Les organisateurs du GP de Russie veulent rendre la piste de Sotchi plus abrasive

Les organisateurs du Grand Prix de Russie étudient l’idée de modifier le côté abrasif de la piste de Sotchi afin d’augmenter le spectacle pour les fans.

Le promoteur de la course n’envisage pas de modifier le tracé russe, mais l’idée de rendre l’asphalte un peu plus abrasif pour obliger les pilotes à effectuer plus qu’un seul arrêt semble être à l’étude.

“Nous sommes en plein cœur du parc olympique, entouré par un décor somptueux.” explique Alexey Titov, président de la société Rosgonky, qui organise le Grand Prix de Russie à Sotchi.

“Modifier la configuration de la piste me semble très compliqué, mais nous songeons à d’autres solutions comme modifier l’abrasivité de l’asphalte. C’est un tout cas une piste que nous étudions en profondeur.”

Pour rendre une piste plus abrasive, les organisateurs pourraient, par exemple, sabler le bitume ou bien le traiter chimiquement afin d’en augmenter le côté abrasif.

Le Grand Prix de Russie se déroulera cette année le 29 septembre à Sotchi sur les bords de la mer noire, sur l’ancien site ayant accueilli les JO d’hiver en 2014.

Les équipes ont rejeté l’idée d’une présentation commune

La plupart des monoplaces 2019 qui seront présentées par les équipes le mois prochain ne pourront être vues qu’en partie.

Rappelez-vous, initialement, les dirigeants de la Formule 1 souhaitaient organiser une grande cérémonie pour la présentation des monoplaces, ouverte aux médias et retransmise en direct pour les fans.

Mais cette idée a été catégoriquement rejetée par les équipes de Formule 1, qui ne souhaitent pas révéler les détails de leur nouvelle monoplace à la concurrence avant les essais hivernaux.

D’ailleurs, lors des présentations qui seront effectuées cette année, les équipes devraient faire en sorte de cacher les éléments qu’elles ne souhaitent pas monter à la concurrence.

Cette année, seule l’équipe Racing Point a décidé d’organiser une présentation un peu plus travaillée que les autres écuries en donnant rendez-vous à certains journalistes accrédités [dont F1only.fr] à Toronto au Canada le 13 février dans le cadre de l’Auto Show International.

Mais même là, la monoplace qui sera présentée aux journalistes ne sera pas celle qui participera à la saison 2019, il s’agira en fait de la voiture de la saison précédente arborant uniquement la livrée 2019. Il faudra donc attendre les essais hivernaux pour pouvoir voir la nouvelle Racing Point pour de vrai sur la piste.

Jusqu’à présent, seules six des dix équipes de F1 ont dévoilé la date de présentation de leur monoplace, l’équipe Sauber étant celle qui dévoilera au tout dernier moment sa C38 dans la voie des stands du circuit de Barcelone en Espagne le matin de la première journée des essais hivernaux.

Dans ce contexte, il n’est même pas encore certain que les monoplaces que nous pourrons voir lors des essais hivernaux à Barcelone soient des versions finales des monoplaces qui seront alignées à Melbourne pour la première course de l’année, avec très certainement des pièces non conformes à la réglementation [elles sont autorisées à les monter pour les essais] et qui devraient disparaître d’ici le GP d’Australie.

Vous l’avez compris, les équipes de F1 jouent à un jeu de cache cache cette année, alors que la première présentation aura lieu le 11 février 2019, il s’agira de la Toro Rosso STR14, qui sera dévoilée en direct sur internet.

Les dates de présentation des F1 2019

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Renault pense que les progrès de Honda seront freinés par un manque de fiabilité

Le patron de Renault, Cyril Abiteboul, doute que son rival Honda représente une sérieuse menace en 2019, surtout si la fiabilité de son unité de puissance n’est que légèrement supérieur à celle de l’an dernier.

En 2018, Honda a utilisé l’équipe Toro Rosso comme un véritable laboratoire, en plaçant d’abord la priorité sur la performance plutôt que la fiabilité.

