Pour améliorer son châssis, Renault signe un nouveau partenariat avec DuPont

A la veille de la seconde manche de la saison 2019, Renault annonce la signature d’un nouveau partenariat technique avec la société DuPont.

Renault Sport Racing et DuPont officialisent aujourd’hui leur partenariat technique stratégique pluriannuel visant à apporter de nouvelles technologies sur la base de solutions innovantes telles que les groupes propulseurs hybrides et électriques afin de faire évoluer la Formule 1 et d’autres programmes sportifs.

À travers leur vision commune pour répondre aux défis d’une industrie automobile en pleine mutation, Renault Sport Racing et DuPont exploreront également les opportunités de co-innovation pour accélérer le développement de nouvelles technologies et leurs applications sur les voitures de série.

Depuis plus de 80 ans, DuPont apporte des innovations cruciales à l’industrie automobile. Ses polymères techniques et ses adhésifs jouent aujourd’hui un rôle essentiel dans l’allègement, la gestion thermique, la connectivité et l’amélioration de la sécurité.

En sport automobile, la fibre DuPont™ Kevlar® est déjà utilisée dans les pneus et la carrosserie des Formule 1 tandis que le papier DuPont™ Nomex® est employé dans le blindage de l’ERS (Energy Recovery System) et l’isolation électrique de la monoplace.

DuPont contribue également à la protection des pilotes, la fibre Nomex® se retrouvant dans leurs combinaisons pour les protéger de la chaleur et des flammes alors que la fibre Kevlar® est un élément capital dans la sécurité de leurs casques.

“DuPont possède un héritage de longue date dans l’invention et le développement de produits novateurs améliorant les performances pour le sport automobile et le grand public tout en les rendant plus sûrs, plus efficaces et plus durables.” explique Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing.

“Notre partenariat de développement technique pluriannuel ouvrira une collaboration continue pour faire progresser la technologie hybride et les châssis, ce qui se traduira assurément par une amélioration de l’efficacité et de la compétitivité en piste.”

Vidéo : Fernando Alonso au volant de la Toyota Hilux du Dakar

Le double champion du monde de Formule 1, Fernando Alonso, a débuté ce mercredi un test de deux jours avec Toyota pour s’initier au pilotage d’une voiture du Dakar.

Après avoir dans un premier temps observé son guide Giniel de Villiers, le pilote espagnol a ensuite pris le volant de la Toyota Hilux numéro 301 de Nasser Al-Attiyah.

Alonso effectue ce test de deux jours en Afrique du Sud pour savoir si oui ou non il peut débuter l’aventure du Dakar l’an prochain avec Toyota.

C’est la première fois que je viens ici en Afrique du Sud, je ne suis ici que depuis quelques jours mais j’ai déjà découvert beaucoup d’endroits.” a déclaré Alonso.

“C’est un endroit très sauvage, fantastique. Je suis ici parce que Toyota m’a donné l’occasion d’essayer différentes catégories et différentes voitures ces dernières années, et c’est donc l’occasion d’essayer quelque chose de très différent.”

Ça été fun, très différent. La voiture accepte vraiment d’être maltraitée, plus que ce à quoi je suis habitué en tout cas. C’était très amusant.”

Fernando Alonso au volant de la Toyota Hilux du Dakar

Schumacher avait proposé Vettel à Ferrari dés 2009

Luca Di Montezemolo, l’ancien président de la Scuderia Ferrari, a révélé que Michael Schumacher avait lui-même suggéré à son ancienne équipe de faire signer Sebastian Vettel dés la saison 2009.

Lors de la saison 2009, le pilote Ferrari Felipe Massa s’était gravement blessé au Grand Prix de Hongrie lorsqu’un ressort d’amortisseur de la Brawn pilotée par Rubens Barrichello est venu heurter le casque de Massa.

Le pilote brésilien a alors été transporté en urgence à l’hôpital et n’a pas pu terminer la saison 2009 avec Ferrari, il effectuera son retour la saison suivante.

Pour l’équipe italienne, il fallait alors trouver un pilote remplaçant pour le reste de la saison, c’est alors que Di Montezemolo a pensé à Michael Schumacher, qui ne pilotait plus depuis la fin de la saison 2006.

