Quid de la saison 3 de Drive To Survive sur Netflix ?

Y aura-t-il une saison 3 de la série Drive To Survive de Netflix ? C’est la question que les fans de F1 sont en droit de se poser en raison de la crise sanitaire.

Au mois de février 2020, Netflix a mis en ligne la saison 2 de Drive To Survive tournée lors de la saison 2019 de F1. Après la saison 1 sortie en mars 2019 et axée sur la saison 2018, la deuxième saison de Drive to Survive donnait aux fans un aperçu approfondi de la saison 2019.

La principale nouveauté pour la saison 2 a été la participation des équipes Mercedes et Ferrari, qui étaient les seules à ne pas avoir ouvert leurs portes aux caméras lors de la saison 1 en 2018 en raison de la lutte au championnat du monde.

Mais alors que de plus en plus de fans ont déjà terminé la saison 2 et ses dix épisodes d’une trentaine de minutes chacun, des questions concernant les saisons futures de Drive to Survive sont posées.

Le tournage a bien débuté à Barcelone

Pour le moment, Netflix n’a pas encore confirmé si une saison 3 verrait le jour, mais nous pouvons vous confirmer que pendant les essais hivernaux de Barcelone cet hiver, des caméras de Netflix étaient bien présentes sur le circuit de Catalunya.

La présence d’une équipe de tournage de Netflix à Barcelone durant les essais hivernaux 2020 signifie évidemment que l’entreprise américaine avait déjà débuté le tournage de la saison 3 de Drive To Survive, mais pour le moment aucune confirmation officielle n’a encore été faite de la part de Netflix.

Une chose est certaine, pour le moment la crise sanitaire du coronavirus a fait voler en éclats tous les plans de la F1 et des différents protagonistes évoluant dans le paddock (médias, prestataires de services, intérimaires, organisateurs de Grand Prix…).

Le tournage va-t-il reprendre ?

Impossible de répondre à cette question pour l’instant en raison de l’incertitude qui plane sur la saison 2020 de Formule 1. Le tournage de Drive To Survive pourrait peut-être reprendre dès que la saison 2020 débutera, mais l’équipe de tournage sera t-elle autorisée à venir dans un paddock complètement fermé en raison de l’épidémie de coronavirus ?

On peut même aller plus loin en se posant la question de savoir si une saison 3 aurait le même intérêt et la même saveur pour les fans avec plusieurs courses en moins au calendrier de la F1…

Un test à Fiorano pour Ferrari a suffi à remotiver Kvyat en 2018

Écarté de la F1 en 2017 pour manque de performance, le Russe Daniil Kvyat a effectué son retour en catégorie reine lors de la saison 2019 avec l’écurie Toro Rosso.

Après avoir perdu son baquet en F1 chez Toro Rosso fin 2017, le Russe Daniil Kvyat a trouvé refuge chez Ferrari en tant que pilote de simulateur pour l’équipe italienne durant une année complète.

De son passage à Maranello, Daniil Kvyat n’en garde que de bons souvenirs et affirme que c’est lors d’un test sur la piste privée de Fiorano que l’envie de revenir en F1 en tant que titulaire lui est revenue soudainement tant la Ferrari qu’il était en train de piloter lui a procuré des sensations.

« Finalement, j’ai testé la voiture de cette année-là une fois à Fiorano. C’était tellement émouvant pour moi, tout d’abord, c’était Ferrari et Fiorano, puis c’était une monoplace actuelle [2018] et ça c’était vraiment cool. » explique le pilote AlphaTauri dans le podcast de la F1 Beyond The Grid.

« Je n’avais rien piloté pendant six mois ou quelque chose comme ça. J’ai tellement aimé ça, ce jour là j’ai compris que je voulais revenir à tout prix en Formule 1. »

« De plus, ce test a été très solide, avec des temps au tour très cohérents. Tout le monde était très content. »

Le pilote russe avait bien d’autres options pour 2019 en dehors de la F1, mais Kvyat souhaitait plus que tout revenir au plus vite en catégorie reine du sport automobile.

« Je sentais que j’avais encore beaucoup de choses à faire en F1. Il y a eu des discussions dans différentes catégories, mais j’étais concentré sur un retour en Formule 1. »

« J’envisageais de m’arrêter complétement (sa carrière en sport automobile) si je n’obtenais pas à nouveau un contrat en Formule 1. »

En tant que pilote de simulateur, Ferrari a également offert à Daniil Kvyat une expérience supplémentaire inestimable, notamment parce que le Russe a pu travailler étroitement avec deux champions du monde : Kimi Raikkonen et Sebastian Vettel.

« C’était super aussi de les voir travailler – deux champions du monde – des gars très expérimentés. »

« Avec Sebastian [Vettel], quand j’y pense, nous étions au Canada [2018] et mon travail consistait à regarder les onboard et d’essayer d’identifier ce qui était différent. Et j’ai dit : ‘tu pourrais prendre un peu plus le vibreur à la chicane’, et il a accepté, il a essayé et le lendemain c’était mieux. »

Renault F1 était prête à déployer un plan de développement « très agressif »

Cyril Abiteboul affirme que Renault F1 était prête à déployer un plan de développement « très agressif » avec la RS20 en ce début d’année.

Avant que la saison 2020 de F1 ne soit interrompue, Renault avait prévu d’apporter de nouveaux packages de mise à niveau importants pour la troisième course – au Vietnam – et la cinquième course – les Pays-Bas.

