Spa-Francorchamps : le joyau belge de la Formule 1

Niché dans la région vallonnée des Ardennes, en Belgique, le circuit de Spa-Francorchamps s’impose depuis près d’un siècle comme l’un des tracés les plus mythiques et appréciés du championnat du monde de Formule 1. Son histoire, sa topographie naturelle et ses virages emblématiques en font un rendez-vous incontournable pour les passionné·e·s de sport automobile et les pilotes du monde entier.

Un tracé qui défie le temps

Le circuit de Spa-Francorchamps a vu le jour en 1921. Conçu à l’origine comme un triangle reliant les villes de Francorchamps, Malmedy et Stavelot, il s’étendait sur près de 15 kilomètres. Avec le temps et les exigences croissantes de la sécurité, le tracé a été considérablement raccourci, atteignant aujourd’hui 7,004 kilomètres, ce qui en fait l’un des plus longs du calendrier de la F1.

Son parcours sinueux épouse parfaitement le relief ardennais, offrant des variations d’altitude spectaculaires et des enchaînements rapides. Le célèbre virage de l’Eau Rouge-Raidillon représente un défi technique et physique unique, où chaque erreur peut se payer cher. Ce passage, extrêmement rapide, requiert à la fois courage, précision et maîtrise absolue.

Un rendez-vous prestigieux

Spa-Francorchamps accueille chaque année le Grand Prix de Belgique, épreuve phare du championnat du monde de Formule 1. Son climat imprévisible, alternant souvent pluie et éclaircies, ajoute à la complexité et au prestige de l’événement. Il n’est pas rare de voir certaines portions du circuit détrempées tandis que d’autres, à quelques centaines de mètres, restent sèches, rendant la stratégie de course particulièrement délicate.

De nombreux·ses pilotes légendaires ont brillé sur ce tracé, tels Ayrton Senna, Michael Schumacher ou Lewis Hamilton. Plusieurs considèrent d’ailleurs Spa comme le circuit ultime, où le talent pur s’exprime sans filtre.

Un site moderne et vivant

Malgré son héritage, Spa-Francorchamps n’a cessé d’évoluer. Infrastructures modernisées, amélioration constante de la sécurité, le site accueille aujourd’hui de nombreux événements, allant de la F1 aux 24 Heures de Spa en passant par des compétitions d’endurance et des courses historiques. Les spectateurs affluent chaque année pour profiter d’une ambiance unique, entre nature préservée et ferveur sportive.

Spa-Francorchamps demeure ainsi, à travers les décennies, un temple du sport automobile et une véritable fierté pour la Belgique.

 

 

Vidéo – Brad Pitt pilote une F1 de l’équipe McLaren sur le Circuit des Amériques

Regardez Brad Pitt, star de la Formule 1, et Martin Brundle, présentateur de Sky Sports F1, prendre la piste du Circuit des Amériques, où se déroule le Grand Prix des États-Unis, au volant d’une McLaren F1 moderne, guidée par Lando Norris.

Dans le cadre de sa promo pour le film F1, Brad Pitt, acteur principal à l’affiche du film, a eu la chance de recevoir l’invitation de Zak Brown pour piloter une Formule 1 de l’équipe McLaren. Le tout s’est déroulé sur le COTA, à Austin, au volant d’une F1, ce qui représentait de manière amusante une première pour Brad Pitt, qui s’était certes livré à un entrainement et des prises d’images au volant pour les besoins du film, mais à bord d’une F2 modifiée. 

Pour cette expérience en piste au volant d’une F1, la star hollywoodienne a reçu en plus les conseils de Lando Norris, pilote McLaren, et de l’ex-pilote F1 Martin Brundle, désormais commentateur et expert pour la chaîne anglaise Sky Sports F1, qui est à l’origine de cette vidéo. 

 

Toto Wolff relativise les critiques sur les règles 2026 : « On s’y habituera »

Face aux inquiétudes croissantes entourant la réglementation technique de la Formule 1 pour 2026, Toto Wolff a tenu à rassurer le paddock, estimant que les changements à venir finiront par être acceptés : « Tout le monde s’y habituera », a déclaré le patron de Mercedes.

Les futures monoplaces connaîtront une refonte majeure, avec l’introduction d’une aérodynamique active et une nouvelle répartition des performances entre moteur thermique et électrique. Dès 2026, ces deux sources d’énergie devront fournir une puissance équivalente.

Certaines voix s’élèvent cependant contre le risque de panne d’énergie électrique sur des circuits rapides comme Monza, ce qui pourrait brièvement laisser les F1 moins puissantes que les F2.

Tandis que Christian Horner plaidait pour un ajustement de la part électrique, Wolff invite au contraire la discipline à embrasser pleinement cette évolution.

