Sondage – Isack Hadjar entrera-t-il une nouvelle fois en Q3 en Autriche ? 

Après un début de saison très solide au volant de la Racing Bulls, Isack Hadjar va tenter de décrocher une nouvelle bonne position sur la grille de départ ce samedi en Autriche. Le Français a atteint pas moins de six Q3 sur les dix qualifications en 2025 et reste sur quatre Q3 consécutives. Dans une forme étincelante, Isack Hadjar peut-il encore une fois atteindre la dernière partie des qualifications en Autriche ce week-end ? 

 

GP d’Autriche, EL2 – Les McLaren devancent Verstappen 

Lando Norris a signé le meilleur temps des EL2 en Autriche, devançant Oscar Piastri et Max Verstappen.

Après des EL1 dominés par George Russell, les pilotes McLaren ont remis l’église au milieu du village en positionnant leur monoplace en première et deuxième positions, bien devant la concurrence. Lando Norris a ainsi devancé son coéquipier et leader du championnat Oscar Piastri d’un dixième et demi.

Derrière les McLaren, c’est Max Verstappen que l’on retrouve en troisième position sur un chrono effectué avec des pneus tendres légèrement usés.

Quatrième, Lance Stroll a créé la petite surprise du jour en venant positionner son Aston Martin au milieu des leaders. Charles Leclerc, qui avait manqué les EL1 étant remplacé par Dino Beganovic, a signé le cinquième chrono juste devant le dernier vainqueur de Grand Prix à date, George Russell. Yuki Tsunoda, récemment en grande difficulté au volant de sa Red Bull, fait son retour dans le top 10 en réalisant le septième chrono.

Déjà sixième en EL1, Gabriel Bortoleto confirme sa bonne forme du jour plaçant sa Sauber en huitième place loin devant son coéquipier, Nico Hülkenberg, seulement 19e. Les multiples Champions du monde, Fernando Alonso et Lewis Hamilton complètent le top 10.

Côté Français, il faut donc regarder dans la deuxième moitié du classement avec les trois représentants tricolores l’un derrière l’autre de la 13e place à la 15e. Isack Hadjar devance ainsi Pierre Gasly et Esteban Ocon.

À noter également la mauvaise forme des Williams en EL2, avec Alex Albon et Carlos Sainz respectivement 16e et 17e, des positions qui seraient synonymes d’une double élimination en Q1.

Voir le classement et les résultats des Essais Libres 2 du Grand Prix d’Autriche 

La prochaine séance d’essais libres est programmée ce samedi à 12h30 sur le Red Bull Ring avant les qualifications qui sont elles prévues à 16h00.

Classement et résultats des Essais Libres 2 du Grand Prix d’Autriche

Les résultats des Essais Libres 2 du Grand Prix d’Autriche

Norris se méfie de Red Bull en Autriche : « Ils ont un avantage sur nous »

Lando Norris s’est exprimé sur les forces en présence avant le Grand Prix d’Autriche où il s’attend à voir Red Bull et un Max Verstappen très performant à Spielberg.

Après son accrochage avec Oscar Piastri au Canada, Norris espère rebondir ce week-end sur le Red Bull Ring. D’un point de vue de la performance pure, le Britannique indique qu’en course la McLaren est toujours très forte mais que le problème se situe avant tout en qualifications.

« Nous avons eu un très bon début de saison, surtout du point de vue de la course », a déclaré Norris. « Je pense que certains de nos principaux concurrents ont rattrapé leur retard dans certains domaines, ce qui est évident. Je pense que nous avons toujours un avantage et une voiture de course très forte, mais évidemment une voiture de qualification un peu plus délicate. »

Même si Norris affirme que l’Autriche est un circuit fort pour McLaren par le passé, le Britannique pointe du doigt les virages à haute vitesse à Spielberg sur lesquels la Red Bull a l’avantage.

« L’Autriche est également un circuit très différent et c’est l’un de nos meilleurs dans le passé », a ajouté Norris. « C’est aussi un très bon circuit pour Red Bull et pour Max. Ils étaient en pole pour quatre dixièmes et demi l’année dernière. C’est donc clairement un circuit sur lequel ils sont très forts. Ils ont un avantage sur nous dans les virages à grande vitesse, qui sont nombreux ici. »

« Nous espérons être performants, mais nous aurons peut-être un peu plus de mal lors des qualifications par rapport à certains de nos concurrents »

Oscar Piastri arrive en Autriche en tant que solide leader du championnat du monde avec 22 points d’avance sur Lando Norris, deuxième, et 43 unités sur Max Verstappen, troisième.

GP d’Autriche, EL1 – Russell meilleur temps, le jeune Dunne impressionnant 4e

George Russell a signé le meilleur temps de la première séance d’essais libres en Autriche devant Max Verstappen et Oscar Piastri. 

