GP de Singapour – EL3 – Verstappen le plus rapide, Lawson encore dans le mur

Max Verstappen a conclu la dernière séance d’essais libres du Grand Prix de Singapour en tête, signant un tour en 1:30.148. Le pilote Red Bull s’affirme ainsi comme le grand favori pour décrocher sa première pole sur le tracé de Marina Bay, malgré une concurrence resserrée : les cinq premiers se tiennent en seulement 0,089 seconde.

Oscar Piastri a terminé deuxième à 0,017 seconde, confirmant la bonne forme de McLaren, tandis que Mercedes a surpris avec George Russell et le jeune Kimi Antonelli, classés troisième et quatrième. Lando Norris complète le top 5.

La séance a toutefois été marquée par un nouvel accident de Liam Lawson. Déjà victime d’une sortie de piste vendredi, le Néo-Zélandais a une nouvelle fois lourdement endommagé sa Racing Bull en heurtant le mur à la sortie du virage 7, après avoir dérapé sur un vibreur. Son équipe devra encore reconstruire la monoplace avant les qualifications, prévues à 21h00 heure locale.

Autre fait marquant : Lewis Hamilton (Ferrari) fait l’objet d’une enquête pour une infraction sous drapeau rouge. S’il est reconnu coupable, le Britannique risque une pénalité de dix places sur la grille.

Avant l’interruption provoquée par Lawson, Norris et Piastri avaient animé le début de séance avec des relais en pneus moyens, vite rejoints par les Williams de Carlos Sainz et Alex Albon en gommes tendres. Sainz avait brièvement pris la tête en 1:31.960 avant que la lutte ne s’intensifie dans les quinze dernières minutes, lorsque les pilotes sont passés en configuration de qualification.

Charles Leclerc (Ferrari) a signé un 1:30.651, aussitôt battu par Isack Hadjar, puis par Norris, avant que Verstappen n’impose sa loi avec le chrono de référence. Russell et Antonelli se sont intercalés dans le haut du classement, mais le triple champion du monde a conservé l’avantage jusqu’au drapeau à damier.

À l’approche des qualifications, l’écart infime entre Verstappen, McLaren et Mercedes promet une bataille intense pour la pole sur l’exigeant circuit urbain de Singapour.

Classement et résultats des Essais Libres 3 du Grand Prix de Singapour

Découvrez les résultats complets de la troisième séance d’essais libres avant les qualifications du Grand Prix de Singapour de F1 2025.

Classement des Essais Libres 3 du Grand Prix de Singapour

# Pilote Écurie Chrono Pneu
1
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:30.148 M
2
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:30.165 M
3
 
George RUSSELL
Mercedes 1:30.197 S
4
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:30.237 S
5
 
Lando NORRIS
McLaren 1:30.237 M
6
 
Carlos SAINZ
Williams 1:30.392 S
7
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:30.489 M
8
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:30.559 S
9
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:30.637 S
10
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:30.651 S
11
 
Alexander ALBON
Williams 1:30.668 S
12
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:30.697 M
13
 
Esteban OCON
Haas 1:30.784 S
14
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:30.799 S
15
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:30.923 M
16
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1:31.047 M
17
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:31.260 M
18
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:31.440 S
19
 
Pierre GASLY
Alpine 1:31.643 S
20
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:33.628 M

F1 – Charles Leclerc échappe à une pénalité à Singapour

Charles Leclerc a évité toute pénalité individuelle, mais son équipe Ferrari a écopé d’une amende de 10 000 € infligée par les commissaires de la FIA après un incident survenu lors de la deuxième séance d’essais libres du Grand Prix de Singapour.

L’accrochage est survenu dans une voie des stands déjà surchargée, juste après la reprise de la séance, interrompue par le drapeau rouge suite à l’accident de Liam Lawson au virage 17. Quelques minutes plus tôt, un autre drapeau rouge avait déjà été déployé à la suite de la sortie de piste de George Russell au virage 16. Dans ce contexte, les équipes se sont empressées de relancer leurs pilotes, créant une agitation inhabituelle dans les garages.

C’est dans cette précipitation que Ferrari a relâché Leclerc de manière jugée « dangereuse » par les commissaires. Le Monégasque est sorti directement sur la trajectoire de Lando Norris, percutant la McLaren et l’envoyant contre le mur de la voie des stands. L’incident a endommagé l’aileron avant de la monoplace du Britannique.

Rapidement convoquée par les officiels, l’écurie italienne a été jugée responsable de la manœuvre et sanctionnée financièrement. « Leclerc a été libéré de manière dangereuse, entraînant un contact avec la voiture n°4 (Norris) dans la voie des stands », ont indiqué les commissaires dans leur communiqué. « La responsabilité incombe à l’équipe, et non au pilote. »

Cette décision signifie que Leclerc ne subira aucune conséquence sportive, mais son équipe devra régler une amende.