L’équipe basée à Faenza a utilisé huit unités de puissance en 2018, soit cinq de plus que le quota autorisé par la FIA pour une saison complète.

Pour cette nouvelle année, Cyril Abiteboul pense que Red Bull, qui sera équipée du moteur Honda à son tour, ne pourra pas échapper aux pénalités en raison du manque de fiabilité du bloc V6 japonais et ne sera donc pas une menace directe pour l’équipe du constructeur français.

“Cela sera bien-sûr réglé si l’on concède soudainement que l’on peut prendre cinq pénalités moteur la saison prochaine.” explique Abiteboul à Autosport.

“Chez Toro Rosso, personne ne levait les yeux quand cela se produisait, mais avec Red Bull, je m’attends à un tourbillon supplémentaire, et cela va les ralentir bien-sûr.”

“S’ils veulent respecter les règles, ils auront deux ou trois occasions d’améliorer le groupe propulseur durant la saison, tout comme nous.”

“Mais il y a également le championnat constructeurs et nous savons que ces pénalités sur la grille ont un impact énorme sur notre capacité à marquer des points, et nous ne voulions pas risquer cela.”

“Honda est une menace à certains égards, mais tout le monde l’est aussi. Je m’attends à ce que la menace s’atténue avec le temps et je crois aux progrès que nous avons accompli cet hiver.”

Charles Leclerc met en garde Russell sur les pièges à éviter en F1

Charles Leclerc, le nouveau pilote Ferrari, s’apprête à débuter sa seconde saison en Formule 1 après une première excellente première année de sa part avec l’écurie Sauber.

Le jeune monégasque a réussi haut la main l’examen de passage en 2018, ce qui lui a valu le droit de devenir pilote Ferrari aux côtés de Sebastian Vettel à peine douze mois après son arrivée en catégorie reine du sport automobile.

Cette année, George Russell, un autre jeune pilote issue de la Formule 2, fera ses débuts en F1 avec l’écurie Williams. C’est donc l’occasion pour Leclerc de mettre en garde le Britannique sur les pièges à éviter impérativement en arrivant en Formule 1.

“C’est extrêmement difficile de gérer les pneus en Formule 1, et la gestion de l’essence est quelque chose de nouveau.” explique Charles Leclerc, cité par RaceFans.

“Vous devez donc changer certaines choses en F1. Le plus difficile cependant, a été la longueur des courses.”

“Habituellement, je devais piloter vingt tours puis c’était fini, mais en Formule 1, vous devez soudainement piloter plus de quarante tours, ce qui fait qu’à la fin de la course vous êtes plutôt cassé.”

“En dehors de cela, c’est juste un peu différent, mais finalement, il n’y a pas une si grande différence.”

“George est un excellent pilote, il est très rapide. Mais on ne peut pas savoir s’il va trébucher sur les mêmes choses que moi, je n’ai pas vraiment de conseils pour lui, je suis sûr qu’il trouvera son chemin vers le sommet.”

George Russell fera équipe avec le très expérimenté Robert Kubica en 2019, le Polonais signant son grand retour en Formule 1 après huit ans d’absence.

Toro Rosso dévoile la date de présentation de la STR14

L’équipe Toro Rosso est devenue ce vendredi la sixième équipe de F1 à dévoiler la date de présentation de sa monoplace 2019.

La formation italienne dévoilera la STR14 le 11 février 2019 et devient donc pour l’instant la première équipe à lancer le bal des présentations.

La STR14 sera dévoilée une semaine avant les essais hivernaux 2019, qui se dérouleront sur le circuit de Catalogne en Espagne et que vous pourrez vivre en direct sur F1only.fr via un live commenté.

A l’heure actuelle, seules quatre écuries n’ont pas encore dévoilé la date de présentation de leur monoplace, il s’agit de Mercedes, Williams, Haas et Red Bull Racing.

Les dates de présentation des F1 2019

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La Racing Point pourrait ressembler à cela en 2019

Il y a quelques heures, nous vous informions que l’équipe Racing Point avait signé un contrat de sponsoring avec SportPesa, une société de paris en ligne.

