Alonso est prêt à faire « quelque chose d’important » en 2021

Le double champion du monde de F1 Fernando Alonso a révélé que son intention pour 2021 est de revenir à « quelque chose d’important.

Alors que son nom est très souvent cité ces derniers jours pour remplacer Daniel Ricciardo chez Renault l’an prochain, le pilote espagnol Fernando Alonso continue de jouer avec les nerfs des médias et des fans.

Tout le monde attend de savoir si l’Asturien reviendra en Formule 1 avec Renault (ou avec une autre équipe) l’an prochain, mais Alonso continue de tourner autour du pot et annonce qu’il fera l’an prochain  « quelque chose d’important ».

« Je suis au plus haut niveau physiquement et mentalement et je veux faire face à des défis importants. » a déclaré Fernando Alonso au sujet de la saison 2021, sur la chaîne de télévision du Réal Madrid.

« L’année dernière, je m’attendais à ce que 2020 soit calme pour moi, mais ensuite, la pandémie est arrivée et, malheureusement, elle est devenue un peu trop calme pour tous les athlètes. »

« Bien se reposer, recharger les batteries et revenir à quelque chose d’important en 2021, c’est l’idée que j’ai eue et c’est l’idée que je vais essayer de continuer à exécuter. En 2020, je voulais me détendre et ne faire que les 500 miles d’Indianapolis. »

Certaines personnes proches d’Alonso, telles que Flavio Briatore, estiment que le double champion du monde est désormais « prêt pour revenir » en F1.

« Fernando est motivé, une année sans Formule 1 lui a fait du bien. Il s’est détoxifié, je le vois bien plus serein, et il est prêt à revenir. » a déclaré Briatore.

Jenson Button se dit « choqué » de savoir que Vettel ne sera plus dans une Ferrari

Jenson Button, le champion du monde 2009 de F1, se dit « choqué » de savoir que Sebastian Vettel ne sera plus dans une Ferrari l’an prochain.

La semaine dernière, la Scuderia Ferrari a confirmé sa fin de collaboration avec Sebastian Vettel à partir de la fin de la saison 2020 de F1.

Après six années passées à Maranello, le pilote allemand pourrait rejoindre Mercedes ou Renault en 2021, mais pourrait également choisir de prendre sa retraite.

Ces derniers jours, les rumeurs ont suggéré que Ferrari n’avait même pas fait la moindre proposition au quadruple champion du monde et avait choisi Carlos Sainz déjà dès la trêve hivernale.

Jenson Button, désormais consultant sur la chaîne britannique Sky Sports, se dit choqué de savoir que Vettel ne sera plus dans une Ferrari l’année prochaine.

« S’il a été poussé [dehors], c’est de la folie pour moi, un quadruple champion du monde. » a déclaré Jenson Button au micro de Sky Sports.

« Je pense qu’il a montré sa vitesse l’année dernière. Il a eu un moment difficile dans la saison où Charles se comportait très bien et je pense que cela lui a fait un peu mal mentalement. »

« Mais il est revenu très fort, et c’est juste une personne que vous choisiriez certainement si vous aviez une équipe de F1. »

« Il doit y avoir plus, je ne sais pas si Ferrari va dans le sens de ne pas vouloir deux pilotes numéro un, mai c’est un choix vraiment étrange pour moi et je suis choqué que Sebastian ne soit pas dans une voiture rouge. »

Circulez y’a rien à voir ! Monaco efface toute trace de son GP annulé

Les organisateurs du Grand Prix de Monaco sont toujours à l’oeuvre pour faire disparaître toute trace des infrastructures déjà montées en principauté avant l’annulation de l’épreuve.

Pour la première fois en 91 ans, le Grand Prix F1 de Monaco n’aura pas lieu dans les rues de la principauté en raison de la crise du coronavirus.

Si l’installation des différentes infrastructures avait bien débuté à Monaco en début d’année, tout a été stoppé net lorsque la F1 a décidé d’annoncer le report de l’épreuve monégasque au mois de mars.

A la suite de cette annonce, l’ACM n’a pas tardé à rendre officielle sa décision d’annuler purement et simplement le 78e Grand Prix de Monaco « face à une situation non maîtrisable ».

« Heureusement qu’on a pris la décision d’annuler le jeudi (19 mars) parce que le lundi (23 mars), les camions chargés avec les éléments de tribunes s’apprêtaient à débarquer. » explique Christian Tornatore, commissaire général du Grand Prix de Monaco dans les colonnes de Monaco-Matin.

A partir du 19 mars donc, tout le matériel déposé sur le quai Albrt-1er a été laissé en plan, alors que la principauté de Monaco a ensuite été placée en confinement.

« Il y avait quatorze remorques qui étaient stationnées sur le quai et allaient attaquer le rez de chaussé de la direction de course (le grand bâtiment au bout de la voie des stands), qui devait être mise en place le même jour où on s’est arrêté de travailler. »

Plus aucune trace le 23 mai

Désormais donc, l’heure est au démontage des infrastructures encore présentes sur place et l’organisation s’attend à ce qu’il n’y ait plus rien d’ici le 23 mai.

