Succès mondial pour F1 : The Movie, le film porté par Brad Pitt et Lewis Hamilton

La Formule 1 a révélé des chiffres impressionnants pour le lancement de F1 : The Movie, long-métrage centré sur l’univers de la F1, avec Brad Pitt en tête d’affiche et Lewis Hamilton parmi les producteurs.

Réalisé par Joseph Kosinski (Top Gun: Maverick) et produit par Jerry Bruckheimer, le film raconte le retour en piste de Sonny Hayes, un ancien pilote convaincu de reprendre le volant pour venir en aide à l’écurie fictive APX Grand Prix. Présenté en avant-première mondiale à New York, peu après le Grand Prix du Canada, le film a rassemblé de nombreuses figures du paddock, dont la majorité des pilotes actuels.

Sorti mondialement avant le Grand Prix d’Autriche, le film a généré 144 millions de dollars de recettes au box-office lors de son premier week-end d’exploitation, décrochant la première place dans plus de 3 600 salles à travers le monde, selon la F1.

Il s’agit du meilleur démarrage pour une production originale depuis la pandémie de COVID-19, et du plus grand lancement jamais enregistré par Apple Original Films. En dehors du marché nord-américain, F1 : The Movie est diffusé dans 78 pays, sur plus de 44 000 écrans.

Côté critiques, l’accueil est particulièrement positif : le site Rotten Tomatoes affiche un taux d’approbation de 97 % du public et 83 % de la part des critiques professionnels. Un démarrage tonitruant pour un projet cinématographique étroitement lié à l’univers de la Formule 1.

F1 2026 : un premier test hivernal à huis clos pour les nouvelles monoplaces

La Formule 1 a annoncé que l’un des trois essais hivernaux prévus avant la saison 2026 se déroulera à huis clos. Ce premier roulage, prévu du 26 au 30 janvier sur le circuit de Barcelone-Catalogne, sera organisé en toute confidentialité par les écuries, en marge des essais officiels encadrés par la FIA.

Ce test privé s’inscrit dans un contexte particulier : la saison 2026 marquera un tournant majeur pour la discipline avec l’introduction de nouvelles réglementations techniques, tant au niveau des moteurs que des châssis. Les équipes disposeront de trois jours de roulage sur les cinq alloués pour prendre en main ces monoplaces de nouvelle génération, sans la présence de médias, de caméras ni de photographes. Seul un chronométrage basique sera mis en place.

Cette première apparition des voitures 2026 se fera donc loin des regards, offrant aux écuries un environnement de travail discret pour aborder les premiers défis techniques de cette nouvelle ère.

Les deux autres séances d’essais, en revanche, seront ouvertes au public comme à l’accoutumée. Programmées sur le circuit international de Bahreïn du 11 au 13 février puis du 18 au 20 février, elles permettront aux équipes de finaliser leurs préparatifs avant le lancement officiel de la saison à Melbourne début mars.

F1 – 2026 : DATES DES ESSAIS PRÉ-SAISON

# Circuit DATES
1. Barcelone  26 janvier- 30 janvier
2. Bahrain 11 février- 13 février
3. Bahrain 18 février- 20 février

F1 – Le Grand Prix d’Azerbaïdjan 2026 avancé au samedi

La Formule 1 a officialisé une modification du calendrier 2026 : le Grand Prix d’Azerbaïdjan se déroulera finalement le samedi 26 septembre, soit un jour plus tôt que prévu. Ce changement répond à une demande des promoteurs locaux, en raison de la célébration du Jour du Souvenir dans le pays le 27 septembre.

Ce décalage entraîne une réorganisation complète du programme du week-end : les qualifications auront lieu le vendredi 25 septembre, les essais libres le jeudi 24, tandis que la journée dédiée aux médias est désormais fixée au mercredi 23.

Bakou deviendra ainsi l’un des deux seuls rendez-vous de la saison 2026 programmés un samedi à l’heure locale, aux côtés du Grand Prix de Las Vegas. Ce dernier avait déjà marqué un précédent en 2023, devenant la première course du championnat à se disputer un samedi depuis 1985. En 2024, les Grands Prix de Bahreïn et d’Arabie saoudite avaient également été avancés pour s’adapter au calendrier du ramadan.

Alpine – Paul Aron fera ses débuts en F1 avec Stake à Silverstone

Paul Aron, membre du programme junior d’Alpine, participera à son tout premier week-end de Formule 1 ce vendredi à Silverstone, où il prendra le volant d’une Stake Sauber lors de la première séance d’essais libres.

L’Estonien, actuellement engagé en Formule 2 avec l’équipe Hitech en 2024, remplacera Nico Hülkenberg le temps de la FP1. Bien qu’il reste officiellement affilié à Alpine, Aron occupe aujourd’hui le rôle de pilote de réserve pour l’écurie Stake, un poste qui lui permet désormais de prendre la piste dans le cadre d’une session officielle.

