Grille de départ ajustée du Grand Prix des États-Unis de F1 2025 (après pénalités)

Découvrez la grille de départ complète avant le Grand Prix de Formule 1 des États-Unis 2025 à Austin, au Texas !

Grille de départ ajustée du Grand Prix des États-Unis de F1 2025 (après pénalités)

Position

Pilote

Écurie

1er

Max Verstappen

Red Bull

2e

Lando Norris

McLaren

3e

Charles Leclerc

Ferrari

4e

George Russell

Mercedes

5e

Lewis Hamilton

Ferrari

6e

Oscar Piastri

McLaren

7e

Kimi Antonelli

Mercedes

8e

Oliver Bearman

Haas

9e

Carlos Sainz

Williams

10e

Fernando Alonso

Aston Martin

11e

Nico Hülkenberg

Stake

12e

Liam Lawson

Racing Bulls

13e

Yuki Tsunoda

Red Bull

14e

Pierre Gasly

Alpine

15e

Franco Colapinto

Alpine

16e

Gabriel Bortoleto

Stake

17e

Esteban Ocon

Haas

18e

Alex Albon

Williams

19e

Lance Stroll (pénalité)

Aston Martin

20e

Isack Hadjar

Racing Bulls

 

Verstappen signe la pole à Austin et maintient la pression dans la course au titre

Max Verstappen s’est adjugé la pole position du Grand Prix des États-Unis. Vainqueur du sprint la veille, le pilote Red Bull a une nouvelle fois dominé les débats à Austin, décrochant la première place sur la grille grâce à un tour en 1:32.510 réalisé dès sa première tentative en Q3, soit 0,394 seconde plus rapide que Lando Norris.

Verstappen n’a pas eu l’occasion d’améliorer son chrono : il a passé le drapeau lui empêchant de lancer un second tour rapide, mais son premier temps est resté intouchable. Norris, malgré un dernier effort, a dû se contenter du deuxième rang avec un 1:32.801, seulement 0,007 seconde devant Charles Leclerc, troisième. Lewis Hamilton a pris la cinquième place.

Le leader du championnat, Oscar Piastri, n’a pu faire mieux que sixième. Le pilote McLaren a dû composer avec des pneus usés lors de son premier tour en Q3, avant de signer un 1:33.084 insuffisant pour se rapprocher des meilleurs. Si la course se concluait selon cet ordre, Verstappen reviendrait à 38 points de Piastri, tandis que Norris serait à 12 unités de son coéquipier, avec 141 points encore en jeu.

Q1 : Hadjar dans le mur, Albon sanctionné

La première partie des qualifications a été interrompue après la sortie de piste d’Isack Hadjar dans le virage 6, contraignant le pilote Racing Bulls à l’abandon et mettant fin à sa série sans élimination en Q1.
En fin de séance, Alex Albon est passé de la 19e à la 8e place, mais son chrono a été annulé pour dépassement des limites de piste au virage 15. Franco Colapinto a ainsi sauvé sa place, tandis que Lance Stroll, pénalisé de cinq positions pour son accrochage avec Esteban Ocon dans le sprint, échangera sa place avec le Thaïlandais.
Ocon a terminé 17e, juste devant Gabriel Bortoleto, dernier éliminé à moins d’un dixième de Colapinto. Verstappen, Russell et Antonelli ont dominé le segment, alors que Norris a dû abandonner son premier tour après une erreur au virage 9.

Q2 : Tsunoda éliminé, Verstappen reste intouchable

En Q2, Yuki Tsunoda a vu sa série de désillusions se poursuivre. Le Japonais a signé le 13e temps, accusant Liam Lawson de l’avoir gêné. Malgré un chrono en 1:33.466, il a échoué à 0,1 seconde du top 10.
Nico Hülkenberg, 11e, a vu son temps annulé pour dépassement des limites de piste, tout comme Lawson. Pierre Gasly et Franco Colapinto ont également été éliminés après des performances en retrait.
En tête, Verstappen, Leclerc et Norris se sont hissés dans le trio de tête, tandis que Norris a dû changer de volant en urgence à la suite d’un problème mécanique dans la voie des stands.

Q3 : Verstappen imprenable, Norris et Leclerc au contact

Dès son premier tour en Q3, Verstappen a frappé fort avec un 1:32.510, suffisant pour décrocher sa septième pole position de la saison et sa première à Austin depuis 2021. Norris a pris la deuxième place devant Leclerc, qui s’est rattrapé après un tête-à-queue dans le dernier virage de son premier essai.
Hamilton, après un blocage de roues au premier virage, s’est hissé de la neuvième à la cinquième position, juste devant Piastri, en retrait tout au long du week-end.
Le top 10 est complété par George Russell (4e), Kimi Antonelli (7e), Oliver Bearman (8e), Carlos Sainz (9e) et Fernando Alonso (10e).

Classement et résultat des Qualifications du Grand Prix des États-Unis

Découvrez les résultats complets des qualifications du Grand Prix de Formule 1 des États-Unis 2025 à Austin, au Texas, qui s’est déroulé sur le Circuit des Amériques.