« Comme c’est une société sous-traitante qui vient de Croatie, des spécialistes du montage de charpente métallique, ils ont du mal à traverser l’Italie pour venir chez nous. »

« Si tout va bien, il n’y aura plus rien le samedi 23 mai. Le jour où auraient dû se tenir les essais qualificatifs. Et s’ils ne parviennent pas à franchir les frontières, c’est la société Polymétal qui assurera le démontage. »

Renault F1 a rouvert son usine moteur de Viry-Châtillon ce lundi

Renault F1 a rouvert son usine moteur de Viry-Châtillon ce lundi après plusieurs semaines de fermeture en raison du coronavirus.

Renault F1, comme les autres motoristes en Formule 1, a eu l’obligation de fermer son usine de Viry-Châtillon pour respecter la période de pause forcée instaurée par la FIA.

Cette pause forcée, déplacée et rallongée d’août à mars/avril/mai, a permis aux équipes de F1 de réduire les coûts et de placer une partie de leurs employés au chômage partiel durant cette période.

Comme prévu, Renault F1 a donc mis fin à son shutdown ce lundi 18 mai 2020 pour son usine moteur située en France, alors que sa base d’Enstone restera encore fermée jusqu’au 31 mai inclus.

Ce sera donc seulement à partir du 1er juin 2020 que l’équipe du constructeur français aura retrouvé sa pleine activité en Formule 1.

Rappelons que la saison 2020 de F1 devrait normalement débuter le 5 juillet en Autriche avec deux courses disputées à huis clos sur le tracé Red Bull Ring de Spielberg.

La Formule 1 devrait normalement communiquer sur le nouveau calendrier 2020 dans les prochains jours. On s’attend à une saison composée entre 15 et 19 courses d’ici la fin de l’année.

Vettel peut encore gagner des championnats selon Franz Tost

Franz Tost pense que Sebastian Vettel a encore toutes ses chances de remporter un championnat du monde avec la bonne voiture.

C’est désormais officiel depuis une petite semaine, Sebastian Vettel quittera la Scuderia Ferrari à la fin de la saison 2020, après six années passées à Maranello.

Pour l’instant, personne ne sait où le pilote allemand va atterrir l’an prochain, ni même s’il continuera sa carrière de pilote de F1.

Mais selon son ancien patron Franz Tost, le quadruple champion du monde peut encore remporter un ou plusieurs championnats à la seule condition qu’il soit dans l’une des trois meilleures monoplaces de la grille.

« La fin de quelque chose signifie toujours le début de quelque chose. Cela dépendra vraiment du baquet qu’il obtient. Pour se battre pour un championnat, Sebastian Vettel est un pilote de calibre qui peut le faire. » explique Franz Tost, le directeur de l’équipe AlphaTauri.

« Il doit obtenir un baquet dans les trois premières équipes. Ensuite, il aura une réelle chance de gagner des courses et un autre championnat. Je connais assez bien Sebastian, et c’est à coup sûr son objectif principal. »

« Ce n’est pas un pilote qui veut juste être sur la grille de départ. Si nous faisons une course maintenant, il veut gagner la gagner. Cela dépend de la façon et des ingrédients qu’il réunira pour atteindre l’objectif. »

« Du point de vue financier, je ne pense pas qu’il ait besoin de continuer à courir, mais les pilotes qui ont remporté des championnats ne pensent pas tellement à l’argent. »

« Leur motivation est de gagner des courses, de réussir. La motivation n’est pas l’argent. Il n’a que 32 ans, c’est un pilote très qualifié et s’il obtient le bon package, s’il est dans une Ferrari, une Red Bull ou une Mercedes, il est toujours capable de gagner des courses et je suis aussi tout à fait certain qu’il pourra gagner un autre championnat. Cela dépendra de l’équipe avec laquelle il roulera. »

Briatore : « Alonso est prêt à revenir »

L’ancien directeur de Renault F1, Flavio Briatore, pense que son ami Fernando Alonso est prêt à revenir en F1 après une année en off.

Depuis la semaine dernière, le nom de Fernando Alonso est lié au baquet Renault qui sera laissé vacant par Daniel Ricciardo à la fin de l’année, lorsque l’Australien rejoindra l’équipe McLaren.

Pour l’instant, l’arrivée d’Alonso chez Renault ne reste qu’une simple rumeur, mais Flavio Briatore, qui connait très bien le pilote espagnol, pense qu’il est désormais prêt pour faire son grand retour en catégorie reine.

« Fernando est motivé, une année sans Formule 1 lui a fait du bien. Il s’est détoxifié, je le vois bien plus serein, et il est prêt à revenir. » affirme Flavio Briatore à la Gazzetta Dello Sport.

Concernant l’annonce de Ferrari, qui a officialisé le départ de Sebastian Vettel à la fin de la saison 2020, Briatore admet qu’il n’a pas trop compris le timing, alors que l’Italien ne voit pas Sebastian Vettel rejoindre Mercedes l’an prochain.

