Toto Wolff est bien heureux de voir Sebastian Vettel continuer en F1

L’actuel directeur de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, considère que la signature de Sebastian Vettel chez Aston Martin à partir de la saison prochaine ne peut être que bénéfique pour la F1.

Après six années passées chez Ferrari, le quadruple champion du monde Sebastian Vettel rejoindra l’équipe d’usine Aston Martin en 2021 et fera équipe avec le Canadien Lance Stroll.

Le patron de Mercedes a souligné l’importance de voir continuer le pilote allemand en catégorie reine l’année prochaine.

« J’ai des parts dans Aston Martin, donc à cet égard, c’est quelque chose de formidable. » a commenté Wolff, cité par le média allemand TZ.

« Si réellement il avait quitté la Formule 1, la F1 aurait perdu des spectateurs en Allemagne et c’est un marché très important pour le sport. »

« Seb est le second pilote le plus titré de la décennie. Il est donc important que quelqu’un comme Sebastian, qui est dans la fleur de l’age, ne quitte pas la Formule 1. Il apportera également une quantité importante de connaissance à Aston Martin. »

Toto Wolff – qui a acquis moins d’un pour cent du capital d’Aston Martin Lagonda [maison mère d’Aston Martin] – a assuré qu’il n’aurait aucune influence sur les activités opérationnelles de la nouvelle équipe de course.

Toto Wolff détenait auparavant une participation à hauteur de 16% chez Williams, mais l’a vendu après avoir rejoint l’équipe Mercedes où il détient 30%.

L’Autrichien a récemment déclaré qu’il continuerait avec Mercedes l’an prochain, mais qu’il pourrait réévaluer son rôle au sein de l’organisation.

En F1, les contrôles ne sont plus aussi simples qu’à l’époque des V8

Au cours des dernières semaines, la suppression des modes moteur en F1 a été un sujet largement couvert par les médias et cette interdiction est entrée en vigueur à partir de la séance de qualifications du Grand Prix d’Italie à Monza.

Le directeur technique de la FIA, Nikolas Tombazis, est revenu un peu plus en détail sur les raisons qui ont poussé la Fédération à bannir les modes moteur en qualifications et en course.

« Malheureusement, ce n’est plus aussi simple qu’à l’époque des moteurs V8. » explique Nikolas Tombazis à nos confrères d’AMUS.

« A l’époque, il suffisait de s’assurer que la vitesse maximale était respectée, que les dimensions du moteur étaient correctes ou que les spécifications de carburant étaient conformes aux règles. »

« Le problème avec les unités de puissance actuelles est que le matériel peut être parfaitement légal, mais il est toujours possible de le faire fonctionner illégalement. »

« C’est pour cela que nous devons surveiller en permanence d’innombrables paramètres via le logiciel, les signaux et les messages des capteurs pendant la conduite. »

« Si un pilote modifie les paramètres du moteur à chaque tour, il devient difficile de vérifier régulièrement le fonctionnement du moteur à chaque tour pour vérifier le respect des règles, surtout dans des moments spéciaux, par exemple le tour avant ou après un arrêt au stand ou lors d’un dépassement. »

Nikolas Tombazis donne alors un exemple très précis : « Nous avons limité la consommation d’huile à 0,3 litres au 100 kilomètres afin d’éviter que l’huile soit utilisée dans le processus de combustion. »

« Nous ne mesurons pas cette consommation sur toute la distance [de la course] mais après chaque tour. »

« Il est interdit de la dépasser durant une courte période. Si vous passez d’un réglage moteur à l’autre, il devient alors extrêmement difficile de suivre la consommation d’huile à tout moment et c’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons publié cette directive technique. »

Des contrôles à l’improviste

Récemment, la FIA a « fait une descente » pour vérifier la conformité des systèmes ERS de Ferrari, Honda, Mercedes et Renault, mais contrairement à ce qui a été dit par certains médias, ces contrôles sont tout à fait fréquents de la part de la FIA et aucun motoriste en particulier n’était visé.

« Nous effectuons régulièrement toutes sortes de contrôles, et nous aimerions le faire plus souvent. » explique Tombazis.

« Ces voitures sont très complexes, et malheureusement, nous n’avons pas toujours le temps de vérifier chaque système. »

« Les équipes viennent souvent nous voir et nous demandent si tel ou tel système est autorisé, ou elles nous préviennent qu’un certain réglage pourrait déjouer les règles. »

« Ensuite, elles nous disent qu’elles ne le feront pas, mais que d’autres pourraient le faire. Nous regardons cela et si nous pensons qu’il y a une possibilité qu’il y ait une faute, nous menons un enquête, parfois comme je l’ai dit à cause d’un soupçon spécifique, parfois parce que nous pensons qu’il est en fait possible de déjouer les règles. »

Pour Mark Webber, Leclerc est encore en « lune de miel » avec Ferrari

L’ancien pilote de F1 Mark Webber prévient que le sort de Charles Leclerc chez Ferrari pourrait suivre un chemin similaire à celui de son coéquipier Sebastian Vettel dans les années à venir.