Résultat des Qualifications du Grand Prix des États-Unis

# Pilote Écurie Chrono Pneu
1
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:32.510 S
2
 
Lando NORRIS
McLaren 1:32.801 S
3
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:32.807 S
4
 
George RUSSELL
Mercedes 1:32.826 S
5
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:32.912 S
6
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:33.084 S
7
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:33.114 S
8
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:33.139 S
9
 
Carlos SAINZ
Williams 1:33.150 S
10
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:33.160 S
11
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:33.334 S
12
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:33.360 S
13
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:33.466 S
14
 
Pierre GASLY
Alpine 1:33.651 S
15
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1:34.044 S
16
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:34.125 S
17
 
Esteban OCON
Haas 1:34.136 S
18
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:34.540 S
19
 
Alexander ALBON
Williams 1:34.690 S
20
 
Isack HADJAR
Racing Bulls   S

Isack Hadjar victime d’un violent accident lors des qualifications à Austin

Début de séance cauchemardesque pour Isack Hadjar au Grand Prix des États-Unis. Trois minutes à peine après le lancement de la Q1 sur le Circuit des Amériques, le pilote Racing Bulls a perdu le contrôle de sa monoplace dans le virage 6, percutant violemment les TecPro à haute vitesse.

L’impact, a immédiatement provoqué la mise en place du régime de drapeau rouge. La monoplace de Hadjar, sévèrement endommagée, a nécessité l’intervention rapide de la voiture médicale, en raison de la force G enregistrée lors du choc.

Sorti indemne mais visiblement furieux, le jeune Français a été vu se frappant le casque à plusieurs reprises dans le cockpit, exprimant sa frustration après avoir commis cette erreur en début de séance.

Cet accident met un terme à une série impressionnante pour Hadjar, qui était jusqu’alors le seul pilote de la grille à n’avoir jamais été éliminé en Q1 depuis ses débuts en Formule 1.

Classement du championnat F1 2025 après la Course Sprint du GP des États-Unis

Découvrez comment la course sprint du Grand Prix des États-Unis 2025 a influencé les classements des pilotes et des constructeurs.

PPilote Equipe Points
1L. NorrisMcLaren357
2O. PiastriMcLaren356
3M. VerstappenRed Bull321
4G. RussellMercedes258
5C. LeclercFerrari210
6L. HamiltonFerrari146
7K. AntonelliMercedes97
8A. AlbonWilliams73
9N. HülkenbergSauber41
10I. HadjarVCARB39
11C. SainzWilliams38
12F. AlonsoAston Martin37
13O. Bearman Haas32
14L.StrollAston Martin32
15L. LawsonVCARB30
16E. OconHaas28
17Y. TsunodaRed Bull28
18P. GaslyAlpine20
19G. BortoletoSauber19
20F. ColapintoAlpine0
21J. DoohanAlpine0
PEquipe Points
1McLaren 678 (Champion)
2Ferrari356
3Mercedes355
4Red Bull 346
5Williams111
6Racing Bulls72
7Aston Martin69
9Haas62
8Sauber60
10Alpine20

Course Sprint : Verstappen profite du chaos, double abandon pour McLaren

Max Verstappen a remporté le Sprint du Grand Prix des États-Unis, tirant pleinement parti d’un carambolage dès le premier virage qui a éliminé les deux pilotes McLaren, Oscar Piastri et Lando Norris, tous deux candidats au titre.

Parti depuis la pole position, Verstappen a conservé la tête au départ, tandis que derrière lui, Piastri, troisième sur la grille, prenait brièvement l’avantage sur Norris. Mais au moment d’aborder le virage à gauche du sommet, le Britannique, placé à l’intérieur, a repris l’avantage. En tentant de repasser à l’intérieur à la sortie du virage, Piastri a été percuté par Nico Hulkenberg (Sauber), provoquant un effet domino : sa McLaren a heurté celle de Norris, envoyant ce dernier en tête-à-queue et lui arrachant sa roue arrière gauche.
Piastri a lui aussi subi une casse de suspension et a été contraint à l’abandon.

L’incident a déclenché une longue neutralisation sous voiture de sécurité, avant une relance au sixième tour. Verstappen, bien que menacé par George Russell (Mercedes) au huitième tour dans le virage 12, a résisté à la pression pour s’imposer après 19 tours. Carlos Sainz (Williams) complète le podium, devant le duo Ferrari Lewis Hamilton et Charles Leclerc.

Derrière, Fernando Alonso (Aston Martin) a également été pris dans le chaos, que Martin Brundle a décrit comme un véritable « demolition derby ». D’autres pilotes ont profité du désordre, notamment Yuki Tsunoda (Red Bull), auteur d’une remontée spectaculaire de la 18e à la 7e place.

Un nouvel incident a eu lieu au 15e tour, lorsque Lance Stroll (Aston Martin) a percuté Esteban Ocon (Haas), provoquant une deuxième intervention de la voiture de sécurité.

Au final, Alex Albon (Williams) a terminé sixième, Tsunoda septième et Kimi Antonelli (Mercedes) huitième, héritant du dernier point après la pénalité de 10 secondes infligée à Oliver Bearman (Haas) pour avoir dépassé hors piste.