« J’ai été un peu surpris par le timing. Nous devons encore courir en 2020 et nous parlons déjà de 2021. »

« Je ne pense pas que Sebastian Vettel puisse piloter pour Mercedes. Ils ont Hamilton, qui est merveilleux avec Bottas, cela aurait-il du sens de changer ? Pour Vettel, je ne pense pas que Mercedes va lui laisser une place maintenant que tout va si bien pour eux. »

Briatore estime également qu’il est encore un peu trop tôt pour savoir si Vettel est un adversaire d’Alonso pour le baquet disponible chez Renault l’an prochain : « Nous verrons bien comment les choses évoluent. » souligne t-il.

« N’oublions pas qu’il y a encore un championnat à disputer, du moins on l’espère. Les médecins ont appris beaucoup de choses sur le virus, et même en cas de contagion, il faudra quand même continuer. »

Sergio Perez et Lance Stroll piloteront pour Aston Martin en 2021

La future équipe Aston Martin fera confiance à Sergio Perez et Lance Stroll la saison prochaine en F1.

L’écurie Racing Point, qui deviendra l’an prochain l’équipe d’usine Aston Martin Racing, continuera de faire confiance à son actuel duo de pilotes la saison prochaine comme l’a confirmé Otmar Szafnauer à nos confrères de Radio Canada.

On savait déjà que Sergio Perez avait un contrat avec l’équipe jusque fin 2022, mais le contrat de Lance Stroll arrive à son terme à la fin de la saison 2020.

« C’est fou, la saison folle des transferts pour 2021 a déjà commencé, et on n’a pas disputé la moindre course en 2020. » s’exclame Otmar Szafnauer à Radio Canada Sports.

L’annonce de Ferrari, qui a confirmé que Sebastian Vettel ne prolongerait pas son contrat au delà de la saison 2020 a étonné le directeur de l’équipe Racing Point.

« Je suis un peu surpris qu’ils n’aient pas pu s’entendre. Sebastian est un super pilote et c’est un ami. Je le connais depuis longtemps. Il a accompli tellement de choses en F1. »

« Il a même gagné très jeune lorsqu’il était avec Toro Rosso [en 2008 au GP d’Italie], ce qui est incroyable. Il mérite de rester en F1. »

« C’est vrai, il y a en ce moment des pilotes vainqueurs de Grands Prix sur le marché, même des champions du monde, c’est idée intéressante. Mais nous préférons aller chercher le meilleur des pilotes que nous avons. »

« Si nous leur donnons le meilleur, ils peuvent eux aussi gagner des courses et, possiblement, devenir des champions du monde. Nos deux pilotes s’entendent bien. Et ils sont liés par contrat pour 2020 et 2021. »

Nico Rosberg craignait l’arrivée du « dieu » Michael Schumacher chez Mercedes

Nico Rosberg craignait que Michael Schumacher ne manipule l’équipe Mercedes contre lui lorsqu’ils sont devenus coéquipiers en 2010.

Nico Rosberg a eu l’opportunité de rejoindre l’écurie Mercedes en 2010, née du rachat de l’équipe Brawn GP, qui a remporté les deux championnats pilotes et constructeurs l’année précédente.

On s’attendait à l’époque à voir chez Mercedes un duo de pilotes 100% germanique avec Nico Rosberg et Nick Heidfeld, mais au dernier moment, l’équipe du constructeur allemand a annoncé Michael Schumacher.

Le septuple champion du monde sortait alors de sa première retraite, après avoir quitté trois ans plus tôt la Scuderia Ferrari.

« Le nom de Schumacher n’était même pas à l’horizon, personne n’en parlait même. » a expliqué Nico Rosberg.

« Et soudain, Ross [Brawn] m’appelle et me dit: » Au fait, ton coéquipier ne sera pas Jenson Button ou Nick Heidfeld, ce sera Michael Schumacher. »

« Je me suis dit ‘Oh, mon dieu’.J’avais les pensées les plus folles, je pensais que je n’aurais aucune chance, que l’équipe serait contre moi, que Michael manipulerait à sa façon. »

« Je ne savais même pas si j’allais être capable de le suivre. Il est le plus grand de tous les temps. Aurais-je une chance ? C’était un moment assez fou. »

« Lorsqu’il est arrivé [dans l’équipe], il était comme un dieu. Lorsque nous avions des réunions pour parler des stratégies, même ma stratégie n’était discutée qu’avec Michael et pas avec moi, alors que j’étais assis là. »

« J’ai donc parlé de ça aux stratèges qui organisaient ces réunions et nous y avons réfléchi ensemble. Cela a vraiment eu un grand impact et, à partir de ce moment, les réunions de stratégies étaient bien meilleures pour moi. »

« Je me sentais beaucoup plus à l’aise et j’ai réussi à obtenir son attention simplement en lui montrant mon invulnérabilité, ainsi qu’en exprimant mes sentiments. »

Daimler discute de l’avenir de l’équipe Mercedes en F1

Daimler est en train de discuter de l’avenir de l’équipe Mercedes en F1, malgré les succès à répétition signés par l’écurie du constructeur allemand ces dernières années.

