Ferrari – Lewis Hamilton veut retrouver le plaisir de piloter

Après plusieurs courses difficiles avec Ferrari cette saison, Lewis Hamilton promet de redécouvrir le côté « ludique » de la Formule 1, tout en admettant avoir été submergé par la pression depuis son arrivée chez la Scuderia.

Le Britannique, qui a quitté Mercedes après une décennie de succès couronnée de six titres mondiaux pour signer chez Ferrari, avait initialement accueilli ce nouveau défi avec enthousiasme. Cependant, cette excitation a rapidement été tempérée, notamment après une victoire en course sprint en Chine, où il avait pourtant décroché la pole position. Depuis, Hamilton peine à retrouver sa régularité et son rythme de course, culminant avec sa performance décevante lors du dernier Grand Prix avant la pause estivale en Hongrie. À cette occasion, il s’était auto-critique sévèrement, se qualifiant d’« inutile ».

À l’approche du Grand Prix des Pays-Bas à Zandvoort, Hamilton a expliqué que la trêve estivale lui avait permis de se « complètement déconnecter » et de prendre du recul. Le pilote de 40 ans a passé ce temps à se consacrer à sa famille et à ses amis, décrivant cette pause comme « formidable » et essentielle pour retrouver son équilibre mental et sa motivation.

Cette période de récupération semble cruciale pour Hamilton, qui souhaite aborder la seconde moitié de saison avec un état d’esprit renouvelé. Retrouver le plaisir de piloter et la légèreté qui ont marqué sa carrière pourrait également l’aider à mieux gérer la pression inhérente à son rôle chez Ferrari, une équipe attendue au plus haut niveau et sous les feux de la rampe du championnat des constructeurs.

Alors que Zandvoort accueille le retour de la Formule 1 après la pause estivale, tous les regards seront tournés vers Hamilton pour observer s’il parvient à combiner expérience, talent et plaisir retrouvé sur ce circuit exigeant.

S’adressant aux médias, Hamilton s’est dit « déterminé et motivé » à prendre un nouveau départ avec Ferrari après une première période mouvementée.

« Nous allons travailler dur, garder la tête baissée, essayer de changer certaines choses dans notre approche et commencer à prendre du plaisir », a déclaré Hamilton. « Il y a eu tellement de pression au cours de cette première moitié de saison que cela n’a pas été des plus agréables, donc je pense qu’il faut simplement se rappeler que nous aimons ce que nous faisons, que nous sommes tous dans le même bateau, et j’essaie de m’amuser. »

Invité à définir précisément la pression à laquelle il fait référence, Hamilton semble avoir eu du mal à supporter la pression médiatique liée à son statut de pilote Ferrari et tout ce que cela implique.

Expliquant d’où venait cette pression, Hamilton a déclaré : « En fin de compte, c’est simplement le fait de devoir gérer tout ce que nous avons à faire, tous les nouveaux partenaires, toutes les séances photo que nous avons faites, l’intégration dans une nouvelle équipe, et c’est une très grande équipe. C’est aussi la plus grande marque de notre sport, donc c’est une combinaison de tous ces différents éléments. Ça a été beaucoup. »

Zandvoort 2025 : des trophées spéciaux pour un ultime Grand Prix néerlandais

Le Grand Prix des Pays-Bas, prévu ce week-end à Zandvoort, distribuera aux pilotes montés sur le podium et au constructeur vainqueur des trophées fabriqués à la main. Selon les publications officielles de l’épreuve sur les réseaux sociaux, il s’agira de coupes en porcelaine blanche décorées de motifs bleus traditionnels, sur lesquelles figurent des lions aux couleurs distinctives : dorés et orange pour les trophées des vainqueurs, rouges et bleus pour les deuxième et troisième places.

Pour Max Verstappen, quadruple champion du monde et pilote Red Bull, il s’agira de l’avant-dernière occasion de remporter le trophée sur son circuit national. Depuis le retour de Zandvoort au calendrier en 2021, le Néerlandais y a remporté les trois premières éditions, ne concédant qu’une deuxième place en 2024 derrière Lando Norris. Ce qui lui permet de conserver un palmarès parfait de podiums sur ce tracé côtier, illustrant son aisance sur ce circuit sinueux et exigeant.

La course 2025 marque également un moment charnière pour le futur du Grand Prix néerlandais. Le contrat du circuit de Zandvoort n’étant pas renouvelé au-delà de 2026, cette piste emblématique pourrait être remplacée par d’autres disciplines, notamment l’IndyCar ou la NASCAR. Le rendez-vous de cette saison conserve donc une dimension symbolique forte, autant pour le public local que pour Verstappen, qui reste un véritable favori du public néerlandais.

Entre tradition artisanale et enjeu sportif, la remise des trophées à Zandvoort reflète à la fois le riche héritage culturel de la course et la passion des fans pour leur champion national. Avec ce Grand Prix, la F1 offre un hommage unique à son circuit côtier et à son pilote phare, tout en préparant le terrain pour les évolutions à venir après 2026.

