Classement du championnat de F1 2025 après le Grand Prix de Belgique

Quel impact a eu le Grand Prix de Belgique de F1 2025 sur le classement du championnat des pilotes et des constructeurs ?

PPilote Equipe Points
1L. NorrisMcLaren365
2O. PiastriMcLaren356
3M. VerstappenRed Bull326
4G. RussellMercedes264
5C. LeclercFerrari214
6L. HamiltonFerrari148
7K. AntonelliMercedes104
8A. AlbonWilliams73
9N. HülkenbergSauber41
12F. AlonsoAston Martin40
10I. HadjarVCARB39
11C. SainzWilliams38
13O. Bearman Haas32
14L.StrollAston Martin32
15L. LawsonVCARB30
16E. OconHaas30
17Y. TsunodaRed Bull28
18P. GaslyAlpine21
19G. BortoletoSauber19
20F. ColapintoAlpine0
21J. DoohanAlpine0
PEquipe Points
1McLaren 721
2Mercedes368
3Ferrari362
4Red Bull 351
5Williams111
6Racing Bulls72
7Aston Martin72
9Haas62
8Sauber60
10Alpine21

Grand Prix de Belgique de Formule 1 2025 – le classement de la course

Découvrez tous les résultats du Grand Prix de Belgique de F1 2025 à Spa !

Classement du Grand Prix de Belgique

# Pilote Écurie Écart
1
 
Oscar PIASTRI
McLaren Tour 44
2
 
Lando NORRIS
McLaren +3.415
3
 
Charles LECLERC
Ferrari +20.185
4
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull +21.731
5
 
George RUSSELL
Mercedes +34.863
6
 
Alexander ALBON
Williams +39.926
7
 
Lewis HAMILTON
Ferrari +40.679
8
 
Liam LAWSON
Racing Bulls +52.033
9
 
Gabriel BORTOLETO
Stake +56.434
10
 
Pierre GASLY
Alpine +72.714
11
 
Oliver BEARMAN
Haas +73.145
12
 
Nico HULKENBERG
Stake +73.628
13
 
Yuki TSUNODA
Red Bull +75.395
14
 
Lance STROLL
Aston Martin +79.831
15
 
Esteban OCON
Haas +86.063
16
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes +86.721
17
 
Fernando ALONSO
Aston Martin +87.924
18
 
Carlos SAINZ
Williams +92.024
19
 
Franco COLAPINTO
Alpine +95.250
20
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1 Tour

Leclerc tempère les attentes autour des évolutions Ferrari après sa 3e place à Spa

Charles Leclerc a relativisé l’impact des évolutions techniques apportées par Ferrari, estimant qu’elles sont souvent « très médiatisées », après s’être qualifié en troisième position pour le Grand Prix de Belgique.

La Scuderia a introduit une suspension arrière révisée à Spa-Francorchamps, présentée comme un élément clé pour redresser une saison 2025 jusqu’ici décevante.

Si cette mise à jour a permis quelques progrès, Leclerc souligne que l’écart avec McLaren reste conséquent. Le Monégasque a réussi à devancer de justesse Max Verstappen — pour 0,003 seconde — mais accuse plus de quatre dixièmes de retard sur Lando Norris, auteur de la pole position.

« Nous nous attendions à être en P4, mais avec un écart important devant nous. Au final, l’écart est toujours important, mais un peu moins que ce que nous avions initialement prévu, donc je pense que c’est positif », a déclaré Leclerc. « Nous avons apporté des améliorations ce week-end, qui ont fonctionné dès le début, mais nous avons dû procéder à quelques réglages entre hier et aujourd’hui et cela va dans la bonne direction, donc je suis très heureux. Je pense que c’était aussi un très, très bon tour, donc je ne pense pas avoir laissé beaucoup de choses au compteur avec le potentiel que nous avions aujourd’hui. Donc, pour cela, je suis également content. Cependant, ce n’est que la troisième place, donc nous verrons bien ce que nous pouvons faire demain. »

GP de Belgique – La grille de départ de la course sprint

Découvrez la grille de départ de la course Sprint à Spa-Francorchamps.

La grille de départ de la course sprint du GP de Belgique 

# Pilote Écurie
1
 
Oscar PIASTRI
McLaren
2
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull
3
 
Lando NORRIS
McLaren
4
 
Charles LECLERC
Ferrari
5
 
Esteban OCON
Haas
6
 
Carlos SAINZ
Williams
7
 
Oliver BEARMAN
Haas
8
 
Pierre GASLY
Alpine
9
 
Isack HADJAR
Racing Bulls
10
 
Gabriel BORTOLETO
Stake
11
 
Liam LAWSON
Racing Bulls
12
 
Yuki TSUNODA
Red Bull
13
 
George RUSSELL
Mercedes
14
 
Fernando ALONSO
Aston Martin
15
 
Lance STROLL
Aston Martin
16
 
Alexander ALBON
Williams
17
 
Nico HULKENBERG
Stake
18
 
Lewis HAMILTON
Ferrari
19
 
Franco COLAPINTO
Alpine
20
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes

Charles Leclerc – « Je ne suis pas satisfait de mon niveau en qualifications »

Longtemps considéré comme l’un des spécialistes de l’exercice, Charles Leclerc s’interroge sur le recul de ses performances en qualifications cette saison. Fort de 26 pole positions en carrière – un record pour un pilote sans titre mondial et le 12e total de l’histoire à égalité avec Mika Häkkinen – le Monégasque peine à retrouver son niveau habituel.

