Sebastian Vettel admet qu’il s’inquiète de la vitesse folle à laquelle avance le monde depuis quelques années maintenant.

Papa de trois enfants, Sebastian Vettel se démarque de la plupart de ses collègues de travail par son absence sur les réseaux sociaux et sa grande discrétion en général dans le paddock lors d’un week-end de Grand Prix.

Le pilote Ferrari a connu une saison 2019 compliquée avec quelques accrochages en piste, notamment avec son jeune coéquipier Charles Leclerc au Grand Prix du Brésil.

Cette année, le quadruple champion du monde a terminé cinquième du championnat pilotes et a dû faire face à quelques critiques concernant son style de pilotage, mais Vettel explique qu’il ne prête pas trop attention aux critiques rapides.

« Vous apprenez avec le temps à mieux y faire face. Beaucoup de gens de différents horizons se forgent un jugement trop rapidement, alors que d’autres choses sont oubliées très rapidement. » constate Sebastian Vettel dans un entretien accordé au Blick.

Le quadruple champion du monde de Formule 1, qui se refuse à exposer sa vie privée sur les réseaux sociaux, s’inquiète de la vitesse à laquelle avance le monde et ne peut s’empêcher de faire un parallèle avec la F1 où l’emploi du temps est extrêmement millimétré chaque week-end.

« Je pense que les gens ont un certain rythme. On pourrait en discuter, au début c’était le cheval qui emmenait les gens d’un point A à un point B, puis est arrivé ensuite la mobilité et son développement. »

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« Je pense que ce qui nous a vraiment dépassé maintenant, c’est l’ordinateur. Il est plus rapide que nous et cela deviendra de plus en plus rapide. La question est simple : Pourrons-nous encore contrôler l’ordinateur dans quelques années ? »

« Je pense que la société ne vit pas bien avec ce développement. Le stress peut mettre la vie en danger, les maladies et les burnouts se multiplient. »

« C’est aussi un gros sujet en Formule 1. Les temps de repos sont-ils trop courts maintenant ? L’année prochaine nous aurons 22 courses pour la première fois. Malheureusement, la situation touche également les jeunes qui fréquentent les plus petites classes à l’école, où les enfants sont simplement plus stressés. Il faudra bientôt trouver des solutions. »

Nico Hülkenberg assure qu’il ne garde pas « un goût amer » après avoir perdu son baquet en Formule 1.

L’Allemand Nico Hülkenberg a quitté l’équipe Renault après la dernière course de la saison à Abou Dhabi et n’a pas réussi à trouver un autre baquet pour la saison prochaine.

Après 177 départs en Grand Prix, Nico Hülkenberg n’a jamais réussi à monter une seule fois sur un podium et aura passé sa carrière dans des équipes de milieu de grille [Williams, Sauber, Force India, Renault].

« C’est arrivé, c’est comme ça. Vous devez en tirer des leçons. À un moment donné, vous devez fermer ce chapitre, passer à autre chose et essayer de faire mieux. » explique Nico Hülkenberg au site de la F1.

« Bien sûr, il y a des situations, si je devais les revivre, où j’aurais pu faire différemment. Mais dans l’ensemble, je suis content. Je ne suis pas amer. »

« J’aurais aimé voir mon nom associé à quelques podiums ou victoires, mais je n’ai jamais eu la chance d’être dans une voiture du haut de la grille. Il y avait certainement des moments où j’aurais pu monter sur le podium, mais les circonstances m’en ont toujours empêché. »

Lors de sa course à domicile en 2019, le désormais ex-pilote Renault a bien failli monter pour la première fois de sa carrière sur le podium alors qu’il était second du Grand Prix d’Allemagne.

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Mais l’Allemand s’est retrouvé dans les barrières après avoir perdu le contrôle de sa Renault et a dû abandonner.

« Pendant des semaines j’y ai pensé, mais je l’ai digéré. C’était difficile pour moi d’accepter comment cette course s’est terminée avec cet incident. Mais à un moment donné, vous devez vous réveiller et être réaliste – c’est fait et vous devez continuer. Vous devez trouver un moyen de passer [à autre chose]. »

Utile pour Renault

Malgré une année 2019 compliquée pour l’équipe du constructeur français, Nico Hülkenberg estime avoir été « utile » pour Renault au cours de ses trois années passées à Enstone.

