Wolff prend des parts chez Aston Martin : “un pur investissement” précise Mercedes

Le directeur exécutif de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, a pris une participation au capital du constructeur Aston Martin.

Depuis quelques heures, les rumeurs suggèrent que le directeur de l’équipe Mercedes en F1, Toto Wolff, s’apprête à quitter l’écurie du constructeur allemand à la fin de l’année pour rejoindre la future équipe d’usine Aston Martin F1, qui prendra forme en 2021.

Toto Wolff a bien investi dans le capital d’Aston Martin Lagonda ces derniers jours, mais un porte parole de l’équipe Mercedes a indiqué que cette décision était purement un investissement de la part de l’Autrichien et que sa participation de 4,77% serait réévaluée dès ce lundi pour atteindre finalement moins de 1%.

“Il s’agit d’un investissement financier et le partenariat et le rôle exécutif de Toto avec Mercedes ne sont pas affectés par la transaction.” a indiqué un porte parole de l’équipe Mercedes ce samedi.

Toto Wolff détenait auparavant une participation à hauteur de 16% chez Williams, mais l’a vendu après avoir rejoint l’équipe Mercedes  où il détient 30%.

Le milliardaire canadien Lawrence Stroll, dont le fils Lance pilote pour Racing Point aux côtés du Mexicain Sergio Perez, est proche de Toto Wolff. L’équipe basée à Silverstone – qui sera renommée Aston Martin l’année prochaine – utilise des moteurs et des boîtes de vitesses Mercedes.

Il est bon de rappeler également que le groupe Daimler, maison mère de Mercedes, détient également une petite participation chez Aston Martin depuis 2013.

Notons également que l’avenir de Wolff chez Mercedes a fait l’objet de certaines spéculations médiatiques depuis quelques mois maintenant, l’homme de 48 ans étant lié de diverses manières à des postes de direction avec la Formule 1 appartenant à Liberty Media et chez Aston Martin.

Il est à l’heure actuelle impossible de savoir si l’Autrichien continuera avec Mercedes en Formule 1 l’année prochaine, ni même si le constructeur Mercedes restera en F1 après 2021.

La FIA surveillera “de très près” l’intégration du moteur Mercedes sur la McLaren en 2021

La FIA surveillera de “très près” le passage de McLaren au moteur Mercedes en 2021 afin de s’assurer que l’équipe britannique ne viole aucun règlement.

L’équipe McLaren a confirmé en septembre dernier qu’elle passerait au moteur Mercedes à partir de la saison 2021 de Formule 1 en même temps que l’introduction de la nouvelle réglementation.

Mais la crise sanitaire actuelle a incité les dirigeants de la F1 à imposer un certain nombre de changements, notamment le report de l’introduction des nouvelles règles à 2022 et donc le maintien du châssis 2020 pour la saison 2021.

Cependant, malgré le fait que la réglementation n’évoluera pas en 2021 et que les châssis resteront les mêmes qu’en 2020, l’équipe McLaren a obtenu l’autorisation exceptionnelle de la FIA d’apporter des modifications sur le châssis de sa monoplace pour pouvoir y introduire le bloc V6 turbo Mercedes dès l’an prochain.

Mais la FIA suivra de près les démarches pour s’assurer que tout changement entrepris par l’écurie britannique reste essentiel plutôt que d’être effectué pour obtenir un gain de performance.

“C’est un changement de plan pour nous, car nous avions prévu d’intégrer le groupe motopropulseur Mercedes dans la nouvelle voiture avec la réglementation 2021.” a expliqué Andreas Seidl, le team principal de l’équipe McLaren.

“Il y aura certainement des restrictions quant à la façon d’intégrer cette unité motrice dans la voiture actuelle.”

“Nous avons convenu avec la FIA qu’ils surveilleront de très près le fait que nous ne sommes autorisés à effectuer que les changements qui sont absolument nécessaires pour installer le groupe motopropulseur Mercedes.”

“Ils surveilleront de près que nous ne modifions aucune autre zone dans les environs de l’unité motrice, ce qui pourrait nous donner des gains de performances supplémentaires.”

Rappelons que McLaren sera la seule équipe de la grille à procéder à un changement de motoriste en 2021.

Covid-19 : Les pilotes de F1 récoltent un peu plus de 65 000 euros

Les pilotes de F1 ont réussi à récolter un peu plus de 65 000 euros pour la lutte contre le Covid-19, après avoir organisé un mini championnat virtuel.

Plusieurs pilotes de la grille de F1 ont décidé d’organiser un mini championnat virtuel [#RaceForTheWorld] et s’étaient comme objectif d’obtenir 100 000 dollars pour un fonds de solidarité de l’OMS afin d’aider dans la lutte contre le Covid-19.

Au total, les pilotes ont réussi à récolter 71305 dollars [65 500 euros environ], alors que ce championnat virtuel a été organisé en seulement trois jours.