En 2025, sa moyenne en qualifications est tombée à une modeste 6,3e place, et il n’a signé qu’une seule pole position sur les 21 dernières courses, à Bakou en 2024. Un contraste saisissant pour celui que beaucoup considéraient comme le plus rapide sur un tour.

Face à lui, Lewis Hamilton a pris l’ascendant lors de trois des quatre derniers Grands Prix. À Silverstone, Leclerc a exprimé sa frustration après une sixième place sur la grille, évoquant un dernier tour raté et une perte de repères qu’il ne parvient pas à expliquer.

« Je ne fais pas le travail, et depuis le début de la saison, j’ai très bien performé en course », a déclaré Leclerc aux médias. « Il n’y a pas beaucoup de courses où je reviendrais en arrière pour changer quelque chose que j’ai fait dans la voiture, mais malheureusement, quand je repense aux qualifications, qui étaient mon point fort, il y a beaucoup de choses que je changerais. Chaque fois que j’arrive en Q3, ça ne fonctionne pas. Nous avons eu de bonnes qualifications, mais pas d’excellentes, alors que c’était mon point fort. Je ne suis donc pas satisfait de mon niveau en qualifications. Nous avons des problèmes. »

Interrogé sur la nature de ces problèmes, Leclerc est resté évasif, mais a donné quelques indices.

« Ce n’est pas un problème d’équilibre, ni d’adhérence », a-t-il déclaré. « Je ne veux pas entrer dans les détails, mais c’est juste quelque chose d’étrange auquel nous devons faire face dans la voiture, et quand on roule à grande vitesse, cela rend les choses encore plus difficiles, mais j’espère que nous pourrons résoudre ce problème. »

Charles Leclerc évoque rend hommage à Jules Bianchi, dix ans après sa disparition

Nous venons de passer le dixième anniversaire de la disparition de Jules Bianchi, survenue le 17 juillet 2015, à cette occasion, Charles Leclerc a livré un témoignage poignant sur la relation qu’il entretenait avec son parrain.

Bianchi, décédé des suites de blessures subies lors du Grand Prix du Japon 2014, disputait alors sa deuxième saison en Formule 1 sous les couleurs de l’écurie Marussia.

Au-delà du pilote prometteur que le paddock connaissait, Jules Bianchi occupait une place particulière dans la vie du jeune Monégasque. Proche du frère aîné de Leclerc durant l’enfance, Bianchi était également son parrain, un rôle chargé d’affection et de repères dans la trajectoire personnelle et professionnelle du pilote Ferrari.

Si le talent et l’avenir prometteur de Bianchi en Formule 1 font l’unanimité parmi les observateurs du sport, les aspects plus intimes de sa vie restent moins souvent évoqués. À travers les mots de Leclerc, c’est une facette plus humaine et plus profonde de l’ancien pilote français qui resurgit à l’heure de cet hommage.

Évoquant sa relation avec Bianchi, Leclerc a déclaré à F1.com : « J’ai quelques anecdotes de cette époque, comme le premier film d’horreur que j’ai vu avec Jules. Il ne savait pas que je faisais semblant de dormir. Il essayait de s’assurer que je dormais parce qu’il voulait voir ce film avec mon frère aîné ! Jules était quelqu’un de vraiment gentil. Il était très drôle et avait ses moments de folie quand on le connaissait bien. Il était toujours prêt à aider et aimait beaucoup s’amuser. »

« Les souvenirs les plus marquants sont probablement ceux de mes six ou sept ans, lorsque j’ai pu piloter un kart de location avec lui et mon frère pour la première fois », ajoute Leclerc. « Normalement, les karts de location sont réservés aux adultes, mais son père gérait le circuit et nous laissait évidemment faire des choses qui n’étaient peut-être pas autorisées. Je l’admirais beaucoup, alors courir avec lui, avec mon frère aîné, avec son frère cadet et avec de nombreux autres pilotes de karting professionnels de l’époque était incroyable. Nous nous amusions tellement. Nous traînions ensemble et attendions que le circuit ferme au public pour pouvoir y entrer. Ensuite, nous nous déchaînions sur la piste pendant des heures et des heures. Ce sont probablement les souvenirs les plus précieux que j’ai. »

Charles Leclerc « vraiment nulle part » pendant le Grand Prix de Grande-Bretagne 

Conclu à une anonyme 14e position, le Grand Prix de Grande-Bretagne de Charles Leclerc a ressemblé à une catastrophe du début à la fin avec une stratégie ratée et une erreur de pilotage.

