Météo GP F1 des Pays-Bas : une alerte de vent violent en vigueur

La Formule 1 fait son grand retour ce week-end après une trêve estivale de quatre semaines, avec la quinzième manche du championnat du monde sur le Circuit de Zandvoort aux Pays-Bas. Cette course s’annonce particulièrement intéressante en raison des conditions météorologiques exceptionnelles annoncées : des vents violents sont prévus pour vendredi et de la pluie pour samedi. Voici le bulletin météo détaillé qui vous permettra d’anticiper les défis auxquels seront confrontés les pilotes et les écuries sur le circuit néerlandais

Situé dans la ville balnéaire de Zandvoort sur les bords de la Mer du Nord, ce circuit historique a accueilli sa première course de F1 en 1952 (remportée par Alberto Ascari) et a depuis gagné une place spéciale dans le cœur des fans d’autrefois. Après une très longue absence, le Grand Prix des Pays-Bas est revenu en 2021, marquant un retour triomphal avec des tribunes pleines et une atmosphère largement teintée d’orange.

Le circuit de Zandvoort se distingue par ses virages serrés, offrant un défi unique aux pilotes. Les célèbres virages comme « Tarzan » et « Hugenholtz » sont des points clés où les dépassements sont souvent spectaculaires. La piste, longue de 4,259 kilomètres, combine des sections rapides et des courbes techniques, dont une inclinée (banking), exigeant une grande maîtrise de la part des pilotes.

L’édition 2024 promet d’être tout aussi excitante. Bien que le héros local Max Verstappen ait connu quelques courses difficiles, il y aura sans aucun doute encore une marée orange ce week-end sur les dunes néerlandaises.

Situation Générale

L’anticyclone des Açores s’étend vers l’Europe Centrale, au sud des Alpes. Plus au nord du continent, une série de creux barométriques balayent les îles britanniques et la mer du Nord. Une première dépression, accompagnée de vents forts, traverse les Pays-Bas et la région de Zandvoort vendredi midi. À ce sujet, l’Institut Royal Météorologique des Pays-Bas (KNMI, Koninklijk Nederlands Meteorologisch Instituut en néerlandais) a émis une alerte modérée pour des vents forts, en vigueur de 7 h à 13 h. À partir de samedi, une autre dépression située au nord de l’Irlande se déplace vers le nord-est, favorisant le retour d’un temps plus calme sur les côtes hollandaises.

Vendredi 23 août – EL1 & EL2

La journée de vendredi débutera sous un ciel nuageux avec un léger risque de bruine. Les vents seront légers, soufflant du sud à environ 20 km/h, avec des rafales pouvant atteindre 40 km/h. En fin de matinée, le ciel restera couvert et les vents tourneront au sud-ouest, se renforçant pour atteindre jusqu’à 40 km/h avec des rafales de 60 km/h.

En après-midi, les conditions nuageuses persisteront et les vents se renforceront encore, avec des rafales atteignant 75 km/h. Il y aura également un faible risque de bruine légère. Pour la deuxième séance d’essais libres, le ciel commencera à se dégager, laissant place à des éclaircies, mais le vent restera soutenu. Pendant cette période, la température se maintiendra entre 19°C et 21°C.

Samedi 24 août – EL3 et Qualifications

Pour samedi le ciel sera couvert. Les vents seront forts, venant du sud-ouest à une vitesse de 15 à 35 km/h, avec des rafales pouvant toujours atteindre 50 km/h. L’instabilité sera bien présente tout au long de l’après-midi avec un risque important d’averses faibles à modérées. Côté mercure, il sera stable entre 18°C et 19°C.

Dimanche 25 août – La course

Nette amélioration pour dimanche. Les conditions nuageuses persisteront jusqu’en début d’après-midi, lorsque le ciel commencera à se dégager, devenant partiellement nuageux. Les vents resteront du sud-ouest, entre 20 et 35 km/h avec des rafales possibles entre 40 et 50 km/h. Tout au long des 72 tours de l’épreuve, les températures resteront douces autour de 18°C. Le risque de pluie est faible et la piste devrait rester sèche.

Comme à chaque Grand Prix et pour tout savoir sur les conditions atmosphériques pour le week-end, retrouvez les dernières prévisions météo horaires sur le site de notre partenaire météo en cliquant sur ce lien : Celinium.

La pluie pourrait s’inviter à Zandvoort pour la rentrée de la F1

Alors que la Formule 1 fait sa rentrée des classes ce week-end avec le Grand Prix des Pays-Bas, la pluie pourrait bien venir semer la zizanie sur le tracé de Zandvoort, notamment les deux premiers jours.

Selon les premières prévisions météo, les risques de pluie sont importants à Zandvoort pour la journée de vendredi lors des deux premières séances d’essais libres du week-end, et celle de samedi, lorsque les pilotes participeront à la très importante séance de qualifications du Grand Prix des Pays-Bas.

Pour la journée de vendredi, les prévision à trois jours indiquent de violentes rafales de vent, des températures plutôt fraîches et quelques averses tout au long de la journée. Le temps devrait se calmer dans la soirée à Zandvoort.

Pour samedi, un ciel toujours très nuageux en matinée deviendra très menaçant pour le reste de la journée et les risques de pluie sont évalués à 90% à l’heure de la séance de qualifications dans l’après-midi. Les températures seront également assez fraîches pour la saison avec un mercure ne dépassant pas les 21° au meilleur de la journée.

Enfin dimanche jour de course, selon les premières prévisions la météo devrait rester clémente avec un beau ciel bleu et des températures en hausse à l’heure du départ de la course (15h00). 

Evidemment, nous publierons ce jeudi notre traditionnel bulletin météo détaillé d’avant Grand Prix via notre partenaire météo Celinium qui vous propose depuis plusieurs années maintenant de suivre en temps réel l’évolution de la météo lors de chaque week-end de course. 

Programme et horaires du Grand Prix F1 des Pays-Bas 2024

Voici les horaires et le programme du Grand Prix F1 des Pays-Bas 2024, quinzième manche du championnat du monde de Formule 1 qui se déroule ce week-end du 23 au 25 août sur le tracé de Zandvoort.

C’est un week-end au format « classique » qui est programmé à Zandvoort (pas de course Sprint), ce qui signifie que les pilotes participeront à trois séances d’essais libres, une séance de qualifications et la course le dimanche.

