Nico Hulkenberg a confirmé que Renault n’avait toujours pas reçu les nouvelles pièces pour réparer le système DRS de la RS19 à Barcelone.

Depuis hier, les deux pilotes Renault doivent se contenter de rouler sans pouvoir utiliser le DRS, qui a connu un dysfonctionnement au moment où Daniel Ricciardo était en piste ce mardi.

Interrogé aujourd’hui, Nico Hulkenberg a confirmé qu’il n »avait pas pu utiliser le DRS ce matin lors de son roulage.

« Ce fut une autre séance productive pour moi aujourd’hui, et nous nous sommes surtout concentrés sur les longs relais. » explique Nico Hulkenberg.

« Nous avons effectué différents réglages et tests aérodynamiques, puisque nous roulons pour l’instant sans le système DRS. »

« Mais même si nous n’avions pas d’aileron arrière mobile, qui coûte environ six ou huit dixièmes ici, cela était tout de même suffisant pour comprendre davantage la nouvelle monoplace de mon côté. »

« La semaine a été plutôt chargée, avec beaucoup de roulage, mais nous devons faire en sorte de maximiser les essais. »

« Nous avons encore beaucoup de choses à découvrir ou à développer, mais j’apprécie cette période de l’année. C’est toujours très excitant, j’espère juste avoir une bonne dernière journée demain, afin que nous puissions conclure cette première semaine positivement. »

Le patron de Red Bull, Christian Horner, a nié l’existence de problèmes de vibrations avec le nouveau bloc d’alimentation Honda.

Les rumeurs selon lesquelles quelque chose n’allait pas avec l’intégration du bloc d’alimentation Honda dans le châssis de la RB15 ont obligé Christian Horner à prendre la parole sur le sujet ce mercredi à Barcelone.

Horner est catégorique: chez Red Bull, tout fonctionne comme prévu et le moteur Honda ne pose aucun problème.

« Nous n’avons rencontré aucun problème de vibrations depuis le début des essais. Je ne sais pas d’où vient cette rumeur. » insiste Christian Horner.

Le Britannique a ensuite ajouté que Red Bull expérimenté un niveau d’appui plus faible que ses rivaux depuis le début de la semaine, ce qui expliquerait en partie pourquoi la RB15 ne figure pas dans le top trois depuis lundi.

« Nous étions un peu plus légers en appui au début de la semaine. Mais il s’agit bien évidemment de comprendre ces règles, ces règlements. »

« La voiture atteint les objectifs que nous nous sommes fixés. Et comme nous le voyons toujours à cette période de l’année, il est un peu trop facile de se laisser entraîner par les temps signés par les autres. »

« Nous sommes très concentrés sur ce que nous faisons et notre propre programme. Et jusqu’à présent, tout se déroule comme prévu. »

Elle était la vraie star aujourd’hui à Barcelone, la Williams FW42 est enfin arrivée en Esspagne et a pu prendre la piste dans l’après-midi.

Mais avec plus de deux jours de retard sur les équipes concurrentes, Williams n’a clairement pas cherché la performance aujourd’hui avec une monoplace qui n’en était qu’au stade de shakedown afin de vérifier que tous les systèmes fonctionnent correctement.

George Russell, qui a eu l’honneur de prendre le volant de la FW42 en premier aujourd’hui a confirmé que ce premier galop d’essais a juste servi à l’équipe à faire des vérifications, les vrais essais ne débuteront que jeudi selon le pilote britannique.

« Aujourd’hui, c’était clairement un shakedown. » admet George Russell. « Nous nous sommes assurés que tout fonctionne bien, les vrais essais commenceront demain. »

« J’aurais aimé rouler beaucoup plus vite, mais c’est une nouvelle voiture et nous n’avons pas pu faire de shakedown avant. »

« Il s’agit désormais d’assembler des données et des informations importantes pour comprendre les points forts et les points faibles de la monoplace. La piste était à 10 ou 15° et donc ce n’était pas trop pertinent en termes de performance pure. »

« Je fais de mon mieux pour aider l’équipe, je ne veux pas juste faire un chrono, je veux faire de mon mieux pour aider l’équipe à comprendre les problèmes. »

Interrogé ce mercredi dans le paddock de Barcelone au sujet des performances de la Scuderia Ferrari depuis ce début de semaine, Lewis Hamilton admet que l’équipe italienne a l’air forte cette année.

