Les pilotes auront des pneus plus tendres qu’en 2019 à Spa ce week-end

Pour le Grand Prix de Belgique [du 28 au 30 août], septième manche de la saison 2020 de F1, Pirelli met à disposition des pilotes les gommes C2, C3 et C4, la nomination étant un cran plus tendre qu’en 2019.

L’année dernière, en effet, le choix des sets disponibles par les pilotes était davantage orientés vers le medium et le soft: certains ayant même sélectionné 10 sets de pneus Tendres, avec un seul set dur pour tout le week-end de course.

Un choix non répétable cette année, étant donné que l’attribution est standard pour tout le monde: chaque pilote dispose de deux sets de durs, trois sets de mediums et huit sets de tendres.

« Spa-Francorchamps est une piste absolument emblématique: une piste old-school avec des dénivelés continus et d’autres variables qui en font un circuit particulièrement apprécié des pilotes. » nous explique Mario Isola, directeur de Pirelli en F1.

« Les trois composés nominés pour cette course sont un cran plus tendres qu’en 2019, malgré le fait que les voitures actuelles sont considérablement plus rapides comme on le voit dans la plupart des courses jusqu’à présent. »

« Ce grand prix est l’un des rares à n’avoir subi aucun changement de calendrier, les équipes se présenteront donc à cette course avec beaucoup de données à leur disposition, malgré des conditions toujours très imprévisibles. »

« Celui qui est le plus capable de réagir rapidement à des circonstances de course en constante évolution sera sûrement récompensé. »

« Une différence par rapport à 2019 est que les 24 Heures de Spa n’ont pas eu lieu il y a quelques semaines, comme cela a toujours été le cas. Il sera intéressant de voir si ce facteur peut en quelque sorte affecter la piste particulièrement caoutchouteuse après cette course – malgré les pluies fréquentes. »

« Enfin, je crois que le souvenir d’Anthoine Hubert sera dans nos pensées à tous pendant ce week-end, un an après sa mort tragique. »

La pluie attendue ce week-end pour le GP de Belgique

Les premières prévisions météo pour le Grand Prix de Belgique annoncent des averses sur le tracé de Spa-Francorchamps pour tout le week-end.

Septième manche du championnat 2020 de F1, le Grand Prix de Belgique se disputera ce week-end du 28 au 30 août sur le mythique tracé de Spa-Francorchamps.

Bien qu’il soit encore un peu tôt pour obtenir des prévisions météo fiables, les risques de pluie sont bien présents pour ce week-end, alors que les températures devraient être plutôt fraîches comparées à la dernière manche disputée à Barcelone.

Si pour vendredi les pilotes ne devraient pas être gênés par la pluie, la situation est beaucoup moins stables pour la suite du week-end, notamment pour la journée de dimanche où la pluie est attendue dans l’après midi à l’heure du départ du Grand Prix de Belgique.

Nous publierons évidemment un bulletin météo complet en fin de semaine et vous pourrez suivre en temps réel l’évolution de la situation grâce à notre partenaire Célinium.

Vidéo : Valtteri Bottas a roulé à Imola

Valtteri Bottas a pu rouler sur le circuit d’Imola en Italie avant que la F1 ne se rende sur le tracé mythique pour y disputer le Grand Prix d’Emilie-Romagne le 1er novembre prochain.

Absent du calendrier de la F1 depuis 2006, le circuit d’Imola fera son grand retour cette année et accueillera la treizième manche de la saison 2020 de Formule 1.

Le Finlandais Valtteri Bottas est devenu le troisième pilote de la grille à avoir roulé sur l’Autodrome Enzo et Dino Ferrari cette année [après Pierre Gasly et Daniil Kvyat], mais l’actuel pilote Mercedes n’était pas au volant d’une F1 lors de sa journée découverte.

Bottas a limé le bitume du tracé d’Imola au volant d’une voiture de série, la Mercedes-AMG A 45 et a pris beaucoup de plaisir à rouler pour la première fois de sa carrière sur le circuit d’Imola.

« Ce circuit fait partie de l’histoire de la Formule 1, et ce fut un grand plaisir de me retrouver à suivre ces mêmes trajectoires sur lesquelles j’ai vu mes idoles passer quand j’étais très jeune. » a déclaré Valtteri Bottas.

« J’avais déjà commencé à étudier la piste avec le simulateur, mais le live est une tout autre affaire, et pour cela je tiens à remercier le président Uberto Selvatico Estense et tout le personnel de l’Autodrome pour le magnifique accueil dans cette magnifique installation, et il me tarde vraiment de venir y courir. »

Pour rappel, les pilotes de F1 n’auront le droit qu’à une seule et unique séance d’essais libres sur le circuit d’Imola avant les qualifications cette année.

Bottas sur le tracé d’Imola

Avec la RP20, Lance Stroll peut enfin « montrer son talent »

Pour la première fois de sa carrière, le pilote Racing Point Lance Stroll estime avoir entre les mains une monoplace qui lui permet de montrer son talent en F1.