Charles Leclerc a rejoint la Scuderia Ferrari l’année dernière lors de sa seconde année en F1 et le jeune monégasque a rapidement pris le dessus sur son expérimenté coéquipier Sebastian Vettel.

Leclerc a décroché sa toute première victoire en F1 au Grand Prix de Belgique 2019 et a également connu le succès une semaine plus tard au Grand Prix d’Italie, ce qui n’a fait que renforcer son statut au sein de l’équipe italienne.

Du côté de Sebastian Vettel, de multiples erreurs en course et des résultats inférieurs à ceux de son jeune coéquipier, auront poussé son équipe à prendre la décision de remplacer l’Allemand dès 2021 par le jeune Carlos Sainz.

Charles Leclerc pour sa part restera pilote Ferrari au moins jusqu’en 2024 et représente l’avenir de la Scuderia, mais l’ancien pilote de F1 Mark Webber pense que la motivation du jeune pilote pourrait diminuer si Ferrari ne s’améliore pas rapidement.

« Il faut garder un œil sur Leclerc, je m’intéresse à lui et aux prochaines années avec Ferrari. » a expliqué Webber à Channel 4.

« Pour l’instant, c’est une période de lune de miel, mais nous pourrions être assis ici dans les prochains 24 mois, trois ans peut-être, en nous disant que Leclerc pourrait être fatigué de Ferrari. »

« C’est une grande entreprise que de piloter pour Ferrari et il pourrait être le prochain à être sous les projecteurs. »

Sebastian Vettel quittera l’équipe Ferrari à la fin de cette saison 2020 après six années passées à Maranello et sans jamais avoir réussi à décrocher un titre avec l’équipe italienne.

En 2021, le quadruple champion du monde fera équipe avec le Canadien Lance Stroll chez Aston Martin.

Hamilton s’apprête à égaler le nombre de victoires de Schumacher en F1

Lorsque Michael Schumacher a pris sa retraite de la Formule 1 avec 91 victoires à son actif, nombreux sont ceux qui, naturellement, ont prédit que son record ne serait jamais dépassé.

Mais après que Lewis Hamilton ait remporté sa 90e victoire au Mugello le week-end dernier, le pilote Mercedes a admis qu’il était « surréaliste » d’être en mesure d’égaler le bilan du septuple champion du monde de F1 lors de sa prochaine victoire.

« Cela ne semble tout simplement pas réel. De toute évidence, c’est un privilège d’être en mesure d’avoir une équipe et une voiture aussi formidables pour pouvoir performer le week-end. » a déclaré Lewis Hamilton.

« Mais je me sens toujours reconnaissant envers les gens qui continuent à travailler dur; Je ne suis qu’un maillon de la chaîne. »

« Remporter les victoires n’est pas facile lorsque vous avez un excellent pilote comme Valtteri [Bottas] qui vous pousse à la limite, week-end après week-end. Mais je n’ai jamais pensé que j’en serais là, c’est sûr. »

La victoire de Hamilton au Grand Prix de Toscane l’a rapproché d’un autre record de Schumacher, le Britannique étant prêt à remporter son septième titre en F1 s’il remportait le championnat cette année.

Avec désormais 55 points d’avance sur son coéquipier Bottas après le Mugello et avec huit courses encore à disputer avant la fin de la saison 2020, le Britannique est en passe de réussir cet exploit.

Mick Schumacher : « un moment très spécial » au volant de la Ferrari F2004

Séquence émotion dimanche dernier au Grand Prix de Toscane lorsque Mick Schumacher, le fils du septuple champion du monde de F1, a pris la piste au volant de la Ferrari F2004 pilotée par son père.

Le jeune Mick a réalisé une démonstration avec la F2004 dans le cadre des célébrations organisées par Ferrari, qui fêtait le week-end dernier son 1000e Grand Prix en Formule 1.

Après sa séance de roulage, le jeune pilote allemand ne pouvait pas cacher son émotion d’avoir pris la piste au volant d’une des monoplaces les plus efficaces de l’histoire de la F1.

C’est la seconde fois que Mick Schumacher prend les commandes de la F2004, après un premier roulage l’an dernier sur le circuit d’Hockenheim en Allemagne.

« De toute évidence, piloter la Ferrari F2004 dimanche a été un moment très spécial pour moi. » a déclaré Mick Schumacher.

« C’est une super voiture et à mon avis l’une des meilleures de l’histoire de la F1. Et la piloter sur une piste comme le Mugello où la F2004 avait fait tant de tours auparavant a rendu ce moment encore plus spécial pour moi. »

« C’était simplement extraordinaire. Le son, l’appui, la direction – c’était juste incroyable. C’était vraiment spécial pour toutes les personnes impliquées, je pense aussi aux mécaniciens qui ont travaillé avec mon père sur cette voiture il y a 16 ans. »

« C’était un grand moment pour moi et je suis très reconnaissant d’avoir eu cette opportunité offerte par Ferrari. »

Renault F1 en test à Budapest avec Guanyu Zhou

L’équipe Renault F1 réalise un test privé sur le circuit du Hungaroring de Budapest cette semaine avec le pilote de Formule 2 issu de l’académie Renault, le Chinois Guanyu Zhou.