Ce fut tout d’abord un début de séance compliqué pour Ferrari puisque Lewis Hamilton a été victime d’un problème de boîte de vitesses. De l’autre côté du garage, Dino Beganovic, qui remplaçait Charles Leclerc, était lui aussi bloqué dans les box avec un changement de fond plat. Au final, Hamilton ne s’est classé que neuvième en EL1, loin devant Beganovic 18e.

Fernando Alonso, 14e, s’est lui fait piéger tel un débutant en partant en tête-à-queue dans le dernier au virage alors qu’il allait entamer un de ses tours chronos. « C’était le pire tour de sortie que nous pouvions faire. C’est bien de l’avoir fait en EL1 », indiquait Alonso à la radio. 

George Russell a donc réalisé le meilleur chrono de cette séance pour 65 millièmes devant Max Verstappen. Oscar Piastri troisième a devancé de justesse son surprenant jeune coéquipier pour ces EL1, Alex Dunne. Ce dernier, qui remplaçait exceptionnellement Lando Norris, s’est classé quatrième à 69 millièmes du leader du championnat et à 2 dixièmes de Russell.

Ensuite, Pierre Gasly a terminé à une belle cinquième place devançant Gabriel Bortoleto lui aussi très bien classé. Les deux Williams suivaient derrière en septième et huitième places, Albon devant Sainz. Lewis Hamilton et Isack Hadjar ont conclu le top 10. À noter que les deux Haas ont fermé la marche en EL1 avec un Esteban Ocon 19e. Ollie Bearman, dernier, est le seul à terminer à plus d’une seconde de Russell, annonçant une nouvelle Q1 particulièrement serrée ce samedi.

Place désormais aux EL2 du Grand Prix d’Autriche qui débuteront à 17h00 sur le Red Bull Ring à Spielberg.

Voir le classement et les résultats des EL1 du Grand Prix d’Autriche

Classement et résultats des Essais Libres 1 du Grand Prix d’Autriche

Les résultats des Essais Libres 1 du Grand Prix d’Autriche

PositionPiloteÉquipeÉcartPneus
1George RussellMercedes1:05.542S
2Max VerstappenRed Bull +0.065S
3Oscar PiastriMcLaren+0.155S
4Alexander DunneMcLaren+0.224S
5Pierre GaslyAlpine+0.238S
6Gabriel BortoletoSauber+0.332S
7Alexander AlbonWilliams+0.404S
8Carlos SainzWilliams+0.475M
9Lewis HamiltonFerrari+0.557S
10Isack HadjarRacing Bulls +0.568S
11Kimi AntonelliMercedes+0.588S
12Nico HülkenbergSauber+0.598S
13Lance StrollAston Martin +0.618S
14Fernando AlonsoAston Martin+0.628S
15Liam LawsonRacing Bulls+0.647S
16Franco ColapintoAlpine+0.704S
17Yuki TsunodaRed Bull+0.720S
18Dino BeganovicFerrari+0.827S
19Esteban OconHaas+0.968S
20Oliver BearmanHaas+1.196S

Max Verstappen n’aura pas son ingénieur historique Gianpiero Lambiase en Autriche

Pour la première fois depuis son arrivée chez Red Bull en 2016, Max Verstappen ne travaillera pas avec Gianpiero Lambiase en tant qu’ingénieur de course sur un week-end de Grand Prix.

Le duo Lambiase-Verstappen fait partie des partenariats les plus victorieux de l’histoire de la Formule 1 avec quatre titres de Champion du monde acquis ensemble ainsi que 65 victoires en Grand Prix.

Cependant, Gianpiero Lambiase est absent du Grand Prix d’Autriche ce week-end pour des raisons personnelles a révélé De Telegraaf. Même si les fans de F1 devront s’habituer le temps d’un week-end à ne pas entendre Lambiase à la radio, ce n’est toutefois pas une voix inconnue qui débarque dans les oreilles de Max Verstappen. 

C’est en effet Simon Rennie qui remplace Lambiase, à savoir l’ancien ingénieur de course de Daniel Ricciardo chez Red Bull. Alors que l’Australien partait chez Renault en 2019, Simon Rennie avait délaissé les bords de piste pour un rôle à l’usine Red Bull. 

Max Verstappen et Simon Rennie vont donc devoir se découvrir le temps d’un week-end de course alors que ces échanges entre ingénieur de course et pilote sont évidemment extrêmement importants pour extraire tout le potentiel en week-end de Grand Prix.

Max Verstappen espère une nouvelle fois performer en Autriche sur un circuit qui lui a souvent été favorable dans le passé. Le Néerlandais arrive en troisième position du championnat du monde des pilotes à 43 points du leader Oscar Piastri. 