Depuis plusieurs mois maintenant, les rumeurs suggèrent que le constructeur allemand Mercedes aimerait stopper son projet F1 pour réduire les coûts, mais surtout, pour être plus en phase avec sa stratégie de communication presque entièrement tournée vers des modèles électriques.

Il serait donc tout à fait logique de voir l’équipe Mercedes F1 disparaître et ce, malgré le fait que l’écurie domine outrageusement la catégorie reine du sport automobile depuis 2014.

Le patron de l’équipe, Toto Wolff, a confirmé qu’il était actuellement en discussions avec Daimler [la maison mère de Mercedes] pour évoquer l’avenir de l’écurie de F1 de Mercedes.

« Je suis maintenant sans Niki – Lauda, uniquement avec Mercedes en tant qu’actionnaire de l’équipe et il ne s’agit pas seulement de prolonger mon contrat en tant que chef d’équipe, mais aussi de ce que nous faisons avec l’entreprise et c’est ce dont nous discutons actuellement [avec Daimler]. » a expliqué Toto Wolff à l’ORF.

En revanche, l’Autrichien a une nouvelle fois affirmé que son récent investissement chez Aston Martin ne changera pas sa situation au sein de l’équipe Mercedes.

« Aston Martin est simplement un investissement personnel, comme je l’ai toujours fait. Je crois en la marque et je crois en une stratégie à long terme qui peut être efficace ou non pour les prochaines années. »

« En réalité, c’est une diversification des investissements et cela n’a rien à voir avec mes activités opérationnelles. »

Avec Vettel, Mercedes pourrait faire un « beau coup marketing »

Le patron de l’équipe Mercedes en F1, Toto Wolff, admet que faire venir Sebastian Vettel dans son écurie en 2021 pourrait être un beau coup marketing.

Depuis l’annonce de Ferrari cette semaine, qui a confirmé que Sebastian Vettel ne poursuivrait pas l’aventure à Maranello après 2020, les rumeurs suggèrent que le quadruple champion du monde de F1 pourrait trouver refuge chez Mercedes aux côtés d’Hamilton à partir de 2021.

Personne ne sait si Vettel souhaite continuer sa carrière en F1 ou bien si le pilote allemand souhaite faire durer le plaisir en rejoignant une autre écurie à partir de l’an prochaine, mais en tout cas, le patron de l’équipe Mercedes admet que ce pourrait être un « beau coup marketing » que de placer un Allemand dans une Mercedes.

« Pour nous, la question est de savoir ce que nous allons faire avec Russell [George, pilote Williams]. C’est une option pour l’avenir. » explique Toto Wolff à l’ORF.

« Sebastian est un grand pilote avec une forte personnalité. Pour le futur, nous sommes déterminés à conserver nos pilotes actuels, même si on ne peut ignorer la disponibilité de Vettel. »

« Nous nous concentrons exclusivement sur le succès. Bien-sûr, un pilote allemand avec une voiture allemande pourrait être un beau coup marketing, mais nous nous concentrons sur les performances. »

« Sebastian est, bien sûr, quelqu’un de vraiment bon. Il détient toutes les ficelles. Il peut décider lui-même s’il souhaite quitter ou rejoindre une autre équipe. Il y a encore des endroits intéressants à visiter. »

Toto Wolff explique comment Mercedes choisit un nouveau pilote

Le directeur de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, a expliqué comment l’équipe championne du monde faisait pour choisir un nouveau pilote.

Comme pour jouer avec les nerfs des médias et des fans, qui attendent désormais de savoir si Sebastian Vettel va rejoindre l’équipe Mercedes en 2021, Toto Wolff a détaillé la façon dont l’équipe du constructeur allemand choisit un nouveau pilote.

« Il y a le côté « données » : les résultats de course, en comparaison avec le coéquipier puis comparé aux autres. » explique Toto Wolff, le directeur exécutif de l’équipe Mercedes.

« Il y a aussi l’aspect « personnalité » qui est très important. Est-ce que le pilote correspondra à la structure de l’équipe? Comment sera la dynamique avec son coéquipier? Qui sera ce coéquipier? Quels sont les projets pour le futur? »

« Ensuite tous ces aspects sont rassemblés et analysés, nous discutons, tout le monde donne son avis mais le plus souvent dans ce groupe, tout le monde a le même avis de toute façon. »

Vettel peut-il rejoindre Mercedes ?

C’est LA question que tout le monde se pose depuis que la Scuderia Ferrari a annoncé cette semaine que le contrat du quadruple champion du monde ne serait pas renouvelé après 2020.

Certains pensent que Vettel prendra sa retraite fin 2020, quand d’autres estiment que le pilote allemand rejoindra Mercedes ou bien Renault F1 dès 2021.

Interrogé justement sur une potentielle arrivée de Vettel au sein de l’équipe Mercedes, Wolff a répondu à l’ORF : « Aucune équipe ne peut ignorer lorsqu’un quadruple champion du monde arrive sur le marché des transferts. »

« En tant qu’équipe Mercedes, nous voulons construire les meilleures voitures et avoir les meilleurs pilotes, peu importe d’où ils viennent [leur nationalité]. »

Wolff ne cache pas qu’il regrette que Sebastian Vettel quitte la Scuderia Ferrari à la fin de l’année : « C’est dommage qu’une époque touche à sa fin. »

« Sebastian est un grand pilote avec une forte personnalité. Pour le futur, nous sommes déterminés à conserver nos pilotes actuels, même si on ne peut ignorer la disponibilité de Vettel. » a ajouté l’Autrichien auprès de l’agence de presse DPA.