Ces plans ont évidemment volé en éclats suite aux annulations et aux reports de courses avec une nouvelle stratégie à élaborer. Cependant, elle ne pourra pas être finalisée tant qu’ils ne savent pas combien de courses figureront sur le calendrier 2020 révisé.

« Je dois gérer les attentes [dans l’équipe], mais c’est vrai, aux tests [hivernaux], nous avons eu une bonne impression générale. » explique Cyril Abiteboul au site de la F1.

« Nous avons coché toutes nos cases, mais ces cases dépendent également beaucoup de ce que font les autres. »

« Une question restée sans réponse était la compétitivité relative de notre voiture et nous nous attendions à la découvrir qu’à Melbourne le samedi après-midi. Évidemment, cela ne s’est pas produit. Nous sommes très curieux de le découvrir. »

« Nous étions prêts pour un plan de développement très agressif. Nous souhaitons vivement que l’usine soit de nouveau opérationnelle et que nous puissions reprendre cette activité. »

« Les chiffres semblaient très bons dans la soufflerie et la production était très occupée à produire les packages de la troisième course et de la cinquième course. »

« Tout cela est complètement en suspens, donc c’est la situation que nous avons. Mais encore une fois, beaucoup de gens ont de plus grandes frustrations que celles-ci, nous devons donc accepter que nous devons être un peu patients. »

Le GP F1 de Belgique pourrait être maintenu en août

Le conseil national de sécurité belge a décidé de modifier certaines mesures mises en place en Belgique, dont une concernant les compétitions sportives.

Lors de sa dernière réunion qui a lieu le 15 avril dernier, le conseil national de sécurité belge avait décidé plusieurs mesures, dont une qui interdisait tout événement sportif ou culturel de masse avant le 31 août en Belgique.

Avec l’application de cette mesure, il était donc impossible de maintenir le Grand Prix de Belgique qui est programmé du 28 au 30 août 2020 sur le circuit de Spa Francorchamps, puisque pour une seule journée l’événement se retrouvait directement impacté.

Mais ce mercredi 06 mai, le conseil de sécurité national belge s’est de nouveau réuni et après plus de quatre heures de réunion, certaines mesures ont été assouplies dont celle interdisant les compétitions sportives.

Désormais, les compétitions sportives en Belgique ne seront pas permises jusqu’au 31 juillet 2020 inclus, ce qui veut dire que le championnat de Football ne pourra pas reprendre.

Le Grand Prix de Belgique 2020 en revanche pourrait éventuellement avoir lieu à huis clos sur le tracé de Spa Francorchamps à la fin du mois d’août, mais il faudra tout de même attendre une confirmation officielle de la part de la F1, ainsi que des autorités belges.

Rappelons que la Formule 1 souhaite débuter sa saison 2020 en Autriche avec deux courses à huis clos sur le circuit Red Bull Ring de Spielberg.

La catégorie reine du sport automobile souhaite ensuite enchaîner avec quelques courses en Europe durant l’été, puis partir vers l’Eurasie et l’Asie, avant de se diriger vers l’Amérique et enfin les pays du Golfe pour clôturer la saison avec Bahreïn et Abou Dhabi.

Coronavirus : Singapour continue de suivre la situation avec la F1

Les organisateurs du GP de Singapour affirment qu’ils maintiennent un dialogue ouvert avec les officiels de la F1 concernant leur événement programmé pour le 20 septembre.

La pandémie de coronavirus a entraîné le report de sept des dix premiers grands prix de la saison 2020 de F, et trois autres – l’Australie, Monaco et la France – ont été annulés.

La Formule 1 a annoncé son intention de commencer la saison 2020 en Autriche le 5 juillet – avec l’ambition de disputer deux courses à huis clos sur le Red Bull Ring- suivie d’une manche en Grande-Bretagne plus tard dans le mois.

La catégorie reine du sport automobile espère ensuite pouvoir organiser d’autres événements en Europe, avant de partir vers l’Eurasie et l’Asie, puis en Amérique et enfin dans le Golfe pour terminer la saison 2020 avec Bahreïn et Abou Dhabi.

Le Grand Prix de Singapour quant à lui serait le premier de la tournée « hors Europe » et est programmé au calendrier à la date du 20 septembre.

Mais depuis quelques semaines, la cité-état de Singapour doit faire face à une augmentation des cas confirmés de Covid-19 et ce sont principalement les travailleurs étrangers séjournant dans des dortoirs qui sont concernés.

Singapour a également annoncé ce mardi avoir identifié neuf nouveaux clusters, tandis que le plus grand cluster de la ville enregistre à ce jour 2525 cas confirmés.

Malgré cette seconde vague de contamination au Covid-19 qui frappe Singapour depuis quelques semaines, les organisateurs de l’épreuve ne souhaitent pas encore parler d’annulation ou de report.

« Le GP de Singapour surveille de près la situation du COVID-19 et maintient un dialogue ouvert avec la Formule 1, le gouvernement de Singapour et nos parties prenantes pendant cette période. » a indiqué un porte-parole du Grand Prix de Singapour.

« Le calendrier de la Formule 1 pour la saison 2020 est en cours de révision (…). Le GP de Singapour continuera de suivre de près les développements, plaçant la santé et la sécurité de nos clients, fans, spectateurs, équipes et personnel comme notre priorité absolue. »

Singapour fait partie du calendrier de la F1 depuis la saison 2008. Son contrat expire à la fin de la saison 2021.

