Paul Aron mérite lui aussi sa chance chez Alpine selon Juan Pablo Montoya

Rien ne va plus pour Alpine en ce début de saison, avec seulement sept points inscrits lors des six premières manches du championnat. L’écurie d’Enstone n’occupe que l’avant-dernière place du classement constructeurs, un maigre point devant Sauber.

Alors qu’un nouveau cycle s’ouvrira en 2026 avec l’arrivée du moteur Mercedes, Alpine espère rebondir à moyen terme. D’ici là, la composition de son duo de pilotes reste une question centrale.

Pour Juan Pablo Montoya, l’équipe devrait donner une chance équitable à Paul Aron. L’ancien pilote colombien suggère que cinq Grands Prix pourraient permettre de jauger le potentiel de l’Estonien et offrir à Flavio Briatore les éléments nécessaires pour trancher en vue de la saison prochaine.

« Ce qui est inacceptable du point de vue d’un pilote, c’est que vous vous êtes engagé envers Jack Doohan et que vous pensiez qu’il était le meilleur choix. Alpine lui a donné un contrat », a ajouté Montoya. « La situation de Franco Colapinto n’était pas grave car il y avait tellement de problèmes chez Red Bull, mais maintenant, l’attention s’est à nouveau tournée vers cette situation.  Lorsque Flavio Briatore est arrivé, ils ont conclu un accord selon lequel Doohan aurait cinq courses pour faire ses preuves. J’aurais donné cinq courses à Doohan, cinq courses à Colapinto et cinq courses à Paul Aron, puis on aurait pu s’asseoir et évaluer qui était le meilleur choix pour l’année prochaine. 2025 est une année un peu perdue pour Alpine, car ils passent aux moteurs Mercedes l’année prochaine. Je suppose que le développement de la voiture est en grande partie arrêté et qu’ils vont se reconstruire pour l’année prochaine. Ils dépenseront le moins d’argent possible pour leur moteur. »

Programme et horaires du Grand Prix de F1 d’Émilie-Romagne 2025

La saison 2025 de Formule 1 débarque ce week-end à Imola pour la septième manche du championnat, du 16 au 18

Retrouvez le programme complet et les horaires du GP d’Émilie-Romagne pour ne rien manquer

Date Séance Horaires Chaine
Vendredi Essais Libres 1 13h30 – 14h30 Canal+ Sport
  Essais Libres 2 17h00 – 18h00 Canal+ Sport
Samedi Essais Libres 3 12H30 – 13H30 Canal+ Sport
  Qualifications 16h00 – 17h00 Canal+ Sport
Dimanche Grand Prix 15h00 Canal+

 

Montoya relance le débat chez Alpine : Franco Colapinto moins rapide que Paul Aron ?

Juan Pablo Montoya a récemment jeté une ombre sur la situation de Franco Colapinto en laissant entendre que le pilote argentin aurait été devancé par Paul Aron lors d’un essai privé avec Alpine. Une révélation qui relance les interrogations autour du choix des pilotes de l’écurie française.

Colapinto, intégré à Alpine en tant que pilote de réserve après un passage prometteur chez Williams, doit effectuer ses débuts officiels ce week-end lors du Grand Prix d’Émilie-Romagne. Si son arrivée a pu surprendre, elle semblait jusqu’ici augurer un retour progressif mais assuré sur la grille.

Privé de volant fixe en début de saison et remplacé chez Williams par Carlos Sainz pour 2025, l’Argentin avait vu Alpine lui offrir une opportunité temporaire avec un contrat portant sur cinq courses seulement. Une durée limitée qui alimente désormais les spéculations, notamment après les déclarations de Montoya.

Selon l’ancien pilote de F1, Paul Aron — autre espoir du giron Alpine — se serait montré plus performant que Colapinto lors d’un test récent. Une performance qui pourrait renforcer la position du pilote estonien en vue d’un éventuel remplacement plus tard dans la saison.

S’adressant à Sites de Apostas, Montoya a déclaré : « La principale préoccupation de Briatore sera de déterminer qui sera le duo principal pour l’année prochaine.
Si Colapinto arrive et commence à battre Pierre Gasly, Gasly risque-t-il de perdre sa place ? De plus, de nombreuses rumeurs circulent selon lesquelles Aron aurait été plus rapide que Colapinto lors des essais. Colapinto a fait du bon travail, certes, il a commis beaucoup d’erreurs, mais sa vitesse est très impressionnante. Il arrive dans une situation très stressante chez Alpine, alors qu’il n’y avait aucune attente chez Williams. »

Adrian Newey fait déjà sentir son influence chez Aston Martin, selon Pedro de la Rosa

Adrian Newey imprime déjà sa marque chez Aston Martin, à peine deux mois après son arrivée, selon Pedro de la Rosa. Nommé directeur technique début mars, le Britannique de 66 ans supervise désormais la conception de la monoplace qui devra répondre au nouveau règlement prévu pour 2026.