Quand McLaren peut-elle être sacrée championne du monde des constructeurs 2025 ?

Après 14 courses sur 24, McLaren domine outrageusement la saison avec 11 victoires et 24 podiums. Ses pilotes, Oscar Piastri et Lando Norris, ont cumulé 559 points, soit 339 de plus que Ferrari (260 points).

L’équipe britannique se rapproche ainsi de son 10ᵉ titre constructeurs, ce qui lui permettrait de dépasser Williams (9 titres) et de s’installer seule à la deuxième place du palmarès derrière Ferrari (16).

Scénario pour le titre dès Bakou (21 septembre)

Mathématiquement, McLaren pourrait remporter le championnat lors du Grand Prix d’Azerbaïdjan, 17ᵉ manche de la saison :
• McLaren doit marquer 43 points maximum par course (victoire + 2ᵉ place) aux GP des Pays-Bas, Italie et Azerbaïdjan, soit 688 points au total.
• Ferrari, son plus proche rival, doit se limiter à 27 points par course (équivalent à une 3ᵉ et 4ᵉ place), ce qui donnerait 341 points après Bakou.
• Dans ce cas, McLaren aurait 347 points d’avance, avec seulement 346 encore disponibles sur les 7 derniers Grands Prix (dont 3 sprint).

McLaren pourrait donc être couronnée dès le GP d’Azerbaïdjan, avec 7 courses restantes, un record.

Les records encore en vue en 2025
• Plus grand nombre de points sur une saison : le record actuel est détenu par Red Bull en 2023 (860 points).
→ McLaren peut atteindre un maximum théorique de 1 034 points.

• Titre le plus tôt remporté : Red Bull avait scellé le championnat 2023 au Japon (16ᵉ manche sur 22).
→ Si McLaren gagne à Bakou (17ᵉ sur 24), elle battrait ce record avec 7 courses restantes, contre 6 pour Red Bull.

Sergio Perez sur son retour en F1 : « Je n’ai rien à prouver »

À l’heure de préparer son retour sur la grille en 2026 avec Cadillac, Sergio Perez affirme aborder cette nouvelle étape de sa carrière avec une conviction intacte : il n’a « rien à prouver » en Formule 1.

Le Mexicain, qui fera équipe avec Valtteri Bottas au sein de la nouvelle structure soutenue par General Motors, retrouvera la compétition après une année loin des circuits. Une pause forcée, consécutive à une saison 2024 difficile chez Red Bull, marquée par son départ de l’écurie à la fin de la campagne.

Depuis, les pilotes appelés à prendre sa place n’ont pas trouvé la clé pour briller aux côtés de Max Verstappen. Liam Lawson n’a disputé que deux courses avant d’être remplacé, tandis que Yuki Tsunoda peine à marquer des points et à s’imposer dans une équipe taillée autour du triple champion du monde.

Pour Perez, ces difficultés mettent en lumière l’ampleur du défi qu’il a lui-même relevé durant quatre saisons passées à Milton Keynes. Elles rappellent aussi la pression unique qui pèse sur le deuxième baquet de Red Bull, souvent considéré comme l’un des plus exigeants de la grille.

« Ce que vivent mes successeurs démontre simplement la réalité de cette équipe : ce n’est pas un siège comme les autres », souligne Perez. De quoi conforter le pilote de 35 ans dans sa lecture de son passage chez Red Bull, où il a joué un rôle clé dans les titres constructeurs de l’écurie.

Avec Cadillac, Perez entend désormais se tourner vers l’avenir, fort de son expérience et libéré de la nécessité de se justifier. Pour lui, ce nouveau chapitre s’écrit avant tout sous le signe de la sérénité et de la transmission.

« Eh bien, je ne pense pas avoir quoi que ce soit à prouver », a déclaré Perez aux médias. « Pas seulement à cause des pilotes actuels ou des prochains pilotes qui ont pris ma place [chez Red Bull], mais même avant cela. Tout le monde l’oublie maintenant, mais c’était une situation très délicate, il fallait constamment s’adapter, prendre confiance, mentalement, c’était un défi très particulier. Et oui, je ne pense pas avoir quoi que ce soit à prouver. Quand on dit que le nombre de points qu’ils ont marqués est de cinq [sept] points sur toute la saison. Je ne pense donc pas avoir quoi que ce soit à prouver à cet égard. »

Verstappen « sans pression » à Zandvoort selon Jolyon Palmer

À l’approche de son Grand Prix national aux Pays-Bas, Max Verstappen se présente dans une situation inédite : le quadruple champion du monde en titre n’a, selon Jolyon Palmer, « rien à perdre ».

Relégué à 97 points du leader du championnat Oscar Piastri à dix courses de la fin, le pilote Red Bull voit ses espoirs de cinquième couronne consécutive quasiment anéantis. La RB21 souffre en effet d’un net déficit de performance face à la MCL39 de McLaren, et il apparaît peu probable que Red Bull réalloue des ressources à sa monoplace actuelle, avec les bouleversements réglementaires prévus pour 2026.