« Je pense que les fans doivent prendre plaisir à regarder la Formule 1, et la Formule 1 doit rester fidèle à elle-même, c’est-à-dire un sport de haut niveau », a déclaré Wolff aux médias. « Le meilleur pilote et la meilleure machine gagnent, c’est donc ce que nous devons offrir : de belles courses. Certaines voitures ont été très agréables à conduire pour les pilotes. Certains pneus ont été très agréables, d’autres moins. Donc, d’une certaine manière, on s’y habituera. »

« En regardant les simulations d’aujourd’hui, il est très difficile de savoir exactement comment cela se passera l’année prochaine. Il s’agit d’une nouvelle réglementation très difficile à respecter, qui impose de maintenir ces niveaux d’énergie tout au long du tour sur certains circuits. Il est clair qu’à l’heure actuelle, cela reste un défi. »

Vidéo – Des machines exceptionnelles qui envoient sur Le Mans Classic !

L’édition 2025 de Le Mans Classic a encore une fois été un grand évènement pour tous les passionnés de sports mécaniques, d’histoire, et de toutes les sensations que peuvent procurer des moteurs vrombissants en piste parmi un public connaisseur et respectueux. 

Cette année encore, l’affluence a été au rendez-vous pour cet évènement signé Peter Auto, sur le circuit Bugatti du Mans. 

De nombreux plateaux et des parkings très spectaculaires étaient à découvrir pendant des heures de festivités. 

Voici pour les yeux et les oreilles une très belle vidéo permettant de prendre le pouls de l’évènement. Sourire garanti !

 

Helmut Marko reste évasif sur l’avenir de Verstappen chez Red Bull

Helmut Marko, conseiller historique de Red Bull, a refusé de commenter en détail l’avenir de Max Verstappen, dont un éventuel départ vers Mercedes continue d’alimenter les spéculations.

L’écurie autrichienne traverse une saison 2025 délicate, marquée notamment par le départ de Christian Horner, écarté après plus de deux décennies à la tête de l’équipe. Laurent Mekies, venu de Racing Bulls, a été nommé pour lui succéder, héritant ainsi de la double fonction de directeur d’équipe et PDG.

Sur la piste, Red Bull peine à retrouver sa domination, rétrogradée au quatrième rang du classement constructeurs, tandis que Yuki Tsunoda peine à inscrire des points.

Marko a confirmé que Verstappen était informé en amont du licenciement de Horner, mais s’est gardé de tout commentaire sur les conséquences de cette décision sur l’avenir du triple champion du monde.

« Max en a certainement été informé, mais je ne souhaite pas m’exprimer davantage à ce sujet », a déclaré Marko à OE24.
Bien que Wolff ait confirmé que des discussions avaient eu lieu avec le Néerlandais, Red Bull et le camp Verstappen restent discrets sur le sujet. « Max peut rencontrer qui il veut », a insisté Marko.

Marko a souligné que son pilote vedette était sous contrat jusqu’à la fin de 2028 et que l’équipe partait du principe que le pilote de 27 ans resterait.

« Nous avons un contrat qui est toujours valable jusqu’en 2028, et nous partons du principe que Max restera avec nous pendant cette période », a ajouté Marko.

Stats – Combien de victoires comptent les meilleurs pilotes F1 en activité ?

Le top 10 des pilotes les plus victorieux en Grand Prix dans l’Histoire de la Formule est composé de 3 pilotes en activité. Pour figurer dans ce top 10, il faut avoir cumulé 25 succès en GP, signifiant que l’on appartient à la catégorie de champions tels que Jim Clark ou encore Jackie Stewart. 

Avec ses 105 succès en GP, Lewis Hamilton demeure le détenteur incontesté du plus grand palmarès de l’Histoire de la F1 à ce jour. Le Britannique rêve cependant de signer un 106e succès, qui serait le premier signé avec Ferrari, l’écurie de légende qu’il a rejointe en début de cette saison 2025. Derrière le Britannique, Michael Schumacher demeure avec ses 91 succès encore intouchable de la majorité de ceux qui prendront un jour le volant d’une F1. Mais Max Verstappen peut rêver de s’approcher du palmarès de celui-ci : avec 65 succès en GP, le Hollandais de l’équipe Red Bull a certes du mal à étoffer son palmarès cette saison face aux redoutables McLaren, mais il dispose toujours du troisième plus grand palmarès de l’Histoire de la F1 avant même d’avoir approché de son trentième anniversaire.

Bloqué à 32 succès et deux titres de champion du monde depuis des années, Fernando Alonso espère que le retour d’une nouvelle réglementation en 2026 permettra de rebattre les cartes pour Aston Martin et lui permettre de faire bouger son compteur personnel et s’approcher d’Ayrton Senna. 

Encore en activitémais en tant que réserviste, Valtteri Bottas compte 10 succès et en compte ainsi deux de plus que Charles Leclerc et Lando Norris, tous deux à 8. Le Britannique a signé à Silverstone son succès le plus savoureux, devant son public, en venant à bout de la météo et de son équipier Oscar Piastri, qui se taille un joli palmarès et compte 7 succès à ce jour. Nul doute que le duo McLaren devrait avoir atteint ou surpassé le total de 10 victoires d’ici la fin de la saison. 

