La grille F1 2026 : le plateau actuel et toutes les rumeurs

La situation contractuelle actuelle de chaque pilote de F1 – et toutes les rumeurs sur ce qui pourrait se passer ensuite

Écurie

Pilote

Fin de contrat

McLaren

Lando Norris

« Long terme »

 

Oscar Piastri

2026

Ferrari

Lewis Hamilton

Plusieurs années

 

Charles Leclerc

Plusieurs années

Red Bull

Max Verstappen

2028

 

Yuki Tsunoda

2025

Mercedes

George Russell

2025

 

Kimi Antonelli

2025

Aston Martin

Fernando Alonso

2026

 

Lance Stroll

« 2025 et au-delà »

Alpine

Pierre Gasly

« Long terme »

 

Franco Colapinto

2025

Haas

Esteban Ocon

Contrat pluriannuel

 

Oliver Bearman

Contrat pluriannuel

Williams

Alex Albon

2025

 

Carlos Sainz

« Au-delà de 2026 »

Racing Bulls

Liam Lawson

2025

 

Isack Hadjar

2025

Audi (Sauber)

Nico Hulkenberg

Contrat pluriannuel

 

Gabriel Bortoleto

Contrat pluriannuel

Cadillac

À confirmer

À confirmer

 

À confirmer

À confirmer

 

F1 – Leclerc insiste sur le bon départ de Ferrari pour 2026

Charles Leclerc a souligné qu’il était crucial pour Ferrari de débuter la prochaine ère de la F1 sur de bonnes bases, sous peine de connaître de nouveaux résultats décevants.

Le règlement technique sera profondément modifié l’an prochain, avec des changements majeurs affectant à la fois le châssis et le groupe motopropulseur.

Ayant passé la majorité de sa carrière chez Ferrari, Leclerc n’a jamais pu réellement se battre pour le titre mondial au cours de ses sept saisons avec l’équipe italienne. Néanmoins, il s’est engagé sur le long terme et reste déterminé à mettre fin à la disette de Ferrari, qui n’a plus décroché le championnat des pilotes depuis 2008.

La prolongation du contrat du directeur d’équipe Fred Vasseur a été, selon Leclerc, un élément clé pour assurer la stabilité et le succès futur de l’écurie.

« Fred en fait certainement partie, mais le plus important est de voir comment l’équipe fonctionne », a déclaré Leclerc aux médias, lorsqu’il a été interrogé sur sa confiance en l’avenir de Ferrari. « Je suis sûr que nous travaillons dans la bonne direction. »

À l’approche de la nouvelle ère de ce sport, les équipes s’affairent à mettre en œuvre leurs propres interprétations du règlement, ce qui pourrait creuser davantage les écarts dans la hiérarchie. Leclerc a insisté sur le fait qu’il sera essentiel de commencer la saison 2026 en tant que prétendant au titre, car le programme de développement de toutes les équipes battra alors son plein.

« L’année prochaine sera un tournant important pour nous, car ce sera une nouvelle ère pour les voitures », a-t-il déclaré.« Chaque fois que vous entamez une nouvelle ère, si vous ne partez pas du bon pied, il est toujours plus difficile de revenir, car les autres équipes cherchent également à s’améliorer. Il est très difficile de combler l’écart. Nous devrons partir du bon pied, puis nous verrons bien. Pour l’instant, je me consacre entièrement à redonner à Ferrari sa grandeur et à remporter à nouveau des courses. »

Le retour de Christian Horner en F1 pourrait être compromis par Red Bull

L’ancien pilote de F1 Juan Pablo Montoya a laissé entendre que Red Bull pourrait avoir bloqué le retour de Christian Horner dans le sport après son départ de l’écurie.

Horner, qui a dirigé Red Bull pendant 20 ans, a quitté ses fonctions le mois dernier. Toujours sous contrat, il a entamé des négociations avec l’équipe pour définir les conditions de son départ, dont les détails restent confidentiels.

Le Britannique, l’un des directeurs d’écurie les plus titrés de l’histoire de la F1, est actuellement en congé sabbatique, l’empêchant de rejoindre immédiatement une autre équipe. Montoya, dans le podcast MontoyAS, a laissé entendre que cette situation pourrait durer jusqu’à la fin de la carrière de Horner.

« Si Christian en a l’occasion, il reviendra », a-t-il déclaré. « Nous ne savons pas s’il le souhaite ou non. Avec tout ce qui s’est passé et la somme que Red Bull a dû lui verser, il est financièrement à l’abri. Peut-être que l’accord stipule qu’il ne peut plus travailler en F1 ? C’est la seule chose qui pourrait l’en empêcher. »

Toutefois, si Horner avait l’opportunité de revenir en F1, Montoya ne pense pas que le pilote de 51 ans aurait du mal à trouver un nouveau poste.

