La F1 a confirmé ce lundi la mise en place d’une récompense pour le pilote auteur du meilleur tour en course cette saison en Formule 1.
Une innovation importante dans le système de distribution de points a été approuvée à l’unanimité aujourd’hui par le groupe stratégique F1 et la commission F1 via un vote électronique.
Le pilote [ainsi que son équipe] qui signera le meilleur tour en course en 2019 se verra récompenser d’un point, tandis qu’il devra impérativement terminer la course dans le top dix. Aucun point ne sera attribué si le tour le plus rapide est réalisé par un pilote classé en dehors du top 10 final.
Ce point contribuera aux Championnats Pilotes et Constructeurs. Cela signifie que 21 points supplémentaires seront proposés au cours de la saison.
« Avec la FIA, nous nous sommes engagés à évaluer les idées et les solutions qui peuvent améliorer le spectacle tout en maintenant l’intégrité de notre sport. » a expliqué Ross Brawn, le manager sportif de la F1.
« Nous avons senti que la réintroduction, après soixante ans, du point pour le pilote effectuant le tour le plus rapide en course va dans cette direction. Nous avons donc envisagé cette solution – qui représente une réponse aux recherches détaillées menées auprès des milliers de fans à travers le monde. »
« Combien de fois avons-nous entendu les pilotes de la radio demander à l’équipe qui détient le meilleur tour ? Maintenant ce ne sera plus seulement une question de record et de prestige, mais il y aura une motivation concrète qui va rendre la dernière partie de la course encore plus intéressante. »
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Charles Leclerc, le nouveau pilote Ferrari, estime qu’il aura une monoplace capable d’aller chercher des victoires cette année en F1.
L’équipe Ferrari a terminé les essais hivernaux tout en haut de la feuille des temps à Barcelone et la SF90, bien qu’elle ait été victime de quelques problèmes de fiabilité, a laissé une très, très bonne impression après ces huit jours de tests.
Pour Charles Leclerc, qui a rejoint l’écurie italienne cette année, la SF90 sera capable de gagner des courses en 2019, mais le jeune monégasque sait que ce sera avant tout à lui de faire le job derrière le volant.
« C’est un rêve pour moi [de faire partie de l’équipe Ferrari], après, comme n’importe quel pilote, ce qu’on veut c’est faire le meilleur résultat. » explique Charles Leclerc.
« Je pense que cette année nous aurons une voiture pour gagner. Rien n’est démesuré avec Ferrari, et je pense que cela dépendra juste de moi, ce sera à moi de faire le job derrière le volant, ça c’est une certitude. »
« Mais bon, pour l’instant moi je ne veux pas y penser, je préfère me concentrer sur moi-même, faire le boulot que j’ai à faire dans la voiture, et après, les résultats arriveront si je le fais bien. »
Charles Leclerc travaillera tout au long de la saison aux côtés du quadruple champion du monde de F1, Sebastian Vettel.
Après les essais hivernaux 2019 qui se sont déroulés à Barcelone au mois de février, les dirigeants de l’équipe Red Bull ont pu se faire une première idée du niveau de compétitivité de Pierre Gasly par rapport à Max Verstappen.
Selon Helmut Marko, le consultant Motorsport pour Red Bull, le constat est simple : Pierre Gasly n’est pas encore au niveau de Max Verstappen.
Le pilote français, qui a rejoint l’équipe Red Bull Racing cette saison, n’a pas connu des essais hivernaux faciles avec sa nouvelle écurie, puisqu’il a crashé sa Red Bull RB15 à deux reprises pendant les tests.
Si le premier crash n’aura fait perdre que quelques heures à l’équipe, le second en revanche aura coûté cher à Red Bull, puisque à court de pièces de rechange, la RB15 qui devait être pilotée par Max Verstappen le dernier jour des essais n’aura finalement bouclé que 29 petits tours de piste.
La situation n’est pas dramatique pour l’écurie de Milton Keynes, qui a pu tout de même parcourir plus de 3800 kilomètres après huit journées de tests à Barcelone.
Interrogé pour savoir ce qu’il pensait de Pierre Gasly en ce début de saison, Helmut Marko, qui ne pratique pas souvent la langue de bois, a été très direct.
« Après le deuxième accident, nous étions à court de pièces de rechange, et Max n’a presque pas roulé le dernier jour. » explique Marko à l’agence de presse APA.
« Rien ne va changer, mais nous avons pu constater lors des essais que Pierre Gasly n’est pas au niveau de Verstappen, même si nous ne nous attendions pas à cela non plus. »
« A part ces deux accidents c’était parfait, mais le second accident en particulier nous a fait mal, donc, je pense qu’il ne doit plus s’autoriser ce genre de choses à l’avenir. »
Alors que la F1 n’a toujours pas voté les règles qui seront introduites en 2021, beaucoup estiment que le temps presse et qu’il va falloir s’activer désormais afin de ne pas risquer de perdre du monde en chemin.
La Formule 1 prépare déjà depuis quelques années un profond changement dans la réglementation à partir de 2021, d’une part pour réduire les coûts avec l’introduction d’un plafond budgétaire, et d’autre part pour essayer d’améliorer le spectacle, afin d’attirer toujours plus de fans.