 

Lewis Hamilton

105

Michael Schumacher

91

Max Verstappen

65

Sebastian Vettel

53

Alain Prost

51

Ayrton Senna

41

Fernando Alonso

32

Nigel Mansell

31

Jackie Stewart

27

Jim Clark

25

Niki Lauda

25

Juan Manuel Fangio

24

Nico Rosberg

23

Nelson Piquet

23

Damon Hill

22

Kimi Raikkonen

21

Mika Hakkinen

20

Stirling Moss

16

Jenson Button

15

Jack Brabham

14

Emerson Fittipaldi

14

Graham Hill

14

David Coulthard

13

Alberto Ascari

13

Mario Andretti

12

Alan Jones

12

Carlos Reuteman

12

Felipe Massa

11

Rubens Barrichello

11

Jacques Villeneuve

11

Gerhard Berger

10

James Hunt

10

Ronnie Peterson

10

Jody Scheckter

10

Valtteri Bottas

10

Mark Webber

9

Lando Norris

8

Charles Leclerc

8

Denny Hulme

8

Jacky Ickx

8

Oscar Piastri

7

Daniel Ricciardo

7

Juan Pablo Montoya

7

Rene Arnoux

7

Sergio Perez

6

Ralf Schumacher

6

Tony Brooks

6

Jacques Lafitte

6

Riccardo Patrese

6

Jochen Rindt

6

John Surtees

6

Gilles Villeneuve

6

Michele Alboreto

5

Giuseppe Farina

5

Clay Regazzoni

5

Keke Rosberg

5

John Watson

5

Renault dévisse en bourse après un avertissement financier et le départ de Luca de Meo

Renault traverse une zone de turbulences financières. Le constructeur automobile français a émis un avertissement sur ses résultats, faisant état d’un flux de trésorerie disponible (FCF) de seulement 47 millions d’euros — un chiffre bien en deçà des 645 millions attendus par les analystes, selon Reuters. Cette annonce intervient peu après la démission de Luca de Meo, son PDG depuis cinq ans, officialisée en juin.

Conséquence immédiate : l’action Renault (RENA.PA) a chuté de 18 %, tombant à 33,8 euros. À 11h30 BST ce jeudi 17 juillet, le titre s’échangeait à 33,63 euros, contre 35,92 à l’ouverture, et bien en dessous des 40,79 euros observés une semaine plus tôt.

La direction du groupe est désormais assurée par Duncan Minto, directeur financier, désigné PDG par intérim. Renault a attribué ses résultats décevants à des ventes inférieures aux prévisions, malgré une relative protection contre les droits de douane américains.

Par ailleurs, sur le plan sportif, la marque conserve son engagement en Formule 1 via l’écurie Alpine, qu’elle a repositionnée en 2021 pour promouvoir sa gamme sportive. Des changements majeurs sont à venir pour l’équipe : à partir de 2026, Alpine abandonnera la fabrication de ses propres moteurs à Viry-Châtillon et deviendra cliente de Mercedes, rompant ainsi avec son statut d’écurie d’usine.

Combien de courses reste-t-il au calendrier MotoGP cette saison ?

Le MotoGP a installé son paddock ce week-end en République Tchèque, sur le fameux long circuit de Brno, connu pour son caractère extrêmement physique pour les pilotes en raison de sa nature sinueuse. Ensuite viendra la trêve estivale du championnat, dont on sait déjà quoi qu’il en soit qu’il sera dominé mathématiquement par le pilote Ducati officiel Marc Marquez. 

Après la pause estivale bien méritée, les pilotes auront encore 10 épreuves au menu, avec une rentrée sur le GP d’Autriche, sur le tracé du Red Bull Ring, le week-end du 20 juillet, puis trois autres déplacements en Europe sur la fin de l’été, sur le Hungaroring, le Circuit de Catalogne, à Barcelone, et enfin à Saint Marin. 

Une longue campagne extra-européenne débutera ensuite fin septembre, avec comme premier rendez-vous le GP du Japon, suivi du GP d’Indonésie, terre de deux roues par excellence, puis l’emblématique manche australienne de Phillip Island. Pour les trois derniers GPs de la saison, lors desquels la lutte pour le titre pourrait être déjà bien réduite tant la domination de Marc Marquez se fait sentir cette année, le MotoGP se rendra sur le beau circuit de Sepang, en Malaisie, avant de revenir en Europe au Portugal et à Valence, où se dérouleront aussi dans la foulée les tests de préparation à la saison MotoGP 2026.

Le calendrier MotoGP 2026 restant à disputer : 

20 juillet
République Tchèque
 
17 août
Autriche
 
24 août
Hongrie
 
07 septembre
Catalogne
 
14 septembre
Saint-Marin
 
28 septembre
Japon
 
05 octobre
Indonésie
 
19 octobre
Australie
 
26 octobre
Malaisie
 
09 novembre
Portugal
 
16 novembre
Valence
 

Pierre Gasly écarte les rumeurs Bottas chez Alpine et défend son bilan

Pierre Gasly a balayé les rumeurs annonçant une possible arrivée de Valtteri Bottas chez Alpine en cours de saison, évoquant « beaucoup de bruit » sans fondement. L’écurie française traverse une campagne 2025 difficile, plombée des résultats décevants.