« Mais si je dirigeais une équipe comme Aston Martin, Cadillac, Alpine ou Haas, je l’engagerais en deux secondes. »

Un ancien pilote Ferrari sacré champion de NASCAR

Rubens Barrichello, légende de la F1 avec 11 victoires en Grand Prix et 322 départs, a remporté le championnat NASCAR Brazil Series à 53 ans.

Après avoir quitté la Formule 1 en 2011, le Brésilien a multiplié les expériences dans le stock-car brésilien et aux 24 Heures du Mans 2017 en LMP2. Il avait déjà décroché le titre Stock Car Brazil en 2014 et 2022, et ajoute désormais une couronne NASCAR à son palmarès.

Barrichello a scellé son sacre en remportant sa quatrième course de la saison à l’Autodromo Vella Citta, près de São Paulo. Il sera célébré lors du banquet de fin de saison de la NASCAR, aux côtés des champions des séries Cup, XFinity et Truck.

F1 2027 : un projet de retour pour Caterham mené par un investisseur koweïtien

Le nom Caterham pourrait bien faire son retour surprise en Formule 1 en 2027, plus d’une décennie après sa disparition du plateau.

L’écurie, qui avait rejoint la F1 en 2010 sous le nom de Team Lotus avant d’être rebaptisée Caterham, avait quitté le championnat en 2014 à la suite de difficultés financières. En cinq saisons, elle n’avait jamais marqué le moindre point, végétant en fond de grille comme Virgin/Manor et HRT.

Derrière ce projet de renaissance se trouve Saad Kassis-Mohamed, un investisseur koweïtien de seulement 24 ans, qui pilote l’opération via sa société SKM Capital. L’objectif affiché est ambitieux : inscrire Caterham comme 12e équipe de F1 à partir de 2027.

La F1 accueillera déjà une 11e équipe en 2026, Cadillac, mais son entrée a nécessité un processus d’évaluation particulièrement strict. Les équipes existantes craignent notamment une dilution du prize pool et s’interrogent sur la valeur ajoutée qu’apporterait un nouvel entrant.

Cette fois-ci, Caterham bénéficierait d’un environnement plus favorable qu’à ses débuts. Le budget cap et les règles financières introduites depuis 2021 offrent un cadre beaucoup plus équitable que l’ère où Ferrari et Mercedes pouvaient dépenser plus de 300 millions de livres sterling par an.

Interrogé par Sportstar, Kassis-Mohamed a confirmé sa volonté de faire revivre la marque Caterham et de l’ancrer durablement en F1.

« La F1 fonctionne désormais avec des garde-fous financiers plus clairs et des cadres techniques stables, ce qui rend la catégorie attractive pour les investisseurs. Nous apprécions la combinaison d’une ingénierie de pointe, d’une plateforme mondiale et d’une gouvernance des coûts prévisible », a-t-il déclaré. « Caterham bénéficie d’une forte notoriété, mais n’est actuellement pas présent sur la grille. Une licence de marque raccourcit la phase de marketing sans faire revivre l’entité disparue ni ses dettes. Nous respectons les seuils fixés par la FIA et la F1. Notre plan prévoit deux options : un changement de contrôle d’un participant existant ou une candidature au prochain processus de la FIA en tant qu’équipe cliente compacte, bien financée et bénéficiant d’un approvisionnement à long terme en unités de puissance. »

Sergio Perez vers un retour en F1 avec Cadillac ?

Sergio Perez a donné un aperçu de ses vacances estivales sur les réseaux sociaux, alors que les spéculations s’intensifient autour de son éventuel retour en Formule 1 en 2026.

Écarté par Red Bull fin 2024 après une série de résultats décevants, le pilote mexicain a pris du recul vis-à-vis de la discipline, tout en restant un acteur incontournable du marché des transferts.

Selon le média allemand AMuS, Perez figure également sur la liste d’Alpine pour remplacer Franco Colapinto en 2026, mais c’est un projet avec Cadillac qui paraît aujourd’hui le plus concret.

D’après The Race, Perez devrait former le tout premier duo de pilotes Cadillac en F1 aux côtés de Valtteri Bottas. La rumeur du retour du Finlandais avait déjà circulé en début de semaine, et il semblerait que l’écurie américaine privilégie un duo expérimenté.

Les deux hommes ont en commun d’avoir déjà remporté des Grands Prix et d’avoir été les lieutenants de Lewis Hamilton et Max Verstappen ces dernières années. Un atout de taille pour une nouvelle équipe qui s’apprête à faire ses débuts dans la catégorie reine en 2026.

Sur Instagram, Perez n’a laissé filtrer aucun indice explicite concernant Cadillac, mais ses publications le montrent en plein entraînement à la salle de sport, tout en profitant de moments familiaux.