Considéré comme l’un des plus grands ingénieurs de l’histoire de la Formule 1, Newey a bâti sa réputation à travers des titres mondiaux remportés avec Williams, McLaren et plus récemment Red Bull. Il est désormais chargé de porter Aston Martin vers les sommets du championnat.

Malgré sa récente prise de fonction, son influence se fait déjà ressentir au sein de l’écurie basée à Silverstone. Pedro de la Rosa, ambassadeur de la marque et proche de Fernando Alonso, a souligné l’impact rapide et tangible du célèbre ingénieur sur l’équipe technique.

« Adrian a une influence énorme, non seulement parce qu’il est le plus talentueux aérodynamicien que la Formule 1 ait jamais connu, mais aussi parce que sa présence dans l’équipe est une source d’inspiration pour les autres », a déclaré De la Rosa à F1sport.auto.cz. « Tout le monde veut travailler avec Adrian et tout le monde veut comprendre comment il travaille. Le simple fait qu’il soit avec nous change l’équipe de l’intérieur, ce qui est quelque chose qui ne peut pas être quantifié. Ce n’est pas seulement le savoir qu’Adrian apporte, mais aussi son côté émotionnel et inspirant. Adrian est un grand nom qui rejoint l’équipe, mais il n’est pas le seul. De plus, nous ne devons pas sous-estimer l’énorme talent dont nous disposions déjà au sein de l’équipe. »

Goodwood Festival of Speed : James Vowles au volant de la légendaire FW14B de 1992

Le directeur de l’écurie Williams, James Vowles, prendra part au volant de la mythique FW14B lors de la prochaine édition du Goodwood Festival of Speed, en juillet. Il figurera parmi les quatre personnalités sélectionnées pour piloter la monoplace emblématique qui permit à Nigel Mansell de décrocher son unique titre mondial en Formule 1, en 1992.

Aux côtés de Vowles, on retrouvera également Nigel Mansell lui-même, ainsi que Jamie Chadwick, ambassadrice Williams, et Lia Block, pilote engagée en F1 Academy. Tous se relaieront dans la FW14B, célèbre pour avoir dominé le championnat avec dix victoires en seize courses.

Il s’agira de la deuxième apparition consécutive de Vowles à Goodwood au volant d’une Formule 1 historique. L’an dernier, il avait déjà pris part à l’événement en pilotant la FW08, avec laquelle Keke Rosberg avait été sacré champion du monde en 1982.

« C’est une nouvelle fantastique que Jamie, Lia et moi-même allons tous piloter la FW14B dans la côte du Goodwood Festival of Speed cette année », a déclaré Vowles. « Lorsque vous vous promenez dans le musée de notre base à Grove, la 14B est la voiture qui se démarque. C’est un rêve qui devient réalité ; une voiture emblématique, avec un palmarès impressionnant. La 14B était dotée d’une technologie très en avance sur son temps, et elle est célèbre non seulement pour ses exploits, mais aussi pour la façon dont elle a fait progresser l’équipe. La conduire à Goodwood et avoir l’honneur de la piloter va être incroyable. »

La Williams FW14B est devenue une habituée de Goodwood ces dernières années, avec notamment le quadruple champion du monde Sebastian Vettel et le vainqueur du titre 2009 Jenson Button parmi les pilotes qui l’ont conduite sur la colline ces dernières années.

Chadwick, qui est devenue la première femme à remporter une victoire dans l’European Le Mans Series au début du mois, a décrit la voiture de Williams de 1992 comme « la voiture la plus emblématique » du programme Williams Heritage Racing. « L’un de mes premiers souvenirs remonte au Festival of Speed ; je n’ai commencé le sport que plus tard et j’y suis allée quand j’avais environ 10 ans », a-t-elle déclaré. « C’était la première fois que je voyais autant de voitures et que je découvrais la F1. C’est aussi l’endroit où j’ai piloté ma première voiture de F1, donc c’est très spécial. La FW14B est la voiture la plus emblématique de notre collection chez Williams. Avec sa suspension active et tout ce que cette voiture représentait à son époque, elle est tout simplement légendaire. Son bruit est incroyable, je vais donc préparer mes bouchons d’oreille. »

Nigel Mansell fera son retour au Festival of Speed de Goodwood en juillet, deux ans après sa dernière participation. À 71 ans, le champion du monde 1992 reprendra le volant de la légendaire FW14B, avec laquelle il avait célébré le trentième anniversaire de son titre lors de sa précédente apparition en 2022.