Le vendredi 23 août, les pilotes participent à la première séance d’essais libres du week-end à Zandvoort [EL1] à 12h30 (heure de Paris), tandis que la deuxième séance [EL2] est programmée le même jour à 16h00 (heure de Paris). 

Le samedi 24 août, la troisième et dernière séance d’essais libres [EL3] est programmée à 11h30 (heure de Paris), alors que la très importante séance de qualifications qui détermine la grille de départ du Grand Prix de s Pays-Bas 2024 est programmée à 15h00 (heure de Paris).

Enfin le dimanche 25 août, le départ du Grand Prix des Pays-Bas 2024 sera donné à 15h00 (heure de Paris). Les pilotes s’élanceront pour 72 tours de course à Zandvoort.

Nous vous rappelons que toutes les séances de roulage de chaque week-end de la saison 2024 sont à suivre en direct sur F1only.fr (essais libres 1,2 et 3, qualifications, course Sprint et Grand Prix). Rendez-vous donc dès le vendredi 23 août pour suivre les premiers essais libres du Grand Prix des Pays-Bas en direct sur notre Live Center accessible ici.

Programme GP des Pays-Bas 2024 (heure de Paris)

Vendredi 23 août : EL1 à 12h30/ EL2 à 16h00

Samedi 24 août : EL3 à 11h30/ Qualifs à 15h00

Dimanche 25 août : Départ de la course à 15h00

Williams F1 avec « l’une de ses plus grosses évolutions » à Zandvoort

L’équipe Williams a choisi le Grand Prix des Pays-Bas et le circuit de Zandvoort pour introduire l’une de ses plus grosses évolutions de la saison sur la FW46 pilotée par Alex Albon et Logan Sargeant.

Neuvième et donc avant-dernière au championnat du monde des constructeurs avant le Grand Prix des Pays-Bas, l’équipe Williams se doit de continuer à développer sa monoplace jusqu’à la fin de la saison pour espérer rattraper l’écurie Alpine à seulement sept points devant, tandis que Stake – qui n’a toujours pas ouvert son compteur de points cette année – n’accuse qu’un retard de quatre points sur Williams.

Jusqu’à présent, Williams a eu le plus grand mal à introduire des mises à jour sur sa monoplace, notamment à cause de crashs coûteux en début de saison – que ce soit du côté d’Albon ou bien de Sargeant. Mais à Zandvoort, les deux pilotes bénéficieront enfin d’évolutions techniques sur la FW46 et devront donc les valider dès le vendredi lors des essais libres.

« Après une pause bien méritée pour toute l’équipe, nous avons hâte de reprendre la compétition et Zandvoort est un endroit idéal pour débuter la prochaine double épreuve [Monza est programmé juste après]. » nous confie Sven Smeets, directeur sportif de Williams.

« C’est un circuit magnifique avec des virages fluides, mais ce qui rend cet endroit unique, c’est l’ambiance que les fans créent tout au long du week-end. »

« Cette année, nous apportons l’une de nos plus grosses améliorations à Zandvoort, il nous faudra donc un peu de temps pour comprendre comment se comporte et fonctionne la FW46. Nous attendons avec impatience ce qui, espérons-le, sera un autre bon week-end à Zandvoort. »

A la veille de cette quinzième manche de l’année, Williams n’a pas détaillé ces évolutions techniques et il faudra donc attendre vendredi lors de la présentation des monoplaces aux médias pour voir quelles sont les nouvelles pièces introduites sur la FW46.

Bearman revient sur le rôle crucial joué par Leclerc à Djeddah

Oliver Bearman a rendu hommage à Charles Leclerc pour le rôle crucial joué par le Monégasque au Grand Prix d’Arabie Saoudite en début d’année lorsque le jeune Britannique a dû remplacer à la hâte Carlos Sainz au volant de la Ferrari.

Alors qu’il se trouvait à Djeddah pour participer à la manche de la F2, Oliver Bearman a été catapulté en plein milieu du week-end dans le cockpit de la Ferrari SF-24 de Carlos Sainz juste avant la dernière séance d’essais libres, notamment parce que l’Espagnol a dû être opéré en urgence de l’appendicite et a donc déclaré forfait pour le reste de l’événement.

Avec seulement une séance d’essais libres à son actif, Bearman a presque réussi à se qualifier en Q3 le samedi lors de sa première séance de qualifications en F1 et a progressé jusqu’à la septième place le dimanche en course pour finalement marquer ses premiers points en catégorie reine du sport automobile, le Britannique impressionnant ainsi de nombreuses personnes dans le paddock.

Revenant sur ce week-end fou pour lui, Oliver Bearman a expliqué à quel point son coéquipier d’un jour – Charles Leclerc – a joué un rôle crucial en lui donnant de nombreux conseils.

« Il m’a été d’une aide précieuse. Je pense qu’il a compris la difficulté de ma position et il m’a aidé tout au long des séances, notamment avant les qualifications. Je pense qu’il a pu constater que j’étais un peu nerveux. » a expliqué Bearman dans le podcast High Performance.

« La chose dont je me souviens, c’est qu’il m’a aidé avant la course, nous nous sommes assis – et aussi avec Fred Vasseur [directeur de Ferrari], et il m’a un peu aidé. »

« Je n’avais jamais fait de longs relais, je n’avais jamais fait plus de deux tours poussés d’affilée avant la course. C’est un scénario un peu différent de conduire en course par rapport aux qualifications et il m’a donné un aperçu du comportement des pneus et de ce genre de choses, des choses que je n’avais pas encore expérimentées. »

« C’est un petit détail, mais c’est très utile et c’est quelque chose que je n’ai pas pu expérimenter lors de ma seule séance d’essais libres. Ces petits conseils et informations m’ont été d’une valeur inestimable dans la situation dans laquelle je me trouvais. »

« J’ai toujours été un grand fan de Charles. J’étais coéquipier avec Arthur, son frère, en F3, et naturellement, nous soutenions tous Charles cette année-là. Il a été très, très performant. »

« Je le connaissais déjà un peu, nous nous étions rencontrés plusieurs fois, mais ce week-end là, j’ai vu quel genre de personne il était. J’ai acquis beaucoup de respect pour lui, car je n’avais aucune obligation de faire quelque chose comme ça [marquer des points]. »

« Pour lui, cela semblait n’être qu’un petit mot par-ci par-là, mais pour moi, cela signifiait beaucoup et j’ai vraiment apprécié. »

Oliver Bearman a également tenu à rendre hommage au travail de Carlos Sainz qui était présent dans le garage Ferrari durant la course le dimanche après avoir subi une opération chirurgicale la veille.

