La Scuderia Ferrari a offert à Kimi Raikkonen la monoplace avec laquelle il a remporté sa dernière course pour l’équipe italienne en 2018.
Le Finlandais Kimi Raikkonen s’est vu offrir sa monoplace Ferrari avec laquelle il a participé à sa toute dernière saison à Maranello en 2018 et avec laquelle il a également décroché sa dernière victoire en F1 au Grand Prix des Etats-Unis de la même année.
La livraison de la monoplace a eu lieu directement chez Raikkonen en Suisse où il vit avec sa famille et c’est le pilote Alfa Romeo en personne qui a réceptionné cette livraison si particulière. La F1 viendra compléter la collection de motos et voitures de Raikkonen.
Kimi Raikkonen, qui a débuté sa carrière en F1 en 2001, a quitté l’équipe italienne à la fin de la saison 2018 pour rejoindre l’écurie Alfa Romeo.
Le pilote finlandais a été remplacé par le jeune Charles Leclerc chez Ferrari, alors qu’il reste à l’heure actuelle le dernier homme à avoir remporté un titre pilote avec une Ferrari, c’était en 2007. Un an plus tard en 2008, le Brésilien Felipe Massa offrait le dernier titre constructeur à Ferrari.
Cela fait donc désormais douze années que Ferrari n’a plus gagné de championnat du monde en Formule 1. Les six dernières saisons ayant été dominées par l’équipe Mercedes.
Codemasters a dévoilé ce vendredi un nouveau trailer de son jeu F1 2020 qui sortira le 10 juillet prochain.
Après Zandvoort ou plus récemment Monaco, Codemasters a dévoilé ce vendredi un premier aperçu du nouveau circuit de Hanoï au Vietnam qui a fait son apparition au calendrier de la F1 en 2020.
Conçu par l’architecte officiel de la F1, Hermann Tilke, le circuit de Hanoï de 5,613 km de long s’inspire de pistes emblématiques telles que Suzuka, Monaco et Nürburgring.
« Nous sommes toujours ravis de créer de nouvelles expériences pour nos joueurs. Le circuit de Hanoï offre à la fois des sensations fortes et des défis, dans le contexte d’une magnifique ville. » explique Lee Mather, directeur du jeu F1 2020 chez Codemasters.
« Le circuit de Hanoi est une montée d’adrénaline avec des vitesses élevées, de longues lignes droites et des zones de freinage intensives, mais il punira quiconque ne respecte pas les sections murées. »
« Le circuit de Hanoï offre une configuration de circuit de ville unique avec plusieurs possibilités de dépassement et des combinaisons de virages à grande vitesse. » a ajouté le Dr, Carsten Tilke, directeur général et partenaire de Tilke GmbH & Co. KG.
« Codemasters a fait un excellent travail pour recréer le circuit de Hanoï, et la piste offrira un nouveau défi à tous les joueurs. »
F1 2020 sortira dans le monde le vendredi 10 juillet 2020 sur PlayStation4, la famille d’appareils Xbox One, y compris la Xbox One X, Windows PC (DVD et via Steam) et Google Stadia, bien que si vous achetez le Michael Schumacher Deluxe Edition, vous recevrez un accès anticipé de trois jours et un contenu exclusif.
Renault a confirmé ce vendredi la poursuite de son programme en Formule 1, peu de temps après avoir dévoilé un vaste plan d’économies.
Ce vendredi, le groupe Renault a dévoilé un vaste plan visant à économiser quelques 2 milliards d’euros. Ce plan prévoit la suppression de quelques 15 000 postes dans le monde dont 4600 en France.
A la suite de cette présentation, Renault a également confirmé la poursuite de son programme en Formule 1 lors d’une conférence de presse.
« Nous avons dit publiquement et nous confirmons que nous restons engagés en Formule 1. » a annoncé Clotilde Delbos, directeur général de Renault par intérim.
« L’annonce d’une nouvelle réglementation sur le plafonnement des dépenses est très bonne pour nous car nous devrons moins investir dans cette discipline que certains de nos concurrents qui dépensent beaucoup d’argent. Donc nous sommes et restons en F1. »
Rappelons que cette saison, l’équipe Renault alignera un duo de pilotes composé d’Esteban Ocon et Daniel Ricciardo. L’Australien quittera l’équipe à la fin de cette saison, après deux années passées à Enstone.
La nouvelle survient alors que Williams devrait être durement touché par la pandémie de coronavirus et a déjà vu ses revenus chuter à 160,2 millions de livres sterling en 2019, contre 176,5 millions de livres sterling en 2018, entraînant une perte de 13 millions de livres sterling.
Malgré cela, Williams insiste sur le fait qu’elle est prête à participer à la saison de F1 2020 quand elle débutera en juillet avec le GP d’Autriche.
« Bien que la société ait été confrontée à un certain nombre de défis, Williams reste actuellement financée et prête à reprendre la course lorsque le calendrier le permettra en 2020. » a indiqué Williams dans un communiqué.
« Le conseil d’administration de WGPH estime que l’examen stratégique et le processus de vente formel sont la bonne et prudente chose à faire afin de prendre le temps d’examiner une gamme complète d’options et de mettre l’équipe de Formule 1 dans la meilleure position possible pour l’avenir. »
La société Williams Grand Prix Holdings (WGPH) a annoncé qu’elle envisageait de vendre ses activités, qui comprennent son équipe de Formule 1.