C’est le pilote Ferrari Charles Leclerc qui a remporté ce mini championnat avec 90 points marqués. Le pilote monégasque devance Luca Albon [71 points] et Arthur Leclerc [59 points].

Le pilote Red Bull Alex Albon termine à la quatrième place de ce championnat, alors que le pilote McLaren Lando Norris termine à la neuvième position. Le pilote Williams George Russell est quant à lui douzième et le pilote Alfa Romeo Antonio Giovinazzi se retrouve quinzième.

Les résultats finaux

Charles Leclerc “très triste” de ne pas avoir de GP de Monaco en 2020

Le pilote Ferrari Charles Leclerc se dit très triste de ne pas pouvoir participer à sa course à domicile cette année, après l’annulation du Grand Prix de Monaco.

Simplement reporté dans un premier temps, le Grand Prix de Monaco 2020 a ensuite été purement et simplement annulé par les organisateurs en raison de la situation sanitaire en constante évolution dans le monde.

Il était en effet impossible pour les organisateurs du Grand Prix de Monaco de savoir quand la course aurait pu avoir lieu cette année, alors que le circuit construit de toute pièce dans les rues de la principauté demande au mois deux mois de montage.

Face à cette situation “non maîtrisable”, l’ACM [Automobile Club de Monaco] a donc décidé d’annuler le 78° Grand Prix de Monaco.

“Oui, c’est très triste pour moi, surtout que les deux dernières années n’ont pas été très positives au Grand Prix de Monaco de mon côté. Je n’ai pas eu beaucoup de chance.” explique Charles Leclerc sur MonacoInfo.

“Je pense que la santé des citoyens monégasques et de tout le monde en général, ça doit passer avant. Donc, je pense que ça été la bonne décision qui a été prise et on reviendra en 2021 en espérant faire une bonne course.”

Pour rappel, lors des deux dernières éditions du Grand Prix de Monaco, Charles Leclerc a dû abandonner [avec Alfa Romeo en 2018 et avec Ferrari en 2019].

Leclerc ouvert à des courses de F1 à huis clos si cela permet de démarrer la saison

Charles Leclerc admet qu’il serait très étrange pour lui de devoir participer à des courses de F1 sans spectateurs.

La saison 2020 de F1 n’a pas encore débuté en raison de la crise sanitaire et, depuis quelques semaines maintenant, les dirigeants de la discipline évoquent la possibilité d’organiser les premières courses de l’année sans public.

L’organisation de Grands Prix de F1 sans spectateurs serait la meilleure solution pour que la saison 2020 puisse débuter en toute sécurité et, même s’il trouverait cela très étrange de courir devant des tribunes vides, Charles Leclerc pense qu’il s’agit de la meilleure solution pour assurer la sécurité de chacun.

“Ce sera très, très différent bien-sûr. Je pense que dans une situation comme celle-ci, la sécurité et la santé de tout le monde passent avant tout.” a déclaré Charles Leclerc à la BBC.

“Donc, quoi que nous puissions faire pour commencer la saison le plus tôt possible mais de manière sûre, je pense que ce sera mieux, même si les spectateurs ne sont pas là.”

“Mais en tant que pilote, vous ressentez évidemment le soutien. L’année dernière à Monza, y aller, être en Italie, piloter pour Ferrari, nous avons certainement pu ressentir le soutien et je pense que cela nous a aidés à gagner la course là-bas, et ce fut un week-end très spécial.”

“Je pense que pour n’importe quel pilote, voir dans la tribune les fans qui vous soutiennent est spécial, mais malheureusement avec la situation actuelle, cela pourrait ne pas être possible au début. Nous devrons probablement débuter [la saison] comme ça.”

Le circuit de Barcelone prêt à organiser plusieurs courses de F1 à huis clos

Le circuit de Barcelone en Espagne se dit prêt à organiser une ou plusieurs courses de F1 cette année.

Le Grand Prix d’Espagne fait partie des neuf courses déjà reportées cette année en F1 en raison de la crise sanitaire, mais le directeur du tracé catalan se dit prêt à organiser une ou plusieurs courses à huis clos cette année.

“Avec la F1, nous avons discuté de plusieurs scénarios. Le premier est que la saison commence avant l’été, l’autre serait que la saison débute en septembre.” explique le directeur du circuit de Barcelone à SoyMotor.com

“On nous a demandé dans le cas où la saison débuterait avant l’été si nous étions prêts à organiser un Grand Prix à huis clos.”

“Nous avons répondu oui, tant que cela nous permet d’avoir un championnat cette année, ce qui nous permettrait d’affronter le championnat 2021 d’une façon plus solide que si nous n’avions pas de course en 2020.”

“Si une course n’a pas de spectateurs, les revenus du promoteur disparaissent. Ce qui veut dire que le format de contrat existant ne serait alors plus valable, car les conditions seraient différentes.”