Hülkenberg : la pandémie de coronavirus est « une opportunité » pour la F1″

L’ancien pilote Renault F1, Nico Hülkenberg, estime que la pandémie de coronavirus est le moment idéal pour que la F1 envisage de grands changements.

Avec un début de saison 2020 reporté au mois de juillet en raison de la pandémie de coronavirus, la F1 se retrouve dans une situation inédite avec un écart de cinq mois entre les essais hivernaux et la première course de l’année.

La Formule 1 espère toujours débuter sa saison 2020 en Autriche au mois de juillet avec deux courses à huis clos sur le tracé Red Bull Ring de Spielberg. Mais en attendant la reprise, le sport doit avant tout s’occuper des équipes de la grille, dont certaines sont en grande difficulté financière.

Selon Nico Hülkenberg, cette pause forcée offre à la F1 l’opportunité de changer certaines choses qui pourraient être bénéfiques pour tout le monde au final.

« C’est évidemment réel et beaucoup d’industries, d’entreprises et de sociétés sont en difficulté. » explique l’ancien pilote Renault F1 dans un entretien accordé à CNN.

« Je pense qu’il y aura beaucoup de conséquences, mais je pense aussi que c’est une opportunité pour la F1 de changer certaines choses, notamment concernant les budgets et certains types de réglementations. »

« Je vois cela comme une opportunité, et j’espère, qu’il y aura de bonnes réponses et que tout le monde survivra et que nous pourrons revenir à la compétition après cela. »

Justement, concernant le plafond budgétaire qui sera introduit en F1 à partir de 2021, il devait être fixé à 175 millions de dollars par saison, mais le manager sportif de la Formule 1, Ross Brawn, a indiqué qu’il serait réduit de 30 millions (une proposition a été faite par la F1 pour 135 millions). 

Nico Hülkenberg pour sa part estime que la mise en place d’un tel plafond est une excellente opportunité pour niveler les performances des équipes, bien que l’Allemand pense que les grandes écuries auront toujours l’avantage pendant un certain temps.

« Je pense qu’une fois qu’il sera mis en oeuvre, ce ne sera pas immédiat. Les meilleures équipes auront toujours un avantage qu’elles conserveront pendant un certain temps. »

Le contrat de Ricciardo est un sujet « stratégique » pour Renault F1

Le directeur général de Renault Sport Racing, Cyril Abiteboul, admet que les négociations pour la reconduction du contrat de Daniel Ricciardo est un sujet stratégique pour Renault F1.

Le pilote australien Daniel Ricciardo est sous contrat avec Renault F1 jusqu’à la fin de la saison 2020 et, pour le moment, il est bien difficile de négocier quoi que ce soit avec les pilotes en raison du report du début de saison.

Renault F1 avait prévu un calendrier en interne pour identifier des étapes clés avec Ricciardo pour discuter prolongation, mais ces plans ont volé en éclats avec la crise sanitaire actuelle.

«  C’est compliqué pour Daniel comme pour nous. On avait envie de voir l’esprit, la performance, la façon dont l’équipe fonctionnait au cours de cette deuxième année ensemble, quels progrès on avait effectués sur la voiture, voir aussi comment lui se sentait. » explique Cyril Abiteboul à nos confrères d’Auto Hebdo.

« On avait discuté d’un calendrier pour identifier les étapes clés où nous avions envie de parler. Tout ça, c’était dans un univers normal qui a volé en éclats depuis. Après, on se parle d’ores et déjà sur cet aspect-là, parce qu’il a envie de voir où il va. »

« Je n’ai pas de grande révélation à vous faire. Daniel est une option pour nous, c’est une évidence. Mais on se doit d’en envisager d’autres. »

« L’absence de courses rend les choses plus compliquées pour prendre les bonnes décisions, mais on ne pourra pas éternellement les reculer. »

« On échange beaucoup avec Jérôme (Stoll, Président de Renault Sport Racing), Alain (Prost, directeur non-exécutif de Renault F1), et le comité de direction de Renault sur cette question car c’est un sujet stratégique. »

F1 2020 : Codemasters devra revoir sa copie pour le tracé de Zandvoort

Le responsable de la société Dromo, en charge des travaux sur le circuit de Zandvoort, estime que quelques détails dans le jeu F1 2020 ne correspondent pas à la réalité.

La semaine dernière, Codemasters, qui a développé le jeu F1 2020 qui sortira le 10 juillet prochain, a dévoilé une vidéo (voir en bas de l’article) du tracé de Zandvoort, qui fait sa première apparition cette année dans le jeu vidéo.

Mais pour le responsable de société en charge des travaux sur le circuit néerlandais, certains détails du tracé ne représentent pas fidèlement la réalité dans cette vidéo (qui n’est qu’une préview du jeu et non la version finale).

« Bien qu’il s’agisse encore d’un travail en cours, un certain nombre de choses ne correspondent pas à la réalité. » indique Jarno Zafelli de la société Dromo à F1Maximaal.nl.

« Il est particulièrement clair pour moi que les courbes sont moins spectaculaires que dans le monde réel. »

« Les anciennes courbes non ajustées sont à peu près les mêmes, mais le virage Hugenholtz, par exemple, est beaucoup plus raide dans la vie réelle. »

« Dans le jeu, le banking semble un peu plat, cela signifie que les pilotes auront une sensation très différente dans la vraie vie. »

Zafelli prend pour référence le pilote Red Bull Max Verstappen, qui a été le premier à pouvoir piloter une F1 sur le tracé de Zandvoort cette année.