« Je dois dire que ce n’était pas les circonstances dans lesquelles je voulais faire mes débuts en F1. » a ajouté le jeune pilote.

« Je sais que Carlos aurait préféré être lui-même en piste, mais quand une opportunité comme celle-ci se présente, il faut être prêt et je l’étais. »

« Carlos était là le jour de la course, dans le garage, avec les ingénieurs. En fait, je lui ai parlé après la course et il m’a dit quelques choses que les ingénieurs voulaient me dire, mais il leur a dit de ne pas le faire, car cela aurait été un peu trop d’informations. »

« Mais pendant la course, il a également vu certaines choses qui se passaient, il a regardé ma conduite et m’a donné quelques conseils, ce qu’il fallait changer dans ma conduite et ce qu’il fallait changer dans les réglages de la voiture elle-même. »

« Il leur disait [aux ingénieurs] ce qu’ils devaient me dire, en gros, donc c’était plutôt sympa. Il a déjà vécu cette situation et il sait ce que le pilote veut, donc j’ai trouvé ça vraiment utile. »

Oliver Bearman fera ses débuts officiels en Formule 1 en tant que titulaire l’an prochain avec l’équipe américaine Haas où il fera équipe avec le Français Esteban Ocon. 

Lewis Hamilton et « Bono » ne travailleront pas ensemble chez Ferrari

L’ingénieur de course de Lewis Hamilton, Peter Bonnington, a obtenu une promotion au poste de responsable de l’ingénierie chez Mercedes, ce qui veut dire que le Britannique ne suivra pas son pilote chez Ferrari l’an prochain.

Bonnington travaille aux côtés du septuple champion du monde Lewis Hamilton depuis 2013 lorsque le pilote britannique a rejoint l’équipe Mercedes. Ensemble, ils ont remporté pas moins de six titres mondiaux grâce à une excellente entente au cours de ces dernières années.

Mais lorsque Lewis Hamilton a annoncé en début d’année qu’il rejoindrait dès 2025 la Scuderia Ferrari, on ne savait pas si Bonnington [allias Bono] suivrait le septuple champion du monde à Maranello où bien s’il resterait chez Mercedes. 

Cependant, avant le Grand Prix des Pays-Bas programmé ce week-end à Zandvoort, un porte-parole de l’écurie du constructeur allemand a confirmé à F1.com que Bonnington assumerait désormais un nouveau rôle avec effet immédiat au sein de l’équipe tout en continuant à être l’ingénieur de course de Lewis Hamilton pour le reste de la saison 2024.

A partir de l’an prochain, « Bono » continuera à assumer la double casquette responsable de l’ingénierie/ingénieur de course chez Mercedes, mais on ne sait pas encore avec quel pilote il travaillera, car Mercedes n’a pas encore nommé le remplaçant de Lewis Hamilton.

Le nouvel accord entre Bonnington et Mercedes s’inscrit dans la continuité d’une collaboration qui a débuté lorsque l’écurie s’appelait encore Honda, puis Brawn GP et enfin Mercedes. Durant cette période, Bono a pu travailler avec Michael Schumacher ou encore Jenson Button.

Max Verstappen prêt pour sa course à domicile devant son armée

Après quelques semaines de repos, le triple champion du monde de F1, Max Verstappen, s’apprête à entamer la dernière moitié de la saison 2024 avec sa course à domicile aux Pays-Bas où l’Armée Orange [les fans de Verstappen] sera très certainement présente en masse dans les tribunes comme chaque année.

Avant cette quinzième manche de la saison, le pilote Red Bull Max Verstappen est toujours leader du championnat du monde des pilotes avec une avance de 78 points sur le Britannique Lando Norris. Pour sa course à la maison, le Néerlandais n’aura qu’un seul objectif en tête ce week-end : gagner. 

« C’était bien de passer du temps à se détendre avec sa famille et ses amis pendant la pause estivale et je suis revigoré et prêt pour la deuxième moitié de la saison. » a déclaré Max Verstappen à la veille du Grand Prix des Pays-Bas.

« C’est génial de reprendre avec sa course à domicile. L’ambiance est toujours fantastique et les fans sont incroyables, c’est donc quelque chose de spécial pour moi. »

« C’est un superbe circuit, avec ses lignes droites courtes et sa piste étroite, et j’espère que nous pourrons revenir encore plus forts pour cette course. »

« Nous attendons avec impatience la semaine à venir et espérons pouvoir nous battre pour la victoire. » a ajouté le leader du championnat du monde.

Alors qu’il ne reste que dix Grands Prix à disputer cette saison, Max Verstappen n’est pas encore assuré de décrocher un quatrième titre mondial en Formule 1 malgré son avance, le pilote Red Bull ayant désormais une concurrence féroce face à lui, notamment du côté de chez McLaren ou encore Mercedes qui a progressé de façon spectaculaire avant la pause estivale. 

Sanchez définit les objectifs d’Alpine F1 pour le second semestre 2024

Le directeur technique exécutif d’Alpine, David Sanchez, a défini les principaux objectifs sur lesquels l’équipe se concentrera au cours de la seconde moitié de saison 2024, après une première partie de campagne compliquée pour l’écurie du constructeur français.

Jusqu’à présent, l’année 2024 a été riche en événements pour Alpine, que ce soit sur ou hors piste – car en plus de faire face à plusieurs changements dans sa direction et ses structures techniques – l’équipe basée à Enstone au Royaume-Uni a également connu un manque de cohérence dans ses résultats.

Une première partie de saison faite de hauts et de bas donc pour Alpine qui occupe avant le Grand Prix des Pays-Bas la huitième place au championnat du monde des constructeurs avec seize points de retard sur la petite écurie américaine Haas, et alors qu’il ne reste que dix Grands Prix à disputer.