La décision des commissaires concernant la sortie dangereuse de Charles Leclerc

Les commissaires ont entendu le pilote de la monoplace n° 16 (LEC) et les représentants de l’équipe, puis ont examiné les preuves vidéo et les images enregistrées à l’intérieur de la voiture.

Après une période de drapeau rouge, plusieurs voitures ont quitté leurs stands. La voiture n° 16 (LEC) a d’abord reçu l’ordre d’un membre de l’équipe de quitter son stand. À ce moment-là, cependant, on a négligé de voir que la voiture n° 4 (NOR) passait déjà sur la voie rapide, s’approchant du stand Ferrari et se plaçant directement sur la trajectoire de LEC.

Le membre de l’équipe, qui était responsable de la sécurité lors du départ de la voiture 16, a mal évalué la situation et a donné des instructions peu claires à LEC, qui ne pouvait pas voir la voiture de NOR.

En conséquence, les deux voitures sont entrées en collision sur la voie rapide.

Ayant pris note des précédents pour ce type d’infraction, les commissaires estiment que cette infraction justifie une sanction plus sévère que celles appliquées précédemment, d’où la sanction ci-dessus.

Classement et résultats des Essais Libres 2 du Grand Prix de Singapour 2025

Découvrez les résultats complets des essais libres 2 avant le Grand Prix de F1 de Singapour 2025.

Classement des Essais Libres 2 du Grand Prix de Singapour 2025

# Pilote Écurie Chrono Pneu
1
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:30.714 S
2
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:30.846 S
3
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:30.857 S
4
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:30.877 S
5
 
Lando NORRIS
McLaren 1:31.197 S
6
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:31.222 S
7
 
Esteban OCON
Haas 1:31.298 S
8
 
Carlos SAINZ
Williams 1:31.299 S
9
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:31.466 M
10
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:31.491 M
11
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:31.708 S
12
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:31.711 M
13
 
Alexander ALBON
Williams 1:32.060 S
14
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:32.069 S
15
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:32.319 S
16
 
Pierre GASLY
Alpine 1:32.458 M
17
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:32.645 S
18
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:32.719 S
19
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1:33.139 M
20
 
George RUSSELL
Mercedes 1:33.231 M

GP de Singapour – Alonso signe le meilleur temps des EL1, Albon stoppé par un incendie

Fernando Alonso a créé la surprise en signant le meilleur temps de la première séance d’essais libres du Grand Prix de Singapour, tandis qu’Alex Albon a vu sa participation écourtée après un spectaculaire incendie sur sa Williams.

Le Thaïlando-Britannique a été victime d’un feu à l’arrière de sa monoplace, causé par un problème matériel sur le système de freinage. Alors qu’il rejoignait son stand, de la fumée s’échappait abondamment, contraignant Williams à sortir la voiture de son garage. Albon, visiblement gêné, n’a pas repris la piste et a dû observer le reste de la séance depuis les stands.

Dans des conditions atypiques – la FP1 se déroulant l’après-midi, contrairement aux qualifications et à la course prévues en nocturne – les équipes ont profité de la session pour accumuler des données. Après une première partie disputée en pneus durs et moyens, les chronos sont tombés à l’arrivée des gommes tendres.

Charles Leclerc a d’abord pris l’avantage en 1:31.265, devant Max Verstappen et Oscar Piastri. Mais à onze minutes du drapeau à damier, Alonso a surpris le paddock en améliorant de 0,149 seconde, signant un tour en 1:31.116. Le pilote Aston Martin retrouve ainsi le sommet d’une séance d’essais pour la première fois depuis le Canada 2024.

Le top 5 est complété par Verstappen (+0,126), Lewis Hamilton (+0,364) et Piastri, suivi de Lando Norris et d’Isack Hadjar. Carlos Sainz, resté en pneus moyens, s’est classé huitième, devant Yuki Tsunoda et Esteban Ocon. À l’autre extrémité du classement, Franco Colapinto (Alpine) a fermé la marche, tandis que Lance Stroll a terminé à près de deux secondes de son coéquipier Alonso.

Hamilton et Leclerc apaisent les tensions après Bakou

Lewis Hamilton a confirmé avoir eu une discussion constructive avec Charles Leclerc après le Grand Prix d’Azerbaïdjan, où une incompréhension avait jeté un froid au sein du camp Ferrari.

À Bakou, Ferrari avait demandé à Hamilton de dépasser Leclerc en fin de course pour tenter d’aller chercher les voitures devant. Bien que le Britannique n’ait pas réussi à progresser, il n’a pas restitué sa position au Monégasque avant l’arrivée, contrairement aux règles internes de l’équipe.

Hamilton s’était immédiatement excusé après la course, mais Leclerc avait laissé entendre que son coéquipier n’avait pas respecté les consignes de la Scuderia.