Sixième sur la grille de départ, Charles Leclerc a pris le pari de s’arrêter dès la fin du tour de formation pour passer les slicks sur une piste qui était séchante avec le retour du soleil. Un pari qui s’est avéré perdant puisque la pluie est rapidement revenue sur le tracé de Silverstone, repoussant le Monégasque loin dans la hiérarchie.

En fin de course, c’est une erreur à Stowe qui a coûté à Charles Leclerc une possible place dans les points, concluant un Grand Prix cauchemardesque. En descendant de voiture, le pilote Ferrari a tiré le positif en voyant la performance de son coéquipier Lewis Hamilton quatrième à l’arrivée.

« Je n’ai pas vu la course de Lewis, mais il était clairement beaucoup plus fort que moi », a indiqué Leclerc. « Le seul point positif, c’est que Lewis est dans la même voiture que moi. Et qu’il était beaucoup plus rapide que moi aujourd’hui. Il y a certainement des choses à retenir d’une journée comme celle-ci. Car lorsque vous rencontrez des difficultés en tant qu’équipe et que les deux pilotes sont en difficulté, il est plus difficile de savoir ce qui ne va pas. Nous avons là un exemple extrême dans les deux sens. »

« On était un peu nulle part pendant toute la course », a ajouté Leclerc. « Et quand je dis nulle part, c’est vraiment nulle part. J’étais à une seconde des temps, et en plus je faisais beaucoup d’erreurs. J’avais vraiment du mal à garder la voiture sur la piste. Ça a donc été une journée incroyablement difficile. Je dois analyser ce qui s’est passé. Qu’est-ce que j’ai fait en termes d’outils, de réglages, de pilotage qui a empiré les choses. Parce qu’aujourd’hui, c’était extrêmement difficile. »

Charles Leclerc furieux contre lui-même après les qualifications

Dans un message radio d’après-qualifications, Charles Leclerc s’est montré particulièrement dur à son encontre.

« P*****, p*****, p*****, p*****, p***** », a pesté Leclerc à la radio juste après s’être qualifié sixième. « Je suis vraiment une m****. Je suis vraiment une m****. C’est tout ce que je suis. »

Le week-end avait pourtant très bien commencé en essais libres pour Charles Leclerc et Ferrari avec notamment le meilleur chrono en essais libres 3. Toutefois, la machine s’est enrayée en Q3 où le Monégasque n’a pu faire mieux que sixième, une place derrière son coéquipier Lewis Hamilton.

Un peu plus tard, au moment de faire face aux médias après la séance de qualifications, la frustration n’était pas redescendue pour Charles Leclerc. 

« Je ne fais pas le travail », a avoué Leclerc. « Quand je repense aux qualifications, qui étaient mon point fort, il y en a beaucoup où j’aimerais revenir en arrière et changer quelque chose, car à chaque fois que j’arrive en Q3, pour une raison ou une autre, ça ne marche pas. Pour l’instant, nous avons fait de bonnes qualifications, mais pas d’excellentes qualifications. Et encore une fois, c’était mon point fort, donc je ne suis pas satisfait de mon niveau en qualifications. Nous avons des problèmes, c’est certain, en particulier aujourd’hui, à partir de la Q2, nous avons dû lutter avec quelque chose dans la voiture. Mais ce n’est pas une excuse. Je dois faire mieux. »

Charles Leclerc « espère » pouvoir remonter en course lui qui a maintenant l’habitude de gérer ce genre de situation cette saison. 

« Partir à nouveau en sixième position rend la tâche très difficile », a ajouté Leclerc. « À chaque fois, nous devons nous battre pour remonter, et une fois que nous sommes de retour en tête, ceux qui ont fait une course sans encombre ont un avantage sur nous. Nous devons donc nous améliorer en qualifications. »

GP de Grande-Bretagne, EL3 – Ferrari en bonne position avant les qualifs

Charles Leclerc a signé le meilleur temps de l’ultime séance d’essais libres à Silverstone en 1:25.498. Même si Lewis Hamilton pointe en 11e position cela ne reflète pas la performance du Britannique, qui était en avance sur le meilleur chrono de son équipier avant l’apparition d’un drapeau rouge.

Oscar Piastri et Max Verstappen complètent le top 3 en étant tous les deux à moins d’un dixième de Leclerc. Lando Norris apparaît juste derrière à un dixième de la Ferrari numéro 16. Avec Leclerc, Piastri, Verstappen, Norris et Hamilton, cinq pilotes semblent être dans le match pour la pole position ce samedi.

