GP de Belgique – Verstappen triomphe à Spa et offre une première victoire à Mekies chez Red Bull

Max Verstappen s’est imposé avec autorité lors de la course sprint à Spa-Francorchamps, repoussant la double offensive des McLaren d’Oscar Piastri et Lando Norris. Le Néerlandais a signé une manœuvre décisive dès le premier tour, s’emparant de la tête à l’approche de la chicane Les Combes grâce à l’aspiration dans la longue ligne droite de Kemmel.

Malgré un Piastri menaçant dans la zone DRS tout au long de la course, le pilote Red Bull n’a jamais cédé. Le champion en titre, au volant d’une RB21 configurée pour maximiser la vitesse en ligne droite, a maîtrisé la course pour offrir à Laurent Mekies, nouveau directeur de l’écurie, une victoire dès sa première course à la tête de l’équipe, succédant à Christian Horner.

Le trio de tête – Verstappen, Piastri et Norris – a franchi la ligne avec moins d’1,5 seconde d’écart. Leclerc, brièvement troisième, termine quatrième après avoir cédé face à Norris. Ocon (Haas), Sainz (Williams) et Bearman complètent le top 7, tandis qu’Isack Hadjar arrache le dernier point.

Pierre Gasly, huitième en qualifications, n’a pas pris le départ à cause d’un problème technique, tandis que Colapinto s’est élancé depuis les stands et termine 19e. Hamilton et Antonelli, partis en fond de grille, n’ont pas pesé sur la course : 15e et 17e. Une contre-performance notable pour Ferrari et Mercedes.

GP de Belgique – La grille de départ de la course sprint

Découvrez la grille de départ de la course Sprint à Spa-Francorchamps.

La grille de départ de la course sprint du GP de Belgique 

# Pilote Écurie
1
 
Oscar PIASTRI
McLaren
2
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull
3
 
Lando NORRIS
McLaren
4
 
Charles LECLERC
Ferrari
5
 
Esteban OCON
Haas
6
 
Carlos SAINZ
Williams
7
 
Oliver BEARMAN
Haas
8
 
Pierre GASLY
Alpine
9
 
Isack HADJAR
Racing Bulls
10
 
Gabriel BORTOLETO
Stake
11
 
Liam LAWSON
Racing Bulls
12
 
Yuki TSUNODA
Red Bull
13
 
George RUSSELL
Mercedes
14
 
Fernando ALONSO
Aston Martin
15
 
Lance STROLL
Aston Martin
16
 
Alexander ALBON
Williams
17
 
Nico HULKENBERG
Stake
18
 
Lewis HAMILTON
Ferrari
19
 
Franco COLAPINTO
Alpine
20
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes

GP de Belgique : Gasly échappe à une sanction après une enquête des commissaires

Pierre Gasly a évité toute pénalité des commissaires sportifs à Spa-Francorchamps, malgré une enquête ouverte à son encontre pour une possible gêne sur Yuki Tsunoda lors de la première partie des qualifications sprint.

L’incident, survenu dans le rapide virage de Blanchimont (virage 17), n’a finalement pas été jugé problématique. Les deux pilotes avaient tout de même réussi à se qualifier pour la SQ2. À l’issue de la séance, Tsunoda a affirmé aux officiels qu’il n’avait pas été gêné par la présence de Gasly devant lui. Au contraire, le Japonais a estimé avoir profité de l’aspiration offerte par l’Alpine, évoquant un « remorquage » favorable.

La télémétrie a confirmé ces propos, ne montrant aucun ralentissement significatif ou manœuvre d’évitement de la part du pilote Red Bull. Le rapport des commissaires indique : « Le pilote de la voiture n°22 a déclaré qu’il avait été ‘remorqué’ par la voiture n°10 et n’avait pas eu à ralentir. […] Aucun obstacle inutile n’a été constaté. »

Gasly conserve donc sa huitième position sur la grille du sprint. De son côté, Tsunoda n’a pas réussi à se qualifier pour la SQ3, terminant 12e au volant de sa RB21.

Max Verstappen minimise l’impact des évolutions sur la Red Bull

Max Verstappen a relativisé les bénéfices des récentes évolutions de sa Red Bull après les qualifications sprint du Grand Prix de Belgique, malgré une solide deuxième place sur la grille. Le Néerlandais a placé sa RB21 entre les deux McLaren d’Oscar Piastri et Lando Norris, auteurs d’une performance très convaincante.

Avec une voiture dotée notamment d’un nouvel aileron avant, Verstappen s’est montré compétitif sur le tracé de Spa-Francorchamps, mais a tout de même concédé 0,477 seconde à Piastri, auteur de la pole avec un chrono record de 1:40.510. Norris complétera la deuxième ligne, à 0,141 seconde de son coéquipier.

