Max Verstappen entretient le flou sur son avenir chez Red Bull après 2026

Max Verstappen n’a pas souhaité confirmer s’il resterait chez Red Bull en 2026, entretenant ainsi les spéculations sur son avenir malgré un contrat en vigueur jusqu’à fin 2028. Si son engagement contractuel semble clair, l’avenir à long terme du pilote néerlandais reste sujet à de nombreuses interrogations.

Courtisé par plusieurs écuries, dont Mercedes et Aston Martin, le quadruple champion du monde garde toutes les portes ouvertes. Récemment devenu père, il n’exclurait pas non plus une pause dans sa carrière, voire une retraite anticipée.

Chez Mercedes, George Russell a suggéré que le retard dans la prolongation de son propre contrat pourrait être lié à l’intérêt persistant de son équipe pour Verstappen. Le directeur de l’écurie allemande, Toto Wolff, n’a jamais caché son admiration pour le pilote Red Bull.

Déjà interrogé en 2024 sur sa présence chez Red Bull en 2025, Verstappen avait alors confirmé son engagement, malgré les tensions internes qui ont marqué le début de saison, notamment entre Christian Horner et Jos Verstappen.

Plus récemment, Helmut Marko a déclaré que le Néerlandais resterait en 2026, première année de la nouvelle réglementation technique. Mais lorsque la question lui a été posée directement, Verstappen s’est abstenu de toute confirmation explicite, laissant planer le doute sur ses intentions au-delà de la saison prochaine.

« On m’a déjà posé cette question », a déclaré Verstappen aux médias, lorsqu’on lui a simplement demandé s’il piloterait pour Red Bull en 2026. « Je ne pense pas que nous ayons besoin d’en parler. Je ne sais pas, voulez-vous que je répète ce que j’ai dit l’année dernière ? Je ne sais pas. C’est la même réponse. Je ne me souviens même pas de ce que j’ai dit l’année dernière, vraiment. Mais encore une fois, ce n’est pas vraiment dans mes pensées. Je me contente de bien piloter, d’essayer d’améliorer mes performances, puis nous nous concentrons sur l’année prochaine. »

En ce qui concerne 2026, Verstappen estime que la décision de Red Bull de commencer à se concentrer sur la révision imminente du règlement est la bonne.

« Je pense que les équipes se concentrent déjà sur 2026, donc vous allez essayer de tirer un peu plus de performances de cette voiture », a-t-il expliqué. « Les étapes à venir sont déjà planifiées depuis un certain temps, mais en même temps, 2026 est une grande opportunité de bien faire les choses. D’après ce que j’ai vu et entendu, c’est la bonne approche de la part de l’équipe. »

Sondage – Quel pilote signera la pole position du Grand Prix d’Autriche 2025 ?

L’Autriche et son circuit de Spielberg accueillent ce weekend la onzième manche du Championnat de F1. Oscar Piastri arrive en position de leader du Championnat, devant Lando Norris et Max Verstappen. Toutefois, la dernière course a été remportée d’une main de maître par George Russell (Mercedes), à l’occasion du Grand Prix du Canada. Pour rappel, l’édition précédente du Grand Prix d’Autriche a elle aussi été remportée par George Russell, il avait devancé Oscar Piastri (McLaren) et Carlos Sainz (Ferrari). Lors de cette course, Lando Norris et Max Verstappen s’étaient accrochés, le premier d’une longue série.

La saison passée, Max Verstappen avait signé le meilleur temps des qualifications devant Lando Norris, George Russell et Carlos Sainz. Mais cette année, Oscar Piastri est régulièrement le plus rapide le samedi (4 pole) devant Max Verstappen (3 pole) et Lando Norris (2 pole).

George Russell évoque le possible lien entre son avenir chez Mercedes et la situation de Verstappen

George Russell estime que le retard dans la finalisation de son nouveau contrat avec Mercedes pourrait être lié à l’intérêt persistant de Mercedes pour Max Verstappen. Le pilote britannique, dont le contrat actuel expire à la fin de la saison, a laissé entendre que l’équipe pourrait temporiser dans l’attente d’une éventuelle disponibilité du quadruple champion du monde.

Le directeur de Mercedes, Toto Wolff, a récemment affirmé qu’il ne faisait aucun doute quant à la prolongation de Russell, évoquant une question de “quand”, et non de “si”. Néanmoins, l’Autrichien ne cache pas son admiration pour Verstappen et n’a jamais dissimulé son souhait de l’attirer à Brackley.

Si l’intérêt de Mercedes pour le pilote Red Bull s’est quelque peu atténué en début d’année — notamment en raison des performances solides de Russell et de l’émergence du jeune Kimi Antonelli —, la situation reste ouverte. Russell, actuellement à seulement 19 points de Verstappen avant le Grand Prix d’Autriche, continue de faire valoir sa place au sein de l’équipe.

Verstappen, sous contrat avec Red Bull jusqu’en 2028, a de son côté laissé entendre qu’il pourrait rester au sein de l’écurie au moins jusqu’à l’entrée en vigueur du nouveau règlement technique en 2026. Toutefois, son avenir au-delà reste flou, et il pourrait avoir le luxe de choisir son équipe si un changement s’opérait.

Dans ce contexte, Russell suggère que les discussions autour de son propre avenir pourraient être influencées par les incertitudes entourant celui de Verstappen.