Yuki Tsunoda a lui signé le cinquième temps des EL3, une bonne position pour le Japonais après ses récentes difficultés, même s’il pointe à cinq dixièmes de son coéquipier.

Belle performance au chrono pour Oliver Bearman, sixième, mais la fin de séance ne s’est pas passé comme prévu pour le Britannique. En rentrant au stand sous régime de drapeau rouge, Bearman est venu taper le mur sur les freins, fracassant ainsi le nez de sa Haas. Un incident sous enquête des commissaires.

Le week-end continue d’être compliqué pour les Mercedes, George Russell n’a signé que le huitième temps alors que Kimi Antonelli n’apparaît même pas dans les 10 premiers, seulement 14e.

La fin de séance a été perturbée par deux drapeaux rouges, un pour un débris en piste et l’autre suite à une sortie de piste de Gabriel Bortoleto, classé 16e des EL3. Le pilote Sauber a perdu sa monoplace dans Becketts à haute vitesse cassant sa suspension avant gauche lors de son passage dans l’herbe.

Enfin, côté Français les fortunes sont diverses puisqu’Isack Hadjar pointe à nouveau dans le top 10 en neuvième position, Esteban Ocon est aussi dans le match pour aller chercher une Q3 avec sa 13e place mais Pierre Gasly continue de souffrir au volant de son Alpine, bon dernier des EL3.

Voir le classement et les résultats des EL3 du Grand Prix de Grande-Bretagne

Hamilton va utiliser les réglages de Leclerc pour progresser chez Ferrari

Lewis Hamilton a admis avoir adopté une configuration plus proche de celle de Charles Leclerc sur sa Ferrari, dans l’espoir d’améliorer ses performances. En difficulté depuis le début de la saison, notamment en qualifications, le septuple champion du monde semble néanmoins avoir franchi un cap ces dernières semaines.

Au Grand Prix d’Autriche, Hamilton a signé son meilleur résultat en qualifications avec une quatrième place, qu’il a également conservée en course. Un progrès qu’il attribue en partie au rapprochement de la configuration de monoplace utilisée par son coéquipier.

« La configuration est un peu plus proche de celle de Charles, oui », a répondu Hamilton lorsqu’il a été interrogé par les médias. « J’ai du mal avec l’équilibre, et il conduit une voiture qui sur-braque énormément, et il arrive à faire glisser l’arrière sans dégrader ses pneus. Quand je fais glisser l’arrière, mes pneus se dégradent énormément, et il a fallu deux ans à Carlos [Sainz] pour s’y habituer, donc je ne veux pas faire ça. Je m’améliore, et je suis beaucoup plus proche en qualifications. »

Cependant, cette quatrième place en Autriche a égalé un record indésirable pour Hamilton, qui compte désormais 13 courses consécutives sans podium.
Son dernier podium remonte à 2024, à Las Vegas, où il avait terminé deuxième, ce qui signifie qu’il a égalé sa série de 2023, entre le Grand Prix de Sao Paulo et le Grand Prix d’Espagne.

S’il ne parvient pas à monter sur le podium ce week-end lors du Grand Prix de Grande-Bretagne, Hamilton établira non seulement un nouveau record de 14 courses sans podium, mais perdra également sa série record de podiums à Silverstone, où il est monté 11 fois sur le podium du Grand Prix de Grande-Bretagne depuis 2014.

GP d’Autriche – Norris vainqueur devant Piastri après une bataille interne chez McLaren

Lando Norris a remporté le Grand Prix d’Autriche après avoir parfaitement résisté à la pression mise par Oscar Piastri en début et en fin de course. Charles Leclerc complète le podium, loin derrière les McLaren.

Départ : Piastri passe Leclerc, Verstappen out

La procédure de départ a été perturbée par un Carlos Sainz bloqué sur la grille de départ obligeant la direction de course à avorter le départ. Même si l’Espagnol a pu finalement repartir dans un premier temps, ses freins arrière ont ensuite pris feu, l’obligeant à ne pas prendre le départ.

Lando Norris a conservé la tête de la course au départ, alors qu’Oscar Piastri a passé Charles Leclerc dès le premier virage. Dans le peloton, Kimi Antonelli a commis une grosse erreur de jugement au freinage du virage 3 arrivant toutes roues bloquées et venant taper l’arrière de Max Verstappen qui n’y pouvait rien. La Mercedes et la Red Bull étaient alors contraints à l’abandon.

Bataille interne chez McLaren 

Dès les premiers tours c’est Oscar Piastri qui a mis la pression sur Lando Norris restant dans la zone de DRS de son coéquipier. Au tour 11 les deux hommes nous ont offert une belle passe d’armes avec le dépassement de l’Australien au virage 3 avant de se faire repasser au virage 4 par Lando Norris aidé par le DRS.