Avant le Grand Prix de Singapour, Hamilton a tenu à clarifier la situation :

« J’ai parlé à Charles. Tout va bien. Charles a été formidable, et oui, nous avons travaillé sur la communication pour nous assurer que cela ne se reproduise plus. Cela ne se reproduira plus. »

Charles Leclerc, ou la déception progressive du protégé de Ferrari

Cela ne veut pas dire que l’année 2025 de Leclerc a été un long fleuve tranquille. Bien qu’il ait décroché cinq podiums cette saison, Leclerc a commis des erreurs. La régularité n’a pas été son point fort, ce qui lui a coûté des résultats.

Des accidents lors des essais et des qualifications ont ruiné ses courses au Canada et à Bakou. À Montréal, un accident lors des essais a nécessité la reconstruction de sa SF-25. Ses efforts lors des qualifications ont été ruinés par une erreur, le contraignant à partir en huitième position. Il a terminé cinquième. Il a confirmé après la course qu’il aurait pu faire mieux.

À Bakou, la frustration de Leclerc vis-à-vis de sa voiture a atteint son paroxysme. Poussant les limites de la SF-25 et de la piste, il a fait un accident en Q3. Parti en dixième position, il n’a terminé qu’à la neuvième place, soit une seule place de mieux.

Son agacement face aux erreurs stratégiques commises par Ferrari l’a également poussé à laisser ses émotions prendre le dessus lors des interviews d’après-course. Il est largement considéré comme le pilote le plus rapide sur un tour en F1 moderne, mais ses erreurs sont causées par la frustration de voir son équipe incapable d’apprendre et de ne pas répéter les mêmes erreurs. La malchance a également joué un rôle. Son accrochage avec Antonelli a ajouté encore plus de douleur à son année difficile.

Ferrari a vu sa saison dérailler de manière spectaculaire, la malchance ayant également joué un rôle.

Ferrari peut-elle rebondir avec les nouvelles règles ?

Hamilton et Leclerc sont liés par des contrats jusqu’à la fin de 2027, bien que le mandat de Hamilton lui permette d’exercer une option pour courir au-delà de la saison prochaine. Tous deux courront sous les nouvelles réglementations techniques de la F1 pour la nouvelle saison.

L’annulation de toutes les mises à jour restantes pour cette saison afin de se concentrer sur 2026 est une décision audacieuse, prise pour renforcer la compétitivité du challenger en vue de la réinitialisation massive attendue l’année prochaine. La perte de la deuxième place au championnat des constructeurs est probablement le premier d’une série de coups durs à l’approche du crescendo de 2025.

Agissant comme une remise à zéro bien nécessaire pour Hamilton en termes de conception de voiture, cela pourrait débloquer des performances qui font cruellement défaut. Cependant, le règlement représente également une dernière chance pour lui, Leclerc et Vasseur. Hamilton entre dans le crépuscule de sa carrière. Avec Oliver Bearman qui attend dans les coulisses, il doit améliorer son jeu pour éviter un licenciement humiliant. Membre de la Ferrari Driver Academy, Bearman est connu de l’équipe depuis ses remplacements la saison dernière et représente le prochain espoir de Ferrari, une fois que Hamilton aura rempli son rôle.

Cependant, Leclerc doit éviter les erreurs s’il veut rester le fils prodigue de Ferrari et conserver son volant. À elles seules, ses erreurs au Canada et à Bakou ont coûté à Ferrari une chance d’obtenir un bon résultat. Le temps, c’est de l’argent en F1, et le sien commence à manquer.

Le conseil d’administration de Ferrari a toujours eu tendance à agir de manière impulsive. Alors que la situation s’agitait en début de saison, Vasseur a été reconduit dans ses fonctions avec un contrat pluriannuel afin de rassurer les esprits en Italie. Mais à mesure que les erreurs s’accumulent, le conseil d’administration ne tolérera pas longtemps l’échec. L’arrivée de Hamilton s’accompagnait de l’exigence que la disette de 18 ans de Ferrari en matière de titres montre des signes de fin.

Ferrari risque de laisser un héritage dangereux si ses performances ne s’améliorent pas considérablement en 2026.

Ferrari continue de suivre un dangereux précédent en déclin.

Au contraire, c’est le contraire qui menace de se produire. Personne ne souhaite voir l’écurie la plus célèbre de F1 retomber au plus bas comme au début des années 1990. Personne ne souhaite non plus voir l’écurie réduite à des mèmes sur Internet après des erreurs stratégiques répétées. Les souvenirs de l’implosion catastrophique du titre en 2022 refont surface.

Ferrari s’engage désormais dans une voie bien trop familière à chaque course. En annulant toutes les mises à niveau, elle s’est accordé un répit et s’est presque trouvé une excuse pour ses mauvaises performances pour le reste de l’année 2025. Cependant, le cycle toxique des attentes alimentées par le battage médiatique et l’espoir va se réinitialiser. Cela ne fera que conduire à poser les mêmes questions l’année prochaine à l’équipe et à Hamilton.