Ayant rejoint Alpine cette année après un très court passage par McLaren, David Sanchez affirme que Alpine aura pour objectif principal d’atteindre un niveau de performance plus constant lors de la deuxième moitié de saison afin d’augmenter de façon significative son total de points.

« En regardant comment nous avons terminé la première moitié de saison, notre objectif pour la deuxième partie de saison sera d’essayer de nous stabiliser du côté élevé de notre niveau de performance, ce qui consiste à essayer d’entrer régulièrement en Q3 en qualifications. » a expliqué Sanchez.

« C’est difficile parce que les meilleures équipes rendent la Q3 très chargée. Mais nous l’avons déjà vu : si nous pouvons extraire tout le potentiel de la voiture et apporter des améliorations, nous pourrons alors aspirer à être à la limite du top 10 et à y rester. »

« C’est l’un des objectifs clés : être constant et tirer le maximum de performance de la voiture. Si nous y parvenons, nous devrions marquer plus de points au championnat et nous verrons exactement jusqu’où nous pouvons aller à la fin de l’année. »

Parallèlement à cela, David Sanchez souhaite que l’équipe continue de développer son état d’esprit, un état d’esprit qu’il a identifié comme « différent » de l’attitude adoptée dans le passé.

« Un autre objectif pour l’équipe est d’essayer de continuer à construire les fondations du type d’état d’esprit de course que nous aimerions construire pour l’avenir. » a ajouté le Français.

« C’est différent de ce que nous avons connu ces derniers mois ou ces dernières années, mais c’est une transformation en cours, qui a déjà porté ses fruits et nous continuons certainement à bâtir sur celle-ci. »

Sur un plan plus personnel, David Sanchez a signé son retour à Enstone en mai dernier près de 20 ans après avoir débuté sa carrière en F1 avec Renault. Il est ensuite passé chez Ferrari pendant dix ans, puis McLaren pour seulement quelques semaines, avant de rejoindre Alpine.

Réfléchissant à la façon dont il s’est installé à Enstone, Sanchez a commenté : « J’ai rejoint l’équipe début mai après un début de saison difficile. »

« Je dois dire que l’équipe a bien réagi, car beaucoup de changements ont eu lieu en très peu de temps [notamment l’arrivée d’un nouveau Team Principal]. Nous avons examiné le plan de développement et essayé d’établir une voie à suivre pour développer la voiture de manière assez agressive. »

« Nous avons vu quelques évolutions en Belgique, ce qui a été une première étape. Nous en avons beaucoup d’autres à venir plus tard dans la saison, et jusqu’à présent, je dois dire que l’équipe a été formidable, donc je m’y suis plutôt bien intégré, et nous allons essayer de nous appuyer sur cela pour l’avenir et de continuer à apporter de plus en plus de performance. »

« Histoires insolites de la F1 », un condensé d’anecdotes étonnantes

En cette fin de trêve estivale pour la discipline reine, Frederic Veille, grand reporter à RTL et spécialiste des sports mécaniques nous propose un ouvrage passionnant : « Histoires insolites de la F1 ».

Ce livre est un condensé d’anecdotes étonnantes qui retrace les 75 ans de la Formule 1. On y croise tous les grands noms qui ont jalonné cette incroyable épopée et on y parcourt les circuits mythiques, de Spa à Monza en passant par Interlagos et Monaco…

« Savez-vous que Nino Farina, premier vainqueur d’un Grand Prix de F1, n’était pas pilote professionnel, mais avocat? Que l’illustre Fangio a été enlevé par des rebelles aux ordres de Fidel Castro? Que le record de vitesse sur un GP est de 378 km/h, détenu par Valterri Bottas? Que lors de sa première compétition, Nigel Mansell avait littéralement le feu aux fesses à l’arrivée car ses ingénieurs avaient laissé du carburant dans son baquet? Ou encore que Fernando Alonso a abandonné une course à cause… d’un emballage de sandwich coincé dans les freins?« 

On ne peut que conseiller à tous les passionnés de F1 d’acquérir ce livre – préfacé par Jean-Louis Moncet – qui revient également sur les derniers événements marquants de la discipline tels que les Grands Prix à huis clos à cause de la pandémie de Covid, l’accident de Romain Grosjean à Bahrein en 2020, la victoire de Pierre Gasly à Monza, celle d’Esteban Ocon en Hongrie ou la fin de la malédiction du Grand prix « à la maison » pour Charles Leclerc en mai 2024.

« Histoires insolites de la F1 » de Frederic Veille aux éditions City – 272 pages – parait ce mercredi 21 août dans toutes les bonnes librairies et sur les plateformes au prix de 19€. (lien Amazon).

Sergio Perez change d’ingénieur de course à partir du GP des Pays-Bas

Red Bull a confirmé qu’il y aurait du changement du côté du garage de Sergio Perez lors de la reprise de la saison 2024 avec un nouvel ingénieur de course pour le pilote mexicain à partir du Grand Prix des Pays-Bas programmé ce week-end à Zandvoort (du 25 au 27 août). 

Ingénieur de course de Sergio Perez depuis la saison 2021, Hugh Bird quittera temporairement ses fonctions à partir du Grand Prix des Pays-Bas pour observer un congé de paternité. Ce poste sera donc désormais occupé par Richard Wood, actuellement ingénieur performance chez Red Bull.

« Hugh, mon ingénieur de course, attend un bébé très bientôt, il va donc passer un peu de temps à la maison et je lui souhaite, ainsi qu’à sa famille, bonne chance pour le nouveau-né. Woody, mon ingénieur de performance, prendra le relais entre-temps. » a commenté Sergio Perez à la veille du Grand Prix des Pays-Bas.

Sergio Perez a ajouté que la pause estivale lui a permis de recharger les batteries après une première moitié de saison compliquée pour le Mexicain. Le coéquipier de Max Verstappen entame donc la seconde moitié de saison frais et revigoré : « J’ai hâte de remonter dans la voiture ce week-end. » a ajouté Perez.