Cette victoire permet à Verstappen de réduire son retard au championnat : il revient désormais à 55 points d’Oscar Piastri et à 33 points de Lando Norris, avant le Grand Prix principal d’Austin.

Classement et résultats de la Course Sprint du Grand Prix des États-Unis

Découvrez les résultats complets de la course sprint avant le Grand Prix sprint des États-Unis de F1 2025, qui se déroulera sur le Circuit des Amériques !

Résultats de la Course Sprint du Grand Prix des États-Unis

# Pilote Écurie Écart Pneu
1
 
Max VERSTAPPEN

 
Red Bull LAP 19 M
2
 
George RUSSELL
Mercedes +0.395 M
3
 
Carlos SAINZ
Williams +0.791 M
4
 
Lewis HAMILTON
Ferrari +1.224 M
5
 
Charles LECLERC
Ferrari +1.825 M
6
 
Alexander ALBON
Williams +2.576 M
7
 
Yuki TSUNODA
Red Bull +2.976 M
8
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes +4.147 M
9
 
Liam LAWSON
Racing Bulls +4.804 M
10
 
Pierre GASLY
Alpine +5.126 M
11
 
Gabriel BORTOLETO
Stake +5.649 M
12
 
Isack HADJAR
Racing Bulls +6.228 M
13
 
Nico HULKENBERG
Stake +6.624 M
14
 
Franco COLAPINTO
Alpine +8.006 M
15
 
Oliver BEARMAN
Haas +13.576 M
16
 
Esteban OCON
Haas 4T M
17
 
Lance STROLL
Aston Martin 4T M
18
 
Oscar PIASTRI
McLaren DNF M
19
 
Lando NORRIS
McLaren DNF M
20
 
Fernando ALONSO
Aston Martin DNF M

Grille de départ de la Course Sprint du Grand Prix des États-Unis 2025 (Austin)

Découvrez la grille de départ complète de la course Sprint à Austin avant le Grand Prix de Formule 1 des États-Unis 2025.

Grille de départ – Sprint du Grand Prix des États-Unis 2025 (Austin)

Position

Pilote

Écurie

1er

Max Verstappen

Red Bull

2e

Lando Norris

McLaren

3e

Oscar Piastri

McLaren

4e

Nico Hülkenberg

Stake

5e

George Russell

Mercedes

6e

Fernando Alonso

Aston Martin

7e

Carlos Sainz

Williams

8e

Lewis Hamilton

Ferrari

9e

Alex Albon

Williams

10e

Charles Leclerc

Ferrari

11e

Kimi Antonelli

Mercedes

12e

Isack Hadjar

Racing Bulls

13e

Pierre Gasly

Alpine

14e

Lance Stroll

Aston Martin

15e

Liam Lawson

Racing Bulls

16e

Oliver Bearman

Haas

17e

Franco Colapinto

Alpine

18e

Yuki Tsunoda

Red Bull

19e

Esteban Ocon

Haas

20e

Gabriel Bortoleto

Stake

 

Verstappen veut capitaliser sur sa pole sprint à Austin

Après avoir décroché une pole position surprise pour le Sprint du Grand Prix des États-Unis, Max Verstappen a insisté sur l’importance de réaliser un bon départ pour convertir cet avantage en victoire.

Lors de la SQ3, le pilote Red Bull a été le dernier à s’élancer pour un unique tour rapide, visant à battre la référence établie par Lando Norris en 1:32.214. Mission accomplie : le Néerlandais a signé un 1:32.143, décrochant ainsi sa première pole de la saison en sprint et la dixième de sa carrière dans ce format — un record absolu.

Verstappen reste invaincu en qualifications sprint à Austin, après avoir également dominé les éditions 2023 et 2024. Ce résultat lui offre une occasion de réduire l’écart de 63 points qui le sépare d’Oscar Piastri au championnat.

Alors que ses précédentes victoires en sprint cette saison, en Italie et en Azerbaïdjan, ont été obtenues sur des circuits à faible appui, le Circuit des Amériques représente un défi différent. Le champion néerlandais a toutefois montré sa compétitivité en devançant nettement les deux McLaren lors des qualifications.

« Ce fut une belle qualification, les écarts étaient très serrés, et il fallait tout mettre bout à bout au bon moment — ce qui n’était pas facile », a expliqué Verstappen. « Maintenant, il s’agit simplement de bien partir et de garder la tête au départ. »

« Parce que vous passez aux pneus tendres [en SQ3], sans référence, mais cela a bien fonctionné. Je m’attends toujours à une bataille difficile dans le sprint, mais c’est exactement ce que nous voulons voir. Le vent soufflait par rafales et était très irrégulier. La piste est également bosselée, ce qui fait que la voiture peut facilement déraper à grande vitesse. Il faut donc laisser un peu de marge ici et là, mais pour nous, ça a été une bonne journée. Je vais simplement essayer de prendre un bon départ et espérer que nous aurons un bon rythme pendant la course, mais nous verrons bien. »

Verstappen arrache la pole sprint à Austin devant Norris

Max Verstappen a signé la pole position du sprint du Grand Prix des États-Unis, préservant ainsi ses espoirs dans la course au titre mondial. Le pilote Red Bull a attendu le dernier moment pour frapper, réalisant un tour décisif en 1:32.143, soit 0,071 seconde plus rapide que Lando Norris, pourtant dominateur des deux premières phases de qualification (SQ1 et SQ2).