Une situation qui met fin, pour le moment, à la quête de Verstappen d’égaler Michael Schumacher et ses cinq titres consécutifs. Tout porte à croire que le numéro 1 passera entre les mains de Piastri ou Lando Norris dès 2026.

Pour autant, le Néerlandais peut aborder Zandvoort l’esprit libéré. Depuis le retour du Grand Prix des Pays-Bas en 2021, il s’y est imposé trois fois en quatre éditions, n’échouant qu’en 2024 face à Norris, où il avait malgré tout terminé deuxième.

Selon Palmer, cette combinaison d’un public acquis à sa cause et de l’absence de véritable enjeu au championnat pourrait offrir à Verstappen l’occasion de « courir sans calcul, pour la victoire et le spectacle ».

Autrement dit, même si le titre semble hors d’atteinte, Verstappen pourrait bien transformer son week-end national en coup d’éclat – et rappeler que, dans les bonnes conditions, il reste redoutable.

« Cela va lui donner un coup de pouce, cela doit forcément lui donner un coup de pouce », a expliqué Palmer dans le podcast F1 Nation à propos du soutien du public néerlandais. Le public de Zandvoort est l’un des meilleurs de la saison, il arrivera plein d’entrain, et s’il pense que le championnat est perdu, ce qui est très certainement le cas, il pourra se dire : « Oh, qu’est-ce qui reste à jouer ? »

Mais en réalité, Max, en se rendant à Zandvoort, saura ce qu’il y a à gagner, car le public sera bruyant et s’il décroche la pole position et remporte la course. Il est certes confronté à un défi de taille, mais je pense que c’est le moyen idéal pour Max de revenir après la pause estivale et une course difficile en Hongrie en se disant : « Oui, je peux encore faire une grande course », et j’espère que le public le soutiendra et le poussera à continuer à se battre. »

Bottas lucide sur le défi Cadillac : « Je me prépare mentalement au pire »

Valtteri Bottas a reconnu qu’il abordait son arrivée chez Cadillac F1 avec une grande lucidité, admettant s’être préparé « mentalement au pire » avant de plonger dans ce nouveau projet.

Après avoir passé une saison en retrait comme pilote de réserve et troisième pilote chez Mercedes, le Finlandais, qui fêtera ses 36 ans jeudi, retrouvera un baquet de titulaire en 2026 aux côtés de Sergio Perez, lui aussi de retour après son départ de Red Bull fin 2024. Cadillac, soutenue par General Motors, fera ses débuts en Formule 1 avec un moteur Ferrari pour ses deux premières campagnes, avant de développer son propre groupe propulseur à l’horizon 2028. Mais malgré les moyens importants mis sur la table, Bottas reste conscient que la tâche sera ardue pour une structure totalement nouvelle, qui deviendra la 11e équipe du plateau.

« Graeme Lowdon [directeur de l’équipe] m’a été très clair dès les premiers échanges : le chemin sera difficile », a confié le Finlandais, qui sait que les premières saisons seront surtout consacrées à l’apprentissage.

Bottas, ancien vice-champion du monde et vainqueur de dix Grands Prix, poursuit néanmoins son rôle actuel chez Mercedes jusqu’à la fin de l’année, avant de basculer pleinement dans son nouveau défi. « J’ai déjà appuyé sur le bouton reset dans ma tête », explique-t-il, déterminé à transformer ce projet en opportunité de relance personnelle.

Avec l’expérience combinée de Bottas et Perez – plus de 500 départs, 16 victoires et 106 podiums –, Cadillac espère s’appuyer sur une base solide pour franchir progressivement les étapes et poser ses marques en Formule 1.

« Pour moi, c’est un peu comme lorsque j’ai rejoint Alfa après avoir quitté Mercedes », a déclaré Bottas à certains médias, à propos de son transfert vers une équipe de milieu de tableau après avoir quitté le constructeur huit fois champion du monde en 2022. « J’ai en quelque sorte dû redéfinir mon objectif.»

« J’ai donc déjà fait ce travail dans ma tête. Comme nous en parlons depuis longtemps avec Graeme, il m’a toujours assuré que le chemin ne serait pas facile, que la première année serait probablement difficile, et j’ai accepté cela. Je sais à quoi m’attendre. Mentalement, il vaut mieux se préparer au pire, car tout ce que l’on accomplit ensuite sera alors vraiment positif et gratifiant. Donc, le simple fait de m’impliquer, de mettre les mains dans le cambouis avec l’équipe, une fois que les progrès et le succès seront là, c’est ce qui me motive, c’est ce qui va me permettre d’avancer et me donner cette récompense. Il s’agit simplement de gérer les attentes, de travailler dur, et les récompenses viendront, et c’est ce qui m’enthousiasme. C’est pour cela que je suis ici. »

Cadillac alignera en 2026 le troisième duo de pilotes le plus expérimenté de la grille

Mardi, Cadillac a officialisé l’arrivée de Valtteri Bottas et Sergio Perez comme pilotes titulaires pour son entrée en Formule 1 en 2026. Avec un total cumulé de 527 départs en Grand Prix, 16 victoires et 106 podiums, le duo formé par le Finlandais et le Mexicain sera le troisième plus expérimenté de la grille au moment du coup d’envoi de la saison à Melbourne.