Ce mercredi et ce jeudi, l’équipe du constructeur français est présente sur le tracé du Grand Prix de Hongrie à Budapest pour un essai privé avec une monoplace de la saison 2018, la RS18.

C’est le Chinois Guanyu Zhou qui est aux commandes de la RS18 durant ces deux jours et il a déjà pu boucler environ 450 kilomètres ce mercredi et 520 kilomètres ce jeudi.

Le tout jeune pilote chinois, âgé de 20 ans, a été annoncé comme pilote essayeur de l’équipe Renault pour la saison 2020 de Formule 1 en début d’année et a la lourde tâche d’épauler les deux pilotes titulaires Esteban Ocon et Daniel Ricciardo dans le développement de la RS20.

Ce n’est pas la première fois que Zhou roule en essais privés pour Renault, puisque ses premiers contacts avec une monoplace de F1 ont eu lieu l’an dernier lors de deux journées de tests privés organisées par Renault sur le Paul Ricard et le Red Bull Ring en Autriche avec une RS17 de la saison 2017.

Zhou occupe actuellement la huitième place du championnat de Formule 2 avec 108 points inscrits depuis le début de la campagne 2020.

Ferrari disposera d’un nouveau simulateur en 2022

La saison 2020 de la Scuderia Ferrari est une véritable catastrophe pour l’équipe italienne qui ne s’attendait pas à être aussi loin de la concurrence en terme de performance avec une sixième place au championnat après neuf courses.

Si le PDG de Ferrari, Louis Camilleri, ne s’attend pas à une amélioration rapide de la situation, tous les regards sont tournés vers la saison 2022 qui verra la Formule 1 se renouveler profondément d’un point de vue technique.

A ce titre, l’équipe italienne a annoncé qu’elle utilisera un nouveau simulateur à Maranello pour la conception de la future monoplace et qui répondra aux exigences du nouveau règlement.

Mattia Binotto, le Directeur de l’équipe Ferrari, précise au Corrierre della Sera que l’équipe va faire un investissement financier de la plus haute importance  : « C’est un investissement important et coûteux, on parle de plusieurs millions d’euros dépensés en matériel mais surtout pour des logiciels sur mesure. »

L’ingénieur britannique Rory Byrne, qui avait été un des piliers de l’équipe lors de la victorieuse ère avec Michael Schumacher, travaillera sur cette nouvelle monoplace.

« Quand vous commencez avec une feuille vierge, vous avez besoin de personnes expérimentées pour vous aider à tracer les lignes. » a notamment commenté Binotto.

En 2022, les monoplaces de Formule 1 vont subir de profondes modifications aérodynamiques et devront notamment profiter de l’effet de sol afin de réduire la perte d’appui que subissent les voitures actuelles lorsqu’elles roulent dans le sillage d’une autre voiture.

En roulant dans l’air sale derrière une autre voiture, une machine 2020 peut perdre plus de 40 % de ses appuis.

Mais avec la conception de la voiture 2022, elle chuterait à environ 5-10 %, le flux d’air provenant des nouvelles voitures étant à la fois plus propre et mieux orienté, ce qui signifie qu’il a beaucoup moins d’impact sur les voitures qui suivent, ce qui leur donnera la possibilité non seulement de les suivre, mais aussi de les dépasser.

Albon ne se sent pas menacé après la victoire de Gasly à Monza

Alex Albon a signé son premier podium le week-end dernier lors du Grand Prix de Toscane sur la piste du Mugello, juste derrière les deux Mercedes de Lewis Hamilton et Valtteri Bottas.

Cette troisième place a mis fin à une longue attente pour le pilote thaïlandais qui avait manqué à plusieurs reprises de terminer parmi les trois premiers.

Mais malgré ces contretemps, le pilote Red Bull n’a jamais douté de lui : « C’est vraiment très simplement une question de développement personnel, de bien travailler avec l’équipe, de se concentrer sur les petites choses, et de ne pas regarder autour de soi. » a-t-il confié à ESPN.

« Je sens vraiment que je m’améliore en tant que pilote, non seulement sur le circuit mais aussi en dehors de la piste. »

La récente victoire de Pierre Gasly à Monza au volant de son AlphaTauri et les rumeurs d’un retour du pilote français chez Red Bull pourraient déstabiliser Albon.

Mais ce dernier affirme qu’il a la force de caractère suffisante pour ne pas s’inquiéter de tout cela : « Sa victoire ne fait aucune différence. » affirme-t-il.