Max Verstappen entretient le flou sur son avenir chez Red Bull après 2026

Max Verstappen n’a pas souhaité confirmer s’il resterait chez Red Bull en 2026, entretenant ainsi les spéculations sur son avenir malgré un contrat en vigueur jusqu’à fin 2028. Si son engagement contractuel semble clair, l’avenir à long terme du pilote néerlandais reste sujet à de nombreuses interrogations.

Courtisé par plusieurs écuries, dont Mercedes et Aston Martin, le quadruple champion du monde garde toutes les portes ouvertes. Récemment devenu père, il n’exclurait pas non plus une pause dans sa carrière, voire une retraite anticipée.

Chez Mercedes, George Russell a suggéré que le retard dans la prolongation de son propre contrat pourrait être lié à l’intérêt persistant de son équipe pour Verstappen. Le directeur de l’écurie allemande, Toto Wolff, n’a jamais caché son admiration pour le pilote Red Bull.

Déjà interrogé en 2024 sur sa présence chez Red Bull en 2025, Verstappen avait alors confirmé son engagement, malgré les tensions internes qui ont marqué le début de saison, notamment entre Christian Horner et Jos Verstappen.

Plus récemment, Helmut Marko a déclaré que le Néerlandais resterait en 2026, première année de la nouvelle réglementation technique. Mais lorsque la question lui a été posée directement, Verstappen s’est abstenu de toute confirmation explicite, laissant planer le doute sur ses intentions au-delà de la saison prochaine.

« On m’a déjà posé cette question », a déclaré Verstappen aux médias, lorsqu’on lui a simplement demandé s’il piloterait pour Red Bull en 2026. « Je ne pense pas que nous ayons besoin d’en parler. Je ne sais pas, voulez-vous que je répète ce que j’ai dit l’année dernière ? Je ne sais pas. C’est la même réponse. Je ne me souviens même pas de ce que j’ai dit l’année dernière, vraiment. Mais encore une fois, ce n’est pas vraiment dans mes pensées. Je me contente de bien piloter, d’essayer d’améliorer mes performances, puis nous nous concentrons sur l’année prochaine. »

En ce qui concerne 2026, Verstappen estime que la décision de Red Bull de commencer à se concentrer sur la révision imminente du règlement est la bonne.

« Je pense que les équipes se concentrent déjà sur 2026, donc vous allez essayer de tirer un peu plus de performances de cette voiture », a-t-il expliqué. « Les étapes à venir sont déjà planifiées depuis un certain temps, mais en même temps, 2026 est une grande opportunité de bien faire les choses. D’après ce que j’ai vu et entendu, c’est la bonne approche de la part de l’équipe. »

Sondage – Quel pilote signera la pole position du Grand Prix d’Autriche 2025 ?

L’Autriche et son circuit de Spielberg accueillent ce weekend la onzième manche du Championnat de F1. Oscar Piastri arrive en position de leader du Championnat, devant Lando Norris et Max Verstappen. Toutefois, la dernière course a été remportée d’une main de maître par George Russell (Mercedes), à l’occasion du Grand Prix du Canada. Pour rappel, l’édition précédente du Grand Prix d’Autriche a elle aussi été remportée par George Russell, il avait devancé Oscar Piastri (McLaren) et Carlos Sainz (Ferrari). Lors de cette course, Lando Norris et Max Verstappen s’étaient accrochés, le premier d’une longue série.

La saison passée, Max Verstappen avait signé le meilleur temps des qualifications devant Lando Norris, George Russell et Carlos Sainz. Mais cette année, Oscar Piastri est régulièrement le plus rapide le samedi (4 pole) devant Max Verstappen (3 pole) et Lando Norris (2 pole).

George Russell évoque le possible lien entre son avenir chez Mercedes et la situation de Verstappen

George Russell estime que le retard dans la finalisation de son nouveau contrat avec Mercedes pourrait être lié à l’intérêt persistant de Mercedes pour Max Verstappen. Le pilote britannique, dont le contrat actuel expire à la fin de la saison, a laissé entendre que l’équipe pourrait temporiser dans l’attente d’une éventuelle disponibilité du quadruple champion du monde.

Le directeur de Mercedes, Toto Wolff, a récemment affirmé qu’il ne faisait aucun doute quant à la prolongation de Russell, évoquant une question de “quand”, et non de “si”. Néanmoins, l’Autrichien ne cache pas son admiration pour Verstappen et n’a jamais dissimulé son souhait de l’attirer à Brackley.

Si l’intérêt de Mercedes pour le pilote Red Bull s’est quelque peu atténué en début d’année — notamment en raison des performances solides de Russell et de l’émergence du jeune Kimi Antonelli —, la situation reste ouverte. Russell, actuellement à seulement 19 points de Verstappen avant le Grand Prix d’Autriche, continue de faire valoir sa place au sein de l’équipe.