“Nous ne sommes pas encore entrés dans les détails, parce que nous ne savons pas comment cela va se passer. Mais à partir du moment où l’on envisage un Grand Prix à huis clos, les conditions devraient être évidemment différentes.”

Le directeur du circuit de Barcelone explique que la nécessité de renégocier le contrat est basée sur le fait que le rendement économique du circuit et de la Catalogne en général changerait complétement avec une course à huis clos.

“Ce n’est pas seulement le sujet de la vente de billets. Il faut rappeler qu’un Grand Prix est fréquenté en moyenne par 100 000 spectateurs, plus tout le cirque. Cela a un impact sur le territoire, et lorsqu’un gouvernement investit – comme c’est le cas de La Generalitat de Catalunya – ne pas avoir tous ces gens a un impact économique.”

“Cet impact, à partir du moment où seules les équipes et les médias pourraient venir, est réduit au minimum.”

Plusieurs courses sur le circuit de Barcelone ?

L’une des idées évoquées par Liberty Media ces dernières semaines est d’organiser plusieurs courses sur un circuit afin de réduire les coûts et d’être plus à l’aise sur le plan logistique.

Le circuit de Barcelone pour sa part est prêt à organiser plusieurs courses sur son tracé si besoin : “Nous leur disons : “si vous croyez que Barcelone peut offrir des possibilités, sachez qu’il nous faut entre deux et trois semaines pour organiser un Grand Prix.”

Le directeur du circuit de Catalunya ne manque pas d’ailleurs de rappeler les principaux atouts de son tracé par rapport à d’autres : “Premièrement, nous avons une expérience de 30 ans dans l’organisation de Grand Prix.. Deuxièmement, la ville de Barcelone, troisièmement il y a une facilité logistique et enfin, nous avons un bon climat.”

Red Bull prêt pour un début de saison 2020 en Autriche à huis clos

Helmut Marko, le conseiller motorsport de l’équipe Red Bull, estime que la saison 2020 de F1 pourrait débuter en Autriche en juillet.

A l’heure actuelle, neuf Grands Prix de F1 ont déjà été reportés depuis le début de l’année et la saison 2020 n’a toujours pas pu débuter en raison de la pandémie de coronavirus.

La F1 étudie toutes les options qui s’offrent à elle pour faire en sorte d’élaborer un calendrier 2020 cohérent et comportant au minimum 15 courses et n’écarte pas l’idée de débuter la saison en Autriche sur le circuit Red Bull Ring.

La situation sanitaire en Autriche évolue favorablement depuis quelques jours et, après un confinement de la population assez stricte, l’heure est désormais à l’assouplissement des restrictions.

Pour Helmut Marko, débuter la saison 2020 sur le Red Bull Ring au mois de juillet semble donc réaliste, mais à condition que toutes les règles de sécurité soient appliquées évidemment.

“Rien n’a encore été décidé.” a déclaré Helmut Marko à F1-insider. “Mais il y a des tendances positives et nous serions également prêts sur le principe.”

“Cependant, il ne faut pas qu’il y ait de rechute dans cette pandémie de coronavirus et il faudra que toutes les mesures de sécurité soient respectées.”

“Ce qui est certain, c’est que s’il y a une course, elle sera sans spectateurs. La question pour savoir combien de représentants des médias seront admis est également ouverte.”

“La course est prévue le 5 juillet, mais nous n’avons pas encore ancré toutes nos considérations pour savoir s’il y aura un second Grand Prix sur le Red Bull Ring.”

La F1 rediffuse le GP de Chine 2018 ce samedi

La F1 rediffuse ce samedi 18 avril le Grand Prix de Chine 2018 remporté par l’Australien Daniel Ricciardo au volant de sa Red Bull.

En l’absence de course suite au report du début de la saison 2020, la Formule 1 rediffuse depuis le mois dernier quelque-unes des courses ayant marqué l’histoire de la discipline.

Ce samedi 18 avril, c’est le Grand Prix de Chine 2018 qui sera rediffusé et les fans pourront vivre ou revivre la victoire de Daniel Ricciardo qui aura définitivement scellé sa réputation de dépasseur lors de cette course mouvementée.

Au terme d’un scénario improbable, le pilote Red Bull a franchi la ligne d’arrivée en vainqueur, bien aidé par une stratégie audacieuse de la part de son équipe, qui a profité de l’entrée en piste de la voiture de sécurité au 31° tour de course pour chausser des pneus frais sur la Red Bull de l’Australien.

A l’arrivée, Daniel Ricciardo devancera la Mercedes de Lewis Hamilton, en difficulté ce week-end là, et la Ferrari pilotée à l’époque par le Finlandais Kimi Raikkonen.

Pour voir ou revoir le Grand Prix de Chine 2018, rendez-vous sur les différents canaux de communication de la F1 : YouTube, Facebook et F1.com à partir de 16h00 (heure de Paris).