Rapellons que Lewis Hamilton et Valtteri Bottas n’ont toujours pas été prolongés par Mercedes, leur contrat respectif arrivant à échéance à la fin de la saison 2020.

Hamilton est en manque, le Britannique a hâte de retrouver sa F1

Le sextuple champion du monde de F1, Lewis Hamilton, a admis qu’il est en manque de pilotage et a désormais hâte de reprendre la piste avec sa monoplace.

Comme tous les autres pilotes de la grille, Lewis Hamilton est resté confiné quelques semaines en raison de la crise sanitaire et pris le temps de réfléchir sur pleins de choses, de s’affûter physiquement ou encore d’apprendre le Français.

« Je ne prend pas de poids, et je pense que mon poids est globalement resté le même [durant le confinement]. Avoir tout ce temps vous donne plus de liberté pour vous concentrer sur…les points faibles. » explique Lewis Hamilton.

« Il y a des forces et des faiblesses sur notre corps et, lorsque vous allez dans une salle de sport, vous travaillez souvent les gros muscles, mais moins les petits. Donc, j’essaie vraiment d’y aller en profondeur pour affiner mon corps et essayer de trouver le niveau suivant – comment puis-je être plus en forme que je ne le suis déjà ? »

« Au début de la saison, je me sentais bien. C’est vraiment dommage que nous n’ayons pas pu commencer [la saison]. Cela aurait été le bon moment pour pouvoir se concentrer sur l’amélioration d’autres domaines. »

Le sextuple champion du monde a admis qu’il était impatient de reprendre le volant de sa monoplace qu’il a à peine eu le temps d’apprivoiser lors des essais hivernaux de Barcelone au mois de février.

« Je pense qu’aucun d’entre nous n’a vraiment eu le temps pour vraiment libérer le potentiel de nos voitures, donc je serai ravi de revenir. » explique le pilote Mercedes.

« Ça me manque vraiment et, comme je l’ai déjà dit, cela a été comme une bénédiction d’un côté [la pause forcée] parce que cela vous aide encore plus à apprécier les choses que vous aimez et les choses que vous faites. »

« Cela m’a donné plus d’énergie, d’inspiration et de détermination pour continuer à performer et continuer à travailler avec cette grande équipe, donc, je suis excité pour l’avenir. »

Le PDG de McLaren conseille à Renault F1 de prendre Alonso pour 2021

Le PDG de l’équipe McLaren, Zak Brown, conseille à Renault  F1 de signer son ancien pilote Fernando Alonso pour 2021.

Cette semaine, McLaren F1 a annoncé l’arrivée prochaine de l’actuel pilote Renault Daniel Ricciardo dans son équipe à partir de la fin de la saison 2020.

Le départ de l’Australien de chez Renault laisse donc un baquet disponible à partir de l’an prochain et, depuis 72 heures, le nom de Fernando Alonso est très souvent cité comme remplaçant probable de Ricciardo.

De nombreux fans aimeraient revoir Fernando Alonso revenir en catégorie reine du sport automobile en 2021 et le PDG de McLaren, Zak Brown, conseille également à l’écurie du constructeur français Renault de signer son ancien pilote pour l’an prochain.

« Je pense qu’il [Alonso] n’a pas encore décidé. » explique Brown à Sky Sports. « Si j’avais mon mot à dire chez Renault, je saurais qui je mettrais dans la voiture – c’est un grand nom, qui est plus rapide que quiconque et qui a déjà remporté deux titres mondiaux avec eux. »

« Cependant, le fait que Fernando veuille encore disputer tant de courses dans une voiture qui n’est pas encore victorieuse c’est une autre affaire. Je pense qu’il a besoin d’une voiture capable de se battre au sommet pour revenir. »

Concernant Renault, Brown estime que l’équipe du constructeur français est sur la bonne voie : « Je suis certain qu’ils vont remonter au sommet, car c’est une super équipe avec de bonnes ressources. »

« Ils l’ont également fait par le passé. Cependant, je ne sais pas si Fernando souhaite s’engager sur un projet à long terme avec eux. »

Sainz a vécu « l’un des moments les plus excitants » de sa carrière cette semaine

Carlos Sainz a vécu l’un des moments les plus excitants de sa carrière cette semaine lorsque la Scuderia Ferrari a confirmé son arrivée dans l’équipe pour 2021.

L’actuel pilote McLaren quittera l’écurie britannique à la fin de la saison 2020 de F1 pour rejoindre la Scuderia Ferrari où il fera équipe avec Charles Leclerc durant deux saisons au minimum dès 2021.

A l’âge de 25 ans à peine, l’Espagnol a déjà connu trois équipes différentes en Formule 1 avec des débuts chez Toro Rosso en 2015, avant de rejoindre l’écurie du constructeur français Renault et enfin McLaren pour qui il pilote depuis le début de la saison 2019.