Mais le septuple champion du monde de Formule 1 n’était pas disponible à ce moment-là en raison d’un accident lors d’un test en moto en Espagne, et bien que l’Allemand a accepté l’offre de Ferrari dans un premier temps, il a dû renoncer en raison de douleurs persistantes aux cervicales.

L’Allemand a alors suggéré au président de Ferrari de signer le jeune Sebastian Vettel, qui était pour lui l’un des meilleurs pilotes de Formule 1.

“Quand Michael a eu son accident [en moto lors d’un test], il ne pouvait pas piloter pour nous. Il m’a donc dit “pourquoi ne prenez-vous pas Vettel ? Il est le meilleur pilote pour moi”. explique Luca Di Montezemolo dans le dernier podcast de la F1.

“Mais nous avions déjà un contrat avec Alonso pour 2010, et honnêtement, je pense qu’il était un peu trop tôt pour placer Vettel dans une Ferrari.”

Sebastian Vettel a finalement signé avec la Scuderia Ferrari quelques années plus tard en 2015, en remplacement de Fernando Alonso, qui a rejoint l’équipe McLaren.

Les équipes doivent faire confiance aux pilotes pour le meilleur tour en course selon Smedley

Rob Smedley, le consultant technique de la Formule 1, pense que les équipes de F1 devraient être plus disposées à laisser leurs pilotes se battre pour le point du meilleur tour en course.

Selon le Britannique, qui a travaillé aux côtés de Felipe Massa durant de nombreuses années en tant qu’ingénieur de course, les pilotes connaissent très bien leurs limites et n’iront jamais prendre des risques inconsidérés pour signer le meilleur tour en course.

Rappelons que pour la première course de la saison, c’est le pilote Mercedes Valtteri Bottas qui a signé le meilleur tour en course. Le Finlandais a marqué les 25 points de sa victoire et 1 point supplémentaire pour le meilleur tour.

“Je pense que nous avons tendance à oublier à quel point ces gars sont bons.” a déclaré Rob Smedley dans des propos relayés par Race Fans.

“Les gens comme Valtteri ne sont pas des débutants, il sait très bien ce qu’il fait. Il n’ira pas faire le tour de sa vie à la limite si cela risque de mettre en péril ses 25 points, ils sont trop professionnels pour ça.”

“Lorsque vous gérez des pilotes pendant une course, vous devez les laisser agir dans leur domaine de compétence. Vous devez faire confiance à leur capacité. Si un pilote pense pouvoir le faire, il le fera.”

“Je peux presque garantir que si un pilote professionnel pense ne pas pouvoir le faire, il vous dira que ce n’est pas possible et il sera très clair à ce sujet. Mais si la possibilité existe, alors ils iront le faire.”

Racing Point introduit quelques améliorations sur la RP19 au Bahreïn

L’équipe Racing Point apportera quelques améliorations sur sa RP19 ce week-end au Bahreïn, après une première course en Australie durant laquelle seul Lance Stroll est rentré dans les points.

Pour la seconde manche de l’année, l’équipe Racing Point souhaite utiliser les données récoltées à Melbourne pour améliorer son package aérodynamique introduit en Australie, tout en ajoutant quelques petites nouveautés, en attendant la grande mise à jour qui arrivera au Grand Prix d’Espagne.

“Melbourne a confirmé que chaque dixième compte, aussi bien en qualifications qu’en course. Nous avons quelques améliorations à venir pour Bahreïn, mais notre tâche principale sera d’en extraire davantage de notre nouveau package aérodynamique que nous avons introduit à Melbourne.” explique Otmar Szafnauer, le directeur de l’équipe Racing Point.

“Bahreïn nous donnera une meilleure indication de l’endroit où nous nous trouvons, parce que c’est un circuit beaucoup plus traditionnel par rapport au tracé de la première course à Melbourne.”

“Je m’attends à voir une course excitante ce week-end, aussi bien en haut qu’en bas de la grille. Nous avons collecté une quantité importante de données à Melbourne, et nous utiliserons ces informations pour améliorer notre niveau de performance à Bahreïn. A ce stade de la saison, nous avons juste besoin d’être cohérent et continuer à marquer des points.”