Quelques tours plus tard, Piastri a tenté une manoeuvre pour le moins osé au virage 4 avec un freinage ultra tardif où il était tout proche de taper l’arrière droit de Norris. Une action qui n’a pas plu à McLaren et qui l’a fait savoir à son pilote via un message radio.

Dans la foulée, le Britannique est passé aux stands pour chausser des pneus durs alors que le pilote n°81 a opté pour rester un peu plus longtemps en piste. Piastri s’est finalement arrêté quatre tours après son coéquipier mais est ressorti à plus de cinq secondes de Norris.

Dans le peloton, Yuki Tsunoda a reçu dix secondes de pénalité après avoir accroché Franco Colapinto au virage 4. Un après-midi très compliqué pour l’écurie Red Bull après l’abandon de son chef de file Max Verstappen.

Victoire de Norris

Après les deuxièmes arrêts effectués par Lando Norris et Oscar Piastri, l’Australien s’est petit à petit rapproché de son coéquipier aidé notamment par les retardataires, mais ce n’était pas suffisant pour aller chercher le Britannique.

Lando Norris a donc remporté le GP d’Autriche devant son équipier puis suivent les deux Ferrari et George Russell. Liam Lawson a conclu un week-end solide à la sixième place, sa position de départ. Fernando Alonso termine septième après avoir résisté à l’excellent Gabriel Bortoleto huitième. À noter la remontée du jour qui est l’actif de Nico Hülkenberg, parti dernier et qui finit dans les points à la neuvième place. Enfin, autre remontée, celle d’Esteban Ocon qui marque le point de la dixième place après être parti P17 sur la grille.

Voir le classement et les résultats du Grand Prix d’Autriche

Leclerc met en avant l’évolution apportée par Ferrari et espère mettre la pression sur Norris

Charles Leclerc s’est montré très satisfait de sa deuxième position acquise au terme des qualifications du Grand Prix d’Autriche.

Contrairement à Monaco, cette fois Charles Leclerc n’était pas déçu de sa deuxième place. Relégué à plus de cinq dixièmes de Lando Norris, le Monégasque était tout heureux de positionner sa Ferrari en première ligne.

Leclerc a par ailleurs mis en avant les efforts de son écurie qui a apporté « de nouvelles pièces » ce week-end à savoir un nouveau plancher.

« Je suis très content », a indiqué Leclerc. « Ça fait longtemps que ça n’était pas arrivé. Je crois que la dernière fois que nous étions en première ligne, c’était à Monaco, et la saison a été difficile dans l’ensemble. Mais l’équipe a continué à pousser, nous avons apporté de nouvelles pièces ce week-end qui ont certainement fait la différence, car si vous regardez les écarts, tout le monde est très proche, donc c’est aussi grâce à l’équipe, mais je suis très content de mon tour dans l’ensemble, oui. C’est un bon début de week-end, nous savons que notre voiture est généralement plus performante en course qu’en qualifications. J’espère donc que nous pourrons mettre un peu plus de pression sur McLaren demain. »

Interrogé sur l’écart qui le sépare de Norris, Charles Leclerc a répondu : « Nous allons travailler dans ce sens. Mais cela ne minimise en rien le travail de Lando, évidemment. Il a dû faire un tour incroyable. Je ne l’ai pas vu parce que je viens de sortir de la voiture, mais je vais certainement le regarder. Félicitations à lui, il le mérite. Et demain, nous allons essayer de lui donner du fil à retordre. »

Deuxième sur la grille de départ au milieu des McLaren ce dimanche, Charles Leclerc tentera de décrocher la première victoire Ferrari de la saison 2025, même si cela s’annonce bien compliqué.

Sondage – Quel pilote remportera le Grand Prix d’Autriche F1 ?

Lando Norris s’élancera en pole position du Grand Prix d’Autriche et sera la favori pour la victoire si l’on se fie à son rythme affiché tout au long du week-end. À ses côtés partira Charles Leclerc qui pourrait être une menace ce dimanche en raison du bon rythme des Ferrari en course. À noter bien sûr la troisième place d’Oscar Piastri, le leader du championnat, qui tentera d’empêcher son coéquipier de rattraper son retard au championnat.

Selon vous, quel pilote remportera le Grand Prix d’Autriche ?

La grille de départ du Grand Prix d’Autriche F1

La grille de départ du Grand Prix d’Autriche F1

PPiloteÉcurie
1Lando NorrisMcLaren
2Charles LeclercFerrari
3Oscar PiastriMcLaren
4Lewis HamiltonFerrari
5George RussellMercedes
6Liam LawsonRacing Bulls
7Max VerstappenRed Bull
8Gabriel BortoletoSauber
9Kimi AntonelliMercedes
10Pierre GaslyAlpine
11Fernando AlonsoAston Martin
12Alexander AlbonWilliams
13Isack HadjarRacing Bulls
14Franco ColapintoAlpine
15Oliver BearmanHaas
16Lance StrollAston Martin
17Esteban OconHaas
18Yuki TsunodaRed Bull
19Carlos SainzWilliams
20Nico HulkenbergSauber

GP d’Autriche, Qualifs – Norris intouchable, Leclerc en première ligne

Lando Norris a signé la 12e pole de sa carrière et la troisième de sa saison en Autriche en devançant largement Charles Leclerc et Oscar Piastri. Max Verstappen ne s’élancera lui qu’en septième position.