« De mon côté, je ne pense pas avoir vraiment de quoi m’inquiéter. Je pense qu’en tant qu’équipe, tout dépend de vos aspirations », a déclaré Russell à Sky Sports F1. « Nous sommes actuellement deuxièmes, peut-être troisièmes. Nous sommes peut-être légèrement au-dessus de notre niveau pour être deuxièmes. Mercedes veut revenir au sommet, et pour cela, il faut s’assurer d’avoir les meilleurs pilotes, les meilleurs ingénieurs, les meilleurs mécaniciens, et c’est ce que Mercedes recherche.
Il est donc tout à fait normal que des discussions soient en cours avec des pilotes comme Verstappen. Mais de mon côté, si je continue à performer comme je le fais, pourquoi devrais-je m’inquiéter ? Il y a deux places dans chaque écurie de Formule 1. »

George Russell a ensuite affirmé que le retard dans la signature de son nouveau contrat était lié à Verstappen.

« Toto m’a clairement fait comprendre qu’il pensait que mes performances cette année étaient aussi bonnes que celles de n’importe qui d’autre », a déclaré le Britannique. « Je pense qu’il n’y a qu’un seul pilote dont on puisse discuter en termes de performances – ce sont ses mots, pas les miens – c’est pourquoi je ne m’inquiète pas pour l’avenir. Mais il y a deux sièges dans chaque équipe et j’imagine qu’il doit réfléchir à qui seront les deux pilotes qui occuperont ces deux sièges, et je pense que c’est ce qui explique le retard. Pour l’instant, je n’ai qu’une seule chose à faire : rouler vite. Si vous roulez vite, vous n’avez rien à craindre. Et si vous ne roulez pas vite, c’est là que les gens commencent à parler. »

F1 : la FIA publie des lignes directrices pour encadrer les décisions des commissaires

ans une démarche visant à renforcer la transparence et l’uniformité des décisions prises en cas d’incidents sur la piste, la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA) a rendu publics deux documents destinés à guider les commissaires lors des Grands Prix.

Le premier texte recense les recommandations concernant l’application des pénalités de temps et des points de pénalité. Il présente un éventail de scénarios susceptibles de se produire au cours d’un week-end de course, en précisant les sanctions associées selon qu’il s’agisse des essais libres, des qualifications ou de la course.

Le second document s’intéresse aux normes de conduite attendues des pilotes. Comme pour les barèmes de sanctions, la FIA insiste sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un règlement officiel, certaines situations nécessitant une appréciation au cas par cas.

Ces lignes directrices ont été élaborées à la demande des pilotes, en concertation avec la Commission des pilotes de la FIA, les équipes et les principaux intéressés. La FIA prévoit par ailleurs d’apporter d’autres ajustements dans les mois à venir, poursuivant ainsi son dialogue avec les acteurs de la Formule 1.

 
 
 
 
 
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« Une plus grande transparence dans la gouvernance de notre sport est une question importante et il s’agit d’une mesure utile dans cette direction », a déclaré George Russell, directeur de l’Association des pilotes de Grand Prix.

« Nous espérons que cela sera bénéfique pour le sport, car cela permettra aux médias et aux fans de mieux comprendre les règles d’engagement lorsque nous courons sur la piste, et les aidera à comprendre comment les commissaires prennent leurs décisions. »

Les directives relatives aux pénalités et aux points de pénalité peuvent être consultées ici.

Le document relatif aux directives en matière de normes de conduite peut être consulté ici.

Red Bull mise sur une évolution décisive dès le Grand Prix d’Autriche

Red Bull prévoit d’introduire une série d’améliorations techniques à l’occasion du Grand Prix d’Autriche, avant de peaufiner ces évolutions une semaine plus tard à Silverstone. Un calendrier stratégique confirmé par Helmut Marko, conseiller de l’écurie, qui estime que ces changements seront déterminants dans la course au titre pour Max Verstappen.

Actuellement troisième au classement des pilotes, le Néerlandais se trouve derrière les deux McLaren d’Oscar Piastri et Lando Norris. L’équipe britannique domine pour l’instant la saison, avec sept victoires sur les dix premières manches.

Consciente de l’écart à combler, Red Bull entend réagir rapidement. Selon Marko, les ajustements à venir sont essentiels pour relancer la dynamique et remettre Verstappen en position de force au championnat.

« Nous allons bénéficier d’une mise à jour pour l’Autriche, qui sera ensuite affinée pour Silverstone », a déclaré Marko au journal Kleine Zeitung. « Mais si cela ne fonctionne pas, les choses vont se compliquer dans le championnat du monde. Et ce n’est pas comme si la situation n’était pas déjà assez difficile. »

Red Bull a remporté deux victoires cette année, Verstappen s’imposant à Suzuka et à Imola. 

« Max Verstappen a gagné quatre fois ici, ce circuit lui convient bien », a souligné Marko. « Les pneus sont cruciaux, nous ne sommes pas les seuls à avoir des difficultés, tout le monde sauf McLaren. »

Bien que Marko estime que l’écart entre Red Bull et McLaren est de trois dixièmes de seconde, il ne considère pas cela comme un déficit insurmontable.