Actuellement lanterne rouge au classement des constructeurs, Alpine doit ses seuls points à Gasly, auteur de 100 % du total de l’équipe. En revanche, Jack Doohan et Franco Colapinto, alignés tour à tour dans le second baquet, peinent à convaincre.

Ce contexte a alimenté des spéculations autour d’un éventuel recrutement de Bottas, aujourd’hui pilote de réserve chez Mercedes, pour apporter un « point de référence ». Gasly, interrogé sur cette hypothèse, a réaffirmé sa confiance en ses propres performances et minimisé la rumeur.

« Je ne pense pas que ce soit le cas », a déclaré Gasly. « Je pense que c’est beaucoup de bruit. Je pense que la voiture, je montre chaque week-end ce qu’on peut faire avec, en faisant un très bon travail le samedi et en la plaçant à des endroits où, sur le papier, on est tous d’accord pour dire qu’on ne devrait pas vraiment être. »

« C’est juste délicat, c’est un milieu de peloton très serré et on est à l’arrière. Il y aura toujours du bruit, surtout compte tenu de ce qui s’est passé en début d’année, mais je pense qu’au final, nous devons simplement nous concentrer sur le travail qui nous attend. La saison va être longue. Nous n’avons pas de mises à jour, la voiture n’est pas au mieux, mais nous devons tous nous concentrer sur ce que nous avons à faire et essayer de le faire du mieux possible. »

Stats F1 – Hülkenberg tient son podium, mais qui domine le classement historique ?

Le premier et unique podium de Nico Hülkenberg, signé par l’Allemand à l’occasion du Grand Prix de Grande-Bretagne, aura beaucoup fait parler et réuni de nombreux fans autour d’un consensus concernant le fait que cette récompense était bien méritée pour le pilote Sauber. 

Salué par de nombreux pilotes de la grille et d’observateurs du monde de la F1, Hülkenberg, qui avait été consacré par une victoire aux 24 Heures du Mans la dernière fois qu’il avait sabré le champagne sur un podium, tient enfin sa reconnaissance symbolique en F1. 

Profitons de l’occasion pour nous intéresser aux statistiques du nombre de podiums signés par les pilotes les plus récompensés dans l’Histoire de la F1. 

Le record de podiums est à ce jour détenu par Lewis Hamilton, qui en compte 201, et aurait certainement particulièrement aimé ajouter la troisième place de Nico Hülkenberg à son tableau de célébrations à Silverstone, le tracé anglais étant particulier pour lui et ses fans, qu’il espère un jour pouvoir saluer en rouge depuis la boite. Parmi les autres pilotes en activité, Max Verstappen dispose du quatrième plus grand palmarès de l’Histoire de la F1, avec 117 réalisations, à cinq longueurs de Sebastien Vettel, qui a lui-même constitué l’essentiel du sien avec Red Bull Racing. 

Par ailleurs, un podium supplémentaire en carrière permettrait à Fernando Alonso de surpasser Alain Prost et ses 106 podiums. A noter également qu’à son rythme actuel, Lando Norris devrait surpasser de nombreux pilotes d’ici le terme de la saison, pouvant notamment se mettre au niveau de Jackie Stewart, Damon Hill, Mark Webber, Felipe Massa, Sergio Perez ou encore Riccardo Patrese.

Nombre de podiums par pilote dans l’Histoire de la F1

(statistiques arrêtées après le GP de Grande-Bretagne 2025)

Lewis Hamilton

201

Michael Schumacher

155

Sebastian Vettel

122

Max Verstappen

117

Alain Prost

106

Fernando Alonso

106

Kimi Raikkonen

103

Ayrton Senna

80

Rubens Barrichello

68

Valtteri Bottas

67

David Coulthard

62

Nelson Piquet

60

Nigel Mansell

59

Nico Rosberg

57

Niki Lauda

54

Mika Hakkinen

51

Jenson Button

50

Gerhard Berger

48

Charles Leclerc

47

Carlos Reuteman

45

Jackie Stewart

43

Damon Hill

42

Mark Webber

42

Felipe Massa

41

Sergio Perez

39

Riccardo Patrese

37

Lando Norris

36

Graham Hill

36

Juan Manuel Fangio

35

Emerson Fittipaldi

35

Denny Hulme

33

Jody Scheckter

33

Daniel Ricciardo

32

Jim Clark

32

Jacques Lafitte

32

Jean Alesi

32

Jack Brabham

31

Juan Pablo Montoya

30

Clay Regazzoni

28

Carlos Sainz

27

Bruce McLaren

27

Ralf Schumacher

27

Ronnie Peterson

26

Eddie Irvine

26

Jacky Ickx

25

Stirling Moss

24

John Surtees

24

Alan Jones

24

James Hunt

23

Michele Alboreto

23

Jacques Villeneuve

23

Rene Arnoux

22

Oscar Piastri

20

George Russell

20

Giuseppe Farina

20

John Watson

20

 

Charles Leclerc évoque rend hommage à Jules Bianchi, dix ans après sa disparition

Nous venons de passer le dixième anniversaire de la disparition de Jules Bianchi, survenue le 17 juillet 2015, à cette occasion, Charles Leclerc a livré un témoignage poignant sur la relation qu’il entretenait avec son parrain.