« La pause a été très importante pour tout le monde dans l’équipe et dans l’ensemble du sport, avec autant de courses, tout le monde a désormais plus que jamais besoin de repos et de temps de récupération. »

« J’ai passé du temps au Mexique avec ma famille et je me sens reposé et prêt à entamer la deuxième moitié de saison, et je sais que mon équipe ressent la même chose. J’étais à Milton Keynes [à l’usine Red Bull] cette semaine avec eux. »

« Je sais ce que nous pouvons extraire de la voiture dans les semaines à venir et nous ferons notre mieux pour maximiser la seconde moitié de la saison 2024. »

Avant le Grand Prix des Pays-Bas, Sergio Perez occupe la septième place au championnat du monde des pilotes avec 19 points de retard sur le pilote Mercedes Lewis Hamilton. 

Robert Shwartzman au volant de la Stake ce vendredi à Zandvoort

Le pilote de réserve de la Scuderia Ferrari, Robert Shwartzman, sera en piste ce vendredi lors de la première séance d’essais libres du Grand Prix des Pays-Bas programmé sur le tracé de Zandvoort.

Le jeune homme remplacera directement le Finlandais Valtteri Bottas au volant de la Stake lors des EL1 ce vendredi à Zandvoort. Ce roulage fait partie du programme des jeunes pilotes imposé par la Formule 1 et qui oblige les écuries de la grille à faire rouler des jeunes le vendredi.

« Comme lors des éditions précédentes, nous travaillons en partenariat avec la Scuderia Ferrari pour donner l’opportunité aux jeunes talents de participer aux séances d’essais. » a indiqué l’équipe Stake F1.

Le titulaire Valtteri Bottas pour sa part débutera son week-end lors des EL2 un peu plus tard dans la journée ce vendredi à Zandvoort. 

Pour rappel, la saison 2024 de Formule 1 reprend ce week-end avec le Grand Prix des Pays-Bas. Vous pourrez suivre toutes les séances de roulage en direct sur notre site en accédant tout au long du week-end à notre Live Center accessible ici. 

La zone des stands démolie sur le circuit de Budapest

A peine un mois après le Grand Prix de Hongrie 2024 remporté par le pilote McLaren Oscar Piastri, les travaux de rénovation ont repris sur le tracé de Budapest et c’est désormais la zone des stands qui fait désormais l’objet d’importantes modifications.

Lorsque la Formule 1 a débarqué à Budapest en juillet dernier, les équipes et les fans ont pu découvrir le tracé du Hungaroring largement modernisé dans ses installations, mais il ne s’agissait en fait que de la première phase des travaux avec un paddock et une fan zone rénovés.

Les anciens bâtiments ont été démolis et le nouveau paddock, d’une superficie de 8 000 m², a été construit. De plus, une grande partie du réseau électrique final a été achevée et des travaux d’aménagement paysager ont été réalisés pour que l’équipe du Hungaroring puisse accueillir le Grand Prix de Hongrie 2024 dans un environnement approprié et attrayant. 

Désormais, les travaux ont repris pour attaquer la phase 2 qui est sans doute la plus spectaculaire avec la démolition pure et simple de la zone des stands. Ces travaux devraient durer plusieurs mois et les anciens bâtiments qui accueillaient les garages ou encore la salle de presse laisseront bientôt place à une structure plus moderne.

Les responsables du tracé hongrois ont d’ailleurs publié quelques clichés des travaux en cours sur les réseaux sociaux et ont indiqué : « Nous vous l’avions annoncé… moins d’un mois après le GP de Hongrie, la prochaine phase des travaux de réaménagement se déroule à un rythme de F1. »

La Formule 1 a annoncé en 2023 que le Grand Prix de Hongrie restera inscrit au calendrier du championnat du monde pour cinq années supplémentaires jusqu’en 2032 inclus, la catégorie reine prolongeant ainsi l’accord déjà existant jusqu’en 2027.

Hamilton a veillé à ce qu’il n’y ait pas de « conneries » dans le film F1

Lewis Hamilton a expliqué qu’en tant que co-producteur du prochain film baptisé F1 il a eu son mot à dire concernant le scénario et le septuple champion du monde a veillé à ce qu’il soit le plus proche possible de la réalité. 

Intitulé F1 , le film est réalisé par Joseph Kosinski et produit par Jerry Bruckheimer, Brad Pitt lui-même et le septuple champion de Formule 1 Lewis Hamilton, entre autres. F1 devrait être distribué dans les salles et en IMAX par Warner Bros. Pictures à l’international le 25 juin 2025 et en Amérique du Nord le 27 juin 2025.

Le film tourné dans différents paddocks de la Formule 1 met en vedette Brad Pitt dans le rôle de l’ancien pilote de Formule 1 Sonny Hayes, qui revient dans le sport pour s’associer à son coéquipier débutant Joshua Pearce – joué par Damson Idris – dans l’équipe fictive nommée APXGP.

Le tournage de F1 – dans lequel jouent également Kerry Condon, Javier Bardem, Tobias Menzies, Sarah Niles, Kim Bodnia et Samson Kayo – a eu lieu lors de véritables événements de la F1.

Lorsqu’on demande à Lewis Hamilton à quel point il a été impliqué dans la réalisation du film, le pilote Mercedes a déclaré au magazine Esquire : « Je connaissais Joe [Kosinski, le réalisateur] depuis Top Gun : Maverick par l’intermédiaire de Tom [Cruise]. » 

« Tom m’a mis en contact avec Joe, et nous avons discuté de notre participation au film. Et puis nous sommes restés en contact. Puis nous nous sommes tous reconnectés pour parler de la possibilité de faire un film sur la Formule 1. Et puis nous avons suivi tout ce processus de travail avec un scénariste. »

Avant de commencer à tourner, un scénario a évidemment été écrit, et Lewis Hamilton a tenu à ce que les fans de Formule 1 puissent reconnaître leur sport préféré dans ce film : « Ehren [Kruger, le scénariste] a fait énormément de recherches, a regardé beaucoup de courses, est venu à plusieurs courses, puis est reparti et a écrit un scénario. » 

« Mais nous nous sommes assis et avons discuté de ce qu’est la course automobile. Ensuite, une fois qu’il a écrit le scénario, je me suis assis avec lui et je lui ai dit que c’était des conneries, des choses qui ne semblent pas réelles et qui ne correspondent pas à ce qu’est la F1, et j’ai essayé de faire en sorte que ce soit aussi authentique que possible. »

« Puis, en parallèle, j’ai lancé une société de production, donc je suis producteur avec ces gars. J’ai pu être impliqué dans tous les domaines, donc je m’assure que le casting soit diversifié, que nous ayons une femme lors des arrêts au stand – ce que nous n’avons jamais eu sur les circuits. »