Il n’existe pas de solution claire aux problèmes de Ferrari. Ils sont systémiques, endémiques et se sont répétés d’innombrables fois au cours des dix dernières années. Contrairement à d’autres équipes, ce n’est pas l’ingérence de l’entreprise qui paralyse la Scuderia. C’est plutôt son incapacité à prendre des décisions claires et logiques.

La F1 est à juste titre connue comme le club des piranhas. Chaque décision peut coûter des centaines de milliers de dollars, et les décisions prises dans le stand sont accompagnées d’enjeux importants. Ferrari échoue continuellement sous la pression à agir de manière logique. Montréal, Miami et Bakou cette année en sont la preuve.

Le précédent a été créé et est désormais devenu la norme. Ferrari doit agir de toute urgence pour changer cela. Max Verstappen a remporté une victoire au volant d’une Ferrari après ses débuts en GT3. Le fait que Leclerc et Hamilton soient laissés pour compte est peut-être le fait le plus accablant de tous en 2025.

Les mèmes Internet sont désormais le moindre des soucis de la Scuderia. Un retour à ses années les plus sombres n’est pas seulement une possibilité, c’est en train de devenir une réalité. La roue de la fortune métaphorique pour beaucoup fait désormais partie de Ferrari. Espérons qu’elle s’arrête sur une option favorable à Singapour.

Classement et résultat du Grand Prix d’Azerbaïdjan

Découvrez les résultats complets du Grand Prix de Formule 1 d’Azerbaïdjan 2025, qui s’est déroulé sur le circuit urbain de Bakou !

Résultat du Grand Prix d’Azerbaïdjan

# Pilote Écurie Écart
1
 
Max VERSTAPPEN

 
Red Bull LAP 51
2
 
George RUSSELL
Mercedes +14.609
3
 
Carlos SAINZ
Williams +19.199
4
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes +21.760
5
 
Liam LAWSON
Racing Bulls +33.290
6
 
Yuki TSUNODA
Red Bull +33.808
7
 
Lando NORRIS
McLaren +34.227
8
 
Lewis HAMILTON
Ferrari +36.310
9
 
Charles LECLERC
Ferrari +36.774
10
 
Isack HADJAR
Racing Bulls +38.982
11
 
Gabriel BORTOLETO
Stake +67.606
12
 
Oliver BEARMAN
Haas +68.262
13
 
Alexander ALBON
Williams +72.870
14
 
Esteban OCON
Haas +77.580
15
 
Fernando ALONSO
Aston Martin +78.707
16
 
Nico HULKENBERG
Stake +80.237
17
 
Lance STROLL
Aston Martin +96.392
18
 
Pierre GASLY
Alpine 1T
19
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1T
20
 
Oscar PIASTRI
McLaren DNF

Classement et résultats des Essais Libres 2 du Grand Prix d’Azerbaïdjan 

Découvrez les résultats complets de la deuxième séance d’essais libres du Grand Prix de Formule 1 d’Azerbaïdjan 2025 à Bakou !

Classement des Essais Libres 2 du Grand Prix d’Azerbaïdjan 

# Pilote Écurie Chrono Pneu
1
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:41.293 S
2
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:41.367 S
3
 
George RUSSELL
Mercedes 1:41.770 S
4
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:41.779 S
5
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:41.891 M
6
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:41.902 S
7
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:41.989 M
8
 
Esteban OCON
Haas 1:42.167 S
9
 
Alexander ALBON
Williams 1:42.177 S
10
 
Lando NORRIS
McLaren 1:42.199 S
11
 
Carlos SAINZ
Williams 1:42.255 M
12
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:42.295 S
13
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:42.443 M
14
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:42.444 M
15
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:42.561 M
16
 
Pierre GASLY
Alpine 1:42.674 M
17
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:42.771 S
18
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:42.820 S
19
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:42.967 S
20
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1:43.322 M

GP d’Azerbaïdjan : Classement et résultats des Essais Libres 1

Découvrez les résultats complets de la première séance d’essais libres du Grand Prix de Formule 1 d’Azerbaïdjan 2025 à Bakou !

Classement des Essais Libres 1 du Grand Prix d’Azerbaïdjan

# Pilote Écurie Chrono Pneus
1
 
Lando NORRIS
McLaren 1:42.704 S
2
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:43.014 S
3
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:43.256 S
4
 
George RUSSELL
Mercedes 1:43.257 S
5
 
Alexander ALBON
Williams 1:43.563 S
6
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:43.738 S
7
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:43.790 S
8
 
Carlos SAINZ
Williams 1:43.859 S
9
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:43.903 S
10
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:43.975 S
11
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:43.985 S
12
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:43.986 S
13
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:44.087 S
14
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:44.087 S
15
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:44.139 S
16
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:44.151 S
17
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:44.329 S
18
 
Esteban OCON
Haas 1:44.439 S
19
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1:45.299 S
20
 
Pierre GASLY
Alpine 1:45.418 S

Charles Leclerc croit aux chances de victoire de Ferrari à Bakou

Charles Leclerc veut croire à une surprise ce week-end au Grand Prix d’Azerbaïdjan. Le pilote monégasque estime que Ferrari peut viser la victoire sur le tracé urbain de Bakou, où il s’est montré redoutable en qualifications depuis plusieurs saisons.