Le Canadien pilote la fameuse Racing Point RP20 qui a fait couler beaucoup d’encre cet hiver aux essais hivernaux en raison de sa ressemblance avec la Mercedes W10 championne du monde de l’an dernier.

Condamnée finalement à 400 000 euros d’amende et après avoir perdu ses 15 points inscrits au Grand Prix de Styrie pour avoir utilisé des écopes de frein « copiées sur la Mercedes 2019 », l’équipe Racing Point a fait appel de cette décision et attend désormais de passer devant la cour d’appel de la FIA.

Outre les réclamations et appels, sur un plan purement sportif la RP20 reste la monoplace la plus compétitive jamais pilotée par Lance Stroll jusqu’à présent.

« Ce fut une année assez folle, mais c’est bien de courir à nouveau. » a déclaré Lance Stroll au site de la Formule 1.

« C’est super d’être là où nous en sommes, nous avons un package très compétitif, nous avons marqué de bons points jusqu’à présent, donc c’est un point positif pour commencer la saison. »

« Nous savions à Barcelone lors des essais hivernaux que nous avions un package solide, mais tout est relatif par rapport aux autres, donc vous ne le savez jamais vraiment avant la première course. »

« Lorsque nous nous sommes présentés en Autriche [première course de la saison 2020], nous savions que nous avions un package solide. »

« J’adore ça. C’est une excellente saison jusqu’à présent. La voiture est vraiment agréable et c’est un plaisir de la piloter. »

« La saison se passe bien jusqu’à présent, j’ai l’impression que c’est la première chance que j’ai de montrer mon vrai talent. J’essaie toujours de progresser, et bien-sûr, j’ai plus d’expérience désormais. »

« Je remarque que je suis meilleur que je ne l’étais et d’un autre côté je recherche toujours quelque chose de mieux. Devenir champion du monde en F1 reste évidemment mon rêve absolu. »

Nico Hülkenberg ne veut pas d’un rôle de pilote de réserve en F1

Nico Hülkenberg insiste sur le fait qu’il n’y aurait aucun sens à ce qu’il revienne en F1 dans un rôle de pilote de réserve.

Le pilote allemand a quitté l’équipe Renault F1 à la fin de la saison 2019 pour être remplacé par le Français Esteban Ocon, mais a fait un bref retour en catégorie reine cette année pour remplacer chez Racing Point Sergio Perez pour deux courses [le Mexicain ayant été testé positif au Covid-19].

Le retour de Nico Hülkenberg a été remarquable puisqu’il a pu terminer le Grand Prix du 70e anniversaire à la septième position après s’être qualifié sur la seconde ligne.

Depuis, l’Allemand a confirmé qu’il était en discussion avec du monde dans le paddock pour un éventuel retour en F1 en 2021 et n’a pas caché qu’il discutait déjà depuis plusieurs mois avec Alfa Romeo.

Cependant, Hülkenberg insiste sur le fait qu’il ne souhaite pas revenir pour être un pilote de réserve et vise bel et bien un poste de titulaire dans une équipe.

« Personnellement, je ne me vois pas dans le rôle de pilote de réserve. » a déclaré Nico Hülkenberg sur la chaîne allemande Sport 1.

« Je me suis assis dans un cockpit de course pendant 10 ans et j’étais sur les grilles de départ,  donc accepter un pas en arrière sans trop de chances de revenir n’a pas de sens pour moi.

« Ce n’est pas la voie que je souhaite emprunter. » a conclu l’ancien pilote Renault F1.

Allison espère que Toto Wolff restera « encore quelques années » chez Mercedes

Le directeur technique de Mercedes, James Allison, espère que le patron de l’équipe, Toto Wolff, restera à la tête de l’équipe de Brackley « pendant encore de nombreuses années »

Toto Wolff réfléchit actuellement sur son avenir en F1 avec l’équipe Mercedes qu’il dirige depuis le début de l’ère hybride, alors que son contrat avec le constructeur allemand arrive à son terme à la fin de cette année.

Le bilan de Wolff à la tête de l’équipe Mercedes parle de lui-même puisque l’écurie a remporté six titres constructeurs au cours des six dernières saisons et autant de titres pilotes.

Lorsqu’on demande à James Allisson ce qu’il pense d’un éventuel départ de Toto Wolff à la fin de cette année, le Britannique répond qu’il aimerait pouvoir encore travailler quelques années avec l’Autrichien.

« Je pense qu’aucun de nous ne sous-estimerait un instant l’importance de Toto pour cette équipe. » a déclaré James Allison à Channel 4.