Une série de mesures doit encore être prise par les dirigeants du sport, mais selon Bernie Ecclestone, l’ancien grand argentier de la Formule 1, le temps presse, et la discipline pourrait perdre son attrait si elle n’arrive pas à mettre en place des solutions concrètes.
« Contrairement à ce que beaucoup de gens pensent de moi, je veux que tout se passe bien pour la Formule 1, je ne veux pas qu’elle disparaisse. » explique Ecclestone dans un entretien accordé à SpeedWeek.
« Un jour, lorsque je serai sur mon lit de mort, je voudrais me rappeler que j’ai créé un sacré bon produit, et qui n’a cessé de se perfectionner. »
« Je ne voudrais pas m’imaginer que tout part aux égouts, c’est le travail de ma vie ! J’espère juste que toutes les personnes qui sont impliquées se rassemblent et commencent à penser de façon plus claire. »
« Plus vous attendez, plus le risque de voir certaines équipes arrêter est grand. Peut-être que Mercedes rejoint la Formule E [en saison 6] parce que le groupe pense que cette catégorie de course correspond davantage à l’évolution de l’industrie automobile. »
Red Bull n’a pas besoin de la F1
Ecclestone rappelle que l’équipe Red Bull n’a finalement pas besoin de la Formule 1 pour exister en tant que marque, ce qui devrait pousser les dirigeants de la discipline à réfléchir plus vite s’ils ne veulent pas que Red Bull quitte ce sport.
« Red Bull n’a pas besoin de la Formule 1, ils attirent beaucoup l’attention à travers leurs nombreuses autres performances. S’ils disaient au revoir à ce sport, cela n’aurait aucun effet préjudiciable sur la marque. »
« Les gens disent aussi que Ferrari ne s’arrêtera jamais, mais Ferrari est une marque tellement forte et pratiquement incassable, qu’ils pourraient facilement faire quelque chose de complétement différent dans le sport. »
L’équipe Williams va devoir se présenter à Melbourne avec une monoplace quelque peu différente de celle aperçue à Barcelone pendant les essais hivernaux.
En effet, Williams est arrivée à Barcelone avec une FW42 disposant de rétroviseurs et d’une suspension avant qui pourraient être jugés illégaux pour la première course de la saison à Melbourne la semaine prochaine.
Jusque là, Williams n’est pas dans l’illégalité, puisque pendant les essais hivernaux, les équipes peuvent monter absolument toutes les pièces qu’elles désirent sur leur monoplace sans jamais être inquiétées par la FIA.
En revanche, à partir de la première course de la saison, toutes les pièces qui pourraient être jugées illégales, comme les rétroviseurs et la suspension avant dans le cas de Williams, devront être démontées.
On ne sait pas si Williams a reçu une note technique de la FIA, ou bien si un avertissement oral a été fait à l’équipe de la part des inspecteurs techniques de la fédération, mais une chose est certaine, la suspension avant de la FW42 n’est pas conforme à la réglementation de la FIA.
La FIA impose aux équipes d’utiliser une suspension avant avec seulement six éléments, hors, le système de suspension de la FW42 en utilise sept.
Williams va donc devoir revoir sa copie avant la première course de l’année programmée la semaine prochaine, même s’il semble évident que l’écurie y a déjà pensé bien avant et devrait donc disposer d’une suspension avant et de rétroviseurs différents à Melbourne.
L’écurie Williams, via un porte parole, a confirmé ce mercredi soir que le directeur technique de l’équipe, Paddy Lowe, prenait un congé « pour raisons personnelles » avec effet immédiat.
A à peine huit jours du premier Grand Prix de l’année en Australie, l’écurie britannique se sépare donc de son directeur technique, lui qui déclarait encore à Barcelone la semaine dernière qu’il ne comptait absolument pas quitter son poste.
Rappelons que l’équipe Williams a connu un début d’année compliqué, avec plus de deux jours de retard sur son programme dans la conception de sa monoplace.
On ne sait pas pour le moment si Paddy Lowe prend effectivement congés ou bien si le Britannique a été remercié par l’équipe Williams, mais une chose est certaine, cette nouvelle à seulement quelques jours du début de la saison 2019 n’est pas très bonne pour l’écurie.
Paddy Lowe a rejoint l’équipe Williams en 2017 en tant que directeur technique, et est devenu par la suite actionnaire de l’écurie britannique.
Ancien ingénieur chez McLaren et Mercedes, Paddy Lowe n’a pas réussi à faire remonter Williams dans la hiérarchie l’an dernier, et beaucoup estiment qu’il est le seul responsable du retard pris par l’équipe cette année.
Officiellement donc, Paddy Lowe n’exerce plus son rôle de directeur technique depuis ce mercredi pour des congés pour raisons personnelles, mais l’équipe Williams n’a pas encore confirmé son départ, même si cela y ressemble fortement.
La rookie de la grille 2019, Alexander Albon, se félicite de pouvoir débuter sa carrière de pilote de F1 au volant d’une Toro Rosso bien née.