L’ancien pilote britannique figurera parmi les figures de proue de l’édition 2025, placée sous le thème « The Winning Formula: Champions and Challengers » (« La formule gagnante : champions et challengers »). Cet événement incontournable du calendrier automobile, consacré aux voitures de collection et aux courses de côte, se tiendra cette année du 10 au 13 juillet sur le domaine de Goodwood.

F1 – GP d’Émilie-Romagne 2025 : Pirelli introduit son nouveau pneu C6 pour la première fois en course

À l’occasion du Grand Prix d’Émilie-Romagne, qui se tient du 16 au 18 mai à Imola, Pirelli testera en conditions de course son nouveau composé C6, le plus tendre de sa gamme 2025. Ce sera la première apparition du C6 en Grand Prix, après une utilisation très limitée lors des essais hivernaux à Bahreïn.

Ce week-end, les équipes disposeront des pneus C4, C5 et C6. Le nouveau composé C6, identifié par ses flancs rouges, sera désigné comme pneu tendre, le C5 (flancs jaunes) servira de composé médian, tandis que le C4 (flancs blancs) sera considéré comme le pneu dur. Cette allocation tranche avec celle de l’édition précédente du Grand Prix, où les composés C3, C4 et C5 avaient été choisis.

Pirelli justifie l’introduction du C6 à Imola par la faible abrasivité du tracé italien, qui permet de tester un composé aussi tendre sans trop de risques liés à la dégradation. Les premières données issues des essais hivernaux n’avaient pas permis d’en tirer des conclusions fiables, le circuit de Sakhir n’étant pas représentatif en termes de surface et d’usure.

S’il est peu probable que le C6 soit utilisé en course ce week-end, Pirelli estime qu’il pourrait se révéler décisif en qualifications. Les prochaines manches à Monaco et à Montréal, également programmées avec le C6, permettront aux équipes d’enrichir leur compréhension de ce nouveau composé et d’évaluer sa pertinence pour un usage en course plus tard dans la saison.

Comme souvent à Imola, une stratégie à un seul arrêt devrait dominer, avec des départs partagés entre le composé médian (C5) et le dur (C4), selon les prévisions du manufacturier italien.

Sondage – Quel pilote remportera le Grand Prix d’Émilie-Romagne 2025 ?

Ce week-end, la F1 défait ses valises à Imola à l’occasion du Grand Prix d’Émilie-Romagne. Septième manche du championnat, elle est également la première à se dérouler en Europe. Pour rappel, Oscar Piastri est leader du Championnat du monde des pilotes et McLaren caracole en tête du classement des constructeurs. Le pilote australien comptabilise aujourd’hui quatre victoires en Grand Prix, Lando Norris et Max Verstappen se partageant le reste.

L’année passée, Max Verstappen l’avait emporté devant Lando Norris et Charles Leclerc, Oscar Piastri avait terminé la course en quatrième position, au pied du podium.

Jacques Villeneuve accuse la F1 d’un favoritisme à l’égard d’Oscar Piastri

Jacques Villeneuve affirme qu’Oscar Piastri est favorisé dans la lutte pour le titre de F1 2025.

La saison 2025 de Formule 1, malgré la présence claire sur le plateau d’une force plus dominante que ses concurrentes en l’équipe McLaren, pourrait être moins prévisible que prévu en raison de la lutte interne entre les pilotes de l’équipe et de la menace constante que représente Max Verstappen avec une Red Bull qu’il parvient à hisser à un niveau de compétitivité impressionnant. Parmi les favoris pour le titre figure sans aucun doute Oscar Piastri, au sujet duquel l’ancien pilote Jacques Villeneuve estime qu’il est favorisé.

Après seulement depuis son arrivée dans l’élite du sport automobile, Oscar Piastri confirme le talent qu’il avait déjà démontré dans les catégories juniors. Alors que beaucoup s’attendaient à ce que Norris soit le pilote numéro un de McLaren, le numéro 81 lui met en effet une pression considérable. Il compte quatre victoires en six courses, contre une seule pour son coéquipier, remportée en Australie.

Ce qui impressionne le plus chez le jeune homme de 24 ans, c’est son sang-froid. Même s’il se retrouve en tête du championnat des pilotes pour la première fois, Oscar Piastri ne semble pas intimidé ni déconcentré par le bruit qui l’entoure. Il reste calme et concentré sur un objectif clair.