« Il apporte et a apporté une stabilité pendant de nombreuses années et ce fut un défi pour nous tous de viser ces normes absolues les plus élevées possibles. »

« Et ce standard ne faiblit jamais, mais il est fait avec humour, équité et avec un degré de gentillesse qui fait de l’équipe un lieu de travail extrêmement agréable. »

« En interne, il est un leader fantastique, en externe il nous protège de la fosse aux requins que la F1 peut parfois être. »

« Il a été, je dirais, l’un des piliers les plus importants du succès de cette équipe et j’espère qu’il sera avec nous pendant de nombreuses années. »

Marko prend la défense d’Albon après une performance décevante à Barcelone

Le consultant motorsport de l’équipe Red Bull, Helmut Marko, a insisté sur le fait que Alex Albon n’était pas responsable de sa performance décevante au Grand Prix d’Espagne la semaine dernière.

A Barcelone, Alexander Albon a terminé à la huitième position à presque une minute de son coéquipier Max Verstappen [second], mais les efforts en course du pilote thaïlandais ont été impactés par un premier arrêt au stand assez prématuré et qui l’a placé dans le trafic.

Albon a ensuite fait partie d’un petit train tout au long de la course et sur un circuit comme celui de Barcelone, où il est quasiment impossible de dépasser, le pilote Red Bull n’a pas pu faire mieux qu’une huitième place à l’arrivée de l’épreuve.

Pour Helmut Marko, c’est le nouvel ingénieur de course d’Albon, Simon Rennie [qui travaille avec lui depuis Silverstone], qui est le seul responsable de cette contre performance.

« La performance à Barcelone, y compris la stratégie, est à mettre à la charge de son ingénieur de course. Alex avait l’air stupide, mais au final, ce n’était pas de sa faute. » a expliqué l’Autrichien à Speedweek.

Malgré cette mauvaise performance, Marko insiste sur le fait qu’il n’est pas question de remettre en cause l’avenir d’Albon chez Red Bull : « Il s’agissait de sa pire course, mais tant qu’il continue de progresser, il n’y a aucune discussion. »

Alex Albon occupe actuellement la sixième place au classement des pilotes avec 40 points inscrits. Ce week-end au Grand Prix de Belgique, cela fera tout juste un an qu’il fait partie de l’équipe Red Bull Racing.

GP F1 de Belgique : Les fans invités à rester chez eux

Le Grand Prix F1 de Belgique, programmé du 28 au 30 août à Spa-Francorchamps, se déroulera à huis clos comme toutes les manches de la saison 2020 déjà disputées jusqu’à présent.

Aucun spectateur ne sera admis dans l’enceinte du circuit, ainsi qu’aux abords, et des contrôles massifs auront lieu durant les quatre jours entre jeudi 8h00 du matin et dimanche 18h00.

L’organisation du Grand Prix, ainsi que la police locale, rappellent aux fans que leur présence ne sera pas tolérée et leur demandent de rester chez eux.

« Malheureusement, et je ne pensais pas dire ça un jour, mais restez chez vous et regardez le Grand Prix sur la RTBF [télévision belge] et restez dans votre salon. » a déclaré Vanessa Maes, directrice générale de Spa Grand Prix.

« Il en va de l’image de notre Grand Prix, de l’image du pays et de notre image sur la scène internationale. »

Le message est donc très clair et a été largement diffusé par la police locale qui mettra en place des moyens importants: « La police locale sera présente aux endroits les plus sensibles pour bien faire la part des choses et discerner la population locale des éventuels fans qui voudraient s’introduire dans les zones interdites. » souligne le commissaire divisionnaire Jean Marc Demelenne.

« Dans ces zones à contrôler, nous aurons un déploiement de moyens plus spéciaux de la police fédérale tels que hélicoptères, des drones, la police à cheval et d’autres patrouilles. »

En cas d’infraction constatée par la police, une amende de 350 euros sera infligée à toute personne se trouvant dans un endroit interdit.

Fernando Alonso pénalisé par un problème d’embrayage à l’Indy 500

Le double champion du monde de F1 Fernando Alonso a terminé à la 21° position des 500 Miles d’Indianapolis ce dimanche au terme d’une course remportée par Takuma Sato.

Pour sa troisième participation à la mythique épreuve des 500 Miles, le pilote espagnol – qui fera son retour en F1 avec Renault en 2021 – a connu des ennuis mécaniques sur sa monoplace, notamment un pénalisant problème d’embrayage.

« Nous avons souffert dés le début de la course avec l’équilibre de la voiture, avec beaucoup de survirage. » a expliqué le futur pilote Renault F1 ce dimanche soir après l’arrivée des 500 Miles.

« Nous avons essayé de modifier la balance lors des arrêts, faire des ajustements, puis nous avons commencé à être satisfaits du comportement de la voiture. »

« Nous étions en 15e position au tout 110, ce qui était l’un de nos objectifs. Mais ensuite, nous avons eu un problème d’embrayage que nous ne savions pas comment résoudre. »

« Nous avons donc terminé la course sans embrayage. Donc, à chaque arrêt, nous devions pousser la voiture. Cela nous a coûtés un tour, et malheureusement, nous avions ce tour de retard jusqu’à la fin. »

« J’ai quand même parcouru les 500 Miles, c’est une belle expérience! Je suis heureux d’avoir terminé la course, d’avoir franchi la ligne d’arrivée et d’avoir 500 Miles dans ma poche. Ça c’est le côté positif, le point négatif est que nous avons été très rapidement écartés de la bataille à cause de ce problème d’embrayage. »

Désormais, le pilote espagnol va prendre quelques jours de repos avant de commencer à travailler avec Renault F1 dans le simulateur à Enstone, alors qu’il sera présent sur quelques courses avec l’équipe du constructeur français d’ici la fin de la saison 2020.

