Business – À qui appartient l’équipe McLaren championne du monde ?

McLaren Group (Mumtalakat Holding Company) appartient conjointement à MSP Sports Capital et CYVN Holdings.

McLaren Racing est une filiale de la marque McLaren, dont la société mère est appelée McLaren Group, qui englobe à la fois les écuries de course et le constructeur automobile. Zak Brown a été placé par les investisseurs à la tête du projet racing, qui comprend des engagements en Formule 1 et en IndyCar, ainsi que le lancement d’un nouveau programme en championnat du monde d’endurance, actuellement dans son « âge d’or » en termes de nombre de constructeurs de renom engagés, et tandis que les activités en Formule E de McLaren arrivent simultanément à leur terme, essentiellement en raison du fait que McLaren n’y voit aucun transfert de technologie réellement possible sur ses supercars routiers, ou, plus largement, en termes d’impact marketing.

En 2023, Mumtalakat, le fonds souverain de Bahreïn, a pris le contrôle total du groupe McLaren après être devenu actionnaire en 2007. Bien que le groupe McLaren soit détenu par l’état souverain de Bahreïn, l’écurie de course dispose d’un investisseur externe, la société d’investissement américaine MSP Sports Capital, qui a acheté 15 % des parts pour 185 millions de livres sterling en 2020, alors que l’écurie cherchait à lever des fonds pendant la pandémie de COVID.

Cette participation a été portée à 33 % en 2022 alors que le sauvetage des assets de l’équipe étaient cruciaux et que Zak Brown a compris le besoin de pérenniser les infrastructures du groupe et l’avenir à moyen terme.

En avril 2025, CYVN Holdings, une société d’investissement détenue par le gouvernement d’Abu Dhabi, a finalisé l’acquisition de McLaren Automotive, la division automobile de la société, qui lui a permis d’acquérir une « participation minoritaire » dans McLaren Racing, qui gère l’écurie de Formule 1. La part de l’équipe qui a été rachetée n’a pas été divulguée, mais l’équipe a confirmé que Mumtalakat restait un « actionnaire majeur » et que ses activités restaient inchangées.

Hamilton va utiliser les réglages de Leclerc pour progresser chez Ferrari

Lewis Hamilton a admis avoir adopté une configuration plus proche de celle de Charles Leclerc sur sa Ferrari, dans l’espoir d’améliorer ses performances. En difficulté depuis le début de la saison, notamment en qualifications, le septuple champion du monde semble néanmoins avoir franchi un cap ces dernières semaines.

Au Grand Prix d’Autriche, Hamilton a signé son meilleur résultat en qualifications avec une quatrième place, qu’il a également conservée en course. Un progrès qu’il attribue en partie au rapprochement de la configuration de monoplace utilisée par son coéquipier.

« La configuration est un peu plus proche de celle de Charles, oui », a répondu Hamilton lorsqu’il a été interrogé par les médias. « J’ai du mal avec l’équilibre, et il conduit une voiture qui sur-braque énormément, et il arrive à faire glisser l’arrière sans dégrader ses pneus. Quand je fais glisser l’arrière, mes pneus se dégradent énormément, et il a fallu deux ans à Carlos [Sainz] pour s’y habituer, donc je ne veux pas faire ça. Je m’améliore, et je suis beaucoup plus proche en qualifications. »

Cependant, cette quatrième place en Autriche a égalé un record indésirable pour Hamilton, qui compte désormais 13 courses consécutives sans podium.
Son dernier podium remonte à 2024, à Las Vegas, où il avait terminé deuxième, ce qui signifie qu’il a égalé sa série de 2023, entre le Grand Prix de Sao Paulo et le Grand Prix d’Espagne.

S’il ne parvient pas à monter sur le podium ce week-end lors du Grand Prix de Grande-Bretagne, Hamilton établira non seulement un nouveau record de 14 courses sans podium, mais perdra également sa série record de podiums à Silverstone, où il est monté 11 fois sur le podium du Grand Prix de Grande-Bretagne depuis 2014.

Norris reste de marbre face aux rumeurs envoyant Verstappen chez Mercedes : « Honnêtement, je m’en fiche »

Lando Norris reste indifférent aux spéculations entourant l’avenir de Max Verstappen en Formule 1. Alors que les rumeurs d’un transfert du pilote Red Bull chez Mercedes se sont intensifiées, notamment après que George Russell a confirmé l’existence de discussions entre son écurie et le quadruple champion du monde, le pilote McLaren assure ne pas être concerné.

La déclaration de Russell, faite en marge du Grand Prix d’Autriche, a ravivé les spéculations, plaçant Verstappen, Toto Wolff et Christian Horner au cœur des débats. Bien que le Néerlandais affirme vouloir garder le contrôle de son avenir, une clause de son contrat lui permettrait de quitter Red Bull s’il ne figure pas dans le top 3 à la trêve estivale. Actuellement quatrième, Russell pourrait voir sa place menacée, d’autant que son contrat expire fin 2025 et que les négociations pour une prolongation sont en suspens.

