Quand Bernie Ecclestone parlait d’un championnat 100% féminin

Nous sommes en mars 2015, il y a 10 ans, et quelques jours après le lancement de la saison de Formule 1. Les Grands Prix d’Australie et de Malaisie viennent de se disputer, remportés respectivement par Lewis Hamilton (Mercedes) et Sebastian Vettel (Ferrari).

Bernie Ecclestone admettait alors penser qu’une série distincte pour les femmes pilotes serait bénéfique pour le sport.

Comme toujours, il était difficile, au vu des sorties précédentes de l’homme d’affaires alors âgé de 84 ans, de savoir si l’homme de 84 ans si celui-ci jouait avec les médias ou s’il est très sérieux. Beaucoup suggéraient alors, connaissant les convictions profondes du Britannique à ce sujet, qu’il suggérait-là une idée qu’il jugeait lui-même scandaleuse et n’ayant aucune chance d’être matérielle tout en se préparant à faire passer une autre idée tout aussi « ridicule » qui, elle…passerait !

Rappelons qu’Ecclestone parlait également à l’époque de doubler les points des trois dernières courses de la saison, envisageait des courses sur piste humide ainsi que l’attribution de points pour les qualifications.

« J’ai pensé que ce serait une bonne idée de leur donner une vitrine », avait-t-il déclaré dans les colonnes du Daily Telegraph. « Pour une raison quelconque, les femmes ne se manifestent pas, et ce n’est pas parce que nous ne les voulons pas. Bien sûr que si, car elles attireraient beaucoup d’attention et de publicité et probablement beaucoup de sponsors. »

Les rares femmes pilotes se disaient majoritairement désireuses de réussir en F1 et de rivaliser avec les hommes sur un pied d’égalité, et trouvaient donc l’idée d’une série distincte dégradante et condescendante.

C’était clairement l’avis de Susie Wolff, qui tentait de se frayer un chemin vers un baquet de titulaire en F1, bien aidée en cela par son époux Toto, alors actionnaire influent chez Williams, où elle occupait le poste de pilote d’essais. « Ce n’est certainement pas la bonne voie à suivre », estimait-elle en réponse. « Tout d’abord, je ne sais pas où vous trouveriez un plateau complet de pilotes féminines suffisamment bonnes », admettait-elle. « Deuxièmement, j’ai fait toute ma carrière de pilote automobile en tant que concurrent normal. Pourquoi chercherais-je une course où je ne serais en compétition qu’avec des femmes ? Je peux dire en toute sincérité que cela ne m’intéresserait pas du tout de gagner une telle course. Je préférerais ne pas participer à la course, car qu’est-ce que je gagnerais ? Une course où ils ont juste cherché n’importe quelle fille pour constituer une grille… »

Aujourd’hui, Susie Wolff dirige le projet F1 Academy, un championnat de niveau F4 soutenu par la F1 et composée d’une grille exclusivement féminine.

Magnussen encore chez Haas comme conseiller ?

Kevin Magnussen semble prêt à complètement se séparer de son ancienne équipe de Formule 1, Haas.

L’année dernière, lorsqu’il est devenu évident que la petite équipe américaine avait d’autres projets pour sn duo de pilotes en 2025, le patron Ayao Komatsu a insisté pour que Magnussen reste impliqué dans l’équipe Haas à un autre titre.

Selon certaines rumeurs, il aurait un rôle de conseiller ou d’ambassadeur, mais Komatsu a déclaré au magazine français Auto Hebdo en janvier dernier : « Il pilotera en TPC (tests) et sur simulateur. »

Cependant, le journal danois Ekstra Bladet affirme que l’accord de Magnussen avec Haas ne tient plus qu’à un fil. « Depuis l’été dernier, le directeur de l’équipe, Ayao Komatsu, a fait tout un plat de son souhait de voir le Danois de 32 ans associé à Haas à l’avenir. Mais maintenant, cela semble se terminer en eau de boudin », ajoute l’article.