« Nous avons fait de gros efforts, nous avons fait de bonnes améliorations très tôt et nous avons réalisé de gros gains, surtout en 2017. »

« Après cela, c’était un peu plus compliqué. Les progrès, surtout cette année 2019, ont un peu manqué. Ça a été une année difficile, mais c’est le défi de la F1. »

« Dans l’ensemble, je pense que j’ai été utile avec l’équipe, j’ai toujours fait de gros efforts, j’ai certainement récolté quelques points, j’ai essayé de pousser l’équipe et de bien faire ma part [du job]. »

« Personnellement, ça a été une année difficile, il y a eu des hauts et des bas. Il était difficile d’obtenir un bon élan cette saison. Nous avions des signes de très bons résultats, mais ensuite, ça a de nouveau baissé. »

« Il y a eu beaucoup d’ennuis techniques, il était donc aussi difficile de se canaliser et de trouver le bon équilibre. J’ai certainement fait quelques erreurs aussi de mon côté et je n’ai pas réussi à trouver la performance que je souhaitais. C’est pour cela que la F1 est si délicate et si difficile. »

En 2020, Nico Hülkenberg ne sera pas sur la grille de la Formule 1. Le pilote allemand va profiter de cette période off pour prendre un peu de recul et profiter de moments libres après une décennie passée en catégorie reine.

Daniel Ricciardo admet qu’il lui est de plus en plus difficile de revenir dans sa ville natale de Perth en Australie et de passer incognito.

Le pilote Renault, natif de la ville de Perth en Australie-Occidentale, aime revenir chez lui au moins une fois par an, mais l’Australien admet qu’il lui est presque impossible désormais de passer inaperçu en raison de sa célébrité.

« C’est une assez grande ville désormais, mais c’est toujours une mentalité de petite ville et la réalité est qu’il n’y a pas beaucoup de gens célèbres qui viennent de Perth. » explique Daniel Ricciardo dans le podcast de la F1, Beyond The Grid.

« Donc, tu es un peu comme un gros poisson dans un petit étang et naturellement tu es reconnu dès que tu sors. J’adore Perth, j’adore être à la maison, mais c’est difficile de sortir avec des amis, surtout maintenant avec les téléphones et les appareils photo. »

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« Il est difficile de se sentir complètement en liberté, mais j’y arrive. D’autant que 99% des gens qui viennent vers vous, c’est amical et amusant. Ce n’est donc pas du tout négatif et je pense que je dois l’apprécier et le comprendre. »

Eddie Jordan est « absolument certain » de voir Lewis Hamilton rejoindre l’équipe Ferrari à partir de la saison 2021.

Selon Eddie Jordan, le pilote britannique rejoindra l’équipe de Maranello à la place de Sebastian Vettel à partir de la saison 2021.

« Je suis absolument certain qu’en 2021 Lewis Hamilton rejoindra Ferrari. » a déclaré Eddie Jordan au magazine Top Gear.

« Je pense que ce serait le bon moment pour Lewis d’aller chez Ferrari. Il arrive à la fin de sa carrière, mais il souhaite toujours remporter un septième titre ou plus. »

Mais Jordan va un peu plus loin dans son raisonnement, puisque l’Irlandais estime que le patron actuel de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, pourrait lui aussi décider d’aller chez Ferrari en même temps que Lewis Hamilton.

« Lewis n’irait chez Ferrari que si quelqu’un pouvait le protéger contre toute possibilité que Leclerc [Charles] puisse l’usurper. Ferrari ferait donc venir Toto aussi. »

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« Ma conviction est donc que je pense que Lewis ira chez Ferrari en 2021 et que le contrat de Toto Wolff expire également à la de l’année prochaine. Il sait que l’avenir à long terme de Mercedes en Formule 1 n’est pas une certitude. En effet, Lewis a mentionné le contrat de Toto à plusieurs reprises, ce qui est inhabituel pour un pilote de F1. »