Williams est l’une des équipes les plus anciennes de la grille, ayant participé pour la première fois au Grand Prix d’Espagne de 1977, et est toujours détenue en majorité par le co-fondateur Sir Frank Williams avec une participation de 51%, tandis que le co-fondateur Sir Patrick Head détient une participation de 9,3%.
En 2011, la société a été introduite à la Bourse de Francfort pour lever des capitaux et, en tant que telle, doit publier des documents financiers publics et dans sa dernière déclaration, WGPH a confirmé qu’elle envisageait plusieurs options, dont l’une est la «vente potentielle de l’ensemble de la société».
Cependant, le conseil d’administration envisage également de lever de nouveaux capitaux ou de vendre une part minoritaire ou majoritaire.
« Dans le cadre de cette nouvelle orientation stratégique, le conseil d’administration du WGPH entreprend un examen de toutes les différentes options stratégiques disponibles pour la société. » indique Williams dans un communiqué.
« Les options envisagées comprennent, sans s’y limiter, la levée de nouveaux capitaux pour l’entreprise, la cession d’une participation minoritaire dans WGPH ou la cession d’une participation majoritaire dans WGPH, y compris une vente potentielle de l’ensemble de la société. »
« Bien qu’aucune décision n’ait encore été prise concernant le résultat optimal, pour faciliter les discussions avec les parties intéressées, la Société annonce le début d’un » processus de vente formel. »
Williams a confirmé qu’aucune offre d’achat de l’ensemble de la société n’était encore sur la table, mais qu’elle est en pourparlers avec « un petit nombre de parties » concernant un investissement potentiel.
La nouvelle survient alors que Williams devrait être durement touché par la pandémie de coronavirus et a déjà vu ses revenus chuter à 160,2 millions de livres sterling en 2019, contre 176,5 millions de livres sterling en 2018, entraînant une perte de 13 millions de livres sterling.
Malgré cela, Williams insiste sur le fait qu’elle est prête à participer à la saison de F1 2020 quand elle débutera en juillet avec le GP d’Autriche.
« Bien que la société ait été confrontée à un certain nombre de défis, Williams reste actuellement financée et prête à reprendre la course lorsque le calendrier le permettra en 2020. »
« Le conseil d’administration de WGPH estime que l’examen stratégique et le processus de vente formel sont la bonne et prudente chose à faire afin de prendre le temps d’examiner une gamme complète d’options et de mettre l’équipe de Formule 1 dans la meilleure position possible pour l’avenir. »
L’équipe a également confirmé cette semaine qu’elle se séparerait du sponsor titre ROKiT et n’a pas encore fourni d’explication complète sur les raisons de cette décision.
Williams Racing annonce avoir mis fin à sa relation commerciale avec son sponsor titre Rokit.
En raison des pertes énormes causées par la pandémie de coronavirus, l’équipe Williams a déclaré ce vendredi qu’elle envisageait un examen de toutes les options disponibles pour sauver la société.
Dans un premier temps, l’équipe Williams F1 a annoncé avoir notifié la fin de sa relation avec ROKiT, partenaire titre de l’écurie, à la suite de la publication de ses résultats financiers vendredi.
Williams a signé ROKiT comme partenaire titre pour la saison 2019 pour remplacer Martini. Les parties ont conclu un nouvel accord pluriannuel la saison dernière, mais vendredi, Williams a confirmé qu’elle mettrait fin à l’accord.
« Nous avons mis en œuvre une restructuration importante au cours des neuf derniers mois et avons renforcé l’équipe de direction technique. » explique Mike O’Driscoll, directeur général.
« La saison 2020 de Formule 1 a bien sûr été interrompue en raison de la pandémie de COVID-19, et cela aura un impact sur nos revenus de droits commerciaux cette année. »
« L’équipe a également notifié la fin de sa relation avec son partenaire en titre, ROKiT, et son principal sponsor, ROK Drinks. »
« Comme de nombreuses autres entreprises, nous avons pris des mesures importantes pour atténuer les risques, notamment une période de congé prolongée pour une grande partie de notre personnel. »
« Alors que cette terrible crise mondiale se retire, tout le monde chez Williams Racing attend avec impatience le début de la nouvelle saison. »
Mercedes a tenu à démentir les rumeurs selon lesquelles Toto Wolff s’apprête à quitter son poste de directeur exécutif à la fin de la saison 2020.
Ce jeudi, plusieurs médias allemands ont affirmé détenir des informations au sujet d’un probable départ de Toto Wolff de son poste de directeur exécutif de l’équipe Mercedes en F1 d’ici la fin de l’année.
Le constructeur allemand n’aura pas tardé à répondre à ces rumeurs, affirmant que le projet F1 de Mercedes continuerait pour quelques années encore avec Toto Wolff aux commandes.
« Les spéculations sur un éventuel retrait de Mercedes de la Formule 1 restent infondées et irresponsables. » indique le constructeur allemand.
« Notre sport a pris les bonnes mesures pour faire face aux conséquences de la pandémie de Covid-19, garantissant la viabilité financière à l’avenir, une étape importante que nous félicitons. »
« Nous avons clairement l’intention de continuer à participer en Formule 1 en tant qu’équipe Mercedes-Benz pour les années à venir, et de le faire avec notre partenaire et directeur, Toto Wolff. »
Voilà donc une réponse claire qui dissipe les doutes sur une éventuelle révolution au sein de l’équipe qui a dominé la catégorie reine du sport automobile au cours des six dernières années.