Malgré ces améliorations techniques, Verstappen a minimisé leur impact réel, soulignant que la Red Bull avait été configurée avec un faible appui aérodynamique pour maximiser la vitesse de pointe, en particulier dans le secteur de Kemmel, où il a signé les meilleurs temps. Ce choix a toutefois pénalisé ses performances dans le secteur central, plus technique, où McLaren a su tirer parti de l’équilibre et de la motricité de la MCL39.

À propos de sa performance en qualifications, Verstappen a déclaré : « Être en P2 entre eux [les McLaren] est un bon résultat pour nous, et je pense que nous avons tiré le maximum. J’ai pris du plaisir sur la piste. Le tour en lui-même était bon, très bon. Bien sûr, l’écart était important, mais il l’était déjà depuis la FP1, donc ce n’est pas une grande surprise. Nous devons simplement nous concentrer sur nous-mêmes et sur l’équilibre de la voiture et essayer d’aller plus vite. »

Quant à son avantage apparent dans les lignes droites, qui devrait lui permettre de prendre la tête dans la chicane Les Combes au premier tour s’il parvient à profiter de l’aspiration de Piastri, Verstappen a déclaré : « Même avec près de cinq dixièmes de retard, je ne pense pas que rouler plus vite ou plus lentement dans les lignes droites fera une grande différence. Nous devons simplement faire notre course et voir ce que nous pouvons faire. »

Verstappen a au moins obtenu des sensations plutôt satisfaisante avec les mises à jour, ajoutant : « C’est toujours difficile lors d’un week-end de sprint de voir exactement ce qu’elles apportent, bien sûr, mais quand on regarde l’écart, ce n’est pas ce que nous voulons. Nous allons continuer à nous améliorer, à essayer de gagner en performance, mais les autres équipes font la même chose. C’est comme ça que ça marche. »

F1 – GP de Belgique : Piastri en pole du sprint après un tour magistral à Spa

Oscar Piastri a signé une performance de haut vol à Spa-Francorchamps en décrochant la pole position de la course le sprint du Grand Prix de Belgique. Avec un chrono de 1:40.510, l’Australien a relégué Max Verstappen à près d’une demi-seconde, malgré les dernières évolutions techniques de la Red Bull, notamment un nouvel aileron avant. Le pilote McLaren, déjà deuxième en Chine et à Miami cette saison en sprint, confirme sa montée en puissance.

Lando Norris, après avoir dominé la SQ2, n’a pu faire mieux que troisième à six dixièmes de son coéquipier, devant Charles Leclerc. Derrière ce quatuor, la grille réserve des surprises : Esteban Ocon (Haas) s’élancera cinquième, encadrant Carlos Sainz (Williams) avec Oliver Bearman. Pierre Gasly (Alpine) partira huitième devant Isack Hadjar (Racing Bulls) et Gabriel Bortoleto (Stake).

La qualification a été marquée par de nombreux rebondissements. Lewis Hamilton a connu deux incidents en SQ1. Un premier blocage à Stavelot a compromis son tour, puis un tête-à-queue dans la chicane Bus Stop l’a relégué à la 18e place. Kimi Antonelli, en difficulté dans le même secteur, partira dernier.

La SQ2, disputée avec des pneus mediums, a vu Piastri se qualifier de justesse pour la SQ3 avec le dixième temps, devançant Liam Lawson de seulement 0,041 seconde. Norris a pris la tête de cette session devant Verstappen, tandis que Russell a été éliminé et partira 13e, derrière Yuki Tsunoda. Alonso et Stroll, les deux Aston Martin, s’élanceront 14e et 15e.

En bas de grille, Franco Colapinto et Nico Hülkenberg n’ont pas pu créer la surprise, et ce dernier devra se remotiver après son récent podium à Silverstone.

Classement et résultats de la qualification sprint du GP de Belgique 

Découvrez les résultats des qualifications Sprint à Spa-Francorchamps avant le Grand Prix de Belgique de F1 2025 !

Résultat de la qualif sprint du GP de Belgique 

# Pilote Écurie Chrono pneu
1
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:40.510 S
2
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:40.987 S
3
 
Lando NORRIS
McLaren 1:41.128 S
4
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:41.278 S
5
 
Esteban OCON
Haas 1:41.565 S
6
 
Carlos SAINZ
Williams 1:41.761 S
7
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:41.857 S
8
 
Pierre GASLY
Alpine 1:41.959 S
9
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:41.971 S
10
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:42.176 S
11
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:42.169 M
12
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:42.184 M
13
 
George RUSSELL
Mercedes 1:42.330 M
14
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:42.453 M
15
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:42.832 M
16
 
Alexander ALBON
Williams 1:43.212 M
17
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:43.217 M
18
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:43.408 M
19
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1:43.587 M
20
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:45.394 M

F1 – GP de Belgique : Piastri domine la seule séance d’essais libres à Spa

Oscar Piastri a signé le meilleur temps de la seule séance d’essais libres du Grand Prix de Belgique, sur le circuit de Spa-Francorchamps, en 1:42.022. L’Australien a devancé Max Verstappen de 0,404 seconde, prenant un premier avantage psychologique avant les qualifications sprint. Lando Norris, en difficulté sur les pneus tendres, a terminé à une demi-seconde de son coéquipier McLaren, malgré l’introduction d’un nouveau moteur pour les deux monoplaces, le quatrième et dernier autorisé cette saison.