« Lorsque Max a piloté pour la première fois sur la nouvelle piste, il a dit : ‘wow, je ne pouvais même pas voir le sommet du virage !’. »

« Il en va de même pour les virages 11 et 12, vous ne pouvez pas voir l’intérieur de la courbe là non plus. C’est ce qui rend la piste si difficile pour certains pilotes, parce que de nombreux virages sont à l’aveugle. »

Malgré cela, Zafelli se dit impressionné par le travail effectué par Codemasters sur la modélisation du tracé de Zandvoort et a hâte de voir les quelques corrections apportées à la version finale du jeu.

« Les courbes 11 et 12 sont beaucoup plus compliquées dans la vie réelle, parce que dans une voiture normale, vous ne pouvez pas voir le sommet de la courbe à gauche. »

« Je pense que Codemasters a obtenu les données du circuit avant sa construction. Nous sommes prêts à aider Codemasters pour rendre le circuit aussi réaliste que possible. »

« Je suis extrêmement impressionné par ce que Codemasters a fait avec les graphismes. L’atmosphère est très bien faite et j’espère que les courses dans le jeu seront également très réalistes. S’ils apportent quelques modifications supplémentaires avant la sortie du jeu, ce sera une belle expérience. »

La F1 rediffuse l’incroyable GP de Monaco 1982 ce mercredi

La F1 rediffuse ce mercredi 6 mai le Grand Prix de Monaco 1982 remporté par l’Italien Riccardo Patrese au volant de sa Brabham-Ford.

C’est un paddock endeuillé qui arrive à Monaco en 1982, seulement deux semaines après la mort de Gilles Villeneuve, décédé lors des qualifications du Grand Prix de Belgique à Zolder.

Pour ce Grand Prix de Monaco 1982, Ferrari n’engagera qu’une seule de ses monoplaces au départ de la course en hommage à Gilles Villeneuve.

Sur un plan purement sportif, le Français Alain Prost est en tête du classement en arrivant à Monaco et est suivi de près par John Watson, Keke Rosberg et Niki Lauda.

Lors des qualifications, le pilote Renault René Arnoux décroche la pole position, battant l’Italien Riccardo Patrese et sa Brabham d’une demi-seconde, alors que les Renault avec leur moteur turbo n’étaient clairement pas la favorites sur le tracé monégasque.

René Arnoux prend un bon départ et conserve la tête de la course, mais au quinzième tour, le pilote Renault part en tête-à-queue et est dans l’obligation d’abandonner. C’est alors Alain Prost qui se retrouve aux commandes de la course.

Une fin de course mouvementée

Mais à seulement trois tours de l’arrivée, Prost toujours en tête, heurte le mur à l’entrée de la chicane et Riccardo Patrese s’empare de la tête de la course. Mais au tour suivant, l’Italien tombe en panne.

Didier Pironi sur Ferrari prend alors la tête de la course, mais dans le dernier tour, la monoplace du pilote français est à l’arrêt sous le tunnel en raison d’une panne d’essence. Au même moment, Andrea De Cesaris sur son Alfa Romeo tombe également en panne, alors que Derek Daly envoie sa Williams-Ford dans les rails au Bureau de Tabac.

Pendant ce temps-là, les commissaires de piste ont aidé Riccardo Patrese à repartir en poussant sa Brabham-Ford qui était tombée en panne quelques tours plus tôt. L’Italien remportera la toute première victoire de sa carrière à Monaco en 1982.

Ce mythique Grand Prix de Monaco 1982 sera rediffusé ce mercredi 6 mai à 20h00 (heure de Paris) sur les différents canaux de communication de la F1 : YouTube, Facebook et F1.com.

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Covid-19 : le protocole médical appliqué en F1 détaillé par le Pr Saillant

Le Professeur Gérard Saillant, responsable médical de la FIA, est revenu en détail sur les mesures sanitaires qui seront mises en place dès que la saison 2020 de F1 débutera.

La F1 n’a toujours pas débuté sa saison 2020, après un faux départ en Australie au mois de mars où la catégorie reine du sport automobile a été « obligée » d’annuler l’épreuve au tout dernier moment en raison de la crise sanitaire du coronavirus.

Désormais, la F1 espère pouvoir débuter sa saison 2020 en Autriche au mois de juillet (le 5 juillet) avec deux courses disputées à huis clos sur le tracé du Red Bull Ring de Spielberg.

Mais pour que toutes les conditions de sécurité sanitaire soient respectées, la F1 devra mettre en place toute une série de mesures dans le paddock, à commencer par des tests sur toutes les personnes se rendant sur place.

Le Professeur Saillant a confirmé que la FIA travaille actuellement sur les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et du Comité International Olympique (CIO), affirmant que cette dernière organisation est intéressée par les plans de l’instance dirigeante, la F1 devant devenir « le premier événement sportif international à repartir ».

« Ce qui se passera en Autriche peut être différent de ce qui se passera en Allemagne ou en Hongrie. » insiste le Professeur Saillant dans les colonnes de l’Equipe.