« Nous sommes actuellement trois dixièmes derrière McLaren, mais dans une fenêtre de travail beaucoup plus réduite, ce qui rend la tâche encore plus difficile », a déclaré Marko. « McLaren essaie également de nouvelles choses, même si le nouvel aileron avant n’a pas fonctionné pendant longtemps lors des essais à Montréal, et Lando Norris était très rapide en course avant de commettre à nouveau des erreurs. Il n’est donc pas impossible de rattraper ces trois dixièmes. Mais si c’est le cas, cela doit se faire maintenant. »

F1 – Cadillac 2026 : Mika Salo favorable à Bottas, réservé sur Perez

Alors que Cadillac prépare activement son entrée en Formule 1 pour la saison 2026, les spéculations vont bon train concernant l’identité de ses futurs pilotes. Parmi les noms avancés figure celui de Valtteri Bottas, dont la récente publication humoristique sur les réseaux sociaux a ravivé l’intérêt pour un retour en piste. Un média britannique a même placé le Finlandais en tête de liste pour l’un des deux baquets de la future onzième écurie du plateau.

Mika Salo, ancien pilote de F1 et compatriote de Bottas, a estimé que le choix de Cadillac pourrait être judicieux. « C’est une nouvelle équipe, donc l’expérience est précieuse. Valtteri a acquis une solide expérience chez Mercedes », a-t-il confié au journal Ilta Sanomat. Salo souligne également que Bottas a désormais le recul nécessaire pour apporter une vision stratégique à un projet naissant.

« Un pilote expérimenté peut non seulement transmettre ses compétences, mais aussi guider l’équipe sur les recrutements à envisager », a poursuivi l’ancien pilote Ferrari et Toyota. Il considère que le style direct et pragmatique des pilotes finlandais correspondrait bien à la culture d’une écurie en construction.

Cadillac souhaiterait associer un pilote chevronné à un jeune talent, idéalement américain, issu du championnat local. Sergio Perez, dont l’avenir en Formule 1 reste incertain après son départ de Red Bull en 2024, figure aussi parmi les candidats évoqués. Dans une récente interview à Desde El Paddock, le Mexicain a reconnu que Red Bull « regrettait probablement » la façon dont leur collaboration s’était terminée, tout en soulignant que « c’est ainsi que fonctionne ce sport ».

Soutenu par le conglomérat du milliardaire Carlos Slim et désormais représenté par Khalil Beschir, Perez a confirmé être en discussion avec plusieurs équipes pour 2026, sans toutefois donner de précision : « Les choses avancent, mais il est encore trop tôt pour prendre une décision. »

Mika Salo, lui, reste sceptique sur cette piste : « Je ne pense pas que Perez soit un bon choix pour Cadillac. Je privilégierais deux pilotes européens expérimentés plus constants. Et si cela n’est pas possible, un jeune prometteur capable d’apprendre aux côtés d’un leader. »

Helmut Marko sceptique sur l’avance supposée de Mercedes en vue de 2026

Alors que la Formule 1 se prépare à un bouleversement réglementaire majeur en 2026, Helmut Marko, conseiller spécial chez Red Bull, remet en question les spéculations selon lesquelles Mercedes serait en position de force dans le développement de la future motorisation.

La F1 va en effet connaître une refonte technique d’ampleur, avec une nouvelle génération de châssis et de groupes motopropulseurs. Ces derniers devront produire 50 % de leur puissance à partir de sources électriques, dans un système hybride désormais dépourvu du MGU-H.

Mercedes, perçue par beaucoup comme la mieux placée dans la course au développement – à l’image de son avance lors de l’introduction des V6 turbo-hybrides en 2014 – est citée comme favorite. Une position qu’Helmut Marko conteste ouvertement.

Dans un entretien accordé au quotidien Kleine Zeitung, le dirigeant autrichien a déclaré qu’« il n’existe à ce jour aucune preuve concrète » permettant d’affirmer que Mercedes disposera du meilleur moteur sous le nouveau règlement. Red Bull Powertrains, engagé dans son propre programme moteur en collaboration avec Ford, poursuit de son côté le développement de son unité de puissance 2026.

« Mercedes s’est déclarée favorite, mais rien ne le prouve. Le développement du moteur à combustion à lui seul est incroyable. Le moteur est plus petit que celui de ma tondeuse à gazon ! »

Interrogé sur l’état d’avancement du premier programme de moteur interne de Red Bull, pour lequel il collabore avec le constructeur automobile américain Ford, Marko a ajouté : « Il y a trois ou quatre éléments importants pour la nouvelle voiture : le moteur à combustion. Nous sommes d’accord là-dessus, et à moins qu’il n’y ait des problèmes de durabilité, cela ne changera pas la donne. La batterie est cruciale ; nous commençons par une solution conventionnelle, et l’essence est un facteur très important. Le développement dans ce domaine se passe très bien avec notre partenaire Exxon. »

Découvrez le calendrier officiel de la saison Formule E 2025/2026

Un calendrier de 18 courses qui débutera en 2025 et se poursuivra jusqu’en 2026, le plus important de l’histoire du Championnat du monde ABB FIA Formula E, attend les concurrents qui prenront part à ce qui sera la douzième saison d’existence du championnat de monoplaces 100% électriques.

Le calendrier provisoire de la saison 12 est désormais disponible et ratifié par la Fédération Internationale de l’Automobile. Alors que la lutte pour le titre bat son plein, jetons un coup d’œil à ce qui nous attend en 2025 et 2026.