La FIA confirme Michael Masi comme directeur de course au Bahreïn

La FIA a confirmé que Michael Masi, qui a été désigné comme successeur du regretté Charlie Whiting pour la première course en Australie, occuperait le poste de directeur de course ce week-end au Bahreïn,

Après le décès brutal de Charlie Whiting à peine 24 heures avant la première course de la saison 2019 en Australie, la FIA a désigné Michael Masi comme remplaçant par intérim de Whiting à Melbourne.

La Fédération Internationale de l’Automobile n’avait pas encore décidé si Masi occuperait le poste de directeur de course pour la course suivant au Bahreïn, mais c’est désormais chose faite.

“L’annexe 1, partie B du règlement sportif précise que Mr Charlie Whiting doit être le directeur de course, délégué à la sécurité de cet événement.” 

“Conformément à l’Article 11.9.3b du Code Sportif FIA International, le règlement sportif sera modifié pour indiquer que M. Michael Masi sera le directeur de la course, délégué à la sécurité et responsable du départ de cette épreuve.”

Colin Haywood sera le directeur adjoint de la course au Bahreïn, il travaillera en étroite collaboration avec Michael Masi, tandis que Christian Bryll sera le starter officiel de l’épreuve ce week-end.

Alonso a testé la Toyota Hilux du Dakar : “C’était très amusant”

Fernando Alonso a participé aujourd’hui à un test au volant de la Toyota Hilux du Dakar en Afrique du Sud, l’occasion pour le pilote espagnol de décider de participer ou pas au Rallye le plus dur du monde.

Le test de deux jours a débuté aujourd’hui pour le double champion du monde de F1, qui a pris le volant de la Toyota Hilux numéro 301 de Nasser Al-Attiyah.

C’est le pilote de Rallye Sud Africain Giniel de Villiers qui a été le guide spécial de Fernando Alonso aujourd’hui.

“C’est la première fois que je viens ici en Afrique du Sud, je ne suis ici que depuis quelques jours mais j’ai déjà découvert beaucoup d’endroits.” a déclaré Alonso.

“C’est un endroit très sauvage, fantastique. Je suis ici parce que Toyota m’a donné l’occasion d’essayer différentes catégories et différentes voitures ces dernières années, et c’est donc l’occasion d’essayer quelque chose de très différent.”

“Ça été fun, très différent. La voiture accepte vraiment d’être maltraitée, plus que ce à quoi je suis habitué en tout cas. C’était très amusant.”

Alonso n’a que quelques heures à bord de la Toyota Hilux pour savoir si oui ou non il se sent de débuter une nouvelle aventure en sport automobile avec Toyota sur le Dakar.

Le point sur les classements pilotes et constructeurs avant Bahreïn

A la veille de lancer le second week-end de Grand Prix de la saison 2019 de Formule 1 au Bahreïn, faisons un point sur les classements constructeurs et pilotes.

Après la première course de l’année à Melbourne, c’est Valtteri Bottas, le pilote Mercedes, qui occupe la première place au classement des pilotes avec 26 points inscrits lors de la manche d’ouverture, soit 25 points pour sa victoire sur le tracé de l’Albert Park et 1 point supplémentaire pour son meilleur tour en course.

Le Finlandais devance son coéquipier Lewis Hamilton (18 points) et le pilote Red Bull Max Verstappen (15 points).

Sebastian Vettel quant à lui occupe la quatrième position au classement des pilotes avec 12 points inscrits à Melbourne, le pilote Ferrari devance son coéquipier Charles Leclerc, cinquième avec 10 points.

Le classement des pilotes 2019

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Au classement des constructeurs, après la première course de l’année en Australie, c’est Mercedes qui est en tête avec 44 points inscrits lors de la première manche, soit le double de Ferrari (22 points), tandis que Red Bull occupe la troisième position avec 15 points.

La meilleure des autres est l’écurie Haas, qui occupe la quatrième position avec 8 points, soit deux de plus que Renault, qui est cinquième.