Depuis 2021, Leclerc est invaincu en pole position sur le circuit de 6,003 km, avec quatre départs consécutifs en tête de la grille. Pourtant, il n’a jamais converti cet avantage en victoire, la course se révélant plus compliquée pour la Scuderia, notamment en termes de rythme.

Cette année encore, McLaren apparaît comme le grand favori, tandis que Red Bull arrive à Bakou avec des certitudes après la victoire de Max Verstappen à Monza. Ferrari, de son côté, n’a pas semblé en mesure de se battre pour la victoire lors de la majeure partie de la saison.

Malgré tout, Leclerc refuse d’écarter totalement ses chances. « J’ai toujours ce sentiment », a-t-il confié aux médias. « Il repose principalement sur mes nombreuses années ici, où la plupart du temps nous n’étions pas les favoris sur le papier, et où nous avons finalement décroché la pole position. »

Même si la victoire s’annonce difficile, Leclerc considère Bakou comme l’un des rares circuits où Ferrari peut encore espérer briller en 2025. Son défi reste désormais de convertir la vitesse sur un tour en un résultat solide sur la durée de course.

« Mais cela ne signifie pas que nous pouvons gagner le dimanche. Encore une fois, la pole position vous place dans la meilleure position possible pour commencer la course. Mais cela ne signifie pas nécessairement que nous aurons le rythme de course, et c’est ce qui nous a manqué ces dernières années. Je n’ai pas beaucoup d’espoir que cette année soit très différente. Je pense que McLaren sera l’équipe la plus forte avec Red Bull, car je pense qu’à Monza, ils ont définitivement trouvé quelque chose qui semble très bien fonctionner. »

« Donc oui, ça ne va pas être facile, mais parmi les endroits où je pense que nous avons un peu plus de chances, je reste convaincu que Bakou en fait partie. »

Charles Leclerc pourrait battre un record peu enviable à Bakou

Charles Leclerc pourrait entrer dans les livres d’histoire ce week-end à Bakou… mais pas de la manière qu’il espère. Le pilote Ferrari est sur le point de battre un record vieux de 59 ans, détenu par la légende Jim Clark, à moins qu’il ne parvienne enfin à transformer sa domination en qualifications en victoire en course.

Depuis 2021, Charles Leclerc y est intouchable en qualifications à Bakou, avec quatre pole positions consécutives. Pourtant, cette suprématie ne s’est jamais concrétisée le dimanche. En 2024, son nouvel échec a égalé le record de Clark : quatre pole positions consécutives sur un même Grand Prix sans victoire.

Clark avait établi ce triste record à Monaco, avec des poles entre 1962 et 1964, puis en 1966, sans jamais s’imposer. Son meilleur résultat fut une quatrième place en 1964, et il avait même manqué l’édition 1965 pour courir et remporter les 500 Miles d’Indianapolis.

Leclerc, lui, a connu plus de réussite en course que l’Écossais. Depuis 2021, il a terminé quatrième, puis a subi une panne moteur en 2022, avant de monter sur le podium à deux reprises : troisième en 2023, puis deuxième derrière Oscar Piastri en 2024. Le Monégasque avait aussi signé la pole pour la course sprint en 2023, terminant deuxième derrière Sergio Perez.

Si Leclerc décroche samedi une cinquième pole consécutive en Azerbaïdjan et échoue une nouvelle fois à convertir cet avantage en victoire, il battra le record vieux de près de six décennies. Une statistique dont il se passerait volontiers, lui qui rêve enfin de lever les bras sur les rives de la mer Caspienne.

Le plus de pole positions consécutives sans victoire sur un même circuit

#

Pilote

Grand Prix

Poles

1er

Jim Clark

Monaco

4

1er

Charles Leclerc

Azerbaïdjan

4

3e

René Arnoux

Autriche

3

3e

Nelson Piquet

Autriche

3

3e

Nelson Piquet

Grande-Bretagne

3

3e

Graham Hill

Belgique

3

3e

Rubens Barrichello

Brésil

3

 

Leclerc-Ferrari, McLaren… quand la pression menace les plus beaux mariages

Dans un sport où la gloire se mêle à la tension permanente, la Formule 1 a souvent montré que même les alliances les plus solides peuvent finir par se fissurer. Charles Leclerc et Ferrari pourraient-ils être les prochains à vivre ce scénario ? C’est la question soulevée par plusieurs observateurs, alors que la Scuderia peine toujours à renouer avec son lustre passé.