« C’est agréable de voir les autres pilotes bien faire mais je ne dirais pas que cela me motive davantage, car je suis un gars assez motivé comme ça. »

D’autant plus que le pilote Red Bull s’attend à une fin de saison encore meilleure si son équipe arrive à maximiser les opportunités qui s’offrent à elle : « De ce que je peux voir, les choses n’ont pas vraiment été favorables pour nous jusqu’à présent. »

« Je pense que nos résultats n’ont pas été très représentatifs de ce que nous pouvons faire. C’est dans ce sens qu’il faut continuer et il nous reste encore une demi-saison pour faire du bon travail. »

La crainte d’une crevaison a dicté la stratégie de Mercedes au Mugello

Le doublé Mercedes au Mugello, lors du Grand Prix de Toscane, ne s’est pas fait sans mal pour l’équipe et ses pilotes.

Si Valtteri Bottas avait la main mise sur la course avant la deuxième interruption, il s’est rapidement fait doubler lors du second départ par Lewis Hamilton qui a profité de l’aspiration derrière le Finlandais pour prendre la tête.

Suite à cette manœuvre, et voyant qu’il n’arriverait pas à le doubler à la régulière, Bottas a clairement demandé à son équipe de lui mettre un train de pneus différent de celui d’Hamilton lors de son prochain arrêt.

Malgré tout, au 31ème tour, le Finlandais entre à son stand pour chausser des gommes dures…imité une boucle plus tard par Hamilton.

Les stratèges de Mercedes se défendent néanmoins d’avoir fait fi des volontés de Bottas. En effet, l’équipe redoutait surtout d’avoir à faire face à nouveau à des crevaisons similaires à celles subies au Grand Prix de Grande Bretagne.

« Nous nous attendions à nous arrêter encore une fois avant la fin de la course. » précise James Vowles, le Chef de la stratégie chez Mercedes, dans un vidéo postée par l’équipe.

« Nous avons commencé à remarquer vers le tour 29 et le tour 30 une vibration sur les pneus avant de Valtteri qui devenait de plus en plus importante. »

« Cela rappelait ce que nous avons vu à Silverstone, donc cette fois, nous voulions éviter tout incident. »

« En conséquence, au lieu de faire rentrer Lewis en premier, parce qu’il avait la priorité, nous avons appelé Valtteri et nous avons examiné quel serait le meilleur composé de gomme pour s’adapter aux circonstances. »

« Étant donné que la dégradation moyenne était plus élevée que prévu, et étant donné que ce relais était légèrement plus court que ce que nous voulions faire et que nous étions en tête de la course, nous avons opté pour le pneu dur. »

Volwes et Mercedes assurent qu’ils étaient pourtant d’accord pour permettre à Bottas de décaler sa stratégie pneumatiques par rapport à celle d’Hamilton. Mais les circonstances de course en ont décidé autrement.

« Ce que nous voulions faire, c’est d’abord d’arrêter Lewis qui, je le répète, avait la priorité, et quel que soit le pneu choisi, nous étions plus qu’heureux de faire quelque chose de différent avec Valtteri. »

« Mais ce n’était pas un arrêt planifié, c’était nous qui réagissions à un problème et, en conséquence, nous sommes allés du côté de la sécurité. »

Une décision qui a été validée par Toto Wolff lui même, comme il l’a précisé après la course : « Nous en avons discuté. Valtteri voulait avoir une option stratégique différente de Lewis au niveau des pneus. »

« Mais ensuite,tout a basculé avec ces problèmes de pneus. Je ne me souviens même pas dans quel tour c’est arrivé mais tout était différent par la suite. » conclut l’Autrichien.

Problème électrique sur la Ferrari de Sebastian Vettel ce vendredi

C’est un problème électrique qui a forcé Sebastian Vettel à immobiliser sa Ferrari sur le bord de la piste à la fin de la seconde séance d’essais libres du Grand Prix de Toscane ce vendredi.

Auteur du douzième temps ce vendredi au Mugello, l’Allemand Sebastian Vettel a été victime d’une panne dans son tour de rentrée des stands, alors que la séance était déjà terminée depuis quelques minutes.

Ce vendredi soir, la Scuderia Ferrari nous confirme que le problème qui a touché la SF1000 de Vettel était d’ordre électrique et qu’il a déjà été résolu.

« Lors du dernier tour de la séance, la voiture de Sebastian s’est immobilisée le long de la piste à cause d’un problème électrique qui a déjà été résolu. » confirme Ferrari.

De son côté, Vettel estime avoir passé une journée « intéressante », mais le quadruple champion du monde sait qu’il reste encore du potentiel avant les qualifications de samedi.

« C’était une journée intéressante. Le Mugello est vraiment une piste splendide, sur laquelle il est formidable pour nous pilotes de rouler même si c’est très strict avec les pneus. » nous explique Vettel.

« Je ne suis toujours pas satisfait de l’équilibre de la voiture mais je dirais que nous y travaillons et qu’il reste encore beaucoup à faire. »

« Après tout, ce n’est que le vendredi et les vendredis sont réservés aux essais. Je suis convaincu qu’il existe un potentiel pour trouver une configuration qui me satisfait davantage. Je pense que nous pourrons améliorer la voiture en vue des qualifications. »

Classement des EL2 au Mugello

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La FIA a fixé le temps au tour maximum à respecter au Mugello

Le directeur de course de la FIA, Michael Masi, a fixé le temps au tour maximum à respecter par les pilotes ce week-end au Grand Prix de Toscane.