Verstappen, sous contrat avec Red Bull jusqu’en 2028, a de son côté laissé entendre qu’il pourrait rester au sein de l’écurie au moins jusqu’à l’entrée en vigueur du nouveau règlement technique en 2026. Toutefois, son avenir au-delà reste flou, et il pourrait avoir le luxe de choisir son équipe si un changement s’opérait.

Dans ce contexte, Russell suggère que les discussions autour de son propre avenir pourraient être influencées par les incertitudes entourant celui de Verstappen.

« De mon côté, je ne pense pas avoir vraiment de quoi m’inquiéter. Je pense qu’en tant qu’équipe, tout dépend de vos aspirations », a déclaré Russell à Sky Sports F1. « Nous sommes actuellement deuxièmes, peut-être troisièmes. Nous sommes peut-être légèrement au-dessus de notre niveau pour être deuxièmes. Mercedes veut revenir au sommet, et pour cela, il faut s’assurer d’avoir les meilleurs pilotes, les meilleurs ingénieurs, les meilleurs mécaniciens, et c’est ce que Mercedes recherche.
Il est donc tout à fait normal que des discussions soient en cours avec des pilotes comme Verstappen. Mais de mon côté, si je continue à performer comme je le fais, pourquoi devrais-je m’inquiéter ? Il y a deux places dans chaque écurie de Formule 1. »

George Russell a ensuite affirmé que le retard dans la signature de son nouveau contrat était lié à Verstappen.

« Toto m’a clairement fait comprendre qu’il pensait que mes performances cette année étaient aussi bonnes que celles de n’importe qui d’autre », a déclaré le Britannique. « Je pense qu’il n’y a qu’un seul pilote dont on puisse discuter en termes de performances – ce sont ses mots, pas les miens – c’est pourquoi je ne m’inquiète pas pour l’avenir. Mais il y a deux sièges dans chaque équipe et j’imagine qu’il doit réfléchir à qui seront les deux pilotes qui occuperont ces deux sièges, et je pense que c’est ce qui explique le retard. Pour l’instant, je n’ai qu’une seule chose à faire : rouler vite. Si vous roulez vite, vous n’avez rien à craindre. Et si vous ne roulez pas vite, c’est là que les gens commencent à parler. »

F1 : la FIA publie des lignes directrices pour encadrer les décisions des commissaires

ans une démarche visant à renforcer la transparence et l’uniformité des décisions prises en cas d’incidents sur la piste, la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA) a rendu publics deux documents destinés à guider les commissaires lors des Grands Prix.

Le premier texte recense les recommandations concernant l’application des pénalités de temps et des points de pénalité. Il présente un éventail de scénarios susceptibles de se produire au cours d’un week-end de course, en précisant les sanctions associées selon qu’il s’agisse des essais libres, des qualifications ou de la course.

Le second document s’intéresse aux normes de conduite attendues des pilotes. Comme pour les barèmes de sanctions, la FIA insiste sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un règlement officiel, certaines situations nécessitant une appréciation au cas par cas.

Ces lignes directrices ont été élaborées à la demande des pilotes, en concertation avec la Commission des pilotes de la FIA, les équipes et les principaux intéressés. La FIA prévoit par ailleurs d’apporter d’autres ajustements dans les mois à venir, poursuivant ainsi son dialogue avec les acteurs de la Formule 1.

 
 
 
 
 
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« Une plus grande transparence dans la gouvernance de notre sport est une question importante et il s’agit d’une mesure utile dans cette direction », a déclaré George Russell, directeur de l’Association des pilotes de Grand Prix.

« Nous espérons que cela sera bénéfique pour le sport, car cela permettra aux médias et aux fans de mieux comprendre les règles d’engagement lorsque nous courons sur la piste, et les aidera à comprendre comment les commissaires prennent leurs décisions. »

Les directives relatives aux pénalités et aux points de pénalité peuvent être consultées ici.

Le document relatif aux directives en matière de normes de conduite peut être consulté ici.

Red Bull mise sur une évolution décisive dès le Grand Prix d’Autriche

Red Bull prévoit d’introduire une série d’améliorations techniques à l’occasion du Grand Prix d’Autriche, avant de peaufiner ces évolutions une semaine plus tard à Silverstone. Un calendrier stratégique confirmé par Helmut Marko, conseiller de l’écurie, qui estime que ces changements seront déterminants dans la course au titre pour Max Verstappen.

Actuellement troisième au classement des pilotes, le Néerlandais se trouve derrière les deux McLaren d’Oscar Piastri et Lando Norris. L’équipe britannique domine pour l’instant la saison, avec sept victoires sur les dix premières manches.

Consciente de l’écart à combler, Red Bull entend réagir rapidement. Selon Marko, les ajustements à venir sont essentiels pour relancer la dynamique et remettre Verstappen en position de force au championnat.