Ce jour où Daniel Ricciardo a failli se briser la main

Considéré comme le plus souriant et le plus cool des pilotes de la grille en F1, l’Australien Daniel Ricciardo peut lui aussi piquer de grosses colères quelques fois.

Petit retour en arrière pour se replonger en 2018, une année noire pour Daniel Ricciardo – qui vivait alors sa dernière saison dans le giron Red Bull avant de rejoindre l’équipe Renault F1 à partir de 2019.

Dès la seconde course de la saison à Bahreïn, Daniel Ricciardo doit abandonner sur problème mécanique et bien que le pilote australien remporte l’épreuve suivante en Chine, il devra de nouveau abandonner en Azerbaïdjan, puis en Autriche, en Allemagne, en Belgique, en Italie, aux Etats-Unis et enfin au Mexique.

La frustration de Ricciardo est donc montée progressivement au fil de la saison et pour son septième abandon de l’année à Austin, le toujours très souriant Australien n’a pas pu garder son calme bien longtemps.

Après seulement huit tours, la Red Bull de Ricciardo s’immobilise sur le bas-côté, alors qu’il se battait pour la quatrième place, et comme pour aggraver les choses ce jour-là, son coéquipier Max Verstappen a terminé le Grand Prix des Etats-Unis sur la seconde marche du podium en s’élançant depuis…la dix-huitième position sur la grille.

De retour dans le paddock, Ricciardo a laissé éclater sa rage et s’en est pris aux murs de sa chambre [dans le motorhome], risquant de se briser la main et d’être indisponible pour les courses suivantes.

« Honnêtement, je me suis fait peur à Austin en 2018. » explique Daniel Ricciardo avec beaucoup de recul.

« Je me souviens être retourné au stand [après son abandon] et j’avais la sympathie de tout le monde, mais j’avais eu tellement de sympathie cette année-là, ça ne voulait plus rien dire. »

« Je suis alors rentré dans ma chambre et j’ai commencé à frapper la porte. Mais c’était un matériau bon marché et ma main l’a transpercé et est allé toucher un support métallique. »

« Ensuite, j’ai donné un coup de pied [au mur] et il est rentré dans la chambre de Max [Verstappen]. Lui, il était encore en piste, donc ça allait. »

« Quand il est revenu, son entraîneur nous a envoyé un message ce soir-là et m’a remercié d’avoir décoré sa chambre. »

« Ensuite, ma main s’est mise à gonfler. J’ai eu un petit appareil à ultrasons pour vérifier si l’os était cassé. Pendant une heure environ, j’ai été très en colère avec moi-même et je me disais « je me suis cassé la main ». »

« Pendant les trois jours suivants, j’ai mis ma main dans de la glace, parce que nous allions au Mexique juste après. J’espérais juste être apte pour le Mexique. »

« Mon physio m’a alors fait une échographie [de la main] et m’a dit ‘si tu ressens des picotements, c’est que tu as une fracture’. Alors il a placé [l’appareil] et je pensais vraiment que j’allais ressentir quelques chose, et en fait non… »

Effectivement, Daniel Ricciardo a bien pris le départ du Grand Prix du Mexique en 2018, mais là encore, l’Australien abandonnera. Une année noire…

Lando Norris prendra plus de risques sur la grille de départ

Huitième sur la grille de départ du Grand Prix d’Espagne dimanche dernier, Lando Norris a finalement terminé la course à la dixième position derrière l’AlphaTauri de Pierre Gasly.

Le Britannique a eu un bon envol sur la grille dès l’extinction des feux mais s’est fait doubler très rapidement par Charles Leclerc et Pierre Gasly dans le premier tour.

Avec un peu de recul, Lando Norris admet qu’il n’a pas été assez agressif au départ de la course, ce qui lui aurait peut-être permis de conserver sa position initiale: un point que le pilote McLaren va essayer de rectifier lors des prochains Grands Prix.

« J’ai perdu ces deux positions en début de course, pas sur le départ, parce que j’ai eu un assez bon envol, mais plutôt au virage 1 où je n’ai pas pris assez de risques. » a expliqué Norris.