Par souci de sécurité, la FIA impose un temps au tour minimum sur les circuits durant les week-ends de course afin de ne pas se retrouver dans une situation similaire à celle vécue au Grand Prix d’Italie l’an dernier où les dix pilotes participant à la Q3 en qualifications se sont mis à ralentir pour ne pas se retrouver en première position et offrir l’aspiration aux autres.

La scène s’est reproduite la semaine dernière à Monza mais dans une moindre mesure car la FIA avait prévu le coup en imposant un temps minimum au tour à respecter.

Pour ce week-end au Grand Prix de Toscane, le temps au tour maximum à respecter sur le tracé du Mugello est de 1,34.000.

Les pilotes devront donc toujours veiller à respecter ce temps minimum entre les deux lignes de Safety Car situées au début et à la fin de la ligne droite de départ/arrivée.

Pour information, le pilote le plus rapide [Valtteri Bottas] a roulé ce vendredi en 1,16.989 lors de la seconde séance d’essais libres.

Le classement des EL2 au Mugello

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Charles Leclerc a reçu une boîte de vitesses neuve au GP de Toscane

Le pilote Ferrari Charles Leclerc a débuté son week-end au Grand Prix de Toscane avec une boîte de vitesses neuve montée sur sa monoplace.

Le Monégasque n’écopera d’aucune pénalité sur la grille de départ du GP de Toscane pour ce changement, puisqu’il n’a pas terminé la dernière course disputée à Monza la semaine dernière.

Au Grand Prix d’Italie, Charles Leclerc a été victime d’une violente sortie de piste dans la Parabolica [dernier virage du circuit] et avait dû abandonner.

Le Mugello fait l’unanimité auprès des pilotes de F1

Ce vendredi, les pilotes de F1 ont participé à la première journée d’essais du Grand Prix de Toscane sur le tracé du Mugello et le moins que l’on puisse dire est que le circuit niché dans les collines toscanes a fait l’unanimité.

« C’est une piste très cool. » a déclaré Max Verstappen ce vendredi après avoir signé le troisième temps des EL2.

« Il y a tellement de virages rapides, et dans une voiture de Formule 1, prendre facilement les Arrabiata 1 et 2 (virages 8 et 9) à fond est assez incroyable, donc c’est vraiment agréable et vraiment agréable d’y piloter. »

« C’est juste très fluide, ce que j’aime bien. Il n’y a pas de virages lents, donc c’est vraiment  bien. »

Même son de cloche pour le pilote Renault Daniel Ricciardo qui a terminé à la cinquième position des EL2: « C’est tellement plaisant de piloter au Mugello. »

« C’est amusant sur un tour, mais ça l’est également dans les longs relais. Ceux-ci sont normalement beaucoup plus lents, mais il n’y a aucun répit tant c’est extrêmement rapide. »

« Les virages 8 et 9 se négocient presque à plein régime avec beaucoup d’essence, donc vous devez rester sur vos gardes. »

« C’est juste incroyable. » a déclaré pour sa part le pilote Ferrari Charles Leclerc, auteur du dixième temps lors des EL2.

« Les vitesses sont élevées, il n’y a pas beaucoup de zone de dégagement, donc pas de place pour les erreurs. Mais je suppose que c’est ce que nous aimons en tant que pilotes. »

« Je dois dire que cette piste est assez intense – si rapide et stimulante, c’est incroyable à vivre. » a déclaré Lewis Hamilton après la première journée d’essais.

« J’aime ça! Il n’y a pas de temps pour jouer ici et c’est l’un des plus exigeants physiquement sur lequel j’ai piloté depuis un moment. »

Pour Raikkonen – qui a débuté sa carrière sur ce circuit lors d’un test avec Sauber il y a vingt ans: « C’est toujours le même circuit, il n’est pas différent. »

« Les bordures sont légèrement différentes. C’est une piste difficile pour nous, surtout lorsque nous ne sommes pas venus ici par le passé. Il faut juste que l’on arrive à trouver une bonne configuration, ce qui n’est pas facile. »

Pour Esteban Ocon: « Piloter au Mugello procure des sensations fantastiques et je n’ai pas été déçu ! Quand nous avons fait le tour du circuit à pied hier, j’imaginais à quel point ce serait génial de rouler sur ce tracé. »

George Russell a trouvé le Mugello très amusant: « C’était génial aujourd’hui. C’est toujours amusant d’arriver sur un bon circuit avec beaucoup de caractère, il est vallonné et vous punit si vous faites une erreur. »

Valtteri Bottas: « Cela a été très amusant aujourd’hui et j’ai apprécié chaque tour. Toute la section avec les chicanes à grande vitesse et le deuxième secteur sont tout simplement incroyables et la voiture se comportait très bien ici. »

Le classement des EL2 au Mugello

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Lewis Hamilton a pris beaucoup de plaisir ce vendredi sur le tracé du Mugello

Auteur du second temps lors des EL2 ce vendredi après-midi au Mugello, Lewis Hamilton a pris beaucoup de plaisir au volant de sa Mercedes sur ce tout nouveau tracé que visite la F1 pour la première fois dans le cadre du championnat.