Cette apparition s’inscrit dans le cadre des obligations réglementaires imposant aux équipes d’aligner des débutants lors de deux séances d’essais libres au cours de la saison. Stake a déjà respecté deux de ces engagements via Gabriel Bortoleto en Australie et en Chine. Aron, quant à lui, bénéficiera d’une deuxième opportunité avant la trêve estivale, avec une nouvelle participation prévue au Grand Prix de Hongrie.

L’annonce intervient alors que Stake sort d’un week-end fructueux en Autriche, avec un double top 10 pour la première fois depuis le Grand Prix du Qatar 2023. Gabriel Bortoleto a signé ses premiers points en F1 avec une huitième place, tandis que Nico Hülkenberg a terminé neuvième. De son côté, Paul Aron pourrait bien récupérer le baquet de Franco Colapinto, si ce dernier ne parvient pas à convaincre chez Alpine

F1 – Graeme Lowdon prévient : Cadillac pourrait faire grincer des dents en 2026

Alors que Cadillac s’apprête à faire ses débuts en Formule 1 en 2026, Graeme Lowdon, directeur de l’équipe, estime que certains concurrents bien établis pourraient ne pas apprécier une éventuelle réussite rapide du nouveau venu. Selon lui, « les patrons des autres équipes seront furieux » si Cadillac parvient à devancer des écuries historiques dès sa première saison.

Après deux ans d’un processus d’admission lancé par la FIA début 2023, la Formule 1 a finalement validé l’arrivée d’une 11e équipe au championnat du monde, avec une entrée en lice prévue pour le Grand Prix d’Australie en mars prochain. La première tentative portée par Michael Andretti avait été rejetée. Ce n’est qu’après son retrait de la direction d’Andretti Global que le projet, soutenu par General Motors et TWG Motorsports sous la houlette de Dan Towriss, a été accepté.

Depuis l’approbation, Cadillac a activement structuré son organisation. L’équipe répartit actuellement ses activités sur quatre sites : dans l’Indiana, à North Charlotte, dans le Michigan, et à Silverstone. Ce dernier regroupe six unités, non loin du siège flambant neuf d’Aston Martin. À terme, Silverstone accueillera les départements techniques, la logistique, la production et un atelier d’usinage. Par ailleurs, Cadillac s’appuiera sur la soufflerie Toyota de Cologne pour le développement aérodynamique.

Malgré cette mise en place ambitieuse, Lowdon tempère les attentes. Il rappelle que la première saison sera avant tout un défi logistique et opérationnel, dans un environnement très concurrentiel. « Il est toujours difficile d’obtenir des résultats immédiats avec une structure aussi complexe », explique-t-il, tout en laissant entendre que l’irruption d’un nouvel acteur performant pourrait ne pas plaire à tout le monde dans le paddock.

« Nous avons discuté avec nos actionnaires pour définir nos attentes », a déclaré Lowdon aux médias. « La façon la plus simple de leur expliquer, c’est d’imaginer que vous possédez une écurie de Formule 1 depuis 10 ans, et qu’une autre écurie débarque et vous bat. Vous seriez furieux, vous seriez très énervé. Il faut donc partir du principe que toute nouvelle équipe qui arrive sera dernière, sinon c’est qu’il y a un problème ailleurs. Et dans une large mesure, c’est la seule façon d’aborder les choses.
Que cherchons-nous à faire ? Nous voulons être aussi compétitifs que possible, et nous sommes réalistes. Nous savons à quel point c’est difficile. Vous avez vu les délais. Ils sont extrêmement courts. Nous n’avons aucune idée pour le moment, absolument aucune, de l’endroit où nous en sommes. Nous voyons les chiffres. Nous sommes satisfaits de nos progrès, mais nous ne savons tout simplement pas, si ce n’est que si nous battons quelqu’un, quelqu’un d’autre sera en colère. »

GP d’Autriche : Liam Lawson signe un résultat historique pour la Nouvelle-Zélande

Liam Lawson a mis un terme à près d’un demi-siècle d’attente pour la Nouvelle-Zélande en décrochant une sixième place précieuse au Grand Prix d’Autriche. Il s’agit du meilleur résultat d’un pilote néo-zélandais en Formule 1 depuis la cinquième place de Chris Amon au Grand Prix d’Espagne en 1976.

Auteur de la meilleure performance de sa jeune carrière — qui compte désormais 22 départs — Lawson a profité du chaos du premier tour, marqué par un accrochage entre Max Verstappen et Kimi Antonelli, pour conserver la position depuis laquelle il s’élançait sur la grille. Cette performance vient récompenser une période qu’il a qualifiée lui-même d’« incroyablement difficile ».

Interrogé après la course, le pilote Kiwi n’a pas caché sa surprise à l’évocation de cette statistique. « Vraiment ? C’est génial », a-t-il réagi, visiblement ému. « C’est évidemment formidable pour la Nouvelle-Zélande. Quelques Kiwis arrivent et j’espère que d’autres suivront en Formule 1. »

Déjà auteur d’une huitième place à Monaco, Lawson a toutefois laissé entendre que ce résultat au Red Bull Ring avait une portée bien plus significative, tant sur le plan personnel que national.