« Ce qu’ils n’ont pas [chez Ferrari], c’est cette personne sur le mur des stands pour guider l’équipe en termes de structure et de stratégie de course. Toto le sait. La course est dans son sang, et il adorerait avoir un nom comme Ferrari sur son CV. »

« Je suis absolument certain qu’en 2021, Lewis Hamilton passera chez Ferrari. Toto l’accompagnera, car comme je l’ai dit, Lewis ne se laissera pas exposer, et ce sera sa façon d’apporter un égaliseur. Ferrari a-t-elle besoin de deux numéros un? Non, mais ils ne lâcheront pas Leclerc. »

L’équipe Renault concentrera l’essentiel de ses efforts sur la construction d’un châssis « gagnant » pour la saison 2021.

En 2020, les réglementations ne changeront pas en Formule 1, ce qui permettra aux équipes de se concentrer à la fois sur la monoplace 2020, tout en développant en parallèle la monoplace de la saison 2021.

En 2019, l’équipe Renault a clairement fait un pas en arrière par rapport à 2018 en terminant à la cinquième position au championnat du monde des constructeurs, et Cyril Abiteboul pointe clairement du doigt le châssis de la RS19 comme seul point faible cette année.

« Si vous voulez gagner en Formule 1, vous devez avoir les meilleurs pilotes, le meilleur châssis et le meilleur moteur. » explique Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing.

« Nos pilotes sont de premier ordre, Daniel avait besoin de temps pour s’adapter à l’équipe et à la voiture, mais les pilotes n’étaient pas notre problème. »

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« Le moteur n’est pas notre problème non plus, l’année dernière il a été démontré que notre moteur peut gagner des courses. Donc, par élimination, c’est le châssis. »

Le Français rappelle que 2021 sera une date cruciale pour Renault et le développement en vue de cette saison a déjà commencé dans toutes les équipes de la grille – y compris Renault.

« L’année prochaine sera cruciale pour nous. Nous sommes conscients des nouveaux règlements techniques et nous allons donc débuter le développement maintenant. »

« Nous allons juste devoir trouver un équilibre entre le présent et les travaux pour 2021, ce qui est une priorité pour nous. » conclut le manager français.

Mattia Binotto a expliqué que Ferrari ne cherchera pas à avantager l’un de ses deux pilotes en début d’année, contrairement à la saison 2019.

En 2019, Ferrari avait clairement donné la priorité à Sebastian Vettel en début d’année face à son coéquipier en raison de son expérience de quadruple champion du monde.

Mais au cours de la saison, Charles Leclerc s’est rapidement montré très rapide, voire plus rapide que Vettel dans certaines circonstances, ce qui a créé certaines tensions au sein de l’équipe.

En fin d’année, les deux pilotes Ferrari se sont même percutés au Grand Prix du Brésil, faisant perdre de gros points à la Scuderia Ferrari avec deux abandons simultanés.

Pour la prochaine saison, Mattia Binotto a décidé de changer de stratégie et a annoncé que les deux pilotes débuteront l’année exactement au même niveau, alors que l’équipe s’adaptera à la situation en fonction de l’évolution de chacun au championnat du monde.

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« Ils débuteront la saison au même niveau, et l’équipe reste la priorité. » a expliqué le directeur de la Scuderia Ferrari, Mattia Binotto.

« S’il y a un moment dans la saison où l’un des deux a un grand avantage au championnat, alors nous étudierons la question. Si cela se produit, alors, ce sera tout à fait normal et naturel de se concentrer sur l’un des deux pour maximiser les chances de gagner et nous le ferons, mais pour l’instant, il est un peu précipité d’y penser. »

« En revanche, s’il y a une différence d’un ou deux points entre les deux à quelques courses de la fin de saison, ils feront ce qu’ils veulent. »

Les accusations de tricherie de Max Verstappen envers Ferrari cette saison ont eu du mal à passer auprès de la direction du constructeur italien.

Le directeur exécutif de Ferrari, Louis Camilleri, a été interrogé cette semaine sur les propos tenus par Max Verstappen cette saison au sujet de la légalité du moteur Ferrari suite à la controverse sur le débit de carburant et l’enquête diligentée par la FIA.