Si cette information s’avère exacte, la Racing Point qui sera pilotée par Lance Stroll et Sergio Perez en 2019 devrait changer de couleur et devenir un peu moins rose que ces deux dernières années.

Le sponsor BWT, qui a rendu la Racing Point rose ces dernières années, ne devrait pas quitter l’équipe en 2019, mais son investissement devrait être un peu moins important que le nouveau sponsor SportPesa.

Dans ce contexte, la monoplace de l’écurie dirigée désormais par un consortium canadien, devrait reprendre les couleurs de la société SporPesa avec une dominante de bleu.

Sean Bull, un brillant designer qui n’hésite jamais à personnaliser les Formule 1 dés que l’occasion se présente, avait déjà publié une image il y a quelques temps montrant à quoi pourrait ressembler la future Racing Point en 2019.

L’équipe dévoilera sa livrée 2019 [uniquement la livrée sur la monoplace de l’an dernier] le 13 février prochain en direct de Toronto au Canada.

Que pensez-vous de cette livrée ? N’hésitez pas à commenter cet article un peu plus bas dans la section des commentaires.

Marko dément tout accord sur le plafond budgétaire en F1

Le consultant Motorsport chez Red Bull, Helmut Marko, a démenti les rumeurs selon lesquelles la Formule 1 était proche d’un accord concernant la limite budgétaire en Formule 1.

Ces derniers jours, il a été rapporté que lors de la dernière réunion du groupe stratégique, les équipes les plus importantes avaient globalement accepté la limite budgétaire proposée par la F1.

Ce plafond budgétaire serait fixé à 185 millions en 2021, puis 160 millions en 2022 et enfin 135 millions d’ici 2023. Cependant, Helmut Marko a nié tout accord avec cette proposition.

Pour Marko, le principal problème sera de savoir quelle équipe respectera ce plafond budgétaire imposé, et surtout comment vérifier que tous les constructeurs automobiles possédant une équipe de F1 [Mercedes, Renault, Ferrari] respectent bien ce plafond ?

“Nous sommes encore loin d’un accord, en principe, nous sommes d’accord avec Ferrari et Mercedes sur les chiffres, mais les autres équipes restent très critiques et nous devons encore discuter de quelques points.” explique Marko à dans les colonnes d’Auto Bild.

“Rien n’est encore clair, quels départements d’une équipe de course tombent sous la coupe d’un plafond budgétaire ?”

“Les contrôles seront très difficiles à effectuer, comment savoir si un ordinateur d’un constructeur automobile ne fonctionne pas pour son équipe de F1 ?”

La Racing Point devrait devenir bleue en 2019

Selon SportBusiness, qui affirme détenir de sérieuses informations, l’équipe Racing Point a signé un important contrat de sponsoring avec le site de paris en ligne SportPesa.

Racing Point aurait signé un contrat de sponsoring de deux ans avec SportPesa, moyennant un ticket d’entrée d’un peu moins de 15 millions de dollars par an, toujours selon SportBusiness, qui cite des sources proches de l’équipe de Formule 1.

Autrefois connue sous le nom Force India, l’équipe basée à Silverstone est devenue l’année dernière Racing Point après le rachat par un consortium canadien dirigé par le milliardaire Lawrence Stroll, père du pilote de F1, Lance Stroll.

Jusqu’à présent, la monoplace de l’équipe Racing Point était rose, aux couleurs de la société BWT [Best Water Technology], sponsor principal de l’écurie depuis 2017.

Toujours selon SportBusiness, la livrée de la Racing Point devrait devenir bleue [couleur de SportPesa] en 2019, même si quelques nuances de rose pourraient toujours être présentes sur la carrosserie de la monoplace pilotée par Lance Stroll et Sergio Perez.

L’équipe Racing Point, qui devrait changer une nouvelle fois d’identité avant le début de la saison 2019, présentera la livrée [seulement la livrée, pas la vraie F1 2019] de sa monoplace à Toronto au Canada dans le cadre de l’Autoshow International le 13 février prochain.