« Hans Zimmer était quelqu’un que je voulais avoir pour faire la musique du film, donc nous avons Hans Zimmer. Joe [Kosinski, le réalisateur] a été incroyable en m’incluant dans tout. »

Lorsqu’on lui demande quelles genres de « conneries » il a pu constater dans le scénario initial, le septuple champion du monde a ajouté : « Il s’agissait simplement de scénarios liés à la course. Les ingénieurs devaient parler un jargon technique. »

« Mais c’était surtout des scénarios de course et des séquences entre les dépassements et les arrêts au stand ou les stratégies et toutes sortes de choses de ce genre. Il y avait aussi un accident où la voiture heurtait le mur, se retournait, atterrissait sur ses roues et continuait à rouler, ce qui n’arrive pas en Formule 1. »

Dans le film F1, Brad Pitt incarne un ancien pilote qui revient sur les circuits quelques années plus tard pour aider un jeune pilote. Lorsqu’on demande à Hamilton s’il a pu rouler avec Brad Pitt sur une piste avant que le tournage du film ne débute, le Britannique a répondu : « Ouais. Nous sommes allés sur un circuit à Los Angeles, je l’ai emmené et je me suis ensuite assis sur le siège passager et il a conduit. »

« J’étais entraineur de pilotage quand j’étais jeune. C’était une façon de gagner un peu d’argent à temps partiel pendant que je courais. J’ai donc eu l’occasion de m’asseoir avec Dieu sait combien de pilotes non-pilotes. On peut immédiatement distinguer les bons et les mauvais. Il [Brad Pitt] était tout de suite dans le coup. »

« On pouvait voir qu’il avait ça. Il a ça dans son ADN. Il n’a simplement pas été capable de le perfectionner comme nous. Mais il a gros potentiel. »

Trailer du film F1

Christian Horner prédit une bataille à quatre jusqu’à la fin 2025

Le directeur de Red Bull, Christian Horner, estime qu’il y aura une bataille « acharnée » entre les quatre meilleures équipes de la grille en F1 au cours des dix-huit prochains mois, les écarts ayant continué à se réduire à mesure que la saison 2024 progresse.

Avant la reprise de la campagne 2024 ce week-end à Zandvoort, Red Bull est leader du championnat du monde des constructeurs, mais l’écart avec McLaren – deuxième – n’est « que » de 42 points, tandis que Ferrari est à 63 points et Mercedes à 142 points.

Bien que la marge soit encore assez grande pour Red Bull, l’équipe de Milton Keynes voit peu à peu ses rivaux réduire l’écart et Christian Horner s’attend à voir une certaine convergence à un moment donné avec quatre équipes capables de se battre pour le titre mondial jusqu’à la fin de la saison 2025.

« Je pense que c’est formidable pour le sport, et c’était presque inévitable lorsque vous obtenez une cohérence dans les réglementations, vous obtenez toujours une convergence. » estime Horner.

« Je me souviens que lorsque j’ai commencé à courir en Formule 1, Ron Dennis [ancien patron de McLaren, ndlr] en parlait déjà en 2005. La convergence a toujours rapproché les équipes. »

« Bien sûr, nous aurons un grand changement de réglementation en 2026 qui entrainera des divergences, mais d’ici là, dans les dix-huit prochains mois, je pense que les quatre équipes se disputeront à égalité. »

Alors que Max Verstappen a accru son avance au championnat pilotes lors de la dernière course disputée en Belgique avant la trêve estivale, l’avantage de Red Bull sur McLaren au championnat constructeurs a une nouvelle fois diminué après que Sergio Perez ait fait face à un autre week-end difficile.

Christian Horner espère cependant que son équipe pourra se concentrer sur le championnat constructeurs lorsque la saison 2024 reprendra ce week-end aux Pays-Bas : « Pour nous, l’accent est mis sur le championnat des constructeurs, où nous avons encore perdu sept ou huit points à Spa. Nous devons renverser la situation après la pause à Zandvoort. » insiste le Britannique.

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Liam Lawson bientôt fixé sur son sort chez Red Bull

Le conseiller motorsport de Red Bull, Helmut Marko, a indiqué qu’une décision concernant l’avenir du Néo-Zélandais Liam Lawson – actuellement pilote de réserve chez Red Bull – serait prise au mois de septembre. 

Liam Lawson – âgé aujourd’hui de 22 ans – a impressionné beaucoup de monde en 2023 lorsqu’il a remplacé à la hâte l’Australien Daniel Ricciardo au volant de l’AlphaTauri pour plusieurs Grands Prix. Cependant, malgré ses performances remarquables au volant d’une monoplace de Formule 1, le pilote néo-zélandais a été laissé sur la touche pour 2024 et a dû se contenter d’un poste de réserviste.

Mais à partir du mois de septembre, Liam Lawson devra prendre une décision concernant son avenir et pourra contractuellement chercher un baquet ailleurs que dans le giron Red Bull, ce qui place finalement Red Bull sous pression car le jeune homme pourrait bien filer à la concurrence avec encore quatre baquets disponibles en Formule 1 pour 2025.

« C’est une période difficile pour quelqu’un comme Liam, surtout parce qu’il a sauté dans la voiture dans des circonstances très, très difficiles et s’en est très bien sorti. » a déclaré Helmut Marko à ESPN.

« Nous lui accordons une grande estime et il aura sa chance. Attendez un peu. En septembre, vous aurez une réponse. » a ajouté l’Autrichien.

Concrètement, Red Bull dispose encore d’un baquet libre pour 2025 chez Visa Cash App RB puisque seul Yuki Tsunoda a été titularisé pour la saison prochaine, ce qui n’est pas le cas de son coéquipier Daniel Ricciardo. 

Adrian Newey hermétique aux rumeurs concernant son avenir en F1

Adrian Newey, le directeur technique sortant de l’équipe Red Bull en F1, a expliqué qu’il ne s’intéressait pas à toutes les rumeurs qui circulent sur le web au sujet de son avenir. 

A la veille du Grand Prix de Miami, Red Bull a confirmé le départ de son directeur technique de longue date, le Britannique Adrian Newey, qui quittera définitivement l’écurie de Milton Keynes au premier trimestre 2025.