« Nous allons bénéficier d’une mise à jour pour l’Autriche, qui sera ensuite affinée pour Silverstone », a déclaré Marko au journal Kleine Zeitung. « Mais si cela ne fonctionne pas, les choses vont se compliquer dans le championnat du monde. Et ce n’est pas comme si la situation n’était pas déjà assez difficile. »

Red Bull a remporté deux victoires cette année, Verstappen s’imposant à Suzuka et à Imola. 

« Max Verstappen a gagné quatre fois ici, ce circuit lui convient bien », a souligné Marko. « Les pneus sont cruciaux, nous ne sommes pas les seuls à avoir des difficultés, tout le monde sauf McLaren. »

Bien que Marko estime que l’écart entre Red Bull et McLaren est de trois dixièmes de seconde, il ne considère pas cela comme un déficit insurmontable.

« Nous sommes actuellement trois dixièmes derrière McLaren, mais dans une fenêtre de travail beaucoup plus réduite, ce qui rend la tâche encore plus difficile », a déclaré Marko. « McLaren essaie également de nouvelles choses, même si le nouvel aileron avant n’a pas fonctionné pendant longtemps lors des essais à Montréal, et Lando Norris était très rapide en course avant de commettre à nouveau des erreurs. Il n’est donc pas impossible de rattraper ces trois dixièmes. Mais si c’est le cas, cela doit se faire maintenant. »

F1 – Cadillac 2026 : Mika Salo favorable à Bottas, réservé sur Perez

Alors que Cadillac prépare activement son entrée en Formule 1 pour la saison 2026, les spéculations vont bon train concernant l’identité de ses futurs pilotes. Parmi les noms avancés figure celui de Valtteri Bottas, dont la récente publication humoristique sur les réseaux sociaux a ravivé l’intérêt pour un retour en piste. Un média britannique a même placé le Finlandais en tête de liste pour l’un des deux baquets de la future onzième écurie du plateau.

Mika Salo, ancien pilote de F1 et compatriote de Bottas, a estimé que le choix de Cadillac pourrait être judicieux. « C’est une nouvelle équipe, donc l’expérience est précieuse. Valtteri a acquis une solide expérience chez Mercedes », a-t-il confié au journal Ilta Sanomat. Salo souligne également que Bottas a désormais le recul nécessaire pour apporter une vision stratégique à un projet naissant.

« Un pilote expérimenté peut non seulement transmettre ses compétences, mais aussi guider l’équipe sur les recrutements à envisager », a poursuivi l’ancien pilote Ferrari et Toyota. Il considère que le style direct et pragmatique des pilotes finlandais correspondrait bien à la culture d’une écurie en construction.

Cadillac souhaiterait associer un pilote chevronné à un jeune talent, idéalement américain, issu du championnat local. Sergio Perez, dont l’avenir en Formule 1 reste incertain après son départ de Red Bull en 2024, figure aussi parmi les candidats évoqués. Dans une récente interview à Desde El Paddock, le Mexicain a reconnu que Red Bull « regrettait probablement » la façon dont leur collaboration s’était terminée, tout en soulignant que « c’est ainsi que fonctionne ce sport ».

Soutenu par le conglomérat du milliardaire Carlos Slim et désormais représenté par Khalil Beschir, Perez a confirmé être en discussion avec plusieurs équipes pour 2026, sans toutefois donner de précision : « Les choses avancent, mais il est encore trop tôt pour prendre une décision. »

Mika Salo, lui, reste sceptique sur cette piste : « Je ne pense pas que Perez soit un bon choix pour Cadillac. Je privilégierais deux pilotes européens expérimentés plus constants. Et si cela n’est pas possible, un jeune prometteur capable d’apprendre aux côtés d’un leader. »

Helmut Marko sceptique sur l’avance supposée de Mercedes en vue de 2026

Alors que la Formule 1 se prépare à un bouleversement réglementaire majeur en 2026, Helmut Marko, conseiller spécial chez Red Bull, remet en question les spéculations selon lesquelles Mercedes serait en position de force dans le développement de la future motorisation.

La F1 va en effet connaître une refonte technique d’ampleur, avec une nouvelle génération de châssis et de groupes motopropulseurs. Ces derniers devront produire 50 % de leur puissance à partir de sources électriques, dans un système hybride désormais dépourvu du MGU-H.

Mercedes, perçue par beaucoup comme la mieux placée dans la course au développement – à l’image de son avance lors de l’introduction des V6 turbo-hybrides en 2014 – est citée comme favorite. Une position qu’Helmut Marko conteste ouvertement.

Dans un entretien accordé au quotidien Kleine Zeitung, le dirigeant autrichien a déclaré qu’« il n’existe à ce jour aucune preuve concrète » permettant d’affirmer que Mercedes disposera du meilleur moteur sous le nouveau règlement. Red Bull Powertrains, engagé dans son propre programme moteur en collaboration avec Ford, poursuit de son côté le développement de son unité de puissance 2026.