Le classement constructeurs 2019

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A Bahreïn, Alex Albon s’attend à un week-end plus “facile” qu’à Melbourne

Fort de sa première expérience au volant d’une F1 en week-end de Grand Prix à Melbourne, Alex Albon arrive à Bahreïn bien plus serein qu’il ne l’était en Australie.

Le pilote Toro Rosso connait déjà la piste de Sakhir sur laquelle il a roulé l’an dernier en Formule 2, et s’attend donc à un week-end un peu plus facile qu’à Melbourne.

“De façon générale, je suis satisfait de la façon dont s’est déroulé le week-end en Australie, même si je me sentais un peu en retrait pour les séances d’essais libres.” déclaré Albon.

“Les qualifications se sont bien passées, c’est aussi pourquoi j’ai été un peu déçu de ne pas terminer dans les points, mais Melbourne a été assez bien réussi  pour moi pour que je puisse attendre la prochaine course à Bahreïn avec un esprit positif.”

“J’ai beaucoup appris et je me sens mieux préparé. J’ai trouvé le programme assez intense au cours de mon premier week-end de F1, avec des interviews, des sessions avec les médias et je ne m’attendais pas à autant d’engagement avec les fans.”

“C’était une étape importante depuis la Formule 2. Le pilotage de la voiture m’a semblé relativement familier, et une fois que j’avais mon casque, c’était très simple et direct.”

“Lors des séances de pilotage, c’était le moment où je me sentais le plus à l’aise, car je devais me concentrer uniquement sur le pilotage de la voiture.”

“J’ai déjà couru à Bahreïn en Formule 2, donc au moins, je connais la piste. J’étais assez compétitif l’année dernière. Je ne dirais pas que c’est une piste amusante, mais c’est quand même cool d’y piloter.”

” Avec les longues lignes droites, cela signifie que chaque virage compte, un peu comme Monza, et que ce n’est pas le type de circuit où vous pouvez facilement entrer dans un bon rythme. En outre, Bahreïn est une piste de course plus normale, moins bosselée que Melbourne.”

“Je pense que tout le week-end sera un peu plus facile pour moi, en partie parce que je connais la piste et en partie parce que j’ai l’Australie à mon actif, alors même si je ne vais pas dire que je me sentirai comme un pilote de F1 expérimenté là, le week-end devrait être plus simple pour savoir à quoi s’attendre.”

Météo GP de Bahreïn : Attention aux rafales de vent

Pour cette seconde manche de la saison 2019 qui se disputera au Bahreïn, le temps devrait rester chaud et ensoleillé, mais les pilotes devront faire très attention aux rafales de vent.

Publier un bulletin météo pour le Grand Prix de Bahreïn n’est jamais vraiment compliqué puisque le soleil y brille quasiment toute l’année et les températures varient généralement entre 25 et 30° le plus souvent.

Mais pour le Grand Prix de Bahreïn 2019, qui se dispute ce week-end, les pilotes vont devoir faire très attention aux rafales de vent annoncées pour la journée de dimanche.

Le circuit de Sakhir a cette particularité d’être positionné en plein désert et est donc extrêmement sensible aux rafales de vent.

Vendredi 29 mars – Essais libres 1 et 2

Pas de problème pour cette première journée d’essais à Manama, puisque le soleil va briller toute la journée et les températures grimperont jusqu’à 28° dans l’après-midi.

Samedi 30 mars – Essais libres 3 et Qualifications

Le temps est plus incertain pour la journée de samedi et deviendra plus perturbé en seconde partie de journée à l’heure des qualifications.

Quelques petites gouttes de pluie pourraient faire leur apparition dans le courant de l’après midi, tandis que le vent commencera à souffler de plus en plus fort avec des rafales pouvant atteindre les 30 km/h à l’heure des qualifications.

Dimanche 31 mars – La course

Si les risques de pluie sont écartés pour cette journée de dimanche, il faudra faire très attention aux rafales de vent qui seront de plus en plus soutenues sur le circuit de Sakhir.