Depuis le dernier titre mondial décroché par Kimi Räikkönen en 2007, Ferrari vit dans un cycle frustrant de presque-victoires et de désillusions. Leclerc, figure de proue de l’équipe depuis 2019, a démontré un talent brut et une capacité rare à extraire le maximum de sa monoplace, même dans des situations difficiles. Pourtant, l’écart avec Red Bull demeure, et chaque saison manquée ajoute un poids supplémentaire sur les épaules du Monégasque comme sur celles de l’équipe. Jusqu’à quand acceptera-t-il d’attendre un projet réellement capable de le porter vers la couronne mondiale ?

La réflexion ne concerne pas uniquement Ferrari. Chez McLaren, la réussite retrouvée avec Lando Norris et Oscar Piastri pourrait, paradoxalement, devenir une source de tension. Les deux jeunes talents se poussent mutuellement vers le haut, mais cette émulation pourrait vite tourner à la rivalité ouverte si l’un des deux se sent désavantagé. L’histoire de la F1 est riche de ces duels internes — de Prost/Senna chez McLaren à Hamilton/Rosberg chez Mercedes — qui finissent par menacer l’équilibre d’une équipe.

Car il existe bien paradoxe propre à la F1 : la réussite engendre elle-même une pression redoutable. Être au sommet signifie devoir y rester, voire faire encore mieux. Les attentes des pilotes, des sponsors et du public deviennent alors parfois impossibles à satisfaire, conduisant à des ruptures inattendues.

Ainsi, Leclerc pourrait un jour regarder ailleurs si Ferrari ne parvient pas à franchir un cap décisif. De la même manière, McLaren devra gérer avec doigté un duo explosif, sous peine de voir l’un de ses protégés céder aux sirènes d’un rival mieux armé.

La Formule 1 n’est pas seulement une affaire de vitesse et de technologie : c’est aussi un jeu d’équilibres fragiles, où la pression de la victoire façonne les relations autant qu’elle les détruit. Ferrari et McLaren sont aujourd’hui à la croisée de ces dynamiques. Reste à savoir si elles sauront transformer cette tension en carburant, plutôt qu’en bombe à retardement.

Vasseur estime que Ferrari a réduit l’écart sur McLaren

Le directeur de la Scuderia, Fred Vasseur, s’est montré optimiste quant aux progrès de Ferrari après le Grand Prix d’Italie, affirmant que l’équipe avait « comblé son retard » sur McLaren.

À Monza, Charles Leclerc et Lewis Hamilton ont terminé respectivement quatrième et sixième, des résultats en apparence modestes mais jugés encourageants par le patron français. Qualifiés en quatrième et cinquième position, les deux pilotes ont profité d’une bonne dynamique entamée depuis la reprise estivale. La pénalité infligée à Hamilton à Zandvoort a compliqué ses chances, mais les performances affichées lors des deux dernières manches confirment, selon Vasseur, que Ferrari est « en meilleure forme ».

Malgré ces signes positifs, un constat demeure : Ferrari est la seule des quatre écuries de pointe à ne pas encore avoir remporté de Grand Prix cette saison. La régularité de ses résultats lui permet toutefois de conserver la deuxième place du championnat constructeurs. Avec 20 points d’avance sur Mercedes et 41 sur Red Bull, la Scuderia reste sous pression. Un Verstappen retrouvé, après son éclatant succès à Monza, pourrait encore relancer Red Bull dans la bataille pour cette place d’honneur.

Vasseur préfère néanmoins retenir le positif. Il souligne que Ferrari n’était qu’« à un dixième de la première ligne » en qualifications, un écart qu’il juge révélateur des progrès accomplis. « Même si vous jouez différemment avec le mode moteur ou le carburant, cela montre que nous sommes là », a-t-il confié à la presse.

« Nous parlons de trois ou quatre kilos de carburant, ce que nous ne saurons jamais. Mais il est également vrai que, même en course, l’écart avec McLaren est minime. »

Soulignant les faibles écarts lors des qualifications et des trois séances d’essais, le Français a toutefois insisté sur le fait qu’il restait encore du travail à faire.

« C’était également l’écart le plus faible en FP3, l’écart le plus faible en qualifications et EL1 », a-t-il ajouté. « Je pense que nous étions en meilleure forme ce week-end. Pas assez, car ils sont devant nous, mais je pense qu’au moins, nous avons réduit l’écart. »

Charles Leclerc revient sur son GP d’Italie : « Je ne pouvais pas faire grand-chose de plus »

Charles Leclerc a reconnu avoir compromis sa course à Monza en s’engageant dans une lutte intense avec Oscar Piastri lors des premiers tours du Grand Prix d’Italie.

Parti en quatrième position, le Monégasque a réussi un excellent envol, dépassant le pilote McLaren dès le premier virage pour s’emparer provisoirement de la troisième place. Mais le leader du championnat a rapidement répliqué et récupéré sa position avant la fin du tour.

La bataille entre les deux hommes s’est prolongée pendant plusieurs boucles, ponctuée de dépassements et contre-attaques. Finalement, Piastri a gardé son avantage au sixième tour et s’est installé définitivement à la troisième place.