Après le Grand Prix des Etats-Unis, Max Verstappen n’avait pas hésité à dire qu’il était plus difficile pour Ferrari de gagner lorsqu’ils ne trichaient pas, ce qui n’a pas du tout plu au directeur de l’équipe Mattia Binotto, ainsi qu’à Louis Camilleri.

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« Nous sommes une société cotée en bourse, l’intégrité est une valeur pour nous, mais le silence est parfois plus puissant. » a déclaré Louis Camilleri, le directeur exécutif de Ferrari.

« De plus, nous sommes Ferrari, alors pourquoi devrions-nous prêter attention aux déclarations d’un jeune homme de 22 ans ? »

Binotto pour sa part a souligné à quel point les propos du jeune Max Verstappen étaient complétement inutiles.

« Cela m’énerve également qu’un pilote fasse de telles déclarations. Mais je pense que cela n’a pas de sens de répondre à de tels propos. » a ajouté Binotto.

« En fin de compte, vous devez juste répondre sur la piste et c’est ce que nous avons fait. Nous nous sommes améliorés plus que les autres équipes de la grille. »

Mattia Binotto a confirmé que Ferrari allait faire en sorte de recruter des femmes pour la Ferrari Driver Academy.

L’école des jeunes pilotes de Ferrari devrait normalement pouvoir compter une ou plusieurs femmes dans ses rangs dans un avenir plus ou moins proche selon le directeur de la Scuderia Ferrari, Mattia Binotto.

« Nous allons augmenter le nombre de pilotes à la Ferrari Driver Academy l’année prochaine. » a déclaré Mattia Binotto lors du déjeuner de noël organisé par Ferrari cette semaine à Maranello.

« Donc, quelques autres pilotes vont nous rejoindre. Je ne suis pas en mesure de vous dire combien et qui, mais c’est une chose sur laquelle nous travaillons très dur. L’Académie des pilotes est un investissement important pour nous et nous en avons besoin pour évaluer la future génération de pilotes Ferrari. »

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« L’Académie cherchera également des femmes à l’avenir – les femmes devraient faire partie de la Ferrari Driver Academy. »

« C’est une chose sur laquelle nous travaillons actuellement afin de nous assurer que cela se produise très bientôt. Ferrari investit toujours dans l’avenir pour s’assurer que nous pouvons être de plus en plus forts à moyen et long terme. »

Deux équipes de la grille actuelle ont déjà décidé de faire appel à des femmes. L’écurie Williams a nommé la Britannique Jamie Chadwick pilote de développement, alors que la Colombienne Tatiana Calderon est pilote d’essais pour Alfa Romeo depuis la saison 2018.

Valtteri Bottas est à l’usine Mercedes de Brackley ce vendredi pour procéder au moulage de son baquet à bord de sa prochaine monoplace pour la saison 2020.

Après les deux pilotes McLaren un peu plus tôt cette semaine, c’est au tour du pilote Mercedes Valtteri Bottas de mouler son baquet à bord de sa future monoplace avec laquelle il participera à la saison 2020 de Formule 1.

Le Finlandais, qui a terminé la saison 2019 à la seconde place derrière son coéquipier Lewis Hamilton, a connu la meilleure saison de sa carrière cette année au volant de la Mercedes W10 avec pas moins de quatre victoires à son actif et quinze podiums sur les 21 courses que comptait la saison 2019.

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La semaine dernière, Valtteri Bottas a également remporté son tout premier Rallye dans le cadre du rallycircuit organisé sur le tracé Paul Ricard dans le sud de la France. Le Finlandais était au volant d’une Citroën DS3 WRC.

2020 seat fit ✅✅✅ One last day in the office this year for @ValtteriBottas! ? pic.twitter.com/BEkpmlZzal

— Mercedes-AMG F1 (@MercedesAMGF1) December 13, 2019

Lin Jarvis, le directeur de Yamaha Racing, s’est dit très impressionné par les performances de Lewis Hamilton au guidon de la Yamaha M1 de Valentino Rossi.

Ce lundi 9 décembre, Valentino Rossi et Lewis Hamilton ont échangé leurs machine sur le circuit espagnol Ricardo Tormo à Valence.

Cet événement a été organisé par le sponsor que les deux hommes ont en commun [Monster Energy] et aura duré toute la journée de lundi.