 
 
 
 
 
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Gasly rassure sur l’engagement de Renault en F1

Pierre Gasly a tenu à dissiper les doutes entourant l’avenir d’Alpine en Formule 1, assurant que le nouveau PDG de Renault, François Provost, est « pleinement engagé » dans le projet.

La nomination de Provost, fin juillet, fait suite au départ de Luca de Meo, qui avait dirigé le groupe Renault ces dernières années. Ce changement de gouvernance intervient dans un contexte délicat pour Alpine, dont la pérennité est régulièrement questionnée.

En effet, la décision de Renault de ne plus développer ses propres moteurs et de devenir une écurie cliente à partir de 2026 a alimenté les spéculations quant à une possible revente de l’équipe basée à Enstone.

Gasly se veut toutefois rassurant : selon lui, le nouveau patron du constructeur français reste déterminé à maintenir la présence d’Alpine sur la grille et à poursuivre son engagement en F1.

« C’est très clair », a déclaré Gasly aux médias. « Il travaille depuis très longtemps chez Renault. Il connaît l’ADN du groupe et de l’équipe. Il a fait partie de l’aventure pendant toutes ces années où Renault a participé à la Formule 1. Il est pleinement engagé dans ce sport et dans l’équipe de Formule 1. »

Ce changement chez Renault intervient alors qu’Alpine traverse une année difficile, occupant la 10e et dernière place du championnat des constructeurs après 14 manches. Gasly a affirmé que Provost était déterminé à voir les performances s’améliorer et espérait que l’accent mis sur la réglementation 2026 permettrait de remonter dans le classement.

« Il veut évidemment voir des performances, et il soutient tout le monde dans l’équipe », a ajouté Gasly. « Je me réjouis de l’avenir avec l’équipe. Nous savons où nous allons. Nous savons que 2025 est un compromis que nous avons décidé de prendre en début d’année pour nous concentrer sur 2026. Espérons que cela portera ses fruits l’année prochaine. »

Ricciardo dévoile l’origine de son surnom « Honey Badger »

Daniel Ricciardo a expliqué pourquoi il a longtemps été associé au surnom « honey badger » (ratel), emblématique de sa carrière en Formule 1.

Arrivé sur la grille en 2011 avec HRT, puis confirmé chez Toro Rosso avant ses années dorées chez Red Bull (2014-2018), l’Australien s’était bâti une réputation de pilote spectaculaire, multipliant les dépassements audacieux.

C’est durant cette période qu’il a adopté le surnom de « honey badger », en référence à un mammifère réputé pour son absence totale de peur face aux prédateurs. Ricciardo a reconnu que cette personnalité animale reflétait parfaitement son style d’attaque et son tempérament combatif en piste.

« Les blaireaux sont adorables, mignons et très beaux », a déclaré Ricciardo en riant lors de la conférence Ray White’s Connect. « Mais quand on leur prend quelque chose qui leur appartient, ils se battent, et je pense que c’était un peu mon alter ego quand j’étais au volant. J’ai toujours eu un esprit de compétition depuis que je suis enfant ; j’ai toujours été compétitif dans tout ce que je faisais », a-t-il déclaré. « Mais j’ai dû développer et travailler cet instinct du tueur pour le faire ressortir. Je suis naturellement plus facile à vivre.»

« L’un de mes premiers entraîneurs à l’époque, Stu Smith, m’a vraiment aidé à le faire ressortir. J’ai dû y travailler, mais quand je l’ai laissé s’exprimer, ça m’a fait du bien. C’est agréable d’être un dur à cuire parfois. Je dépensais trop d’énergie à essayer d’être dur tout le temps, car ce n’est pas naturel pour moi. Je voyais d’autres pilotes qui avaient cet instinct de tueur du matin au soir et j’aurais aimé être comme eux. Je pense que les gens me voyaient rire et plaisanter, et ils interprétaient cela comme une faiblesse et me sous-estimaient. Mais je mettais mon casque et je me disais : « Bon, maintenant, il est temps d’être dur comme les autres ».

Max Verstappen fait le buzz avec une vidéo hilarante de ses vacances

En pleine pause estivale de la Formule 1, Max Verstappen s’est offert un moment de détente devenu viral sur les réseaux sociaux. Le quadruple champion du monde a effrayé sa compagne Kelly Piquet lors d’une scène cocasse filmée par son ami Antonio Félix da Costa, pilote Porsche en Formule E.

Dans la séquence, on voit le Néerlandais au volant d’une voiturette de golf, accompagné de Kelly et de leur fille. Fidèle à son style de course, il quitte soudainement la piste pour effectuer un dépassement improvisé, déclenchant les cris de Piquet et les rires de ses proches.

Ce moment léger contraste avec une saison compliquée pour Verstappen. En difficulté avec la RB21, il accuse un retard de 97 points sur Oscar Piastri et ne semble plus en mesure de défendre son titre, comme l’a reconnu récemment Helmut Marko. Malgré tout, le pilote Red Bull garde le sourire et a confirmé son engagement avec l’écurie de Milton Keynes jusqu’en 2026, année charnière avec l’arrivée de la nouvelle réglementation moteurs.