« Mercedes s’est déclarée favorite, mais rien ne le prouve. Le développement du moteur à combustion à lui seul est incroyable. Le moteur est plus petit que celui de ma tondeuse à gazon ! »

Interrogé sur l’état d’avancement du premier programme de moteur interne de Red Bull, pour lequel il collabore avec le constructeur automobile américain Ford, Marko a ajouté : « Il y a trois ou quatre éléments importants pour la nouvelle voiture : le moteur à combustion. Nous sommes d’accord là-dessus, et à moins qu’il n’y ait des problèmes de durabilité, cela ne changera pas la donne. La batterie est cruciale ; nous commençons par une solution conventionnelle, et l’essence est un facteur très important. Le développement dans ce domaine se passe très bien avec notre partenaire Exxon. »

Découvrez le calendrier officiel de la saison Formule E 2025/2026

Un calendrier de 18 courses qui débutera en 2025 et se poursuivra jusqu’en 2026, le plus important de l’histoire du Championnat du monde ABB FIA Formula E, attend les concurrents qui prenront part à ce qui sera la douzième saison d’existence du championnat de monoplaces 100% électriques.

Le calendrier provisoire de la saison 12 est désormais disponible et ratifié par la Fédération Internationale de l’Automobile. Alors que la lutte pour le titre bat son plein, jetons un coup d’œil à ce qui nous attend en 2025 et 2026.

Un calendrier record

Avec 18 courses, il s’agit-là du calendrier le plus chargé à ce jour. La Formule E fait le tour du monde avec de nouveaux circuits et le retour de circuits non urbains pour offrir des courses 100 % électriques différentes.

Le calendrier a été planifié et élaboré de manière à regrouper les sites de course par continent afin de réduire le transport de marchandises et les émissions de CO2 et d’optimiser l’efficacité dans toutes les régions, et véhiculer un message cohérent avec les valeurs et le message marketing régulièrement adressés par les promoteurs du championnat.

Le calendrier Formule E 2025/2026

06
Dec
R1 São Paulo
10
Jan
R2 Mexico City
31
Jan
R3 Miami
13
Feb
R4 Jeddah
14
Feb
R5 Jeddah
21
Mar
R6 Madrid
02
May
R7 Berlin
03
May
R8 Berlin
16
May
R9 Monaco
17
May
R10 Monaco
30
May
R11
20
Jun
R12
04
Jul
R13 Shanghai
05
Jul
R14 Shanghai
25
Jul
R15 Tokyo
26
Jul
R16 Tokyo
15
Aug
R17 London
16
Aug
R18 London

Rosberg imagine d’éventuels échanges entre Verstappen et Mercedes

Nico Rosberg estime que des discussions pourraient avoir lieu en coulisses entre Max Verstappen et Mercedes, malgré la probable prolongation de George Russell au sein de l’écurie de Brackley. Le champion du monde 2016 n’écarte pas l’idée que l’équipe allemande puisse toujours être à l’affût d’une opportunité, en particulier si Verstappen devenait disponible.

Russell, auteur d’une saison solide jusqu’à présent, semble conforter sa position en tant que pilier de l’écurie. Toutefois, les rumeurs d’un intérêt persistant de Mercedes pour le quadruple champion du monde alimentent les spéculations. Le directeur de l’équipe, Toto Wolff, avait déjà tenté d’attirer Verstappen au début de sa carrière, avant que le Néerlandais ne rejoigne Red Bull via Toro Rosso en 2015.

Depuis, Verstappen s’est imposé comme une référence du plateau, et bien que sous contrat avec Red Bull jusqu’à fin 2028, son avenir continue d’attiser les convoitises. Avec l’émergence prometteuse du jeune Kimi Antonelli dans les rangs de Mercedes, c’est potentiellement George Russell qui pourrait voir sa place remise en question si une opportunité liée à Verstappen se présentait.

« Red Bull n’est pas stupide », a déclaré Rosberg à Sky Germany. « Ils ont payé une fortune à Max et l’ont engagé pour plusieurs années. Je ne pense pas qu’il puisse simplement s’enfuir. Mais on ne peut pas le forcer à rester. S’il veut partir, il faudra l’accepter à un moment donné. »

Si Russell, qui a rejoint l’équipe en 2022 et dont le contrat expire à la fin de l’année, ne semble pas préoccupé par l’absence de prolongation de son contrat actuel, Rosberg pense toutefois que Wolff pourrait employer une tactique dilatoire.