La séance a été marquée par des conditions changeantes, et une stratégie pneumatique influencée par le choix inédit de Pirelli, qui a apporté pour la première fois depuis 2022 les composés C1 (dur), C3 (medium) et C4 (tendre). Ce choix pourrait favoriser une course à deux arrêts dimanche. La majorité des pilotes a débuté en gommes dures, sauf Verstappen et Tsunoda, qui ont opté pour les mediums.

Carlos Sainz a connu un début de séance difficile, sa Williams ayant souffert d’un problème d’alimentation en carburant. Immobilisé une trentaine de minutes, l’Espagnol a tout de même pu reprendre la piste et boucler quelques tours, concluant à la 11e place.

Franco Colapinto, sur l’Alpine, a été le premier à utiliser les pneus tendres. Il est brièvement remonté à la huitième place avant d’être devancé par Lance Stroll, qui a pris la tête avec plus d’une seconde d’avance sur Leclerc. Mais c’est finalement Piastri qui s’est imposé dans la dernière partie de la séance, reprenant la première place avec autorité. Verstappen n’a pas pu rivaliser dans le deuxième secteur et a terminé derrière, tout comme Norris, gêné par une sortie dans le gravier à Stavelot.

Derrière Piastri, le top 10 est complété par Verstappen, Norris, Russell, Leclerc, Antonelli, Hamilton, Stroll, Alonso et Hadjar. Une hiérarchie encore mouvante, à quelques heures des qualifications sprint.

Buenos Aires mise sur le retour de la F1 avec la rénovation de l’Autódromo Galvez

L’Argentine ambitionne de ramener la Formule 1 à Buenos Aires en rénovant en profondeur l’Autódromo Oscar y Juan Gálvez afin de répondre aux standards actuels. Cette volonté s’inscrit dans un projet plus vaste de relance du sport automobile dans le pays.

Lundi, il a été confirmé que le circuit accueillerait le Grand Prix MotoGP d’Argentine dès 2027, en remplacement de Termas de Río Hondo. Le maire de Buenos Aires, Jorge Macri, a précisé que cet événement marquait une première étape vers un éventuel retour de la F1.

Des discussions exploratoires ont eu lieu avec Stefano Domenicali, PDG de la F1, dès l’année dernière. L’enthousiasme national s’est accentué depuis les débuts en F1 de Franco Colapinto, attirant l’attention de plusieurs entreprises locales souhaitant soutenir ce projet de renaissance du sport automobile argentin.

« Buenos Aires était autrefois la capitale du sport automobile et de la moto dans la région, et aujourd’hui, elle commence à retrouver ce statut », a-t-il déclaré. « Mais nous voulons aller plus loin : c’est la première étape vers une nouvelle candidature pour accueillir la Formule 1. Nous allons figurer parmi les meilleurs circuits du monde, comme Barcelone et Silverstone », a-t-il ajouté, cité par le Buenos Aires Herald.

« Cette année, nous avons été choisis comme Capitale mondiale du sport 2027, et aujourd’hui, nous franchissons une nouvelle étape vers la consolidation de notre leadership mondial dans ce sport. Mais nous ne nous contentons pas de cela, car nous nous lançons un nouveau défi : c’est la première étape vers une nouvelle candidature pour accueillir la Formule 1. Ce retour confirme que nous sommes sur la bonne voie. »

Le circuit actuellement connu sous le nom d’Autodromo Oscar y Juan Galvez a été construit en 1952 et a accueilli pour la dernière fois une course du championnat du monde en 1998, un an avant que le MotoGP ne fasse sa dernière apparition dans la ville.
Le circuit n’est actuellement pas homologué pour le MotoGP ou la F1, mais un important programme de rénovation devrait débuter dans le courant de l’année afin de mettre le site aux normes internationales.