Juan Manuel Correa confirmé pour le GP F1 de Chine virtuel ce dimanche

Juan Manuel Correa et Antonio Giovinazzi représenteront Alfa Romeo Racing ce dimanche pour le GP de Chine virtuel.

Antonio Giovinazzi et Juan Manuel Correa représenteront Alfa Romeo Racing ORLEN lors du Grand Prix virtuel chinois de dimanche organisé par la Formule 1.

Le duo sera confronté à une forte concurrence, avec un total de six pilotes de la grille de Formule 1 prévus pour participer à la course aux côtés de célébrités, de jeunes talents et de légendes du sport.

La diffusion de la course débutera à 19h00 (heure de Paris) le dimanche 19 avril et sera disponible sur les chaînes officielles de la Formule 1 YouTube, Twitch, Weibo et Facebook.

Antonio Giovinazzi, fraîchement sorti de sa cinquième place au Grand Prix virtuel de Melbourne, lors de sa première course sur le jeu F1 2019, reviendra avec deux semaines de pratique à son actif – y compris avec une participation à la course #RaceForTheWorld, organisée par un groupe de pilotes de Formule 1 eux-mêmes pour recueillir des fonds pour la lutte contre le Covid-19.

À ses côtés pour la première fois, Juan Manuel Correa. Le pilote américano-équatorien, qui a participé à la F2 et testé pour l’équipe de Hinwil en 2019, participera à son premier événement de simulation de Formule 1 officiel ce week-end.

Cependant, il possède déjà une grande expérience en course virtuelle, y compris plusieurs apparitions dans les événements esports. qui ont eu lieu ces dernières semaines.

Wolff : “La F1 se doit de contribuer à réduire la propagation du coronavirus”

Le directeur exécutif de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, a déclaré que la F1 se devait de contribuer à réduire la propagation du coronavirus.

Alors que la saison 2020 de F1 n’a pas pu débuter comme prévu au mois de mars en raison de la pandémie de Covid-19, plusieurs écuries de la grille se sont engagées à developper et fabriquer des respirateurs destinés aux malades en insuffisance respiratoire.

Ce projet baptisé “Projet Pitlane” a vu les sept équipes basées en Angleterre travailler sur ces dispositifs médicaux vitaux et ont contribué à l’approvisionnement de plus de 20 000 unités au Royaume-Uni.

“La Formule 1 est une plate-forme de divertissement et un sport, et cela nous manque à tous. Mais je pense que nous nous devons de contribuer pour aider à réduire les cas et à sortir de cette terrible phase.” explique Toto Wolff.

“La chose la plus importante est la santé et le bien-être de nous tous, de nos familles et de nos amis et de nos collègues de l’équipe et de chez Daimler [maison mère de Mercedes].”

“Je pense que vous avez vu et entendu parler de cas particuliers et qui ne devraient pas être aussi durement touchés.”

“Ajoutez à l’équation les différentes stratégies des gouvernements: l’Autriche, mon pays d’origine, a adopté une politique de verrouillage très précoce et trois semaines plus tard, le virus est en voie de disparition et le gouvernement envisage de rouvrir lentement à la vie normale.”

“Ensuite, vous voyez que la Suède a adopté une stratégie totalement différente et est restée fondamentalement comme avant, ajoutant simplement la composante de la distanciation sociale. Nous combattons vraiment un ennemi inconnu.”

“Je pense que cela nous fait apprécier davantage les petites choses de la vie, faire une promenade si on nous le permet, passer du temps avec la famille et les enfants et ne pas nous précipiter vers notre bureau.”

“C’est une période difficile pour nous tous, certains d’entre nous sont peut-être un peu plus à l’aise avec l’espace dont ils disposent pour l’activité, mais nous sortirons meilleurs, nous sortirons plus forts.”

“Une mer agitée fait de bons marins. Lorsque que vous y êtes, vous n’êtes pas bien, mais lorsque nous en sortirons, nous serons une société différente avec des valeurs différentes et une mentalité différente.”

Renault F1 ne veut pas “tout remettre en question” au sujet du budget capé

Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing, aimerait que les discussions sur le  plafond budgétaire restent concentrées sur l’essentiel.

Alors que les dirigeants d’équipes, la FIA et la F1 se sont une nouvelle fois réunis cette semaine pour essayer de fixer un plafond budgétaire plus bas que celui déjà voté [175 millions], le patron de l’équipe Renault lui souhaite que ces discussions restent concentrées sur l’essentiel.

“Le plafonnement est complétement en discussion, après, je pense qu’il ne faut pas tout remettre en question : les exclusions, le périmètre, le montant, etc. Nous sommes plutôt en faveur de choses simples, à savoir uniquement modifier un plafond.” explique le patron de Renault F1 à nos confrères d’Auto Hebdo.