Toutefois, il n’est pas à exclure que le rôle de Toto Wolff, qui est à la fois directeur de l’équipe et actionnaire (à hauteur de 30%) puisse varier dans certaines des responsabilités actuelles à partir de 2021.
Toto Wolff n’a en effet jamais caché qu’il souhaitait éventuellement pouvoir prendre un peu plus de recul à l’avenir en évitant de se déplacer sur toutes les courses du calendrier, mais l’implication de l’Autrichien ne semble pas être remise en cause.
Le groupe Renault a annoncé ce vendredi la suppression de près de 15 000 postes dans le monde dont 4600 en France.
Comme il s’y était engagé lors de la présentation de ses résultats annuels, le Groupe Renault présente aujourd’hui son projet de plan de transformation dont l’objectif est de réaliser une économie de plus de 2 milliards d’euros sur 3 ans et de constituer les bases d’une nouvelle compétitivité.
Les difficultés rencontrées par le Groupe, la crise majeure à laquelle est confrontée l’industrie automobile et les urgences liées à la transition écologique, sont autant d’impératifs qui conduisent l’entreprise à accélérer sa transformation.
Le projet de plan permettra de renforcer la résilience de l’entreprise en privilégiant la génération de Cash Flow, tout en maintenant le client au centre des priorités. Il s’appuie sur une approche plus efficace des activités opérationnelles et une gestion rigoureuse des ressources.
Au-delà, le projet de plan tend à poser les bases d’un développement pérenne du Groupe Renault. En France, celui-ci s’organiserait autour de pôles d’activités stratégiques d’avenir : les véhicules électriques, les véhicules utilitaires, l’économie circulaire et l’innovation à forte valeur ajoutée.
Ces grands pôles d’excellence régionaux basés en France constitueraient le cœur de la reconquête du Groupe. A Flins et Guyancourt, le Groupe réorganiserait ses activités.
Si le Groupe Renault envisage de procéder aux ajustements d’effectifs nécessaires pour permettre un retour à une croissance rentable et durable, il s’engage à ce qu’ils soient réalisés à travers un dialogue exemplaire avec les partenaires sociaux et les collectivités locales.
Ce projet d’ajustement des effectifs s’appuierait sur des mesures de reconversion, de mobilité interne et des départs volontaires. Il s’étalerait sur 3 ans et concernerait en France près de 4 600 postes auxquels s’ajouterait la réduction de plus de 10 000 autres postes dans le reste du monde.
Notez que le projet F1 de Renault n’a pas été évoqué par le conseil d’administration du groupe Renault lors de la présentation de son plan d’économie.
« J’ai confiance dans nos atouts, dans nos valeurs et dans la direction de l’entreprise pour réussir la transformation envisagée et redonner à notre Groupe toute sa valeur en déployant ce plan. Les évolutions projetées sont fondamentales pour assurer la pérennité de l’entreprise et son développement sur le long terme. » a déclaré Jean-Dominique Senard, Président du Conseil d’Administration de Renault.
« C’est collectivement et avec le soutien de nos partenaires de l’Alliance que nous serons capables d’atteindre nos objectifs et de faire du Groupe Renault un acteur majeur de l’industrie automobile des prochaines années. »
« Nous avons parfaitement conscience de la responsabilité qui est la nôtre et la transformation envisagée ne pourra se faire que dans le respect de l’ensemble des parties prenantes de notre Groupe et dans le cadre d’un dialogue social exemplaire. »
« Dans un contexte fait d’incertitudes et de complexité, ce projet est vital pour garantir une performance solide et durable, avec comme priorité la satisfaction de nos clients. » a ajouté Clotilde Delbos, directeur général de Renault par intérim.
En tirant parti de nos nombreux atouts comme le véhicule électrique, en capitalisant sur les ressources et technologies du Groupe Renault et de l’Alliance, en réduisant la complexité de développement et de production de nos véhicules, nous voulons générer des économies d’échelle dans le but de rétablir notre rentabilité globale et d’assurer notre développement en France et à l’international. Ce projet doit permettre à terme d’envisager l’avenir avec confiance. »
Le projet inclut les principaux éléments suivants :
Amélioration de l’efficacité et réduction des coûts de l’ingénierie, en bénéficiant des acquis renforcés de l’Alliance pour environ 800 M€
Rationalisation de la conception et du développement des véhicules : réduction de la diversité des composants, augmentation de la standardisation, programmes Leader – Follower au sein de l’Alliance
Optimisation des ressources : concentration du développement des technologies stratégiques à forte valeur ajoutée dans les sites d’ingénierie d’Ile-de-France ; optimisation de l’utilisation des centres de R&D à l’étranger et de la sous-traitance ; optimisation des moyens de validation par l’utilisation accrue du digital.
Optimisation de l’appareil industriel pour environ 650 M€
Accélération de la transformation des usines par la généralisation des outils de l’industrie 4.0.
Amélioration des process dans les nouveaux projets d’ingénierie : accélérer la digitalisation et le « design to process ».
Redimensionnement des capacités industrielles :
Capacités mondiales de production revues de 4 millions de véhicules en 2019 à 3,3 millions d’ici à 2024 (référence Harbour).