Malgré l’agitation croissante autour du sujet, Norris reste serein et affirme que les décisions de Verstappen ne changent rien à son propre parcours.

« Non, honnêtement, je m’en fiche », a déclaré le septuple vainqueur de Grand Prix à Sky Sports F1 lors de l’événement McLaren Racing Live à Londres. « Je me fiche de savoir où il va, mais j’apprécie Max en tant que concurrent, et je suis dur… mais j’aime nos batailles. Et, comme il l’a dit, c’est lui qui décide où il va, et il ira là où il pense que c’est le mieux. »

Kimi Antonelli : la nouvelle étoile montante de la Formule 1

Entre précocité, talent pur et détermination

Du haut de ses jeunes années, Kimi Antonelli incarne déjà l’avenir tant espéré du sport automobile. Né le 25 août 2006 à Bologne, en Italie, dans une famille passionnée de sport mécanique, Andrea Kimi Antonelli — de son nom complet — baigne dès l’enfance dans l’univers de la vitesse, des circuits et du défi constant d’aller plus loin. Rapidement, son prénom, inspiré par la légende finlandaise Kimi Räikkönen, semble lui tracer une destinée singulière dans le monde des monoplaces.

Des débuts fulgurants sur les traces des plus grands

Initié très tôt au karting, Antonelli impressionne dès ses premières compétitions par son sens aigu de la trajectoire et sa maturité au volant. Loin d’être un simple prodige précoce, il devient rapidement une référence parmi les jeunes pilotes européens. Entre 2015 et 2019, il enchaîne les résultats remarquables sur les pistes internationales, remportant des titres dans des championnats prestigieux tels que le WSK Euro Series et le Championnat d’Europe CIK-FIA. Cette période formatrice lui permet non seulement d’aiguiser ses réflexes, mais aussi de bâtir une réputation solide auprès des observateurs et des écuries de haut niveau.

Un espoir signé par Mercedes

Les talents précoces n’échappent pas à l’œil attentif de Mercedes-AMG Petronas, qui décide d’intégrer Antonelli à son programme junior en 2019. Ce partenariat est un tremplin décisif, ouvrant à Kimi Antonelli les portes d’un encadrement d’excellence, où chaque détail compte pour transformer un potentiel brut en champion confirmé. Antonelli y bénéficie d’un accompagnement technique, d’un coaching personnalisé et d’une formation humaine qui le prépare à toutes les exigences du haut niveau.

Des succès prometteurs en monoplace

La transition du karting à la monoplace s’effectue en 2021, lorsqu’Antonelli débute en Formule 4 italienne. Dès sa première saison, il impressionne par sa capacité d’adaptation et sa régularité. Il décroche plusieurs podiums, puis remporte, en 2022, le championnat d’Italie F4 avec une domination écrasante, signant victoires et poles positions à un rythme effréné. La même année, il s’impose également dans le championnat d’Allemagne de F4, confirmant sa stature de futur grand.

En 2023, il poursuit son ascension en FRECA (Formula Regional European Championship by Alpine), où il se distingue à nouveau par sa vitesse, sa constance et son intelligence stratégique dans le peloton. Les résultats suivent : victoires, podiums et un respect grandissant de la part de ses pairs comme des ingénieurs.

Un avenir déjà tourné vers la Formule 1

À seulement 18 ans, Antonelli a souvent ensuite été cité comme la prochaine pépite à rejoindre la grille de la Formule 1. Il était fortaAttendu pour ses débuts dans la catégorie reine dès cette saison 2025, et incarne à la fois la fougue de la jeunesse et la rigueur d’un professionnel aguerri par les compétitions juniors. Son style de pilotage, fluide et agressif mais toujours maîtrisé, séduit autant par sa justesse que par sa capacité à saisir la moindre opportunité en course.

Un tempérament humble et une mentalité de champion

Au-delà de ses résultats bruts, c’est l’attitude d’Antonelli qui marque les esprits. Travailleur acharné, toujours à l’écoute de son équipe, doté d’une humilité rare dans un univers de compétition féroce, il inspire déjà le respect et la confiance. Sa gestion du stress, son recul sur ses performances et sa capacité à apprendre de ses erreurs font partie de ses plus grandes forces.

En quelques années, Kimi Antonelli s’est imposé comme une promesse incontournable du sport automobile. Précoce, talentueux, mais aussi réfléchi et déterminé, il porte sur ses épaules les espoirs d’une nouvelle génération. Alors que la Formule 1 s’apprête à découvrir son prochain prodige, une chose est sûre : le nom d’Antonelli résonnera encore longtemps dans les paddocks et sur les podiums du monde entier, mais attention, l’arrivée possible de Max Verstappen chez Mercedes en 2026 pourrait bein représenter un séisme auquel aucun pilote n’est réellement préparé, quel que soit le stade de sa carrière.