En plus de leurs résultats individuels, les deux vétérans comptent également sept titres constructeurs remportés au sein de Mercedes (Bottas) et Red Bull (Perez), ce qui en fait un atout stratégique majeur pour une nouvelle écurie qui cherchera à s’imposer rapidement.

Selon l’analyse de RacingNews365, ce classement de l’expérience a été établi en additionnant 20 Grands Prix aux statistiques actuelles de chaque binôme de coéquipiers, partant du principe que tous prendront le départ des 10 dernières manches de 2025. Les chiffres exacts pourraient toutefois varier : une absence due à une blessure, une suspension ou un changement de pilote pourrait modifier le total final.

De même, le nombre de départs de Bottas pourrait encore évoluer si le Finlandais venait à remplacer George Russell ou Kimi Antonelli chez Mercedes, où il occupe actuellement le rôle de pilote de réserve.

Avec ce duo expérimenté, Cadillac entend marquer son arrivée en F1 par la stabilité et la fiabilité, des atouts essentiels pour s’installer durablement sur la grille dès 2026.

NOMBRE DE DÉPARTS EN GRAND PRIX PAR COÉQUIPIERS POUR LA SAISON DE F1 2026

# Pilotes Écurie Total
1. Fernando Alonso, Lance Stroll Aston Martin 614
2. Lewis Hamilton, Charles Leclerc Ferrari 551
3. Valtteri Bottas, Sergio Perez Cadillac 527
4. Carlos Sainz, Alex Albon Williams 357
5. Max Verstappen, Yuki Tsunoda Red Bull 344
6. Nico Hulkenberg, Gabriel Bortoleto Stake 275
7. Lando Norris, Oscar Piastri McLaren 222
8. Esteban Ocon, Oliver Bearman Haas 207
9. Pierre Gasly, Franco Colapinto Williams 203
10. George Russell, Kimi Antonelli Mercedes 176
11. Liam Lawson, Isack Hadjar Racing Bulls 58

Valtteri Bottas explique son choix de rejoindre Cadillac en F1

Valtteri Bottas a détaillé les raisons qui l’ont conduit à s’engager dans le projet ambitieux de Cadillac en Formule 1. Présenté mardi comme l’un des deux pilotes de la future écurie américaine, aux côtés de Sergio Perez, le Finlandais voit dans cette opportunité une chance de relancer pleinement sa carrière.

Après avoir perdu son volant chez Stake F1 fin 2024, Bottas avait pris un rôle de pilote de réserve chez Mercedes, mais son objectif restait clair : retrouver un baquet à temps plein. Avec 527 départs cumulés, 16 victoires et 106 podiums à eux deux, Cadillac a misé sur un duo expérimenté pour ses débuts.

« Ce projet représente bien plus qu’un simple retour sur la grille », a expliqué Bottas. « Cadillac veut s’imposer en F1 et je suis motivé à contribuer à bâtir une équipe capable de jouer un rôle majeur dans les prochaines années. »

L’écurie, soutenue par General Motors, fera ses premiers pas en 2026 avec un moteur fourni par Ferrari, avant de développer sa propre unité de puissance d’ici 2028. Pour Bottas, l’expérience acquise aussi bien au sommet, avec Mercedes, que dans des structures de milieu de peloton, constitue un atout précieux pour guider cette nouvelle aventure.

Déterminé à transformer Cadillac en force compétitive, le pilote de 35 ans voit dans ce défi une occasion idéale d’allier son expérience à un projet ambitieux qui entend marquer l’histoire de la Formule 1.

« Dès que j’ai commencé à discuter avec Cadillac, j’ai senti quelque chose de différent, quelque chose d’ambitieux mais aussi de réaliste », a expliqué Bottas. « Ce n’est pas seulement un projet de course, c’est une vision à long terme. Ce n’est pas tous les jours qu’on a la chance de participer à la création d’un projet à partir de zéro et de contribuer à en faire quelque chose qui a vraiment sa place sur la grille de départ de la F1. J’ai eu l’honneur de travailler avec certaines des meilleures équipes au monde, et je retrouve ici le même professionnalisme et la même soif de réussite.»

« Il s’agit d’une marque emblématique qui jouit d’un héritage considérable dans le sport automobile américain, et faire partie de cette aventure alors qu’elle fait son entrée sur la scène mondiale de la F1 est quelque chose d’incroyablement spécial pour moi. Je suis impatient de représenter l’esprit américain de la course automobile sur les plus grands circuits du monde. Je tiens également à remercier Mercedes pour son soutien indéfectible et son esprit sportif, qui ont permis de franchir cette étape passionnante. »

F1 – Programme et horaires du Grand Prix des Pays-Bas 2025

Après un mois de trêve estivale, la Formule 1 retrouve la piste avec la 15ᵉ manche de la saison 2025 : le Grand Prix des Pays-Bas. L’épreuve, disputée sur le circuit de Zandvoort, marque le coup d’envoi de la seconde moitié du championnat.