Avant la septième manche de la saison sur le circuit d’Imola, Oscar Piastri a été critiqué par le champion du monde 1997, Jacques Villeneuve. Interrogé par Vision4Sport, il a admis : « Oscar ne semble pas ressentir la pression du tout, et il a un excellent manager en la personne de Mark Webber. C’est quelqu’un sur qui il peut compter, il y a beaucoup d’équilibre et de synergie entre eux. »

Dans la deuxième partie de l’interview, il a souligné ce qu’il considère comme un favoritisme évident envers le pilote McLaren. « Piastri est adoré. C’est le « golden boy » du moment. Si quelque chose devait arriver, je suis sûr qu’il ne serait pas pénalisé aussi facilement que Max Verstappen. Ce facteur va beaucoup l’aider dans la lutte pour le titre. »

« Cela me rappelle l’époque où Lewis Hamilton et Nico Rosberg se disputaient le titre chez Mercedes. S’ils commettaient la même infraction, Nico était pénalisé, mais pas Lewis. Il existe actuellement le même léger déséquilibre, qui place Piastri dans une position favorable. »

Christian Horner en danger d’éviction après Imola ?

Des rumeurs suggèrent que Red Bull pourrait se séparer de Christian Horner après Imola

Horner-Red Bull, est-ce la fin ? La situation

Le premier média à avoir rapporté la nouvelle est Autosprint, qui affirme que le poste du Britannique est menacé en raison de ses mauvais résultats. Son maintien pourrait dépendre de l’efficacité du programme d’améliorations que l’écurie basée à Milton Keynes présentera sur la piste le week-end prochain.

Mais ce n’est pas tout : le magazine sportif italien a désigné Oliver Oakes comme remplaçant potentiel. Lorsque celui-ci a démissionné de son poste de directeur de l’écurie Alpine, cette hypothèse a commencé à sembler plausible.

Cependant, des sources étrangères ont affirmé que le départ d’Oliver Oakes de l’écurie française était dû à des raisons personnelles, liées à l’arrestation de son frère.

Malgré cette information, le média autrichien Österreich reste convaincu que Christian Horner pourrait être écarté de l’écurie. Dans un article non signé, il écrit : « Séisme chez Red Bull ! Horner sur le point d’être licencié. »

Enfin, un autre profil suggéré comme remplaçant potentiel est celui de Franz Tost, qui a dirigé Toro Rosso (devenu AlphaTauri) pendant de nombreuses années, entretenant de solides relations avec la famille Red Bull, et qui pourrait au moins assurer l’intérim jusqu’à la fin de la saison.

Franchement, il est difficile d’imaginer Red Bull licencier Christian Horner en plein milieu de la saison après 20 ans de travail et de succès, mais une chose est sûre : en Formule 1, on ne peut jamais être sûr de rien. Il ne nous reste plus qu’à attendre une confirmation.

Sondage : En tant que directeur de l’écurie Cadillac F1, quels pilotes choisiriez-vous ?

Vous êtes à la tête de Cadillac, future écurie de F1, et vous devez trouver votre duo de pilote pour la saison prochaine. Miseriez-vous sur un duo de pilote expérimenté ? Sur la jeunesse ? Ou accorderiez-vous une nouvelle chance en F1 à un pilote qui a déçu par le passé ? À vous de décider !

Alors que Cadillac prépare son arrivée en Formule 1 en 2026 en tant que 11e écurie sur la grille, il lui reste encore deux pilotes à engager. Force est de constater qu’ils ont tout de même l’embarras du choix et que de nombreux pilotes, aujourd’hui absent de la grille, feraient tout leur possible pour retrouver un volant en F1.

Dirigée par Graeme Lowdon, ancien patron de Manor, l’écurie reste pour l’heure discrète sur ses intentions, mais plusieurs noms reviennent avec insistance. Sergio Perez, remercié par Red Bull à l’issue de la saison 2024, figure parmi les profils expérimentés envisagés. Valtteri Bottas et Zhou Guanyu, tous deux écartés par Sauber, sont également en quête de rebond. Mick Schumacher, quant à lui, pourrait bénéficier du soutien de Sebastian Vettel, qui milite publiquement en faveur de son retour dans la discipline.

 

F1 – Découvrez la bande-annonce finale du film événement avec Brad Pitt, en salle dès juin 2025

La Formule 1 a publié ce week-end la bande-annonce officielle de son très attendu long-métrage intitulé F1, porté par Brad Pitt. Réalisé par Joseph Kosinski (Top Gun: Maverick) et produit par Jerry Bruckheimer, le film sortira en avant-première mondiale le 25 juin 2025, avant d’arriver en Amérique du Nord le 27 juin.