« Peut-être que je devrais changer cela pour la prochaine fois. C’est dommage, parce que nous avions un bon rythme, mais je n’ai pas pu l’exploiter. »

« Je pense vraiment que j’aurais dû prendre plus de risques, je sais que c’est une piste [Barcelone] où il est difficile de dépasser, donc chaque position gagnée peut vous aider. »

« C’est tout de même un point sur lequel je me suis beaucoup amélioré par rapport à l’année dernière et j’ai toujours pris des risques raisonnables, mais cette fois, je n’en ai pas pris assez et ça s’est retourné contre moi. »

« Parfois vous gagnez, parfois vous perdez, c’est comme ça, et ce week-end là ça n’a pas marché. »

Le prochain Grand Prix est programmé la semaine prochaine en Belgique sur le circuit de Spa-Francorchamps (du 28 au 30 août).

Perez relativement confiant sur ses chances de rester chez Aston Martin en 2021

Sergio Perez a déclaré cette semaine qu’il était de plus en plus confiant de pouvoir rester avec son équipe Racing Point la saison prochaine malgré les spéculations persistantes sur son éventuel remplacement par Sebastian Vettel.

Les options pour Vettel, le quadruple champion qui quitte Ferrari à la fin de l’année, semblent limitées pour 2021 mais des rumeurs insistantes lient le pilote allemand à Racing Point – qui deviendra Aston Martin l’an prochain.

Sergio Perez et son coéquipier Lance Stroll sont tous deux sous contrat pour l’année prochaine avec Aston Martin, bien que Perez ait récemment admis qu’il était « évident » pour lui qu’il devrait partir dans le cas où le propriétaire de l’équipe, Lawrence Stroll, prenait la décision de signer Vettel, notamment parce que Lance Stroll n’est autre que son fils.

Interrogé pour la énième fois sur son avenir au sein de l’équipe, le Mexicain Sergio Perez continue de dire qu’il ne voit aucun signe en interne sur une éventuelle arrivée de Sebastian Vettel l’an prochain.

« Je n’ai aucunement envie de laisser ma place. Je ne l’espère pas ! » a déclaré Sergio Perez.

« Ce que je veux dire, c’est que pour le moment tout semble continuer dans la bonne direction avec l’équipe. »

« Le retour que j’ai de la part de l’équipe est que nous allons continuer ensemble. Donc, nous verrons bien. »

« Je pense que ce n’est qu’une question de temps avant que les rumeurs ne se dissipent. En tout cas, de mon côté je n’ai parlé à personne d’autre, car ma position dans l’équipe semble assurée. »

GP F1 du Portugal : 50 000 fans attendus à Portimao

Du 23 au 25 octobre 2020, la F1 se rendra pour la première fois à Portimao pour disputer le Grand Prix du Portugal et les fans seront autorisés à se rendre sur le circuit.

Absent du calendrier de la Formule 1 depuis 24 ans, le Portugal fera son grand retour cette année avec une course organisée sur le tracé de l’Algarve à Portimao.

Les fans sont autorisés à venir assister à l’événement et les billets sont d’ailleurs déjà en vente depuis plusieurs semaines [voir ici], mais en raison de la crise sanitaire du coronavirus, le nombre de spectateurs sera évidemment limité à 50 000 personnes.

« Il s’agit davantage de ne pas surcharger nos infrastructures. Si nous avons plus de fans, nous aurons besoin de plus de toilettes, plus de bars, plus de billetteries, plus d’accès au circuit, etc.. Avec 50 000, la pression est nettement inférieure. » explique Paulo Pinheiro, le directeur du circuit de l’Algarve à Speedweek.

« Avec le Covid à l’esprit, cela a également du sens. 50 000 personnes, c’est beaucoup – mais cela garantit que nos processus fonctionnent sans stress. »

« A moins que la situation ne s’améliore au Portugal d’ici là, nous ne voulons certainement pas occuper plus de deux tiers des sièges. »

« La Formule 1 n’est plus venue au Portugal depuis 24 ans, en 1996 à Estoril. L’engouement est grand à cet égard. »

Un protocole bien précis

« Ce n’est pas parce que les spectateurs seront autorisés que tout sera autorisé. » insiste Pinheiro.

« Lorsque vous achetez un billet, vous le recevez chez vous avec de nombreuses règles que vous devrez respecter. »

« Par exemple, si vous venez d’Allemagne, vous pouvez atterrir à l’aéroport de Faro. On vous dira alors où trouver une voiture de location, quelle rues emprunter pour vous rendre au circuit et où vous garer. »

« Là, un steward viendra vous chercher dans votre voiture et vous montrera quelle est l’entrée pour accéder à votre siège en tribune. »

« Les gens devront toujours porter un masque et se désinfecter les mains. Le masque ne pourra être retiré que pour manger ou boire. »

« Quiconque a besoin d’aller aux toilettes, devra le faire en consultation avec les stewards. Ce ne sera pas une situation normale. »

Lorsqu’on lui demande comment les autorités comptent s’y prendre pour empêcher que toutes ces personnes ne fassent « la fête » dans les rues de Portimao le soir, Pinheiro répond: « Il y aura 5000 policiers supplémentaires au cours du week-end pour tout contrôler à Portimao et Alvor. »

« Nous allons avoir un grand événement, mais tout le monde devra suivre les règles. Nous serons le mannequin de test pour tous les futurs événements majeurs, cela doit être clair pour tout le monde. Les fans devront se comporter correctement, il n’y aura aucune marge de manœuvre. »

Ferrari souhaite de la clarté et de la transparence dans l’affaire Racing Point

Mattia Binotto, le directeur de la Scuderia Ferrari, a insisté sur le fait que son équipe a confirmé son appel dans l’affaire des écopes de frein de la Racing Point principalement pour obtenir de la « clarté et de la transparence ».