Bianchi, décédé des suites de blessures subies lors du Grand Prix du Japon 2014, disputait alors sa deuxième saison en Formule 1 sous les couleurs de l’écurie Marussia.

Au-delà du pilote prometteur que le paddock connaissait, Jules Bianchi occupait une place particulière dans la vie du jeune Monégasque. Proche du frère aîné de Leclerc durant l’enfance, Bianchi était également son parrain, un rôle chargé d’affection et de repères dans la trajectoire personnelle et professionnelle du pilote Ferrari.

Si le talent et l’avenir prometteur de Bianchi en Formule 1 font l’unanimité parmi les observateurs du sport, les aspects plus intimes de sa vie restent moins souvent évoqués. À travers les mots de Leclerc, c’est une facette plus humaine et plus profonde de l’ancien pilote français qui resurgit à l’heure de cet hommage.

Évoquant sa relation avec Bianchi, Leclerc a déclaré à F1.com : « J’ai quelques anecdotes de cette époque, comme le premier film d’horreur que j’ai vu avec Jules. Il ne savait pas que je faisais semblant de dormir. Il essayait de s’assurer que je dormais parce qu’il voulait voir ce film avec mon frère aîné ! Jules était quelqu’un de vraiment gentil. Il était très drôle et avait ses moments de folie quand on le connaissait bien. Il était toujours prêt à aider et aimait beaucoup s’amuser. »

« Les souvenirs les plus marquants sont probablement ceux de mes six ou sept ans, lorsque j’ai pu piloter un kart de location avec lui et mon frère pour la première fois », ajoute Leclerc. « Normalement, les karts de location sont réservés aux adultes, mais son père gérait le circuit et nous laissait évidemment faire des choses qui n’étaient peut-être pas autorisées. Je l’admirais beaucoup, alors courir avec lui, avec mon frère aîné, avec son frère cadet et avec de nombreux autres pilotes de karting professionnels de l’époque était incroyable. Nous nous amusions tellement. Nous traînions ensemble et attendions que le circuit ferme au public pour pouvoir y entrer. Ensuite, nous nous déchaînions sur la piste pendant des heures et des heures. Ce sont probablement les souvenirs les plus précieux que j’ai. »

Business – Pourquoi les marques veulent-elles toutes revenir en Formule 1 ?

Les marques se bousculent de nouveau pour rejoindre l’écosystème de la F1 et associer leur image à celle de la discipline.

La croissance incroyable de la Formule 1 continue d’attirer des marques mondiales désireuses de faire partie de son écosystème en expansion et il ne s’agit plus seulement de logos sur les voitures.

– Croissance de l’audience

En 2024, la F1 a attiré 1,6 milliard de téléspectateurs cumulés, avec une augmentation de 9 % d’une année sur l’autre du nombre de téléspectateurs uniques. La présence numérique de la F1 est en plein essor, avec près de 500 millions de vues sur les plateformes de streaming et une croissance de 38 % du nombre d’abonnés sur les réseaux sociaux, pour un total de 97 millions. Particulièrement intéressant ? Les segments de fans qui connaissent la croissance la plus rapide sont les publics plus jeunes et les fans féminins.

– Boom des parrainages et des revenus

Les revenus des parrainages ont bondi de 10 % en glissement annuel, avec des contrats de haut niveau, notamment avec le géant du luxe LVMH. La F1 s’est assurée un revenu futur massif de 14,4 milliards de dollars grâce à des contrats pluriannuels, et les droits de diffusion aux États-Unis sont très convoités, suscitant l’intérêt des principales plateformes de streaming.

-La puissance de l’écosystème de la F1

Qu’est-ce qui explique cet intérêt croissant des marques ? La F1 a évolué, passant d’une simple série de courses à une plateforme de divertissement mondiale aux multiples facettes, combinant courses, style de vie, contenu numérique et influence culturelle. Que ce soit à travers Drive to Survive de Netflix, les expériences d’hospitalité étoilées Michelin avec Gordon Ramsay ou les activations sociales exclusives, les marques considèrent la F1 comme une plateforme pour se connecter avec un public diversifié et en pleine croissance.

La Formule 1 n’est pas seulement un sport, c’est un point de contact culturel mondial, et les marques veulent en faire partie.