Helmut Marko met fin aux spéculations sur un départ de Max Verstappen vers Mercedes

Helmut Marko, conseiller de Red Bull, a tenu à clarifier la situation autour des rumeurs liant Max Verstappen à Mercedes. Selon lui, aucun accord ne peut être signé avec l’écurie allemande, malgré l’intensification des spéculations ces derniers jours.

Alors que le quadruple champion du monde est sous contrat avec Red Bull jusqu’en 2028, les rumeurs d’un éventuel transfert ont été relancées après les déclarations de George Russell en Autriche, évoquant des discussions en cours entre Mercedes et le clan Verstappen. Si Toto Wolff, Christian Horner et le pilote néerlandais ont tous été interrogés sur le sujet au Red Bull Ring, le dossier continue d’alimenter les débats à l’approche du Grand Prix de Grande-Bretagne.

Malgré les propos passés de Horner, ouvert à un départ si Verstappen en exprimait le souhait, Marko rappelle que le pilote de 27 ans ne peut activer une clause de sortie que s’il n’est pas dans le top 3 au championnat à la pause estivale.

« Il n’a pas signé et il ne peut pas signer », a déclaré Marko au journal Kleine Zeitung. « Cela devient agaçant maintenant. Les mêmes questions reviennent sans cesse, et nous continuons à donner les mêmes réponses, car rien n’a changé depuis le début. »

Sans Max Verstappen, « Red Bull serait derrière Racing Bull », selon Zak Brown

Zak Brown, à la tête de l’écurie McLaren, actuelle leader du Championnat du monde des constructeurs a déclaré : « Red Bull serait derrière Racing Bulls [sans Verstappen]. Ils ont fait un excellent travail et disposent d’une excellente voiture de course. Je pense que Max les porte à bout de bras en ce moment. »

Red Bull comptabilise aujourd’hui 162 points au classement des constructeurs, dont 155 proviennent directement des résultats en course de Max Verstappen. Les sept autres points ont été marqués par Yuki Tsunoda. Un écart de point et de performance qui se fait remarquer et qui pourrait presque inquiéter Red Bull. De son côté, Racing Bulls compte 36 points au classement des constructeurs, trois points ont été inscrits par Yuki Tsunoda, 21 par Isack Hadjar et 12 par Liam Lawson. 

Le patron de McLaren a également déclaré qu’il fallait « rester à l’écoute, car il pourrait y avoir un autre chapitre » dans l’affaire Verstappen-Mercedes.

En effet, d’après Sky Sport Italia, Max Verstappen aurait donné son accord verbal à Toto Wolff pour un éventuel transfert chez Mercedes. Des discussions qualifiées de « concrètes » auraient eu lieu, mais la direction de Mercedes n’a pas encore validé cette option.

Bien que lié à Red Bull jusqu’en 2028, le quadruple champion du monde est au centre des rumeurs, sur fond de performances en déclin de son écurie. Son abandon dès le premier tour en Autriche, après un contact avec la Mercedes de Kimi Antonelli, a accentué les interrogations sur son avenir, alors qu’il accuse désormais 61 points de retard sur Oscar Piastri.

Un départ vers Mercedes en 2026 obligerait l’écurie allemande à repenser son duo de pilotes. George Russell arrive en fin de contrat et Kimi Antonelli, espoir de la filière, pourrait aussi être concerné.

Le circuit de Silverstone : berceau de la Formule 1 moderne

Présentation du légendaire tracé britannique

Situé au cœur du Northamptonshire, en Angleterre, le circuit de Silverstone s’impose comme l’un des temples incontestés du sport automobile mondial. Symbole vivant de l’histoire de la Formule 1, Silverstone est bien plus qu’une simple piste : c’est un lieu chargé d’émotion, de défis techniques et de souvenirs gravés dans la mémoire de générations de passionnés.

Origines et histoire

Le tracé de Silverstone puise ses racines dans la Seconde Guerre mondiale. À l’origine, le site était une base aérienne de la Royal Air Force, utilisée pour l’entraînement des pilotes et la logistique militaire. À la fin du conflit, la reconversion de nombreux aérodromes en circuits de course donne naissance au Silverstone Circuit, qui accueille sa première épreuve majeure en 1948, le Grand Prix de Grande-Bretagne.

Dès 1950, Silverstone entre dans la légende en devenant le théâtre du tout premier Grand Prix du championnat du monde de Formule 1. Depuis lors, il accueille chaque année des courses palpitantes, marquées par des duels épiques, des moments de gloire et des rebondissements historiques.