L’équipe Ferrari a rejoint l’écurie Renault et a fait appel de la décision de la FIA dans l’affaire Racing Point – qui a reçu une amende de 400 000 euros et a perdu les 15 points inscrits au Grand Prix de Styrie pour avoir utilisé des écopes de frein copiées sur la Mercedes de l’an dernier, ce qui est interdit par la réglementation.

Si Ferrari a décidé de rejoindre Renault dans cette affaire, c’est avant tout pour avoir plus de clarté et de transparence pour l’avenir et sur ce qui sera permis de faire ou ne pas faire.

« La raison pour laquelle nous avons confirmé notre appel est que nous devons au moins chercher des éclaircissements et de la transparence. » a expliqué Mattia Binotto le week-end dernier en conférence de presse à Barcelone.

« Je pense que les écopes de frein est un point, mais je pense que finalement la décision de la cour d’appel de la FIA ouvrira une discussion plus large sur le concept de voiture « copie carbone », ce qui pour nous est important et c’est aussi important pour l’avenir de la Formule 1, car au final, il s’agit de discuter de la propriété intellectuelle et je pense que la propriété intellectuelle est un atout important ou un atout très important d’une entreprise. »

« Si quelqu’un copiait d’une manière ou d’une autre presque une voiture identique de l’année précédente d’un concurrent, je pense que le règlement devrait d’une manière ou d’une autre protéger le concurrent lui-même et c’est pourquoi je pense qu’il est important pour le moment d’avancer et de comprendre. »

« La clarté, la transparence pour l’équité de la compétition et pour l’avenir de la Formule 1 sont importantes. »

La F1 confirme un nouveau cas positif au COVID-19

La F1 a confirmé un nouveau cas positif au COVID-19 ce vendredi lors de la publication hebdomadaire des chiffres depuis le début de la saison 2020.

Comme c’est le cas depuis le début de la saison, la catégorie reine ne fournit pas plus d’informations et ne révéle pas l’identité de la personne testée positive.

« La FIA et la Formule 1 peuvent aujourd’hui confirmer qu’entre le vendredi 14 août et le jeudi 20 août, 2847 tests pour le COVID-19 ont été effectués sur les pilotes, les équipes et le personnel. Parmi ceux-ci, une personne a été testée positive. » indique la Formule 1 ce vendredi soir.

« Le nombre moins élevé de tests effectués au cours de cette période par rapport aux semaines précédentes reflète le fait qu’il y a une interruption du calendrier des courses après trois épreuves consécutives. »

« La FIA et la Formule 1 fournissent ces informations agrégées à des fins d’intégrité et de transparence de la compétition. »

« Aucun détail spécifique concernant les équipes ou les individus ne sera fourni par la FIA ou la Formule 1 et les résultats seront rendus publics tous les 7 jours. »

Récemment, c’est le pilote Racing Point Sergio Perez qui a été testé positif au COVID-19. Le Mexicain a été dans l’obligation de s’isoler durant plus de dix jours et a loupé deux Grands Prix.

Modes moteur : L’interdiction reportée au GP d’Italie

Initialement prévue pour le Grand Prix de Belgique, l’interdiction des modes moteur en F1 voulue par la FIA sera finalement introduite au Grand Prix d’Italie à Monza (du 4 au 6 septembre) afin de laisser plus de temps aux équipes pour recueillir des informations supplémentaires.

Depuis l’introduction de l’ère turbo-hybride actuelle en 2014, les unités de puissance de tous les fabricants ont présenté des réglages (des modes) qui modifient la puissance en qualifications et en course.

Les modes de qualifications rendent disponibles des régimes moteur supplémentaires pour les pilotes et leur offre la possibilité d’avoir un surplus de puissance et la détourner vers la batterie, permettant ainsi un déploiement maximal de l’énergie récupérée via les deux systèmes de récupération d’énergie [MGU-K et MGU-H].

Ces modes fonctionnent également généralement avec un calage d’allumage et un mélange de carburant plus agressifs.

En revanche, un mode course standard permettra une récolte de la puissance adéquate pour maintenir la batterie alimentée en énergie et qui peut être déployée tout au long du tour.

Le moteur fonctionnera également généralement à des régimes maximaux inférieurs au mode de qualifications et à un réglage du calage de l’allumage qui maintient les éléments de l’unité de puissance à des températures moins élevées.