“Commencer à imaginer des plafonds différents selon qu’on soit constructeur, motoriste, ou écurie cliente, ce sont des choses compliquées et qui ne sont pas nécessaires. Tout ceci a d’ores et déjà été prévu dans les règlements financiers. Il suffit de le mettre en œuvre et de finir le boulot.”

“Cette crise crée des circonstances favorables à d’autres mesures sur lesquelles on a un peu procrastiné collectivement jusqu’à maintenant.”

“En ces temps où tout le monde va devoir se serrer la ceinture, cela me paraît être un message audible, voire nécessaire.”

“Si les top teams doivent procéder à des centaines de licenciement à l’aune du budget cap et que l’on continue à payer les pilotes plusieurs dizaines de millions par an, je trouve qu’il y a quelque chose qui ne colle pas.”

Cette semaine, Cyril Abiteboul a d’ailleurs confirmé que son pilote vedette Daniel Ricciardo avait accepté de revoir son salaire à la baisse dans cette période si compliquée financièrement pour toutes les équipes de la grille.

C’est une discussion que nous avons déjà eue. Daniel a déjà confirmé qu’il était prêt [à baisser son salaire] et je peux vous confirmer qu’il le réduira.”

La semaine dernière, l’équipe Renault F1 a annoncé une mise au chômage partiel de son personnel à Enstone et à Viry-Châtillon.

Pour son site de Viry-Châtillon, Renault Sport Racing a décidé de recourir à l’activité partielle à compter du 6 avril pour une durée prévisionnelle de 12 semaines.

Pour son site d’Enstone en Angleterre, Renault Sport Racing a décidé de demander à bénéficier, de manière rétroactive, du dispositif appelé « Job Retention Scheme », mis en place par le gouvernement britannique.

A compter du 1er Avril, la très grande majorité des personnels d’Enstone est donc en arrêt total d’activité et ce jusqu’au 31 mai en fonction de l’évolution de la situation.

Les F1 2020 vont battre tous les records selon Sergio Perez

Après des essais hivernaux réussis pour l’équipe Racing Point, Sergio Perez est frustré de ne pas savoir à quel point sa monoplace est compétitive par rapport aux autres.

Au terme des essais hivernaux 2020 disputés à Barcelone, Sergio Perez a signé le septième meilleur temps de ces six journées d’essais en Catalogne.

Pour le Mexicain, les monoplaces de la saison 2020 sont tout simplement les plus rapides de l’histoire et il s’attend à ce que les pilotes battent des records cette année.

“Nous conduisons les voitures les plus rapides de l’histoire de la Formule 1. Vous ne pouvez même pas imaginer à quel point elles sont rapides dans les virages.” explique Sergio Perez.

“Ce n’est rien à côté des années précédentes. Les tours de qualification vont être incroyables. Nous allons battre tous les records du tour cette année avec la génération de voitures que nous avons, ce sont tout simplement les meilleures voitures.”

Et le report du début de saison 2020 en F1 n’a fait qu’accroître la faim du pilote mexicain pour battre des records, d’autant plus qu’il sera cette année derrière le volant de la RP20, qui est clairement sa favorite parmi toutes les monoplaces qu’il a pu piloter jusqu’à présent.

“L’autre jour, j’ai eu un appel avec Otmar [Szafnauer, directeur de Racing Point] et aussi avec Tom [McCullough], notre ingénieur en chef, et je leur disais “vous savez, pour la première fois de notre carrière , nous avons une voiture compétitive.” 

“Nous ne savons évidemment pas à quel point elle est compétitive, mais nous savons que c’est encourageant.”

“[Ne pas rouler] à Melbourne avec toute la préparation que nous avions faite, et en sachant que nous avions une bonne voiture, a été très douloureux. Mais c’est une période douloureuse pour tout le monde et nous devons simplement rester unis.”

Confiné, Sebastian Vettel a acheté un simulateur de F1

Le pilote Ferrari Sebastian Vettel a décidé d’éveiller sa curiosité en s’achetant un simulateur de pilotage.

En raison de la pandémie de Covid-19 et de l’absence de courses en F1, plusieurs pilotes de la grille se sont mis à participer à des courses de Formule 1 en ligne, chose que n’a jamais fait Sebastian Vettel.

Mais en plein confinement et face à l’engouement de ce type de compétition, le pilote allemand a finalement décidé de franchir le pas et de s’acheter un simulateur de F1.

“La vérité est que je n’avais pas de simulateur jusqu’à il y a quelques jours, donc je n’ai pas été tenté parce que je n’en avais pas la possibilité.” explique Sebastian Vettel.

“J’ai entendu beaucoup de choses à ce sujet, alors, je me suis dit que je devais en obtenir un pour essayer, mais je dois encore le configurer correctement.”

“De façon général, je ne prévois pas de faire carrière dans les courses Sim. Je pense que c’est plus quelque chose à essayer pour le plaisir.”

“J’ai grandi avec certaines choses et j’ai joué à certains jeux. Mais pour être honnête, depuis que j’ai des enfants, ce n’est pas l’une de mes priorités.”