« Chaque pays a des réglementations différentes, et la situation du circuit, des hôtels, va également influencer cette règle de confinement. Si la piste est à la campagne, les choses sont différentes que si c’est dans une ville. »

« Singapour ou le Vietnam auraient une organisation médicale complètement différente s’ils avaient un grand prix à organiser maintenant. Déjà, le gouvernement singapourien pourrait forcer l’isolement du paddock pendant une quinzaine de jours avant que nous puissions accéder à la piste. »

« Pour l’Autriche, c’est différent. Le pays sort de la crise qui, chez eux, a été relativement modérée. Dans ce pays sûr, la règle du jeu serait de faire quelque chose dans le paddock d’encore plus sûr. »

Avec tout de même presque 2000 personnes devant encore assister à un grand prix à huis clos, Saillant affirme que des contrôles réguliers seraient effectués soit par PCR ou par test de contrôle de la température, tandis que le personnel à risque ne serait pas autorisé à voyager.

« Toutes ces précautions permettraient à 1 000 ou 2 000 personnes d’être à l’intérieur du circuit, pour qui un maximum de mesures seront prises. »

« Et s’ils sortent du circuit, selon des règles très strictes [même bus, même endroit, même hôtel], nous répéterons les tests à un rythme qui reste à définir par les autorités locales et l’OMS. »

En ce qui concerne le nombre de personnes potentiellement nécessaires pour les tests, Saillant a déclaré: « Nous renforçons actuellement un excellent partenariat avec la Croix-Rouge internationale afin d’avoir, en plus de la couverture médicale habituelle, du personnel COVID spécialisé. »

« Mais les tests pratiqués aujourd’hui ne seront peut-être pas les mêmes en juillet. On parle de plus en plus de tests de salive plus rapides pour éviter d’immobiliser 1 000 personnes, des kits avec des résultats en quelques minutes. »

Pour que la Formule 1 puisse reprendre dans les plus stricte conditions de sécurité, Ross Brawn a annoncé il y a quelques jours qu’une « biosphère » serait mise en place en Autriche dans le paddock, ce que confirme le Professeur Saillant : « Nous devons limiter les risques. »

« Avec un grand prix à huis clos, il n’y a pas besoin d’hospitalité (Motorhomes). Les personnes présentes seront dans un espace ventilé et non confiné, et auront été sélectionnées. »

« Au sein de cette » bulle « , nous travaillons avec le service juridique pour mettre en place, sur une base volontaire, une application qui permettrait de savoir quel contact a été établi, à moins d’un mètre, avec quelqu’un de positif. »

Pas d’annulation si un cas positif est detecté

Précision importante du Professeur Saillant : si un cas positif est detecté dans le paddock, il ne devrait pas y avoir d’annulation de l’épreuve.

« « La situation a évolué depuis l’Australie. Nous avons prévu tout un dispositif de réponse rapide pour confirmer le diagnostic, isoler et tester les personnes qui ont été en contact avec un cas positif. »

« Pour moi, le Grand Prix ne serait pas annulé. C’est comme si vous me disiez que le métro est fermé parce qu’un voyageur y a été diagnostiqué positivement. »

BMW ne regrette pas d’avoir quitté la F1 et ne compte pas revenir

Le constructeur allemand BMW ne compte pas revenir en F1 et n’a absolument aucun regret d’avoir quitté la catégorie reine en 2009.

Après seulement quatre saisons avec sa propre équipe, le constructeur allemand BMW a décidé de quitter la F1 en 2009, quelques mois après Honda.

A l’époque, la crise économique a obligé les grands constructeurs automobiles à revoir leur implication dans le sport auto et BMW, bien que solide financièrement, n’a pas été épargnée par cette crise.

Interrogé pour savoir si l’on pouvait espérer revoir un jour une équipe d’usine BMW en F1, le responsable du développement de la marque bavaroise a été très clair sur le sujet.

« La contribution pour la marque est minime et l’investissement est énorme, donc, nous n’avons pas regretté notre départ de la Formule 1. » a déclaré Klaus Fröhlich, responsable du développement de la marque BMW au journal Süddeutsche Zeitung.

« Entre autres choses, la catégorie traverse une période très difficile avec les changements. Notre stratégie dans le sport automobile suit celle de notre société. Nous n’avons pas besoin d’un championnat particulier pour mettre en valeur la marque. »

« Pour certains grands constructeurs, c’est peut-être la cas, mais d’un autre côté, nous avons des stratégies liées au produit de série avec des moteurs thermiques et électriques pour nous guider. »

« Le fait est que, de façon générale, la volonté d’investir est moindre et avec l’ajout des problèmes liés au coronavirus, nous devons faire face à ce qui est probablement la plus grande récession économique depuis 1945. C’est pour cela que je pense qu’il sera difficile de voir arriver de nouveaux constructeurs en F1. »

Fernando Alonso va annoncer ses plans pour 2021 « bientôt »

Le double champion du monde de F1 Fernando Alonso a déclaré qu’il ferait une annonce très prochainement sur ses plans pour 2021.

Depuis son départ à la retraite fin 2018, le pilote de F1 Fernando Alonso s’est essayé à diverses disciplines, la dernière en date étant le Rallye Dakar en début d’année.

L’Espagnol ne cache plus depuis quelques mois maintenant qu’il aimerait revenir en F1 dans une équipe capable de lui offrir des chances de se battre pour le titre mondial, et l’Asturien comptait sur l’introduction des nouvelles règles en 2021 pour tenter de revenir.