 

 

Vidéo – Il y 4 ans, Hamilton et Verstappen s’accrochaient à Silverstone

Lewis Hamilton réalisait un excellent départ et tentait de dépasser Max Verstappen à l’intérieur du premier virage. Le Néerlandais résistait et reprenait l’avantage au virage suivant. Dans la ligne droite, Hamilton profitait de l’aspiration pour attaquer à plusieurs reprises, notamment à l’entrée de Copse où il se plaçait à hauteur de la Red Bull. Verstappen, déterminé à défendre sa position, freinait tard. Le contact était inévitable : la Mercedes touchait l’arrière droit de la Red Bull, qui partait en tête-à-queue avant de s’écraser violemment dans les barrières. Verstappen, sonné, sortait seul de sa monoplace sous les applaudissements du public britannique.

La supergrille F1 après le GP de Grande-Bretagne : Verstappen devant Norris en 2025

La supergrille offre un oeil statistique incomparable au moment de juger de la performance moyenne de l’ensemble des pilotes de la grille. Moyenne cumulée de la position de départ de chaque pilote depuis le début de la saison, elle permet de se rendre compte que le meilleur dans l’exercice des qualifications cette année demeure le leader actuel du championnat du monde, Oscar Piastri, deuxième à l’arrivée du GP de Grande-Bretagne, ce week-end. 

Poleman que l’on n’attendait pas réellement au volant de la Red Bull Racing le week-end dernier sur le tracé anglais, Max Verstappen affiche la statistique forte de dépasser Lando Norris, qui dispose pourtant de la meilleur monoplace du plateau. Chez Mercedes, l’expérience de Russell impacte fortement sa performance relative en qualifications par rapport à son équipier Kimi Antonelli, qui figure à une belle position moyenne pour un rookie mais est tout de même solidement battu au sein du duo Mercedes. Toujours derrière les représentants des top teams, dont le second pilote Red Bull Yuki Tsunoda peine à faire partie, le français débutant Isack Hadjar fait forte impression avec ses qualifications moyennes le plaçant devant Alex Albon, Fernando Alonso ou encore Carlos Sainz. Chez Alpine, l’on aimerait sans doute ne pas avoir à compter que sur Pierre Gasly pour bien figurer sur la grille et se donner des chances pour la course le lendemain. 

 

Pilote

Equipe

Place moyenne 

Meilleure place

Piastri McLaren 2.2 Pole
Verstappen Red Bull 3.1 Pole
Norris McLaren 3.5 Pole
Russell Mercedes 4.3 Pole
Leclerc Ferrari 5.7 2
Hamilton Ferrari 7 4
Antonelli Mercedes 8 3
Hadjar RB 10.1 6
Albon Williams 10.2 6
Alonso Aston Martin 10.8 5
Sainz Williams 11.6 6
Gasly Alpine 12 5
Tsunoda Red Bull 12.5 5
Lawson RB 14.6 6
Ocon Haas 15 8
Bortoleto Stake 15.4 8
Doohan Alpine 15.5 11
Bearman Haas 15.8 8
Hulkenberg Stake 16.1 12
Stroll Aston Martin 16.2 8
Colapinto Alpine 16.7 12

Jenson Button va mettre un terme à sa carrière de pilote

Champion du monde de Formule 1 en 2009, Jenson Button a annoncé qu’il ne poursuivrait pas sa carrière à temps plein en 2026, tournant ainsi la page sur 28 années de présence continue dans le sport automobile. Actuellement engagé en Championnat du monde d’endurance (WEC) avec le Cadillac Hertz Team JOTA, le Britannique quittera son volant à l’issue de la saison en cours.

Button, aujourd’hui âgé de 45 ans, a débuté sa carrière professionnelle en 1998 en Formule Ford, avant de gravir les échelons jusqu’à la Formule 1, où il a fait ses débuts en 2000 avec l’écurie Williams. En 2009, il a décroché le titre mondial avec Brawn GP lors d’une saison restée dans les annales. Il a disputé 306 Grands Prix et remporté 15 victoires au cours de 17 saisons complètes en F1. Sa dernière apparition dans la discipline remonte au Grand Prix de Monaco 2017, où il avait brièvement remplacé Fernando Alonso chez McLaren.

Depuis son retrait de la F1, Button a multiplié les participations dans différentes catégories, notamment en endurance. Bien qu’il ait confirmé qu’il pourrait encore s’aligner sur quelques épreuves ponctuelles, il a exclu tout retour à un programme complet à l’avenir.

McLaren refuse les consignes d’équipe : Norris et Piastri libres de se battre pour le titre

Le patron de McLaren, Zak Brown, a affirmé que son équipe ne donnerait aucune consigne de course à ses pilotes dans la lutte pour le titre mondial. En pleine bataille pour le championnat, Oscar Piastri et Lando Norris sont désormais les deux principaux prétendants, séparés par seulement huit points au classement des pilotes à mi-saison. Max Verstappen, troisième, accuse un retard de 69 points sur le leader australien.

Malgré la tension croissante entre les deux hommes forts de Woking — marquée par des accrochages évités de justesse en Autriche et un contact au Canada — Brown a réitéré sa volonté de maintenir une égalité de traitement. « Ils sont libres de se battre », a-t-il déclaré, soulignant l’importance de la compétition interne, même si cela engendre des courses à haut risque pour l’équipe.