En attendant, ses vacances mêlent détente, voyages en famille et golf, discipline qu’il n’hésite pas à transformer en terrain de jeu… de course.

 
 
 
 
 
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Classement des écuries à avoir placé leurs deux monoplaces dans les points en 2025

Rien ne va plus chez Red Bull. Longtemps référence de la Formule 1, l’écurie de Milton Keynes traverse une saison 2025 cauchemardesque par rapport à ses standards, pointant seulement à la quatrième place du championnat constructeurs. Un résultat qui pourrait bien être son pire depuis 2015, confirmant la fin d’un cycle de domination.

Si Max Verstappen continue de sauver l’honneur en marquant des points lors de 13 des 14 Grands Prix disputés, la RB21 peine à suivre le rythme. L’écart de performance entre ses deux pilotes illustre les difficultés de l’équipe. Liam Lawson, aligné sur deux courses, est resté bredouille, tandis que Yuki Tsunoda n’a terminé dans le top 10 qu’à trois reprises (Bahreïn, Miami, Imola).

Une statistique résume l’ampleur du déclin : seulement trois arrivées dans les points avec les deux voitures en 14 manches. L’an passé, malgré déjà quelques fragilités, Red Bull en comptait dix à la même étape du championnat.

Le contraste avec la concurrence est criant. McLaren (13) et Ferrari (11) dominent ce secteur, Mercedes (7) et Williams (5) font mieux, tandis qu’Aston Martin et Haas y sont parvenus deux fois, contre une seule pour Stake et Racing Bulls.

Le symbole de cette crise ? Le Grand Prix d’Autriche, où Verstappen n’a pas marqué… et Tsunoda non plus. Une image inquiétante pour une équipe désormais coincée dans le ventre mou du plateau.

Nombre(s) de doubles arrivées dans les points pour les écuries de F1 en 2025

Écurie Nombre
McLaren 13
Ferrari 11
Mercedes 7
Williams 5
Red Bull 3
Aston Martin 2
Haas 2
Stake F1 1
Racing Bulls 1
Alpine 0

McLaren détrône Ferrari dans la course aux pit stops les plus rapides

Longtemps maîtresse des arrêts au stand en 2025, Ferrari a vu sa suprématie s’effriter lors du dernier Grand Prix avant la pause estivale, en Hongrie. Jusque-là, la Scuderia détenait les quatre arrêts les plus rapides de la saison, mais son règne a pris fin face à McLaren au Hungaroring.

L’écurie de Woking a frappé fort en réalisant deux arrêts en seulement 1,94 seconde, l’un pour Lando Norris, l’autre pour Oscar Piastri. L’arrêt de Norris, légèrement plus rapide, est devenu le nouveau record de l’année, juste devant celui de son coéquipier.

Ferrari a dû encaisser un autre coup dur : Yuki Tsunoda et Red Bull ont signé un arrêt en 1,97 seconde, troisième meilleur chrono de la saison. L’écurie italienne conserve néanmoins une remarquable régularité, occupant les quatrième à huitième places du classement, mais sans jamais être descendue sous la barre des deux secondes.

Red Bull apparaît à nouveau en neuvième position grâce à Tsunoda à Silverstone (2,06s), tandis que Ferrari complète le top 10.

Avec six arrêts dans le top 10, Ferrari reste l’équipe la plus régulière et semble bien partie pour décrocher le DHL Fastest Pit Stop Award, attribué sur l’ensemble de la saison. Mais avec encore dix courses à disputer, rien n’est joué dans cette bataille de vitesse entre les stands.

Arrêts aux stands les plus rapides en 2025

# Écurie Pilote et GP Chrono
1 McLaren Norris – Hongrie 1.94s
2 McLaren Piastri – Hongrie 1.94s
3 Red Bull Tsunoda – Hongrie 1.97s
4 Ferrari Leclerc – Monaco 2.00s
5 Ferrari Leclerc – Arabie Saoudite 2.00s
6 Ferrari Leclerc – Imola 2.04s
7 Ferrari Leclerc – Hongrie 2.04s
8 Ferrari Leclerc – Chine 2.05s
9 Red Bull Tsunoda – GB 2.06s
10 Ferrari Hamilton – Arabie Saoudite 2.07s

Stake F1 contrainte de changer de nom pour le GP des Pays-Bas

L’écurie Stake F1 Team Kick Sauber sera obligée de courir sous une nouvelle identité lors du Grand Prix des Pays-Bas 2025. En cause : la législation néerlandaise, qui interdit toute forme de publicité liée aux sociétés de jeux d’argent dans les événements sportifs.