Ce retour à la compétition se fera sous les yeux du public néerlandais, acquis à la cause de son héros local et quadruple champion du monde en titre, Max Verstappen. Le rendez-vous promet donc une atmosphère survoltée dans les tribunes.

Mais cette manche aura également une saveur particulière : Zandvoort vit sa dernière année au calendrier. Le contrat du circuit côtier ne sera pas prolongé au-delà de 2026, ce qui confère à cette édition restante une dimension presque nostalgique pour les fans.

Retrouvez le programme complet et les horaires du GP des Pays-Bas de Formule 1.

Séance Heure française
Essais libres 1 12h30 – 13h30
Essais Libres 2 16h00 – 17h00
Essais Libres 3 11h30 – 12h30
Qualifications 15h00 – 16h00
Course 15h00

Pérez croit au potentiel de Cadillac en F1 : « Nous pouvons être de vrais concurrents »

Sergio Pérez affiche une confiance retrouvée à l’approche de son retour en Formule 1 avec Cadillac. Aux côtés de Valtteri Bottas, le Mexicain estime que la nouvelle écurie américaine a toutes les cartes en main pour devenir rapidement un adversaire crédible sur la grille.

Choisis pour former le duo de pilotes qui portera Cadillac lors de ses débuts en 2026, Pérez et Bottas incarnent un pari sur l’expérience. Ensemble, ils totalisent 527 départs en Grand Prix, 106 podiums et 16 victoires, un bagage qui a convaincu les dirigeants de la nouvelle équipe.

Après quatre saisons passées chez Red Bull comme lieutenant de Max Verstappen, Pérez avait disparu du paddock en 2025, préférant se consacrer à sa famille. Mais l’arrivée de Cadillac marque pour lui une occasion de relancer sa carrière. « Construire une équipe à partir de zéro est une opportunité unique. Avec l’expérience que nous avons, je suis persuadé que nous pouvons transformer Cadillac en un véritable concurrent », a-t-il déclaré.

Cadillac bénéficiera dans un premier temps du soutien technique de Ferrari, qui fournira ses moteurs pour les deux premières campagnes, avant le développement d’un bloc maison prévu pour 2028. Cette structure solide, combinée à l’expertise de ses pilotes, devrait donner à l’écurie une base compétitive dès son arrivée.

Pour Pérez, 35 ans, ce nouveau chapitre sonne comme un défi personnel autant que collectif : prouver qu’il peut encore peser dans la discipline reine tout en participant à la naissance d’une équipe ambitieuse.

« Rejoindre l’équipe Cadillac de Formule 1 est un nouveau chapitre incroyablement passionnant dans ma carrière », a déclaré Perez. « Dès nos premières conversations, j’ai pu sentir la passion et la détermination qui animent ce projet. C’est un honneur de participer à la création d’une équipe qui peut se développer ensemble afin que, avec le temps, nous puissions nous battre aux premier rang. Cadillac est un nom légendaire dans le sport automobile américain, et aider à faire entrer une entreprise aussi fantastique en Formule 1 est une énorme responsabilité, que je suis prêt à assumer. »

« Je suis fier de participer à un projet aussi ambitieux et significatif dès ses débuts. Je suis vraiment ravi de faire partie d’une équipe aussi dynamique, et je suis convaincu qu’ensemble, nous pouvons contribuer à faire de cette équipe un véritable prétendant au titre, l’équipe des Amériques. Nous comptons sur le soutien de tout le continent et voulons rendre tout le monde fier. »

La FIA relève la limite de vitesse dans les stands à Zandvoort

La FIA a annoncé une modification notable pour le Grand Prix des Pays-Bas 2025 : la vitesse maximale autorisée dans la voie des stands de Zandvoort passera de 60 km/h à 80 km/h.

Habituellement fixée à 100 km/h sur la majorité des circuits, la limite est réduite à Zandvoort en raison de l’étroitesse de la voie des stands et des risques encourus par les mécaniciens. Jusqu’à présent, cette contrainte obligeait les équipes à limiter les arrêts, transformant la course en une épreuve souvent disputée sur une seule stratégie.

En réhaussant la limite à 80 km/h, la FIA espère offrir davantage de variété tactique. Les équipes devraient être plus enclines à programmer deux arrêts, voire plus, sans craindre de perdre trop de temps dans les stands.

Cette décision s’accompagne d’un autre élément stratégique majeur : le choix de Pirelli d’apporter une sélection de pneus plus tendres qu’en 2024. Le fournisseur italien a retenu les composés C2, C3 et C4 pour ce rendez-vous, contre la combinaison plus dure C1-C2-C3 l’an dernier. Ce sera par ailleurs le 500e Grand Prix de Formule 1 de Pirelli en tant que fournisseur officiel.

L’an passé, Lando Norris (McLaren) s’était imposé sur ce tracé exigeant, où les dépassements restent difficiles. Entre météo capricieuse annoncée et nouvelles règles dans les stands, l’édition 2025 pourrait bien réserver une course beaucoup plus ouverte sur le plan stratégique.