Ajustement des effectifs de production.
Suspension des projets d’augmentation de capacités prévus au Maroc et en Roumanie, étude de l’adaptation des capacités de production du Groupe en Russie, étude de la rationalisation de la fabrication de boîtes de vitesse dans le monde.
En France, quatre hypothèses de travail pour optimiser l’appareil industriel feront l’objet d’une concertation approfondie avec l’ensemble des parties prenantes et en particulier les partenaires sociaux et les collectivités locales :
Renault lance une concertation pour étudier à partir des usines de Douai et de Maubeuge la création d’un pôle d’excellence optimisé des véhicules électriques et utilitaires légers dans le nord de la France.
Réflexion ouverte sur la reconversion de l’usine de Dieppe, à la fin de la production de l’Alpine A110.
A Flins, la création d’un écosystème d’économie circulaire sur le site, incluant le transfert des activités de Choisy-le-Roi.
En ce qui concerne la Fonderie de Bretagne, Renault lance une revue stratégique.
Efficience accrue des fonctions supports pour environ 700 M€
Optimisation des frais généraux et marketing : digitalisation au service d’une optimisation des frais marketing, rationalisation de l’organisation et réduction des coûts corrélés aux fonctions supports…
Recentrage des activités pour une meilleure allocation des ressources
Ce recentrage sur le cœur d’activité du Groupe par une évolution de son périmètre concernerait en particulier :
Une partie du réseau de distribution intégré RRG en Europe ;
Le transfert de la participation de Groupe Renault dans Dongfeng Renault Automotive Company Ltd (DRAC) en Chine à Dongfeng Motor Corporation et l’arrêt des activités de véhicules particuliers thermiques sous marque Renault sur le marché chinois.
Ces projets seront présentés aux instances représentatives du personnel dans le respect de la réglementation en vigueur.
Selon la presse allemande, Toto Wolff, l’actuel directeur exécutif de l’équipe Mercedes, devrait démissionner à la fin de la saison 2020.
AutoBild affirme détenir des informations selon lesquelles Toto Wolff quittera l’équipe Mercedes à la fin de la saison 2020, lorsque son contrat arrivera à son terme.
L’Autrichien Toto Wolff détient 30% des parts de l’équipe Mercedes, le reste étant détenu par le groupe Daimler, la maison mère de Mercedes.
Wolff a récemment acquis un pourcentage dans Aston Martin, qui aura l’an prochain sa propre équipe d’usine en Formule 1, ce qui laisse penser que l’homme d’affaires autrichien pourrait très bien se retrouver impliqué de près ou de loin dans le projet F1 d’Aston Martin en 2021.
Une transaction d’échange pourrait également entrer en jeu afin que Daimler , qui détient cinq pour cent de la marque anglaise, puisse augmenter sa participation dans Aston Martin.
Cependant, toujours selon le média cité plus haut, Toto Wolff et Lawrence Stroll (actuel propriétaire de l’équipe Racing Point) projetteraient également d’acquérir plus d’actions dans l’équipe Mercedes, ce qui pourrait signifier la fin de l’équipe du constructeur allemand sous sa forme actuelle.
Mise à jour le 29/05/2020 :
Le constructeur allemand n’aura pas tardé à répondre à ces rumeurs, affirmant que le projet F1 de Mercedes continuerait pour quelques années encore avec Toto Wolff aux commandes.
« Les spéculations sur un éventuel retrait de Mercedes de la Formule 1 restent infondées et irresponsables. » indique le constructeur allemand.
« Notre sport a pris les bonnes mesures pour faire face aux conséquences de la pandémie de Covid-19, garantissant la viabilité financière à l’avenir, une étape importante que nous félicitons. »
« Nous avons clairement l’intention de continuer à participer en Formule 1 en tant qu’équipe Mercedes-Benz pour les années à venir, et de le faire avec notre partenaire et directeur, Toto Wolff. »
Daniel Ricciardo a admis avoir eu des contacts avec la Scuderia Ferrari avant de finalement signer avec McLaren.
L’Australien Daniel Ricciardo quittera à la fin de la saison 2020 l’équipe Renault pour rejoindre McLaren à partir de 2021 où il fera équipe avec le jeune Lando Norris.
Dans un entretien accordé à CNN, Ricciardo a admis qu’il avait eu des contacts avec la Scuderia Ferrari depuis quelques années déjà, mais ces discussions n’ont finalement jamais aboutie.
« Il y a déjà eu des discussions il y a quelques années. Et cela a continué jusqu’à maintenant. » a déclaré Ricciardo à CNN.
« Alors oui, je ne le nierais pas, mais de toute évidence, cela n’a jamais abouti. Je ne sais pas trop pourquoi cela ne s’est pas fait, mais je préfère ne pas trop m’attarder là-dessus. »
« Tout le monde pense que cela aurait pu être une belle association, avec mon patronyme, et tout ce qu’il y a autour. Mais bon, j’essaie de ne pas y accorder trop d’importance. »
« Carlos [Sainz] s’accorde bien avec eux, donc je ne suis pas là à me dire : « pourquoi ne m’ont-ils pas choisi ? ». »
« Je vois la situation de la manière suivante : Carlos a signé une super saison 2019, il est bien côté maintenant et je pense qu’il convient au contexte là-bas. »
En 2000, Mercedes prend la décision de sortir en série limitée une CL 55 AMG F1 Limited Edition essentiellement inspirée de la voiture de sécurité de l’époque.