Le pilote thaïlandais a rejoint l’équipe Toro Rosso cette année où il travaillera aux côtés de Daniil Kvyat, qui signe pour sa part son grand retour en catégorie reine, après une saison passée loin du paddock.
Albon a souligné à l’issue des essais hivernaux 2019 la très bonne base de départ de la Toro Rosso STR14, une monoplace bien née selon lui et qui ne lui a offert aucune mauvaise surprise durant ces huit jours de tests en Espagne.
« Nous sommes contents de la voiture, il n’y a pas de mauvaises surprises. » assure Albon, qui débute sa carrière en Formule 1.
« A haute vitesse, basse vitesse et vitesse moyenne, la voiture est plus ou moins régulière. Il n’y a pas de mauvaises surprises, donc la confiance est vraiment bonne. »
« Il n’y a pas un domaine spécifique que nous devons particulièrement cibler, mais nous devons affiner la monoplace. »
« Tout a été très constant [pendant les tests], on s’est mis en route assez vite, et je pense que nous avions déjà une bonne base de départ dés le premier jour des tests. Depuis, nous avons simplement essayé des choses et regardé comment cela fonctionnait pour nous. »
Carlos Sainz estime que Ferrari sera capable de coller une seconde par tour à McLaren en ce début de saison 2019.
Le pilote espagnol a souligné les grands progrès réalisés par McLaren au cours de l’hiver, alors que l’écurie britannique a parcourus quelques 4064 kilomètres en huit jours de tests à Barcelone, soit le double de l’an dernier.
Carlos Sainz se dit très satisfait des chiffres obtenus jusqu’à présent avec la MCL34 lors des essais hivernaux, mais en toute franchise, l’Espagnol ne s’attend absolument pas à aller se battre à l’avant du peloton contre des Mercedes ou des Ferrari.
« On peut dire que c’est un bon départ, c’est sûr, avec ces 873 tours bouclés, je pense que c’est un bon chiffre. » déclare Carlos Sainz.
« L’équipe est arrivée aux essais hivernaux beaucoup mieux préparée, je pense qu’elle a appris de ses erreurs du passé et de la saison dernière, qui a été difficile pour l’équipe. »
« Nous allons en Australie bien mieux préparés que la saison dernière, nous connaissons mieux la voiture, nous connaissons mieux les domaines où nous devons nous améliorer. Cela nous donne une motivation supplémentaire, mais nous aide aussi à rester calme. »
« Nous ne savons où nous serons en Australie, mais il est certain que je préfère arriver avec 870 tours, plutôt que les 400 de l’an dernier. »
Ferrari, une seconde plus raide que McLaren
L’Espagnol estime que Ferrari ne jouera pas au même niveau que McLaren cette année, Sainz soulignant que McLaren se concentrera sur son propre travail avant d’aller chercher les trois plus grosses équipes.
« Ferrari, ce n’est un secret pour personne, ils ont beaucoup évolué. Ils se battront aux côtés des équipes habituelles, Mercedes et Red Bull. »
« Nous devons juste nous concentrer sur nous-mêmes et être un peu plus patient, parce que la Ferrari a un peu plus de tout pour le moment. » souligne le pilote McLaren en parlant de la vidéo On board de la Ferrari de Vettel à Barcelone.
« Je pense qu’ils peuvent nous mettre une seconde par tour, peut-être moins, peut-être plus. Après, le reste de la grille est très serré. »
« Nous ne savons pas ce que fait Renault, ni Alfa Romeo, ni Racing Point, et nous ne savons pas quel package ils apporteront à Melbourne. Nous ne savons rien nous ne savons pas qui sera devant ou derrière. »
Pierre Gasly assure qu’il ne ressent pas de pression supplémentaire cette année du fait d’être arrivé dans l’une des plus grosses équipes de Formule 1.
Le Français Pierre Gasly a rejoint cette année l’équipe Red Bull Racing dans laquelle il travaillera aux côtés de Max Verstappen, considéré par beaucoup comme le futur grand champion du sport.
Mais lors des essais hivernaux, Gasly a été victime de deux gros crashs, le dernier en date ayant fait perdre un précieux temps de roulage à son équipe pour la dernière journée des essais.
Interrogé pour savoir s’il se sentait un peu plus sous pression cette année par rapport à sa première saison avec Toro Rosso, le Normand assure que non.
« Je ne ressens pas de pression supplémentaire. » indique Pierre Gasly à l’agence de presse GMM.
« Objectivement, j’en suis à ma seconde année en Formule1, et l’expérience est ce qui vous rend plus fort. »
« Après bien-sûr, il faut aussi avoir de la vitesse, alors qu’une partie importante du travail est d’arriver à comprendre la voiture, d’adapter votre style de pilotage et d’arriver à travailler avec des ingénieurs.
« Mais pour ma part, je vais juste essayer d’apprendre tout ça le plus rapidement possible. » ajoute t-il.