Les dernières prévisions annoncent des rafales pouvant aller jusqu’à 50 km/h, ce qui pourrait être très problématique pour les pilotes lorsque l’on sait que les monoplaces modernes sont très sensibles aux rafales de vent.

Bien évidemment, ces prévisions publiées à quatre jours du départ de la course sont susceptibles de varier dans les prochaines heures.

Les horaires de chaque séance du GP de Bahreïn

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Trois zones de DRS à Bahreïn

La FIA a décidé d’ajouter une troisième zone de DRS sur le circuit de Sakhir à Bahreïn, cette zone sera située juste après le virage numéro 3.

Dans le but de faciliter les dépassements, la Fédération Internationale de l’Automobile a décidé d’ajouter une troisième zone de DRS à Sakhir sur la première ligne droite juste après la ligne droite de départ/arrivée.

La ligne de détection de cette nouvelle zone de DRS se trouvera 50 mètres après le premier virage, tandis que la ligne d’activation sera placée 23 mètres après le virage 3.

La seconde zone de DRS se trouvera toujours entre le virage 10 et le virage 11, le point de détection sera placé 10 mètres avant le virage 9, tandis que la ligne d’activation se trouvera 50 mètres après le virage 10.

Enfin, la dernière zone de DRS du circuit se trouvera toujours dans la ligne droite principale du tracé, avec un point de détection situé 108 mètres avant le virage 14 et un point d’activation positionné 170 mètres après le dernier virage.

Sergio Perez s’attend à un Grand Prix de Bahreïn difficile

Sergio Perez s’attend à vivre un week-end difficile à Bahreïn sur un tracé de Sakhir très technique et où la moindre erreur peut vous faire perdre de nombreuses positions sur la grille.

Le pilote mexicain apprécie beaucoup le tracé de Bahreïn, et se dit très motivé après la première course en Australie où il n’a pas marqué le moindre point pour son équipe.

Mais le pilote Racing Point sait que la course sera compliquée ici à Bahreïn, d’autant que le milieu de la grille devrait à nouveau être très disputé.

“Je suis très motivé pour revenir en course à Bahreïn, rater les points à Melbourne a été décevant pour moi, surtout après l’excellent travail il que nous avons fait en qualifications, mais je dis toujours que ce n’est pas la façon dont vous débutez la saison, mais la façon dont vous la terminez qui est important.” explique Sergio Perez.

“Il nous reste encore vingt occasions de marquer des points au cours de l’année. Je pense que la plupart des pilotes apprécient le circuit de Bahreïn, et le tracé permet beaucoup de bagarres et vous pouvez trouver quelques bons endroits pour dépasser. La partie que j’aime le plus est le secteur 1.”

“Si vous perdez une position au premier virage, il vous reste trois autres virages pour la récupérer immédiatement. J’ai déjà eu de belles batailles ici, et j’étais sur le podium en 2014, ce fut un moment très spécial dans ma carrière.”

“Je ne m’attends pas à ce que la course soit facile, le circuit est très technique. avec une combinaison de virages lents et rapides. Ça peut être aussi difficile pour les freins et trouver le point de freinage est souvent difficile, car certains de vos marqueurs changent tout au long du week-end, puisque l’on s’entraîne le jour et la nuit.”

“Ce week-end, il y aura un autre combat serré en milieu de grille, mais je pense que nous pouvons marquer des points. Il sera aussi intéressant de voir les dépassements qu’il y aura dans cette course, car ce n’était pas facile à Melbourne.”

Racing Point s’attaque à Alfa Romeo et Ferrari : “Ils échangent beaucoup de données”

Un membre anonyme de l’équipe Racing Point a vivement attaqué le mode de fonctionnement de l’équipe Alfa Romeo Racing.

L’an dernier, Alfa Romeo Racing a annoncé l’arrivée dans l’équipe d’un ancien membre de la Scuderia Ferrari, Simone Resta.

Selon cette source anonyme de l’équipe Racing Point, l’arrivée de Resta au sein de l’écurie suisse a permis à Ferrari d’échanger des informations avec Alfa Romeo sur des données relatives aux groupes motopropulseurs et à l’aérodynamique, ce qui serait déloyal selon lui.