Le Britannique de McLaren, qui semblait intouchable jusqu’alors, devra se contenter de la deuxième place, devant son coéquipier Oscar Piastri, troisième à près de quatre dixièmes du leader.

La surprise du jour est venue de Nico Hülkenberg. Le pilote Sauber a décroché une impressionnante quatrième place, mettant fin à une longue période sans résultat notable depuis son podium à Silverstone en juillet.

La courte séance de huit minutes en SQ3 n’offrait qu’une seule tentative à chaque pilote, tous chaussés des pneus tendres obligatoires. George Russell a été le premier à s’élancer, réalisant un temps de 1:32.888, suffisant pour la cinquième position. Il partagera la troisième ligne avec Fernando Alonso, sixième sur son Aston Martin.

Derrière eux, Carlos Sainz a placé sa Williams en septième position, juste devant Lewis Hamilton et Alex Albon, neuvième. Charles Leclerc, en difficulté tout au long de la séance avec sa Ferrari, complétera le top 10.

Verstappen signe ainsi sa troisième pole consécutive pour un sprint, confirmant sa montée en puissance à l’approche d’un week-end texan qui s’annonce crucial pour le championnat.

Classement et résultat de la qualif Sprint du GP des États-Unis

Découvrez les résultats complets des qualifications sprint avant le Grand Prix sprint de Formule 1 des États-Unis 2025, qui se déroulera sur le Circuit des Amériques !

Résultat de la qualif Sprint du GP des États-Unis

# Pilote Écurie Chrono Pneu
1
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:32.143 S
2
 
Lando NORRIS
McLaren 1:32.214 S
3
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:32.523 S
4
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:32.645 S
5
 
George RUSSELL
Mercedes 1:32.888 S
6
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:32.910 S
7
 
Carlos SAINZ
Williams 1:32.911 S
8
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:33.035 S
9
 
Alexander ALBON
Williams 1:33.099 S
10
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:33.104 S
11
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:34.018 M
12
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:34.241 M
13
 
Pierre GASLY
Alpine 1:34.258 M
14
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:34.394 M
15
 
Liam LAWSON
Racing Bulls   M
16
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:35.159 M
17
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1:35.246 M
18
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:35.259 M
19
 
Esteban OCON
Haas 1:36.003 M
20
 
Gabriel BORTOLETO
Stake   M

Classement et résultats et des Essais Libres du Grand Prix des États-Unis 2025

Découvrez les résultats très importants des essais libres à Austin avant les qualif sprint du Grand Prix des États-Unis de F1 2025 !

Résultats des Essais Libres du Grand Prix des États-Unis 2025

# Pilote Écurie Chrono Pneu
1
 
Lando NORRIS
McLaren 1:33.294 S
2
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:33.549 S
3
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:33.573 S
4
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:33.639 M
5
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:33.648 S
6
 
Alexander ALBON
Williams 1:33.920 S
7
 
George RUSSELL
Mercedes 1:33.931 M
8
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:33.965 M
9
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:34.155 M
10
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:34.333 S
11
 
Esteban OCON
Haas 1:34.368 S
12
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:34.478 S
13
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:34.531 S
14
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:34.610 M
15
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:34.619 M
16
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1:34.653 S
17
 
Pierre GASLY
Alpine 1:34.665 S
18
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:34.737 M
19
 
Carlos SAINZ
Williams 1:35.874 H
20
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:36.080 M

Ces GP d’octobre cruciaux pour le titre mondial entre Verstappen et les pilotes McLaren

Avec sept courses et trois épreuves de sprint restantes, la saison 2025 de Formule 1 entre dans sa phase décisive. Après une année marquée par la résurgence de McLaren, la résilience de Red Bull et les signes de force de Mercedes et Ferrari, les concurrents se réunissent à Singapour pour la première des épreuves restantes. Non seulement le titre des pilotes est en jeu, mais aussi la réponse à la question qui hante cette campagne depuis mars : qui a vraiment la voiture la plus rapide ?

Pendant une grande partie de la saison, McLaren a donné le ton. Sa MCL39 a été la plus performante sur différents circuits, même si elle a ses limites. De son côté, Red Bull a connu des périodes d’irrégularité, mais a réagi avec des améliorations décisives qui ont permis à Max Verstappen de rester dans la course.

Mercedes et Ferrari ont également connu le succès, mais aucune des deux n’a réussi à être performante de manière constante. Le classement a de nouveau changé depuis la pause estivale, et à l’approche de la fin du championnat, chaque circuit représente un nouveau test pour les forces et les faiblesses des équipes.

Octobre, un mois crucial pour le Grand Prix 2025

Singapour marque le début de la phase finale. Marina Bay est un circuit urbain en accordéon qui rappelle Monaco, où la traction et la confiance lors du franchissement des vibreurs sont plus importantes que la vitesse de pointe.