« Mon objectif est de continuer à progresser en tant que pilote, il me reste encore beaucoup à apprendre. Je pense que pour le moment je suis à la meilleure place possible: une équipe championne du monde avec Max Verstappen en tant que coéquipier. »
« Il est l’un des pilotes les plus talentueux de la grille. Je suis heureux d’être ici et je vais tout donner. »
La RB15 a une bonne base
Pierre Gasly l’admet, la RB15 ne pourra peut-être pas décrocher des victoires dans un premier temps, mais après les essais hivernaux, le Français a pu s’apercevoir du potentiel de sa monoplace.
« De façon générale, la voiture est assez bonne, le châssis, le moteur…La fiabilité est bonne aussi, ils ont fait un pas en avant [par rapport à l’an dernier]. »
« Nous devons juste comprendre comment nous pouvons tirer le meilleur parti de notre voiture pour l’instant. Nous ne sommes peut-être pas les favoris pour le moment, mais nous allons travailler dur avant Melbourne pour essayer d’obtenir la meilleure voiture possible. »
Le directeur sportif de la Scuderia Ferrari, Mattia Binotto, assure que l’équipe italienne a fait le bon choix de choisir Charles Leclerc pour la saison 2019.
Après les huit jours de tests à Barcelone, Mattia Binotto peut assurer que Charles Leclerc est un pilote rapide en regardant ses chronos signés, très similaires de son coéquipier, Sebastian Vettel.
Charles Leclerc a signé son meilleur temps en 1.16.231, tandis que Sebastian Vettel a signé le meilleur temps absolu des essais en 1.16.221 lors de la dernière journée.
Le directeur de la Scuderia n’a donc aucun doute quant au fait que le jeune monégasque sera rapide cette année pour sa seconde saison en Formule 1, la première avec Ferrari.
« Charles est un très bon pilote, un pilote très rapide. » affirme Mattia Binotto dans des propos relayés par Crash.net. « Je pense qu’à Barcelone il s’est concentré sur lui-même, afin de comprendre la voiture. »
« Il a appris à travailler avec une nouvelle équipe, de nouveaux ingénieurs et beaucoup d’autres choses. Ils [les deux pilotes Ferrari] ont fait des chronos très similaires, et je pense que cela prouve que Charles est certainement un pilote rapide. »
« Je pense que nous le savons déjà depuis longtemps, parce que ça fait de nombreuses années qu’il travaille pour Ferrari, et il a passé la saison dernière avec Alfa Romeo Sauber, donc, il n’y a rien de surprenant avec Charles. »
« Ce ne sont pas les essais de Barcelone qui doivent nous dire si c’était le bon choix, parce que c’est le bon choix, mais la saison nous en dira un peu plus. »
Sebastian Vettel assure qu’il ne compte pas encore prendre sa retraite du sport, alors que le pilote allemand reste motivé par le simple fait de remporter le titre mondial avec Ferrari.
A 31 ans, le pilote allemand Sebastian Vettel, ne compte surtout pas parler de retraite, tandis que son objectif principal reste de devenir quintuple champion du monde avec la Scuderia Ferrari.
Après avoir décroché quatre titres mondiaux avec l’équipe Red Bull Racing, Vettel a rejoint la Scuderia Ferrari en 2015, mais n’a jamais réussi à décrocher le titre avec l’écurie italienne.
Sebastian Vettel en entamera en 2019 sa cinquième saison à Maranello, et jusqu’à présent, il n’a jamais été capable de battre son plus grand rival : Lewis Hamilton.
Interrogé pour savoir s’il avait déjà songé à prendre sa retraite, l’Allemand assure qu’il ne compte absolument pas abandonner dans sa quête du titre mondial avec Ferrari, bien au contraire.
« Je pense qu’il est clair que je ne suis pas au début de ma carrière, mais je pense qu’il me reste encore beaucoup de temps dans ce sport à l’âge de 31 ans. » souligne Sebastian Vettel pour Sport Bild.
« Si je regarde un petit peu en arrière, Michael [Schumacher] était encore plus âgé que moi lorsqu’il a remporté son premier titre avec Ferrari. Et Lewis Hamilton a également deux ans de plus que moi. »
« Je ne pense pas à démissionner, au contraire, je fais tout pour réaliser mon rêve de décrocher le titre avec Ferrari. En ce qui concerne ma famille, ils me soutiennent et sont derrière moi. »
Max Verstappen admet qu’il préférait piloter en course lors de sa première année en Formule 1, lorsque les monoplaces permettaient aux pilotes de se suivre plus facilement en course.
Interrogé pour savoir ce qu’il aimerait faire sur les monoplaces actuelles pour les rendre plus sympas à piloter, le Hollandais Max Verstappen admet qu’il voudrait plus de grip mécanique comme à l’époque où il a commencé la Formule 1 avec Toro Rosso, c’était en 2015.
« J’aimerais simplement pouvoir agrandir le fond plat pour la voiture ait plus de grip mécanique, j’aimerais aussi que les ailerons avant et arrière soient plus petits et moins complexes. » explique Max Verstappen.