« À partir du mois d’octobre, nous allons entreprendre une rénovation complète du circuit, y compris la piste, le paddock, les stands, les zones de sécurité et l’intégration des dernières technologies », a révélé Marci. « Grâce à cet investissement dans les infrastructures, la sécurité, la logistique et la connectivité, nous positionnons le Galvez au niveau des grands circuits automobiles et le mettons aux normes internationales. Malgré la modernisation du circuit, nous préserverons l’esprit d’un site historique comme celui-ci. »

Avenir incertain pour Franco Colapinto chez Alpine, sous la pression de Flavio Briatore

L’avenir de Franco Colapinto chez Alpine semble compromis, alors que Flavio Briatore, récemment revenu aux affaires, envisagerait déjà des alternatives. Remplaçant Jack Doohan après Miami, l’Argentin peine à convaincre depuis son retour en F1, enchaînant les résultats décevants et un manque de réussite en piste.

Selon plusieurs sources, Briatore aurait entamé des discussions avec Mercedes concernant Valtteri Bottas, en vue d’un possible remplacement dès cette saison. L’ancien pilote Riccardo Patrese, qui a côtoyé Briatore chez Benetton, a comparé le dirigeant italien à une « bombe de la Seconde Guerre mondiale » : imprévisible et potentiellement explosive. L’avenir de Colapinto pourrait ainsi se jouer dans les prochaines semaines, sous haute pression.

« Tout peut arriver avec Briatore », a déclaré Patrese . « De mon point de vue, Briatore est comme une bombe qui peut exploser à tout moment, une bombe de la Seconde Guerre mondiale que l’on découvre dans certains endroits du monde et qui finit par exploser. Avec les mauvaises performances et les accidents de Colapinto, il peut avoir des problèmes avec Briatore, qui n’aide pas à remonter le moral d’un pilote. Colapinto n’est donc pas en sécurité en ce moment. »

Pierre Gasly écarte les rumeurs Bottas chez Alpine et défend son bilan

Pierre Gasly a balayé les rumeurs annonçant une possible arrivée de Valtteri Bottas chez Alpine en cours de saison, évoquant « beaucoup de bruit » sans fondement. L’écurie française traverse une campagne 2025 difficile, plombée des résultats décevants.

Actuellement lanterne rouge au classement des constructeurs, Alpine doit ses seuls points à Gasly, auteur de 100 % du total de l’équipe. En revanche, Jack Doohan et Franco Colapinto, alignés tour à tour dans le second baquet, peinent à convaincre.

Ce contexte a alimenté des spéculations autour d’un éventuel recrutement de Bottas, aujourd’hui pilote de réserve chez Mercedes, pour apporter un « point de référence ». Gasly, interrogé sur cette hypothèse, a réaffirmé sa confiance en ses propres performances et minimisé la rumeur.

« Je ne pense pas que ce soit le cas », a déclaré Gasly. « Je pense que c’est beaucoup de bruit. Je pense que la voiture, je montre chaque week-end ce qu’on peut faire avec, en faisant un très bon travail le samedi et en la plaçant à des endroits où, sur le papier, on est tous d’accord pour dire qu’on ne devrait pas vraiment être. »

« C’est juste délicat, c’est un milieu de peloton très serré et on est à l’arrière. Il y aura toujours du bruit, surtout compte tenu de ce qui s’est passé en début d’année, mais je pense qu’au final, nous devons simplement nous concentrer sur le travail qui nous attend. La saison va être longue. Nous n’avons pas de mises à jour, la voiture n’est pas au mieux, mais nous devons tous nous concentrer sur ce que nous avons à faire et essayer de le faire du mieux possible. »

F1 2025 : Red Bull en net recul à mi-saison, McLaren en pleine ascension

À l’issue des 12 premières manches du championnat 2025, Red Bull traverse l’une des périodes les plus délicates de son histoire récente. Marquée par le départ de Christian Horner après plus de deux décennies à la tête de l’équipe, la première moitié de saison a vu l’écurie de Milton Keynes chuter lourdement au classement.

Avec seulement 172 points inscrits, soit 201 de moins qu’à la même étape l’an dernier, Red Bull accuse la plus forte baisse de performance du plateau. Un chiffre d’autant plus frappant que 165 de ces points ont été marqués par Max Verstappen à lui seul, soulignant la contribution quasi exclusive du quadruple champion du monde au bilan de l’équipe.

Par comparaison, Ferrari, actuellement deuxième du championnat constructeurs, affiche un déficit de 80 points par rapport à 2024, tandis que Mercedes enregistre une baisse plus modérée de 11 unités. Seule McLaren se démarque par une progression spectaculaire : avec 165 points supplémentaires par rapport à l’an dernier à la même période, l’équipe britannique se positionne comme la nouvelle référence et vise désormais le record de 860 points inscrits en une saison — établi justement par Red Bull en 2023.

Derrière ce trio, Williams et Stake F1 progressent également par rapport à leurs performances de la saison précédente, tandis qu’Aston Martin connaît un léger recul.