En règle générale, il existe plusieurs modes – jusqu’à neuf – entre les deux extrêmes. Il s’agit de trouver le juste milieu entre les performances et la durée de vie du moteur, la fiabilité et la consommation de carburant.

Au cours d’un week-end de course, la FIA doit contrôler un certain nombre de paramètres des unités de puissance grâce à une analyse très détaillée des données, et cette interdiction des modes moteur les aidera à atteindre cet objectif – et à avoir plus confiance en la légalité des unités de puissance en conséquence.

Bien-sûr, certains estiment que l’objectif premier est d’essayer de « freiner » l’équipe Mercedes – même si cette raison n’a jamais été évoquée – car à ce stade on estime que c’est le moteur Mercedes qui développe le plus de puissance en qualifications, bien loin devant Ferrari, Renault ou Honda.

Autre raison évoquée par la FIA, la réduction des coûts en F1. Cette décision permettrait d’économiser des programmes de développement coûteux pour Honda, Renault et Ferrari à un moment où la FIA tente très activement de réduire les coûts.

La réduction de l’appui en 2021 en F1 est plus que bienvenue pour Pirelli

Avec la même génération de pneus qui sera reportée l’année prochaine, le patron de Pirelli, Mario Isola, a salué la nouvelle d’une nouvelle règle pour la saison prochaine qui réduira  l’appui sur les voitures, et donc le stress sur les pneus.

À l’origine, les composés de pneus actuels – qui ont fait leur début pour la première fois en 2019 – devaient être retirés à la fin de cette année, remplacés par des pneus de 18 pouces pour la nouvelle réglementation F1.

Mais la pandémie de coronavirus a obligé la F1 à reporter les nouvelles règles jusqu’en 2022, ce qui signifie que la génération actuelle de pneus devra être utilisée pendant une troisième année en 2021.

L’instance dirigeante de la F1, la FIA, a alors annoncé en mai que les appuis seraient réduits pour 2021 – une décision qui selon Isola est la bienvenue pour éviter d’autres problèmes potentiels avec les pneus.

« Nous avons des voitures [en 2020] avec le plus haut niveau d’appui que nous n’ayons jamais vu. » explique Mario Isola, cité par le site du championnat du monde de F1.

« Avoir un autre pas dans la direction de la réduction du niveau d’appui est certainement bénéfique car avec plus d’appui – et aussi en considérant que la construction des pneus n’aura pas changé pendant trois ans – la seule réaction de notre côté est d’augmenter la pression, alors nous auront des effets secondaires comme une surchauffe, des cloques, par exemple, ou une dégradation supplémentaire. »

« Et si nous avons un changement de réglementation qui contribue à cela, c’est plus que bienvenu. »

La réduction de la force d’appui pour 2021 sera obtenue par la diminution de la surface du fond plat des monoplaces.

L’une des préoccupations est que moins d’appui pourrait signifier un niveau de dérapage plus élevé car les voitures ne pourront pas prendre de virage à des vitesses aussi élevées la saison prochaine, mais Isola a rejeté cette question après le Grand Prix d’Espagne.

« Il s’agit d’équilibrer la voiture et de faire une bonne configuration. Dans le passé, nous avions moins d’appui et nous n’avions aucun problème. »

« C’est juste que les équipes devront travailler avec une voiture différente. » conclut l’Italien.

Albon doit s’améliorer le samedi en qualifications selon son patron

Le patron de l’équipe Red Bull Racing, Christian Horner, aimerait qu’Alex Albon arrive à se qualifier dans une meilleure position le samedi en qualifications, ce qui l’aiderait certainement à obtenir enfin son premier podium en F1.

Le Thaïlandais Alex Albon – qui a rejoint l’équipe Red Bull Racing au Grand Prix de Belgique 2019 en remplacement direct du Français Pierre Gasly – souffre de la comparaison avec son coéquipier Max Verstappen cette saison.

Si Verstappen a déjà décroché une victoire et occupe désormais la seconde place du championnat du monde des pilotes après les six premières courses, son coéquipier Alex Albon lui semble plus en difficulté au volant d’une Red Bull « délicate » à piloter cette année.

Au championnat du monde, Albon occupe la sixième position avec 40 points inscrits, et le pilote Red Bull a bien failli monter sur le podium pour la première fois de sa carrière au Grand Prix d’Autriche, mais a dû abandonner sur problème mécanique.

Jusqu’à présent, les dirigeants de l’écurie ont toujours défendu leur pilote face aux critiques, mais on sait que chez Red Bull le manque de performance d’un pilote peut très vite devenir problématique et que des décisions radicales peuvent être prises en un week-end.

Dans ce contexte, pour la première fois depuis le début de la saison, Christian Horner, le team principal de l’équipe, semble fixer un objectif à Alex Albon et lui demande désormais de s’améliorer le samedi en qualifications.