Toujours selon cette source anonyme, le passage de Simone Resta à l’usine de Hinwill montre clairement à quel point le réseau de clients Ferrari est un moyen de faire face à des concurrents tels que Racing Point et McLaren, des équipes qui ne peuvent pas se vanter d’avoir la même puissance de feu que les meilleures équipes.

“Personne ne peut m’enlever cette idée qu’il y a des échanges de données entre Ferrari et les équipes clientes.” déclare cette source “anonyme” de l’équipe Racing Point à AMUS.

“Simone Resta, ingénieur en chef d’Alfa Romeo Racing, est passé de chez Ferrari à l’équipe suisse sans observer aucune période de jardinage. Tout cela signifie que les deux équipes se connaissent mutuellement et ont une idée claire de la répartition du travail.”

Rappelons tout de même que l’équipe Alfa Romeo Racing utilise le moteur Ferrari, la boîte de vitesses, ainsi que d’autres éléments tels que les suspensions.

De plus, l’ancien pilote Ferrari, Kimi Raikkonen, a rejoint l’écurie Alfa Romeo Racing cette année, après plusieurs années passées au sein de la Scuderia.

Les pilotes présents en conférence de presse à Bahreïn

Cinq pilotes seront présents en conférence de presse ce jeudi à Bahreïn pour la seconde manche de la saison 2019 de Formule 1.

Le pilote Mercedes Valtteri Bottas, vainqueur de la première course de la saison en Australie,  sera présent ce jeudi face aux médias pour venir nous parler de sa victoire sur le circuit de l’Albert Park de Melbourne.

Le Français Pierre Gasly sera lui aussi présent ce jeudi en conférence de presse à Bahreïn, le pilote Red Bull viendra certainement nous parler de sa quatrième position l’an dernier au Grand Prix de Bahreïn au volant de sa Toro Rosso, et qui reste à l’heure actuelle son meilleur résultat en Grand Prix.

Charles Leclerc, qui débutera ce jeudi son second week-end avec l’équipe Ferrari, sera lui aussi présent en conférence de presse. Le Monégasque a terminé cinquième lors de la première course de l’année en Australie.

Le pilote Toro Rosso Daniil Kvyat a lui aussi été invité en conférence de presse à Bahreïn. Le Russe reviendra certainement sur sa dixième position à l’arrivée du Grand Prix d’Australie.

Enfin, le pilote McLaren Lando Norris sera lui aussi présent, le Britannique a impressionné pour sa première course en F1 à Melbourne avec une huitième position lors de la séance de qualifications.

Cette conférence de presse d’avant Grand Prix aura lieu ce jeudi 28 mars à 18h00 heure locale (soit 16h00 en France) et vous pourrez évidemment retrouver les déclarations des pilotes sur F1only.fr dans la foulée.

La F1 et la FIA travaillent pour établir un cadre pour l’avenir

Dans un peu plus de deux ans, la F1 entamera un nouveau chapitre de son histoire avec l’introduction de nouvelles règles, une nouvelle structure de gouvernance, une nouvelle stratégie de répartition des revenus et un meilleur contrôle des coûts.

C’est ce mardi à Londres, dans le cadre d’une réunion réunissant la F1, la FIA et différents chefs d’équipes, qu’un pas de plus vers la réalisation de ces objectifs a été fait.

La journée a débuté par une réunion du groupe stratégique et a été suivie par une réunion de la commission F1 réunissant tous les acteurs du sport pour voir comment la vision avait  évolué près d’un an après la présentation officielle faite par la FIA aux équipes dans le cadre du Grand Prix de Bahreïn 2018.

Aucun compte rendu n’a encore été publié par la FIA, mais de sources proches du dossier, les réunions ayant eu lieu ce mardi ont reçu un avis positif de la part des différentes parties, alors qu’il faudra encore attendre le mois de juin avant de savoir avec exactitude quelles seront les règles en F1 en 2021.

Au cours de ces présentations, les sujets suivants ont été abordés : La réglementation technique, la réglementation sportive, une structure de revenus plus égale et des propositions de contrôle financier visant à rendre l’environnement concurrentiel pour les équipes indépendantes et ainsi encourager les nouveaux entrants.

