce pour ma carrière et j’ai vraiment hâte de bâtir une relation puissante à l’avenir. »

« J’admire tellement Mercedes pour leur mentalité et leur attitude assidue, qui les a aidés à réussir. »

« Ils choisissent très soigneusement leurs pilotes juniors, donc je suis vraiment ravi de faire partie du programme, de travailler avec eux et de me développer en tant que pilote. Merci à Toto [Wolff, directeur de l’équipe Mercedes] et à l’équipe pour leur confiance en moi et en mon avenir. »