Les mises à jour apportées par Red Bull à Monza ont amélioré la réactivité et la traction de l’avant de la voiture, ce qui est crucial dans les zones lentes. Cependant, la RB21 reste sensible aux bosses. La voiture de McLaren reste performante en termes d’adhérence mécanique, mais l’essieu avant manque encore de précision, ce qui empêche Piastri et Norris de trouver la précision nécessaire.

Les réglages et les performances en qualifications détermineront probablement laquelle des deux équipes s’imposera, tandis que les difficultés de Ferrari avec l’usure des pneus et les problèmes de chaleur de Mercedes les maintiendront juste derrière.

Austin : trouver l’équilibre sur un circuit polyvalent

Plus tard en octobre, le Circuit des Amériques (COTA) présente un défi complet pour le Grand Prix des États-Unis, mêlant des virages rapides dans le premier secteur, de longues lignes droites et un dernier secteur technique. La voiture de McLaren est régulière et ménage ses pneus, mais elle peut encore manquer de mordant à l’avant.

La prise de virage plus précise de Red Bull lui donne un avantage dans le premier secteur, et ses gains de traction lui permettent de passer le dernier secteur. Dans l’ensemble, les deux équipes restent à égalité. Ferrari pourrait prendre la troisième place si l’équilibre lui est favorable, tandis que la faiblesse de Mercedes dans les virages à grande vitesse la rend vulnérable. Williams pourrait créer la surprise grâce à sa puissance à haute vitesse et à son nouveau rythme en qualifications.

Mexique : chaleur et air raréfié

En raison de l’altitude élevée de Mexico, les voitures doivent rouler à plein régime pour refroidir. Les zones de traction et les virages à vitesse moyenne dominent.

Ici, le système de refroidissement efficace de McLaren et son équilibre dans les virages à vitesse moyenne en font le favori. Red Bull sera juste derrière, aidé par son avantage en termes d’appui aérodynamique ; cependant, son compromis en matière de refroidissement pourrait influencer le résultat de la course. Mercedes devrait faire mieux que Ferrari, car la traction de la W16 lui donne un avantage, tandis que la SF25 continue de manquer d’une force remarquable.

 

Où en est Christian Horner de sa tentative de retour en F1 ?

Horner, 51 ans, a été démis de ses fonctions de directeur de l’écurie Red Bull en juillet, après près de deux décennies à la tête de l’équipe. Son départ est intervenu quelques semaines seulement après qu’il ait été innocenté de toute accusation de comportement inapproprié dans le cadre de deux enquêtes distinctes, l’une interne et l’autre externe. Red Bull GmbH, la société mère autrichienne, a annoncé son licenciement peu après le Grand Prix de Grande-Bretagne, sans fournir d’explication publique à cette décision.

Horner a rejoint Red Bull en 2005, lorsque l’équipe a fait son entrée en Formule 1. Sous sa direction, l’équipe a remporté un succès remarquable, décrochant huit titres de champion du monde des pilotes et six titres de champion du monde des constructeurs pendant les périodes de domination menées par Sebastian Vettel et Max Verstappen. Cependant, son règne s’est terminé dans la controverse, les tensions politiques et les fuites de messages privés présumés, qui ont relancé le débat public malgré les enquêtes qui l’avaient innocenté.

Le scandale et ses conséquences

Les messages WhatsApp, qui auraient été échangés entre Horner et un employé anonyme de Red Bull, ont été publiés en ligne juste un jour après que Horner ait été officiellement innocenté par une enquête externe. La fuite a relancé un examen minutieux, plaçant Red Bull et la Formule 1 sous les feux des projecteurs mondiaux.

Tout au long de cette saga, Horner a maintenu son innocence, qualifiant ces allégations d’infondées. Son épouse, l’ancienne Spice Girl Geri Halliwell, 52 ans, l’a publiquement soutenu. Le couple a fait plusieurs apparitions publiques en 2024, affichant son unité face aux spéculations généralisées sur l’avenir de leur mariage.

Selon des sources internes, l’environnement interne de Red Bull était de plus en plus divisé à l’époque. Alors qu’une faction au sein de la direction autrichienne considérait la position de Horner comme intenable, d’autres membres du groupe de propriétaires thaïlandais ont fait pression pour qu’il soit maintenu à son poste. La tension a atteint son paroxysme lors du Grand Prix d’Autriche, où les mauvais résultats et la pression du conseil d’administration ont scellé son sort. Max Verstappen a abandonné après une collision avec le pilote Mercedes Kimi Antonelli, tandis que Yuki Tsunoda a terminé 16e, la pire performance de Red Bull de la saison.

Une semaine plus tard, Horner a été licencié.

Luttes de pouvoir en coulisses

Selon le Daily Mail, le départ de Horner était autant une question de politique que de performance. Bien qu’il ait été innocenté des accusations de faute professionnelle, des sources proches de l’équipe ont suggéré que les luttes de pouvoir internes croissantes avaient rendu sa position intenable.

Malgré la résistance de certaines sections de l’organisation plus proches du siège britannique de l’équipe de F1 à Milton Keynes, la décision de se séparer a finalement été prise par Red Bull GmbH en Autriche.