« D’un autre côté, il y a aussi la situation de George Russell chez Mercedes », a-t-il déclaré. « Il y a un certain retard, car Toto Wolff devrait en fait le signer maintenant. C’est son pilote numéro un, ses performances cette saison sont à nouveau exceptionnelles. Il y a peut-être des discussions en coulisses avec le camp Verstappen. »

FIA – Carlos Sainz Sr renonce à briguer la présidence, ouvrant la voie à la réélection de Ben Sulayem

Carlos Sainz Sr a annoncé qu’il ne se portera pas candidat à la présidence de la FIA, mettant un terme aux spéculations sur une éventuelle opposition à Mohammed Ben Sulayem lors des élections prévues en décembre prochain.

Le double champion du monde des rallyes et figure respectée du sport automobile avait sérieusement envisagé de se présenter face au président sortant, dont le mandat a été marqué par plusieurs polémiques internes. Son éventuelle candidature était perçue comme crédible par de nombreux acteurs du paddock, d’autant qu’il lui aurait fallu constituer une équipe complète — incluant un vice-président et plusieurs adjoints — avant le scrutin.

Mais le soutien affiché à Ben Sulayem par plusieurs fédérations nationales membres de la FIA, notamment durant le Grand Prix d’Espagne, a considérablement réduit les marges de manœuvre pour une alternative crédible. Étant donné que ce sont ces associations qui désignent le président, l’élan nécessaire pour bâtir une campagne solide semblait désormais hors de portée.

Dans un communiqué, Sainz Sr a officialisé son retrait, évoquant « des circonstances actuelles peu propices à la préparation d’une candidature sérieuse ». Il a également souligné sa volonté de rester concentré sur ses engagements en compétition, notamment sa participation continue au Rallye Dakar.

Cette décision ouvre la voie à une réélection quasi certaine de Mohammed Ben Sulayem à la tête de la Fédération internationale de l’automobile.

Déclaration complète de Carlos Sainz Sr

« Je souhaite par la présente confirmer publiquement que j’ai finalement décidé de ne pas me présenter à la présidence de la FIA lors des élections de cette année.
J’ai travaillé dur ces derniers mois pour comprendre en profondeur la situation de la FIA ainsi que les exigences et les complexités inhérentes à un projet aussi important.
Après mûre réflexion, j’en suis arrivé à la conclusion que les circonstances actuelles ne sont pas idéales pour préparer ma candidature.
De plus, j’ai réalisé que me présenter à la présidence compromettrait considérablement ma préparation pour le Dakar et je ne souhaite pas affaiblir mon engagement envers Ford et mon équipe.
Ces préoccupations m’ont donc incité à être réaliste et à renoncer à ma candidature à la FIA
pour l’instant. Malgré mon retrait de cette course, ma passion pour le service et le leadership dans le monde du sport automobile reste intacte, et je continue de croire que l’organisation a besoin de changements importants, qui, je l’espère sincèrement, seront abordés dans les années à venir.
La course automobile et la mobilité ont été toute ma vie, et je suivrai de près les développements futurs avec beaucoup d’intérêt.
Je continuerai à soutenir mon sport et à contribuer de toutes les manières possibles à l’amélioration de la mobilité des usagers de la route à travers le monde.
Enfin, je tiens à remercier sincèrement tous ceux qui m’ont adressé des messages de soutien, d’encouragement et de conseils au cours des dernières semaines.
Ils m’ont conforté dans ma volonté de poursuivre mes objectifs actuels et futurs, et je vous en suis profondément reconnaissant.
Merci. »

F1 – Un programme d’essais hivernaux inédit pour préparer le grand tournant technique de 2026

Les préparatifs pour la saison 2026 de Formule 1 débuteront exceptionnellement tôt la saison prochaine, avec un programme de tests hivernaux élargi, organisé sur cinq jours à Barcelone dès le mois de janvier. Selon nos informations, les essais se dérouleront du lundi 26 au vendredi 30 janvier sur le circuit de Catalogne, dans le cadre d’une refonte technique majeure de la discipline.

Face à l’ampleur des changements attendus – aussi bien au niveau du châssis que du groupe motopropulseur – la F1 prévoit un total de neuf journées d’essais pour permettre aux équipes d’aborder sereinement cette nouvelle ère. Ce nombre, triplé par rapport aux trois jours de tests autorisés en 2025, reflète l’ambition et la complexité du nouveau règlement.

À Barcelone, chaque équipe ne pourra toutefois rouler que trois jours sur les cinq prévus, avec deux jours de pause imposés, afin de gérer au mieux l’alternance et de prévenir les risques liés aux conditions climatiques. L’expérience de 2018, marquée par une tempête de neige en Catalogne, reste en mémoire.

Les nouvelles monoplaces de 2026 seront propulsées par des unités hybrides redessinées, intégrant des systèmes électriques plus puissants capables de générer jusqu’à 350 kW, fonctionnant avec des carburants 100 % durables, et sans MGU-H – un composant supprimé du règlement.

Après cette première série de tests en Espagne, les équipes mettront le cap sur Bahreïn pour deux autres sessions classiques de trois jours, prévues du 11 au 13 février, puis du 18 au 20 février sur le circuit international de Sakhir.