Un calendrier record

Avec 18 courses, il s’agit-là du calendrier le plus chargé à ce jour. La Formule E fait le tour du monde avec de nouveaux circuits et le retour de circuits non urbains pour offrir des courses 100 % électriques différentes.

Le calendrier a été planifié et élaboré de manière à regrouper les sites de course par continent afin de réduire le transport de marchandises et les émissions de CO2 et d’optimiser l’efficacité dans toutes les régions, et véhiculer un message cohérent avec les valeurs et le message marketing régulièrement adressés par les promoteurs du championnat.

Le calendrier Formule E 2025/2026

06
Dec
R1 São Paulo
10
Jan
R2 Mexico City
31
Jan
R3 Miami
13
Feb
R4 Jeddah
14
Feb
R5 Jeddah
21
Mar
R6 Madrid
02
May
R7 Berlin
03
May
R8 Berlin
16
May
R9 Monaco
17
May
R10 Monaco
30
May
R11
20
Jun
R12
04
Jul
R13 Shanghai
05
Jul
R14 Shanghai
25
Jul
R15 Tokyo
26
Jul
R16 Tokyo
15
Aug
R17 London
16
Aug
R18 London

Rosberg imagine d’éventuels échanges entre Verstappen et Mercedes

Nico Rosberg estime que des discussions pourraient avoir lieu en coulisses entre Max Verstappen et Mercedes, malgré la probable prolongation de George Russell au sein de l’écurie de Brackley. Le champion du monde 2016 n’écarte pas l’idée que l’équipe allemande puisse toujours être à l’affût d’une opportunité, en particulier si Verstappen devenait disponible.

Russell, auteur d’une saison solide jusqu’à présent, semble conforter sa position en tant que pilier de l’écurie. Toutefois, les rumeurs d’un intérêt persistant de Mercedes pour le quadruple champion du monde alimentent les spéculations. Le directeur de l’équipe, Toto Wolff, avait déjà tenté d’attirer Verstappen au début de sa carrière, avant que le Néerlandais ne rejoigne Red Bull via Toro Rosso en 2015.

Depuis, Verstappen s’est imposé comme une référence du plateau, et bien que sous contrat avec Red Bull jusqu’à fin 2028, son avenir continue d’attiser les convoitises. Avec l’émergence prometteuse du jeune Kimi Antonelli dans les rangs de Mercedes, c’est potentiellement George Russell qui pourrait voir sa place remise en question si une opportunité liée à Verstappen se présentait.

« Red Bull n’est pas stupide », a déclaré Rosberg à Sky Germany. « Ils ont payé une fortune à Max et l’ont engagé pour plusieurs années. Je ne pense pas qu’il puisse simplement s’enfuir. Mais on ne peut pas le forcer à rester. S’il veut partir, il faudra l’accepter à un moment donné. »

Si Russell, qui a rejoint l’équipe en 2022 et dont le contrat expire à la fin de l’année, ne semble pas préoccupé par l’absence de prolongation de son contrat actuel, Rosberg pense toutefois que Wolff pourrait employer une tactique dilatoire.

« D’un autre côté, il y a aussi la situation de George Russell chez Mercedes », a-t-il déclaré. « Il y a un certain retard, car Toto Wolff devrait en fait le signer maintenant. C’est son pilote numéro un, ses performances cette saison sont à nouveau exceptionnelles. Il y a peut-être des discussions en coulisses avec le camp Verstappen. »

FIA – Carlos Sainz Sr renonce à briguer la présidence, ouvrant la voie à la réélection de Ben Sulayem

Carlos Sainz Sr a annoncé qu’il ne se portera pas candidat à la présidence de la FIA, mettant un terme aux spéculations sur une éventuelle opposition à Mohammed Ben Sulayem lors des élections prévues en décembre prochain.

Le double champion du monde des rallyes et figure respectée du sport automobile avait sérieusement envisagé de se présenter face au président sortant, dont le mandat a été marqué par plusieurs polémiques internes. Son éventuelle candidature était perçue comme crédible par de nombreux acteurs du paddock, d’autant qu’il lui aurait fallu constituer une équipe complète — incluant un vice-président et plusieurs adjoints — avant le scrutin.

Mais le soutien affiché à Ben Sulayem par plusieurs fédérations nationales membres de la FIA, notamment durant le Grand Prix d’Espagne, a considérablement réduit les marges de manœuvre pour une alternative crédible. Étant donné que ce sont ces associations qui désignent le président, l’élan nécessaire pour bâtir une campagne solide semblait désormais hors de portée.

Dans un communiqué, Sainz Sr a officialisé son retrait, évoquant « des circonstances actuelles peu propices à la préparation d’une candidature sérieuse ». Il a également souligné sa volonté de rester concentré sur ses engagements en compétition, notamment sa participation continue au Rallye Dakar.

Cette décision ouvre la voie à une réélection quasi certaine de Mohammed Ben Sulayem à la tête de la Fédération internationale de l’automobile.