Mais en raison de la crise du coronavirus et du report du début de la saison 2020 de F1, les nouvelles règles en catégorie reine du sport automobile ne seront pas introduites avant la saison 2022, ce qui pourrait chambouler les plans de Fernando Alonso.

En tout cas, l’ancien pilote McLaren a annoncé avoir déjà pris une décision pour la suite de sa carrière et a déclaré qu’il ferait une annonce « bientôt ».

« L’une des choses que je répète depuis 2018, c’est que je voulais vivre quelque chose de différent comme le WEC, Daytona ou le Dakar. » explique Alonso.

« Je voulais aussi mettre un peu de côté la F1 et son ‘écosystème ». J’ai toujours dit que les nouvelles règles pouvaient faire l’affaire, j’ai encore faim, mais désormais, les nouvelles règles ont été décalées à 2022. Je sais ce que je vais faire l’année prochaine, j’espère l’annoncer bientôt. »

Un retour au Mans

« Oui [je reviendrai au Mans]. Je dirais que oui. Les Hypercars semble être un grand projet tout comme les LMdh. Il y a beaucoup de choses pour l’avenir qui peuvent donner un coup de pouce pour l’endurance. Je ne peux dire quand, mais j’y serai à nouveau. »

« J’ai toujours voulu courir au Mans, et mon expérience avec Toyota et mes deux victoires ont dépassé toutes mes attentes. Lorsque vous avez l’adrénaline et la passion du Mans, vous trouvez la course très courte et vous voulez encore plus d’heures. »

Budget capé : La F1 fait une ultime proposition aux équipes

Les patrons de la F1 ont fait une proposition aux équipes d’un plafond budgétaire variable passant de 145 millions à 135 de dollars au cours des trois prochaines années.

Comme nous vous le rapportions ce lundi, la Formule 1 a proposé l’introduction d’un plafond budgétaire de 145 millions de dollars à partir de la saison 2021, mais ce plafond sera réduit à 140 millions en 2022 et à 135 millions pour la période allant de 2023 à 2025.

Dans les prochains jours, les équipes de F1 vont évaluer cette idée et devront ensuite voter pour  ou contre l’introduction de ce budget capé « mobile ».

La décision finale sera prise lors d’une réunion entre les chefs d’équipe, le président de la FIA Jean Todt, le président de la F1, Chase Carey et Ross Brawn, le manager sportif de la F1.

En plus de réduire le niveau du plafond budgétaire, deux propositions clés ont été faites régissant la recherche aérodynamique et la « valeur notionnelle » des pièces des écuries clientes.

L’une vise à niveler les écarts dans le peloton et l’autre à refléter la valeur des ressources de recherche et développement investies par les grandes équipes dans les pièces qu’elles vendent à d’autres.

En ce qui concerne la recherche aérodynamique, il y aura une quantité de référence définie de temps de soufflerie et de données de calcul autorisées, ainsi qu’une échelle mobile d’allocation de ces données en fonction de la position finale d’une équipe au championnat précédent.

Les trois meilleures équipes d’une année donnée ne seront autorisées qu’à 70% de l’allocation totale; l’équipe qui a terminé quatrième 80%, puis un accroissement de 5% jusqu’à ce que les équipes neuvième et dixième soient autorisées à 105% et 110% du total.

En bref, cela signifie que l’équipe qui a terminé dernière aura 40% de recherches aérodynamiques en plus l’année suivante par rapport aux trois premières.

La règle de la « valeur notionnelle » définit une évaluation pour les pièces généralement achetées par les équipes clientes auprès des fabricants, telles que les boîtes de vitesses, les suspensions, etc… Une fois qu’une équipe a acheté ces pièces, leur valeur définie est retirée de leur plafond budgétaire total.

Dans le cas d’un désaccord au sujet de l’introduction de ces règles d’une ou plusieurs équipes, la FIA aura toujours la possibilité d’activer sa « clause de sauvegarde » ajoutée au code sportif international il y a quelques jours et qui lui permet d’annuler l’exigence d’approbation unanime des concurrents pour modifier les règles à la dernière minute.

La FIA a déclaré que ce changement était nécessaire « compte tenu de la crise sans précédent de Covid-19 ». Cela signifie que tant que cinq équipes accepteront les propositions, aucune objection ne les empêchera d’être adoptées.

Carlos Sainz : « Mon père est une grande inspiration pour moi »

Le pilote de F1 Carlos Sainz ne cache pas son admiration pour son père Carlos Sainz Sr et admet qu’il est pour lui une réelle inspiration.

Carlos Sainz Sr, surnommé « El Matador », continue d’impressionner son fils, après avoir remporté cette année son troisième Dakar au volant d’un Mini Buggy à l’âge de 57 ans.

Le pilote espagnol, double champion du monde de WRC en 1990 et 1992, reste une inspiration pour son fils Carlos Sainz Jr , qui évolue pour sa part en Formule 1 chez McLaren.

Lorsqu’on demande à Carlos Sainz Jr quelle est sa principale inspiration dans sa carrière de pilote, l’Espagnol n’hésite pas une seconde à citer son propre père avec qui il participe à de nombreuses activités sportives.

« J’ai le meilleur exemple à la maison sur la façon de réussir dans le sport et il [Sainz Sr] continue de réussir à 57 ans. » déclare le pilote McLaren.