Alors que McLaren se retrouve pour la première fois depuis plus d’une décennie dans une position de force au championnat, la direction choisit de privilégier le sport et la méritocratie plutôt que des ordres hiérarchiques, laissant la bataille se jouer entre Piastri et Norris jusqu’au bout.

« Nous les laissons faire. C’est à eux de décider qui remportera le championnat du monde », a déclaré Brown lors du Goodwood FOS. « J’espère que ce sera l’un des deux. Je pense que nous devons encore creuser un peu plus notre avance avant de nous sentir à l’aise. Mais on n’est jamais vraiment à l’aise dans ce sport, alors laissons-les continuer à courir. Je pense que l’Autriche a été une excellente démonstration de leur capacité à se battre l’un contre l’autre de manière propre. »

Les femmes, la génération Z et le public américain sont les fans modernes de la F1

Une étude montre que les fans sont de plus en plus attirés par la F1 en raison de la richesse des histoires et de la diversité des façons de s’impliquer dans ce sport.

Selon une enquête conjointe menée par la série et Motorsport Network, les femmes représentent désormais trois nouveaux fans de Formule 1 sur quatre.

L’enquête mondiale 2025 sur les fans de F1 est une étude récurrente menée tous les quatre ans. L’édition de cette année s’appuie sur plus de 100 000 réponses de fans très engagés, s’étant identifiés comme tels, dans 186 pays.

« Cette étude montre que les fans suivent de plus en plus la Formule 1 pour ses histoires et les nombreuses occasions qu’elle offre de s’impliquer dans ce sport, puis qu’ils deviennent accros à ces courses fantastiques », a déclaré Stefano Domenicali, président et directeur général de la Formule 1.

« Ce sport fait désormais partie intégrante de la culture, grâce au streaming, aux récits et aux réseaux sociaux, ce qui permet à davantage de personnes de s’y intéresser. Avec Motorsport Network, nous avons pu examiner de plus près à quoi ressemblera le fandom moderne en 2025 et nous assurer que notre stratégie visant à attirer de nouveaux fans reste sur la bonne voie. »

L’une des principales conclusions est que la Formule 1 attire un public nouveau, plus jeune et plus féminin. Près de la moitié des répondants de la génération Z étaient des femmes et 42 % des fans féminines suivent déjà la F1 Academy. Plus largement, 23 % des fans interrogés déclarent suivre la F1 Academy.

Les deux tiers des répondants de la génération Z déclarent se sentir personnellement inspirés par les pilotes ou les équipes, et aux États-Unis, 70 % des répondants de la génération Z consultent quotidiennement du contenu lié à la Formule 1.

Les fans américains représentaient la plus grande part des personnes interrogées et la Formule 1 indique qu’ils « surreprésentés en termes d’engagement avec le contenu, de réactivité des sponsors et de points de contact quotidiens ».

En outre, 73 % des fans américains prévoient d’assister à une course à l’avenir, ce qui souligne que la Formule 1 dispose encore d’une base de fans nouvelle et en pleine évolution.

De plus, 73 % des fans américains prévoient d’assister à une course à l’avenir, ce qui souligne que la base de fans américains de la Formule 1 est encore nouvelle et en pleine évolution.

En matière de sponsoring, 76 % des personnes interrogées estiment que les sponsors améliorent l’expérience de la Formule 1. Une personne sur trois est plus susceptible d’acheter des produits des partenaires de la Formule 1, ce chiffre atteignant 40 % chez les répondants de la génération Z.

Les expériences en direct deviennent également une bonne source d’engagement des fans, et 41 % des personnes interrogées qui n’ont jamais participé à des expériences destinées aux fans prévoient de le faire à l’avenir.

Sauber : Avec son podium, Hülkenberg est « débarrassé de son poids »

Nico Hulkenberg détenait le record le plus indésirable de la Formule 1, celui du plus grand nombre de courses sans podium, mais son podium au Grand Prix de Grande-Bretagne, dernier GP F1 en date, lui a enfin permis de se débarrasser de son fardeau, selon Jonathan Wheatley, directeur de l’écurie Sauber.

Après 239 tentatives, Hulkenberg est enfin monté sur un podium de F1, et il l’a fait de manière exceptionnelle après avoir brillamment piloté dans des conditions météorologiques difficiles, tout en repoussant les assauts du septuple champion du monde Lewis Hamilton, qui a dû se contenter de la quatrième place. Il s’agissait du premier podium de Sauber depuis des années et le premier sous la houlette de leur nouveau patron, Jonathan Wheatley, qui a quitté Red Bull Racing pour diriger l’équipe dans l’ère Audi en 2026.

« Je pense qu’il était presque en état de choc quand je l’ai vu sous le podium », a déclaré Jonathan Wheatley à propos de Nico Hülkenberg après la course à Silverstone dimanche. « Nico a fait une course exceptionnelle. L’une des meilleures que j’ai vues à Silverstone et l’une des meilleures que j’ai jamais vues de tous les pilotes. Je le considère depuis très longtemps comme un talent extraordinaire… Je pense qu’il a montré aujourd’hui de quoi il est capable. Il s’est libéré d’un poids », a-t-il ajouté.