“Je suis tout de même conscient que certaines personnes prennent cela très au sérieux et y passent beaucoup de temps. Mais de mon côté, j’aime aussi faire d’autres choses, donc, ce sera un peu un mix.”

Sebastian Vettel : “Nous aimerions tous revenir à la normale”

Sebastian Vettel a donné une [rare] interview par visioconférence pour donner son point de vue sur la situation que traverse actuellement la F1.

Le pilote Ferrari a d’abord été interrogé sur son possible renouvellement de contrat avec la Scuderia Ferrari, alors que son actuel contrat arrive à son terme à la fin de cette saison.

Sebastian Vettel n’a pas écarté l’idée de continuer avec l’équipe de Maranello pour plusieurs années encore.

“Quel que soit l’accord, ce sera quelque chose où moi et l’équipe serons à l’aise. Donc, en termes de durée, je ne sais pas. Normalement, les contrats que j’avais dans le passé étaient tous des contrats de trois ans.” explique Sebastian Vettel.

“Je sais que je suis l’un des pilotes les plus expérimentés de la Formule 1 mais je ne suis pas le plus âgé et je ne pense pas qu’il y ait une limite d’âge à cet égard.”

“Il y a une forte probabilité que nous devions prendre une décision avant la première course, car pour le moment, il semble qu’il n’y aura pas de course avant juin ou juillet.”

Interrogé sur la crise sanitaire qui touche de plein fouet la Formule 1 en ce moment, Sebastian Vettel estime qu’il est bien difficile de savoir quand et où la saison 2020 pourra enfin débuter. Le quadruple champion du monde souhaitant avant tout assurer la sécurité du personnel et du public.

“C’est un sport qui se pratique en plein air mais nous avons beaucoup de gens qui viennent normalement pour regarder nos courses.”

“Nous devons nous assurer que, tout en prenant soin de nous, nous prenons également soin du public. Maintenant, il y a beaucoup d’options auxquelles vous pouvez penser pour débuter la saison et sur quel format reprendre.”

“Que ce soit sans fans, que ce soit avec des fans, je ne sais pas. Je pense que personne n’aime courir devant des tribunes vides, cela semble un peu étrange, mais d’un autre côté, la question est de savoir quand sera le bon moment pour dire que nous recommençons à courir.”

“Ce que nous aimerions tous, c’est revenir à la normale – pas seulement pour la Formule 1 mais pour le bien de tous et du monde entier – mais comme je l’ai dit précédemment à cet égard, la meilleure prescription sera d’être patient.”

“C’est douloureux parce que je veux retourner dans la voiture et si je suis égoïste, je veux courir, mais il y a beaucoup de gens qui aimeraient beaucoup de choses en ce moment par rapport à la situation dans laquelle ils se trouvent actuellement.”

“Probablement au tout début, les deux premières courses seront compromises par rapport à ce à quoi nous sommes habitués mais, espérons-le, pas trop car nous voulons évidemment courir d’une manière que nous connaissons tous, c’est-à-dire devant la foule, en devant les fans, avec une super ambiance et ainsi de suite. Nous verrons.”

Nico Rosberg demande aux “esprits égoïstes” de s’occuper des petites équipes de F1

Le champion du monde de F1 2016 Nico Rosberg a appelé les plus grandes équipes à faire preuve de solidarité afin d’aider les plus petites écuries.

Désormais retraité de la Formule 1 après avoir décroché son unique titre en 2016, l’Allemand Nico Rosberg n’en reste pas moins impliqué et n’hésite pas à donner son avis.

L’ancien pilote Mercedes a d’ailleurs livré son sentiment sur la crise actuelle qui touche de plein fouet la Formule 1 et plus particulièrement les plus petites équipes de la grille qui souffrent de l’absence de revenus en ce début d’année.

“Si vous avez des esprits égoïstes qui font leurs propres affaires, alors tout s’écroulera aussi dans le sport.” explique Rosberg à l’Equipe au sujet du plafonnement budgétaire en F1.

“Il y a encore quelques écuries de haut niveau qui ne jouent pas le jeu, qui restent sur leur position. Certaines des meilleures équipes ont déjà cédé et accepté les besoins des plus petites, elles comprennent la situation dans son ensemble.”

“Il ne peut pas y avoir de sport si deux, trois, quatre petites écuries abandonnent. Il faut donc s’occuper des petites écuries et il est urgent de réduire les coûts.”

Ce jeudi s’est tenue une réunion entre les dirigeants des équipes, la F1 et la FIA pour fixer un plafond budgétaire plus bas que celui déjà voté [175 millions de dollars], mais aucun accord n’a encore été trouvé.

Un système de handicap aérodynamique à l’étude en F1

Les différentes parties n’ont toujours pas trouvé d’accord sur le montant du plafond budgétaire qui sera introduit en F1 l’an prochain.