Caractéristiques du circuit

Silverstone est réputé pour son tracé rapide, technique et exigeant. D’une longueur actuelle d’environ 5,891 kilomètres, il compte 18 virages qui sollicitent à la fois la précision des pilotes et la performance des monoplaces. Le circuit alterne de longues lignes droites et des enchaînements de courbes rapides, à l’image du célèbre complexe « Maggots-Becketts-Chapel », considéré comme l’un des plus spectaculaires et sélectifs du calendrier.

Les virages comme Copse, Stowe et Abbey font partie intégrante de la légende de Silverstone. L’asphalte récemment rénové offre un excellent niveau d’adhérence, mais peut se révéler piégeux en cas de pluie, ce qui ajoute à l’imprévisibilité des courses britanniques.

Un défi pour les pilotes et les ingénieurs

Le circuit de Silverstone met à l’épreuve l’habileté des pilotes, qui doivent faire preuve d’une grande maîtrise à haute vitesse, mais aussi la capacité d’adaptation des ingénieurs. L’aérodynamisme joue un rôle clé, tout comme la gestion des pneus, souvent mis à rude épreuve par la succession de virages rapides. Les réglages de la voiture sont donc cruciaux pour trouver le bon équilibre entre vitesse de pointe et appui aérodynamique.

Silverstone est également réputé pour son ambiance unique : le public britannique, fidèle et enthousiaste, crée une atmosphère électrique, transformant chaque Grand Prix en une véritable fête populaire du sport automobile.

Moments marquants et records

Au fil des décennies, Silverstone a été le théâtre d’exploits mémorables. On se souvient de la victoire de Nigel Mansell en 1987, acclamée par une foule en délire, ou encore de celles de Lewis Hamilton, héros national aux multiples succès sur ses terres. Le circuit a vu s’affronter les plus grands noms de la F1 : Ayrton Senna, Alain Prost, Michael Schumacher, Sebastian Vettel et bien d’autres y ont écrit quelques-unes des plus belles pages de leur carrière.

Le record du tour en course appartient aujourd’hui à Max Verstappen (2020) avec un temps de 1:27.097, preuve de la rapidité et de la modernité du tracé qui, chaque année, continue de pousser pilotes et écuries dans leurs derniers retranchements.

Un circuit tourné vers l’avenir

Silverstone ne se repose pas sur ses lauriers : outre la Formule 1, le site accueille de nombreuses autres compétitions majeures, telles que le MotoGP, le WEC ou encore le British Touring Car Championship, tout en investissant dans de nouvelles infrastructures et en misant sur le développement durable.

Lieu de tradition et d’innovation, Silverstone poursuit sa mission : inspirer, rassembler et offrir le spectacle unique que seul le sport automobile sait procurer. Sur cette piste mythique, chaque virage raconte une histoire, chaque course ajoute une légende, et l’esprit de la Formule 1 continue de vibrer, année après année.

Fred Vasseur de retour aux commandes de Ferrari à Silverstone

Absent lors du Grand Prix d’Autriche pour des « raisons personnelles » non précisées, Fred Vasseur retrouvera sa place à la tête de la Scuderia Ferrari ce week-end à Silverstone, à l’occasion du Grand Prix de Grande-Bretagne.

L’écurie italienne avait officialisé son absence dans un communiqué publié dimanche matin, quelques heures avant le départ de la course au Red Bull Ring. Durant le week-end, c’est le directeur adjoint Jérôme d’Ambrosio qui avait assuré l’intérim, notamment en représentant Ferrari face aux médias.

Vasseur a depuis confirmé qu’il serait bien présent dans le paddock britannique, prêt à reprendre ses fonctions à la tête de l’équipe. « Personnellement, j’ai hâte de retrouver le circuit avec l’équipe pour profiter de l’ambiance unique de Silverstone », a déclaré Vasseur dans la présentation de l’équipe.

Ferrari a connu une amélioration de ses performances en Autriche, où Charles Leclerc et Hamilton ont terminé troisième et quatrième au volant de la SF-25 améliorée, qui bénéficiait d’un plancher révisé. Vasseur espère que Ferrari pourra poursuivre sur cette lancée à Silverstone, alors que l’écurie cherche à renverser la tendance après un début de saison 2025 décevant.

« Après l’Autriche, nous nous rendons à Silverstone, un circuit très différent et l’un des plus classiques », a ajouté Vasseur. « Les améliorations que nous avons apportées à la SF-25 à Spielberg ont certainement joué un rôle dans notre bon résultat dimanche dernier, et nous voulons profiter de cette dynamique positive pour aborder la prochaine course. Nous avons vu à quel point il est important de se concentrer sur tous les aspects de notre fonctionnement afin d’obtenir de bonnes performances. Comme d’habitude, nous allons donc nous concentrer sur nous-mêmes, avec l’objectif de réaliser un autre week-end sans faute. C’est la course à domicile de Lewis et il aura particulièrement à cœur de bien figurer, encouragé par le soutien incroyable dont il bénéficie toujours ici. »

Red Bull voit sa série de points s’arrêter, Ferrari conserve son record historique

Red Bull a vu sa série de résultats consécutifs dans les points prendre fin brutalement en Autriche, manquant ainsi l’opportunité de battre un record détenu par Ferrari depuis 2013.