Immédiatement après cette annonce, Adrian Newey a lui-même indiqué aux médias qu’il comptait prendre beaucoup de recul avec la Formule 1 afin de profiter de la vie et de sa famille, mais le Britannique a également indiqué qu’il reviendrait « probablement » dans le paddock après une pause bien méritée.

Depuis lors, les spéculations concernant l’avenir de Newey vont bon train et il ne se passe pas un jour sans qu’un « média » n’annonce l’arrivée officielle de l’ingénieur britannique dans une équipe de la grille. Annoncé chez Ferrari le lundi, Adrian Newey est ensuite annoncé chez Aston Martin le mardi, puis finalement annoncé chez McLaren le mercredi…

Interrogé lors d’une apparition dans le podcast Talking Bull de Red Bull sur ce qu’il ressentait en voyant son nom mentionné toutes les semaines dans les médias et sur les réseaux sociaux, Adrian Newey a expliqué : « C’est très facile, parce que je ne regarde pas vraiment les réseaux sociaux et je ne lis pas particulièrement les magazines. C’est quelque chose que j’ai arrêté de faire il y a longtemps. »

« Cela date de l’époque où je travaillais à Leyton House, où j’ai construit la première voiture en 1988. C’était une bonne petite voiture. Puis, en 1989 nous l’avons complétement ratée, et je suis donc passé du statut de héros du paddock de la F1 du côté des ingénieurs à celui d’idiot qui n’a connu qu’un seul succès. »

« Je me suis alors dit qu’on ne pouvait pas lire la presse quand elle était positive et s’énerver quand elle était négative. A ce moment-là, je me suis dit : « Ok, ne lis pas la presse ! ». »

« Mandy, ma femme, suit les réseaux sociaux. Elle me tient au courant de ce qui se passe, mais je n’en suis pas vraiment conscient. J’essaie simplement de mener ma vie sans me laisser influencer par elle. »

D’ailleurs, certains fans ont comparé le suspense autour de l’avenir de Newey à une véritable roulette russe, digne d’un casino en ligne argent réel, où chaque jour apporte une nouvelle rumeur aussi imprévisible qu’un tirage au sort.

Officiellement, Adrian Newey n’est plus impliqué dans les décisions stratégiques de l’équipe Red Bull en Formule 1 et sa présence sur les circuits n’est désormais plus devenue obligatoire. Il quittera définitivement son poste au début de l’année 2025. 

Audi F1 pourrait choisir Mick Schumacher selon Villeneuve

La future équipe Audi F1 sera-t-elle prête à prendre le risque de signer Mick Schumacher aux côtés de Nico Hülkenberg ? Le champion du monde 1997 Jacques Villeneuve pense que oui.

Remercié par l’écurie Haas après deux saisons passées en F1 en tant que titulaire, Mick Schumacher doit depuis se contenter d’un poste de pilote de réserve pour Mercedes en F1 et d’un rôle de titulaire dans le championnat du monde d’Endurance avec Alpine faute de baquet disponible en catégorie reine pour lui. 

Alors qu’il reste encore quatre baquets disponibles sur la grille de la F1 pour 2025 (Mercedes, Alpine, VCARB et Audi), les chances de voir Mick Schumacher revenir en catégorie reine en tant que titulaire semblent minces. Mais selon Jacques Villeneuve, le constructeur allemand Audi pourrait faire le pari d’un duo de pilotes 100% allemand en choisissant Schumacher. 

« Il semble qu’aucune équipe ne souhaite que Mick Schumacher pilote pour elle. Mick et son équipe ont fait pression, mais personne ne semble vouloir l’intégrer à leur équipe. » constate Villeneuve dans les colonnes de InstantCasino.com.

« Le problème est que ses années en F1 ne se sont pas terminées de manière positive. Il fait peut-être mieux et montre des signes prometteurs à son poste, mais les preuves sont là pour que tout le monde puisse les voir. »

« Pour les équipes, c’est inquiétant : veulent elles prendre le risque d’espérer que Mick soit meilleur qu’il ne l’était ? Il ne semble pas que ce soit le cas pour le moment. »

« Si une équipe engage Mick, c’est parce qu’elle veut l’image de Schumacher et dans l’espoir qu’il soit meilleur qu’il ne l’était chez Haas. C’est un pari qu’Audi pourrait être prête à prendre. »

Red Bull ne pense pas résoudre ses problèmes pour Zandvoort

Après la trêve estivale de la F1, l’équipe Red Bull se trouve dans une situation inconfortable avec une monoplace en manque d’équilibre et une concurrence qui ne cesse de progresser course après course, ce qui place l’écurie autrichienne sous pression pour la deuxième moitié de saison.

Après un début de saison réussi, l’équipe Red Bull a vu ses rivaux se rapprocher de plus en plus au fil des courses disputées, notamment McLaren, qui a déjà remporté deux Grands Prix cette année et qui a également décroché dix podiums consécutifs juste avant la pause estivale de la Formule 1.

Les progrès remarquables de McLaren ont permis à l’écurie de Woking de dépasser la Scuderia Ferrari au championnat du monde pour se retrouver désormais deuxième derrière Red Bull. 

Outre le fait que Red Bull ne peut compter que sur un seul de ses pilotes – car Sergio Perez a connu une période compliquée depuis le Grand Prix de Miami – ce sont bien les performances de la RB20, et surtout son manque d’équilibre d’un tracé à l’autre, qui inquiètent les ingénieurs. 

Dans ce contexte, l’équipe de Milton Keynes doit impérativement trouver des solutions, mais la pause estivale de deux semaines imposée en Formule 1 n’autorise pas les écuries à travailler sur le développement des monoplaces, ce qui signifie que Red Bull n’aura peut-être aucune solution à introduire sur sa monoplace pour la prochaine course qui se dispute ce dernier week-end d’août à Zandvoort aux Pays-Bas.

« Pendant les vacances, il ne se passe rien pendant deux semaines, ce qui signifie qu’aucun travail sur la voiture n’est possible. » rappelle Helmut Marko, conseiller motorsport chez Red Bull, dans les colonnes de Speedweek.