« Ça a été une année incroyablement difficile, une année très difficile avec beaucoup d’évènements », a déclaré Lawson, qui a été rétrogradé par Red Bull après deux Grands Prix et est retourné dans l’équipe « junior ».

« Je suis arrivé en F1, j’ai disputé quelques courses, et la plupart se sont très bien passées. Parfois, vous pouvez avoir toute la confiance et la vitesse du monde, mais ça ne marche pas, et c’est ce que j’ai ressenti cette année. C’est donc incroyable d’avoir enfin obtenu un résultat, mais nous devons continuer sur cette lancée. »

F1 : le Grand Prix d’Autriche prolongé jusqu’en 2041

La Formule 1 a officialisé la prolongation du Grand Prix d’Autriche, assurant sa présence au calendrier jusqu’à la fin de la saison 2041. L’annonce a été faite à la veille de l’édition 2025, consolidant l’avenir du Red Bull Ring sur la scène mondiale pour au moins 15 années supplémentaires.

Présent pour la première fois en 1970 sous le nom d’Österreichring, le circuit a connu une longue pause après son retrait en 2003. Il a réintégré le championnat en 2014, porté par la volonté du cofondateur de Red Bull, Dietrich Mateschitz, de redonner vie à l’épreuve. Depuis, le tracé autrichien est devenu un rendez-vous incontournable du championnat, apprécié autant par les pilotes que par les spectateurs.

Ce nouvel accord vient renforcer la stabilité du calendrier à long terme, tout en soulignant l’importance stratégique de l’Autriche dans le paysage de la F1 moderne.

« L’Autriche est depuis longtemps une course très spéciale pour la Formule 1, c’est donc fantastique d’avoir assuré l’avenir à long terme d’un Grand Prix si profondément ancré dans l’histoire de ce sport », a déclaré Stefano Domenicali, PDG de la F1. « La vision et la passion de Dietrich Mateschitz ont apporté à la course les investissements et l’attention qui lui ont permis de revenir comme un événement incroyable dans le calendrier de la Formule 1. Chaque année, le retour dans les magnifiques montagnes de Styrie est un moment fort, une expérience qui suscite une émotion incroyable chez nos pilotes, nos équipes et nos fans, créant une atmosphère unique. Je tiens à remercier sincèrement Mark Mateschitz et Thomas Überall ainsi que son équipe pour leur dévouement sans faille à l’excellence, ainsi que nos incroyables fans autrichiens, dont l’enthousiasme et la loyauté continuent de rehausser cette course emblématique. »

Valtteri Bottas en piste pour un retour en F1 chez Alpine ?

Valtteri Bottas pourrait effectuer un retour inattendu en Formule 1 dès cette saison, Alpine envisageant de modifier une nouvelle fois son duo de pilotes en cours d’année. Selon The Race, Flavio Briatore, conseiller exécutif de l’écurie française, aurait récemment sondé Mercedes pour connaître la disponibilité du pilote finlandais.

En grande difficulté au classement constructeurs, Alpine n’a inscrit aucun point en 2025, que ce soit avec Jack Doohan ou Franco Colapinto. Doohan a été écarté après six courses, remplacé par Colapinto, engagé pour un programme initial de cinq Grands Prix. Le jeune Argentin devrait encore être aligné ce week-end à Silverstone, mais son avenir semble incertain, l’équipe évaluant ses performances « course après course ». Chez Alpine, seul Pierre Gasly est parvenu à placer sa monoplace dans la zone des points (11 pts).

Bottas, sans volant cette saison après son départ de Sauber, a retrouvé un rôle de pilote de réserve chez Mercedes. Présent régulièrement dans le paddock, il joue notamment un rôle de mentor auprès du jeune Kimi Antonelli. Le Finlandais a exprimé à plusieurs reprises son souhait de retrouver un baquet en F1, son nom étant également associé au projet Cadillac, qui fera son entrée sur la grille en 2026.

Selon Autosport, Bottas serait même le favori pour mener la future écurie américaine, qui n’a pas encore dévoilé ses intentions pour la saison 2025. Cadillac pourrait opter pour l’expérience en confiant son premier siège à Bottas, tandis que Sergio Perez et Felipe Drugovich seraient en lice pour l’accompagner.

En attendant 2026, un passage par Alpine dès cet été pourrait offrir à Bottas l’opportunité de se relancer au plus haut niveau.

F1 2026 : Yuki Tsunoda parmi les options envisageables de Cadillac

À l’approche de l’entrée de Cadillac en Formule 1 en 2026, Yuki Tsunoda figure désormais parmi les pilotes envisagés pour intégrer l’écurie américaine, selon les informations de RacingNews365. Actuellement chez Red Bull, le pilote japonais s’ajoute à une liste de candidats que Cadillac évalue dans le cadre de la composition de son futur duo.