Brad Pitt incarne Sonny Hayes, un ancien prodige de la discipline dont la carrière a été stoppée net par un grave accident survenu dans les années 1990. Des années plus tard, il tente un improbable retour sur la grille. Le casting réunit également Javier Bardem, Damson Idris, Kerry Condon, Tobias Menzies et Kim Bodnia.

Découvrez la bande-annonce finale du film « F1 »

Tourné en immersion sur plusieurs circuits pendant des Grands Prix réels au cours des deux dernières saisons, le film promet une mise en scène fidèle et spectaculaire de l’univers de la F1.

Le film tourné dans différents paddocks de la Formule 1 met en vedette Brad Pitt dans le rôle de l’ancien pilote de Formule 1 Sonny Hayes, qui revient dans le sport pour s’associer à son coéquipier débutant Joshua Pearce – joué par Idris – dans l’équipe fictive nommée APXGP.

F1 2026 : Günther Steiner conseille à Cadillac de miser sur Sergio Pérez et …

Alors que Cadillac prépare son arrivée en Formule 1 en 2026 en tant que 11e écurie sur la grille, l’ancien directeur d’équipe Günther Steiner recommande une stratégie axée sur l’expérience pour composer son duo de pilotes. Dans le podcast F1 Explains, l’ex-patron de Haas estime que des profils chevronnés comme Sergio Perez et Valtteri Bottas seraient les mieux placés pour accompagner les débuts de la structure américaine.

Cadillac, actuellement dirigée par Graeme Lowdon – ancien dirigeant de Manor – n’a encore officialisé aucun nom pour sa future line-up. Toutefois, plusieurs pilotes libres ou en quête de rebond sont évoqués : Sergio Perez, libéré par Red Bull fin 2024, Valtteri Bottas et Zhou Guanyu, non retenus par Sauber, ou encore Mick Schumacher, soutenu publiquement par Sebastian Vettel.

Selon Steiner, l’expérience est un levier essentiel pour bâtir les fondations d’une équipe compétitive. Il en parle en connaissance de cause, lui qui a dirigé Haas dès son entrée en F1 en 2016. À l’époque, l’équipe avait fait le choix de la stabilité avec Romain Grosjean et Kevin Magnussen. En revanche, lorsque des contraintes budgétaires ont conduit à engager deux rookies en 2021, Mick Schumacher et Nikita Mazepin, Steiner en a tiré une leçon : ne plus aligner deux débutants. Une décision qu’il a confirmé en recrutant ensuite Nico Hülkenberg.

En parallèle, la valeur de Sergio Perez reste élevée malgré sa séparation avec Red Bull, notamment face aux difficultés rencontrées par Liam Lawson et Yuki Tsunoda. Bottas et Zhou, eux, restent visibles dans le paddock, actifs respectivement chez Mercedes et Ferrari. Quant à Schumacher, il demeure ambitieux et déterminé à réintégrer la grille.

Cadillac dispose donc d’un large éventail de candidats, mais pour Steiner, l’équation est simple : “Si j’étais à leur place, je choisirais Perez et Bottas.”

« Si j’étais Cadillac, je chercherais des pilotes expérimentés, pour la même raison que celle que j’ai donnée précédemment », a-t-il déclaré. « Dans une équipe jeune, le mieux est d’acquérir de l’expérience auprès de personnes qui ont déjà fait leurs preuves, qui aident l’équipe à se lancer et à progresser plus rapidement que les débutants. Pour moi, l’équipe idéale serait composée de Bottas et Sergio Perez. Je les recruterais tous les deux. »

Imola, la première à domicile pour un Antonelli en forme avec Mercedes

Avec George Russell 4e du championnat avec 93 points et Kimi Antonelli 6e avec 48 points, l’équipe Mercedes se présente à Imola à une solide seconde position au championnat du monde des constructeurs, derrière McLaren, avant le GP d’Emilie-Romagne. 

Pour ce qui est sans doute l’un des derniers passages de la F1 sur le tracé emblématique avant que Liberty Media ne décide de ne disputer plus qu’une course par saison en Italie -à Monza- et faire place à d’auters contrées au calendrier, Kimi Antonelli, rookie cette saison avec Mercedes, espère profiter pleinement de sa course à domicile.