« Nous devons résoudre nos problèmes et découvrir où est l’erreur car nous n’avons plus d’équilibre dans la voiture si l’on compare la situation actuelle avec les trois premières courses. »

« Mais il est difficile d’estimer la rapidité avec laquelle cela se produira. Je ne pense pas qu’une grande solution viendra à Zandvoort. Nous procédons à un brainstorming intensif et avons également des idées différentes. Mais je ne peux pas encore dire ce que nous mettrons en œuvre et comment. »

« Une chose est claire : les qualifications seront cruciales à Zandvoort car les dépassements y sont difficiles. »

« Max [Verstappen] pourrait certainement réussir une bonne qualification, car il a été bon récemment. Nous avons été les plus rapides en Autriche et également à Spa. En Hongrie, il nous manquait quelques centièmes, nous nous plaignons donc à un niveau élevé. »

Avant le Grand Prix des Pays-Bas, l’équipe Red Bull est toujours leader du championnat du monde des constructeurs avec 42 points d’avance sur McLaren, alors qu’il reste encore dix Grands Prix à disputer cette saison.

Villeneuve : « Lewis Hamilton peut remporter un championnat avec Ferrari »

Le champion du monde de F1 1997 Jacques Villeneuve ne pense pas que Lewis Hamilton regrettera son choix d’avoir quitté Mercedes pour rejoindre l’écurie Ferrari à partir de la saison 2025.

En début d’année, Ferrari a confirmé l’arrivée du septuple champion du monde Lewis Hamilton à Maranello à partir de la saison 2025. Le Britannique – âgé de 40 ans en janvier prochain – deviendra chez Ferrari le coéquipier du Monégasque Charles Leclerc. 

La décision d’Hamilton a été prise alors que son actuelle équipe Mercedes rencontre de grandes difficultés depuis 2022 lorsqu’une nouvelle réglementation technique a été introduite en Formule 1.

Cependant, Mercedes a fait des progrès remarquables en quelques courses lors de la première moitié de saison cette année, à tel point que Mercedes se positionne désormais comme la meilleure équipe derrière McLaren en termes de performance pure – bien que Ferrari soit toujours devant au championnat.

Lorsque InstantCasino.com demande à Jacques Villeneuve s’il pense que Lewis Hamilton pourrait regretter son choix de quitter une équipe Mercedes en progression pour rejoindre une Scuderia Ferrari plus en difficulté, le Canadien a répondu : « Non, Lewis Hamilton avait besoin de changement de toute façon. »

« Il ne regrettera pas d’avoir quitté Mercedes cette année. L’avenir à long terme de Mercedes n’était pas avec Hamilton, ils ont George Russell et préparent Kimi Antonelli à prendre sa place. »

« Les deux parties attendaient une excuse pour se séparer, sans que cela ne devienne un combat. Ferrari est le défi ultime, et si Hamilton peut remporter un championnat avec eux, il entrera sans doute dans les mémoires comme le plus grand de tous les temps, toutes générations confondues. »

« Peu importe le nombre de championnats remportés par Hamilton, car certaines de ses saisons avec Mercedes ont été faciles, ce sont ces défis qui le distinguent. »

Lorsqu’on lui demande s’il pense que Lewis Hamilton a des chances de remporter un huitième titre mondial avec la Scuderia Ferrari, Jacques Villeneuve a ajouté : « Lewis Hamilton peut certainement remporter un championnat avec Ferrari. »

« Cette équipe pourrait avoir la dernière marche qui lui manque chez Mercedes pour lui permettre de remporter un autre titre. Hamilton devra piloter comme il l’a fait à Silverstone [lorsqu’il a remporté le GP de Grande-Bretagne cette année], mais plus d’une fois par an. »

« Chez Ferrari, il aura le potentiel de piloter comme Max Verstappen le fait actuellement, et cela pourrait renforcer sa concentration mentale tout au long de la saison car c’est un nouveau défi. Cela consoliderait sa place dans l’histoire. »

Frustré par le manque de progrès chez Alpine F1, Ocon a choisi Haas

La frustration face au manque de progrès chez Alpine au cours des deux dernières saisons a été l’une des principales raisons pour lesquelles Esteban Ocon a choisi de rejoindre l’écurie Haas à partir de la saison 2025.

Tout comme dans un casino en ligne fiable, où les joueurs recherchent des plateformes offrant des évolutions constantes et des mises à jour pour garantir une expérience optimale, Esteban Ocon a préféré rejoindre une équipe où il voit un meilleur potentiel de progression et d’amélioration.

Avant la pause estivale de la Formule 1, l’équipe Haas a confirmé l’arrivée prochaine dans ses rangs du Français Esteban Ocon qui fera équipe à partir de la saison 2025 avec le Britannique Oliver Bearman.

Expliquant son choix face aux médias lors du week-end du Grand Prix de Belgique qui s’est tenu juste avant la trêve estivale, le Français a expliqué que la frustration face au manque de progrès d’Alpine a joué un grand rôle dans sa décision de rejoindre Haas.

« J’ai pris la décision il y a bien longtemps de relever un nouveau défi. » a déclaré Esteban Ocon, cité par Racer.

« Je voulais écrire ma propre histoire, et évidemment, cinq ans en Formule 1 avec la même équipe, c’est long en Formule 1. Nous avons réalisé de bonnes choses, nous avons réalisé des choses un peu plus difficiles par moments, mais c’est sûr que cette saison a été frustrante. »

« Ce n’est un secret pour personne ; personne n’est content au sein de l’équipe de notre situation actuelle. » a-t-il ajouté, alors que Alpine occupe la huitième place au championnat du monde des constructeurs avec seize points de retard sur Haas.

« Il n’y a pas eu suffisamment d’améliorations sur certains aspects et sur certains problèmes techniques que nous avons pu rencontrer il y a des années. Ce cercle de développement et d’améliorations techniques, nous n’y sommes pas parvenus et nous sommes confrontés aux problèmes que nous avions il y a trois ans sur la voiture actuelle, ce qui n’est pas possible en Formule 1. »

« Je souhaite évidemment le meilleur à cette équipe, nous avons obtenu ensemble mon premier podium, ma première victoire, et cela restera toujours spécial dans mon cœur. »

« Je leur souhaite le meilleur pour l’avenir, mais avant cela, il nous reste encore une demi-saison à terminer et j’espère pouvoir faire de mon mieux pour finir en beauté avec cette équipe. »