La technologie des voitures de course pour la voie publique: c’est cette philosophie directrice que Mercedes-Benz a appliqué lors de la présentation de la CL 55 AMG F1 Limited Edition à la fin du mois de mai en 2000.
Cette voiture était l’un des coupés de luxe de la série de modèles C 215 qui a été construite de 1999 à 2006. Les spécifications techniques et la conception de la super-voiture de sport innovante étaient étroitement basées sur la voiture de sécurité de l’époque en F1, conduite par Bernd Mayländer .
Ce n’est pas seulement le prix de 170 000 euros de ce modèle spécial qui a assuré son exclusivité, mais aussi le fait qu’il s’agissait d’une édition limitée: seulement 55 de ces voitures avaient été construites en 2001. Cela en a fait un objet de collection dès le départ.
La production de l’impressionnant coupé a commencé à l’été 2000 et la livraison a commencé à l’automne. L’une de ces voitures extrêmement rares fait d’ailleurs partie de la vaste collection de véhicules Mercedes-Benz Classic.
Un système de freinage unique !
La CL 55 AMG F1 Limited Edition n’était pas une voiture modeste: elle avait un moteur AMG V8 de 5,5 litres hautes performances. Ce moteur développait 265 kW (360 ch) à 5 500 tr / min et un couple de 530 newtons-mètres entre 3 150 et 4 500 tr / min.
Sa vitesse de pointe était limitée électroniquement à 250 km / h. Autre caractéristique remarquable: il s’agissait de la première voiture homologuée au monde à décélérer au moyen d’un système de freinage en céramique.
Ce système exclusif fournissait une puissance de freinage allant jusqu’à 1 471 kW. Cette performance de freinage exceptionnelle est le résultat d’une combinaison de disques de frein à ventilation interne en céramique renforcée de fibres et d’étriers de frein à huit pistons développés par le fournisseur Brembo.
Cette technologie était complètement nouvelle à l’époque pour les voitures de série. Les avantages comprenaient une réponse très sensible aux actions de freinage, une résistance thermique extrêmement élevée et un poids réduit des disques de frein, qui étaient 60% plus légers que les disques en acier conventionnels.
La réduction notable des masses non suspendues a permis au conducteur de ce modèle spécial de ressentir à la fois une dynamique améliorée du véhicule et un plus grand plaisir de conduite.
« La partie la plus importante d’une voiture de sport n’est pas le moteur, mais les freins. » avait déclaré Mika Hakkinen, double champion du monde de F1, lors de la sortie du modèle.
Les disques de frein de ce coupé ont été fabriqués par l’usine Mercedes-Benz d’Esslingen-Mettingen. Leur fabrication était un processus de haute technologie: la fibre de carbone, la poudre de carbone et la résine étaient pressées sous haute pression puis cuites à 1000 degrés Celsius.
Après refroidissement, les disques de frein ont été soumis à un bref usinage avant d’être traités au silicium liquide. La matrice de carbone a absorbé le silicium comme une éponge et a réagi pour produire de la céramique.
Un style AMG impressionnant
Le niveau de finition exclusif de la CL 55 AMG F1 Limited Edition a mis l’accent sur son caractère inhérent. Extérieurement, la voiture présente un style AMG impressionnant.
Les jantes en alliage léger AMG de 19 pouces, 8,5 pouces à l’avant et 9,5 pouces à l’arrière, avec des pneus avant 255/40 ZR 19 et 285/35 ZR 19 arrière ont clairement démontré les aspirations sportives de la voiture.
La réduction des décalages des roues sur les roues AMG a produit des largeurs de voie optimisées qui, en combinaison avec les ailes arrière plus larges, ont donné au CL 55 AMG une apparence très musclée.
La configuration plus sportive de la suspension ABC (Active Body Control) a contribué à une expérience de conduite particulièrement dynamique. Le système de freinage antiblocage, l’assistance au freinage et le programme de stabilité électronique ESP ont également été soigneusement adaptés au nouveau système de freinage.
Des signes distinctifs
Le coupé exclusif, disponible uniquement en argent métallisé brillant, différait de son homologue de production standard par plusieurs autres détails d’équipement qui soulignaient sa proximité génétique avec la voiture de sécurité de Formule 1 alors utilisée.
Ceux-ci comprenaient le lettrage «F1 Limited Edition» sur les ailes avant, sur les seuils de porte éclairés et sur la console centrale, où sa numérotation consécutive était également indiquée.
Sièges avant avec une sensation résolument sportive et une stabilité latérale optimisée, sellerie en cuir noir et argent avec logos AMG brodés, un volant sport AMG avec un revêtement en cuir perforé, des éléments de garniture en fibre de carbone, le levier sélecteur automatique comprenant une combinaison de cuir et la fibre de carbone et les tapis de sol avec les logos AMG ont poursuivi la philosophie du sport automobile à l’intérieur.
Aujourd’hui encore, 20 ans après sa sortie, la CL 55 AMG F1 Limited Edition est toujours considérée comme une voiture emblématique et les passionnés sont préts à dépenser une vraie fortune pour pouvoir en acquérir une.