Initialement évoqué dans le cadre d’un rapprochement avec Aston Martin, Tsunoda a vu cette piste s’éloigner, malgré l’arrivée prochaine de Honda en tant que motoriste officiel. La présence de Fernando Alonso et Lance Stroll, tous deux sous contrat pour la saison prochaine, rendait improbable une place de titulaire, le contraignant potentiellement à un rôle de réserviste.

Dans ce contexte, Cadillac semble vouloir accélérer ses démarches. Le Grand Prix de Grande-Bretagne pourrait jouer un rôle clé dans le processus, avec la venue de plusieurs représentants américains à Silverstone pour échanger avec différents profils. Sergio Perez, actuellement en discussions avec la structure, fait partie des pilotes suivis de près, tout comme Valtteri Bottas, qui a ironisé sur la situation dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, évoquant deux sièges… dans une voiture de route Cadillac.

Outre Tsunoda, les noms de Felipe Drugovich, Zhou Guanyu, Jak Crawford et Jack Doohan circulent également dans le paddock. Reste à savoir si Cadillac optera pour un duo d’expérience ou pour un équilibre entre un pilote confirmé et une jeune recrue — une stratégie adoptée par Audi, qui a récemment officialisé Nico Hülkenberg aux côtés du champion de F2 Gabriel Bortoleto.

Avec l’arrivée d’une 11e écurie sur la grille, les options se multiplient, mais les intentions réelles de Cadillac quant à son casting restent encore à préciser.

Pour Helmut Marko, « le championnat est terminé » pour Verstappen après l’abandon en Autriche

Helmut Marko n’a pas mâché ses mots après l’abandon de Max Verstappen au Grand Prix d’Autriche. Le conseiller sportif de Red Bull a estimé que « le championnat est terminé » pour le Néerlandais, contraint à l’abandon dès le premier tour à Spielberg.

Parti de la septième position, le quadruple champion du monde a été victime d’un accrochage dans le virage n°3, percuté par Kimi Antonelli, qui a perdu le contrôle de sa Mercedes sur une phase de freinage. Les deux pilotes ont été contraints à l’abandon, et le jeune Italien a écopé d’une pénalité de trois places sur la grille pour la prochaine course à Silverstone, malgré des excuses adressées rapidement à Verstappen.

Marko a exprimé sa frustration face à un incident qui, selon lui, a ruiné les espoirs d’un podium. Les données internes de Red Bull laissaient en effet entrevoir une possible remontée vers le top 3, bien que McLaren ait semblé intouchable.

Pour l’écurie autrichienne, ce Grand Prix à domicile s’est conclu sur une note amère, Yuki Tsunoda, seul représentant à l’arrivée, ne faisant pas mieux qu’une 16e place. Un résultat qualifié de désastreux par Marko, visiblement agacé par le scénario du week-end.

« Max a pris un bon départ », a déclaré Marko à Sky DE. « Kimi est sorti de nulle part et nous a percutés avec ses roues bloquées. L’analyse montre que nous aurions pu nous battre pour le podium. Mercedes n’était pas rapide et les Ferrari n’étaient pas vraiment impressionnantes non plus. McLaren était hors de portée. Vous ne les avez pas revus, mais comme je l’ai dit, un podium aurait été possible. Au départ, vous pouvez prendre des risques et vous devez vous préparer à ce que quelqu’un derrière vous fasse une bêtise. »

L’abandon de Verstappen était son premier depuis le Grand Prix d’Australie 2024 et a été considérablement aggravé par la victoire de Lando Norris. En conséquence, le quadruple champion du monde se retrouve à 61 points derrière Oscar Piastri au classement général, ce qui convainc Marko que la quête d’un cinquième titre consécutif est terminée.

« C’est un jour noir », a admis l’homme de 82 ans. « L’écart est presque impossible à combler. Si rien de spécial ne se produit, nous devons considérer que le championnat est terminé. »

Kimi Antonelli pénalisé de trois places sur la grille à Silverstone après un accrochage avec Verstappen

Kimi Antonelli devra reculer de trois positions sur la grille de départ du Grand Prix de Grande-Bretagne, sanction infligée à la suite de son accrochage avec Max Verstappen lors de l’épreuve en Autriche.

Au départ du Grand Prix d’Autriche, le jeune pilote Mercedes a perdu le contrôle de sa monoplace dans la zone de freinage du virage n°3, percutant l’arrière de la Red Bull de Verstappen. Les commissaires ont estimé qu’Antonelli était responsable de la collision et lui ont donné une pénalité de trois places sur la grille pour la prochaine course, ainsi que deux points de pénalité sur sa super licence.

Ce nouvel incident vient s’ajouter à une mauvaise dynamique, malgré un podium au Canada. Antonelli abordera ainsi le rendez-vous de Silverstone sous pression, avec l’obligation de rebondir.