Sur le Red Bull Ring, les qualifications ont mal commencé : Max Verstappen, gêné par des drapeaux jaunes en Q3, n’a pu faire mieux qu’une 7e place sur la grille, tandis que Yuki Tsunoda s’élançait depuis la 18e position. La course s’est révélée encore plus désastreuse, Verstappen a été contraint à l’abandon dès le premier tour après un accrochage avec la Mercedes de Kimi Antonelli, et Tsunoda a terminé dernier.

Ce double échec met un terme à une série de 77 Grands Prix consécutifs avec au moins un point inscrit, démarrée en Arabie saoudite en 2022. Red Bull échoue à seulement quatre courses du record absolu de Ferrari, établi entre 2010 et 2014 avec 81 résultats dans les points.

Avec Red Bull hors-jeu, McLaren devient l’équipe en activité ayant la plus longue série en cours, avec 49 courses consécutives à l’arrivée dans les points. Pour égaler le record de Ferrari, l’écurie de Woking devra maintenir cette dynamique jusqu’au Grand Prix de Mexico 2026.

Classement des plus longues séries de points consécutifs par équipe

# Écurie Courses Nombre
1. Ferrari Allemagne 2010 -Singapour 2014 81
2. Red Bull Arabie saoudite 2022 -Canada 2025 77
3. McLaren Bahreïn 2010 -Monaco 2013 64
4. Mercedes Brésil 2012 – Russie 2016 62
5. Mercedes France 2021 – Arabie saoudite 2024 62
6. Ferrari Malaisie 1999 – Malaisie 2003 55
7. Mercedes Grande-Bretagne 2018 – Monaco 2021 55
8. McLaren Autriche 2023 – Autriche 2025* 49 (en cours)

McLaren dévoile une livrée « chrome » pour son Grand Prix à domicile à Silverstone

À l’occasion du Grand Prix de Grande-Bretagne, McLaren arborera une livrée inédite baptisée Legacy at Speed, dévoilée lors de l’événement McLaren Racing Live à Londres. Ce design, fruit du partenariat entre l’écurie de Woking et Google Chrome, rend hommage à l’héritage visuel de l’équipe.

« Nous savons que, si nous avons des millions de fans qui suivent l’équipe McLaren Formula 1 depuis des décennies, il y en a des millions d’autres qui découvrent ce sport et notre équipe », a déclaré Louise McEwen, directrice marketing de McLaren Racing. « Pouvoir célébrer et mettre en valeur notre longue histoire avec l’aide de Chrome est un moyen fantastique d’inviter ces nouveaux fans à nous accompagner dans cette aventure. Célébrer avec autant de fans à Londres cette semaine, alors que nous nous préparons pour notre course à domicile, rend cet événement encore plus spécial ! »

McLaren
McLaren

C’est la troisième année consécutive que McLaren revisite ses couleurs chromées, vues précédemment à Silverstone en 2023 et à Austin en 2024, sans reprendre totalement la livrée emblématique des années 2000.

Adrienne Lofton, vice-présidente chez Google, a souligné : « Google Chrome est fier de s’associer à McLaren […] pour dévoiler l’emblématique livrée Chrome. »

Sondage – Voyez-vous Max Verstappen rejoindre Mercedes ?

Selon Sky Sport Italia, Max Verstappen aurait donné son accord verbal à Toto Wolff en vue d’un possible transfert chez Mercedes. Des discussions jugées « concrètes » auraient eu lieu, bien que le conseil d’administration du constructeur allemand n’ait pas encore validé cette option.

Sous contrat avec Red Bull jusqu’en 2028, le quadruple champion du monde fait néanmoins l’objet de vives spéculations, alors que son équipe traverse une période plus délicate. Son abandon dès le premier tour du Grand Prix d’Autriche, après un accrochage avec la Mercedes de Kimi Antonelli, l’a laissé à 61 points du leader Oscar Piastri au championnat.

Si ce transfert se concrétisait pour 2026, Mercedes devrait trancher entre George Russell, en fin de contrat, et Antonelli, jeune talent de la filière. 

Bernie Ecclestone sceptique sur les chances de Lewis Hamilton de décrocher un huitième titre mondial

L’ancien grand patron de la Formule 1, Bernie Ecclestone, s’est montré peu convaincu par les perspectives de Lewis Hamilton de remporter un huitième sacre mondial, malgré son passage chez Ferrari en 2025.

Après une période faste chez Mercedes — six titres glanés entre 2014 et 2020, en plus de celui obtenu avec McLaren en 2008 — Hamilton a vu ses résultats décliner au fil des saisons, à mesure que l’écurie allemande perdait de sa compétitivité.