Hamilton s’attend à voir Verstappen dans la bagarre en 2019

Le quintuple champion du monde, Lewis Hamilton, pense que Max Verstappen a le talent nécéssaire pour se battre pour le titre, et que seule une monoplace non compétitive pourrait l’en empêcher cette année.

Max Verstappen n’a pas connu une année 2018 tranquille, puisque bien que le pilote Red Bull ait terminé quatrième du classement des pilotes, la première moitié de saison fut compliquée pour lui, avec beaucoup d’erreurs de sa part et une certaine poisse niveau mécanique.

Mais à partir du Grand Prix du Canada, Max Verstappen s’est repris en main et a signé une seconde moitié d’année bien plus prometteuse que ne l’était le début, ce qui lui aura permis de terminer devant Valtteri Bottas au championnat avec deux points d’avance sur le pilote Mercedes.

Lewis Hamilton s’attend donc à ce que Max Verstappen continue sur sa lancée en début d’année, à la seule condition que Red Bull puisse lui fournir une monoplace capable de se battre à l’avant de la grille.

“Max a très bien roulé tout au long de l’année dernière, montrant sa constance.” a déclaré Hamilton.

“Il a été parmi nous de nombreuses fois, donc, si son équipe fait du bon travail et lui fournit une bonne voiture avec laquelle il peut rivaliser encore plus étroitement avec nous, il sera bien-sûr dans la bagarre.”

Rappelons que Red Bull Racing utilisera à partir de cette année le moteur Honda sur sa monoplace, après douze années de collaboration avec Renault.

Vettel est-il un pilote surestimé ? C’est en tout cas l’avis d’Eddie Irvine

L’ancien pilote de Formule 1, Eddie Irvine, a dressé un portrait plutôt négatif de Sebastian Vettel cette semaine lors d’un entretien accordé à la BBC Sport.

Irvine ne comprend tout simplement pas comment Sebastian Vettel a pu décrocher quatre titres de champion du monde entre 2010 et 2014, estimant même que le pilote Ferrari était largement surestimé ces dernières années.

“Je pense que Vettel est bon quand il est à l’avant et qu’il n’a personne à qui se mesurer.” estime Irvine dans un entretien accordé à la BBC.

“Lorsqu’on regarde Lewis [Hamilton] courir, il reste concentré sur la compétition et le dépassement de ses adversaires. Vettel lui, quand il doit affronter un concurrent, il se concentre tellement sur le pilote vers lequel il se dirige, qu’il se crashe dessus, c’est ce qui lui arrive d’ailleurs quasiment à chaque fois.”

“Je pense que Vettel est un bon pilote, mais je ne le vois pas comme un quadruple champion du monde. Je pense qu’il est très surestimé, il n’a qu’une corde à son arc, tandis que Lewis a un talent beaucoup plus large.”

Red Bull fera t-elle rouler sa RB15 avant l’heure ?

Selon les dernières rumeurs, la Red Bull RB15 que piloteront Pierre Gasly et Max Verstappen en 2019 devrait faire ses premiers tours de roue à Silverstone avant les essais hivernaux.

Comme l’an dernier, Red Bull Racing pourrait choisir de faire rouler sa nouvelle monoplace quelques jours avant la date officielle des essais hivernaux, lors d’une journée de tournage promotionnel en Angleterre sur le tracé de Silverstone.

Comme toutes les autres équipes, Red Bull Racing est autorisée à faire rouler sa RB15 avant la date officielle des essais, mais le roulage est limité à 100 km par jour et l’équipe doit impérativement utiliser des pneus de démonstration.

Les équipes de F1 utilisent ces journées promotionnelles [deux par équipe et par an] pour tourner des images destinées aux sponsors de l’écurie et aux fans.

Mais officieusement, ces journées de roulage permettent aux écuries de F1 de voir si aucun problème majeur n’apparaît sur leur nouvelle monoplace avant les essais hivernaux, si c’était le cas, il leur resterait alors suffisamment de temps pour régler ce problème avant de se rendre à Barcelone pour les tests.