Leclerc, de son côté, a concédé que cette confrontation avait nui à sa course. Contraint de freiner tardivement à plusieurs reprises, il a bloqué ses pneus à différents moments, ce qui a dégradé leur état plus rapidement que prévu et rendu son premier relais beaucoup plus compliqué.

« La journée n’a pas été facile », a déclaré Leclerc. « J’ai essayé de me battre avec Piastri dans les premiers tours. Malheureusement, j’ai très vite surchauffé tous mes pneus et j’en ai payé le prix pendant les 10 tours suivants. Je me suis repris et j’ai retrouvé mon rythme, mais c’était très difficile de gérer cela et d’essayer de gagner des places, surtout quand on n’a pas le même rythme que les pilotes devant. Je ne pouvais pas faire grand-chose de plus. »

Leclerc est arrivé à Monza avec l’intention de défendre sa victoire de 2024, mais Ferrari ayant manqué de rythme par rapport à ses rivaux et Leclerc a admis qu’il n’y avait rien d’autre à faire.

« Je ne pense pas que nous aurions pu faire beaucoup plus aujourd’hui et ce week-end en général », a-t-il déclaré. « [Samedi], nous avons fait du bon travail avec mon tour en Q3. En course, nous avons fait notre maximum. Mais Red Bull et McLaren étaient tout simplement trop forts. »

Classement du Grand Prix d’Italie de F1 2025

Découvrez tous les résultats du Grand Prix de Formule 1 d’Italie 2025 à Monza !

Classement du Grand Prix d’Italie de F1 2025

# Pilote Écurie Écarts Pneus
1
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull LAP 53 H
2
 
Lando NORRIS

 
McLaren +19.207 S
3
 
Oscar PIASTRI
McLaren +21.351 S
4
 
Charles LECLERC
Ferrari +25.624 H
5
 
George RUSSELL
Mercedes +32.881 H
6
 
Lewis HAMILTON
Ferrari +37.449 H
7
 
Alexander ALBON
Williams +50.537 M
8
 
Gabriel BORTOLETO
Stake +58.484 H
9
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes +59.762 H
10
 
Isack HADJAR
Racing Bulls +63.891 M
11
 
Carlos SAINZ
Williams +64.469 H
12
 
Oliver BEARMAN
Haas +79.288 H
13
 
Yuki TSUNODA
Red Bull +80.701 H
14
 
Liam LAWSON
Racing Bulls +82.351 H
15
 
Esteban OCON
Haas 1 L S
16
 
Pierre GASLY
Alpine 1 L S
17
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1 L H
18
 
Lance STROLL
Aston Martin 1 L S
19
 
Fernando ALONSO
Aston Martin DNF H
20
 
Nico HULKENBERG
Stake DNF M

La grille de départ du Grand Prix d’Italie de F1 2025

Découvrez la grille de départ ajustée pour le Grand Prix de F1 d’Italie 2025 à Monza !

La grille de départ du Grand Prix d’Italie de F1 2025

POSITION PILOTE ÉCURIE
1 Max Verstappen Red Bull
2 Lando Norris McLaren
3 Oscar Piastri McLaren
4 Charles Leclerc Ferrari
5 George Russell Mercedes
6 Kimi Antonelli Mercedes
7 Gabriel Bortoleto Stake
8 Fernando Alonso Aston Martin
9 Yuki Tsunoda Red Bull
10 Lewis Hamilton Ferrari
11 Oliver Bearman Haas
12 Nico Hulkenberg Stake
13 Carlos Sainz Williams
14 Alex Albon Williams
15 Esteban Ocon Haas
16 Lance Stroll Aston Martin
17 Franco Colapinto Alpine
18 Liam Lawson Racing Bulls
PIT-LANE Isack Hadjar Racing Bulls
PIT-LANE Pierre Gasly Alpine

GP d’Italie – Max Verstappen signe la pole et un record historique à Monza

Max Verstappen s’est offert la pole position du Grand Prix d’Italie en établissant un nouveau record de vitesse en qualification, le plus rapide jamais enregistré en F1. Le Néerlandais a devancé Lando Norris de près d’un dixième de seconde, les deux hommes verrouillant la première ligne de la grille à Monza. Oscar Piastri a pris la troisième place, devant Charles Leclerc et Lewis Hamilton, ce dernier reculant néanmoins au dixième rang en raison d’une pénalité héritée à Zandvoort.

Pour Isack Hadjar, le week-end a pris une tournure plus difficile. Une semaine après son podium aux Pays-Bas, le Français a été éliminé dès la Q1 pour la première fois de sa carrière. Seizième chrono, le pilote Racing Bulls partira finalement des stands après un changement de moteur confirmé en conférence de presse.