Le pilote Mercedes, avec un petit sourire en coin tout de même, a déclaré que Ferrari était très forte en ce moment, tout en soulignant que la Scuderia Ferrari affiche toujours un bon niveau de compétitivité en début d’année.

« Je ne pense pas que l’on puisse donner de chiffres pour le moment, mais Ferrari est très, très forte en ce moment. » déclare Hamilton ce mercredi dans le paddock de Barcelone.

« Ils accumulent beaucoup de kilomètres, donc, ils semblent avoir un meilleur package que celui qu’ils avaient l’an dernier. »

« Ça veut dire que ce sera encore plus difficile pour nous cette année, ils ont vraiment l’air en pleine forme. Nous, nous essayons juste de comprendre la voiture, un peu comme chaque début d’année. »

« Ferrari semble toujours particulièrement forte, notamment ces dernières années, ils ont toujours paru solides en début d’année. Il fallait donc s’y attendre, de notre côté, nous suivons juste notre processus. »

« Tout le monde travaille dur, c’est normal, nous laissons les autres faire ce qu’ils ont à faire et nous essayons de nous concentrer, de creuser, et de nous assurer que nos processus sont meilleurs que jamais auparavant. »

« Nous voulons juste analyser les données mieux que jamais, ainsi que ce qu’apportent les pilotes. De mon côté, je veux m’assurer d’apporter les bons commentaires, les plus précis possibles. C’est sur ça que je vais essayer de me concentrer. »

Depuis le début de la semaine à Barcelone, Mercedes cache clairement son jeu et jamais les deux pilotes ne sont allés chercher le chrono durant les trois première journées de tests.

Le team principal de l’équipe Red Bull Racing, Christian Horner, se veut très optimiste après les trois premiers jours de tests à Barcelone.

Depuis lundi, l’équipe Red Bull Racing affiche une bonne performance avec sa RB15, ainsi qu’une bonne fiabilité au niveau du moteur Honda qui équipe l’écurie cette année.

Horner a d’ailleurs révélé aujourd’hui que Honda avait déjà préparé une première mise à jour pour son unité de puissance, qui sera introduite dés la première manche pour le Grand Prix d’Australie à Melbourne.

« Mercedes se trouve derrière nous en ce moment, red Bull va continuer à se développer. » a déclaré Christian Horner ce mercredi à Barcelone.

« Le département aérodynamique a encore du pain sur la planche, mais Honda a promis une première évolution dés le début de la saison à Melbourne. »

Ce mercredi, Max Verstappen a terminé la journée à la cinquième position avec sa Red Bull-Honda.

Notons également que le moteur Honda a permis à Daniil Kvyat de Toro Rosso de terminer la troisième journée des tests en tête.

Claire Williams, la patronne de l’équipe éponyme, n’en menait pas large ce mercredi devant les médias lorsqu’elle a été interrogée pour comprendre pourquoi Williams avait deux jours de retard sur ses concurrents.

Aucun explication directe de la part de la patronne de l’écurie britannique, mais Claire Williams admet qu’une ambiance « bizarre » règne en ce moment à Grove.

« Ce serait un euphémisme de dire que les derniers jours ont été horribles. » a déclaré Claire Williams.

« Ce fut une naissance difficile de la FW42. Nous devions nous assurer de présenter la meilleure voiture possible et c’est pour cela que nous avons retardé nos essais jusqu’à aujourd’hui. »

« Ça m’a ouvert les yeux. Je pense qu’on prend les choses un peu trop pour acquises, même pour quelqu’un comme moi qui gravite dans cet univers depuis si longtemps. »

« Tout le monde a pu présenter sa monoplace à temps excepté nous. Je ne vais donc pas chercher d’excuses. L’atmosphère est bizarre en ce moment au sein de l’équipe. Ce fut difficile pour tout le monde. On ne peut pas sous-estimer la déception ressentie par tout le monde. »

Finalement, après deux jours et demi de retard, la FW42 a enfin pris la piste ce mercredi après-midi à Barcelone.