Désireux de relancer sa carrière, le Britannique a rejoint Ferrari cette saison, mais n’a pas encore réussi à monter sur le podium après 11 Grands Prix. À 40 ans, il espère bénéficier des changements réglementaires prévus pour 2026, qui pourraient rebattre les cartes dans la hiérarchie.

Mais pour Ecclestone, même cette opportunité ne suffira pas : selon lui, Hamilton ne parviendra pas à égaler ou dépasser le record de titres mondiaux détenu par Michael Schumacher.

« Non », a répondu Ecclestone à Sky F1 lorsqu’on lui a demandé s’il pensait que Hamilton pouvait ajouter un titre à son palmarès. « Je pense qu’il y a une période dans la vie où tout va bien, ou tout va mal. »

Ecclestone a suggéré que le chemin vers le titre était désormais plus difficile pour Hamilton en raison d’une concurrence accrue par rapport à l’époque où il courait pour Mercedes.

« Je pense qu’il a eu la chance d’être là quand… tout d’abord, il n’y avait pas beaucoup de concurrence, donc c’était un peu plus facile. Et maintenant, il a des concurrents, alors que lorsqu’il gagnait tout, il n’y avait pas beaucoup de monde au sommet. Mais j’espère qu’il pourra encore y arriver. Quant à savoir s’il peut remporter le championnat du monde dans sa situation actuelle, c’est une tout autre histoire. »

Jacques Villeneuve met en doute la pertinence d’un transfert de Verstappen chez Mercedes

Jacques Villeneuve, champion du monde de Formule 1 en 1997, s’est montré prudent face à l’éventualité d’un départ de Max Verstappen vers Mercedes. Interrogé par Viaplay, le Canadien a souligné les incertitudes entourant un tel choix, alors que la F1 s’apprête à entrer dans une nouvelle ère réglementaire en 2026.

Depuis un an, le nom du Néerlandais circule régulièrement du côté de Brackley, où l’écurie allemande n’a pas encore arrêté son duo de pilotes pour la saison prochaine. Le directeur d’équipe, Toto Wolff, a récemment confirmé qu’aucune option n’était écartée, tout en précisant qu’une décision devrait intervenir d’ici la pause estivale.

Villeneuve a rappelé le pari audacieux qu’avait représenté le passage de Lewis Hamilton chez Mercedes en 2013, un transfert jugé risqué à l’époque, mais qui s’était avéré payant à long terme. Il prévient toutefois que les conditions actuelles sont différentes, notamment en raison de l’incertitude liée à la redistribution des cartes techniques à venir.

« C’est une question difficile », a déclaré Villeneuve lorsqu’on l’a interrogé sur l’avenir de Verstappen. « Prenez le moment où Lewis Hamilton a annoncé qu’il quittait McLaren pour Mercedes. Tout le monde s’est moqué de lui en lui disant : ‘Tu es dans la meilleure voiture, pourquoi tu pars ?’ Plus tard, cela s’est avéré être une excellente décision. »

Selon certaines rumeurs, Mercedes entamerait la nouvelle ère en position de force, après avoir également débuté l’ère actuelle des moteurs hybrides turbo avec le meilleur package en 2014. Villeneuve n’est toutefois pas convaincu par ces spéculations.

« Max sait comment les choses se passent actuellement chez Red Bull, et c’est la seule chose qu’il puisse savoir », a-t-il déclaré. « Quant aux autres équipes, on peut tout au plus faire des estimations. Beaucoup de gens pensent que ‘avec de nouveaux moteurs et de nouvelles règles, Mercedes va prendre la tête, comme en 2014’. Cela ne veut pas dire que ce sera le cas, mais c’est ce que les gens ont en tête. Toutes les équipes ont eu beaucoup de temps pour travailler sur leur package et il semble que Mercedes commence également à rencontrer quelques difficultés avec le sien. Je ne m’attends donc pas à ce qu’ils aient un avantage aussi important qu’en 2014. »

F1 – Max Verstappen aurait dit « oui » à Mercedes

Selon les informations de Sky Sport Italia, Max Verstappen aurait donné son feu vert verbal à Toto Wolff pour un éventuel transfert chez Mercedes, renforçant les spéculations autour de son avenir en Formule 1. Des « négociations concrètes » auraient eu lieu entre les deux parties, bien que la direction de Mercedes n’ait pas encore validé cette potentielle décision stratégique.

Malgré un contrat courant jusqu’en 2028 avec Red Bull, le quadruple champion du monde est au cœur des rumeurs de marché, sur fond de performances en déclin pour l’écurie autrichienne. Verstappen, de plus en plus lié à Mercedes ces dernières semaines, aurait vu sa situation s’assombrir après son abandon au premier tour du Grand Prix d’Autriche, à la suite d’un accrochage avec la Mercedes de Kimi Antonelli. Il accuse désormais 61 points de retard sur Oscar Piastri au classement général.