Expliquant leur décision, les commissaires ont déclaré : « Le pilote de la voiture n° 12 a bloqué les freins arrière dans le virage n° 3 et est entré en collision avec la voiture n° 1. Lors de l’audience, le pilote a admis avoir commis une erreur en bloquant les roues arrière alors qu’il utilisait son point de freinage habituel, mais il a également souligné qu’il devait éviter une collision avec la voiture n° 30 devant lui et qu’il avait relâché les freins pendant un court instant pour y parvenir. Cette manœuvre d’évitement a réduit l’adhérence de la voiture sur la ligne intérieure sale, l’empêchant ainsi de ralentir suffisamment pour éviter la collision avec la voiture n° 1. Les commissaires ont déterminé que, bien que l’incident se soit produit dans le premier tour, aucune autre voiture n’a influencé l’incident et que le pilote de la voiture n° 12 est entièrement responsable. Par conséquent, l’approche plus indulgente adoptée pour juger les incidents survenus au premier tour n’a pas été appliquée dans ce cas. Cependant, ils reconnaissent également que l’incident n’était pas une tentative flagrante de plonger dans le virage, mais plutôt le résultat d’une manœuvre d’évitement après un blocage des roues. Le pilote n’ayant pas pu poursuivre la course, une pénalité sur la grille de départ de la prochaine course lui est infligée. »

Franco Colapinto sous pression chez Alpine après un week-end difficile en Autriche

La situation de Franco Colapinto chez Alpine semble s’être brusquement tendue lors du Grand Prix d’Autriche. Si sa position paraissait jusque-là relativement stable, le ton a changé au cours du week-end disputé sur le Red Bull Ring.

Le pilote argentin de 22 ans avait initialement été engagé pour un programme de cinq courses, fixé par Flavio Briatore, récemment nommé directeur d’équipe après le départ d’Oliver Oakes. Briatore avait par la suite minimisé la portée de cette limite, semblant accorder plus de temps à Colapinto pour faire ses preuves.

Mais à l’issue de ces cinq épreuves, conclues en Autriche, Alpine aurait signifié à Colapinto et à son entourage qu’il devait désormais élever son niveau de performance. Jusqu’ici, l’équipe ne se serait pas montrée pleinement convaincue par le rythme affiché par le jeune pilote.

En qualifications, Colapinto s’est classé 14e, après une 12e place sur la grille au Canada deux semaines plus tôt. Il a toutefois accusé un retard d’un quart de seconde sur son coéquipier Pierre Gasly en Q1, ce dernier atteignant ensuite la Q3 pour s’élancer en 10e position.

La course s’est révélée difficile : Colapinto a terminé 15e, avec un tour de retard, seul Yuki Tsunoda terminant derrière lui parmi les pilotes classés. Une pénalité de cinq secondes lui a en outre été infligée pour avoir envoyé Oscar Piastri hors de la piste, sans impact sur son classement final mais ajoutant un accroc supplémentaire à son week-end.

À l’issue de l’épreuve, son futur reste flou, mais la pression autour du pilote argentin semble désormais comparable à celle qui pesait sur Jack Doohan avant son éviction.

Colapinto a d’abord minimisé sa performance en course. « L’équipe et moi-même nous concentrons sur l’amélioration de la voiture », a-t-il déclaré aux médias. « Nous avons semblé un peu en retrait aujourd’hui, et nous devons simplement progresser. La voiture est un peu difficile à piloter pour moi en ce moment. Elle n’est pas très régulière. Elle est rapide, mais elle ne m’a pas donné la confiance dont j’avais besoin pour pousser à grande vitesse ici. Ce fut un week-end difficile. Dans l’ensemble, nous avons fait quelques progrès, mais j’ai l’impression qu’il manquait quelque chose. »

Interrogé sur ses éventuelles inquiétudes quant à un changement de la part de Briatore, il a répondu : « Je ne suis pas vraiment inquiet. Je pense qu’il m’a beaucoup soutenu et qu’il a confiance dans la décision qu’il a prise. »

Max Verstappen entretient le flou sur son avenir chez Red Bull après 2026

Max Verstappen n’a pas souhaité confirmer s’il resterait chez Red Bull en 2026, entretenant ainsi les spéculations sur son avenir malgré un contrat en vigueur jusqu’à fin 2028. Si son engagement contractuel semble clair, l’avenir à long terme du pilote néerlandais reste sujet à de nombreuses interrogations.

Courtisé par plusieurs écuries, dont Mercedes et Aston Martin, le quadruple champion du monde garde toutes les portes ouvertes. Récemment devenu père, il n’exclurait pas non plus une pause dans sa carrière, voire une retraite anticipée.

Chez Mercedes, George Russell a suggéré que le retard dans la prolongation de son propre contrat pourrait être lié à l’intérêt persistant de son équipe pour Verstappen. Le directeur de l’écurie allemande, Toto Wolff, n’a jamais caché son admiration pour le pilote Red Bull.

Déjà interrogé en 2024 sur sa présence chez Red Bull en 2025, Verstappen avait alors confirmé son engagement, malgré les tensions internes qui ont marqué le début de saison, notamment entre Christian Horner et Jos Verstappen.