Pierre Gasly est devenu le troisième pilote de la grille actuelle de F1 à participer aux 24 Heures du Mans Virtuelles.
Le Français rejoindra Max Verstappen et Lando Norris sur la grille de départ des 24H du Mans Virtuelles les 13 et 14 juin prochains.
Le pilote AlphaTauri participera à la plus longue épreuve virtuelle du monde au sein de l’équipe Veloce Esports et aura comme coéquipiers Jean-Eric Vergne, Jarno Opmeer et Isaac Gillissen.
Alors que les prototypes et les GTE ne seront en piste que les 19 et 20 septembre pour la 88e édition de la plus grande course d’endurance au monde, les pilotes professionnels et les spécialistes de l’Esports prendront place sur leurs sièges de simulateur les 13 et 14 juin pour participer à la la plus grande course d’endurance Esports de tous les temps, les 24 Heures du Mans Virtual.
Les pilotes joueront sur la plateforme de jeu rFactor2 et jusqu’à 50 voitures pourront participer à la course. Les équipes sont libres de choisir leur propre livrée.
Les changements de pilotes seront obligatoires. Le temps de conduite minimum pour l’ensemble de l’événement est de quatre heures pour chaque conducteur. Le temps de conduite maximum pour toute la course est de sept heures pour chaque pilote.
De plus, la conduite se fera dans des conditions météorologiques variables et les voitures endommagées pourront être réparées dans les stands. Les équipes pourront personnaliser leur propre configuration pour optimiser les performances.
L’équipe Esports de Grosjean présente
L’équipe Esports de Romain Grosjean, R8g, sera également représentée sur la grille de départ des 24 Heures du Mans Virtuelles et alignera quatre pilotes : Mathias Beche, Daniel Juncadella, Risto Kappet et Erhan Jajovski.
L’ancien ingénieur Ferrari, Giacomo Tortora, rejoindra l’équipe Mercedes à partir du 1er juin 2020 en tant que designer en chef adjoint.
Giacomo Tortora a été démis de ses fonctions de chef simulateur chez Ferrari l’an dernier peu après le Grand Prix de Monaco et est resté depuis sans affectation particulière à Maranello, ce qui l’a poussé à repartir vivre en Grande-Bretagne.
Il semblerait que ce soit James Allison, l’actuel directeur technique de l’équipe Mercedes, qui a souhaité que Tortora rejoigne l’écurie du constructeur allemand.
Après une période de jardinage obligatoire qui s’est terminée à la fin de l’année dernière, Giacomo Tortora est devenu disponible sur le marché des transferts et Mercedes n’a pas hésité longtemps.
L’ingénieur italien débutera donc une toute nouvelle aventure cette année en rejoignant dès le mois de juin l’équipe Mercedes et deviendra l’un des adjoints de John Owen, l’actuel designer en chef de l’équipe championne du monde en titre.
Tortora allonge ainsi la liste de ceux qui ont quitté Maranello et sont allés à Brackley: cela a commencé avec Aldo Costa puis ce fut au tour de James Allison, puis le motoriste Lorenzo Sassi.
Carlos Sainz admet qu’il ambitionne de faire équipe avec les meilleurs pilotes de la planète afin d’en apprendre toujours plus pour s’améliorer.
Le jeune espagnol Carlos Sainz rejoindra en 2021 la Scuderia Ferrari aux côtés de Charles Leclerc, et bien qu’il soit très talentueux, Sainz n’a jamais remporté de championnat ou bien même gagné la moindre course jusqu’à présent.
Arrivé en F1 en 2015 chez Toro Rosso, son meilleur résultat en carrière reste sa troisième position l’an dernier au Grand Prix du Brésil avec McLaren, bien aidé il est vrai par les multiples abandons et pénalités.
En toute franchise, le pilote madrilène admet qu’il souhaite en apprendre davantage en étant aux côtés des meilleurs pilotes du monde.
« Je veux faire équipe avec les meilleurs [des champions du monde], voir à quel point ils sont bons et me comparer à eux. C’est une curiosité que j’ai depuis l’âge de dix ans depuis que j’ai commencé à courir. » explique le futur pilote Ferrari.
« Je ne dirais pas que je serais plus rapide qu’eux, mais je veux juste voir leurs données de télémétrie et ce qu’ils font pour être si rapides. »
« Je veux savoir si je peux être en mesure de les égaler ou même de les dépasser à certains égards, et surtout, être inspiré par certaines choses qu’ils font. Je voudrais être leur partenaire pendant au moins un an pour voir à quel point ils sont bons. »
Jusqu’à présent, les coéquipiers de Carlos Sainz en F1 fut Max Verstappen, Nico Hûlkenberg et Lando Norris.
Max Verstappen est revenu sur son moment le plus gênant avec son équipe Red Bull Racing depuis 2016.
Le pilote néerlandais Max Verstappen a rejoint l’équipe Red Bull Racing en 2016 en plein milieu de saison au Grand Prix d’Espagne.
Dès sa première course avec l’écurie de Milton Keynes, Verstappen a frappé un grand coup puisqu’il a remporté le Grand Prix d’Espagne avec panache, signant sa toute première victoire en Formule 1 à l’âge de 18 ans.
Bien qu’il ait connu de grands moments chez Red Bull, Verstappen a également connu des moments plus gênant comme en 2016 au Grand Prix des Etats-Unis.