Quelques modifications pour la saison 2020

Au cours des ces séances, plusieurs scrutins ont été organisés pour approuver un certain nombre de modifications mineures du règlement 2020 (combustion d’huile, débit de carburant..). Toutes ces modifications ne sont pour l’instant pas encore officielles, puisqu’elles doivent être approuvées par le conseil mondial du sport automobile.

Binotto se dit très heureux d’offrir à Schumacher et Illot leur premier contact avec la F1

L’annonce a été officialisée ce mardi, Mick Schumacher prendra le volant de la Ferrari 2019 la semaine prochaine dans le cadre des essais privés organisés à Bahreïn.

Le jeune pilote allemand, fils du septuple champion du monde de Formule 1 Michael Schumacher, effectuera ses tous premiers tours de roue au volant d’une F1 moderne le mardi 2 avril.

En parallèle, Mick Schumacher prendra aussi le volant de l’Alfa Romeo C38 le lendemain, toujours sur la piste de Bahreïn, alors qu’un autre jeune issu de la Ferrari Driver Academy, Callum Illot, sera lui aussi en piste avec l’Alfa Romeo le mardi 2 avril.

Selon Mattia Binotto, le directeur de la Scuderia Ferrari, cette opportunité offerte à ces deux jeunes pilotes issus de la FDA prouve que le programme des jeunes talents de Ferrari fonctionne à merveille.

“Nous croyons fermement en la valeur de la Ferrari Driver Academy en tant que programme de formation de haut niveau destiné aux jeunes talents, et le choix d’avoir promu Charles Leclerc en tant que pilote titulaire le prouve.” a déclaré le directeur de la Scuderia Ferrari, Mattia Binotto.

“Nous sommes donc très heureux d’offrir à Mick et Callum Illot la possibilité de prendre contact avec la Formule 1.”

“Mick, que nous avons accueilli à la FDA en janvier, et Callum, qui est avec nous depuis 2017, sont certainement des pilotes émergents et je suis convaincu que d’essayer la SF90 dans un contexte officiel tel que les tests de Bahreïn et de Barcelone peut être très utile à ce stade de leur carrière.”

George Russell est impatient de reprendre le volant de sa Williams

Pour sa seconde course en Formule 1, le pilote Williams George Russell, sait qu’il va passer un moment difficile dans le cockpit de sa FW42 dans la fournaise de Bahreïn.

Classé avant dernier au Grand Prix d’Australie pour sa première course en catégorie reine du sport automobile, le toujours très optimiste George Russell se dit impatient de reprendre le volant ce week-end à Bahreïn.

Le Britannique est toutefois bien conscient que le défi à relever sera difficile, tant le tracé de Sakhir est agressif avec les monoplaces et les pneus.

“Je suis impatient d’aller à Bahreïn car c’est un circuit que j’aime beaucoup. Je suis impatient de reprendre le volant d’une voiture de Formule 1 pour mon deuxième Grand Prix.” déclare George Russell.

“La course à Bahreïn est difficile car il s’agit d’un circuit très agressif, caractérisé par une usure importante des pneus et une température élevée, ce qui impose beaucoup de stress aux voitures. Dans l’ensemble, je suis prêt à relever le défi et j’ai hâte de reprendre le volant.”

Daniil Kvyat arrive à Bahreïn surmotivé par son bon résultat en Australie

Après sa première course de l’année en Australie où il a marqué le point de la dixième place, Daniil Kvyat arrive à Bahreïn avec un certain regain de confiance.

Après avoir été remercié par Toro Rosso à la fin de la saison 2017, le Russe a effectué son grand retour cette année en Formule 1 et pour l’instant, il a réussi à prouver qu’il n’avait rien perdu de sa vitesse.

Pour la seconde manche de l’année à Bahreïn, Daniil Kvyat pense que les conditions que les équipes rencontreront ce week-end seront un peu plus représentatives de celles qu’elles rencontreront tout au long de la saison.