Plus récemment, Helmut Marko a déclaré que le Néerlandais resterait en 2026, première année de la nouvelle réglementation technique. Mais lorsque la question lui a été posée directement, Verstappen s’est abstenu de toute confirmation explicite, laissant planer le doute sur ses intentions au-delà de la saison prochaine.

« On m’a déjà posé cette question », a déclaré Verstappen aux médias, lorsqu’on lui a simplement demandé s’il piloterait pour Red Bull en 2026. « Je ne pense pas que nous ayons besoin d’en parler. Je ne sais pas, voulez-vous que je répète ce que j’ai dit l’année dernière ? Je ne sais pas. C’est la même réponse. Je ne me souviens même pas de ce que j’ai dit l’année dernière, vraiment. Mais encore une fois, ce n’est pas vraiment dans mes pensées. Je me contente de bien piloter, d’essayer d’améliorer mes performances, puis nous nous concentrons sur l’année prochaine. »

En ce qui concerne 2026, Verstappen estime que la décision de Red Bull de commencer à se concentrer sur la révision imminente du règlement est la bonne.

« Je pense que les équipes se concentrent déjà sur 2026, donc vous allez essayer de tirer un peu plus de performances de cette voiture », a-t-il expliqué. « Les étapes à venir sont déjà planifiées depuis un certain temps, mais en même temps, 2026 est une grande opportunité de bien faire les choses. D’après ce que j’ai vu et entendu, c’est la bonne approche de la part de l’équipe. »

Sondage – Quel pilote signera la pole position du Grand Prix d’Autriche 2025 ?

L’Autriche et son circuit de Spielberg accueillent ce weekend la onzième manche du Championnat de F1. Oscar Piastri arrive en position de leader du Championnat, devant Lando Norris et Max Verstappen. Toutefois, la dernière course a été remportée d’une main de maître par George Russell (Mercedes), à l’occasion du Grand Prix du Canada. Pour rappel, l’édition précédente du Grand Prix d’Autriche a elle aussi été remportée par George Russell, il avait devancé Oscar Piastri (McLaren) et Carlos Sainz (Ferrari). Lors de cette course, Lando Norris et Max Verstappen s’étaient accrochés, le premier d’une longue série.

La saison passée, Max Verstappen avait signé le meilleur temps des qualifications devant Lando Norris, George Russell et Carlos Sainz. Mais cette année, Oscar Piastri est régulièrement le plus rapide le samedi (4 pole) devant Max Verstappen (3 pole) et Lando Norris (2 pole).

F1 : la FIA publie des lignes directrices pour encadrer les décisions des commissaires

ans une démarche visant à renforcer la transparence et l’uniformité des décisions prises en cas d’incidents sur la piste, la Fédération Internationale de l’Automobile (FIA) a rendu publics deux documents destinés à guider les commissaires lors des Grands Prix.

Le premier texte recense les recommandations concernant l’application des pénalités de temps et des points de pénalité. Il présente un éventail de scénarios susceptibles de se produire au cours d’un week-end de course, en précisant les sanctions associées selon qu’il s’agisse des essais libres, des qualifications ou de la course.

Le second document s’intéresse aux normes de conduite attendues des pilotes. Comme pour les barèmes de sanctions, la FIA insiste sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un règlement officiel, certaines situations nécessitant une appréciation au cas par cas.

Ces lignes directrices ont été élaborées à la demande des pilotes, en concertation avec la Commission des pilotes de la FIA, les équipes et les principaux intéressés. La FIA prévoit par ailleurs d’apporter d’autres ajustements dans les mois à venir, poursuivant ainsi son dialogue avec les acteurs de la Formule 1.

 
 
 
 
 
Voir cette publication sur Instagram
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Une publication partagée par FIA – Official account (@fia.official)

« Une plus grande transparence dans la gouvernance de notre sport est une question importante et il s’agit d’une mesure utile dans cette direction », a déclaré George Russell, directeur de l’Association des pilotes de Grand Prix.

« Nous espérons que cela sera bénéfique pour le sport, car cela permettra aux médias et aux fans de mieux comprendre les règles d’engagement lorsque nous courons sur la piste, et les aidera à comprendre comment les commissaires prennent leurs décisions. »

Les directives relatives aux pénalités et aux points de pénalité peuvent être consultées ici.

Le document relatif aux directives en matière de normes de conduite peut être consulté ici.

Red Bull mise sur une évolution décisive dès le Grand Prix d’Autriche

Red Bull prévoit d’introduire une série d’améliorations techniques à l’occasion du Grand Prix d’Autriche, avant de peaufiner ces évolutions une semaine plus tard à Silverstone. Un calendrier stratégique confirmé par Helmut Marko, conseiller de l’écurie, qui estime que ces changements seront déterminants dans la course au titre pour Max Verstappen.

Actuellement troisième au classement des pilotes, le Néerlandais se trouve derrière les deux McLaren d’Oscar Piastri et Lando Norris. L’équipe britannique domine pour l’instant la saison, avec sept victoires sur les dix premières manches.