« C’est sur le samedi qu’il doit surtout travailler. J’espère que nous pourrons faire plus pour aider Alex et dès qu’il trouvera cette constance et cette confiance et qu’il commencera à se qualifier en meilleure position, et avec le rythme de course qu’il a, je pense qu’il frappera à la porte du podium d’ici peu. » explique Christian Horner.

« Je veux dire le dimanche après-midi, il va très bien: ses dépassements, son rythme, c’est tout ce à quoi on pouvait s’attendre. »

« Sa remontée à Silverstone était phénoménale. Certains de ses dépassements – dont certains réalisés à l’extérieur des virages – vous retenez juste votre souffle. Donc, il doit juste être plus à l’aise avec la voiture sur un seul tour. »

Le week-end dernier au Grand Prix d’Espagne, beaucoup d’observateurs ont estimé que l’équipe Red Bull a « sacrifié » Alex Albon en course en lui demandant de chausser des gommes Dures sur sa monoplace, alors que le Thaïlandais se battait pour un top six.

Une fois son arrêt effectué, Albon s’est retrouvé en dehors du top dix et franchira finalement la ligne d’arrivée à la huitième position avec un tour de retard sur son coéquipier Max Verstappen.

 

Ocon remercie une nouvelle fois ses mécaniciens après son crash à Barcelone

Le pilote Renault F1 Esteban Ocon est revenu sur son crash survenu le week-end dernier à Barcelone à la fin des essais libres 3 du Grand Prix d’Espagne et a tenu une nouvelle fois à remercier ses mécaniciens.

A la fin des EL3, Esteban Ocon a dû éviter de justesse la Haas de Kevin Magnussen et a perdu le contrôle de sa Renault.

La RS20 est allée frapper le mur de béton par l’avant, puis a rebondi sur la partie arrière, ce qui a donné une charge de travail importante à ses mécaniciens dans un laps de temps très court.

« Quand j’ai heurté le mur, l’impact était supérieur à 15G, c’est pourquoi j’ai dû aller au centre médical. » explique Esteban Ocon dans sa dernière chronique pour la F1.

« Un grand merci à eux. Je sais combien il est difficile de travailler trois semaines de suite. Ils sont tous très fatigués, mais ils ont quand même réussi à faire un excellent travail au moment où c’était crucial. Un grand merci à eux pour leur super travail! »

« Cela aurait été bien de les récompenser avec une bonne performance en piste, mais ce n’était pas le cas. Nous avons beaucoup d’analyses à faire après Barcelone, mais je pense qu’à Spa ça  ira mieux. »

La rencontre avec le DG de Renault

Le Français revient également sur sa première rencontre avec le nouveau directeur général du groupe Renault, l’Italien Luca Di Meo, qui a rendu visite à l’équipe Renault pendant le Grand Prix d’Espagne.

« En Espagne, nous avons accueilli le PDG de Renault, Luca De Meo. J’étais très intéressé par Luca, passionné de sport automobile et de Formule 1 et, à son arrivée, il était très conscient de tout et connaissait la place et la responsabilité de chacun dans l’équipe. »

« C’est formidable de dialoguer avec des gens qui savent de quoi ils parlent et vous pouvez approfondir les sujets. Il a tenu un excellent discours à l’équipe avant la course. C’était très motivant et cela a donné un gros coup de motivation à tout le monde. »

« Dans son discours, il a fait référence au travail acharné et à la détermination des fantastiques mécaniciens après avoir réparé ma voiture en 110 minutes entre les EL3 et les qualifications. C’était deux heures folles. »

Ferrari va bientôt discuter avec Schumacher de son avenir en F1

Le directeur de la Scuderia Ferrari, Mattia Binotto, a indiqué qu’il allait très prochainement parler avec Mick Schumacher de son avenir.

Mick Schumacher, le fils du septuple champion du monde de F1 Michael Schumacher, évolue actuellement en Formule 2 avec l’équipe Prema Racing et a décroché le week-end dernier à Barcelone son quatrième podium de la saison.

Désormais cinquième du championnat 2020 de Formule 2, le jeune pilote allemand – qui fait également partie de la Ferrari Driver Academy – entamera des discussions avec Ferrari  concernant son avenir dans les prochaines semaines.

Interrogé dimanche dernier à Barcelone au sujet de Schumacher, Mattia Binotto a indiqué que le jeune Allemand s’est nettement amélioré au cours de l’année et qu’une éventuelle arrivée en Formule 1 au sein d’une « petite écurie » [on pense à Alfa Romeo] serait pour lui l’étape la plus logique.

« Il a montré de belles choses en Formule 2. L’objectif qui lui avait été fixé consistait à s’améliorer et à faire des progrès et c’est ce qu’il a fait. » a expliqué Binotto au Bild.

« Nous allons bientôt discuter de ce que nous allons faire avec lui l’année prochaine. Il est clair que la F1 est la suite logique pour lui, dans une écurie de F1 plus petite que la nôtre afin qu’il puisse faire ses armes et s’habituer à ce nouvel environnement. »