Le sponsor-titre de l’équipe, Stake, spécialisé dans les paris en ligne, enfreint directement ces règles. La loi, durcie en début d’année, proscrit toute promotion de ce type via des partenariats sportifs ou l’affichage sur les tenues des athlètes. Résultat : la monoplace mettra en avant Kick, autre partenaire majeur de l’écurie, pour le week-end de Zandvoort.

Ce n’est pas une première. Déjà en 2024, les autorités néerlandaises avaient mis en garde l’équipe, mais Hinwil avait malgré tout aligné ses voitures sous le nom Stake. Plus récemment, en Belgique, Nico Hülkenberg et Gabriel Bortoleto avaient également concouru sous l’appellation Kick.

Cette contrainte réglementaire intervient dans une période sportive encourageante pour l’écurie. Actuellement 7e au championnat des constructeurs, Stake F1 n’est qu’à un point d’Aston Martin. Ses pilotes brillent aussi : Hülkenberg a signé son tout premier podium en F1 à Silverstone, tandis que Bortoleto a impressionné en terminant 6e en Hongrie.

Toto Wolff : « Hamilton peut encore devenir octuple champion du monde »

Toto Wolff est persuadé que Lewis Hamilton garde toutes ses chances de décrocher un huitième titre mondial en F1, à condition de disposer d’une voiture compétitive. Le directeur de Mercedes rappelle que son ancien pilote, avec qui il a conquis six de ses sept couronnes, « possède toujours le talent et la détermination nécessaires » pour marquer l’histoire.

Depuis la perte controversée du titre 2021 face à Max Verstappen, Hamilton n’a plus ajouté de championnat à son palmarès, tandis que le Néerlandais a enchaîné trois sacres. Parti chez Ferrari en 2025 pour tenter d’éclipser Michael Schumacher, l’objectif du Britannique reste clair : devenir le premier octuple champion du monde.

Cependant, sa première saison à Maranello s’avère compliquée : aucun podium et des frustrations croissantes, illustrées par ses propos après une qualification décevante en Hongrie où il s’était déclaré « inutile » pour l’équipe.

Le style de pilotage de Hamilton semble mal s’accorder aux monoplaces à effet de sol, mais leur disparition en 2026, au profit d’une nouvelle génération de voitures, pourrait relancer ses ambitions. Pour Wolff, une chose est sûre : si Ferrari lui donne enfin une voiture capable de rivaliser, Hamilton saura transformer l’opportunité en titre.

Veux-tu que je prépare aussi un encadré statistique retraçant les chiffres-clés de sa carrière (titres, victoires, podiums, poles, etc.) pour enrichir l’article ?

« Je pense que s’il dispose d’une bonne voiture et qu’il a confiance en sa capacité à faire ce qu’il veut, alors oui », a déclaré Wolff aux médias. « S’il a une voiture qui ne lui donne pas le feedback qu’il souhaite, comme la Mercedes ces dernières années et ce qui semble être la Ferrari [cette année], alors non. Mais si vous me demandez s’il en est encore capable, la réponse est oui, sans aucun doute. »

Bernie Ecclestone voit en Gabriel Bortoleto le remplaçant idéal d’Hamilton chez Ferrari

L’ancien patron de la F1, Bernie Ecclestone, estime que Ferrari devrait anticiper le départ de Lewis Hamilton en envisageant Gabriel Bortoleto comme successeur. Le jeune Brésilien de 20 ans a impressionné lors de sa première saison en F1 avec Sauber, notamment avec une sixième place au Grand Prix de Hongrie au volant de la C45 motorisée Ferrari.

Ecclestone souligne les parallèles avec Charles Leclerc, qui avait également émergé chez Sauber avant de rejoindre Maranello. Cependant, le partenariat entre Ferrari et Sauber touche à sa fin : Sauber deviendra l’écurie officielle Audi en 2026 après son rachat complet.

Bortoleto, déjà lié à Audi jusqu’à la fin de la saison 2026, a montré suffisamment de talent pour être considéré par Ecclestone comme un candidat crédible pour Ferrari, même si ses engagements actuels compliquent la situation. La question reste donc de savoir si Ferrari sera prête à déroger à ses liens avec Sauber/Audi pour sécuriser un futur pilote prometteur.

« Les bonnes performances de Bortoleto dans une équipe de milieu de peloton comme Sauber devraient vraiment réveiller Ferrari », a déclaré Ecclestone à Blick.ch. « La question du prochain pilote italien doit être résolue avec le Brésilien. »

Gabriel Bortoleto est le deuxième pilote que Ecclestone propose pour remplacer Lewis Hamilton chez Ferrari, après avoir pensé au rookie de Racing Bulls, Isack Hadjar, pour le siège aux côtés de Charles Leclerc.