Valentino Rossi a pu prendre les commandes de la Mercedes W08 pilotée par Lewis Hamilton en 2017, tandis que le sextuple champion du monde de F1 a pu enfourcher la Yamaha M1 de Rossi.

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« Ce fut une journée exceptionnelle. Avoir Lewis avec nous et Valentino, deux icônes du sport en même temps et au même endroit, était vraiment incroyable. » a déclaré le directeur de Yamaha Racing, Lin Jarvis.

« Je suis vraiment heureux d’avoir pu être là pour en être le témoin et pour en profiter. J’ai été très impressionné par la performance de Lewis, car combien de champions sur quatre roues peuvent venir ici et monter sur une M1, retourner là-bas et s’enorgueillir ? »

« Il est très difficile de conduire une moto rapidement sur la piste et encore plus difficile et exigeant de piloter une MotoGP d’usine. »

Max Verstappen ne tarit pas d’éloges sur le motoriste Honda, qui a permis au Néerlandais de décrocher trois victoires cette année.

L’alliance Red Bull Racing-Honda a été un succès instantané en 2019, Max Verstappen décrochant sa première pole position de sa carrière et s’imposant en Autriche, en Allemagne et au Brésil et lui permettant au passage de terminer le championnat des pilotes à la troisième place.

L’hiver dernier, certains ont remis en question la collaboration entre Red Bull et Honda pour la saison 2019, mais force est de constater que l’alliance fonctionne parfaitement comme le souligne Max Verstappen.

« Nous sommes très proches de Mercedes, Honda a travaillé d’arrache-pied et les deux dernières améliorations [mise à jour moteur] ont été importantes. » a déclaré Max Verstappen, cité par le site de la F1.

« Je pense que c’est très positif, nous avions un objectif tout au long de l’année, et nous avons toujours été au niveau et même au dessus de l’objectif. »

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« C’est donc une bonne chose et Honda a toujours été très honnête dans ce que nous obtiendrons. Parfois, nous étions même un peu mieux que ce qui était prévu. »

« La fiabilité était là toute l’année, nous n’avons jamais abandonné sur un problème dû au moteur Honda, donc, je pense que c’est très positif. Nous avons perdu beaucoup de points en raison de problèmes de fiabilité dans le passé [avec Renault] et qui concernait à la fois le châssis et le moteur. »

« Je pense que nous nous sommes améliorés des deux côtés, donc, je suis très content de cela au final. Si vous souhaitez vous battre pour le championnat du monde, vous ne pouvez pas abandonner sur ce genre de problème. »

En 2020, Lewis Hamilton essaiera d’égaler le record de Michael Schumacher avec un peut-être un septième titre mondial pour lui en F1.

Lewis Hamilton dit que lui et Mercedes restent motivés par « la recherche de la perfection » afin de décrocher un septième titre mondial l’an prochain en Formule 1.

« Il y a toujours de la place pour l’amélioration, et nous n’avons pas été parfaits toute l’année. » a souligné Lewis Hamilton, qui a décroché en 2019 un sixième titre mondial.

« Nous n’avons pas gagné toutes les courses et il y a encore des domaines dans lesquels nous pouvons définitivement faire mieux. Je pense qu’il est également toujours important d’être critique envers vous-même et il ne faut jamais dire que vous êtes pleinement satisfait du travail accompli. »

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« Vous savez toujours qu’il y a des domaines dans lesquels vous pouvez vous améliorer, et c’est valable pour nous tous. »

« Je pense que nous sommes très fiers du travail que nous avons accompli collectivement en équipe. Mais il n’y a pas eu un seul moment où nous pensions être parfaits. Bono [son ingénieur de course] et moi, ainsi que Marcus [Dudley, directeur de la performance] avons continué à chercher où nous pouvons nous améliorer pour l’année prochaine.