Intense, rapide, stimulante, Lewis Hamilton manque de qualificatifs pour dire ce qu’il a ressenti aujourd’hui au volant de sa monoplace sur l’une des pistes les plus exigeantes physiquement.

« Je dois dire que cette piste est assez intense – si rapide et stimulante, c’est incroyable à vivre. » a déclaré Hamilton après la première journée d’essais.

« J’aime cela! Il n’y a pas de temps pour jouer ici et c’est l’un des plus exigeants physiquement sur lequel j’ai piloté depuis un moment. »

« J’ai essayé de le pousser à la limite aujourd’hui, mais je pense qu’il y a quelques sections où je peux m’améliorer. »

« J’ai le dernier secteur, mais il y a certainement plus à venir dans les premier et deuxième secteurs car Valtteri et Max ont été très rapides là-bas. »

« Donc, nous avons quelques changements à faire et à étudier ce soir. J’espère que nous nous améliorerons pour demain. »

« Les pneus ont plutôt bien fonctionné, mais je pense qu’il sera difficile de les préserver dans ces sections rapides, en particulier les 6, 7, 8 et 9. »

Classement des EL2 au Mugello

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Norris a commis l’une de ses « premières erreurs coûteuses » en F1 au Mugello

Lando Norris a mis un terme prématuré à son première journée d’essais au Mugello en envoyant sa McLaren dans le mur lors des EL2 ce vendredi après-midi.

Le Britannique va bien mais sa journée de travail a été stoppée prématurément, alors que le circuit du Mugello est une toute nouvelle piste que les pilotes doivent encore « apprendre ».

Après son erreur, Lando Norris explique qu’il s’agissait de sa première erreur coûteuse depuis le début de sa carrière en F1.

« Journée difficile. De toute évidence, je n’y ai pas mis fin de la meilleure façon – j’ai un peu trop poussé. » nous explique Lando Norris après sa première journée d’essais sur le Mugello.

« C’est l’une des premières véritables erreurs coûteuses que j’ai commises depuis mes débuts en F1. »

« C’était bien pire quand j’étais dans la voiture que ce à quoi cela ressemblait, donc je pense qu’il y a des dommages – un peu à la direction et peut-être à l’arrière – mais rien de grave, heureusement. »

« C’est un peu frustrant, mais en même temps, cela arrive – cela arrive à tout le monde. Ce n’est pas idéal mais tout allait assez bien jusque-là. »

« Nous avons apporté quelques améliorations entre les EL1 et les EL2, mais nous avons beaucoup de travail à faire. »

« Cela n’a pas été aussi simple que nous l’espérions, et nous luttons un peu plus que ce à quoi nous nous attendions pour le week-end. »

« C’est un début difficile, mais je suis convaincu que nous pourrons nous rattraper demain. »

Classement des EL2 au Mugello

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Christian Horner : « Cela n’aurait pas de sens de changer les pilotes »

Le patron de l’équipe Red Bull, Christian Horner, assure que pour le moment il n’est pas question de faire revenir Pierre Gasly chez Red Bull à la place d’Alex Albon d’ici la fin de la saison.

Après avoir décroché sa première victoire en F1 le week-end dernier à Monza, le Français Pierre Gasly a dit qu’il « se sentait prêt » à retourner chez Red Bull si besoin et espère en tout cas que ses bons résultats « seront récompensés. »

Cependant, Christian Horner a insisté sur le fait que l’objectif actuel de l’équipe Red Bull est de donner à Alex Albon « la meilleure opportunité » de conserver son baquet.

« En ce qui concerne les baquets de Red Bull Racing, nous nous concentrons sur Alex Albon. » a déclaré Horner ce vendredi au Mugello.

« Nous voulons essayer de lui donner la meilleure opportunité de conserver ce baquet. Nous avons des problèmes sur lesquels nous travaillons avec la voiture et je pense que cela n’aurait pas de sens de changer les pilotes. »

« AlphaTauri est maintenant une équipe sœur plutôt qu’une équipe junior; Franz [Tost, Team Principal] est heureux, je crois, avec Pierre donc la décision finale sera prise plus tard dans l’année. Mais il n’y a aucune pression de notre part pour inverser la situation. »

Pas intéressé par Perez

Horner a également été interrogé sur Sergio Perez, qui est maintenant sur le marché après avoir annoncé qu’il se séparerait de Racing Point à la fin de la saison.

Le patron de Red Bull a déclaré qu’il avait l’intention d’utiliser des pilotes de son programme junior et ne chercherait ailleurs que si les pilotes disponibles dans le giron Red Bull n’étaient pas assez performants.