Q1 – Tsunoda éliminé 

Lando Norris a signé le meilleur temps en 1:04.672 collant trois dixièmes à Oscar Piastri. Pierre Gasly et Isack Hadjar ont brillé en Q1 en signant les quatrième et cinquième chronos. Les Mercedes ont eu du mal à se sortir de cette session en ne signant que les 10e et 11e temps.

Lance Stroll P16 est le premier éliminé de manière étonnante après avoir montré de la vitesse en essais libres. Esteban Ocon est également éliminé dès la Q1 alors que son coéquipier est passé en Q2. Nouveau coup dur pour Yuki Tsunoda éliminé dès la première partie des qualifs. Carlos Sainz, avec des dégâts sur son plancher, n’a pu faire mieux que 19e.

Les éliminés : Stroll P16, Ocon P17, Tsunoda P18, Sainz P19 et Hülkenberg P20.

Q2 – Hadjar éliminé 

Une nouvelle fois, les deux McLaren se sont positionné en premières positions avec un Lando Norris toujours devant Oscar Piastri. 

Cette Q2 a été interrompue pendant quelques minutes en raison d’un départ de feu dans l’herbe en sortie du dernier virage après le passage au large de Lewis Hamilton.

À noter les grandes performances de Gabriel Bortoleto cinquième de Q2 et de Pierre Gasly dans le même chrono, sixième. En revanche, le deuxième français restant, Isack Hadjar, n’est pas passé en Q3 et met fin à une série de quatre Q3 consécutives.

Les éliminés : Alonso P11, Albon P12, Hadjar P13, Colapinto P14 et Bearman P15

Q3 – Norris facilement en pole

Lando Norris est allé signer un 1:04.268 dès le premier tour chrono reléguant son coéquipier à près de trois dixièmes, et c’est Charles Leclerc qui était provisoirement en première ligne.

La deuxième tentative a été perturbée par le double 360° de Pierre Gasly dans le dernier virage qui a déclenché un drapeau jaune et a anéanti les tours de Piastri et Verstappen.

Lando Norris a de son côté amélioré pour signer la pole avec cinq dixièmes d’avance sur Charles Leclerc. Oscar Piastri a dû se contenter de la troisième place devant Lewis Hamilton et George Russell.

La surprise est venu de Liam Lawson qui termine sixième devant la Red Bull de Max Verstappen qui se classe seulement septième. Gabriel Bortoleto a également signé une belle qualification, huitième, une confirmation après ses belles performances tout au long du week-end. Kimi Antonelli et Pierre Gasly concluent le top 10.

Voir le classement et les résultats des qualifications du Grand Prix d’Autriche

Ferrari : Fred Vasseur déconcerté par les rumeurs autour du départ de Charles Leclerc

Sous pression, Fred Vasseur ne cache pas son incompréhension face aux spéculations persistantes sur l’avenir de Charles Leclerc en Formule 1. Le directeur de la Scuderia, régulièrement visé par les critiques des médias italiens ces dernières semaines, a tenté de clarifier la situation lors du Grand Prix du Canada.

Alors que des rumeurs font état d’un possible départ du Monégasque, voire de tensions internes, Vasseur s’est montré désarmé : « Je ne sais pas ce que nous devrions faire pour mettre fin à ces bruits. » En parallèle, les spéculations autour d’une rencontre entre John Elkann, président de Ferrari, et Christian Horner, patron de Red Bull, n’ont fait qu’alimenter les incertitudes. Ce dernier a toutefois nié tout projet de départ vers Maranello.

Interrogé sur sa propre position à la tête de l’équipe et sur son influence sur les perspectives de ses pilotes, Vasseur a profité de l’occasion pour évoquer le cas Leclerc, sans toutefois apporter d’élément de nature à faire taire les rumeurs. Dans une période délicate pour Ferrari, la stabilité du duo Vasseur-Leclerc reste plus que jamais scrutée.