Le résultat a été aigre-doux pour Sauber, dont l’autre pilote, Gabriel Bortoleto, n’a pas terminé la course après avoir eu un accident au quatrième tour. Bien qu’il ait réussi à remettre sa voiture en piste, il n’a pas pu rejoindre les stands et a dû abandonner. Personne ne méritait plus que Hulkenberg de monter sur le podium. « Par où commencer ? », a déclaré Wheatley dans son compte rendu de course publié dans le communiqué de presse de Sauber. « C’est le podium le plus attendu de l’histoire de la F1 et le premier podium de l’équipe depuis le Japon en 2012. Ce fut un week-end avec des hauts et des bas, mais au final, nous avons réussi à nous ressaisir et lorsque l’occasion s’est présentée, nous l’avons saisie à deux mains. Nico a livré une performance magistrale », a poursuivi Wheatley. « Parti en 19e position, il a terminé 3e. C’est la position de départ la plus basse jamais enregistrée par un pilote Sauber ayant terminé sur le podium en 32 ans d’histoire, et après 239 départs en Grand Prix, Nico a tenu ses promesses. Aucun pilote ne mérite plus que Nico de monter sur le podium. Une fois de plus, nous avons fait preuve de cohésion en tant qu’équipe. Nous avons montré notre confiance et notre foi en nous-mêmes, et obtenu un résultat dont tout le monde, à l’usine comme sur le circuit, peut être fier. Quelle journée ! », a conclu Wheatley.

Apple en passe de décrocher les droits de diffusion de la F1 aux États-Unis dès 2026

Apple serait sur le point de s’imposer comme le nouveau diffuseur de la Formule 1 aux États-Unis à partir de la saison 2026, selon les informations de « Business Insider ». Le géant technologique aurait formulé une offre annuelle de 150 millions de dollars, surpassant largement les 85 millions actuellement versés par ESPN, diffuseur en place depuis 2018.

Cette initiative marque un pas supplémentaire dans l’investissement croissant d’Apple dans le monde du sport automobile, après la production du film « F1 » avec Brad Pitt, sorti en salles récemment. Le projet de rachat des droits américains s’inscrit également dans un contexte d’intérêt croissant pour la discipline outre-Atlantique, stimulé ces dernières années par le succès de la série documentaire *Drive to Survive* sur Netflix.

Alors que Netflix avait un temps envisagé de se positionner pour acquérir ces droits, la plateforme ne semble pas impliquée dans les discussions actuelles. Outre ESPN, les fans américains ont également accès aux courses via le service payant F1 TV, mais l’arrivée d’Apple pourrait bouleverser le paysage médiatique de la F1 aux États-Unis.

Déjà actif dans le domaine sportif, Apple a conclu ces dernières années des partenariats de diffusion avec la Major League Baseball (MLB) et la Major League Soccer (MLS), affirmant ainsi son ambition de devenir un acteur majeur de la retransmission sportive en streaming.

Ben Sulayem et les élections FIA : « La compétition est toujours une bonne chose »

Mohammed Ben Sulayem, dont le règne à la Présidence de la FIA a jusqu’à présent été marqué par de nombreuses controverses, notamment des modifications des statuts qui, selon ses détracteurs, rendent plus difficile la tâche de ses rivaux, a défendu son bilan.

« Avez-vous déjà lu un article dans lequel je parle négativement d’une seule personne ? Ce n’est pas mon genre », a-t-il déclaré.

Rappelant qu’il avait déclaré à Reuters en mai avoir « nettoyé la maison de la FIA » et l’avoir débarrassée des ennemis qui voulaient le poignarder dans le dos, Ben Sulayem a souri : « Ce n’est pas parce qu’ils ne veulent pas me poignarder, c’est parce qu’il n’y a plus de place. Les chiffres ne mentent pas… Ils (les membres) sont plus heureux, ils voient que l’argent est réinvesti. Et tout est régi par une bonne gouvernance. »

Au sujet de l’élection, l’ancien pilote de rallye s’est dit prêt, ajoutant : « C’est comme remettre son casque et ses gants. Cela me rappelle vraiment les compétitions, et la compétition est toujours une bonne chose. Nous avons des directives si claires qu’il est désormais impossible de tricher, et cela n’arrivera jamais, pas sous mon règne. »

Mayer, 59 ans, est le fils de l’ancien directeur de l’écurie McLaren Teddy Mayer. Il a précédemment occupé les fonctions de commissaire bénévole, de membre de la commission de la FIA et de représentant de l’association nationale des États-Unis.

Il a également été vice-président senior des opérations de course chez IndyCar/Champ Car de 1998 à 2003 et directeur des opérations de l’IMSA et de l’American Le Mans Sports Car Series de 2004 à 2009.