Ferrari et McLaren ont testé cette semaine à Barcelone de nouvelle jantes inspirées des fameuses jantes percées introduites en F1 l’an dernier par Mercedes.

On se souvient tous des très controversées jantes ventilées de Mercedes en 2018, mais qui avaient été finalement jugées conformes par la FIA.

Cette jante [ou du moins un prototype y ressemblant fortement] a été testée cette semaine à Barcelone par Ferrari, mais aussi par McLaren. Ces jantes, au design spécifique, permettent de réguler la températures à l’intérieur de la roue, et donc d’empêcher une surchauffe des gommes arrière.

On se sait pas pour l’instant si Ferrari et McLaren utiliseront cette jante au cours de la saison 2019, alors qu’on se souvient que Ferrari a eu un problème de cloques sur ses pneus arrière l’an dernier à Monza.

Dans le même contexte, plusieurs équipes ont fait rouler leur monoplace ce matin à Barcelone avec des instruments de mesure positionnés sur l’arrière de leur monoplace, derrière les roues.

Ces équipes, dont Red Bull et Alfa Romeo, doivent certainement chercher à utiliser elles aussi ces fameuses jantes ventilées.

La Formule 1 vient de confirmer la date de publication de la série sur la Formule 1 filmée par Netflix lors de la saison précédente en 2018.

Le documentaire Drive to Survive racontera un certains nombre d’histoires sur les équipes et les pilotes qui ont participé à la saison 2018, le tout programmé sur une série de dix épisodes.

« Alors que nous entrons dans une nouvelle ère de la Formule 1, nous sommes ravis d’annoncer notre nouvelle série de documentaires « Drive to Survive ». a déclaré Ian Holmes, directeur des droits des médias pour la Formule 1.

« Cette série vraiment unique incarne ce sport et nous aide à mettre en valeur et à mettre au jour les histoires inédites sur et en dehors de la piste. »

« Le partenariat avec Netflix pour créer une série originale nous positionne à l’avant-garde pour devenir une marque de média et de divertissement et attirer de nouveau fans du sport. »

Le premier épisode de la série Drive to Survive sera disponible à partir du 8 mars 2019 sur Netflix.

Malgré un crash survenu en toute fin de journée hier avec sa Red Bull, Pierre Gasly assure que le premier feeling avec la RB15 est très bon.

Le pilote français a rejoint l’équipe Red Bull Racing en 2019, après avoir passé une première année complète chez Toro Rosso en 2018.

Grosse nouveauté cette année, Red Bull Racing est motorisée par Honda, et beaucoup estimaient que l’équipe de Milton Keynes allait rencontrer de gros problèmes d’intégration du V6 nippon à l’arrière de la RB15.

Mais après sa première journée de tests ce mardi, Pierre Gasly assure que le feeling est bon avec la RB15, qui n’a rencontré aucun problèmes majeurs.

« C’est plutôt bien dans l’ensemble, parce qu’on a réussi à faire plus de 90 tours. » a expliqué Gasly hier soir après sa journée de roulage.

« On a pu tester pas mal de choses, dans l’ensemble, vraiment content d’être de retour derrière un volant. On a testé des choses positives avec la voiture. »

« Le premier feeling est bon, c’est encourageant. Rassuré, oui, mais je dois dire qu’il n’y avait pas vraiment d’inquiétudes. »

« Mais c’est toujours intéressant de savoir que le potentiel est là. Pour mon premier jour dans la voiture, je me suis senti à l’aise. »

Pierre Gasly sera de retour au volant de la RB15 jeudi, alors que ce mercredi c’est au tour de son coéquipier Max verstappen.

Antonio Giovinazzi se dit très heureux d’avoir pu prendre le volant de l’Alfa Romeo C38 pour la première fois ce mardi à Barcelone.

Le pilote italien débute sa carrière en F1 en tant que pilote titulaire avec Alfa Romeo cette année, alors qu’il a déjà participé à deux courses dans sa carrière avec l’équipe Sauber en remplacement de Pascal Wehrlein, qui s’était blessé au cours de l’hiver 2017.