Horner aurait reçu une indemnité de départ de 80 millions de livres sterling dans le cadre de son départ. L’accord comprendrait des restrictions l’empêchant d’occuper un autre poste en Formule 1 jusqu’au printemps 2026 au moins. Néanmoins, il aurait exprimé son vif désir de revenir dans le sport une fois ses obligations contractuelles expirées.

Une possible voie de retour pour Horner

Horner a déjà approché plusieurs équipes au sujet d’un éventuel retour. Andy Cowell, directeur de l’écurie Aston Martin, a déclaré aux journalistes que « Christian contactait pratiquement tous les propriétaires d’écurie en ce moment », mais il a exclu tout projet actuel de l’engager. Ayao Komatsu, directeur de l’écurie Haas, a confirmé qu’ils avaient été approchés, mais que cela n’avait rien donné, tandis que Steve Nielsen, d’Alpine, a reconnu que Flavio Briatore, ami de longue date de Horner et actuellement directeur par intérim de l’écurie, restait en contact avec lui.

Il n’est pas encore certain que ces discussions aboutissent à un retour. La vaste expérience et les succès passés de Horner en font une figure attrayante, mais les répercussions du scandale sur sa réputation pourraient encore dissuader les employeurs potentiels. Ses partisans affirment toutefois que le traitement que lui a réservé Red Bull était motivé par des considérations politiques internes plutôt que par des fautes avérées, et que sa carrière ne devrait pas se terminer en exil.

Un héritage sous le feu des projecteurs

Au cours des deux décennies passées à la tête de Red Bull, Horner a transformé l’équipe en l’une des plus performantes de la Formule 1. Il était connu pour son sens stratégique, son efficacité implacable et sa capacité à naviguer dans les méandres politiques complexes de ce sport. Cependant, la controverse a laissé une marque indélébile sur son héritage, obligeant Red Bull et la Formule 1 à réfléchir à l’équilibre entre la responsabilité des dirigeants et la préservation de l’entreprise.

Quant à la femme qui serait au centre de l’affaire, Fiona Hewitson, son retour discret dans le paddock suggère une tentative de reconstruire sa carrière loin de l’ombre du scandale. En s’associant au projet Cadillac F1, l’une des nouvelles entreprises les plus ambitieuses de ce sport, elle semble s’être assuré une voie à suivre selon ses propres conditions.

Horner « n’est plus impliqué dans ce sport », mais explore activement les possibilités de revenir. Reste à voir si le paddock très soudé de la Formule 1 l’accueillera à nouveau et si le nouveau rôle de Hewitson lui permettra d’échapper à la longue ombre de la controverse. Ce qui est certain, c’est que ces deux personnalités, autrefois mêlées à un scandale, se trouvent aujourd’hui à l’aube d’un nouveau départ dans un sport qui oublie rarement.

La grille F1 2026 : le plateau actuel et toutes les rumeurs

La situation contractuelle actuelle de chaque pilote de F1 – et toutes les rumeurs sur ce qui pourrait se passer ensuite

Écurie

Pilote

Fin de contrat

McLaren

Lando Norris

« Long terme »

 

Oscar Piastri

2028

Ferrari

Lewis Hamilton

Jusqu’en 2026, avec option pour 2027

 

Charles Leclerc

Plusieurs années

Red Bull

Max Verstappen

2028

 

À confirmer

 ? 

Mercedes

George Russell

Inconnu

 

Kimi Antonelli

Inconnu

Aston Martin

Fernando Alonso

2026

 

Lance Stroll

« 2025 et au-delà »

Alpine

Pierre Gasly

« Long terme »

 

À confirmer

?

Haas

Esteban Ocon

Contrat pluriannuel

 

Oliver Bearman

Contrat pluriannuel

Williams

Alex Albon

Contrat pluriannuel

 

Carlos Sainz

Contrat pluriannuel

Racing Bulls

À confirmer

 

À confirmer

Audi (Sauber)

Nico Hulkenberg

Contrat pluriannuel

 

Gabriel Bortoleto

Contrat pluriannuel

Cadillac

Valtteri Bottas

Contrat pluriannuel

 

Sergio Pérez

Contrat pluriannuel

Andy Cowell flatté par l’intérêt de Max Verstappen pour le projet Aston Martin

Le directeur de l’écurie Aston Martin, Andy Cowell, a reconnu que son équipe était « flattée » par les récents propos de Max Verstappen, qui a évoqué son intérêt pour le projet en pleine expansion de la formation basée à Silverstone.

L’avenir du quadruple champion du monde a longtemps alimenté les discussions cette saison, avant que Verstappen ne confirme qu’il resterait chez Red Bull en 2026. Bien qu’il soit sous contrat jusqu’en 2028, la domination déclinante de Red Bull en début d’année et les rumeurs autour d’une clause de performance ont ouvert la porte à des spéculations sur un départ anticipé.

Aston Martin, désormais renforcée par l’arrivée d’Adrian Newey à la tête du département technique, est souvent citée comme l’une des destinations les plus crédibles pour le Néerlandais à moyen terme.

« À un moment donné, tout le paddock se rend compte qu’il y a une ambition claire : passer d’une équipe qui a longtemps lutté pour sa survie à une équipe qui est là pour gagner », a déclaré Cowell à Motorsport.com.