L’an dernier, Red Bull Racing a fait rouler sa RB14 à Silverstone avec Daniel Ricciardo au volant, la monoplace arborait alors une tenue camouflage provisoire avant la présentation officielle qui s’est déroulée quelques jours plus tard.

L’écurie Red Bull Racing n’a pas encore dévoilé la date de présentation de sa nouvelle monoplace, et l’écurie basée à Milton Keynes n’a pas confirmé cette rumeur selon laquelle elle ferait rouler sa RB15 à Silverstone.

Carlos Ghosn démissionne, Renault met en place un nouveau tandem

Le conseil d’administration de Renault s’est réuni le 24 janvier 2019 et a pris acte de la démission de son ancien PDG, Carlos Ghosn.

Le conseil d’administration a donc décidé de doter Renault d’une nouvelle gouvernance et, à cette occasion, d’instituer une dissociation des fonctions de président du conseil et de directeur général.

Outre toutes les fonctions assumées normalement par le président du conseil, le nouveau président du conseil d’administration de Renault devra évaluer et, si nécessaire, faire évoluer la gouvernance de Renault afin notamment d’assurer la transition vers la nouvelle structure.

Il présentera ses propositions sur l’évolution de la gouvernance au conseil d’administration avant la prochaine assemblée générale des actionnaires.

Par ailleurs, le conseil d’administration de Renault souhaite superviser activement le fonctionnement de l’Alliance et décide de confier à son président la pleine responsabilité du pilotage de l’Alliance pour le compte de Renault, en liaison avec le directeur général.

A ce titre, le président du conseil d’administration de Renault sera l’interlocuteur principal du partenaire japonais et des autres partenaires de l’Alliance pour toute discussion sur l’organisation et l’évolution de l’Alliance.

Il proposera au conseil d’administration tout nouvel accord d’Alliance qui lui semblerait utile à l’avenir de Renault. Il aura vocation à être le représentant principal de Renault dans les organes de direction de l’Alliance et chez Nissan lorsque Renault dispose d’un droit de proposition.

Le directeur général coordonnera pour la société les activités de l’Alliance dans le domaine opérationnel sous l’autorité du président. Le conseil a coopté M. Jean-Dominique Senard (patron de Michelin depuis 2012) comme nouvel administrateur et l’a élu président. Sur proposition de ce dernier, le conseil a nommé Thierry Bolloré directeur général de Renault.

Pour le moment, il est difficile de connaître l’impact direct de cette décision sur l’équipe Renault en Formule 1.

Nico Rosberg estime que la F1 va devoir abandonner l’essence

Nico Rosberg estime que la Formule 1 devra inévitablement passer au tout électrique dans un futur plus ou moins proche.

Le champion du monde 2016, qui est en visite au forum économique mondial de Davos, pense que la discipline reine du sport automobile n’aura pas d’autre choix que d’abandonner les moteurs thermiques à l’avenir.

“Lorsque j’étais pilote de Formule 1, j’étais complétement concentré sur ce que je faisais et je ne pouvais pas regarder le monde différemment.” explique l’Allemand.

“Mais lorsque vous voyez que le monde entier vend des voitures électriques ou à hydrogène, la Formule 1 ne peut pas continuer à fonctionner à l’essence.”

“Cela n’aurait aucun sens, je pense qu’ils vont devoir y passer à un moment donné. Il y a deux ans, personne ne voulait se préoccuper des voitures électriques, et désormais, même plus plus grands partisans des voitures fonctionnant à l’essence sont devenus moins biaisés et commence à changer d’avis.”

Nico Rosberg a quitté la Formule 1 juste après avoir remporté son premier titre de champion du monde en 2016. L’Allemand est désormais consultant pour la télévision allemande, mais est aussi devenu actionnaire de la Formule E, la discipline 100% électrique de la FIA.

Le service F1 TV disponible pour huit pays supplémentaires

La Formule 1 a annoncé le déploiement de son service de Streaming, F1 TV, à huit nouveaux pays à compter du 18 février 2019.

Lancée au début de la saison 2018, F1 TV Pro était disponible sur 59 territoires à travers le monde, mais quelques pays n’y avaient pas le droit pour des raisons techniques.