Consciente de l’écart à combler, Red Bull entend réagir rapidement. Selon Marko, les ajustements à venir sont essentiels pour relancer la dynamique et remettre Verstappen en position de force au championnat.

« Nous allons bénéficier d’une mise à jour pour l’Autriche, qui sera ensuite affinée pour Silverstone », a déclaré Marko au journal Kleine Zeitung. « Mais si cela ne fonctionne pas, les choses vont se compliquer dans le championnat du monde. Et ce n’est pas comme si la situation n’était pas déjà assez difficile. »

Red Bull a remporté deux victoires cette année, Verstappen s’imposant à Suzuka et à Imola. 

« Max Verstappen a gagné quatre fois ici, ce circuit lui convient bien », a souligné Marko. « Les pneus sont cruciaux, nous ne sommes pas les seuls à avoir des difficultés, tout le monde sauf McLaren. »

Bien que Marko estime que l’écart entre Red Bull et McLaren est de trois dixièmes de seconde, il ne considère pas cela comme un déficit insurmontable.

« Nous sommes actuellement trois dixièmes derrière McLaren, mais dans une fenêtre de travail beaucoup plus réduite, ce qui rend la tâche encore plus difficile », a déclaré Marko. « McLaren essaie également de nouvelles choses, même si le nouvel aileron avant n’a pas fonctionné pendant longtemps lors des essais à Montréal, et Lando Norris était très rapide en course avant de commettre à nouveau des erreurs. Il n’est donc pas impossible de rattraper ces trois dixièmes. Mais si c’est le cas, cela doit se faire maintenant. »

F1 – Cadillac 2026 : Mika Salo favorable à Bottas, réservé sur Perez

Alors que Cadillac prépare activement son entrée en Formule 1 pour la saison 2026, les spéculations vont bon train concernant l’identité de ses futurs pilotes. Parmi les noms avancés figure celui de Valtteri Bottas, dont la récente publication humoristique sur les réseaux sociaux a ravivé l’intérêt pour un retour en piste. Un média britannique a même placé le Finlandais en tête de liste pour l’un des deux baquets de la future onzième écurie du plateau.

Mika Salo, ancien pilote de F1 et compatriote de Bottas, a estimé que le choix de Cadillac pourrait être judicieux. « C’est une nouvelle équipe, donc l’expérience est précieuse. Valtteri a acquis une solide expérience chez Mercedes », a-t-il confié au journal Ilta Sanomat. Salo souligne également que Bottas a désormais le recul nécessaire pour apporter une vision stratégique à un projet naissant.

« Un pilote expérimenté peut non seulement transmettre ses compétences, mais aussi guider l’équipe sur les recrutements à envisager », a poursuivi l’ancien pilote Ferrari et Toyota. Il considère que le style direct et pragmatique des pilotes finlandais correspondrait bien à la culture d’une écurie en construction.

Cadillac souhaiterait associer un pilote chevronné à un jeune talent, idéalement américain, issu du championnat local. Sergio Perez, dont l’avenir en Formule 1 reste incertain après son départ de Red Bull en 2024, figure aussi parmi les candidats évoqués. Dans une récente interview à Desde El Paddock, le Mexicain a reconnu que Red Bull « regrettait probablement » la façon dont leur collaboration s’était terminée, tout en soulignant que « c’est ainsi que fonctionne ce sport ».

Soutenu par le conglomérat du milliardaire Carlos Slim et désormais représenté par Khalil Beschir, Perez a confirmé être en discussion avec plusieurs équipes pour 2026, sans toutefois donner de précision : « Les choses avancent, mais il est encore trop tôt pour prendre une décision. »

Mika Salo, lui, reste sceptique sur cette piste : « Je ne pense pas que Perez soit un bon choix pour Cadillac. Je privilégierais deux pilotes européens expérimentés plus constants. Et si cela n’est pas possible, un jeune prometteur capable d’apprendre aux côtés d’un leader. »

Helmut Marko sceptique sur l’avance supposée de Mercedes en vue de 2026

Alors que la Formule 1 se prépare à un bouleversement réglementaire majeur en 2026, Helmut Marko, conseiller spécial chez Red Bull, remet en question les spéculations selon lesquelles Mercedes serait en position de force dans le développement de la future motorisation.

La F1 va en effet connaître une refonte technique d’ampleur, avec une nouvelle génération de châssis et de groupes motopropulseurs. Ces derniers devront produire 50 % de leur puissance à partir de sources électriques, dans un système hybride désormais dépourvu du MGU-H.

Mercedes, perçue par beaucoup comme la mieux placée dans la course au développement – à l’image de son avance lors de l’introduction des V6 turbo-hybrides en 2014 – est citée comme favorite. Une position qu’Helmut Marko conteste ouvertement.

Dans un entretien accordé au quotidien Kleine Zeitung, le dirigeant autrichien a déclaré qu’« il n’existe à ce jour aucune preuve concrète » permettant d’affirmer que Mercedes disposera du meilleur moteur sous le nouveau règlement. Red Bull Powertrains, engagé dans son propre programme moteur en collaboration avec Ford, poursuit de son côté le développement de son unité de puissance 2026.