« Nous allons devoir le faire, continuer à mettre la barre haute, ce qui n’est pas facile après une saison comme celle-ci. »

« Nous nous efforçons toujours d’atteindre la perfection. Notre objectif est donc d’essayer de faire une meilleure année l’an prochain, mais nous n’avons aucune idée de ce qui va arriver et des obstacles auxquels nous serons confrontés. »

« Je pense que nous sommes la meilleure équipe que nous n’ayons jamais été, le groupe de personnes le plus uni qui ait jamais été, et aussi les mieux préparés. »

Le directeur de la Scuderia Ferrari, Mattia Binotto, a déclaré que l’équipe de Maranello commencerait à étudier son line-up pour la saison 2021 au courant du mois de mai.

Si l’avenir de Charles Leclerc avec Ferrari est assuré pour plusieurs années, ce n’est pas le cas de son coéquipier Sebastian Vettel, dont le contrat expire à la fin de la saison 2020.

Le quadruple champion du monde n’a pas encore annoncé ce qu’il comptait faire après 2020 et les récentes rumeurs sur une potentielle arrivée de Lewis Hamilton chez Ferrari en 2021 n’aident pas vraiment à savoir si le pilote allemand continuera avec la Scuderia une fois son contrat terminé.

Interrogé sur le sujet cette semaine lors du dîner de fin d’année organisé par Ferrari à Maranello, Mattia Binotto a répondu que Ferrari commencerait à étudier ses possibilités uniquement à partir du mois de mai.

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« Ferrari a cet avantage d’être très populaire auprès des pilotes, nous sommes donc dans une situation privilégiée. » admet Binotto.

« Au début du mois de mai, aux alentours du Grand Prix d’Espagne, nous commencerons à regarder qui fera le voyage avec nous en 2021. »

Vettel aurait établi un premier contact avec McLaren

Selon le journal espagnol Marca, Sebastian Vettel aurait déjà commencé à établir des contacts avec d’autres équipes du paddock, et plus précisément McLaren.

Le média espagnol rapporte cette semaine que l’Allemand aurait contacté Andreas Seidl, le team principal de l’écurie britannique, les deux hommes se connaissant très bien pour avoir déjà travaillé ensemble chez Sauber BMW en 2006, lorsque le pilote allemand occupait le poste de pilote  testeur pour l’écurie suisse, alors que Seidl était ingénieur à Hinwill.

Cette information est bien évidemment à prendre avec toutes les précautions qui s’imposent mais, toujours selon Marca, l’arrivée du moteur Mercedes à l’arrière de la McLaren en 2021 serait l’un des facteurs clés pour que Vettel décide de rejoindre l’écurie britannique.

Claire Williams dit qu’elle voit enfin un retour sur le travail acharné de la part de toute son équipe au cours des 14 derniers mois.

Lanterne rouge de la saison 2019 avec un seul point marqué en 21 courses, l’équipe Williams se doit de revenir dans le match la saison prochaine après deux années très compliquées.

En 2019, l’écurie britannique est arrivée aux essais hivernaux avec deux jours de retard sur le reste de la grille, alors que le directeur technique de l’équipe, Paddy Lowe, a été remercié avant même le début officiel de la saison en Australie.

Une saison 2019 à oublier donc pour cette prestigieuse écurie de Formule 1, qui fera tout son possible pour développer un châssis compétitif cet hiver à l’usine de Grove.

« Nous avons eu deux années difficiles, mais deux années difficiles ne définissent pas une équipe. » a déclaré Claire Williams.

« Ce que j’ai vu dans cette équipe cette année, c’est un niveau extraordinaire de résilience et de ténacité, mais aussi une volonté de travailler dur pour changer les choses. J’ai toujours dit que le travail ne serait jamais l’œuvre d’un moment. Cela prend du temps. »

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« Mais nous avons subi une transformation considérable dans l’équipe au cours des 14 derniers mois, et nous constatons que les dividendes de ce travail commencent à porter leurs fruits maintenant. »

« Nous avons tous, comme chaque équipe de haut en bas du paddock, des objectifs pour l’année prochaine. »

« Nous sommes satisfaits et à l’aise avec ces objectifs, et où nous en sommes actuellement, mais je pense que c’est toujours un défi pour toute équipe d’atteindre les objectifs qu’elle s’est fixés, c’est un défi de préparer leurs voitures pour les tests, mais nous devront bien faire les choses l’année prochaine. »

« Je pense que la FW43, le châssis de l’année prochaine, sera une amélioration par rapport à celui de cette année. C’est ce vers quoi nous travaillons tous en ce moment à l’usine pour nous assurer que c’est absolument le cas. »

« Nous devons nous assurer de donner à George [Russell] et Nicholas [Latifi] une voiture pour qu’ils puissent montrer leurs capacités. » conclut la patronne de l’équipe Williams.