« C’était en 2016 à Austin, lors du Grand Prix des Etats-Unis. Ça se passait bien et j’étais quatrième. Mon ingénieur m’a parlé dans la radio embarquée et m’a dit que je devais pousser, et à l’époque cela signifiait généralement que je ferais un arrêt au stand. » nous explique Verstappen.
« J’ai roulé à fond et je suis entré dans la voie des stands. En conduisant, j’ai réalisé que je n’avais pas du tout été appelé. Il ne m’avait pas dit de faire un arrêt au stand. »
« Alors je me suis dit ‘qu’est-ce que je fais maintenant ?’ J’ai alors traversé la voie des stands en appelant [l’équipe à la radio]. Les mécaniciens ont attrapé des pneus et ont couru dehors, mais l’arrêt au stand a duré huit ou neuf secondes. »
« Malgré mon erreur, c’était toujours un arrêt au stand rapide. Trois tours plus tard, j’ai abandonné à cause d’un problème. »
« Après la course, le Dr Helmut Marko était bien-sûr en colère contre moi. J’ai admis avoir fait une erreur parce que je n’avais pas grand-chose d’autre à dire. C’était assez embarrassant. »
Le directeur technique de l’équipe AlphaTauri, Jody Egginton, estime que la bataille pour la quatrième place en 2020 sera très disputée en F1.
Selon le directeur technique d’AlphaTauri, la bataille du milieu de peloton en F1 pourrait comprendre jusqu’à sept équipes cette année, l’équipe la plus rapide changeant régulièrement.
Mercedes, Ferrari et Red Bull ont verrouillé les positions de leader au cours des dernières saisons tandis que l’année dernière, McLaren a remplacé Renault pour terminer quatrième.
AlphaTauri, sous son apparence de Toro Rosso, a égalé son meilleur classement de tous les temps en prenant la sixième place, à seulement six points de Renault.
« C’est un milieu de peloton très compétitif, [donc] de la quatrième à la neuvième ou à la 10e place, cela va être très proche cette année, nous sommes dans le mix. » nous explique le directeur technique d’AlphaTauri, Jody Egginton.
« Ce fut évident pendant les tests [hivernaux], la voiture est une grande évolution. Je pense que nous pouvons terminer meilleur du reste, c’est notre objectif. »
« Ça va être incroyablement difficile et je soupçonne que la quatrième équipe évoluera et changera tout au long de la saison. »
« L’objectif est d’être compétitif et de franchir la prochaine étape par rapport à l’année dernière et de lutter au milieu de peloton. Nous espérons pouvoir le faire, mais nous allons devoir développer la voiture fortement pour maintenir notre position. »
Egginton estime que l’arrêt précoce forcé dû au coronavirus et le calendrier modifié signifient que les équipes mettront en œuvre un programme de développement modifié.
« Avec le programme de développement que nous avions déjà en place, nous savons ce que nous voulions introduire, mais en raison de la situation avec la Covid-19 et de notre fermeture anticipée et prolongée, il y a eu des retards. »
« Nous reprenons le travail la semaine prochaine, mais l’activité sur laquelle nous avons travaillé – conception, aéronautique, fabrication – a été arrêtée. »
« Mais le calendrier sera différent, donc des pièces dont nous aurions pu avoir besoin pour certaines courses, nous n’en aurons plus besoin, Monaco en est un exemple, nous devons donc changer l’ordre de sortie des pièces, certaines à travers la soufflerie. Certaines non, donc nous devons changer le programme de soufflerie et changer nos priorités pour la fabrication. »
« Pour le moment, il y a beaucoup de scénarios et des « si » dans ma tête et quand nous reprendrons le travail, nous les mettrons à exécution [et en discuterons]. »
« Mais en termes de ce que nous avions l’intention de faire, sur quoi nous voulions travailler, nous continuerons à travailler dessus, cela ne fait que minimiser les retards dus à l’arrêt prolongé. »
Les organisateurs du Grand Prix des Pays-Bas ont décidé d’annuler purement et simplement leur épreuve en 2020.
Jusqu’ici simplement reporté à une date ultérieure, le Grand Prix des Pays-Bas n’aura finalement jamais lieu en 2020 en raison de l’épidémie de coronavirus.
Les organisateurs de l’épreuve ont confirmé ce jeudi le report de leur course à la saison 2021 : « En raison de la propagation mondiale du coronavirus, le premier Grand Prix de Hollande Heineken de Formule 1 a été définitivement reporté à 2021. »
« Tous les billets restent valables pour la nouvelle course. Découvrez des informations plus détaillées via [le site du GP des Pays-Bas]. »
La F1 souhaite toujours débuter sa saison 2020 en Autriche au mois de juillet avec deux courses à huis clos, avant de se rendre soit en Hongrie, soit en Allemagne, puis sur le circuit de Silverstone en Angleterre.
La partie Européenne se terminerait avec la Belgique fin août et l’Italie début septembre, avant que le grand cirque ne parte vers l’Asie, les Amériques et enfin les pays du Golfe.
Un calendrier définitif doit être dévoilé la semaine prochaine, on s’attend à ce qu’il soit composé d’au moins 15 courses pour un maximum de 19 épreuves.
Mercredi, parmi les modifications approuvées par le Conseil Mondial du sport automobile, il y avait la décision de réduire la quantité d’appui d’une F1.