Déclaration complète de Carlos Sainz Sr

« Je souhaite par la présente confirmer publiquement que j’ai finalement décidé de ne pas me présenter à la présidence de la FIA lors des élections de cette année.
J’ai travaillé dur ces derniers mois pour comprendre en profondeur la situation de la FIA ainsi que les exigences et les complexités inhérentes à un projet aussi important.
Après mûre réflexion, j’en suis arrivé à la conclusion que les circonstances actuelles ne sont pas idéales pour préparer ma candidature.
De plus, j’ai réalisé que me présenter à la présidence compromettrait considérablement ma préparation pour le Dakar et je ne souhaite pas affaiblir mon engagement envers Ford et mon équipe.
Ces préoccupations m’ont donc incité à être réaliste et à renoncer à ma candidature à la FIA
pour l’instant. Malgré mon retrait de cette course, ma passion pour le service et le leadership dans le monde du sport automobile reste intacte, et je continue de croire que l’organisation a besoin de changements importants, qui, je l’espère sincèrement, seront abordés dans les années à venir.
La course automobile et la mobilité ont été toute ma vie, et je suivrai de près les développements futurs avec beaucoup d’intérêt.
Je continuerai à soutenir mon sport et à contribuer de toutes les manières possibles à l’amélioration de la mobilité des usagers de la route à travers le monde.
Enfin, je tiens à remercier sincèrement tous ceux qui m’ont adressé des messages de soutien, d’encouragement et de conseils au cours des dernières semaines.
Ils m’ont conforté dans ma volonté de poursuivre mes objectifs actuels et futurs, et je vous en suis profondément reconnaissant.
Merci. »

F1 – Un programme d’essais hivernaux inédit pour préparer le grand tournant technique de 2026

Les préparatifs pour la saison 2026 de Formule 1 débuteront exceptionnellement tôt la saison prochaine, avec un programme de tests hivernaux élargi, organisé sur cinq jours à Barcelone dès le mois de janvier. Selon nos informations, les essais se dérouleront du lundi 26 au vendredi 30 janvier sur le circuit de Catalogne, dans le cadre d’une refonte technique majeure de la discipline.

Face à l’ampleur des changements attendus – aussi bien au niveau du châssis que du groupe motopropulseur – la F1 prévoit un total de neuf journées d’essais pour permettre aux équipes d’aborder sereinement cette nouvelle ère. Ce nombre, triplé par rapport aux trois jours de tests autorisés en 2025, reflète l’ambition et la complexité du nouveau règlement.

À Barcelone, chaque équipe ne pourra toutefois rouler que trois jours sur les cinq prévus, avec deux jours de pause imposés, afin de gérer au mieux l’alternance et de prévenir les risques liés aux conditions climatiques. L’expérience de 2018, marquée par une tempête de neige en Catalogne, reste en mémoire.

Les nouvelles monoplaces de 2026 seront propulsées par des unités hybrides redessinées, intégrant des systèmes électriques plus puissants capables de générer jusqu’à 350 kW, fonctionnant avec des carburants 100 % durables, et sans MGU-H – un composant supprimé du règlement.

Après cette première série de tests en Espagne, les équipes mettront le cap sur Bahreïn pour deux autres sessions classiques de trois jours, prévues du 11 au 13 février, puis du 18 au 20 février sur le circuit international de Sakhir.

La saison s’ouvrira officiellement le 8 mars avec le Grand Prix d’Australie, à Melbourne. L’année 2026 marquera également l’arrivée de deux nouveaux acteurs sur la grille : Cadillac, qui fera ses débuts avec un moteur Ferrari, et Audi, désormais propriétaire de Sauber, qui alignera une structure complète et sa propre motorisation. Ces deux entités rejoindront Ferrari, Mercedes, Red Bull Powertrains et Honda – de retour en tant que motoriste – tandis que Renault se retirera de la compétition à l’issue de la saison 2025.

Stats F1 – Quel est le palmarès de chaque équipe en nombre de victoires ?

McLaren domine le championnat du monde de Formule 1 cette année et semble promis à la récolte des lauriers tant sur le plan du tableau des constructeurs que celui des pilotes en 2025. Néanmoins, la lutte reste forte pour le titre pilotes entre Oscar Piastri, Lando Norris et Max Verstappen, qui pourrait venir jouer les troubles-fêtes avec Red Bull. 

Les victoires en GP demeurent néanmoins ouvertes cette saison, comme l’a encore une fois prouvé George Russell, qui est parvenu à imposer sa Mercedes entre les murs du circuit Gilles Villeneuve, au Canada, lors de la dernière épreuve en date. 

Dans l’Histoire de la Formule 1, c’est Ferrari, équipe ayant participé à absolument chaque championnat depuis sa création en 1950, qui peut se targuer d’avoir cumulé le plus grand nombre de succès dans la discipline. Mais où se trouvent les autres équipes, présentes et futures ? 

Voici un petit tableau pour rafraichir vos connaissances statistiques, avec, en gras, les équipes en activité.

Ferrari

248

McLaren

196

Mercedes

130

Red Bull

122

Williams

114

Lotus

81

Renault

35

Brabham

35

Benetton

27

Tyrrell

23

BRM

17

Cooper

16

Alfa-Romeo

11

Vanwall

10

Matra

9

Maserati

9

Brawn GP

8

Ligier

7

Jordan

4

Honda

3

March

3

Wolf

3

Talbot

2

Alpine

1

AlphaTauri (includes Toro Rosso)

1

BMW

1

Racing Point

1

Shadow

1

Hesketh

1

Porsche

1

Stewart

1

Penske

1

Eagle

1

Sergio Perez estime que Red Bull regrette son départ

Sergio Perez a affirmé que Red Bull regretterait la décision de l’avoir écarté à l’issue d’une saison 2024 compliquée. Le pilote mexicain, en difficulté pour exploiter pleinement le potentiel de sa monoplace, avait quitté l’écurie de Milton Keynes en fin de saison, au terme d’une campagne en demi-teinte.