Cette saison, la Formule 1 va déployer son service F1 TV sur huit nouveaux territoires à compter du 18 février 2019, notamment à Chypre, au Danemark, en Grèce, à Malte, aux Pays-Bas, en Norvège, au Portugal et en Suède. La F1 insiste sur le fait que d’autres pays seront ajoutés à la liste au cours de la saison 2019.

Les essais hivernaux en direct

Grosse nouveauté cette année sur le service F1 TV Pro, puisque les essais hivernaux seront diffusés en direct depuis Barcelone à partir du 18 février. La F1 a confirmé que la première semaine de ces tests serait diffusée, mais aucune confirmation sur la diffusion de la seconde semaine.

Quoi qu’il en soit, vous pouvez vous abonner au service F1 TV Pro depuis la France ou la Belgique, mais sachez que les tarifs pour la France sont relativement élevés, puisqu’en raison d’un accord entre Canal+ [qui détient les droits exclusifs pour la France] et la F1, le tarif de l’abonnement annuel a été fixé à 190 euros.

Nos voisins belges ont un peu plus de chance, puisque l’abonnement annuel pour un utilisateur vivant en Belgique ne coûtera que 65 euros par an (cliquez ici pour vous abonner).

Les règles 2019 ont coûté 15 millions d’euros à Red Bull

En 2019, les nouvelles règles introduites en Formule 1 devraient coûter aux alentours de 15 millions d’euros à l’équipe Red Bull Racing.

Selon Helmut Marko, le consultant Motorsport chez Red Bull, l’introduction des nouvelles règles en 2019, qui imposent aux équipes d’avoir un aileron avant plus simple, un aileron arrière plus haut, des écopes de freins plus simplifiées ou encore des barge boards moins sophistiqués, aurait déjà coûté 15 millions d’euros à l’équipe de Milton Keynes.

Ces nouvelle règles ont été imposées par la F1 cette année afin d’augmenter le nombre de dépassements en course, et donc, d’améliorer le spectacle pour les fans.

Mais pour Marko, les données aérodynamiques recueillies cet hiver sur le banc d’essais sont pour l’instant relativement bonnes et au niveau de celles obtenues à la mi-saison en 2018, alors que Red Bull est désormais : “15 millions d’euros plus pauvre”.

“Nous avons les même données [aérodynamiques] que l’été dernier.” déclare Marko à Autosport. “Au moment où nous arriverons à Melbourne, nous serons probablement mieux que cela.”

“Mais il existe désormais une bonne base de discussion entre Mercedes, Ferrari et nous. Nous convenons que la réglementation ne doit pas être déterminée par des techniciens. Dés que les techniciens sont impliqués, les coûts augmentent et tout devient compliqué. Les choses doivent être spécifiées.”

Red Bull Racing n’a pas encore dévoilé la date de présentation de sa monoplace 2019.

Les horaires de chaque séance du ePrix de Santiago au Chili

La Formule E vous donne rendez-vous à Santiago du Chili cette semaine pour la troisième manche de la saison 2018/19.

Après Ryiad et Marrakech, la Formule E se pose à Santiago ce samedi pour la troisième manche de l’année avec en toile de fond la cordillère des Andes.

Décalage horaire oblige, le ePrix de Santiago sera à suivre en début de soirée pour les Français, à 20h00 plus précisément, alors que les qualifications se dérouleront à 16h00 (heure française) et les premiers essais libres auront lieu à 12h00 (heure française).

Quelques mots sur la piste de Siantago

Le circuit situé dans le parc O’Higgins s’étend sur 75 hectares et mesure 2, 348 kilomètres avec 14 virages dans le sens anti-horaire. Les pilotes parcourront le circuit en 45 minutes + 1 tour et devraient pouvoir atteindre une vitesse supérieure à 210 km/h.

Les horaires de chaque séance (heure française)

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Haas va améliorer les procédures pour les nouvelles pièces

Depuis son arrivée en Formule 1 en 2016, le modèle économique de l’équipe Haas a fait couler beaucoup d’encre, notamment parce que l’écurie américaine se sert en grande partie des pièces Ferrari.