A l’issue d’une réunion qui s’est tenue ce jeudi par visioconférence, aucun accord n’a été trouvé entre les chefs d’équipes, la F1 et la FIA pour fixer le plafond budgétaire pour les deux prochaines saisons de F1 et au delà.

Le principal objectif de cette réunion était un plan visant à fixer un plafond de 145 millions de dollars par saison [au lieu de 175 millions] pour l’année prochaine et à le réduire à 130 millions de dollars en 2022.

D’autres propositions sur les règles incluaient une échelle mobile d’handicap pour la recherche aérodynamique, où les équipes moins performantes seraient autorisées à développer davantage.

Cette idée a été avancée par les meilleures équipes, qui l’ont présentée comme une manière élégante de niveler les performances entre chaque équipe en “handicapant” les plus fortes.

L’idée serait que l’équipe qui a terminé première du championnat du monde soit autorisée à faire le moins de recherches aérodynamiques l’année suivante et l’équipe qui a terminé dernière serait autorisée à en faire davantage.

Mercedes, Ferrari et Red Bull ont proposé que cela soit également lié au plafond budgétaire – afin qu’ils puissent dépenser plus d’argent – mais les autres équipes n’ont pas voulu.

Il a également été discuté lors de cette réunion la proposition de report des règles de 2022 à 2023, comme le souhaite le patron de l’équipe Red Bull, Christian Horner, mais cette proposition a été rejetée.

Encore d’autres réunions à venir

Il faudra probablement encore plusieurs semaines pour parvenir à un accord final sur le niveau du plafond budgétaire pour les deux prochaines saisons et au-delà. Cependant, la Scuderia Ferrari reste le principal opposant à l’abaissement du plafond budgétaire en dessous de 150 millions de dollars.

Ferrari continue de souligner la nécessité de bien réfléchir avant de prendre ce qu’ils considéreraient comme des “mesures radicales” et estiment qu’il faudrait consacrer beaucoup plus de temps à discuter de l’impact potentiel de ces propositions.

La F1 souhaite débuter la saison 2020 en Autriche

La F1 envisage toujours un début de saison 2020 en Autriche au mois de juillet, suivi de deux courses sur le tracé de Silverstone.

A la suite de la réunion entre les dirigeants d’équipes, la F1 et la FIA qui s’est tenue ce jeudi, l’idée de débuter la saison 2020 en Autriche comme évoqué il y a quelques semaines est toujours d’actualité.

Les neuf premières courses ont toutes été reportées en raison de la crise mondiale des coronavirus et la F1 fait face à une cible mouvante alors qu’elle cherche une date de début de saison.

Mais le récent assouplissement des restrictions de confinement en Autriche pourrait signifier que le Grand Prix d’Autriche pourrait avoir lieu du 3 au 5 juillet à huis clos. Elle pourrait être suivie de deux courses à Silverstone, également sans spectateurs.

La proposition de courir plusieurs courses à Silverstone n’est pas nouvelle, puisque le circuit en a déjà discuté avec les patrons de la F1 plus tôt ce mois-ci.

L’Autriche pour sa part est devenue cette semaine l’un des premiers pays européens à assouplir les restrictions liées au confinement, permettant à des milliers de magasins d’ouvrir, même si les gens sont toujours invités à travailler à domicile si possible.

Parallèlement, le gouvernement britannique a annoncé jeudi une prolongation de trois semaines de ses directives en matière de distanciation sociale, la propagation du virus n’ayant pas encore atteint son pic maximum, tandis que la France a interdit les rassemblements de masse jusqu’à la mi-juillet.

La FIA, la F1 et les directeurs d’écuries se réuniront une nouvelle fois la semaine prochaine pour discuter de l’évolution de la situation.

Covid-19 : Ferrari fabrique des raccords et des valves à Maranello

Ferrari a commencé à produire des valves respiratoires et des raccords pour masques de protection dans son usine de Maranello.

Le département où les prototypes de voitures sont généralement construits est désormais réservé à la production de ces composants thermoplastiques. Les techniciens utilisent la technologie d’impression 3D.

Certaines valves ont été développées par la société Mares, un fabricant d’équipement de plongée, sur mesure pour s’adapter à leurs masques afin de créer des masques d’urgence pour aider les patients souffrant d’insuffisance respiratoire.

La logistique du projet a été prise en charge par Nuovamacut Gruppo TeamSystem, qui a également aidé à la recherche des différentes entreprises qui ont contribué au succès du projet.

D’autres accessoires sont fournis à Solid Energy, qui les utilisera pour transformer les masques de plongée Decathlon afin de protéger les professionnels de santé exposés aux infections.

Au cours des prochains jours, Ferrari prévoit également de fabriquer plusieurs centaines d’équipements qui sont déjà distribués par certaines des sociétés impliquées, avec la coordination de la protection civile italienne, dans divers hôpitaux italiens, y compris ceux de Bergame, Gênes, Modène et Sassuolo ainsi qu’aux agents de santé de la ville de Medicina, près de Bologne.