L’an prochain, Sainz réalisera le rêve de bon nombre de pilotes en rejoignant la Scuderia Ferrari à l’age de 26 ans et a tenu à remercier ses fans pour le soutien dont ils ont fait preuve cette semaine après l’annonce officielle.

« Merci à tous. Evidemment, ce week-end a été l’un des moments les plus excitants de ma carrière. » a écrit le futur pilote Ferrari sur son compte Twitter.

« Mais ce que je souhaite le plus actuellement, c’est d’être de retour à la compétition en F1 avec mes camarades de course et avec vous tous dans les tribunes. »

Rapellons que Carlos Sainz sera remplacé l’an prochain par l’Australien Daniel Ricciardo chez McLaren. Il fera équipe avec le Britannique Lando Norris.

Privé de salaire, le pilote de la Safety Car attend lui aussi la reprise de la F1

Le pilote de la Safety Car ne perçoit aucun salaire lorsque la F1 ne se produit pas et attend donc lui aussi avec impatience le début de saison.

Pilote officiel de la Safety Car en F1, Bernd Mayländer se retrouve comme beaucoup d’autres personnes au chômage technique depuis le début de la crise du coronavirus.

En raison de l’épidémie, la saison 2020 de F1  n’a toujours pas débuté, alors que les dirigeants de la catégorie reine continuent de travailler en coulisses pour élaborer un nouveau calendrier compressé qui devrait comporter entre 15 et 19 courses cette année.

En plus des pilotes et des équipes, de nombreuses personnes dans le paddock (médias, techniciens, chauffeurs…) vivent grâce à la F1 et le pilote officiel de la voiture de sécurité, Bernd Mayländer, fait également partie des gens qui ne perçoivent aucun salaire lorsque la F1 ne se produit pas.

Comme beaucoup de personnes, Mayländer est pigiste pour le compte de la FIA et n’est payé qu’une fois sa prestation réalisée. Ce qui signifie qu’en cas d’absence de course, le pilote de la Safety Car ne perçoit aucun salaire.

« Je suis pigiste et je suis payé à la commande. » confirme Mayländer à AMUS. « C’est à dire qu’après un week-end de course, je ne peux émettre une facture que si j’ai effectué un servce. »

« Comme ce n’est pas possible pour le moment, parce qu’il n’y a pas de course, je ne gagne pas d’argent. J’ai essayé de réagir parce que c’était prévisible et j’ai essayé de réduire les coûts jusqu’à ce que les affaires reprennent. »

« J’espère pour nous tous que l’économie redémarrera en conséquence. Je suis dans une situation relativement confortable. »

Pendant le confinement, Bernd Mayländer patiente sagement chez lui et s’occupe de ses deux enfants en bas âge, un rôle difficile pour ce papa qui fait le tour du monde chaque année.

« Ma femme est orthophoniste et a deux cabinets dans la région. Les garderies sont fermées et je n’espère pas que ça continuera comme ça jusqu’à cet été, parce que ça va être difficile avec les deux enfants. »

« C’est un travail à temps plein. Mes garçons ont deux ans et démontent tout dans la maison. Je construis des pistes de course, un train, je fais de la gymnastique. Vous devriez en fait faire des vidéos et les lire plus tard et vous dire que vous l’avez fait pendant la phase corona. »

Sebastien Bourdais tacle sévèrement la F1

Difficile de croire que Sebastien Bourdais retournera un jour en F1, après les propos tenus par le Français au sujet de la catégorie reine du sport automobile.

Sebastien Bourdais, titulaire en F1 aux côtés de Sebastian Vettel au sein de l’écurie Toro Rosso durant la saison 2008, a été évincé par son équipe après une année et demie passée à Faenza.

Toro Rosso a en effet décidé de mettre fin au contrat du pilote français avec effet immédiat dès le Grand Prix de Hongrie 2009 « pour manque de résultats ».

La rupture de Sebastien Bourdais avec l’équipe Toro Rosso a été assez brutale et c’est sûrement la raison pour laquelle le Français tacle sévèrement la F1 quelques années plus tard.

« Forcément, ça n’a pas été une saison faste pour moi, il y a eu pleins de problèmes et puis surtout, je n’étais pas confortable la majorité du temps dans la voiture, donc, ça rend les choses compliquées, mais globalement, ce que je retiendrais de ça, c’est que de mon côté au moins on aura tout tenté pour se donner les moyens de réussir. » explique Bourdais au sujet de son passage en F1, lors d’une visio avec plusieurs médias.