« Pour moi, il n’est même pas question de battre des records ou d’aller aussi vite que possible. Courir [en Formule 1] était beaucoup plus amusant pour moi en 2015. »
« [A cette époque] Si vous aviez une mauvaise séance de qualifications, vous saviez que vous seriez capable de remonter la grille, parce que vous pouviez dépasser. »
« Désormais, vous êtes bloqué et il ne se passe plus grand chose. C’est comme ça, mais j’espère que les choses iront un peu mieux dans le futur. »
Des F1 incroyables à piloter
Max Verstappen souligne tout de même le plaisir qu’un pilote prend lorsqu’il est derrière le volant de sa monoplace en qualifications, le moment du week-end où sa voiture est la plus rapide.
« Ces monoplaces sont vraiment super à piloter pendant les qualifications, vous verriez l’appui qu’il y a. A Spa ou à Singapour, les qualifications se déroulent à un rythme rapide et quand c’est bosselé, vous obtenez encore plus cette sensation de vitesse. »
Les règles 2019 devraient aider pour les dépassements
Rappelons tout de même que les règles introduites en 2019 devraient aider les pilotes à se suivre en course.
Ces règles ont rendu obligatoire un aileron avant plus large, un aileron arrière plus large, des écopes de freins plus petites, ainsi qu’une multitude des petits détails qui devraient aider les pilotes en course à suivre une autre monoplace.
Le pilote Renault, Daniel Ricciardo, s’attend à ce que le combat dans le milieu de la grille soit très serré cette année.
L’Australien, qui a rejoint Renault en 2019 après une décennie passée dans le clan Red Bull, pense [comme beaucoup d’autres] que le milieu de la grille s’est nettement resserré cette année en Formule 1.
Après huit journées de tests à Barcelone, tout le paddock a pu constater que toutes les équipes évoluant dans le peloton semblent avoir fait des progrès spectaculaires cette année,
Dans ce contexte, Daniel Ricciardo s’attend à une lutte très serrée en 2019, tandis qu’il considère que Mercedes et Ferrari conserveront toujours une certaine marge sur le reste de la grille.
« Ça va être très serré, tout va être très compact, et ce sont les petits détails qui feront la différence. » nous explique Daniel Ricciardo ce vendredi soir à Barcelone.
« Je suis vraiment impatient de commencer la saison, même si je pense que Mercedes et Ferrari vont avoir une certaine marge par rapport au reste de la grille. »
« Ce que nous allons voir à Melbourne, ne déterminera pas le reste de la saison, et je pense que lors des six premières courses de l’année, il y aura beaucoup de changements. »
Ricciardo ne sait pas où se trouve Renault
Concernant l’équipe Renault, le pilote australien ne veut pas se mouiller et assure qu’il ne sait pas où se trouve Renault dans la hiérarchie.
« Je ne sais toujours pas à quoi m’attendre pour Melbourne, je pense que le milieu de peloton sera très serré, et je ne m’attends pas à être sur la première ligne, mais pas sur la dernière non plus, je pense que nous serons quelques part entre les deux. »
Sebastian Vettel a signé le meilleur temps absolu des essais hivernaux 2019 au volant de sa Ferrari en 1.16.221.
Le pilote Ferrari a signé son chrono en matinée et personne ne sera venu le battre pour le reste de la journée, l’Allemand devance la Mercedes de Lewis Hamilton et la seconde Mercedes pilotée par Valtteri Bottas.
Derrière, Nico Hulkenberg, Daniil Kvyat, Carlos Sainz, Romain Grosjean, Daniel Ricciardo, Kimi Raikkonen, Max Verstappen, Kevin Magnussen, Sergio Perez et Robert Kubica complètent le classement de cette dernière journée d’essais à Barcelone.
Ferrari stoppe sa journée prématurément
Après avoir passé le cap des 110 tours, la Ferrari SF90 pilotée par Sebastian Vettel ce vendredi s’est immobilisée sur le bord de la piste en raison d’un problème électrique.
L’Allemand a signé le meilleur temps des essais en matinée avec un 1.16.221, mais dans l’après-midi, la monoplace du quadruple champion du monde a connu une défaillance d’ordre électrique, obligeant la Scuderia à mettre un terme aux essais hivernaux 2019 90 minutes avant l’heure officielle.
« Seb a dû stopper la monoplace en raison d’un problème électrique. La réparation de ce problème demandera beaucoup de temps, donc c’est la fin de la journée pour nous. » a indiqué Ferrari en fin d’après-midi.
Journée perdue pour Red Bull
La RB15 pilotée par Max Verstappen ce vendredi n’aura fait que 29 petits tours de piste aujourd’hui. Le Hollandais est resté au garage quasiment toute la journée pour un problème de boîte de vitesses.
Rappelons que l’équipe Red Bull a dû travailler durant toute la nuit de jeudi à vendredi pour réparer la RB15 endommagée le jeudi en raison du crash de Pierre Gasly au virage 9.
Malgré toute la bonne volonté des mécaniciens, le manque de pièces de rechange à Barcelone n’a pas permis à l’équipe de mettre sur la piste une monoplace fiable dans les mains de Max Verstappen pour cette dernière journée de tests.