Un transfert du Néerlandais chez Mercedes dès 2026 impliquerait des ajustements internes, alors que George Russell arrive en fin de contrat et qu’aucune prolongation n’a encore été officialisée. La situation d’Antonelli, espoir de la filière Mercedes, serait également scrutée de près en cas de réorganisation du duo de pilotes.

F1 – Programme et horaires du Grand Prix de Grande-Bretagne 2025

La Formule 1 s’apprête à disputer son 12eme rendez-vous de la saison 2025 avec le Grand Prix de Grande-Bretagne, programmé du vendredi 4 au dimanche 6 juillet. L’épreuve se déroulera sur le célèbre et historique circuit de Silverstone dans le Northamptonshire.

Retrouvez le programme complet et les horaires du GP de Grande Bretagne de Formule 1

Date Séance Horaires Chaine
Vendredi Essais Libres 1 13:30 – 14:30 Canal+ Sport
  Essais Libres 2 17h00 – 18h00 Canal+ Sport
Samedi Essais Libres 3 12H30 – 13H30 Canal+ Sport
  Qualifications 16h00 – 17h00 Canal+ Sport
Dimanche Grand Prix 16h00 Canal+

Racing Bulls dévoile une livrée spéciale pour le Grand Prix de Grande-Bretagne

À l’approche du Grand Prix de Grande-Bretagne, Racing Bulls a levé le voile sur une nouvelle livrée spéciale, conçue en partenariat avec HUGO BOSS et l’artiste britannique Olaolu Slawn.

Révélé mardi soir lors d’un événement organisé au magasin Flannels X de Londres, le design a été présenté par Slawn aux côtés des pilotes Liam Lawson et Isack Hadjar. Ces derniers arboreront également des combinaisons inédites inspirées de l’univers graphique de l’artiste, tout comme le reste de l’équipement de l’écurie.

Cette initiative intervient alors que l’équipe sœur de Red Bull reste sur un résultat encourageant : une sixième place décrochée en Autriche par Lawson, égalant ainsi sa meilleure performance de la saison et lui permettant de devancer Haas au championnat. Racing Bulls espère prolonger cette dynamique positive sur le tracé de Silverstone.

© Red Bull Content Pool
© Red Bull Content Pool

« Le travail de Slawn ne ressemble à rien de ce que nous avons vu en Formule 1, et c’est exactement pour cela que cette collaboration nous a semblé évidente », a déclaré Peter Bayer, PDG de Racing Bulls. « Notre partenariat avec HUGO et Slawn nous a permis de repousser les limites de la créativité d’une manière qui reflète l’identité audacieuse de notre équipe. Silverstone est un moment important de la saison, et nous sommes fiers d’offrir quelque chose de complètement original à nos fans. »

Slawn est un artiste reconnu dans la capitale britannique grâce à son style graffiti unique, inspiré de ses origines yoruba et de la culture urbaine londonienne. Il a récemment conçu le trophée de la FA Cup en mai dernier.

« L’art rencontre la vitesse, et j’ai apporté la folie », a déclaré Slawn. « Un grand merci à HUGO et VCARB pour avoir cru en ma vision. »

© Red Bull Content Pool
© Red Bull Content Pool

Verstappen entretient le flou autour des rumeurs d’un départ chez Mercedes

Max Verstappen a tenu à clarifier sa position face aux spéculations persistantes l’envoyant chez Mercedes. Le quadruple champion du monde, sous contrat avec Red Bull jusqu’en 2028, a vu son nom circuler régulièrement ces derniers mois du côté de Brackley, malgré un engagement contractuel solide.

Des clauses de performance présentes dans son contrat nourrissent toutefois les interrogations sur la pérennité de son avenir au sein de l’écurie autrichienne. De son côté, le patron de Mercedes, Toto Wolff, n’a jamais fermé la porte à un éventuel rapprochement, expliquant qu’il était de son devoir d’examiner toutes les options disponibles sur le marché des pilotes.

Interrogé par la chaîne Viaplay, Verstappen est resté évasif, refusant de confirmer ou de nier l’existence de discussions avec la structure allemande.

« Je n’ai pas grand-chose à ajouter à ce sujet », a déclaré le pilote de 27 ans. « Plus j’en parle, plus les médias en parleront. Et ce n’est certainement pas ce que je souhaite. C’est moi qui décide de mon avenir. »

Les chances de Verstappen de remporter un cinquième titre cette année se sont presque évanouies, alors que McLaren cherche à consolider son avance au classement.
Le Néerlandais a laissé entendre qu’il restait encore du temps pour faire la différence dans la lutte pour le titre, soulignant que les prochaines courses seraient cruciales.