Son remplacement par Liam Lawson n’a pas apporté les résultats escomptés. Le Néo-Zélandais n’a disputé que deux Grands Prix avant d’être remplacé à son tour par Yuki Tsunoda. Malgré ces ajustements, les performances de la seconde voiture sont restées en retrait, obligeant Red Bull à compter quasi exclusivement sur Max Verstappen dans la lutte en tête du championnat.

Aujourd’hui en retrait du paddock, Perez, 35 ans, observe la situation avec un certain recul. Selon lui, les difficultés persistantes rencontrées par ses successeurs alimentent le sentiment de regret au sein de l’équipe quant à la gestion de son duo de pilotes.

« Non », a répondu Perez à Dede el Paddock lorsqu’on lui a demandé s’il pensait que Red Bull lui devait des excuses. « Je veux dire, en fin de compte, c’est comme ça que fonctionne ce sport. Ils ont pris certaines décisions en raison de la pression immense qu’ils ont eux-mêmes contribué à créer. Mais je sais, au fond de moi, qu’ils le regrettent. Et je le sais de source très sûre. Mais que pouvez-vous faire ? Vous passez à autre chose. C’est difficile. J’ai de très bons amis là-bas, et les gens pourraient penser que je me réjouis de ce qui s’est passé, mais ce n’est pas le cas. »

« La vérité, c’est que Max mérite tout le succès qu’il connaît », a déclaré Perez. « C’est un pilote incroyable, et très peu de gens comprennent sa façon de travailler. Il est exceptionnel. »

« Nous avions une excellente équipe. Au final, elle s’est lentement effondrée, mais nous avions vraiment quelque chose de spécial, pendant l’une des périodes les plus compétitives de la F1 », a-t-il ajouté. « Nous n’avons pas dominé une époque comme Mercedes, qui disposait d’un énorme avantage en termes de moteur. Dans notre cas, l’écart de performance était minime, et nous avons quand même construit une équipe très performante. C’est quand Adrian est parti que les problèmes ont vraiment commencé. »

Quand les points de pénalité de Verstappen expirent-ils ?

Le Grand Prix d’Autriche, ce week-end, marque un dernier écueil pour Max Verstappen, qui, après le Canada où il se trouvait déjà sur le fil, devra impérativement éviter de se voir pénalisé en points sur sa Super Licence de pilote F1. Si le Hollandais venait à se retrouver dans une situation en piste amenant les commissaires sportifs de la FIA à lui ôter des points, il se verrait alors suspendu pour le GP suivant, en Grande-Bretagne.

Max Verstappen est encore dans la lutte pour le titre mondial face aux pilotes McLaren, Oscar Piastri et Lando Norris, même s’il ne dispose pas depuis le début de saison du package le plus compétitif. Reste que le pilote Red Bull, par sa régularité et sa vitesse, demeure une menace constante pour quiconque brigue le titre de champion du monde de F1. L’un de ses principaux atout, néanmoins, qu’est son agressivité hors-norme au volant, devra encore être particulièrement contenue sur le Red Bull Ring, pour le GP à domicile de son employeur.

Quand les points de pénalité ont-ils été introduits ?

En 2014, la FIA a mis en place un système de points de pénalité. À ce jour, le seul pilote à avoir été suspendu pour une course en raison de points de pénalité est l’ancien pilote Haas Kevin Magnussen. En septembre 2024, Magnussen a purgé une suspension d’une course et a manqué le Grand Prix d’Azerbaïdjan après avoir accumulé 12 points de pénalité en 12 mois.

Quand les points de Verstappen expirent-ils ?

Les points expirent 12 mois après leur attribution. Les deux premiers des 11 points de Verstappen expirent le 30 juin, un jour après le Grand Prix d’Autriche de ce mois-ci.

Ensuite, aucun de ses neuf points restants n’expirera avant le 27 octobre, un jour après le Grand Prix de Mexico.

Deux points : 30 juin 2025 – un jour après le Grand Prix d’Autriche

Deux points : 27 octobre 2025 – un jour après le Grand Prix de Mexico

Un point : 1er novembre 2025 – six jours après le Grand Prix de Mexico

Un point : 1er décembre 2025 – un jour après le Grand Prix du Qatar

Deux points : 8 décembre 2025 – un jour après le Grand Prix d’Abu Dhabi

Red Bull – Arvid Lindblad fera ses débuts en EL1 au Grand Prix de Grande-Bretagne

Helmut Marko a confirmé la présence d’Arvid Lindblad en première séance d’essais libres lors du Grand Prix de Grande-Bretagne. Le jeune Britannique, membre du programme Red Bull, s’apprête à effectuer ses débuts en Formule 1 à seulement 17 ans, devenant ainsi le plus jeune pilote à participer à une session officielle depuis Max Verstappen.