Tout comme Ferrari donc, Red Bull Racing quitte le circuit de Barcelone sur un goût d’inachevé ce vendredi soir.
RAS chez Mercedes
Comme d’habitude, la Mercedes W10 a tourné comme une horloge pour cette dernière journée des essais hivernaux en Catalogne. Les deux pilotes de l’équipe championne du monde en titre ont bouclé à eux deux plus de 100 tours sans le moindre problème.
Mercedes a continué de cacher son jeu tout au long de cette dernière journée d’essais, alors que Lewis Hamilton est venu s’amuser à signer un chrono seulement trois millièmes plus lent que celui de Vettel.
On travaille sur la fiabilité chez Williams
Même pour cette ultime journée des tests hivernaux, Williams a continué à travailler sur la fiabilité de sa monoplace. L’équipe britannique bénéficiait de l’aide de Robert Kubica aujourd’hui, le Polonais a bouclé plus de 90 tours.
Toujours aucun problème sur le moteur Honda
Toujours aucun problème majeur détecté sur le moteur Honda après huit jours de tests, le motoriste japonais a fait de très grands progrès au cours de l’hiver, pas de seulement en termes de fiabilité, puisque les performances des pilotes Toro Rosso ont également été remarquables au cours des ces deux semaines d’essais.
Du côté de chez Red Bull, seconde équipe motorisée par Honda, aucun problème mécanique n’est à déplorer non plus après huit journées de roulage.
La Haas à nouveau en panne en fin de journée
Une fois de plus, la Haas VF-19 est tombée en panne sur la piste ce vendredi. Depuis le début des essais, la monoplace de l’équipe américaine a souffert d’un manque de fiabilité évident.
Rendez-vous à Melbourne
La prochaine fois que vous verrez des monoplaces de Formule 1 en piste, ce sera pour la première course de l’année à Melbourne en Australie.
Le premier Grand Prix de la saison se disputera sur le circuit de l’Albert Park de Melbourne du 15 au 17 mars 2019 et vous pourrez bien évidemment suivre toute l’actualité du Grand Prix d’Australie [et bien évidemment, de toute la saison 2019] sur F1only.fr.
Cet article n’est qu’un résumé de cette dernière journée des essais hivernaux, vous retrouverez dans les prochains jours le bilan des essais pour chaque équipe.
L’équipe Red Bull Racing ne connait pas une fin de semaine facile à Barcelone, après un gros crash dont a été victime Pierre Gasly jeudi, et qui a sévèrement endommagée la RB15.
Le crash dont a été victime ce jeudi Pierre Gasly à Barcelone coûte cher à l’équipe Red Bull, qui n’a pu boucler que 29 tours de circuit ce vendredi matin pour la dernière journée des essais hivernaux 2019.
A cours de pièces en raison de deux crashs [les deux par Gasly] depuis le début des essais à Barcelone, l’équipe anglo-autrichienne a dû monter des pièces d’ancienne spécification sur la RB15 ce vendredi.
Max Verstappen, qui est derrière le volant de la Red Bull pour cette dernière journée, n’a signé que le huitième temps de la matinée avant la pause déjeuner, tandis que le Hollandais est resté quasiment trois heures dans son garage.
Le nouveau package aérodynamique de la Red Bull RB15, notamment les déflecteurs latéraux, ont subi de gros dégâts dans le crash de Pierre Gasly, alors que des tiges ont également été montées sur l’arrière de la monoplace pour tenter de réduire la flexibilité du fond plat de la RB15.
C’est un coup dur pour l’équipe Red Bull, alors que cette journée de vendredi est la dernière séance de tests avant de s’envoler vers l’Australie pour la première course de l’année, et tandis que les mécaniciens de l’écurie ont travaillé toute la nuit pour faire en sorte de mettre la RB15 sur la piste ce vendredi.
Débarqué de chez McLaren l’an dernier où il occupait le poste de directeur sportif de l’écurie britannique, Eric Boullier estime ne rien avoir à se reprocher.
Le Français estime avoir hérité de certaines choses signée par le passé chez McLaren, ce qui ne lui peut-être pas simplifié la tâche dans son travail au quotidien pour diriger l’une des équipe de Formule 1 les plus titrées.
Après trois années de galère avec le motoriste Honda, Eric Boullier espérait une bien meilleure année en 2018 avec l’arrivée de Renault en tant que fournisseur de moteur, mais finalement, l’écurie britannique a une nouvelle fois déçu par son manque de performance et Eric Boullier n’a pas eu d’autre choix que de démissionner de son poste.
« Je n’ai rien à me reprocher. » déclare Eric Boullier, dans un entretien accordé à nos confrères d’Auto Hebdo.
« Quand je suis arrivé chez McLaren, autant j’ai eu certaines libertés pour imprimer ma méthode de travail et reconstruire une équipe technique qui le réclamait, autant j’ai hérité de certaines choses signées, promises ou engagées, avec lesquelles j’ai dû faire et qui ne se sont pas avérées payantes. »
« J’ai mis tellement de temps, d’énergie, d’espoirs dans ce challenge, encore plus en recevant le moteur Renault. Je m’attendais vraiment à ce que ça marche. »
« Même si je ne suis pour rien dans la conception de la voiture, j’ai pensé que j’avais assez donné, que la pression devenait insupportable. Si certains n’ont pas assumé leurs responsabilités, j’ai assumé les miennes. » rappelle le Français.