Le constructeur italien a signé un contrat de partenariat technique avec Haas, ce qui permet à la formation américaine de se servir du moteur, de la boîte de vitesses, des suspensions, de la soufflerie et d’obtenir également de l’aide de la part de Maranello tout au long de l’année. Le châssis de la Haas quant à lui est construit par Dallara en Italie.

Si ce modèle semble fonctionner depuis 2016 pour Haas, il agace quelque peu les concurrents, qui n’ont pas hésité à plusieurs reprises à dire que la Haas n’était finalement qu’une pâle copie de la Ferrari, ce qui a obligé la FIA à réagir en confirmant que l’équipe Haas avait tout à fait le droit de se servir de pièces Ferrari.

Des avantages, mais aussi des inconvénients

Si la partage de ressources peut avoir plusieurs avantages pour une équipe de Formule 1, cela peut aussi devenir un vrai casse-tête, notamment pour la logistique et la fabrication de nouvelles pièces en un temps record.

En 2018, on a pu voir les limites d’un tel système lorsque la Haas VF-18 de Romain Grosjean a été disqualifiée du Grand Prix d’Italie après une réclamation déposée par Renault auprès de la FIA pour un fond plat non réglementaire.

Les équipes devaient impérativement effectuer une mise à jour sur le fond plat de leurs monoplaces à la suite d’une directive technique envoyée par la FIA.

Les équipes avaient jusqu’au Grand Prix d’Italie pour se conformer à cette directive, mais l’équipe Haas a demandé une certaine souplesse jusqu’au Grand Prix de Singapour, précisant qu’elle n’aurait pas le temps de modifier cet élément pour l’épreuve italienne.

Haas a donc perdu de gros points en Italie [Grosjean avait terminé sixième] et vu son principal rival Renault creuser encore un peu plus l’écart au championnat.

Pas de gros changements dans la relation Haas/Ferrari en 2019

Pour cette nouvelle saison, la relation entre Haas et Ferrari restera la même, mais les procédures concernant la construction de nouvelles pièces ont évolué et Romain Grosjean s’attend à une nette amélioration en 2019.

“Oui, nous y travaillons dur.” déclaré Romain Grosjean à F1only.fr. “Évidemment, comme nous ne fabriquons pas nos propres éléments, cela prend un peu plus de temps pour certaines pièces que pour d’autres équipes mais nous sommes vraiment très proches de nos partenaires.”

“Honnêtement, cela se passe de mieux en mieux année après année, et c’est vraiment agréable de constater que les choses ont clairement évolué durant les trois dernières années.”

L’équipe Haas a décroché la cinquième position au classement des constructeurs en 2018, l’équipe américaine a signé sa meilleure saison depuis son arrivée en F1 en 2016.

La Formule 1 veut une seconde course en Chine

La Formule 1 pourrait bien organiser un deuxième Grand Prix en Chine afin d’accroître la présence des fans asiatiques dans la discipline.

L’actuel Grand Prix de Chine, qui se déroule sur le circuit International de Shanghai, fait partie intégrante du calendrier depuis la saison 2004, et sera le théâtre en 2019 de la 1000e course de l’histoire de la Formule 1.

Murray Barnett, qui est responsable des commanditaires à la FOM, affirme que la F1 souhaite absolument organiser une seconde course en Chine dans un futur plus ou moins proche.

“Nous aimerions avoir une deuxième course ici, peut-être pas à court terme à cause du calendrier serré, mais nous voulons absolument planifier le moyen d’organiser un deuxième Grand Prix ici.” nous confirme Barnett.

Bien que la grille du grand cirque de la F1 n’a jamais eu de représentant chinois, le pilote Guanyu Zhou, qui vient de signer chez Renault en tant que pilote de développement, constitue un grand espoir pour la Chine de voir l’un de ses représentants sur une grille de F1 un jour.