« Notre préférence a toujours été de nourrir les talents et que ce soit Sebastian Vettel, que ce soit Daniel Ricciardo, que ce soit Max Verstappen – ils ont tous suivi le programme junior et ont été chapeautés par Franz, puis ils ont évidemment très bien réussi et ont intégré Red Bull Racing. »

« Donc, notre préférence va toujours en interne, mais si les disponibilités ne sont pas assez grandes, alors bien sûr, vous devez parfois regarder à l’extérieur. Mais notre intention est absolument de travailler avec le vivier de talents dont nous disposons. »

Officiel : L’équipe AlphaTauri à l’amende au Grand Prix de Toscane

L’équipe AlphaTauri a écopé d’une amende ce vendredi au Grand Prix de Toscane à l’issue de la seconde séance d’essais libres disputée sur le tracé du Mugello.

Le pilote AlphaTauri Pierre Gasly a été flashé en excès de vitesse dans la voie des stands pendant les EL2, ce qui se traduit par une amende pour son équipe.

Le Français a été flashé à 82 km/h au lieu des 80 km/h autorisés dans la voie des stands tout au long du week-end.

Pour cette infraction, l’équipe AlphaTauri écope d’une amende de 200 euros. Il s’agit de la quatrième équipe ce week-end à écoper d’une amende pour la même raison. [Ferrari, Williams, Racing Point et AlphaTauri].

Officiel : Ferrari à l’amende au Grand Prix de Toscane

La Scuderia Ferrari a écopé d’une amende au Grand Prix de Toscane ce vendredi à l’issue de la seconde séance d’essais libres.

Le pilote Ferrari Charles Leclerc a été flashé en excès de vitesse dans la voie des stands pendant la seconde séance d’essais libres ce vendredi, ce qui se traduit directement par une amende pour son équipe.

La vitesse dans la voie des stands au Mugello est limitée à 80 km/h durant tout le week-end et le Monégasque a été flashé à 82,8 km/h pendant les EL2.

Pour cette infraction, la Scuderia Ferrari écope d’une amende 300 euros. Il s’agit de la quatrième équipe à écoper d’une amende pour cette raison ce week-end [Williams, Racing Point, AlphaTauri et Ferrari].

GP de Toscane – EL2 : Mercedes accélère, Norris dans le mur au Mugello

C’est le pilote Mercedes Valtteri Bottas qui a signé le meilleur temps de la seconde séance d’essais libres du Grand Prix de Toscane [EL2] en 1,16.989 (Tendres).

Le Finlandais devance son coéquipier Lewis Hamilton de deux dixièmes (Tendres) et la Red Bull de Max Verstappen pour un peu plus de deux dixièmes également (Tendres).

Alex Albon (+0.982), Daniel Ricciardo (+1.050), Esteban Ocon (+1.126), Sergio Perez (+1.209), Pierre Gasly (+1.255), Kimi Raikkonen (+1.396) et Charles Leclerc (+1.411) complètent le top dix de cette seconde séance d’essais libres du Grand Prix de Toscane.

Grosjean au garage

Romain Grosjean a passé une bonne partie de la séance dans son garage en raison d’un problème mécanique sur sa monoplace. Le pilote Haas a indiqué à la radio que ses batteries ne se rechargeaient plus, alors que l’équipe a indiqué quelques minutes plus tard qu’il s’agissait d’un problème d’ordre électronique.

Pour information, le pilote Français a reçu avant le début du week-end au Mugello un nouvel MGU-H et un nouveau turbo sur sa monoplace.

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On cherche les limites…

Par rapport à la première séance d’essais libres disputée ce vendredi matin, les pilotes ont commencé à aller chercher les limites de piste lors de ces EL2.

A ce petit jeu, le tracé du Mugello ne pardonne quasiment aucune erreur, puisqu’il n’y a aucune zone de dégagement asphaltée comme cela peut être le cas sur les circuits modernes du calendrier de la F1.

Au Mugello, les pilotes seront sanctionnés immédiatement par le bac à gravier ou le sable en cas de dépassement des limites de la piste ce week-end.

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…Norris trouve la limite

A ce petit jeu de la recherche des limites de la piste, c’est le pilote McLaren Lando Norris qui les a trouvées le premier avec une grosse sortie de piste qui s’est terminée au fond du bac à gravier.

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Le Britannique a perdu le contrôle de sa monoplace en mettant l’une des roues arrière derrière le vibreur, ce qui a immédiatement provoqué un tête-à-queue et envoyé sa F1 vers le mur situé au fond du bac à gravier.

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Cet incident a obligé la direction de course à agiter un drapeau rouge durant quelques minutes pour permettre aux commissaires de piste de dégager la McLaren accidentée de Norris. Le pilote va bien et a rejoint immédiatement son garage en scooter.

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Ferrari toujours en difficulté

Les pilotes Ferrari sont en difficulté ce vendredi au Mugello avec une monoplace clairement en manque d’équilibre sur une piste où l’équipe italienne pensait pourtant retrouver un peu plus de compétitivité par rapport aux deux tracés visités précédemment [Spa et Monza].