Cowell a ajouté que les remarques de Verstappen étaient perçues comme une reconnaissance du sérieux du projet Aston Martin, qui a investi massivement dans ses infrastructures et son centre technique ultramoderne à Silverstone :

Alors que Lawrence Stroll vise à faire d’Aston Martin un candidat au titre d’ici 2026, la perspective de voir Newey et Verstappen réunis sous de nouvelles couleurs continue d’attiser la curiosité du paddock.

« Que Max ait manifesté son intérêt aux médias – même si je ne sais pas exactement quel est le mot juste – est flatteur. Il voit que notre équipe est déterminée et qu’elle prend les bonnes décisions. »

Mercedes a manifesté son intérêt pour Verstappen, le patron de l’écurie Toto Wolff déclarant que les équipes seraient prêtes à « faire le poirier » pour signer le quadruple champion.

« Je ne suis pas doué pour faire le poirier, même dans la piscine j’ai encore du mal », a plaisanté Cowell. Aston Martin devrait aligner le même duo de pilotes l’année prochaine, avec Fernando Alonso et Lance Stroll pour une quatrième saison consécutive.

Sondage F1 – Quelle écurie pourrait engager Christian Horner à sa tête ?

Le départ fracassant de Christian Horner de Red Bull en juillet 2025, après 20 ans à la tête de l’écurie, a laissé l’un des dirigeants les plus emblématiques de la F1 sans poste et à la recherche d’une nouvelle opportunité.

Après avoir obtenu une indemnité de départ conséquente lui permettant de revenir en F1 début 2026, Horner aurait, selon le PDG d’Aston Martin Andy Cowell, « contacté presque toutes les équipes » dans l’espoir de rebondir.

Mais malgré son palmarès exceptionnel, les options du Britannique s’amenuisent. Plusieurs écuries ont déjà écarté toute collaboration. À Singapour, Cowell a été catégorique : « Il n’y a aucun projet d’impliquer Christian, ni dans un rôle opérationnel, ni dans un rôle d’investissement. » Un revers d’autant plus net que les ambitions de Lawrence Stroll de recruter Max Verstappen compliquent la donne, la relation tendue entre Horner et Jos Verstappen restant un frein majeur.

Chez Haas, le directeur Ayao Komatsu a également fermé la porte : « C’est fini. Il n’y a rien de plus à ajouter. » Quant à Mercedes et McLaren, les rivalités personnelles rendent tout rapprochement impossible.

Ainsi, l’ancien stratège en chef du succès de Red Bull se retrouve aujourd’hui isolé, face à un paddock peu enclin à lui tendre la main — un contraste saisissant avec l’aura qui a longtemps accompagné son règne à Milton Keynes. Ferrari représente peut-être l’opportunité immédiate la plus intéressante, même si le directeur de l’écurie, Fred Vasseur, vient de signer un nouveau contrat.

Ralf Schumacher redoute un nouvel accident entre Norris et Piastri chez McLaren

Ralf Schumacher a exprimé ses inquiétudes quant à l’escalade des tensions entre Lando Norris et Oscar Piastri, alors que la lutte interne pour le titre mondial 2025 s’intensifie chez McLaren.

Le climat au sein de l’écurie papaye s’est tendu après le Grand Prix de Singapour, marqué par un accrochage entre les deux pilotes dès le premier tour. Norris, troisième à l’arrivée, a devancé Piastri, contraint de se contenter de la quatrième place, malgré sa colère à la radio après l’incident. La décision de McLaren de ne pas échanger les positions a provoqué un vif débat dans le paddock, certains observateurs soupçonnant un traitement préférentiel en faveur du Britannique.

Mais pour Ralf Schumacher, ces accusations sont infondées. Le sextuple vainqueur de Grand Prix estime que Zak Brown, PDG de McLaren Racing, « ne cherche pas à favoriser l’un ou l’autre » et qu’il « n’a pas ce genre de caractère ».

Schumacher craint toutefois que la rivalité croissante entre les deux jeunes pilotes ne dégénère si McLaren ne parvient pas à canaliser leurs ambitions.

« Je crains qu’ils ne finissent par se percuter une nouvelle fois, peut-être de manière définitive », a averti l’ancien pilote allemand dans le podcast Backstage Boxengasse de Sky Sport Germany.

Alors que Piastri conserve une courte avance au championnat, la tension ne cesse de monter dans le garage McLaren, à l’aube des six dernières courses d’une saison déjà explosive.

Cependant, alors que la lutte atteint son paroxysme, Max Verstappen, de Red Bull, a réussi à se replacer dans la course pour un cinquième titre consécutif. Même si cela reste un pari risqué pour le Néerlandais, la récente résurgence de Red Bull pourrait donner à réfléchir aux champions constructeurs, les ordres d’équipe étant rarement utilisés et Brown et le directeur de l’équipe, Andrea Stella, maintenant la neutralité des pilotes de l’écurie papaye.