« Ma vie personnelle ne devait pas souffrir de cette situation. Si certains peuvent et veulent faire mieux que moi, qu’ils lèvent le doigt ! Je suis un racer, pas un politicien. Je n’ai pas fait que des erreurs, même si j’ai dû en commettre, mais j’aurais essayé. »
Désormais ambassadeur pour le GP de France
Eric Boullier fait désormais partie de l’équipe de l’organisation du Grand Prix de France, le Français est devenu la semaine dernière ambassadeur de l’épreuve.
« Je suis heureux et fier d’avoir l’opportunité de collaborer à nouveau avec l’équipe du Grand Prix de France. » a déclaré Boullier.
« J’attache une importance toute particulière à ce Grand Prix de France et j’ai hâte de contribuer au succès de ce grand rendez-vous incontournable du sport automobile français. Je remercie Christian Estrosi pour sa confiance et suis ravi de lui apporter mon expérience et ma détermination. »
Le pilote Ferrari, Charles Leclerc, a signé le meilleur temps absolu des essais hivernaux en 1.16.231.
Le pilote Ferrari devance la Toro Rosso d’Alex Albon et la McLaren du Britannique, Lando Norris.
Derrière, Pierre Gasly, Daniel Ricciardo, Nico Hulkenberg, Lance Stroll, Antonio Giovinazzi, Romain Grosjean,Lewis Hamilton, George Russell, Kevin Magnussen et Valtteri Bottas complètent le classement de cette avant dernière journée de tests.
Les chronos tombent
Pour la première fois depuis le début des essais hivernaux 2019 des pilotes sont descendus sous la barre symbolique des 1.17″. C’est d’abord Alexander Albon dans la matinée qui a signé le meilleur temps absolu des essais, puis quelques minutes plus tard, c’est le pilote Ferrari, Charles Leclerc qui s’est adjugé le meilleur temps absolu en 1.16.231.
Le Monégasque a conservé son record toute la journée, alors qu’une panne mécanique a touché sa monoplace dans les quinze dernières minutes de la journée à Barcelone.
Chez Mercedes, on cache toujours son jeu
On ne change pas de stratégie chez Mercedes, qui continue à cacher son jeu depuis maintenant sept jours.
Lewis Hamilton a bouclé quelques 85 tours en matinée avec un rythme deux secondes plus lent que le meilleur temps du jour, tandis que Valtteri Bottas a pris le relais du Britannique dans l’après-midi pour faire encore plus de tours au même rythme.
Gasly crashe sa Red Bull RB15
Pour la seconde fois depuis le début des essais hivernaux, Pierre Gasly a envoyé sa Red Bull dans les barrières de pneus.
Le pilote français va bien, il est tout de même passé par le centre médical du circuit de Barcelone pour quelques contrôles de routine, mais sa monoplace est complétement détruite.
L’équipe Red Bull n’a pas eu d’autre choix que de stopper sa journée de travail prématurément ce jeudi, alors qu’il n’est pas encore certain que la RB15 soit en piste demain vendredi pour la dernière journée des essais.
En effet, les équipes de F1 participent aux essais hivernaux avec un stock limité de pièces, tandis que la boîte de vitesses a déjà été changée ce mercredi sur la RB15.
Panne sur la Haas de Romain Grosjean
La Haas VF-19 de Romain Grosjean est resté bloquée au garage une grande partie de l’après midi (Grosjean est sorti du garage à 17h15) en raison d’un problème d’échappement détecté lors de la pause déjeuner.
Le pilote français a perdu du temps de roulage précieux durant cette septième journée, tandis que son coéquipier, Kevin Magnussen, a pu boucler pour sa part 53 tours dans la matinée.
Lance Stroll en panne
Le pilote canadien est tombé en panne avec sa Racing Point en fin de journée, ce qui a déclenché le second drapeau rouge du jour après le crash de Pierre Gasly.
La monoplace de Stroll a subi une panne mécanique inconnue au moment d’écrire ces quelques lignes. Le Canadien a tout de même bouclé plus de 100 tours aujourd’hui avec sa RP19.
Chez Williams, on accumule les tours
George Russell, qui était derrière le volant de la FW42 aujourd’hui, a bouclé 140 tours en huit heures de tests.
Pierre Gasly a été victime d’une violente sortie de piste ce jeudi après-midi à Barcelone, le Français est allé frapper les barrières de pneus au virage 9 du tracé catalan.
Plus de peur que de mal pour Pierre Gasly, qui a finalement réussi à sortir tout seul de sa monoplace, mais le choc a été assez violent, comme l’atteste les images de sa Red Bull RB15.
Le pilote français a été rapatrié vers le paddock, mais il a dû faire un passage obligatoire par le centre médical du circuit pour quelques contrôles.