Sans pression, Hülkenberg s’autorise désormais quelques petits plaisirs

Confiné à Monaco, le jeune retraité de la F1, Nico Hülkenberg s’occupe comme il le peut en attendant de retrouver une vie normale.

En pleine année sabbatique depuis son départ de l’équipe Renault F1 fin 2019, l’Allemand Nico Hülkenberg profite un peu plus des choses simples de la vie depuis le début de l’année.

N’étant plus soumis à aucune pression, l’ancien pilote Renault s’autorise quelques excès, mais sans abus, ce qui s’est traduit par quelques kilos en trop sur la balance.

“Je m’entraîne toujours, bien-sûr pas aussi intensément que lorsque je pilotais. Au cours des six derniers mois, j’ai profité un peu plus de la vie, j’ai bu du vin et j’ai bien mangé.” explique le pilote allemand à AMUS.

“C’est pour cette raison que je suis maintenant deux ou trois kilos au dessus de la normale. Mais je ne suis pas complétement déformé. Ma condition physique est toujours correcte, j’ai récemment vérifié tout ça.”

“Bien-sûr, je n’ai aucune pression en ce moment. De toute façon, je savais que rien n’arriverait au cours des six premiers mois [de sa “retraite”]. J’ai donc pris tout ça un peu plus détendu.”

“Pour moi, je suis maintenant dans une phase d’orientation dans laquelle j’observe tout, mais je fais aussi simplement les choses que j’ai envie de faire, même si pour le moment tout est un peu limité avec le coronavirus.”

Lorsqu’on lui demande s’il n’est pas trop difficile de ne plus courir, Hülkenberg répond : “Je ne sais pas. Les autres sont certainement plus sur les charbons ardents que moi, parce qu’ils ne savent pas trop ce qui va se passer.”

“De mon côté, je ne suis pas directement impliqué, donc, je suis un peu plus distant et détendu.”

Un retour en F1 compromis avec la crise

Lorsqu’on lui demande s’il pense pouvoir retrouver un baquet en Formule 1 pour la saison 2021, Nico Hülkenberg ne cache pas que la situation est quelque peu compliquée.

Bonne question. Il est difficile d’y répondre. D’une manière ou d’une autre, tout est déséquilibré et il n’y a plus de rythme normal.”

“La Silly Season [marché des transferts en F1] n’est pas à l’ordre du jour pour le moment. Sans course, personne ne peut se démarquer positivement ou négativement.”

Pour le moment, tout est spéculatif. Il n’est pas possible de prédire comment les cartes vont tomber. La situation est nouvelle pour tout le monde, et si la saison commence, de nombreuses questions se poseront.”

Je n’ai donc pas d’autre choix que de regarder la situation et espérer être au bon endroit au bon moment. Ma stratégie pour l’avenir est due à la situation actuelle. Par conséquent, nous ne sommes tous que des passagers pour le moment.”

Lorsque le monde recommencera à tourner, nous verrons ce qui se passera. J’en suis là pour l’instant.”

Confiné à Dubaï, Pierre Gasly peaufine sa condition physique

Pierre Gasly a choisi de passer son confinement à Dubaï et le Français profite de ce temps mort en F1 pour peaufiner sa condition physique.

Après le Grand Prix d’Australie, Pierre Gasly a choisi de ne pas rentrer directement en Europe et a préféré faire une [longue] escale à Dubaï avec son entraîneur personnel, Pyri Salmela.

“Avec cette période de pause, nous essayons de prendre cela comme un camp d’entraînement avec Pyry, qui reste avec moi et nous nous entraînons dur.” explique Pierre Gasly.

“C’est la même chose en termes de régime, il n’a jamais été aussi stricte que maintenant et nous essayons de d’améliorer encore plus ma condition physique. Pyry est un grand chef et fait des plats incroyables, alors j’essaie de l’aider parfois.”

Lorsqu’on lui demande pourquoi il a préféré ne pas rentrer en Europe, Gasly explique qu’il ne voulait pas prendre de risque en rejoignant ses parents en France.

“J’ai jeté un coup d’œil à la situation pour retourner en Italie où je vis mais déjà, les aéroports fermaient, donc ce n’était pas possible.” explique le Français.

“Je ne voulais pas non plus prendre le risque de retourner voir ma famille et mes parents…qui ont plus de 60 ans. Donc, j’ai pensé que ce serait mieux de rester ici.”

“En ce moment, nous faisons six jours d’entrainement, puis un jour de congé. C’est divisé, moitié cardio et moitié poids et pour le moment…je n’ai pas besoin de soulever 150 kilos comme dans d’autres sports.”

“En Formule 1, il faut être vraiment en forme, du point de vue cardio-vasculaire, donc nous faisons beaucoup de course ou de vélo pendant assez longtemps.”