“Nous aimerions le voir en Formule 1, mais le dernier mot reviendra aux équipes. Mais je pense qu’elles savent à quel point ce serait une excellente opportunité d’avoir un pilote chinois.” confie Barnett.

L’arrivée du Vietnam en 2020

Selon Murray Barnett, l’arrivée du Vietnam en 2020 au calendrier de la F1, après les échecs du Grand Prix d’Inde et celui de la Corée, ne devrait pas inquiéter les fans, car la F1 a appris de ses erreurs.

“Nous avons tiré les leçons de tout ce que nous avons mal fait lors de ces courses et nous nous assurons de ne plus commettre ces erreurs. Ces courses avaient un contrat à court terme, et nous voulons investir à long terme.”

Alonso découvre une ambiance bien différente de la F1 à Daytona

Présent cette semaine en Floride pour participer aux 24 Heures de Daytona au volant d’une Cadillac DPI, Fernando Alonso a pu constater la différence entre le monde de la Formule 1 et l’ambiance qui règne autour des 24H de Daytona.

A l’opposé d’un paddock de Formule 1 complétement fermé aux fans, les 24H de Daytona sont l’occasion pour beaucoup d’entre-eux de pouvoir rencontrer leur idole et de s’approcher au plus près des voitures avant le grand départ de la course.

Un contraste qui a interpellé Fernando Alonso, l’Espagnol étant plus habitué à signer des autographes uniquement lors de la journée du jeudi en Formule 1, tout en gardant une certaine distance avec les fans pour la suite du week-end.

“Tout est bien plus ouvert qu’en Europe au niveau de la course, j’ai vécu de bons moments l’an dernier, et cette année, j’ai déjà pu voir quelques gamins qui ont pu s’installer dans la voiture.” explique Alonso.

“Ils sont très proches des équipes et des pilotes, ils peuvent même toucher les voitures s’ils le veulent. C’est quelque choses d’inconcevable en Formule 1 ou même dans n’importe quel autre championnat en Europe.”

“Je pense que cela donne une bonne atmosphère à la course ici à Daytona, et je sais que cela ne va faire que monter en intensité au fil des jours.”

“Au moment où vous êtes installé dans la voiture, vous êtes encore en train de signer des autographes. Ils prennent des photos de nous lorsqu’on a notre casque et qu’on attend la voiture dans la voie des stands. On doit même leur dire parfois que l’on doit aller en piste.”

Officiel : Les essais hivernaux 2019 diffusés sur F1 TV Pro

Nous vous en parlions déjà il y a quelques semaines, c’est désormais officiel, les essais hivernaux 2019 seront retransmis par F1 TV Pro, le service de streaming officiel de la Formule 1.

Pour de nombreux fans, les tests de pré-saison représentent l’une des périodes les plus excitantes de l’année, et désormais, les fans pourront suivre toute l’action en piste grâce à F1 TV Pro.

Du 18 au 21 février, les abonnés pourront regarder huit heures de retransmission en direct depuis le circuit de Catalunya à Barcelone en Espagne, alors qu’un résumé d’une heure leur sera proposé chaque jour. (il n’est pas précisé si la seconde semaine des tests sera diffusée en direct).

“Notre ambition est de fournir aux fans un produit formidable qui leur permette de personnaliser leur expérience de visionnage et d’approfondir leur connaissance du sport qu’ils aiment.” a déclaré Frank Arthofer, directeur du secteur des licences à la Formule 1.

“En diffusant les tests pour la première fois, nous veillons à ce que les abonnés de F1 TV Pro soient récompensés avec toutes les dernières actions lors des tests de pré-saison.”

Sky Sports aussi en Live

En parallèle, les fans britanniques pourront regarder les essais hivernaux en Live grâce à Sky Sports, qui retransmettra ces tests uniquement lors de la première semaine et uniquement l’après midi. Le programme pour la seconde semaine n’a pas encore été divulgué par Sky Sports.

Dates des essais hivernaux 2019

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Vous pouvez vous abonner à F1 TV Pro (189 euros par an pour la France) en cliquant sur ce lien, vous aurez notamment accès aux archives de la Formule 1.