Red Bull a obtenu une dérogation exceptionnelle à la réglementation de la FIA, qui impose normalement un âge minimum de 18 ans pour obtenir une super licence. Lindblad, qui fêtera ses 18 ans en août, bénéficie ainsi d’un statut rare au sein du paddock.

Dans un entretien accordé au Kleine Zeitung, Marko a précisé que le jeune pilote « a passé une demi-journée dans la voiture lundi en Italie », dans le cadre de sa préparation en amont du week-end de course. Il fera sa première apparition officielle lors de son Grand Prix national à Silverstone, même si le conseiller Red Bull n’a pas encore indiqué s’il prendra le volant d’une monoplace de l’équipe principale ou de la structure sœur, Racing Bulls.

« Il sera également dans la voiture pour les essais de vendredi à Silverstone », a ajouté Marko. « Il se distingue par sa force mentale et sa confiance en soi ; son mélange suédo-indien (pilote sous licence britannique) est clairement très bon pour le sport automobile. »

Les écuries de F1 sont tenues d’accorder quatre séances de FP1 aux pilotes débutants. Red Bull a déjà fait courir Ayumu Iwasa à Bahreïn en début d’année. Si Lindblad se prépare peut-être à devenir pilote à plein temps, Marko a déclaré que les débuts précoces du pilote de F2 étaient une conséquence du fait que Max Verstappen était dangereusement proche d’une suspension avec 11 points sur sa super licence.

« Nous nous préparons au cas où quelque chose arriverait vraiment à Max Verstappen concernant ses points de pénalité », a ajouté Marko. « Nous avons actuellement deux pilotes de réserve : Lindblad et Ayumu Iwasa, dont le calendrier de Formule 1 entre en conflit avec ses apparitions au Japon. Nous avions même conclu un accord avec une autre équipe pour certaines courses ; à un moment donné, un pilote de réserve était même prévu pour trois équipes. Ce n’est pas si facile de trouver quelqu’un qui soit en pleine forme. C’est pourquoi Lindblad est au volant aujourd’hui. »

Pierre Gasly interpelle Alpine sur l’importance d’avoir un bon châssis en 2026 pour l’arrivée du moteur Mercedes

Pierre Gasly a lancé un appel clair à Alpine : l’écurie devra être prête à concevoir un châssis à la hauteur du moteur Mercedes, dont elle bénéficiera à partir de 2026. Le Français exhorte son équipe à relever ce défi technique afin de pleinement exploiter les performances attendues de cette nouvelle unité de puissance.

Alpine abandonnera en effet les moteurs Renault au terme de la saison 2025, à la suite des difficultés rencontrées depuis le gel du développement imposé en 2022. Incapable de combler les faiblesses structurelles de son bloc, Renault a décidé de cesser la production de moteurs à Viry-Châtillon à la fin du cycle réglementaire actuel.

Les rumeurs laissent entendre que les motorisations Mercedes, développées à Brixworth, pourraient dominer la nouvelle ère technique de la Formule 1. Dans ce contexte, Gasly souligne l’importance pour Alpine d’assumer pleinement sa responsabilité en matière de conception du châssis, afin de tirer parti de ce changement stratégique.

« Les [nouvelles] réglementations offrent des opportunités beaucoup plus importantes et des récompenses potentiellement beaucoup plus importantes, et nous devons nous concentrer là-dessus », a expliqué Gasly aux médias. « Vu la façon dont les gars travaillent à l’usine, tout le monde est très confiant et optimiste quant à la mise au point de la voiture, mais en même temps, nous n’aurons pas la réponse avant d’avoir mis la voiture en piste. Certes, [le fait d’avoir un moteur Mercedes] nous donne confiance, mais rien ne garantit qu’ils auront le meilleur moteur l’année prochaine, c’est juste que ces dernières années, ils semblaient être parmi les meilleurs. Ensuite, en ce qui concerne le châssis, nous savons que nous avons du travail à faire. Nous avons un châssis assez bon, mais cela ne signifie pas que nous ne pouvons pas faire mieux. Nous avons des idées pour l’améliorer, mais nous n’avons pas pu toutes les intégrer dans la voiture de cette année. Je fais confiance au processus, je sais que nous faisons la une des journaux et que les gens ne voient peut-être pas tout ce qui se passe au sein de l’équipe, et que les changements les plus visibles ne sont pas toujours ceux qui ont le plus d’impact, mais ce sont ceux qui font le plus de bruit. »

 

Sebastian Vettel confirme être en pourparlers avec Red Bull pour un retour en F1

Sebastian Vettel a confirmé être en pourparlers avec Red Bull dans le cadre d’un éventuel retour en Formule 1, cette fois-ci dans une fonction autre que celle de pilote. Le quadruple champion du monde, qui a pris sa retraite à l’issue de la saison 2022, envisage une nouvelle implication au sein de l’écurie avec laquelle il a connu ses plus grands succès entre 2010 et 2013.

Depuis la fin de sa carrière en piste, Vettel s’est engagé publiquement sur des sujets tels que l’environnement, la santé mentale et les droits humains. Il est désormais évoqué comme un successeur potentiel du Dr Helmut Marko, actuel responsable du programme de jeunes pilotes chez Red Bull, un poste stratégique qu’il pourrait occuper à l’avenir.