La première séance a vu Mercedes prendre une option différente en sortant avec des pneus mediums, alors que Leclerc et Hamilton s’installaient en haut du tableau avant que Norris et Piastri ne frappent fort. Verstappen s’est vite intercalé, et la piste s’est rapidement améliorée. Russell a brièvement pris la tête, Sainz et Alonso se sont mêlés à la lutte, mais plusieurs pilotes – dont Lawson et Albon – ont vu leurs chronos annulés pour avoir dépassé les limites de piste.

La Q2 a débuté avec un léger retard, le temps de nettoyer le gravier laissé par l’erreur de Hadjar. Verstappen a alors pris l’avantage en 1:19.140, suivi de Russell et Bortoleto. Piastri a signé le troisième temps, tandis que Norris a vu son premier tour annulé pour avoir coupé la première chicane. Reparti sous pression, le Britannique a dû s’arracher pour passer de justesse en Q3, éliminant Bearman. Williams, malgré des essais encourageants, a échoué avec Sainz et Albon hors du top 10.

En Q3 Max Verstappen a frappé un grand coup en tournant en 1:18 pour s’assurer la pole provisoire. Derrière lui, Piastri a pris place entre les deux Ferrari (2eme et 4eme), tandis que Norris restait en retrait en septième position. Russell, cinquième, s’est plaint à la radio de ses pneus tendres, regrettant les mediums. Sur un second tour, Leclerc n’a pas amélioré et s’est contenté du quatrième temps, juste devant Hamilton, qui devance les Mercedes de Russell et Antonelli.

Le classement des qualifications 

Classement et résultat des qualifications du Grand Prix d’Italie de F1 2025

Découvrez les résultats complets des qualifications du Grand Prix de F1 d’Italie 2025 à Monza !

Résultat des qualifications du Grand Prix d’Italie de F1 2025

# Pilote Écurie Chrono Pneus
1
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:18.792 S
2
 
Lando NORRIS
McLaren 1:18.869 S
3
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:18.982 S
4
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:19.007 S
5
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:19.124 S
6
 
George RUSSELL
Mercedes 1:19.157 S
7
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:19.200 S
8
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:19.390 S
9
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:19.424 S
10
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:19.519 S
11
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:19.446 S
12
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:19.498 S
13
 
Carlos SAINZ
Williams 1:19.528 S
14
 
Alexander ALBON
Williams 1:19.583 S
15
 
Esteban OCON
Haas 1:19.707 S
16
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:19.917 S
17
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:19.948 S
18
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1:19.992 S
19
 
Pierre GASLY
Alpine 1:20.103 S
20
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:20.279 S

Hamilton prêt à se sacrifier pour Leclerc à Monza

Lewis Hamilton a déclaré qu’il serait « heureux » de jouer les lieutenants lors des qualifications du Grand Prix d’Italie si Ferrari décidait de l’utiliser pour aider Charles Leclerc.

Tout au long des essais disputés à Monza, les deux pilotes de la Scuderia se sont montrés compétitifs. Leclerc a signé le deuxième temps de la FP3, à seulement 0,021 seconde du leader Lando Norris (McLaren), tandis que Hamilton, auteur du meilleur chrono lors de la première séance, a conclu en septième position, à un quart de seconde du sommet. De quoi nourrir l’espoir des tifosi, malgré une saison globalement compliquée pour Ferrari.

Le Britannique devra toutefois composer avec une pénalité de cinq places sur la grille. Cette sanction fait suite à son comportement lors du Grand Prix des Pays-Bas à Zandvoort, où il n’avait pas assez ralenti sous double drapeau jaune avant l’entrée des stands. Dans ce contexte, Leclerc apparaît comme le seul véritable espoir de Ferrari pour contester la pole position à Norris et à Oscar Piastri, quatrième temps des essais de vendredi.

Une stratégie envisageable pour maximiser les chances du Monégasque serait d’utiliser l’aspiration. À Monza, cette tactique a déjà porté ses fruits par le passé : Hamilton pourrait ainsi donner de la vitesse supplémentaire à son coéquipier dans la longue ligne droite menant à la Parabolica, à condition que les deux pilotes atteignent la Q3. Un scénario difficile à mettre en œuvre, mais une option que le patron de l’équipe, Frédéric Vasseur, pourrait choisir si l’opportunité se présente.

Évaluant cette possibilité, Hamilton a déclaré : « Je sais que Ferrari le faisait il y a de nombreuses années. Je me souviens que lorsque j’ai commencé, j’ai remarqué que Kimi [Raikkonen] et Felipe [Massa] le faisaient souvent. Cela peut être avantageux, mais dans mon passé, j’avais l’impression que cela comportait plus de risques et qu’il fallait souvent sacrifier une personne pour cela, donc je ne sais pas s’ils le feront. Mais si cela permettait à Charles d’y arriver, je serais heureux de jouer ce rôle. »

Quant à savoir si lui et Leclerc se sont entrainés à jouer le coup des aspirations, il a déclaré : « Pas récemment. Non. Nous avons juste fait des trains (d’aspirations) normaux, sans stratégie particulière entre coéquipiers. »