« Mercedes s’est déclarée favorite, mais rien ne le prouve. Le développement du moteur à combustion à lui seul est incroyable. Le moteur est plus petit que celui de ma tondeuse à gazon ! »

Interrogé sur l’état d’avancement du premier programme de moteur interne de Red Bull, pour lequel il collabore avec le constructeur automobile américain Ford, Marko a ajouté : « Il y a trois ou quatre éléments importants pour la nouvelle voiture : le moteur à combustion. Nous sommes d’accord là-dessus, et à moins qu’il n’y ait des problèmes de durabilité, cela ne changera pas la donne. La batterie est cruciale ; nous commençons par une solution conventionnelle, et l’essence est un facteur très important. Le développement dans ce domaine se passe très bien avec notre partenaire Exxon. »

Découvrez le calendrier officiel de la saison Formule E 2025/2026

Un calendrier de 18 courses qui débutera en 2025 et se poursuivra jusqu’en 2026, le plus important de l’histoire du Championnat du monde ABB FIA Formula E, attend les concurrents qui prenront part à ce qui sera la douzième saison d’existence du championnat de monoplaces 100% électriques.

Le calendrier provisoire de la saison 12 est désormais disponible et ratifié par la Fédération Internationale de l’Automobile. Alors que la lutte pour le titre bat son plein, jetons un coup d’œil à ce qui nous attend en 2025 et 2026.

Un calendrier record

Avec 18 courses, il s’agit-là du calendrier le plus chargé à ce jour. La Formule E fait le tour du monde avec de nouveaux circuits et le retour de circuits non urbains pour offrir des courses 100 % électriques différentes.

Le calendrier a été planifié et élaboré de manière à regrouper les sites de course par continent afin de réduire le transport de marchandises et les émissions de CO2 et d’optimiser l’efficacité dans toutes les régions, et véhiculer un message cohérent avec les valeurs et le message marketing régulièrement adressés par les promoteurs du championnat.

Le calendrier Formule E 2025/2026

06
Dec
R1 São Paulo
10
Jan
R2 Mexico City
31
Jan
R3 Miami
13
Feb
R4 Jeddah
14
Feb
R5 Jeddah
21
Mar
R6 Madrid
02
May
R7 Berlin
03
May
R8 Berlin
16
May
R9 Monaco
17
May
R10 Monaco
30
May
R11
20
Jun
R12
04
Jul
R13 Shanghai
05
Jul
R14 Shanghai
25
Jul
R15 Tokyo
26
Jul
R16 Tokyo
15
Aug
R17 London
16
Aug
R18 London

Rosberg imagine d’éventuels échanges entre Verstappen et Mercedes

Nico Rosberg estime que des discussions pourraient avoir lieu en coulisses entre Max Verstappen et Mercedes, malgré la probable prolongation de George Russell au sein de l’écurie de Brackley. Le champion du monde 2016 n’écarte pas l’idée que l’équipe allemande puisse toujours être à l’affût d’une opportunité, en particulier si Verstappen devenait disponible.

Russell, auteur d’une saison solide jusqu’à présent, semble conforter sa position en tant que pilier de l’écurie. Toutefois, les rumeurs d’un intérêt persistant de Mercedes pour le quadruple champion du monde alimentent les spéculations. Le directeur de l’équipe, Toto Wolff, avait déjà tenté d’attirer Verstappen au début de sa carrière, avant que le Néerlandais ne rejoigne Red Bull via Toro Rosso en 2015.

Depuis, Verstappen s’est imposé comme une référence du plateau, et bien que sous contrat avec Red Bull jusqu’à fin 2028, son avenir continue d’attiser les convoitises. Avec l’émergence prometteuse du jeune Kimi Antonelli dans les rangs de Mercedes, c’est potentiellement George Russell qui pourrait voir sa place remise en question si une opportunité liée à Verstappen se présentait.

« Red Bull n’est pas stupide », a déclaré Rosberg à Sky Germany. « Ils ont payé une fortune à Max et l’ont engagé pour plusieurs années. Je ne pense pas qu’il puisse simplement s’enfuir. Mais on ne peut pas le forcer à rester. S’il veut partir, il faudra l’accepter à un moment donné. »

Si Russell, qui a rejoint l’équipe en 2022 et dont le contrat expire à la fin de l’année, ne semble pas préoccupé par l’absence de prolongation de son contrat actuel, Rosberg pense toutefois que Wolff pourrait employer une tactique dilatoire.

« D’un autre côté, il y a aussi la situation de George Russell chez Mercedes », a-t-il déclaré. « Il y a un certain retard, car Toto Wolff devrait en fait le signer maintenant. C’est son pilote numéro un, ses performances cette saison sont à nouveau exceptionnelles. Il y a peut-être des discussions en coulisses avec le camp Verstappen. »