« J’ai eu cette opportunité avec Toro Rosso, c’est sûr qu’à posteriori si j’avais su que ça se passerait comme ça, je ne suis pas sûr que j’y serai allé. Mais bon, globalement au moins, il n’y a pas de regret. J’ai tenté le coup et ça ne s’est pas bien passé. C’est terminé, on passe à autre chose. »

« Il y a eu l’avant, le pendant et maintenant l’après. Il y a eu pleins de belles choses, mais c’est sûr que le passage F1 était loin d’être satisfaisant. »

Lorsqu’on lui demande s’il ressent l’envie de retourner en F1 pour prendre sa revanche, le Français répond : « Non, déjà l’envie pas vraiment, parce que c’est pas un paddock de passionnés, c’est un paddock qui est compliqué, qui génère et qui englobe tout un tas de personnes qui ne sont pas forcément là pour les bonnes raisons. »

« Il y a tellement d’argent, tellement d’Intérêt. Il y a ceux qui sont extrêmement intéressés par l’aspect financier, il y a ceux qui sont intéressés par l’aspect technique, mais qui n’ont pas forcément la fibre du sport auto. »

« Donc, on se retrouve un peu avec un paddock sans vie, pas inhumain, mais sans la fibre et sans la passion. »

« C’est une chose avec laquelle j’ai eu beaucoup de mal. Toi, en tant que pilote, la F1 évoluait à un tel niveau de technologie que en gros ils n’ont pas besoin de pilotes comme dans les années 80 ou 90 qu’ils leur disent ‘j’ai besoin que la voiture fasse ça ou ça’. »

« Ils ont juste besoin d’un pilote qui monte dedans et qui s’adapte aux caractéristiques de la voiture et d’en sortir le potentiel maximum. »

« Ça n’a jamais été ma force, ça ne le sera jamais, et du coup, ça s’est mal passé. De toute façon, après le revers et la façon dont ça s’est passé, les opportunités, forcément il n’y en avait pas. Et puis l’âge forcément. Je vais arriver à ce qu’on appelle une fin de carrière sur une carrière F1 par rapport à au fait que j’étais déjà facilement dans la trentaine. »

Le constructeur Renault soutient toujours son projet F1

Le directeur général de Renault Sport Racing, Cyril Abiteboul, assure que le conseil d’administration de Renault soutient toujours le projet F1.

En raison de la crise sanitaire de la Covid-19, de nombreuses entreprises doivent faire face à des pertes colossales et les constructeurs automobiles ne sont pas épargnés.

Renault fait évidemment partie de ces constructeurs touchés de plein fouet par la crise économique liée au coronavirus et, depuis plusieurs semaines, les rumeurs selon lesquelles Renault quittera la F1 d’ici la fin de la saison 2020 s’intensifient.

Renault a déjà démenti à maintes reprises ces rumeurs, mais en raison de la crise actuelle, le sujet a de nouveau été mis sur la table dernièrement par certains médias.

Concernant le projet F1 du constructeur français, Cyril Abiteboul assure que le conseil d’administration de Renault surveille de près l’évolution de la situation en catégorie reine, qui n’a toujours pas débuté la saison, et le manager français évoque des projets à moyen et long terme pour l’écurie.

« Oui. Nous sommes en contact régulier, même si la direction de Renault a beaucoup à faire avec la crise. » explique Abiteboul à AMUS.

« Vous comprenez la situation dans laquelle nous nous trouvons. Vous connaissez les discussions en arrière-plan. »

« Je sais que ça fait longtemps, mais nous avons eu beaucoup de bonnes nouvelles concernant l’hiver. Les essais sur piste à Barcelone ont été très encourageants. La veille de l’annulation à Melbourne, nous avons annoncé un nouveau sponsor titre [DP World]. »

« Nous voulons bâtir notre équipe sur cette bonne nouvelle, sur cette dynamique. Nous sommes toujours une jeune équipe. Nous ne devons pas l’oublier. Mais nous avons nos exigences à moyen et long terme. »

« Une telle crise sans précédent recèle des dangers à tous égards. Nous avons également vu que le promoteur a récemment contracté un prêt pour restructurer ses finances et rendre l’entreprise plus solide. Ce qui montre que tout le monde est en danger. »

« Chaque équipe est tout aussi importante. Apparemment, les constructeurs sont un peu plus importants pour la structure de base du sport car ils équipent les équipes privées de certaines pièces, comme le moteur ou la transmission. »

« Les constructeurs soutiennent également largement la carrière des jeunes pilotes. On voit que certains sponsors ont annoncé qu’ils cesseraient de financer les jeunes pilotes. Si nous perdions des fabricants maintenant, ce serait un autre coup dur. »

« En tant que sport, nous essayons de sortir de la crise avec les dix équipes avec lesquelles nous sommes entrés en crise. »

« Espérons que nous aurons dix équipes même après la crise. Nous avons besoin du plafond budgétaire. Cela aidera également les équipes existantes à avoir des chances plus égales. »

« Au contraire, nous voulons également attirer de nouveaux candidats afin de ne pas avoir à nous soucier autant du nombre d’équipes lors d’une crise future. »

« Pourquoi aucune nouvelle équipe n’a-t-elle rejoint [la F1] à ce jour? Parce que les coûts sont trop élevés et ils n’ont aucune chance de gagner. Alors, pourquoi devriez-vous entrer en Formule 1? »

Le Canada 2008 est « l’un des plus grands moments » de la carrière de Kubica

Robert Kubica nous a indiqué que sa victoire au Canada en 2008 au volant d’une BMW Sauber restera probablement l’un des plus grands moments de sa carrière.