Mais désormais, Giovinazzi roule dans sa monoplace et l’Italien se dit impatient de commencer à la développer avec son équipe, alors qu’il a parcouru 101 tours ce mardi en Catalogne.

« Ce fut une grande expérience pour moi de piloter ma propre monoplace de Formule 1 pour la première fois et je suis très impatient de la développer avec toute l’équipe cette saison. » déclare Giovinazzi.

« Nous n’en sommes qu’au début du processus d’essais, Nous avons donc essayé quelques différentes configurations aérodynamiques pour en apprendre davantage sur le comportement de la voiture. »

« Je me sentais très à l’aise dans la voiture, et nous avons bouclé un bon nombre de tours. Dans l’ensemble, ce fut une journée positive et je me réjouis d’être dans la voiture à nouveau jeudi. »

Les équipes de F1 s’apprêtent à participer à la troisième journée des essais hivernaux sur le circuit de Barcelone ce mercredi.

Hier mardi, c’est Charles Leclerc au volant de sa Ferrari qui a signé le meilleur temps, le Monégasque a devancé la McLaren de Lando Norris et la Haas de Kevin Magnussen.

L’équipe Williams quant à elle n’a toujours pas participé à la seconde journée de tests, mais la monoplace de l’écurie britannique est arrivée cette nuit sur le circuit de Barcelone.

Cependant, il reste encore beaucoup de travail pour les mécaniciens pour permettre à la FW42 de rouler aujourd’hui, l’équipe ayant planifié de la mettre en piste après la pause déjeuner.

Les pilotes en piste ce mercredi

Mercedes : Bottas/Hamilton

Renault : Hulkenberg/Ricciardo

Red Bull : Verstappen

Haas : Grosjean/Fittipaldi

Williams : NC

Sport Pesa RP : Perez

Alfa Romeo : Raikkonen

Toro Rosso : Kvyat

Ferrari : Vettel

McLaren : Sainz

Alex Albon a fait dés débuts remarqués ce mardi à Barcelone lorsque le pilote Toro Rosso a été victime d’une sortie de piste à peine quatre virages après être entré en piste.

Le Thaïlandais a planté sa monoplace dans le bac à graviers après avoir fait un tête-à-queue en raison d’une piste et de pneus froids.

Mais après cette entrée fracassante, Albon a pu suivre son programme à la lettre et aura bouclé au total 132 tours pour se positionner en P4 à la fin de la journée.

« Au début je pensais dans ma tête « ne fais pas de tête à queue ce matin » et c’est exactement ce que j’ai fait. » explique Albon.

« C’était finalement assez drôle, parce que ça m’est déjà arrivé de faire un tête-à-queue dans mon tour de sortie, mais j’ai essayé de ne pas trop y penser après. »

« En fait, cela m’a rassuré que Kimi l’ait fait la veille, mais après, je suis rentré au garage la queue entre les jambes et tout allait bien. »

« Le problème, c’est qu’il faisait relativement froid, on ne peut pas piloter lentement, et dés que c’est le cas, les pneus deviennent trop froids et c’est comme si on pilotait sur de la glace. »

« Ce n’est pas l’expérience la plus agréable quand il fait cinq degrés et qu’on ne connaît pas encore bien la voiture, et qu’on pilote lentement pour ne pas faire d’erreur et qu’on en fait quand même une. »

Mais au final, Alexander Albon a tout de même réussi à boucler 132 tours de circuit avec sa Toro Rosso à moteur Honda.

« C’était une des plus belles expériences de ma vie, c’était une belle journée. Une fois que j’ai pris mon rythme, c’était plutôt tranquille et nous n’avons eu aucun problème, hormis des petits tête-à-queue plus tard quand je cherchais les limites de la voiture. »

« J’avais déjà tourné un peu mercredi [lors d’un shakedown à Misano], donc ce n’était pas une toute nouvelle expérience, et puis j’ai aussi fait un peu de simulateur, donc je savais un peu à quoi m’attendre. »

« Cependant, la vitesse est définitivement nouvelle pour moi, et c’est un choc positif, car j’ai adoré. Je suris depuis que je suis descendu de la voiture et je pense que je sourirai jusqu’à demain. »

Kevin Magnussen a dû mettre à un terme à sa journée de travail prématurément aujourd’hui à Barcelone en raison d’un problème lié à son baquet.