«Il y aura bien sûr des nouveautés, je ne peux donc pas dire tout de suite si c’est bon… Je ne peux pas vraiment donner de réponse définitive quant à savoir si c’est un succès ou non », a-t-il déclaré. « Je pense que d’ici la pause estivale, nous saurons clairement ce qu’il en est pour cette saison en termes de performances. Mais ce n’est pas que j’y pense soudainement plus qu’à l’année dernière ou les années précédentes. Je suis très détendu, je fais juste mon boulot. »

Sondage – Quel pilote remportera le Grand Prix de Grande-Bretagne 2025 ?

La Formule 1 s’apprête à retrouver le circuit historique de Silverstone ce week-end, théâtre du Grand Prix de Grande-Bretagne et situé non loin du quartier général d’Aston Martin.

L’édition 2024 avait vu Lewis Hamilton triompher au volant de sa Mercedes, devançant Max Verstappen (Red Bull) et Lando Norris (McLaren) à l’arrivée. Parti depuis la pole position, George Russell n’avait pas pu convertir sa position en victoire. Le meilleur tour en course avait été réalisé par Carlos Sainz, alors pilote de la Scuderia Ferrari

Red Bull – L’avenir de Yuki Tsunoda en question après un nouveau week-end difficile en Autriche

Christian Horner, directeur de l’écurie Red Bull, a confirmé que la situation de Yuki Tsunoda faisait actuellement l’objet de discussions en interne, au lendemain d’un Grand Prix d’Autriche particulièrement décevant pour le pilote japonais.

Alors que Red Bull comptait sur lui pour limiter les dégâts après l’abandon prématuré de Max Verstappen, Tsunoda n’a pas su inverser la tendance. Pénalisé de dix secondes pour un accrochage avec Franco Colapinto, et en manque de rythme tout au long de la course, il a franchi la ligne d’arrivée à la 16e place, deux rangs seulement gagnés par rapport à sa position de départ.

Ce résultat vient s’ajouter à une série de performances décevantes, avec notamment trois éliminations en Q1 sur les cinq derniers Grands Prix. Après neuf courses au volant d’une monoplace propulsée par Red Bull Powertrains, Tsunoda ne compte que sept points au championnat – un total surpassé en une seule course par Liam Lawson, auteur d’un top 6 en Autriche sous les couleurs de Racing Bulls.

Face à ce constat, l’écurie autrichienne réfléchit aux solutions à envisager. « Nous avons des conversations internes sur la manière de l’aider à retrouver son niveau », a déclaré Horner, sans préciser si un changement de pilote était envisagé à court terme.

« Écoutez, Yuki a fait une course horrible », a déclaré Horner à certains médias. « Encore une fois, ça a commencé à mal tourner pour lui en Q1. Son premier tour en Q1 était correct. Au deuxième tour, il a fait une erreur dans le virage 1, puis il s’est mal qualifié, il s’est retrouvé dans le trafic, incapable de dépasser, puis il a écopé d’une pénalité, et tout s’est enchaîné. Nous allons bien sûr chercher à voir comment nous pouvons l’aider, mais il y a un écart important entre les deux voitures. Et, bien sûr, en interne, nous nous posons toutes les questions que vous vous posez sans doute, à savoir pourquoi ? Nous allons évidemment examiner la voiture, qui a évolué au fil des ans dans une direction précise, mais nous verrons si nous pouvons aider Yuki et lui redonner confiance à Silverstone. »

Succès mondial pour F1 : The Movie, le film porté par Brad Pitt et Lewis Hamilton

La Formule 1 a révélé des chiffres impressionnants pour le lancement de F1 : The Movie, long-métrage centré sur l’univers de la F1, avec Brad Pitt en tête d’affiche et Lewis Hamilton parmi les producteurs.

Réalisé par Joseph Kosinski (Top Gun: Maverick) et produit par Jerry Bruckheimer, le film raconte le retour en piste de Sonny Hayes, un ancien pilote convaincu de reprendre le volant pour venir en aide à l’écurie fictive APX Grand Prix. Présenté en avant-première mondiale à New York, peu après le Grand Prix du Canada, le film a rassemblé de nombreuses figures du paddock, dont la majorité des pilotes actuels.

Sorti mondialement avant le Grand Prix d’Autriche, le film a généré 144 millions de dollars de recettes au box-office lors de son premier week-end d’exploitation, décrochant la première place dans plus de 3 600 salles à travers le monde, selon la F1.

Il s’agit du meilleur démarrage pour une production originale depuis la pandémie de COVID-19, et du plus grand lancement jamais enregistré par Apple Original Films. En dehors du marché nord-américain, F1 : The Movie est diffusé dans 78 pays, sur plus de 44 000 écrans.

Côté critiques, l’accueil est particulièrement positif : le site Rotten Tomatoes affiche un taux d’approbation de 97 % du public et 83 % de la part des critiques professionnels. Un démarrage tonitruant pour un projet cinématographique étroitement lié à l’univers de la Formule 1.