Cette semaine, le groupe Sauber a fêté ses 50 ans de présence dans le sport automobile et à cette occasion Robert Kubica a tenu à nous indiquer que sa victoire en 2008 au Grand Prix du Canada au volant d’une BMW Sauber restait à l’heure actuelle l’un des plus grands moments de sa carrière.

« Cette équipe a toujours été composée de gens formidables et ce fut un plaisir de courir pour eux. C’est ici que j’ai fait mes débuts, en 2006, ce qui était la plus grande opportunité pour moi et ma carrière. » nous explique Robert Kubica.

« J’ai beaucoup de bons souvenirs de ces jours, et la victoire au Canada en 2008 a certainement été l’un des plus grands moments de ma carrière. »

« Je voudrais féliciter toutes les personnes qui ont écrit l’histoire de Sauber, mais je souhaite également bonne chance aux nouvelles personnes, les nouveaux visages que j’ai eu la chance de rencontrer à mon retour à Hinwil, notre maison. Je souhaite à l’équipe 50, 100 ans de plus de grande histoire dans le sport automobile. »

Pour remettre les choses dans leur contexte, rappelons qu’une année auparavant Robert Kubica était victime d’un terrible crash sur le circuit Gilles Villeneuve de Montréal.

Un an plus tard, le Polonais revient à Montréal et décroche sa première victoire en Formule 1, la première également de BMW Sauber en tant que constructeur.

La petite amie de Charles Leclerc s’abonne à sa chaîne Twitch…pour pouvoir rentrer

Le pilote Ferrari Charles Leclerc a révélé que sa petite amie a dû s’abonner à sa chaîne Twitch pour pouvoir entrer chez lui.

C’est une information pour le moins loufoque qu’a partagé Charles Leclerc sur les réseaux sociaux ce samedi après-midi.

Devenu accroc aux sessions de simulation en ligne depuis le confinement, le pilote Ferrari Charles Leclerc a révélé qu’il n’avait pas entendu sa petite amie sonner à la porte et encore moins son téléphone lors d’une partie en ligne.

Concentré sur son pilotage avec un casque audio vissé sur la tête, le Monégasque n’a pas entendu les appels à répétition de sa petite amie, qui souhaitait simplement rentrer chez lui.

La malheureuse n’a pas eu d’autre choix que de s’abonner à la chaîne Twitch sur laquelle Leclerc diffuse ses exploits en direct pour pouvoir lui parler via le chat en ligne et lui dire qu’elle était dehors depuis plusieurs minutes.

« Ma copine a dû acheter un abonnement à ma chaîne Twitch pour pouvoir me demander dans le chat de la chaîne si je pouvais lui ouvrir la porte d’entrée. » a expliqué Charles Leclerc sur son compte Twitter.

« Elle a attendu 25 minutes en bas car je n’entendais pas mon téléphone, j’avais les écouteurs et j’étais très concentrée sur ma course de rallye. Elle n’a souscrit que pour un mois cependant… »

Le Mugello prêt à accueillir le GP d’Italie à la place de Monza

Le circuit du Mugello en Toscane est prêt à remplacer le tracé de Monza en Lombardie pour accueillir le Grand Prix d’Italie.

Dans un contexte de crise sanitaire mondiale, l’Italie a été particulièrement touchée par l’épidémie de Covid-19, et la région Lombardie en a été l’épicentre durant plusieurs semaines.

Le Grand Prix F1 d’Italie doit se tenir début septembre sur le tracé de Monza, lui aussi situé en Lombardie, mais la course a de fortes chances de se tenir à huis clos, même si les organisateurs continuent de vendre des billets pour l’événement.

Le circuit du Mugello pour sa part est situé en région Toscane, moins touchée par l’épidémie, et c’est pour cette raison que le maire de la ville de Scarperia estime que le tracé du Mugello serait le candidat idéal pour accueillir le GP d’Italie dans le cas où Monza ne serait pas en mesure d’organiser un tel événement en septembre.

« S’il était nécessaire d’organiser un GP à huis clos pour remplacer Monza, si en septembre la situation de la Lombardie ne le permettait pas, le Mugello serait l’endroit idéal pour l’organiser. » explique le maire de la ville de Scarperia où est situé le tracé Mugello.

« Nous serions prêts à investir et à en discuter avec la région toscane et la Chambre de commerce, car ce serait une occasion unique d’intégrer la F1 avec un nouveau circuit, de donner de la visibilité à notre autodrome et de construire également une collaboration structurée pour les prochaines années. »

« Nous ne savons pas quelle possibilité nous aurons d’organiser un GP, ​​mais nous sommes prêts à trouver des ressources sur notre territoire même si nous avions une seule chance sur cent. »

« Le circuit du Mugello, approuvé pour la Formule 1, est une excellence pour son professionnalisme, sa qualité et sa beauté: nous en avons parlé avec l’Aci et la région est prête à essayer. »

Il est bon de noter que les dirigeants du circuit de Monza ont confirmé les dates du Grand Prix d’Italie la semaine dernière (du 4 au 6 septembre). Pour le moment, la F1 n’a toujours pas validé son nouveau calendrier post-Covid.