Sebastian Vettel et Charles Leclerc ont eu le plus grand mal à aligner des tours rapides avec les gommes Tendres aujourd’hui et se retrouvent tous les deux à plus d’une seconde des pilotes Mercedes. Notez que Sebastian Vettel a terminé la séance en roue libre avec une panne mécanique sur sa monoplace.

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Contact entre Raikkonen et Perez

Le pilote Racing Point Sergio Perez n’a pas respecté le drapeau bleu qui lui était présenté lors de sa sortie de la voie des stands et a percuté l’arrière de la monoplace de Kimi Raikkonen au premier virage.

Le pilote mexicain et Kimi Raikkonen ont été immédiatement placés sous enquête pour cet incident, qui aura tout de même obligé la direction de course à agiter le second drapeau rouge de la journée.

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La séance d’essais libres 3 du Grand Prix de Toscane aura lieu ce samedi à 12h00 (heure de Paris).

Résultats des EL2 du GP de Toscane

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Racing Point a pris sa décision il y a deux jours pour Vettel

Le patron de Racing Point, Otmar Szafnauer, a déclaré que la décision d’embaucher Sebastian Vettel à la place de Sergio Perez « n’a pas été facile », mais pense que le quadruple champion de F1 élèvera la future équipe Aston Martin à un « niveau différent » l’an prochain.

L’Américain a d’ailleurs révélé que la décision d’embaucher Sebastian Vettel l’an prochain a été prise il y a seulement deux jours, ce qui expliquerait la confusion autour de ses propos tenus le week-end dernier [ce qui m’a valu de belles insultes de la part de certains lecteurs pour avoir diffusé une « fausse information »] où il certifiait que les deux pilotes Sergio Perez et Lance Stroll resteraient en place l’an prochain et que la piste Vettel n’était plus considérée.

« Nous discutons avec Seb depuis un certain temps et la décision a été prise il y a deux jours. » affirme Szafnauer au micro de Sky Sports.

« Ce n’était pas facile. Sergio nous a bien servis, c’est un excellent pilote, c’est un pilote rapide et une paire de mains sûre le dimanche, qui ne fait pas d’erreur et rapporte les points. »

« Ce n’était donc pas une décision facile et je pense que c’est un compliment pour Sergio sur le fait que nous délibérions si longtemps sur l’opportunité de prendre un quadruple champion du monde avec toute l’expérience que Sebastian apporte. »

« En fin de compte, avec l’arrivée d’Aston Martin, je pense que c’est la bonne décision pour acquérir l’expérience que Sebastian apporte avec lui, et l’expérience d’une équipe de premier plan. »

Un Sergio Perez surpris a déclaré jeudi aux médias qu’il « ne s’attendait pas » à être licencié et que « rien ne pouvait le préparer » à la décision de Racing Point – bien que Szafnauer ait écarté cette version des faits.

« Il avait une petite idée, nous avons tenu son manager au courant du processus tout au long. Il était tenu au courant de ce qui se passait, ce que nous ne savions pas, car la décision définitive n’avait pas été prise, c’était le choix final qui allait être fait et nous l’avons appris ce mercredi. »

Perez a signé un contrat de trois ans avec l’équipe l’année dernière, mais Szafnauer a déclaré qu’il y avait « des options » à activer ou non.

Concernant Sebastian Vettel, Szafnauer s’attend à ce que le pilote allemand apporte une toute nouvelle dynamique à l’équipe l’an prochain.

« Il élèvera l’équipe à un niveau différent, et je suis sûr qu’il y aura mille petites choses où il nous aidera à atteindre un nouveau niveau. »

« Il apportera avec lui l’éthique de travail d’un champion du monde, et c’est ce dont nous voulons tous apprendre. Tout le monde va devoir améliorer son jeu. »

« Et il sera également un excellent mentor pour Lance [Stroll, son coéquipier en 2021], qui est jeune et rapide. »

Interrogé sur les récentes performances de Vettel, Szafnauer a ajouté: « Il a 33 ans, je ne pense pas qu’il ait oublié comment conduire. Nous avons tous besoin d’un peu d’amour parfois. »

« Conduire à son meilleur à la limite tout le temps, c’est un exercice très mental. Si votre esprit n’est pas tout à fait dedans, des choses comme ça se produisent. »

« Ce sera notre travail de mettre notre bras autour de lui et de lui montrer ce que cette équipe est capable de faire, et je pense qu’il va s’épanouir. »

« Nous espérons que le rêve deviendra réalité. » ajoute l’Américain lorsqu’on lui parle de victoires possibles l’an prochain.

« L’équipe augmentera de 45 pour cent, nous avons un excellent soutien d’Aston Martin, de BWT et de Lawrence [Stroll, propriétaire] et de son consortium et grâce à cela, nous pouvons maintenant nous permettre de faire des choses que nous ne pouvions pas passé »