Âgé de 82 ans, Marko dirige ce programme depuis de nombreuses années. À 37 ans, Vettel, premier pilote issu de cette filière à avoir remporté un titre mondial, pourrait incarner une relève naturelle. Présent à plusieurs reprises dans le paddock ces derniers mois, l’Allemand semble écarter définitivement l’idée d’un retour à la compétition, se concentrant désormais sur une contribution en coulisses.

« Il y a eu quelques gros titres récemment, mais je m’entends toujours très bien avec Helmut, et nous échangeons également sur le sujet », a déclaré Vettel à l’ORF. « Ce n’est pas encore très intense ni très approfondi, mais c’est peut-être quelque chose où je pourrais jouer un rôle, mais sous quelle forme, cela reste à voir. Mais je dois admettre que je n’ai pas été très proche de la F1 ces dernières années, mais je pense que Marko sait ce qu’il fait, et quoi qu’il arrive, on peut toujours apprendre beaucoup de lui. »

« Marko est irremplaçable, restons-en là. Il a beaucoup apporté à l’équipe depuis 2005, et ce n’est peut-être pas le but de quelqu’un de le remplacer. Il a dit à plusieurs reprises qu’il allait s’arrêter, mais il est toujours là, et j’aimerais qu’il reste encore longtemps, mais il partira à un moment donné, et il le sait. C’est un réaliste brutal qui sait très bien juger les choses, et il saura quand le moment sera venu. »

Programme et horaires du Grand Prix de F1 d’Autriche 2025

La Formule 1 s’apprête à disputer son onzième rendez-vous de la saison 2025 avec le Grand Prix d’Autriche, programmé du vendredi 27 au dimanche 29 juin. L’épreuve se déroulera sur le circuit du Red Bull Ring, situé à Spielberg, en Styrie.

Retrouvez le programme complet et les horaires du GP d’Autriche de Formule 1

Date Séance Horaires Chaine
Vendredi Essais Libres 1 13:30 – 14:30 Canal+ Sport
  Essais Libres 2 17h00 – 18h00 Canal+ Sport
Samedi Essais Libres 3 12H30 – 13H30 Canal+ Sport
  Qualifications 16h00 – 17h00 Canal+ Sport
Dimanche Grand Prix 15h00 Canal+

Voici le calendrier officiel F1 2026 tel qu’annoncé par Liberty Media

Le calendrier officiel du championnat du monde de Formule 1 2026 est désormais officiel, suite à une ratification des dates proposées par Liberty Media à la Fédération Internationale de l’Automobile. Les calendriers F1, F2 et F3 sont donc désormais intégralement connus, tout comme celui de la Formule E.

Le calendrier F1 2026 compte quelques changements avec la disparition du GP d’Emilie Romagne, qui se tenait ces derniers temps sur le tracé d’Imola. Il voit aussi apparaitre la manche espagnole dans la capitale de Madrid, sur le nouveau tracé urbain qui vient ainsi compléter la présence en Espagne du Circuit de Catalogne, qui demeure pour l’heure au calendrier. 

La saison F1 2026 débutera du 6 au 8 mars 2026 sur le circuit de l’Albert Park, en Australie, et prendra fin du 4 au 6 décembre avec l’ultime épreuve de la saison, à Abou Dhabi. Au total, 24 GP seront au programme pour la F1 en 2026.

Andy Cowell mobilise Aston Martin autour d’un projet commun pour l’avenir

À la tête d’Aston Martin depuis le début de l’année, Andy Cowell a réaffirmé son engagement à fédérer l’ensemble de l’écurie autour d’un objectif clair : redevenir un acteur majeur du championnat du monde de Formule 1.

Installée à Silverstone, l’équipe britannique traverse une saison 2025 compliquée, marquée par des performances en retrait. Elle pointe actuellement à la huitième place du classement des constructeurs.

Pour redresser la barre, Aston Martin a recruté Adrian Newey, figure emblématique de la conception en F1. Le Britannique a été chargé de piloter le département technique de l’écurie. Toutefois, son travail se concentre exclusivement sur la monoplace de 2026, développée selon un nouveau règlement technique qui entrera en vigueur cette année-là.

En attendant, Cowell met l’accent sur la cohésion interne. « Mon objectif est de rassembler l’équipe et les partenaires autour d’une vision commune », a-t-il déclaré, soulignant la nécessité d’un engagement collectif pour bâtir un avenir compétitif.

« Il s’agit de rassembler tout le monde », a déclaré Cowell à Sky F1. « Il s’agit de comprendre les systèmes qui composent une voiture de course et de s’assurer que chacun connaît sa place dans le puzzle. Tout le monde se fixe des objectifs ambitieux et exigeants, et nous nous efforçons de les atteindre. »

Le Britannique souhaite mettre à profit son expérience acquise chez les Flèches d’argent et transposer cette culture chez Aston Martin.

« C’est ce que nous avons fait lorsque Mercedes est arrivée en tant qu’équipe d’usine, en collaboration avec Brackley et Brixworth », a-t-il déclaré. « Nous avons connu un grand succès à partir de 2014. Nico a remporté plusieurs courses et un championnat ! Nous essayons simplement de faire la même chose ici. Nous essayons de rassembler tout le monde à Silverstone, chez Aramco, Valvoline et Honda pour jouer un rôle très important dans cette aventure. »