Louis Camilleri, admet que l’équipe Ferrari a consenti faire quelques sacrifices pour permettre aux petites équipes de gagner de l’argent.

Les nouvelles règles sportives, techniques et financières qui seront introduites en F1 en 2021  ont été présentées en octobre dernier, Ferrari conservant son droit de veto de longue date sur tout changement que l’équipe estime contraire à ses intérêts.

Ferrari reçoit depuis de nombreuses années des paiements spéciaux en raison de son statut d’équipe historique dans le championnat du monde de Formule 1 et fonctionne avec l’un des budgets les plus importants.

Mais les propriétaires de la catégorie reine du sport automobile souhaitent à l’avenir des conditions de concurrence plus équitables et ont donc demandé à Ferrari lors des différentes discussions au sujet des accords concorde de faire « quelques sacrifices » pour permettre aux plus petites structures de gagner plus d’argent.

« Nous avons principalement fait quelques sacrifices pour que les plus petites équipes gagnent de l’argent et je pense que c’est assez important. » a expliqué le directeur exécutif de Ferrari, Louis Camilleri.

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« Nous ne sommes pas encore d’accord sur tous les détails, mais je pense que sur les principes actuels nous le sommes. »

Louis Camilleri admet que les discussions concernant les accords concorde ont été difficiles ces derniers mois, notamment parce que Ferrari souhaite que la Formule 1 conserve son ADN et sa capacité à continuer d’innover.

« Je pense qu’il y a eu des progrès significatifs, et compte tenu de notre crédibilité en Formule 1, nous sommes ici pour faire en sorte que le sport conserve son ADN fondamental et sa capacité à continuer d’innover. »

« Sur différents fronts, pas seulement concernant les pièces normalisées, il y a eu des discussions sans fin. Je pense que nous avons atteint un compromis relativement bon en termes de plafonnement des coûts, qui s’applique aujourd’hui au châssis. »

Rappelons que le budget limité à 175 millions par saison et par équipe qui entrera en vigueur en F1 en 2021 ne concerne pas les salaires des pilotes, ceux des trois plus gros cadres de l’équipe et les frais liés au marketing.

Robert Kubica a bouclé près de 100 tours ce jeudi au volant d’une BMW de DTM sur le circuit de Jerez en Espagne dans le cadre des tests de jeunes pilotes.

Le pilote polonais, qui a quitté l’écurie Williams après la dernière course de la saison à Abou Dhabi, participe cette semaine à deux journées de tests avec l’équipe BMW en DTM.

Lors de sa première journée de roulage ce jeudi, Kubica a bouclé 93 tours et a signé le cinquième temps de la journée.

« Cela faisait longtemps que je n’avais pas roulé avec une voiture de course fermée [avec un toit]. Comme toutes voitures, le DTM a ses propres caractéristiques et se comporte différemment. » explique Robert Kubica.

« Mais je me suis senti très à l’aise presque immédiatement et j’ai beaucoup apprécié. J’ai eu une bonne sensation dans la voiture dès les premiers tours, ce qui est toujours bon. »

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« C’est toujours intéressant de voir quelles sont vos premières impressions et de voir comment vous vous sentez dans la voiture, ainsi que son comportement. C’était quelque chose de complétement différent de ce à quoi j’étais habitué ces dernières années. »

« La journée a été productive et ce fut une bonne occasion pour moi de découvrir quels sont les facteurs clés de cette nouvelle catégorie pour moi. »

Robert Kubica est de nouveau en piste ce vendredi pour la dernière journée des tests. Le Polonais n’a toujours pas dit ce qu’il ferait l’an prochain, mais il semble de plus en plus probable qu’il participe à un double programme DTM/F1 avec BMW et l’équipe Haas [en tant que pilote de développement].