En pleine recomposition interne, Red Bull devra réagir rapidement pour enrayer cette dynamique à la baisse et préserver ses ambitions face à une concurrence plus affûtée que jamais.

CLASSEMENT DES CONSTRUCTEURS DE F1 APRÈS 12 COURSES EN 2024 VS 2025

Écurie Nombre de points en 2024 Nombre de points en 2025 Différence (+/-)
McLaren 295 460 +165
Mercedes 221 210 -11
Red Bull 373 172 -201
Ferrari 302 222 -80
Williams 4 59 +55
Stake 0 41 +41
Racing Bulls 31 36 +5
Aston Martin 68 36 -32
Haas 27 29 +2
Alpine 9 19 +10

Alpine en a mis plein les yeux des spectateurs à Goodwood

Alpine, qui célèbre son 70e anniversaire, est revenu au Goodwood Festival of Speed. Au programme : l’Alpine A290 Rallye, une toute nouvelle version modifiée pour le sport automobile de la Voiture de l’année 2025, qui a fait ses débuts mondiaux en dynamique lors de la course de côte ; le show car Alpenglow HY6 ; l’A110 R Ultime et l’Alpine A390 qui ont également leurs débuts dynamiques au Royaume-Uni sur le circuit de Goodwood.

Les A290 et A110 de série ont également exposées, tandis que l’équipe de Formule 1 BWT Alpine a proposé chaque jour une démonstration spectaculaire du pedigree sportif de la marque.

Alpine est revenu au Goodwood Festival of Speed avec un programme sensationnel, avec notamment la première mondiale de l’Alpine A290 Rallye, ainsi que les premières britanniques de la voiture concept Alpenglow HY6 à hydrogène, de la phénoménale A110 R Ultime et de la fastback A390 qui sera bientôt commercialisée.

Cet événement s’inscrit dans le cadre des célébrations du 70e anniversaire du célèbre constructeur français de voitures de sport. Du 10 au 13 juillet, les visiteurs de Goodwood ont également pu admirer l’équipe de Formule 1 BWT Alpine, qui s’est élancée chaque jour dans la course de côte, ainsi que l’A290 entièrement électrique, qui a remporté le titre de Voiture européenne de l’année 2025 au début de l’année, et l’A110, plusieurs fois récompensée, qui fera ses adieux avant de sortir de production l’année prochaine.

L’Alpine A290 Rallye, une version modifiée pour la compétition de la voiture de l’année 2025, a été mise à l’honneur lors de ses débuts dynamiques. Dotée d’une cage de sécurité intégrale et d’une série d’améliorations issues de la compétition, notamment un différentiel à glissement limité ZF, une suspension, des freins et un train roulant améliorés, la voiture a donné de quoi vibrer aux fans agglutinés sur la colline de Goodwood. Elle a été dévoilée pour la première fois la semaine dernière dans la zone d’assistance du Rallye du Rouergue, après avoir été habillée d’une livrée sportive par l’équipe de design Alpine. Les jantes blanches et la palette de couleurs dynamiques ont été conçues par Raphael Linari, responsable du design de la voiture de course, afin de refléter l’esprit compétitif du véhicule.

« Il s’agit d’une Alpine A290 en tenue sportive », a déclaré M. Linari. « Le look a été conçu pour transmettre la légèreté, la simplicité et l’efficacité. »

Le légendaire parcours de côte a accueilli également pour la première fois le show-car Alpenglow HY6, un véhicule avancé à hydrogène présenté pour la première fois au Salon de l’automobile de Paris en 2024. Propulsée par un moteur V6 biturbo de 3,5 litres développant 740 ch, l’Alpenglow annonce un avenir passionnant pour la marque dans le sport automobile. Elle allie innovation environnementale et sportivité pour présenter une nouvelle façon de réduire l’empreinte carbone d’une voiture de sport, tandis que son design intègre des éléments qui préfigurent l’allure des futurs modèles Alpine. 

Chez Alpine, la patience de Briatore pour Colapinto est décidemment testée

Silverstone a été un autre week-end contrasté pour les deux pilotes Alpine.

Pierre Gasly a réalisé une performance méritant d’être assi remarquée que celle de Nico Hülkenberg, s’étant qualifié 10e et ayant terminé 6e sur un circuit où Alpine s’attendait à voir ses deux voitures sortir en Q1.

Mais malheureusement, son coéquipier Franco Colapinto était aux abonnés absents. En fait, il n’a pas pris part à ce Grand Prix après avoir perdu sa place lors d’un arrêt au stand à la fin du tour de formation, ayant pris le risque de chausser des pneus slicks alors qu’il devait de toute façon prendre le départ dans la voie des stands.

Ce départ depuis la voie des stands était nécessaire car Colapinto avait raté sa qualification en effectuant un tête-à-queue et un accident évitables en Q1, qui avaient endommagé sa voiture et mis fin à sa séance. Alpine a opté pour un départ depuis la voie des stands après avoir changé tous les composants du moteur.