« Si je pouvais le voler, je prendrais Isack Hadjar de Racing Bulls », a déclaré Ecclestone au Daily Mail. « Il a très bien performé lors de sa première année et c’est un gars formidable. »

Lewis Hamilton : le record de points d’un rookie menacé par Kimi Antonelli ?

La saison rookie de Lewis Hamilton en 2007 reste considérée comme l’une des plus impressionnantes de l’histoire de la F1. Le Britannique, alors chez McLaren, avait terminé à un point du titre face à Kimi Räikkönen et avait marqué 109 points sous le système de l’époque. Même avec le système actuel (25 points pour une victoire), Hamilton aurait accumulé 267 points cette année-là, ce qui rend son exploit encore plus marquant.

En 2025, Kimi Antonelli, pilote Mercedes, pourrait se rapprocher de ce record. Après 14 manches, Antonelli totalise 64 points, ce qui signifie qu’il lui faudrait 46 points sur les 10 derniers Grands Prix pour battre le record de Hamilton.

Malgré une baisse de forme récente – seulement 2 points marqués lors des huit dernières courses – Mercedes a amélioré la W16 en revenant à une suspension plus ancienne en Hongrie, offrant de meilleures sensations à Antonelli et à George Russell. Si Mercedes parvient à maintenir cette compétitivité, le rookie pourrait se rapprocher du record légendaire de Hamilton, créant un scénario passionnant pour la fin de saison.

Classement des meilleurs débuts en F1 d’un Rookie sur une saison 

Pilote

POINTS

Année

Lewis Hamilton

109

2007

Oscar Piastri

97

2023

Alex Albon

92

2019

Esteban Ocon

87

2017

Lando Norris

49

2019

Max Verstappen

49

2015

Lance Stroll

40

2017

Ferrari : le plafond budgétaire complique le rattrapage des leaders

Piero Ferrari, vice-président de la Scuderia, a déclaré qu’il était devenu plus difficile pour une écurie de Formule 1 de combler son retard sur les leaders depuis l’introduction du plafond budgétaire en 2021. Selon le nonagénaire, cette situation contribue aux difficultés actuelles de Ferrari, qui traverse sa plus longue période sans titre depuis 2008.

Historiquement, Ferrari bénéficiait d’un avantage financier et d’un accord commercial favorable avec la FOM, lui permettant d’investir davantage pour résoudre ses problèmes. Avec le plafonnement des coûts, instauré par Liberty Media pour uniformiser la compétition et attirer de nouvelles équipes, cette marge de manœuvre a été réduite, rendant plus difficile le rattrapage des leaders du championnat. Ferrari souligne ainsi les limites que ces restrictions imposent même aux équipes historiquement dominantes.

« Je pense que c’est une question de cycles », a-t-il déclaré à La Gazzetta dello Sport. « La F1 a toujours fonctionné ainsi, et lorsque vous entrez dans un cycle négatif, vous ne savez pas quand vous toucherez le fond. Aujourd’hui, c’est très compliqué car vous ne pouvez pas dépenser plus d’argent pour combler les écarts, compte tenu des restrictions budgétaires. Il faut enchaîner une série de facteurs gagnants pour changer de cap. »

Malgré les difficultés actuelles, Piero Ferrari est convaincu que son équipe sera capable de revenir au premier plan.

« Ce sont des cycles, et en tant que tels, ils sont destinés à prendre fin et à recommencer », a-t-il déclaré.

Lorsqu’on lui demande si l’équipe a conservé le même esprit que lors de sa création par son père Enzo Ferrari en 1929, Piero répond : « Je pense que oui. L’esprit est le même, il suffit de regarder les employés : il y a un très fort sentiment d’appartenance. À Maranello, on les voit encore porter leur uniforme après le travail, car faire partie de Ferrari est quelque chose de très précieux pour ceux qui y travaillent. »

L’ancien coach de Verstappen revient sur la pression entre Red Bull et Mercedes en 2021

L’ancien coach de Max Verstappen, Bradley Scanes, a raconté l’intensité vécue par les équipes Red Bull et Mercedes lors du championnat de F1 2021, marqué par une lutte acharnée entre Verstappen et Lewis Hamilton pour le titre des pilotes. Selon Scanes, la tension a atteint son paroxysme bien avant la course finale à Abu Dhabi, où Mercedes a remporté son huitième championnat des constructeurs consécutif.

Scanes, qui a accompagné Verstappen pour ses trois premiers titres mondiaux, a expliqué comment le personnel des deux écuries a pris des mesures extrêmes pour gérer la pression et maximiser la performance dans les derniers instants du championnat. Son témoignage souligne les défis psychologiques et organisationnels auxquels sont confrontées les équipes lorsqu’un titre se joue sur le fil, avant même le dénouement controversé d’Abu Dhabi.