Neuf des dix directeurs d’équipe ont élu Lewis Hamilton meilleur pilote de la grille en répondant à un sondage organisé par la F1.

A condition que leur vote reste anonyme, les représentants de neuf des dix équipes de la grille ont remis à la Formule 1 leur liste des 10 meilleurs pilotes de la grille pour la saison 2019.

Les pilotes ont reçu des scores basés sur le barème de points actuel du championnat du monde de Formule 1 [25,18,15….], ces scores étant ensuite combinés pour produire le classement.

Sans grande surprise, le champion du monde en titre Lewis Hamilton a été élu meilleur pilote de la saison 2019, le Britannique devançant Max Verstappen et le jeune Charles Leclerc.

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Aucun Français ne figure parmi les dix meilleurs pilotes de la grille, alors que Sebastian Vettel se retrouve seulement cinquième de ce classement.

A noter que le directeur de la Scuderia Ferrari n’a pas participé à ce vote, seuls Cyril Abiteboul [Renault], Claire Williams [Williams], Fred Vasseur [Alfa Romeo], Christian Horner [Red Bull], Andreas Seidl [McLaren], Franz Tost [Toro Rosso], Guenther Steiner [Haas], Otmar Szafanauer [Racing Point] et Toto Wolff [Mercedes] ont participé au vote.

Le classement des dix meilleurs pilotes 2019

Helmut Marko affirme que le simple fait de prononcer le nom d’Alonso à Honda leur fait se dresser les cheveux sur la tête.

Helmut Marko, le conseiller motorsport de l’équipe Red Bull, a révélé que les propriétaires de la catégorie reine du sport automobile [Liberty Media] ont essayé de négocier avec l’équipe Red Bull Racing un baquet pour Fernando Alonso pour la saison 2020.

Considéré comme un pilote extrêmement « bankable », l’Espagnol Fernando Alonso reste très populaire auprès des fans, et c’est pour ces deux raisons que Liberty Media espère toujours  pouvoir capitaliser et n’abandonnent pas l’idée de faire revenir le double champion du monde en catégorie reine, même si l’Espagnol est désormais âgé de 38 ans.

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Cependant, certaines personnes dans le paddock ne sont pas du même avis lorsqu’on leur parle de Fernando Alonso, en particulier chez Honda, que l’ancien pilote McLaren n’a pas hésité à critiquer en public à plusieurs reprises lorsque la marque nippone était partenaire de l’écurie McLaren entre 2015 et 2017.

C’est donc en toute logique que l’équipe Red Bull a répondu par la négative à Liberty Media lorsque les Américains ont demandé à Milton Keynes si une place serait disponible pour Alonso en 2020.

« Nous avons immédiatement dit que nous n’avions pas besoin d’Alonso. » a déclaré Helmut Marko à AutoBild.

« Cela ne marchera pas, parce que notre partenaire moteur [Honda] ne voudrait pas. Rien que le nom d’Alonso leur dresse les cheveux sur la tête. »

On sait désormais que le double champion du monde ne reviendra pas sur la grille en 2020, en revanche, Alonso n’exclut pas un retour pour 2021, lorsque les nouvelles réglementations seront introduites en Formule 1.

Tout comme son coéquipier un peu plus tôt cette semaine, Lando Norris a moulé son baquet dans la MCL35.

Les équipes ne perdent pas de temps cette année dans leurs préparatifs pour la saison 2020 et, chez McLaren, les deux pilotes ont déjà moulé leur baquet dans la future MCL35.

C’est le pilote espagnol Carlos Sainz qui a moulé son baquet le premier cette semaine à l’usine de Woking, avant d’être suivi par son coéquipier Lando Norris ce jeudi.

Les deux hommes peuvent désormais partir en vacances de noël afin de recharger les batteries après une saison solide de leur part, ce qui aura permis à l’écurie McLaren de se classer quatrième au championnat du monde des constructeurs.

L’équipe McLaren n’a pas encore dévoilé la date de présentation de la MCL35, contrairement à Ferrari, qui dévoilera les lignes de sa monoplace 2020 le 11 février prochain.

Seat fit day. Complete. ✅@LandoNorris pic.twitter.com/KATLVgRPlw

— McLaren (@McLarenF1) December 12, 2019