La saison s’ouvrira officiellement le 8 mars avec le Grand Prix d’Australie, à Melbourne. L’année 2026 marquera également l’arrivée de deux nouveaux acteurs sur la grille : Cadillac, qui fera ses débuts avec un moteur Ferrari, et Audi, désormais propriétaire de Sauber, qui alignera une structure complète et sa propre motorisation. Ces deux entités rejoindront Ferrari, Mercedes, Red Bull Powertrains et Honda – de retour en tant que motoriste – tandis que Renault se retirera de la compétition à l’issue de la saison 2025.

Stats F1 – Quel est le palmarès de chaque équipe en nombre de victoires ?

McLaren domine le championnat du monde de Formule 1 cette année et semble promis à la récolte des lauriers tant sur le plan du tableau des constructeurs que celui des pilotes en 2025. Néanmoins, la lutte reste forte pour le titre pilotes entre Oscar Piastri, Lando Norris et Max Verstappen, qui pourrait venir jouer les troubles-fêtes avec Red Bull. 

Les victoires en GP demeurent néanmoins ouvertes cette saison, comme l’a encore une fois prouvé George Russell, qui est parvenu à imposer sa Mercedes entre les murs du circuit Gilles Villeneuve, au Canada, lors de la dernière épreuve en date. 

Dans l’Histoire de la Formule 1, c’est Ferrari, équipe ayant participé à absolument chaque championnat depuis sa création en 1950, qui peut se targuer d’avoir cumulé le plus grand nombre de succès dans la discipline. Mais où se trouvent les autres équipes, présentes et futures ? 

Voici un petit tableau pour rafraichir vos connaissances statistiques, avec, en gras, les équipes en activité.

Ferrari

248

McLaren

196

Mercedes

130

Red Bull

122

Williams

114

Lotus

81

Renault

35

Brabham

35

Benetton

27

Tyrrell

23

BRM

17

Cooper

16

Alfa-Romeo

11

Vanwall

10

Matra

9

Maserati

9

Brawn GP

8

Ligier

7

Jordan

4

Honda

3

March

3

Wolf

3

Talbot

2

Alpine

1

AlphaTauri (includes Toro Rosso)

1

BMW

1

Racing Point

1

Shadow

1

Hesketh

1

Porsche

1

Stewart

1

Penske

1

Eagle

1

Sergio Perez estime que Red Bull regrette son départ

Sergio Perez a affirmé que Red Bull regretterait la décision de l’avoir écarté à l’issue d’une saison 2024 compliquée. Le pilote mexicain, en difficulté pour exploiter pleinement le potentiel de sa monoplace, avait quitté l’écurie de Milton Keynes en fin de saison, au terme d’une campagne en demi-teinte.

Son remplacement par Liam Lawson n’a pas apporté les résultats escomptés. Le Néo-Zélandais n’a disputé que deux Grands Prix avant d’être remplacé à son tour par Yuki Tsunoda. Malgré ces ajustements, les performances de la seconde voiture sont restées en retrait, obligeant Red Bull à compter quasi exclusivement sur Max Verstappen dans la lutte en tête du championnat.

Aujourd’hui en retrait du paddock, Perez, 35 ans, observe la situation avec un certain recul. Selon lui, les difficultés persistantes rencontrées par ses successeurs alimentent le sentiment de regret au sein de l’équipe quant à la gestion de son duo de pilotes.

« Non », a répondu Perez à Dede el Paddock lorsqu’on lui a demandé s’il pensait que Red Bull lui devait des excuses. « Je veux dire, en fin de compte, c’est comme ça que fonctionne ce sport. Ils ont pris certaines décisions en raison de la pression immense qu’ils ont eux-mêmes contribué à créer. Mais je sais, au fond de moi, qu’ils le regrettent. Et je le sais de source très sûre. Mais que pouvez-vous faire ? Vous passez à autre chose. C’est difficile. J’ai de très bons amis là-bas, et les gens pourraient penser que je me réjouis de ce qui s’est passé, mais ce n’est pas le cas. »

« La vérité, c’est que Max mérite tout le succès qu’il connaît », a déclaré Perez. « C’est un pilote incroyable, et très peu de gens comprennent sa façon de travailler. Il est exceptionnel. »

« Nous avions une excellente équipe. Au final, elle s’est lentement effondrée, mais nous avions vraiment quelque chose de spécial, pendant l’une des périodes les plus compétitives de la F1 », a-t-il ajouté. « Nous n’avons pas dominé une époque comme Mercedes, qui disposait d’un énorme avantage en termes de moteur. Dans notre cas, l’écart de performance était minime, et nous avons quand même construit une équipe très performante. C’est quand Adrian est parti que les problèmes ont vraiment commencé. »