« 2021 est probablement la meilleure expérience que j’ai jamais vécue », a déclaré Scanes dans le podcast High Performance. « J’étais au premier rang, assistant en direct à la confrontation entre deux grands noms de ce sport. Ce n’étaient pas [seulement] deux grands noms de ce sport ; ces deux-là se battaient à 20 secondes des autres sur la piste », a-t-il ajouté en riant. « Mais ils n’étaient séparés que d’une seconde pendant tout le temps.»

« Dans certaines courses, on se dit : « On va remporter le championnat », puis tout à coup, on se retrouve dos au mur, et on a perdu quatre des cinq dernières courses. On était en difficulté… Quoi qu’il se soit passé, c’est arrivé à Abu Dhabi, mais les deux pilotes méritaient sans aucun doute de remporter le titre cette année-là. Évidemment, je ne suis pas impartial, et je pense que nous le méritions davantage », a-t-il déclaré en riant à nouveau.

« Mais oui, la pression était énorme. C’était intense », a-t-il ajouté. « On aurait pu couper la tension au couteau dans le paddock. Je me souviens du Brésil… C’était le Brésil, donc trois courses avant la fin, et nous étions évidemment les uns à côté des autres dans les garages, les uns à côté des autres dans les loges. La disposition des paddocks était telle qu’il fallait passer devant les autres, passer devant les loges des autres. Et personne ne se regardait… Red Bull, Mercedes, personne ne se regardait, personne ne se parlait. On aurait pu couper la tension au couteau. Aujourd’hui, on s’arrêterait pour parler à son partenaire chez Mercedes ou à des gens qu’on connaît. Mais lors de ces dernières courses, c’était une bataille, c’était la guerre. »

Les derniers vainqueurs du Grand Prix des Pays-Bas à Zandvoort en Formule 1

Après plus de trois décennies d’absence, le Grand Prix des Pays-Bas a fait son grand retour au calendrier de la Formule 1 en 2021. Réinstaurée sur le légendaire circuit de Zandvoort, cette épreuve a immédiatement retrouvé sa place parmi les rendez-vous incontournables de la saison, portée par l’enthousiasme débordant des amateurs néerlandais et l’ascension fulgurante de Max Verstappen.

Retour du Grand Prix à Zandvoort

Disparu du calendrier depuis 1985, le circuit côtier de Zandvoort a retrouvé son aura d’antan dès la saison 2021. Son tracé rapide, sinueux et exigeant, ainsi que ses tribunes orange flamboyantes, font désormais de chaque édition une fête du sport automobile.

Les vainqueurs depuis le retour du GP

Depuis la reprise de la course, le palmarès du Grand Prix des Pays-Bas s’est révélé on ne peut plus limpide : Max Verstappen, porté par le public néerlandais, s’est imposé à chaque édition depuis 2021.

  • 2021 : Max Verstappen (Red Bull Racing)
  • 2022 : Max Verstappen (Red Bull Racing)
  • 2023 : Max Verstappen (Red Bull Racing)
  • 2024 : Lando Norris (McLaren)

Un règne sans partage

Le pilote néerlandais, déjà champion du monde, a littéralement dominé son épreuve nationale, offrant à la foule acquise à sa cause des victoires mémorables à chaque édition. Maîtrisant le circuit comme personne, Verstappen a transformé le retour du Grand Prix des Pays-Bas à Zandvoort en véritable célébration nationale. Le orange, bien que n’étant pas celui des fans hollandais, a été à l’honneur l’an dernier, avec la victoire de la McLaren « papaye » de Lando Norris.

Zandvoort, temple de l’Orange Army

À chaque course, le circuit vibre au rythme des encouragements de la célèbre « Orange Army », les supporteurs de Verstappen, qui colorent les dunes du littoral néerlandais. Ce soutien populaire massif contribue à faire du Grand Prix des Pays-Bas l’un des événements les plus spectaculaires et chaleureux du championnat.

En somme, depuis le retour tant attendu de la Formule 1 à Zandvoort, Max Verstappen règne en maître sur son territoire, inscrivant un peu plus son nom dans l’histoire du sport automobile néerlandais et mondial.

 

L’histoire du Grand Prix de Formule 1 des Pays-Bas

Le Grand Prix des Pays-Bas occupe une place singulière dans l’histoire de la Formule 1. Symbole de passion et de ferveur populaire, cette épreuve a connu plusieurs vies, traversant les décennies, les interruptions et les métamorphoses de circuits, avant de devenir un rendez-vous incontournable du calendrier mondial.

Les prémices : Zandvoort, berceau du Grand Prix

C’est en 1948, sur le circuit de Zandvoort, que tout commence. Situé au bord de la mer du Nord, au cœur des dunes, le tracé original de Zandvoort s’étend alors sur près de 4,2 km. Il devient rapidement une référence grâce à ses courbes rapides et ses changements d’élévation naturels, défiant pilotes et écuries lors de courses hors-championnat. Dès la création du championnat du monde de Formule 1 en 1950, le Grand Prix des Pays-Bas y trouve sa place, s’y tenant presque chaque année jusqu’en 1985. Durant cette période, Zandvoort voit de grandes légendes s’y illustrer, à l’image de Jim Clark, Jackie Stewart, Niki Lauda ou Alain Prost.