F1 – Grand Prix des Pays-Bas : un week-end pluvieux et venteux attendu à Zandvoort

La Formule 1 reprend après la pause estivale avec un Grand Prix des Pays-Bas qui s’annonce mouvementé sur le plan météorologique.

Selon les prévisions, la semaine débutera sous un soleil estival avec des températures atteignant 28 °C mardi, à l’arrivée du paddock. Mais les conditions devraient rapidement se dégrader à l’approche du week-end de course.

Les températures devraient tomber autour de 20 °C au moment des essais et de la course, compliquant la gestion des pneus. À cela s’ajouteront de forts vents côtiers venant du sud-ouest, rendant la conduite plus délicate et donnant une impression de froid accentué.

La pluie viendra compléter ce tableau capricieux : des averses fréquentes sont attendues tout au long du week-end, bien que leur intensité et leur timing exact restent incertains. Le samedi pourrait être la journée la plus humide, entrecoupée de brèves éclaircies.

Jour

Température 

Conditions 

Vent 

Vendredi 

~22 °C

Ciel variable, averses possibles

Vent du sud-ouest modéré à fort

Samedi 

~20 °C

Journée la plus pluvieuse, averses fréquentes avec éclaircies brèves

Rafales côtières gênantes

Dimanche

~21 °C

Pluie intermittente, parfois plus soutenue

Vent soutenu, rendant les voitures instables

 

Racing Bulls favorable à davantage de courses sprint en F1

Alan Permane, directeur de l’écurie Racing Bulls, a déclaré qu’il accueillerait avec enthousiasme une augmentation du nombre de courses sprint au calendrier de la Formule 1.

Introduites en 2021 avec trois épreuves par saison, les courses sprint font désormais partie de six week-ends chaque année. Le PDG de la F1, Stefano Domenicali, a déjà laissé entendre que ce format pourrait être élargi dans les années à venir.

Andrea Stella, patron de McLaren, avait récemment affirmé qu’il était « ouvert » à une telle évolution, une position que partage désormais Permane, soulignant l’attrait supplémentaire qu’apportent ces courses au spectacle.

« En fin de compte, nous devons donner à nos clients ce qu’ils veulent, c’est-à-dire les spectateurs, les personnes qui nous regardent », a déclaré Alan Permane aux médias. « C’est notre priorité et, bien sûr, nous faisons confiance à Stefano et à la F1. Ils font un travail formidable. Avec eux et grâce à la Commission F1, nous pouvons façonner ce sport. Je trouve que les sprints sont très amusants. Je serais ravi d’en faire quelques-uns de plus, sans problème. »

Stefano Domenicali a également suggéré que les grilles inversées pourraient devenir une option pour les week-ends de Grand Prix, probablement mises en œuvre dans le cadre des courses sprint. Le directeur de Pirelli F1, Mario Isola, a déclaré que le sport devait veiller à trouver un équilibre entre la prise de risques et le fait d’éviter de mettre en œuvre de nouvelles idées trop tardivement.

« J’ajouterais que changer quelque chose alors que tout va bien est risqué, et personne ne veut prendre de risque », a déclaré Isola. « Mais si nous ne voulons pas être en retard, nous devons anticiper ce qui pourrait être le succès de la Formule 1 à l’avenir, ce qui n’est pas garanti. Nous en sommes arrivés là parce que Stefano et son organisation ont décidé de faire quelque chose qui, au début, était assez étrange, inhabituel, et qui a bien fonctionné. Nous affirmons donc aujourd’hui que la Formule 1 est une plateforme fantastique pour nous tous, mais nous devons poursuivre cette initiative afin de créer quelque chose de nouveau. »

Cadillac officialise Bottas et Perez pour son arrivée en F1 en 2026

Cadillac a confirmé l’identité de son premier duo de pilotes en Formule 1 : Valtteri Bottas et Sergio Perez seront au volant des monoplaces américaines dès la saison 2026.

L’écurie devient ainsi la 11e formation de la grille et a fait le choix de l’expérience. À eux deux, Bottas et Perez cumulent 527 départs, 16 victoires et sept titres constructeurs. Un bagage qui doit permettre à Cadillac de s’installer rapidement au cœur du peloton.

Pour ses débuts, la marque américaine bénéficiera du soutien technique de Ferrari, fournisseur moteur pour 2026 et 2027, avant le développement d’un bloc maison prévu pour 2028. Des essais sont déjà envisagés l’an prochain avec une ancienne monoplace de Maranello.

Ce retour marque une nouvelle étape pour les deux pilotes après une saison blanche en 2025. Bottas, libéré par Stake, a occupé le rôle de troisième pilote chez Mercedes et conseillé le jeune Kimi Antonelli, tout en prenant part à des essais avec McLaren. De son côté, Perez a profité de son année hors du paddock pour se recentrer sur sa vie familiale, après avoir été écarté de Red Bull à l’issue d’une campagne 2024 compliquée.