« Nous nous rendons à Imola après avoir bouclé le premier quart de la saison », reflète Toto Wolff, directeur de l’équipe. « Après ces six premières courses, nous pouvons tirer les conclusions suivantes : nous avons progressé par rapport à l’année dernière, la W16 étant une voiture plus équilibrée que son prédécesseur ; nous avons obtenu des résultats solides, avec quatre podiums lors de ces courses ; et nous avons encore du travail à faire si nous voulons nous battre pour la victoire. »

« Nous allons nous concentrer sur ce dernier point à l’approche de la partie européenne de la saison. Mais la F1 est un sport relatif et nous savons que nos concurrents progresseront eux aussi. Il sera intéressant de voir comment cela se traduira sur la piste. »

Imola marque également la première course à domicile de Kimi Antonelli.

« Il a grandi près de là, à Bologne, et ce sera donc un moment spécial pour lui », sourit Wolff, fier de son poulain dont le début de saison est très encourageant. « Mais c’est une course qui rapporte 25 points, comme toutes les autres, et c’est la seule chose qui compte à la fin de la saison. George et Kimi se concentreront avant tout sur l’obtention du meilleur résultat possible en piste. »

Les choses à savoir à propos du GP F1 d’Emilie Romagne à Imola

La construction de l’Autodromo Internazionale Enzo e Dino Ferrari a débuté en 1950 et le circuit a accueilli sa première course en 1953.

Le circuit a accueilli des courses de F1 sous trois noms différents : Grand Prix de Saint-Marin, Grand Prix d’Italie et Grand Prix d’Émilie-Romagne. Après avoir accueilli une course chaque année entre 1980 et 2006, le circuit a disparu du calendrier en 2007, mais il a fait son retour en 2020 sous le nom de Grand Prix d’Émilie-Romagne.

L’équipe Mercedes y a remporté son septième titre consécutif de champion du monde des constructeurs avec un doublé à Imola en 2020.

Plus récemment, l’édition 2023 de la course a été annulée en raison d’inondations dévastatrices autour du circuit et dans la région environnante.

Avec 548 mètres, la distance parcourue sous la limitation de vitesse dans la voie des stands à Imola est la plus longue du calendrier. Il faut près de 25 secondes aux pilotes pour effectuer un arrêt pendant la course.

La course présente également le niveau de consommation de carburant le plus élevé du calendrier 2024.

Avec une température moyenne de l’air ambiant de 14,8 degrés, la course pourrait également être décrite comme l’une des plus froides de la saison.

Des modifications ont été apportées au circuit l’année dernière avec l’installation de graviers dans le virage 9 et à la sortie des virages 11 à 15. L’édition 2025 sera un peu plus souple que l’année dernière avec l’utilisation du composé de pneus C6 pour la première fois cette saison.

Le Grand Prix d’Émilie-Romagne est une étape importante de la saison, marquant le début de la partie européenne, mais aussi le Grand Prix à domicile du rookie Kimi Antonelli.

Sebastian Vettel milite pour le retour de Mick Schumacher en F1 avec Cadillac

Sebastian Vettel plaide en faveur d’un retour de Mick Schumacher en Formule 1, estimant que le pilote allemand « mérite une deuxième chance » au plus haut niveau. Le quadruple champion du monde soutient publiquement la candidature de son compatriote pour un volant chez Cadillac, qui rejoindra la grille en 2026 en tant que 11e écurie du championnat.

La future équipe américaine, en phase de structuration, n’a pas encore arrêté son choix concernant ses pilotes. Plusieurs noms circulent dans les coulisses, parmi lesquels Sergio Perez, Valtteri Bottas et Zhou Guanyu, tous cités comme candidats potentiels pour ce nouveau projet. Mick Schumacher figure également sur cette liste, fort du soutien de Bernie Ecclestone ainsi que de Sebastian Vettel, avec qui il entretient des liens étroits.

Sans volant depuis son départ de chez Haas fin 2022, Schumacher reste actif en tant que pilote pour Alpine en endurance. Pour Vettel, son ancien coéquipier au sein de la Team Germany en Race of Champions possède toujours les qualités nécessaires pour s’imposer en F1 : « Mick a le niveau pour rivaliser avec les meilleurs. Il mérite une vraie opportunité », a-t-il déclaré.

Cadillac poursuit actuellement l’évaluation de ses options, avec la volonté affichée d’associer des profils expérimentés pour ses débuts dans la discipline.

« Je croise les doigts pour qu’il ait une nouvelle chance, car je pense qu’il peut tout à fait rivaliser avec les autres », a déclaré Vettel à Sport.de. « Il est beaucoup plus mature. Et je pense qu’il fait du très bon travail chez Alpine dans le championnat du monde d’endurance. Ce serait bien qu’il ait une deuxième chance chez Cadillac. Nous sommes évidemment en contact et j’ai également entendu parler de la façon dont les choses se sont terminées pour lui en Formule 1. Je lui souhaite le meilleur. »

GP Explorer 3 : Squeezie officialise une troisième et ultime édition les 3, 4 et 5 octobre 2025

Ce samedi 10 mai, le créateur de contenu Squeezie a annoncé le retour très attendu du GP Explorer, qui tiendra sa troisième et dernière édition du 3 au 5 octobre 2025. Deux ans après le succès du GP Explorer 2, l’événement revient avec une ambition internationale assumée et un nouveau format étalé sur trois jours.