Le circuit de Zandvoort : évolutions et interruptions

Le tracé d’origine, réputé exigeant, subit plusieurs modifications pour des raisons de sécurité. En 1973, l’accident tragique de Roger Williamson suscite une prise de conscience quant aux normes de sécurité. Au fil des ans, des portions sont modifiées, raccourcies ou protégées par de nouveaux dispositifs, mais l’âme du circuit demeure intacte, offrant toujours des courses spectaculaires le long des dunes balayées par les vents du Nord.

Malgré sa renommée, Zandvoort doit céder sa place au calendrier après 1985, en raison de difficultés financières et d’infrastructures devenues obsolètes. Pendant plus de trois décennies, le Grand Prix des Pays-Bas disparaît du championnat du monde.

Roemond et les alternatives envisagées

Durant cette longue absence, plusieurs projets émergent pour réintroduire le Grand Prix des Pays-Bas. Le circuit de Roemond (également appelé Circuit de Peel), situé dans le sud du pays, est parfois évoqué dans les années 1990 ; il accueille quelques compétitions nationales mais n’atteint jamais le statut de course F1. D’autres sites, comme Assen (le célèbre TT Circuit), font l’objet de discussions, profitant de leur infrastructure moderne, mais aucune alternative ne parvient à s’imposer réellement face à la légende de Zandvoort.

Le retour triomphal à Zandvoort

En 2021, le Grand Prix des Pays-Bas fait son grand retour sur le circuit rénové de Zandvoort. Remanié pour répondre aux normes actuelles – nouveaux virages inclinés, stands modernisés, sécurité renforcée – le tracé retrouve sa place dans le cœur des fans. Ce retour est marqué par le règne sans partage de Max Verstappen, enfant du pays, qui a remporté trois des quatre dernières éditions disputées. Seul Lando Norris est parvenu à s’imposer avec sa McLaren, l’an dernier, depuis le retour de la F1 sur le tracé du héros local.

Un circuit, une légende

Aujourd’hui, le Grand Prix des Pays-Bas est indissociable du circuit de Zandvoort. Il symbolise la tradition, l’innovation et la ferveur d’une nation pour la Formule 1. Des dunes d’hier aux gradins orange d’aujourd’hui, l’histoire du Grand Prix néerlandais est avant tout celle d’un circuit mythique, témoin de l’évolution du sport automobile mondial.

 

Flashback – La 1000e apparition de Ferrari en Grand Prix

La Formule 1 et le monde entier ont connu une année 2020 difficile, marquée par la crise sanitaire liée à la COVID-19. Dans ce contexte difficile, qui a mis un terme aux activités sportives et non sportives, une première lueur d’espoir est apparue le 5 juillet avec le Grand Prix d’ouverture de la saison, qui s’est déroulé sur le circuit de Spielberg en Autriche.

Ce dimanche restera dans l’histoire de la Formule 1 et au-delà. La catégorie reine du sport automobile a été la première à reprendre après la pandémie, et sa première pensée est allée aux victimes du COVID-19, avec un message diffusé sur les écrans du circuit avant la course. Ce début de saison extraordinaire a également vu les pilotes jouer un rôle de premier plan en dehors du circuit avec une importante initiative contre le racisme, en portant des t-shirts portant l’inscription « End Racism ».

Ce geste symbolique s’inscrivait dans le cadre d’une série d’initiatives menées sous le hashtag #WeRaceAsOne. La Scuderia Ferrari a également affiché le message #ForzaAlex sur la monoplace SF1000 afin de soutenir l’ancien pilote de course et multiple champion paralympique Alex Zanardi, gravement malade dans un hôpital de Sienne.

Le début de saison a également été passionnant pour la Scuderia Ferrari sur le plan sportif. Les deux pilotes de l’équipe, Charles Leclerc et Sebastian Vettel, ont lancé une attaque tous azimuts dans la dernière partie de la course, réalisant plusieurs dépassements. Le pilote monégasque a terminé à la deuxième place, le onzième podium de sa carrière.

Malgré ce début prometteur, la saison n’a guère réjoui le public ferrariste. Le Cheval Cabré a décroché trois podiums cette année-là, dont un pour Leclerc, troisième du Grand Prix de Grande-Bretagne, qui s’est déroulé le jour des célébrations du 70e anniversaire de la Formule 1.

Enfin, la course du Mugello a marqué la 1000e participation de Ferrari en Formule 1. La monoplace de la saison, la Ferrari SF1000, a été baptisée en l’honneur de cet événement.