L’annonce a été faite via une vidéo officielle sur les réseaux sociaux de Cadillac, en présence de Keanu Reeves, qui prépare actuellement un documentaire retraçant l’histoire de l’écurie, de sa création à ses débuts programmés au Grand Prix d’Australie 2026.

Avec ce duo chevronné et un soutien technique solide, Cadillac affiche d’emblée de hautes ambitions pour son arrivée dans la discipline reine du sport automobile.

Mercedes retarde la mise à niveau de sa suspension arrière

Andrew Shovlin, directeur de l’ingénierie piste chez Mercedes, a précisé que la mise à jour de la suspension arrière était suspendue en attendant les résultats des essais, même si elle a été testée en course.

Le nouveau design a été introduit à Imola, mais depuis le début de la saison européenne, la performance de la W16 a chuté, avec un seul podium à ce jour, obtenu par George Russell en Hongrie. Kimi Antonelli a également souffert des difficultés de la monoplace. La suspension incriminée avait été retirée lors des Grands Prix de Monaco et d’Espagne avant d’être réintégrée au Canada, où l’équipe a signé un résultat remarquable d’une première et d’une troisième place.

Le patron Toto Wolff a reconnu que la mise à niveau d’Imola pourrait finir « à la poubelle », tandis que Shovlin a détaillé les problèmes rencontrés par l’équipe avec ces pièces.

« Au moment où elle est arrivée, nous avions quelques problèmes dans nos travaux en laboratoire, ce qui signifie que certains résultats des essais sont arrivés bien après qu’elle ait été testée en piste », a déclaré Shovlin aux médias. « Nous l’avons bien sûr examiné à la loupe à ce moment-là, car il avait été retiré de la voiture à Monaco et à Barcelone, puis réintroduit pour Montréal. D’une certaine manière, cela a peut-être été gênant de le réintroduire lors de notre meilleur week-end de course de l’année, et nous sommes toujours en train d’analyser les données des essais en laboratoire pour comprendre ce qui n’allait pas. En réalité, si nous prouvons qu’il y a un problème, nous tirerons les leçons de cette expérience, car il est toujours très difficile de modifier la suspension de composants existants, car tout est une question de compromis. Mais si tel est le cas, nous en tirerons les leçons et cela nous sera utile pour la conception de la prochaine voiture. »

Kimi Raikkonen réagit avec humour à son absence du panel F1 de Goodwood

Lors du Goodwood Festival of Speed plus tôt cette année, un groupe de sept champions de F1 s’est réuni pour discuter de l’évolution du sport au cours des 75 dernières années. Mika Hakkinen, Jackie Stewart, Alain Prost, Nigel Mansell, Jacques Villeneuve, Mario Andretti et Emerson Fittipaldi ont participé à cette discussion, diffusée intégralement sur la chaîne YouTube officielle de la F1.

Cependant, plusieurs anciens champions, dont Kimi Raikkonen, étaient absents. Sur les réseaux sociaux, le Finlandais n’a pas manqué de réagir à cette omission. En commentant la publication officielle de la F1 sur Instagram, Raikkonen a simplement écrit : « Merci pour l’invitation. »

Ce commentaire impassible a immédiatement séduit les fans et est rapidement devenu viral, cumulant plus de 18 000 likes. Depuis sa retraite à la fin de la saison 2021, Raikkonen est apparu rarement en public, s’éloignant des projecteurs. Champion du monde 2007 avec Ferrari, il compte 21 victoires et 103 podiums au cours de sa carrière.

 
 
 
 
 
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McLaren appelle Piastri et Norris à privilégier l’équipe dans la lutte pour le titre

Andrea Stella, patron de McLaren, a exhorté Oscar Piastri et Lando Norris à maintenir le respect mutuel dans leur bataille pour le championnat de F1. Piastri devance actuellement Norris de neuf points dans la course au premier titre mondial pour McLaren depuis celui de Lewis Hamilton en 2008.

Au cours des 14 premières manches, un seul incident majeur a été enregistré : Norris est entré en collision avec Piastri au Canada, mettant fin à sa course et lui coûtant au moins 10 points.

McLaren a rappelé que ses « Papaya rules » restaient en vigueur tout au long de la saison, avec la priorité donnée à l’équipe avant les ambitions individuelles. L’équipe est toujours en lice pour le titre des constructeurs et pourrait le remporter dès l’Azerbaïdjan, dans trois courses seulement. Stella insiste donc pour que ses pilotes continuent de placer les intérêts de McLaren avant tout.