« C’est un bon exemple pour parler de Charles », a-t-il déclaré aux médias. « Charles a un contrat à long terme avec nous. Depuis le début de la saison, il répète dans toutes ses interviews qu’il veut rester chez Ferrari. Il veut gagner avec Ferrari. Son avenir est chez Ferrari. Mais chaque lundi, nous avons un article qui dit : « Charles partira l’année prochaine », « Charles va… ». À un moment donné, je ne sais plus quoi faire. Je suis désolé, je ne peux pas répéter la même chose chaque week-end. Mais c’est comme ça. »

Video – Leclerc et Hamilton testent la nouvelle Ferrari F80 à Fiorano

Charles Leclerc et Lewis Hamilton ont récemment eu l’opportunité de découvrir la nouvelle supercar de Ferrari, la F80, lors d’une session exclusive organisée par la marque italienne. Si les deux pilotes de Formule 1 ont pris le volant du modèle flambant neuf, l’expérience ne s’est pas révélée aussi plaisante qu’espéré pour l’un d’entre eux… la faute à un certain septuple Champion du monde de F1 ! 

 

Charles Leclerc admet que la Ferrari SF-25 n’est pas encore capable de gagner

Une nouvelle course, un nouveau week-end à oublier pour Ferrari en Formule 1. Sur le circuit Gilles-Villeneuve de Montréal, Charles Leclerc a été le meilleur des pilotes Ferrari, terminant cinquième à l’arrivée, principalement grâce à l’abandon de Lando Norris après une collision avec son coéquipier Oscar Piastri à quelques tours de la fin du Grand Prix du Canada. La SF-25 s’est révélée être un désastre complet à Montréal, faisant rapidement oublier les deux podiums consécutifs du Monégasque à Monte-Carlo et Barcelone.

Dès jeudi, il était clair que le week-end ne serait pas facile pour l’écurie de Maranello. Les pilotes avaient affiché leur soutien au directeur de l’écurie, Frédéric Vasseur, après que certains médias aient remis en question les performances du manager français, compte tenu du fait que son contrat arrive à expiration et en soulignant le mécontentement présumé de Charles Leclerc lui-même.

Il est indéniable que le pilote monégasque est actuellement mécontent, ce qui est compréhensible compte tenu des limites de la voiture. Mais cette fois-ci, il a également contribué au mauvais résultat en commettant une erreur majeure lors de la première séance d’essais libres, et surtout en commettant une erreur cruciale lors des qualifications. Cette erreur lui a peut-être coûté une place en deuxième ligne, ce qui n’est pas exagéré et aurait été bien mieux que la huitième place qu’il a finalement obtenue.

Sa course a bien commencé lors du premier relais avec des pneus durs. Son rythme était comparable à celui de Lando Norris, l’écart entre les deux pilotes restant d’environ trois secondes jusqu’au premier arrêt au stand. Par la suite, la stratégie de Ferrari a une fois de plus été discutable, voire plus que discutable, laissant Charles Leclerc en sixième position, à plusieurs secondes du groupe en tête.

En effet, à la fin de la course, cinq pilotes se disputaient la victoire : deux McLaren, deux Mercedes et Max Verstappen. Et les Ferrari ? Elles observaient une fois de plus de loin avec des jumelles, espérant qu’il se passe quelque chose. Et il s’est effectivement passé quelque chose, grâce à une manœuvre maladroite de Lando Norris, mais compter sur la malchance des autres n’est pas une stratégie viable. Certes, cette saison est unique car elle marque la fin du règlement technique actuel, mais avec 14 courses restantes, des mises à jour urgentes sont nécessaires, Fred.

Pour en revenir à la course de Charles Leclerc, le Monégasque a compromis ses chances avec cette erreur en Q3. Il a mis en cause le trafic, mais Charles Leclerc est suffisamment honnête pour admettre qu’il est en grande partie responsable de cette erreur. Il est certain qu’il repousse ses limites pour rendre la voiture compétitive, au moins pour remporter des victoires d’étape, mais quand on roule à la limite comme ça, les erreurs sont toujours au rendez-vous.

À un moment donné, l’option d’une stratégie à un seul arrêt a été envisagée, mais compte tenu de la dégradation des pneus, elle ne semblait pas judicieuse. Charles Leclerc a eu des discussions animées avec le mur des stands, marquées par de fréquents malentendus et incompréhensions. Il est clair que la sérénité fait défaut à Maranello, un problème qui persiste malheureusement depuis trop longtemps.

Le pilote monégasque a déclaré qu’il pensait qu’une stratégie à un seul arrêt aurait été possible. Au début de la course, il en était assez convaincu, surtout après avoir vu George Russell s’arrêter pour chausser des pneus durs neufs. Il a remarqué que les temps au tour de George Russell n’étaient pas particulièrement rapides, il a donc pensé que cela valait la peine d’essayer, d’autant plus que la dégradation des pneus était gérable. Un arrêt unique semblait réaliste, surtout compte tenu du premier relais de Lewis Hamilton sur pneus moyens, pendant lequel il semblait à l’aise.