Toujours organisé sur le circuit Bugatti du Mans, qui a accueilli les éditions précédentes en 2022 et 2023, le GP Explorer 3 promet une expérience enrichie pour les 200 000 spectateurs attendus. Le week-end s’ouvrira dès le vendredi soir avec une présentation des pilotes suivie d’un concert, avant de laisser place à l’action sur la piste le samedi et dimanche dans le cadre d’un week-end sprint, une première pour l’événement.

Parmi les équipes dévoilées, on retrouvera un mélange de personnalités du web, d’artistes et de créateurs internationaux :

• Kaatsup et Ana
• Theodort et Mastu
• Billy et SCH
• Djilsi et Maxime Biaggi
• Cocotte et Baghera
• Léa Elui et Maghla
• Nikof et Gotaga
• Ander et Karchez
• Ludwig et Michael Reeves
• Squeezie et Amine
• Team USA (composants à venir)

Cette édition 2025 marquera la fin d’un cycle pour le GP Explorer, devenu en trois éditions un rendez-vous incontournable entre sport automobile et culture numérique.

 

 
 
 
 
 
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Mohammed Ben Sulayem remet en question l’utilité du plafonnement budgétaire en F1

Le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, a récemment exprimé des doutes sur la pertinence du plafonnement budgétaire en Formule 1, laissant entendre qu’il pourrait envisager de supprimer cette mesure introduite en 2021.

Ce dispositif, censé limiter les dépenses des écuries à 135 millions de dollars par an — avec des ajustements liés à l’inflation et au calendrier — visait à renforcer l’équité sportive en réduisant l’écart entre les équipes les plus fortunées et les plus modestes.

Mais selon Ben Sulayem, la mise en œuvre du plafond génère une lourde charge administrative, tant pour les équipes, qui ont dû recruter du personnel pour s’assurer du respect des règles, que pour la FIA, qui mobilise une équipe spécifique pour contrôler les finances des écuries. Le dirigeant a qualifié la mesure de « casse-tête », soulignant le coût et la complexité de sa gestion.

« Je regarde le plafond des coûts et cela ne fait que donner des maux de tête à la FIA. Alors, à quoi cela sert-il ? », a-t-il déclaré à l’Associated Press. « Je ne vois pas l’intérêt. Vraiment pas. »

Lors du Grand Prix de Miami, le directeur de l’écurie McLaren, Zak Brown, a déclaré que toute écurie accusant un rival devrait être obligée de déposer une réclamation et de verser une caution. Cette déclaration fait suite à l’utilisation par Brown d’une bouteille d’eau portant l’étiquette « tire water » (eau pour pneus) à Miami, afin de se moquer de Red Bull qui avait accusé McLaren d’utiliser de l’eau pour refroidir ses pneus.

Les écuries de F1 doivent déjà verser 2 000 euros à la FIA lorsqu’elles déposent une réclamation, mais Brown souhaite dissuader les écuries de porter des accusations sans fondement en public. Le président de la FIA, Ben Sulayem, a approuvé la proposition de Brown en déclarant : « Vous ne pouvez pas simplement accuser quelqu’un sans plainte écrite, et cette réclamation doit être accompagnée d’une somme d’argent. »

Ford détaille son partenariat moteur en F1 avec Red Bull

Ford a levé le voile sur les grandes lignes du développement du futur moteur Red Bull en vue de la saison 2026, marquant ainsi les débuts officiels de l’écurie en tant que constructeur moteur à part entière. Mark Rushbrook, directeur mondial de Ford Performance, a précisé la vision du constructeur américain, partenaire clé de Red Bull Powertrains (RBPT) dans cette nouvelle ère réglementaire.

Ce partenariat, annoncé en réponse au départ initial de Honda — désormais engagé avec Aston Martin — s’inscrit dans le cadre d’une stratégie ambitieuse visant à faire de Red Bull un motoriste indépendant. Malgré le retour inattendu de Honda en F1, Red Bull a poursuivi son plan initial avec l’appui technique et industriel de Ford.