« Je pense qu’il est une grande inspiration pour moi et la façon dont il se prépare chaque jour pour continuer à réussir sur le Dakar est quelque chose de très spécial. »

« En Rallye, il me dépasse, même si je me rapproche. En Kart, je gagne logiquement parce que c’est ma discipline. Dans tous les autres sports, c’est très compétitif : tennis, paddle…le squash, il continue à me battre, il a été champion d’Espagne. »

« Il est meilleur que mois dans beaucoup de domaines. Il a beaucoup de talent et petit à petit j’essaye de le battre. »

La F1 ne repoussera pas davantage l’introduction des nouvelles règles

Ross Brawn a insisté sur le fait que l’introduction de la nouvelle réglementation en Formule 1 ne serait plus retardée davantage.

En raison de la crise de coronavirus, la F1 n’a pas eu d’autre choix que de reporter d’une année l’introduction des nouvelles réglementations initialement prévues pour 2021.

En raison de ce report, les monoplaces de la saison prochaine seront les mêmes que celles qui seront utilisées en 2020 lorsque la saison débutera.

Les nouvelles règles sportives et techniques quant à elles seront donc bien introduites en Formule 1 à partir de 2022 et ce délai ne sera pas repoussé davantage a indiqué le manager sportif de la F1, Ross Brawn.

« Je pense que certaines équipes ont poussé pour les retarder d’une année. Je pense qu’il est justifié de reporter ces voitures [actuelles] à l’année prochaine, parce que nous sommes en plein confinement, c’est donc tout à fait justifié. » explique Brawn.

« Avec l’introduction de ces nouveaux règlements, nous visons à rendre le sport plus économiquement viable en termes de complexité, pour savoir où l’argent est dépensé. »

« Les voitures que nous avons maintenant sont si complexes que vous pourriez dépenser toujours plus. Nous devons donc niveler cette pente et créer une situation où l’argent n’est pas la seule priorité dans la façon dont vous serez compétitifs. »

« Par conséquent, nous avons besoin de ces nouvelles monoplaces [2022] pour niveler cette pente. »

« Nous souhaitons toujours que les grandes équipes gagnent, mais nous devons maintenir l’intégrité du sport, faire en sorte que les meilleures équipes gagnent. »

« Je pense que nous pourrions avoir une certaine compétitivité avec ces nouvelles réglementations. Les nouvelles voitures sont encore un peu loin, mais elles arriveront définitivement en 2022. »

 

La F1 plombe les objectifs de Ferrari

Le PDG de Ferrari, Louis Camilleri, a confirmé que Ferrari avait revu ses objectifs à la baisse en 2020 en raison de la situation en F1.

Le constructeur automobile Ferrari s’attend en 2020 à une baisse drastique de ses revenus issus de la Formule 1, notamment en raison de l’organisation de courses sans spectateurs cette année suite à l’épidémie de coronavirus.

Dans ce contexte si particulier, Ferrari a donc revu à la baisse ses objectifs financiers pour 2020 et vise désormais un chiffre d’affaires compris entre 3.4 et 3.6 milliards d’euros, contre 4.1 milliards d’euros visés précédemment.

« La Formule 1 est sans doute l’activité qui aura un effet négatif sur nos résultats en 2020, et aussi celle qui est la plus difficile à prévoir, parce que le calendrier initial comportait 22 courses. » a expliqué Louis Camilleri lors d’une conférence téléphonique avec les investisseurs.

« La FIA et la Formule 1 prévoient un maximum de 18 courses, dont de nombreuses sans spectateurs. »

« Il en résultera une réduction drastique des revenus générés par le détenteur des droits commerciaux, ainsi que par le sponsoring, qui sont nos deux principales sources de revenus. Espérons que cela sera limité pour cette année. »

Ferrari en faveur d’un budget capè à 145 millions en F1

Abordant le problème du plafond budgétaire, qui doit être introduit en Formule 1 l’année prochaine, et qui est discuté actuellement entre les différentes parties, Louis Camilleri s’est montré favorable à l’abaissement de ce dernier à 145 millions de dollars par saison, comme évoqué ce lundi par le manger sportif de la F1, Ross Brawn.

« Notre espoir est que cela rende la Formule 1 plus économiquement durable pour tout ceux qui y participent, tout en veillant à ce qu’elle reste le premier championnat de course au monde t la source de progrès significatifs en matière d’innovation et de technologie automobile. »

Jos Verstappen a du mal à imaginer une course de F1 à Zandvoort en 2020

L’ancien pilote de F1 Jos Verstappen a du mal à croire que le Grand Prix des Pays-Bas puisse se tenir cette année à Zandvoort.

En raison de l’épidémie de coronavirus, le Grand Prix des Pays-Bas fait partie des courses qui ont été reportées à une date ultérieure encore inconnue.

Les organisateurs eux-mêmes sont assez pessimistes quant à la tenue du Grand Prix des Pays-Bas cette année, notamment parce que le gouvernement a annoncé qu’aucun rassemblement ne pourrait avoir lieu avant le mois de septembre aux Pays-Bas.

Jos Verstappen pour sa part estime lui aussi que l’annulation de l’épreuve semble de plus en plus probable en raison de la situation sanitaire actuelle.

« Le Grand Prix des Pays-Bas était l’une des courses que tout le monde en Formule 1 attendait avec impatience. » a déclaré Jos Verstappen à la presse néerlandaise.