Cependant, il a finalement reconnu que le mur des stands avait accès à plus de données que les pilotes, et il s’en est donc remis à leur jugement. Il a admis que le résultat final était également dû aux erreurs commises lors des essais libres, principalement les siennes, et au trafic pendant les qualifications, qui ont compromis leur position sur la grille et compliqué toute la course. Le pilote Ferrari a également ajouté que le week-end n’avait pas été facile. Lorsqu’on lui a demandé s’il se sentait moins calme que d’habitude, il a expliqué qu’il essayait toujours de tirer le meilleur parti de ce qu’il avait. Il est vrai que certaines courses sont plus frustrantes que d’autres, mais il n’en voulait pas aux autres. Le problème, à l’heure actuelle, est que l’équipe de Maranello ne dispose toujours pas d’une voiture capable de se battre pour la victoire. C’est là, selon lui, la véritable limite majeure.

Classement des championnats de F1 2025 après le Grand Prix du Canada

Comment le Grand Prix de Formule 1 du Canada 2025 a-t-il influencé le classement du championnat des pilotes et des constructeurs ?

PEquipe Points
1McLaren 721
2Mercedes368
3Ferrari362
4Red Bull 351
5Williams111
6Racing Bulls72
7Aston Martin72
9Haas62
8Sauber60
10Alpine21

PPilote Equipe Points
1L. NorrisMcLaren365
2O. PiastriMcLaren356
3M. VerstappenRed Bull326
4G. RussellMercedes264
5C. LeclercFerrari214
6L. HamiltonFerrari148
7K. AntonelliMercedes104
8A. AlbonWilliams73
9N. HülkenbergSauber41
12F. AlonsoAston Martin40
10I. HadjarVCARB39
11C. SainzWilliams38
13O. Bearman Haas32
14L.StrollAston Martin32
15L. LawsonVCARB30
16E. OconHaas30
17Y. TsunodaRed Bull28
18P. GaslyAlpine21
19G. BortoletoSauber19
20F. ColapintoAlpine0
21J. DoohanAlpine0

GP du Canada : George Russell s’impose les McLaren s’accrochent

George Russell a remporté une victoire magistrale au Grand Prix du Canada 2025, signant le quatrième succès de sa carrière en Formule 1 à l’issue d’une course intense sur le circuit Gilles-Villeneuve. Le pilote Mercedes a su résister jusqu’au bout à Max Verstappen et Kimi Antonelli, dans une épreuve marquée par une collision spectaculaire entre les McLaren de Lando Norris et Oscar Piastri à trois tours de l’arrivée. La course, animée et stratégique, s’est conclue sous voiture de sécurité, scellant le podium avec Russell en tête, suivi de Verstappen et du jeune Antonelli, qui monte sur la boîte pour la première fois de sa carrière.

Départ maîtrisé, bataille stratégique

Dès l’extinction des feux, Russell a conservé l’avantage de sa pole position face à un Verstappen pressant. Kimi Antonelli a pris le meilleur sur Piastri dès le troisième virage pour s’installer en troisième position, tandis qu’un accrochage évité de justesse derrière permettait à Nico Hülkenberg de progresser dans le classement.

La course s’est rapidement stabilisée, chacun gérant l’usure de ses pneus dans l’attente de la fenêtre de ravitaillement idéale. Verstappen a été le premier des leaders à s’arrêter, optant pour des gommes dures. Russell et Antonelli ont réagi dans les tours suivants, maintenant leur place dans le trio de tête.

McLaren : un duel qui tourne au drame

La tension a gagné en intensité dans la deuxième moitié de course, notamment entre les deux McLaren. Norris, auteur d’une belle remontée grâce à une stratégie décalée, a réduit l’écart sur Piastri avant de tenter une attaque hasardeuse dans la ligne droite des stands au 67e tour. Il a percuté l’arrière de la monoplace de son coéquipier, provoquant l’abandon de l’Australien. Norris a reconnu sa responsabilité dans l’accrochage dès la fin de l’action. Cette collision a entraîné la sortie de la voiture de sécurité, figée jusqu’au drapeau à damier.

Classement du Grand Prix du Canada

Lewis Hamilton, en proie à des problèmes de performance sur sa Ferrari endommagée, a vécu un Grand Prix compliqué. Charles Leclerc, quant à lui, a vu sa stratégie de deux arrêts compromettre ses chances de podium, exprimant à plusieurs reprises son incompréhension à la radio.

Derrière les leaders, plusieurs incidents ont émaillé la course : Alex Albon a abandonné en raison d’un souci mécanique, Lance Stroll a écopé d’une pénalité pour un contact avec Pierre Gasly, et Liam Lawson a été sanctionné pour non-respect des drapeaux bleus. Malgré ces péripéties, Fernando Alonso et Nico Hülkenberg ont réussi à inscrire des points.

Russell signe ainsi un succès décisif dans la dynamique de la saison, au terme d’un week-end parfait à Montréal. Verstappen, deuxième, limite les dégâts au championnat, tandis qu’Antonelli se rassure après trois Grands Prix sans le moindre point.