Le problème rencontré lors de la reprise après son arrêt aux stands était peut-être également de son fait. Cela ressemblait beaucoup à ce qui s’était passé en Espagne, où Colapinto avait cassé quelque chose en n’engageant pas l’embrayage à temps (même si, cette fois-ci, c’était peut-être en essayant de repartir en deuxième vitesse).

Alpine a pris soin de ne pas laisser Colapinto exposé. Flavio Briatore, conseiller exécutif, a déclaré : « C’est dommage pour Franco, dont la course s’est terminée avant même d’avoir commencé à cause d’un problème de transmission. »

Mais la formulation de son problème de « transmission » est à la fois très précise et très vague, ce qui, combiné à ce que l’on peut voir et entendre sur sa caméra embarquée, conduit à la conclusion assez ferme qu’il a commis une erreur.

Si tel est le cas, cela ne fait qu’ajouter au cauchemar de Colapinto. L’Argentin était déjà déçu de ne pas avoir réussi à convertir son rythme honorable lors des essais en une victoire sur Gasly lors des qualifications. Et il met vraiment à l’épreuve la patience d’Alpine.

L’arrivée d’un nouveau sponsor latino-américain avant le week-end devrait lui permettre de conserver son poste pour l’instant, et Colapinto mérite qu’on lui laisse du temps, étant donné qu’il a été propulsé en pleine saison dans une nouvelle voiture et une situation difficile.

Mais Colapinto a vraiment besoin d’un répit et doit cesser de se compliquer la vie.

Week-end noir pour Franco Colapinto à Silverstone, un avenir incertain chez Alpine

Franco Colapinto a vécu un Grand Prix de Grande-Bretagne compliqué, marquant son sixième week-end de course avec Alpine. Dès la séance de qualifications, le pilote argentin est sorti de piste en Q1, envoyant sa monoplace dans les barrières et se condamnant à un départ en fond de grille.

Des changements effectués sur sa voiture après les qualifications ont entraîné un départ depuis la voie des stands. Malgré l’installation d’un nouveau groupe motopropulseur censé améliorer ses performances, Colapinto n’a jamais pris le départ de la course.

Alpine n’a communiqué la cause de ce forfait qu’1h30 après l’arrivée, évoquant un « problème de transmission ». Toutefois, dans le paddock, certaines rumeurs ont pointé une possible erreur du jeune pilote de 22 ans.

Ce nouvel accroc intervient alors que l’avenir de Colapinto au sein de l’écurie d’Enstone demeure incertain, dans un contexte de performances en demi-teinte. Depuis son arrivée au sein de l’écurie Alpine, Franco Colapinto n’est pas parvenu à marquer le moindre point. Pire, il a à plusieurs reprises endommagé la monoplace. Après six Grands Prix, ses résultats restent tout aussi insuffisants en comparaison à ceux réalisés par celui qui occupait ce baquet en début de saison, Jack Doohan. 

Alpine F1 a officialisé l’arrivée d’un nouveau directeur général

L’écurie Alpine a annoncé le recrutement de Steve Nielsen en tant que directeur général à partir du 1er septembre prochain.

Depuis le départ d’Oliver Oakes, ancien team principal, le management de l’écurie Alpine autour de Flavio Briatore, le conseiller exécutif, apparaissait flou. L’écurie française a donc désormais officialisé la nomination de Steve Nielsen en tant que directeur général qui devrait faire office de team principal en rendant des comptes à Briatore.

« Sous la direction de Flavio Briatore, Steve Nielsen supervisera la gestion quotidienne de l’équipe à Enstone à compter du 1er septembre, en amont du Grand Prix d’Italie à Monza », indique le communiqué.

« Cette nomination marque le retour à Enstone de l’une des figures les plus expérimentées et respectées du sport. Steve Nielsen a déjà occupé différentes fonctions pour Benetton et Renault, dont celles de directeur sportif lors des campagnes auréolées de titres mondiaux en 2005 et 2006. » 

« Depuis, Steve Nielsen a travaillé pour d’autres écuries, et plus récemment à la FIA et en Formule 1, où il a apporté sa riche expérience en gestion et opérations de course. Il a notamment joué un rôle déterminant dans la reprise des compétitions lors de la pandémie en 2020. » 

Dans le même temps, Alpine a annoncé le recrutement de « plusieurs personnes clés dont Kris Midgley comme responsable du développement aérodynamique et Guy Martin en tant que directeur marketing monde ».

Alpine semble encore une fois dans une période de transition alors que l’écurie est la dernière force du plateau en 2025, pointant en 10e place du championnat constructeurs avec seulement 11 points à son actif. 