« Tout était prêt pour une grande fête, alors que désormais, je ne peux pas imaginer qu’il y ait une course à Zandvoort. »

« Reporter la course à l’année prochaine est une option, mais c’est une décision qui appartient à la F1 et au circuit. »

« J’ai du mal à imaginer que sans vaccin [pour le Covid-19] nous puissions être à nouveau ensemble avec 100 000 personnes. C’est une situation absurde. »

Les organisateurs du GP des Pays-Bas aimeraient pouvoir caler leur course au mois de septembre, mais sont bien conscients que ce sera difficile.

« Nous travaillons avec une fenêtre étroite. Tout d’abord, nous devons [attendre] le 1er septembre. Avant cela, nous ne pouvons rien dire, à moins que quelque chose ne change substantiellement jusqu’au 1er septembre. » a déclaré Jan Lammers, directeur du GP des Pays-Bas, à MotorsportWeek.

« Mais même dans le cas d’une course à huis clos, cela signifierait que vous avez toujours quelques milliers de personnes dans les installations. Ce serait un peu comme un stade complet dans un match de football amateur. »

« Où en est le gouvernement ? Nous devons avoir un réponse claire. Mais pour cela, nous devons vérifier auprès du gouvernement où nous en sommes. »

« Cela peut être faisable, à la fois en raison du nombre de personnes et du calendrier dont nous parlons, ce pourrait être quelque part vers fin septembre au plus tôt. »

« Mais nous ne comptons plus trop là-dessus, nous avons juste accepté qu’il est très probable que ce sera simplement reporté une année plus tard. »

Ce Japonais fait le buzz avec son simulateur F1 impressionnant

Le Japonais Atsushi Hrok fait le buzz auprès des fans de F1 depuis quelques jours après avoir posté une courte vidéo de son simulateur de F1.

Fervent admirateur du regretté Ayrton Senna, le Japonais Atsushi Hrok s’est offert un simulateur de pilotage reproduisant à la perfection les mouvements de caisse et les différentes aspérités de la piste.

Atsushi Hrok a partagé une vidéo Onboard avec la McLaren de 1991 ( MP4/6) dans les rues étroites de la principauté de Monaco et dans laquelle on peut voir son simulateur doté de vérins hydrauliques et d’une boîte de vitesses manuelle comme à l’époque.

Mais la passion du Japonais pour la Formule 1 ne se résume pas seulement à Ayrton Senna, puisque lorsqu’il ne se prend pas pour le pilote brésilien au volant de la McLaren, Hrock enfile la combinaison rouge de Ferrari pour imiter son autre idole, Sebastian Vettel aux commandes d’une monoplace moderne.

 

Williams Racing annonce l’arrivée d’un nouveau partenaire

L’équipe de F1 Williams Racing annonce ce mardi un nouveau partenariat avec Precision Hydration.

L’écurie Williams Racing a annoncé aujourd’hui l’arrivée de Précision Hydratation en tant que fournisseur officiel de l’équipe pour la saison 2020 de F1. Precision Hydration est l’un des leaders dans le domaine de la science de l’hydratation sportive.

Precision Hydration utilisera sa technologie brevetée de test de la sueur au repos, adaptée de l’industrie médicale, pour mesurer avec précision la quantité de sodium que chaque pilote et chaque membre de l’équipe des stands perd dans leur sueur.

Cela permettra au personnel de l’équipe Williams de concevoir et de mettre en œuvre des plans d’hydratation personnalisés pour aider toute l’équipe à rester parfaitement hydratée dans les voitures et le garage.

« En tant qu’équipe, notre recherche de performances est implacable et nous avons donc souhaité sécuriser l’opportunité de travailler avec une entreprise comme Precision Hydration. » explique Tim Hunt, directeur commercial et marketing chez Williams.

« Nous avons déjà travaillé avec des pilotes et des mécaniciens individuels en Formule 1, mais  Williams Racing est la première équipe à s’engager à comprendre les besoins d’hydratation de toute son équipe en utilisant notre technologie et notre savoir-faire. » ajoute Andy Blow, fondateur de la société Precision Hydratation.

Max Verstappen n’aura pas le droit à sa marrée orange en début de saison

Max Verstappen trépigne d’impatience et espère que la saison 2020 de F1 va débuter en Autriche en juillet comme prévu.

Vainqueur en Autriche lors des deux dernières éditions, le pilote Red Bull Max Verstappen apprécie particulièrement le tracé du Red Bull Ring de Spielberg et espère que la saison 2020 de F1 pourra bien débuter sur ce circuit au mois de juillet.

« J’aime toujours piloter là-bas [sur le Red Bull Ring en Autriche] et j’espère que nous aurons deux courses, en tout cas, les deux dernières courses se sont bien déroulées pour nous. » a déclaré Max Verstappen sur Servus TV.

Cependant, le pilote Red Bull regrette déjà le fait que la marrée orange de fans néerlandais, qui sont toujours très présents en Autriche chaque année, ne sera pas là en 2020 en raison de la crise sanitaire obligeant la F1 à disputer des courses à huis clos dans un premier temps.

« Voir cette marrée orange est vraiment sympa et c’est dommage qu’ils ne soient pas là. Mais le plus important est que nous puissions courir à nouveau pour le titre mondial. »

« Donc, je veux aller sur la piste le plus tôt possible, j’espère que ce sera en Autriche, en tout cas je suis prêt à partir. »