C’est la seconde fois depuis le début des essais hivernaux à Barcelone que Pierre Gasly est victime d’une sortie de piste, puisque déjà la semaine dernière, le Français est allé frapper les barrières de pneus avec sa monoplace.
La journée de tests est semble-t-il terminée pour Red Bull aujourd’hui, il est quasiment impossible que l’écurie anglo-autrichienne arrive à remettre en état la RB15 d’ici la fin de la journée.
Le pilote McLaren, Carlos Sainz, a signé le meilleur temps de cette sixième journée des essais hivernaux à Barcelone.
L’Espagnol Carlos Sainz devance la Racing Point de Sergio Perez et la Ferrari SF90 du quadruple champion du monde Sebastian Vettel.
Derrière, Kimi Raikkonen, Romain Grosjean, Max Verstappen, Daniil Kvyat, Valtteri Bottas, Lewis Hamilton, Nico Hulkenberg, Robert Kubica et Daniel Ricciardo complètent le classement de cette sixième journée.
Petits problèmes de fiabilité pour McLaren
A nouveau, l’équipe McLaren s’est montrée rapide aujourd’hui, mais la MCL34 souffre toujours de petits problèmes de fiabilité.
Cependant, aucune comparaison possible avec les années précédentes, où l’on ne voyait plus la McLaren pendant des heures en raison d’un grave problème technique.
Désormais, l’équipe britannique garde la MCL34 quelques longues minutes au garage, avant de la faire ressortir comme si de rien n’était.
Ces problèmes de fiabilité semblent plus être des soucis de jeunesse que de réels problèmes et Carlos Sainz l’a prouvé aujourd’hui en bouclant plus de 120 tours de circuit, tout en conservant le meilleur temps du jour, signé en matinée.
Ça roule à nouveau pour Mercedes
Après une après-midi complétement perdue ce mardi en raison d’un problème mécanique sur la W10, Mercedes a connu une sixième journée productive aujourd’hui à Barcelone.
Comme depuis le début des essais hivernaux, les deux pilotes, Lewis Hamilton et Valtteri Bottas, se sont relayés derrière le volant de la flèche d’argent et auront bouclé au total 176 tours.
Vettel crashe la Ferrari SF90
Il s’agit de l’information de cette sixième journée, Sebastian Vettel a tiré tout droit au virage numéro 3 du circuit de Barcelone et est allé frapper relativement fort les barrières de pneus positionnées au fond du bac à graviers ce matin.
Le pilote allemand va bien et a été immédiatement transféré au centre médical du circuit pour des contrôles obligatoires, mais sa monoplace en revanche, a un peu souffert.
Le museau, ainsi que la suspension avant ont été arrachés dans le choc, alors que Vettel a déclaré qu’il ne pouvait rien faire pour éviter cet accident.
La Scuderia Ferrari a confirmé que la sortie de piste dont a été victime Sebastian Vettel ce mercredi matin était dû à un problème mécanique sur sa monoplace, mais l’équipe n’est pas rentrée dans les détails.
Quoi qu’il en soit, c’est une journée perdue pour la Scuderia Ferrari, puisque Charles Leclerc, qui devait prendre le relais de Vettel dans l’après-midi n’est sorti des stands qu’à cinq minutes de la fin de la journée et n’aura signé aucun chrono.
Williams aligne les tours
119 tours hier pour George Russell et autant aujourd’hui avec Robert Kubica qui dépasse les 130 tours, l’équipe Williams fait preuve d’une belle fiabilité en ce début d’année.
L’équipe britannique, qui a débuté les tests avec deux jours de retard sur les autres équipes, n’a toujours pas travaillé sur la performance depuis le début des essais, mais Williams pourrait bien créer la surprise finalement une fois arrivée à Melbourne.
Renault continue de travailler sur la fiabilité
L’équipe Renault poursuit son travail sur l »acquisition de données et sur la recherche de fiabilité en alignant les tours avec l’aide de ses deux pilotes au volant de la RS19.
L’équipe du constructeur français a bouclé plus de 100 tours aujourd’hui, alors qu’aucun des deux pilotes n’aura cherché à signe un chrono rapide en huit heures de tests.
Le pilote Ferrari, Sebastian Vettel a été victime d’une sortie de piste ce mercredi matin à Barcelone, l’Allemand est allé frapper les barrières de pneus avec sa SF90.
Il s’agit de l’information de cette matinée, Sebastian Vettel a tiré tout droit au virgae numéro 3 du circuit de Barcelone et est allé frapper relativement fort les barrières de pneus positionnées au fond du bac à graviers.
Le pilote allemand va bien et a été immédiatement transféré au centre médical du circuit pour des contrôles obligatoires, mais sa monoplace en revanche, a un peu souffert.
Le museau, ainsi que la suspension avant ont été arrachés dans le choc et il n’est pas certain que la Scuderia Ferrari puisse prendre part à la suite des tests pour le reste de la matinée.
Entre-temps, l’écurie italienne nous a confirmé que le crash de Sebastian Vettel était dû à un problème mécanique sur la monoplace du quadruple champion du monde.
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