« Nous sommes McLaren Racing, nous [connaissons] la valeur de la Formule 1 et nous voulons offrir de belles courses », a déclaré Stella aux médias. « Nous voulons donner à nos deux pilotes la possibilité d’utiliser et d’exprimer leur talent, de poursuivre leurs aspirations et leur réussite personnelle. Cela doit se faire dans le respect des intérêts de l’équipe, de l’équité, de l’esprit sportif et du respect mutuel. Pour moi, c’est ce que je vois lorsque nous avons une stratégie divergente, lorsque nous avons différentes options, et cela fait partie de la course. Nous voulons nous assurer qu’aucun pilote ne soit surpris, et aucun pilote n’a été surpris jusqu’à présent, et je ne peux qu’être reconnaissant à Lando et Oscar d’avoir interprété la façon dont nous abordons la course en tant qu’équipe, en tant que groupe. Il en sera de même jusqu’à la fin de la saison. »

Nico Hülkenberg aurait pu devenir coéquipier de Verstappen chez Red Bull en 2021

Nico Hulkenberg était sur le point de rejoindre Max Verstappen chez Red Bull en 2021, a révélé Helmut Marko. Après une saison 2020 décevante, l’écurie de Milton Keynes avait décidé de se séparer d’Alex Albon.

Ne souhaitant pas offrir une seconde chance à Pierre Gasly, Red Bull s’est tournée vers des pilotes expérimentés en dehors de son programme junior. Hulkenberg et Sergio Perez étaient alors les principaux candidats. La logique voulait qu’un vétéran confirmé rejoigne Verstappen, à l’image du duo Hamilton-Bottas chez Mercedes.

À un moment, Hulkenberg était même favori pour le poste. L’Allemand, absent de la grille en 2020 après avoir perdu son siège chez Renault au profit d’Esteban Ocon, s’était distingué lors de ses apparitions en tant que remplaçant chez Racing Point.

Cependant, la progression tardive de Perez, couronnée par sa première victoire au Grand Prix de Sakhir 2020, a finalement fait pencher la balance en sa faveur. Hulkenberg a donc manqué l’opportunité de devenir un pilote de pointe avant de faire son retour en F1 avec Haas en 2023.

Se remémorant le choix entre Hulkenberg et Perez, Marko a expliqué à F1-Insider : « À l’époque, il [Hulkenberg] était, je crois, co-commentateur chez Servus TV, donc nous avions déjà une relation, et les discussions avaient commencé, mais ensuite Perez a remporté cette course à Bahreïn, je crois, et à cause de cela, tout a basculé en faveur de Perez », a déclaré Marko à F1-Insider.

« Je pense que cela aurait été une très bonne période, car les deux s’entendent très bien, et oui, Hulkenberg est une valeur sûre pour marquer des points, et dans notre voiture, il aurait également occupé les premières places. En fait, je maintiens mes décisions, et il faut garder à l’esprit que plus de 95 % des pilotes qui ne sont pas restés dans notre équipe continuent à courir en Formule E, en WEC, en DTM ou ailleurs », a expliqué Marko.

« Ils gagnent bien leur vie, bien plus qu’ils ne le feraient probablement dans un métier civil, et ils font ce qu’ils aiment, à savoir la compétition automobile. Et c’est principalement grâce à notre implication que cela a été possible. La Formule 1 est le summum, et elle exige non seulement du talent, mais aussi des caractéristiques particulières et une certaine force, tant mentale que physique. »

Sondage – Quel pilote remportera le GP des Pays-Bas F1 2025 ?

Après une pause bien méritée, la F1 fait elle aussi sa rentrée des classes, aux Pays-Bas.

C’est à Zandvoort que les 20 pilotes et les 10 écuries de F1 vont retrouver leurs habitudes. Sur les terres de Max Verstappen, les McLaren orange, couleur si chère aux yeux des Néerlandais, vont-elles une nouvelle fois écraser la concurrence, ou une autre écurie va-t-elle créer la surprise ? 

Swansea City lance un troisième maillot inspiré des couleurs Gulf Racing

Le Swansea City Football Club a levé le voile sur son troisième maillot pour la saison 2025/26, reprenant les emblématiques teintes bleu et orange de Gulf Racing, récemment aperçues en F1 avec Williams.

La marque légendaire Gulf a fait son retour en Formule 1 en 2022 via McLaren, qui avait présenté une livrée spéciale lors du Grand Prix de Monaco. Les deux partenaires avaient déjà collaboré dans les années 1960 et 1970, puis de nouveau dans les années 1990 pour les 24 Heures du Mans, où McLaren avait terminé deuxième en 1997 avec la célèbre livrée Gulf. Plus récemment, Williams a arboré les couleurs emblématiques lors de trois courses en 2023 – à Singapour, au Japon et au Qatar – après avoir signé Gulf Oil comme partenaire principal.

Swansea City adopte désormais cette palette pour sa prochaine saison en Ligue anglaise. Dans un communiqué, le club explique : « Après le succès de notre quatrième maillot commémoratif 2023-24, qui arborait le logo Gulf pour célébrer le 30e anniversaire de notre victoire dans l’Autoglass Trophy, ce nouveau troisième maillot reprend les couleurs bleu et orange emblématiques de Gulf. Ce design dynamique rend hommage aux livrées légendaires de la Ford GT40, Porsche 917 et McLaren F1 GTR, et évoque également de grands souvenirs pour nos fans, puisque ces couleurs figuraient sur plusieurs maillots appréciés des années 1990. »

Le maillot sera bientôt disponible pour les supporters, avec le lancement supervisé par le propriétaire du club et figure majeure du football, Luka Modric.