Alpine – Paul Aron fera ses débuts en F1 avec Stake à Silverstone

Paul Aron, membre du programme junior d’Alpine, participera à son tout premier week-end de Formule 1 ce vendredi à Silverstone, où il prendra le volant d’une Stake Sauber lors de la première séance d’essais libres.

L’Estonien, actuellement engagé en Formule 2 avec l’équipe Hitech en 2024, remplacera Nico Hülkenberg le temps de la FP1. Bien qu’il reste officiellement affilié à Alpine, Aron occupe aujourd’hui le rôle de pilote de réserve pour l’écurie Stake, un poste qui lui permet désormais de prendre la piste dans le cadre d’une session officielle.

Cette apparition s’inscrit dans le cadre des obligations réglementaires imposant aux équipes d’aligner des débutants lors de deux séances d’essais libres au cours de la saison. Stake a déjà respecté deux de ces engagements via Gabriel Bortoleto en Australie et en Chine. Aron, quant à lui, bénéficiera d’une deuxième opportunité avant la trêve estivale, avec une nouvelle participation prévue au Grand Prix de Hongrie.

L’annonce intervient alors que Stake sort d’un week-end fructueux en Autriche, avec un double top 10 pour la première fois depuis le Grand Prix du Qatar 2023. Gabriel Bortoleto a signé ses premiers points en F1 avec une huitième place, tandis que Nico Hülkenberg a terminé neuvième. De son côté, Paul Aron pourrait bien récupérer le baquet de Franco Colapinto, si ce dernier ne parvient pas à convaincre chez Alpine

Valtteri Bottas en piste pour un retour en F1 chez Alpine ?

Valtteri Bottas pourrait effectuer un retour inattendu en Formule 1 dès cette saison, Alpine envisageant de modifier une nouvelle fois son duo de pilotes en cours d’année. Selon The Race, Flavio Briatore, conseiller exécutif de l’écurie française, aurait récemment sondé Mercedes pour connaître la disponibilité du pilote finlandais.

En grande difficulté au classement constructeurs, Alpine n’a inscrit aucun point en 2025, que ce soit avec Jack Doohan ou Franco Colapinto. Doohan a été écarté après six courses, remplacé par Colapinto, engagé pour un programme initial de cinq Grands Prix. Le jeune Argentin devrait encore être aligné ce week-end à Silverstone, mais son avenir semble incertain, l’équipe évaluant ses performances « course après course ». Chez Alpine, seul Pierre Gasly est parvenu à placer sa monoplace dans la zone des points (11 pts).

Bottas, sans volant cette saison après son départ de Sauber, a retrouvé un rôle de pilote de réserve chez Mercedes. Présent régulièrement dans le paddock, il joue notamment un rôle de mentor auprès du jeune Kimi Antonelli. Le Finlandais a exprimé à plusieurs reprises son souhait de retrouver un baquet en F1, son nom étant également associé au projet Cadillac, qui fera son entrée sur la grille en 2026.

Selon Autosport, Bottas serait même le favori pour mener la future écurie américaine, qui n’a pas encore dévoilé ses intentions pour la saison 2025. Cadillac pourrait opter pour l’expérience en confiant son premier siège à Bottas, tandis que Sergio Perez et Felipe Drugovich seraient en lice pour l’accompagner.

En attendant 2026, un passage par Alpine dès cet été pourrait offrir à Bottas l’opportunité de se relancer au plus haut niveau.

Franco Colapinto sous pression chez Alpine après un week-end difficile en Autriche

La situation de Franco Colapinto chez Alpine semble s’être brusquement tendue lors du Grand Prix d’Autriche. Si sa position paraissait jusque-là relativement stable, le ton a changé au cours du week-end disputé sur le Red Bull Ring.

Le pilote argentin de 22 ans avait initialement été engagé pour un programme de cinq courses, fixé par Flavio Briatore, récemment nommé directeur d’équipe après le départ d’Oliver Oakes. Briatore avait par la suite minimisé la portée de cette limite, semblant accorder plus de temps à Colapinto pour faire ses preuves.

Mais à l’issue de ces cinq épreuves, conclues en Autriche, Alpine aurait signifié à Colapinto et à son entourage qu’il devait désormais élever son niveau de performance. Jusqu’ici, l’équipe ne se serait pas montrée pleinement convaincue par le rythme affiché par le jeune pilote.

En qualifications, Colapinto s’est classé 14e, après une 12e place sur la grille au Canada deux semaines plus tôt. Il a toutefois accusé un retard d’un quart de seconde sur son coéquipier Pierre Gasly en Q1, ce dernier atteignant ensuite la Q3 pour s’élancer en 10e position.