“La façon dont les choses se sont déroulées en Australie signifie que c’était une bonne façon de débuter la saison. C’est un réel regain de confiance pour l’équipe, car tout indique que nous sommes dans le peloton avec tout le monde.” explique le Russe Daniil Kvyat.

“Cela nous met tous dans un état d’esprit positif pour la prochaine course à Bahreïn. Il est désormais clair que nous pouvons nous battre avec les autres, avec les équipes autour de nous au milieu du peloton, ce qui est très prometteur.”

“Nous devons continuer à travailler dur pour développer notre package et améliorer notre compréhension de la voiture.”

“Je dois aussi travailler dur avec mon équipe d’ingénieurs pour m’assurer d’extraire le maximum de la voiture lors de chaque séance et nous pourrons voir où cela nous mènera à Bahreïn.”

“C’est un circuit très différent de l’Albert Park, c’est une vraie piste de course. Ce sera donc un très bon test pour nous et nous pourrons voir comment la voiture fonctionne là-bas.”

“Bahreïn ressemble plus à de nombreuses autres pistes du calendrier que l’Albert Park, nous devrions donc avoir une idée un peu plus claire de notre position et de la qualité de notre voiture.”

“Les températures seront plus élevées qu’à Melbourne, donc encore une fois, elles seront plus représentatives des conditions que nous rencontrerons pendant la majeure partie de la saison.”

Kubica estime que Williams va devoir faire face à de nouveaux défis à Bahreïn

Après un premier Grand Prix avec Williams totalement anonyme en Australie, Robert Kubica arrive sur le tracé de Bahreïn, circuit sur lequel il a signé son unique pole position de sa carrière en F1 en 2008.

Le Polonais Robert Kubica, qui signe son grand retour en catégorie reine cette saison, après huit années d’absence en raison d’un accident de Rallye, s’attend tout de même à rencontrer quelques difficultés dans la fournaise de Bahreïn.

Le pilote Williams estime également que son équipe va devoir faire face à de nouveaux défis avec la FW42 par rapport au Grand Prix d’Australie.

“Bahreïn est une piste très différente de l’Australie, nous allons donc devoir faire face à de nouveaux défis, notamment l’augmentation de la température et une configuration de la piste différente.” explique Robert Kubica.

“Il y a quelques petites choses à découvrir, mais je connais assez bien la piste. C’est un circuit de Stop and Go [beaucoup de traction en sortie de virage], donc la voiture doit être très stable au freinage et avoir beaucoup de traction.”

“J’ai de bons souvenirs de Bahreïn car j’ai obtenu ma première et unique pole position en 2008, donc je suis impatient d’y être.”

“Il peut faire très chaud aussi à Bahreïn, donc, il faudra une très bonne compréhension des pneus, il faudra essayer de les gérer au mieux.”

Charles Leclerc s’attend à rencontrer des conditions extrêmes à Bahreïn

Le pilote Ferrari Charles Leclerc espère pouvoir obtenir un bon résultat ce week-end à Bahreïn, sur l’un des tracés du calendrier qu’il apprécie le plus.

Cinquième à l’arrivée de la première course de la saison à Melbourne, Charles Leclerc sait que les conditions extrêmes que vont rencontrer les pilotes à Bahreïn ce week-end vont leur rendre la tâche difficile.

Mais le Monégasque apprécie le circuit de Sakhir et connaît les pièges à éviter pour faire en sorte d’avoir une machine compétitive le jour de la course, notamment parce que les conditions varient beaucoup d’une séance d’essais libres à l’autre.

“Bahreïn est un circuit très technique, avec des conditions très extrêmes.” explique le pilote Ferrari Charles Leclerc.

“Il sera donc intéressant pour nous d’essayer différentes choses sur la voiture pendant les essais libres, afin de nous préparer le mieux possible aux différentes situations pouvant se produire en course.”

“J’apprécie vraiment Bahreïn, cela me rappelle de très bons souvenirs, j’ai fait mes débuts ici en Formule 2 et j’ai fait de belles courses, bien que l’année dernière a été difficile car c’était le début de ma carrière en F1.”

“Je suis impatient de piloter ici avec Ferrari et j’espère pouvoir ramener à la maison un bon résultat.”