Le pilote Haas est resté un long moment au garage dans l’après-midi, afin que ses mécaniciens puissent essayer de trouver une solution pour replacer le baquet de Magnussen, qui était mal positionné.

Le problème est que Magnussen ne pouvait pas piloter dans cette position, qui était d’une part inconfortable pour lui, et d’autre part dangereuse d’un point de vue sécuritaire.

Après un long moment, les mécaniciens ont remarqué que l’appui-tête situé à l’arrière de la tête de Magnussen poussait son baquet vers l’avant.

« J’étais assis avec la tête qui pointait vers l’avant, donc, je ne voyais rien. » explique Kevin Magnussen.

« L’appui-tête était trop en avant, de plus, lorsqu’on est assis comme ça et que l’on freine, ce n’est pas facile, donc, je ne pouvais plus piloter. »

« C’est quelque chose que nous devons résoudre, je pense que c’est facile à résoudre, mais nous n’avons simplement pas les pièces. Nous n’avons pas d’autre appui-tête, donc, nous devons résoudre ce problème comme on peut. »

« A part ça, j’ai eu une très bonne sensation dans la voiture. » ajoute Magnussen. « J’ai l’impression qu’elle se comporte bien, elle est constante et stable. »

Finalement, Magnussen a dû céder sa place à Pietro Fittipaldi, le troisième pilote de l’équipe,  pour la dernière heure et demie de la journée.

Charles Leclerc s’est assuré le meilleur temps du jour à Barcelone pour sa toute première sortie officielle au volant d’une Ferrari.

Le jeune monégasque a brillé pour sa première sortie et n’aura commis aucune erreur derrière le volant de sa monoplace avec laquelle il dit s’être amusé aujourd’hui.

« Je suis très heureux de la façon dont s’est déroulée la journée, et malgré quelques interruptions avec des drapeaux rouge, nous avons réussi à boucler tout notre programme et faire 157 tours. » explique Charles Leclerc.

« Nous avons collecté beaucoup de données utiles, et de façon générale, je me suis tout de suite senti à l’aise avec la SF90 et je dois dire que je me suis vraiment amusé. »

« De l’émotion ? Il y a en a toujours quand on monte dans une Ferrari, mais j’ai mis tout ça de côté parce que j’avais un travail à faire avec l’équipe. »

« Espérons que nous continuerons sur cette lancée dans les prochains jours, car il est important de tirer le meilleur parti des quelques opportunités de tests sur piste que nous avons. »

Lando Norris, qui a signé le deuxième temps le plus rapide aujourd’hui, assure que McLaren ne se concentre pas sur les chronos pour l’instant, l’équipe britannique cherchant plutôt à améliorer la fiabilité.

Quoi qu’il en soit, après 104 tours bouclés ce mardi, le jeune britannique peut se targuer d’avoir été l’homme le plus rapide derrière la Ferrari SF90 pilotée par Charles Leclerc.

« C’est une voiture complètement différente de celle de l’année dernière, il y a beaucoup de choses différentes et en termes d’aérodynamique, cela a aussi beaucoup changé. » explique Norris.

« C’est une grande amélioration, mais il y a beaucoup de travail durant ces tests et avant d’arriver en Australie. Nous nous sommes améliorés rapidement durant ces deux jours et de façon générale, c’est une voiture que j’aime bien. »

« C’était mon premier jour dans la voiture, mais j’ai déjà vu beaucoup de choses lundi alors que Carlos tournait. Les temps ne sont pas importants pour nous, il s’agit juste de compléter notre programme, en particulier durant cette partie de la saison quand il y a beaucoup de nouvelles choses sur la voiture à tester. »

« Je n’ai pas fait de longs relais ou d’arrêts au stand, afin de pouvoir parler avec mes ingénieurs. La fiabilité et le kilométrage sont nos deux objectifs pour ces tests, afin d’apprendre à connaître la voiture. »