Cette mesure est due à la décision de retarder l’introduction des nouveaux règlements techniques majeurs – qui auraient inclus un passage des pneus Pirelli de 13 pouces à 18 pouces – de 2021 à 2022.
Les pneus de 18 pouces ne pouvaient pas être utilisés, de sorte que les pneus de 13 pouces qui seront utilisés cette saison seront à nouveau nécessaires pour 2021, car la création d’une nouvelle famille de pneus de 13 pouces pour une seule saison aurait coûté très cher.
Mais le composé des pneus d’aujourd’hui, tels qu’ils ont été introduits en 2019, n’ont pas été conçus pour trois saisons de développement aérodynamique. .Il a donc été décidé que les niveaux d’appui devaient être ajustés pour correspondre aux pneus.
Pour ce faire, les décideurs ont choisi de « couper » le fond plat au niveau de la roue arrière, ce qui réduira la force d’appui et la maintiendra à un niveau dans les capacités des pneus actuels.
Les simulations suggèrent que les voitures ralentiront d’environ 0,5 s / tour – ce qui correspond à peu près au temps de tour qu’une équipe devrait gagner au cours de l’hiver – donc, en substance, les vitesses resteront les mêmes.
« La garniture de plancher est un moyen efficace pour nous de perdre un peu d’appui. » a déclaré Jason Somerville, chef de l’aérodynamique F1.
« Vous perdrez la force d’appui dans les virages à haute vitesse, une force d’appui élevée où les pneus sont les plus sollicités. C’est dans le genre de virages que nous voyons à Barcelone et à Spa, avec beaucoup de charge latérale. »
« Les équipes s’efforceront inévitablement de récupérer autant d’appuis que possible, mais en théorie, il est peu probable qu’elles dépassent leur niveau actuel. »
Alors que les points architecturaux clés de la voiture – tels que le châssis et la suspension – resteront fixes de 2020 à 2021, les parties de la voiture qui ajoutent des performances et une différenciation visuelle, telles que les ailerons avant et arrière, le diffuseur et les barge board peuvent toutes être développés de la même manière qu’ils le sont maintenant.
« Les voitures seront certainement différentes en 21 par rapport à 20, car toutes les équipes vont se développer et progresser. » a ajouté Somerville
Felipe Massa n’a pas été surpris d’apprendre que Sebastian Vettel allait quitter la Scuderia Ferrari à la fin de la saison 2020.
Le pilote brésilien, qui a disputé 139 Grands Prix pour la Scuderia Ferrari, assure qu’il n’a pas été surpris lorsqu’il a appris que Vettel et Ferrari allaient se séparer à la fin de l’année.
Felipe Massa estime que Sebastian Vettel a tout simplement eu l’envie de prendre une « direction différente » après presque six années passées à Maranello.
« Ce n’est pas une surprise [que Vettel parte de chez Ferrari]. Je pense que pour rester avec l’équipe, il doit être sûr à 100% de vouloir rester. » explique Felipe Massa.
« Mais l’équipe doit l’être aussi. Je pense qu’il est arrivé à un moment où il souhaite prendre une direction différente. »
« Donc, je ne suis pas surpris à ce sujet. Maintenant, est-ce qu’il restera en Formule 1 ou non, c’est une autre question. Je pense que Sebastian est un pilote toujours très concentré sur ce qu’il veut, et je ne serais même pas surpris s’il décidait de s’arrêter [en 2021]. »
« Je pense que définitivement dans sa position, il doit trouver une équipe qui lui donne l’opportunité de gagner, sinon, je ne suis pas sûr qu’il restera. »
« Sebastian avait une certaine pression à l’intérieur de l’équipe [avec Leclerc] et c’était peut-être aussi un facteur dans la décision que Ferrari a prise. »
Renault F1 a salué l’adoption des nouveaux règlements en F1 approuvés ce mercredi par le conseil mondial du sport automobile.
Le Conseil Mondial du Sport Automobile a approuvé par e-vote de nouvelles modifications des Règlements Sportif, Technique et Financier régissant le Championnat du Monde de Formule Un de la FIA destinées principalement à répondre à la nécessité de réduire les coûts et de préserver la discipline dans le contexte de la pandémie de COVID-19.
Suite à un premier accord qui visait à reporter à 2022 le Règlement Technique 2021 (ce qui a été approuvé par le Conseil Mondial le 30 mars 2020), d’autres amendements aux Règlements Sportif, Technique et Financier pour 2020, 2021 et 2022 ont reçu le soutien unanime des équipes de Formule Un et ont été ratifiés ce jour par le Conseil Mondial.
Renault F1 pour sa part a salué l’adoption de ces nouvelles règles et souligne des « réponses responsables et appropriées » aux défis à court terme et long terme en F1.
« Renault DP World F1 Team salue l’adoption du nouveau règlement par le FIA World Motor Sport Council, qui constitue des réponses responsables et appropriées aux défis à court et long terme de la Formule 1. » a indiqué l’équipe du constructeur français dans un communiqué.
« Ces décisions, soutenues à l’unanimité par des équipes aux stratégies très différentes, honorent le travail remarquable de la FIA et de la Formule 1 et renforceront la discipline sur le long terme. »
Rappelons que le constructeur Renault s’apprête à présenter ce vendredi un vaste plan d’économie d’environ 2 milliards d’euros.