Alors que la Formule 1 s’apprête à introduire des règles moteur profondément remaniées en 2026, l’alliance entre Ford et l’équipe de Milton Keynes est jugée déterminante pour préserver la compétitivité du sextuple champion du monde des constructeurs. Cette collaboration s’articule autour d’un partage d’expertise technologique, d’une vision commune en matière d’électrification, et d’une volonté d’innovation sur le long terme.

« Le partenariat se renforce chaque jour, depuis les premières discussions et la signature du contrat, même si le travail avait déjà commencé avant cela », a déclaré Rushbrook à la branche néerlandaise de Motorsport.com. « Nous contribuons de plusieurs manières. Dans l’ensemble, nous sommes dans les temps pour le moteur à combustion interne (ICE) et les composants électriques. Il reste évidemment beaucoup à faire et à prouver en termes de durabilité, mais le partenariat, l’ouverture, la confiance et la contribution des deux parties ont été excellents jusqu’à présent. C’est tout ce que nous espérions, et même plus que ce que nous avions prévu. »

À l’origine, le partenariat prévoyait que Ford se charge de l’électronique du groupe motopropulseur de l’équipe, mais son champ d’action s’est élargi pour inclure la production du moteur à combustion interne.

Aujourd’hui, Red Bull tire encore davantage parti de l’expertise et des ressources mises à sa disposition par Ford. « Au départ, l’accent était mis sur l’électrification », explique Rushbrook. « Mais grâce à nos installations de fabrication de pointe et à nos imprimantes [3D], nous pouvons fabriquer des pièces en temps réel. Nous fabriquons littéralement chaque jour des pièces qui sortent de Dearborn, sont expédiées et testées dans le laboratoire de Milton Keynes. »

Sondage – Alpine : Franco Colapinto réussira-t-il à convaincre ?

Franco Colapinto a été titularisé pour cinq Grands Prix avec Alpine, dans ce qui s’apparente à une phase d’évaluation avant une décision définitive sur le deuxième baquet aux côtés de Pierre Gasly. Le jeune Argentin de 21 ans, promu pilote de réserve cet hiver, bénéficie du soutien affiché de Flavio Briatore, conseiller exécutif et désormais nouvelle figure centrale de l’écurie après le départ d’Oliver Oakes.

Colapinto a été libéré de son contrat avec Williams grâce à l’intervention directe de Briatore, qui voyait en lui un profil prometteur pour relancer une équipe en difficulté. Ce changement intervient après plusieurs mois de pression sur Jack Doohan, dont les performances avaient déjà alimenté de nombreuses spéculations. La confirmation du remplacement de l’Australien a coïncidé avec l’annonce surprise de la démission d’Oakes, accentuant l’instabilité au sein de l’écurie d’Enstone.

Officiellement, Alpine n’a confirmé Colapinto que pour cinq courses, laissant la porte ouverte à une nouvelle évaluation d’ici le Grand Prix de Grande-Bretagne. En coulisses, Doohan reste en attente d’un éventuel retour, tandis que Paul Aron, autre pilote de réserve, pourrait être considéré si les résultats de Colapinto décevaient.

Une autre option, évoquée pour 2026, serait Sergio Perez. Le Mexicain, en quête d’un nouveau baquet après son départ de Red Bull, est pressenti chez Cadillac, mais pourrait envisager un engagement à court terme avec Alpine. Un scénario qui offrirait une solution transitoire à Enstone tout en laissant de la flexibilité pour construire son avenir à moyen terme.

Sondage – Voyez-vous Sebastian Vettel remplacer Helmut Marko chez Red Bull ?

Le conseiller emblématique de Red Bull, Helmut Marko, a récemment évoqué Sebastian Vettel comme son potentiel successeur au sein de l’écurie autrichienne. Figure clé du programme de développement des jeunes pilotes, Marko a largement contribué à l’émergence de talents majeurs comme Max Verstappen, Daniel Ricciardo, Carlos Sainz… et bien sûr, Vettel lui-même.

Quadruple champion du monde avec Red Bull entre 2010 et 2013, Vettel entretient toujours des liens étroits avec l’équipe de Milton Keynes. Interrogé sur la possibilité de reprendre le flambeau laissé par Marko, l’ancien pilote allemand a reconnu l’existence de contacts : « Je m’entends toujours très bien avec Helmut et nous sommes en discussion », a-t-il confié, tout en précisant que les échanges restaient à ce stade informels.

Retraité de la Formule 1 depuis la fin de la saison 2022 après un dernier passage chez Aston Martin, Vettel, 37 ans, n’a jamais exclu un retour sous une autre forme dans le paddock. Si Marko devait se retirer, son ancien protégé pourrait ainsi jouer un rôle central dans la continuité de la philosophie Red Bull en matière de détection et de gestion des talents.