« Mais je dirais plutôt que si Max [Verstappen] se rapproche vraiment à nouveau, il faudrait intervenir », a ajouté Schumacher. « Sinon, je pense qu’il faut simplement les laisser faire leur travail maintenant. »

À six manches de la fin, Piastri compte 22 points d’avance sur Norris et 63 points d’avance sur Verstappen. Il y a seulement trois manches, après le Grand Prix des Pays-Bas, l’Australien avait 104 points d’avance sur le vainqueur de 67 Grands Prix, ce qui souligne à quel point son avance sur le pilote de 28 ans s’érode rapidement. L’Allemand craint que les deux pilotes McLaren n’entrent à nouveau en collision, comme ils l’ont fait à Singapour. Cependant, la prochaine fois, ils pourraient ne pas s’en sortir aussi bien, a averti Schumacher.

« J’espère simplement qu’il n’y aura pas de nouvelle collision », a-t-il déclaré. « J’ai le sentiment que les deux pilotes ne sortiront bientôt plus ensemble du premier virage. Et bien sûr, cela posera problème si Max Verstappen remporte également la victoire à ce moment-là. »

En vue du Grand Prix des États-Unis, à Austin, le pilote de 50 ans estime que le circuit des Amériques, pourrait convenir à la RB21.

« Je pense que la prochaine course au Texas sera à nouveau très favorable à Red Bull, et qu’elle pourrait être difficile pour McLaren, qui semble généralement devenir de plus en plus nerveux », a déclaré l’ancien pilote. « Andrea Stella le sait, car la domination semble avoir soudainement disparu. Et bien sûr, c’est aussi quelque chose qu’ils ne comprennent pas du tout pour le moment et qu’ils ne peuvent pas exploiter à la fin de la saison. »

Fred Vasseur espère trouver une solution rapide aux problèmes de freinage chez Ferrari

Le directeur de Ferrari, Frédéric Vasseur, a insisté sur la nécessité urgente de résoudre les problèmes de levée et de décélération qui continuent de freiner les performances de la Scuderia, notamment après un Grand Prix de Singapour difficile.

Lors de la course sur le circuit de Marina Bay, Charles Leclerc a été contraint à plusieurs reprises de lever le pied avant les zones de freinage afin de préserver la température et l’usure de ses freins — une procédure devenue récurrente cette saison.

Cette technique, qui consiste à relâcher l’accélérateur avant d’actionner la pédale de frein après un court délai, a déjà été observée à plusieurs reprises sur la SF-25, signe d’un problème structurel plus profond.

Vasseur a reconnu que la situation ne pouvait plus durer si Ferrari veut conserver la deuxième place du championnat des constructeurs face à Mercedes.

« Si nous ne parvenons pas à résoudre le problème, nous n’aurons aucune chance de nous battre », a-t-il averti.

Le patron français a ajouté que les ingénieurs de Maranello travaillaient activement à identifier la cause exacte de ces limitations, qui impactent directement la performance sur les circuits urbains exigeants.

Ferrari n’a pas connu de victoire cette saison et voit Mercedes s’envoler dangereusement au classement. Pour Vasseur, la fiabilité du système de freinage et la stabilité en phase de décélération seront des priorités absolues dans les prochaines semaines, avant le passage à la nouvelle réglementation prévue pour 2026.

« Cela signifie que nous devons absolument résoudre le problème en course. La prochaine course sera une autre histoire. »

Leclerc a terminé la course de Singapour à la sixième place, tandis que son coéquipier Lewis Hamilton a chuté à la huitième place du classement final après avoir perdu ses freins dans les derniers tours. Ce résultat est décevant pour Ferrari, qui avait remporté la course sur le circuit de Marina Bay il y a deux ans.

Lorsqu’on lui a demandé si le rythme de Ferrari était comparable à celui des leaders avant que l’équipe ne soit confrontée à des problèmes, Vasseur a répondu : « Honnêtement, je ne sais pas. Je pense que nous avons fait quelques tours avec eux, mais on ne sait jamais. Très tôt dans la course, nous avons demandé à Charles de lever le pied. Il ne s’agit pas seulement de lever le pied et de rouler en lift and coast, ce qui vous fait perdre un peu de vitesse à la fin de la ligne droite. Il s’agit aussi de trouver le bon point de freinage et, tout au long de la course, nous sommes un peu plus, un peu moins, un peu plus, un peu moins, un peu plus à l’arrière, un peu plus à l’avant, il faut trouver le bon équilibre. »

Regardez Sébastien Loeb et Isack Hadjar enflammer Magny-Cours

À Magny-Cours, le festival Red Bull Motormania a réuni fumée, machines hurlantes et légendes du sport auto devant 40 000 passionnés. Tous les regards étaient tournés vers Isack Hadjar, la nouvelle star tricolore, qui s’est longuement confié au micro d’Automoto. L’icône Sébastien Loeb, ou encore Luc Alphand, étaient aussi de la partie, pour un moment de pur spectacle.

Les fans présents sur place en ont été quitte pour un beau spectacle qu’ils ne sont pas près d’oublier avec des démos de F1, WRC ou encore la Peugeot 208 avec laquelle Sébastien Loeb a réalisé son record sur la course de côte de Pikes Peak. C’est à découvrir dans la vidéo ci-dessous.