La course s’est révélée difficile : Colapinto a terminé 15e, avec un tour de retard, seul Yuki Tsunoda terminant derrière lui parmi les pilotes classés. Une pénalité de cinq secondes lui a en outre été infligée pour avoir envoyé Oscar Piastri hors de la piste, sans impact sur son classement final mais ajoutant un accroc supplémentaire à son week-end.

À l’issue de l’épreuve, son futur reste flou, mais la pression autour du pilote argentin semble désormais comparable à celle qui pesait sur Jack Doohan avant son éviction.

Colapinto a d’abord minimisé sa performance en course. « L’équipe et moi-même nous concentrons sur l’amélioration de la voiture », a-t-il déclaré aux médias. « Nous avons semblé un peu en retrait aujourd’hui, et nous devons simplement progresser. La voiture est un peu difficile à piloter pour moi en ce moment. Elle n’est pas très régulière. Elle est rapide, mais elle ne m’a pas donné la confiance dont j’avais besoin pour pousser à grande vitesse ici. Ce fut un week-end difficile. Dans l’ensemble, nous avons fait quelques progrès, mais j’ai l’impression qu’il manquait quelque chose. »

Interrogé sur ses éventuelles inquiétudes quant à un changement de la part de Briatore, il a répondu : « Je ne suis pas vraiment inquiet. Je pense qu’il m’a beaucoup soutenu et qu’il a confiance dans la décision qu’il a prise. »

Sondage – Quel pilote signera la pole position du Grand Prix d’Autriche 2025 ?

L’Autriche et son circuit de Spielberg accueillent ce weekend la onzième manche du Championnat de F1. Oscar Piastri arrive en position de leader du Championnat, devant Lando Norris et Max Verstappen. Toutefois, la dernière course a été remportée d’une main de maître par George Russell (Mercedes), à l’occasion du Grand Prix du Canada. Pour rappel, l’édition précédente du Grand Prix d’Autriche a elle aussi été remportée par George Russell, il avait devancé Oscar Piastri (McLaren) et Carlos Sainz (Ferrari). Lors de cette course, Lando Norris et Max Verstappen s’étaient accrochés, le premier d’une longue série.

La saison passée, Max Verstappen avait signé le meilleur temps des qualifications devant Lando Norris, George Russell et Carlos Sainz. Mais cette année, Oscar Piastri est régulièrement le plus rapide le samedi (4 pole) devant Max Verstappen (3 pole) et Lando Norris (2 pole).

Pierre Gasly interpelle Alpine sur l’importance d’avoir un bon châssis en 2026 pour l’arrivée du moteur Mercedes

Pierre Gasly a lancé un appel clair à Alpine : l’écurie devra être prête à concevoir un châssis à la hauteur du moteur Mercedes, dont elle bénéficiera à partir de 2026. Le Français exhorte son équipe à relever ce défi technique afin de pleinement exploiter les performances attendues de cette nouvelle unité de puissance.

Alpine abandonnera en effet les moteurs Renault au terme de la saison 2025, à la suite des difficultés rencontrées depuis le gel du développement imposé en 2022. Incapable de combler les faiblesses structurelles de son bloc, Renault a décidé de cesser la production de moteurs à Viry-Châtillon à la fin du cycle réglementaire actuel.

Les rumeurs laissent entendre que les motorisations Mercedes, développées à Brixworth, pourraient dominer la nouvelle ère technique de la Formule 1. Dans ce contexte, Gasly souligne l’importance pour Alpine d’assumer pleinement sa responsabilité en matière de conception du châssis, afin de tirer parti de ce changement stratégique.

« Les [nouvelles] réglementations offrent des opportunités beaucoup plus importantes et des récompenses potentiellement beaucoup plus importantes, et nous devons nous concentrer là-dessus », a expliqué Gasly aux médias. « Vu la façon dont les gars travaillent à l’usine, tout le monde est très confiant et optimiste quant à la mise au point de la voiture, mais en même temps, nous n’aurons pas la réponse avant d’avoir mis la voiture en piste. Certes, [le fait d’avoir un moteur Mercedes] nous donne confiance, mais rien ne garantit qu’ils auront le meilleur moteur l’année prochaine, c’est juste que ces dernières années, ils semblaient être parmi les meilleurs. Ensuite, en ce qui concerne le châssis, nous savons que nous avons du travail à faire. Nous avons un châssis assez bon, mais cela ne signifie pas que nous ne pouvons pas faire mieux. Nous avons des idées pour l’améliorer, mais nous n’avons pas pu toutes les intégrer dans la voiture de cette année. Je fais confiance au processus, je sais que nous faisons la une des journaux et que les gens ne voient peut-être pas tout ce qui se passe au sein de l’équipe, et que les changements les plus visibles ne sont pas toujours ceux qui ont le plus d’impact, mais ce sont ceux qui font le plus de bruit. »