Magnussen est passé de la Formule 1 aux courses d’endurance, et a maintenant un baquet de choix chez BMW. Il a admis il y a quelques semaines : « Je savais que je n’étais pas très enthousiaste à l’idée de continuer en Formule 1. Je ne cherchais pas vraiment activement un autre contrat en Formule 1. »

Lors de la dernière course de Magnussen ce week-end à Sebring, le pilote a déclaré au journaliste automobile Marshall Pruett qu’il n’avait aucun intérêt à revenir en F1. « Il y aura toujours des rumeurs et je pense que récemment, il y a eu des choses écrites à ce sujet, mais c’est normal dans ce monde », a-t-il déclaré. « Je suis très heureux ici. C’est l’âge d’or des courses de voitures de sport, donc je suis très heureux. »

Programme et horaires du Grand Prix de F1 de Chine 2025

Le Championnat du monde de Formule 1 2025 revient dès ce week-end, du 21 au 23 mars, avec le Grand Prix de Chine sur le célèbre circuit de Shanghai. Cette seconde manche de la saison se déroulera sous un format sprint avec donc une séance d’Essais Libres 1, une qualification sprint, une course sprint, une séance qualificative et enfin le Grand Prix

Un week-end à toute vitesse

Avec un décalage entre la Chine et la France, les fans européens devront ajuster leur planning pour suivre les sessions en direct. Les essais libres (EL1) débuteront dans la nuit de jeudi à vendredi, à 04h30 (heure de Paris), suivis de la qualif sprint à 08h30. Pendant que vous attendez les résultats des courses, pourquoi ne pas explorer un casino en ligne argent réel pour une dose d’adrénaline supplémentaire ?

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Le samedi 22 mars, la course sprint est programmée à 04h00, tandis que les qualifications, qui détermineront la grille de départ du Grand Prix de dimanche, auront lieu à 08h00.

Le départ du Grand Prix de Chine 2025 sera donné le dimanche 23 mars à 08h00 (heure de Paris). 

Programme GP de Chine 2025 (heure de Paris)

Vendredi 21 mars :  EL1 à 04h30 (Canal + Sport) / Qualif Sprint à 08h30 (Canal + Sport)

Samedi 22 mars : Course Sprint à 04h00 (Canal + Sport) / Qualifications à 08h00 (Canal + Sport)

Dimanche 23 mars : le départ du GP de Chine à 08h00 (Canal +)

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Seule la FIA doit encore signer les nouveaux accords Concorde

La FIA n’a pas encore signé le nouvel accord Concorde de cinq ans.

Ce document essentiel qui lie les équipes au détenteur des droits commerciaux de la Formule 1 et à la FIA expire cette année. La F1 a annoncé le nouvel accord pour 2026 et au-delà le jour de l’ouverture de la saison du GP d’Australie.

Tout comme dans un casino en ligne fiable, où les accords entre opérateurs et régulateurs doivent être clairs et pérennes pour assurer la stabilité à long terme, la Formule 1 doit garantir la solidité économique du sport via ce nouvel accord Concorde.

La F1 a indiqué que « toutes les équipes » avaient signé, la déclaration ajoutant que l’accord « garantit la solidité économique à long terme du sport ».

La F1, propriété de Liberty Media, a poursuivi : « L’accord de gouvernance Concorde 2026 sera finalisé en temps voulu ».

Selon Michael Schmidt, journaliste à Auto Motor und Sport, « la FIA, en tant que troisième partenaire, n’est pas encore à bord ».

Une tension évidente existe depuis des mois entre Liberty et les équipes d’une part, et la FIA dirigée par Mohammed Ben Sulayem d’autre part.

Cependant, Schmidt pense que Ben Sulayem devrait signer le nouveau Concorde « bientôt ». « Selon des sources de la FIA, le contrat est déjà entre les mains des avocats », a-t-il ajouté.

Il est suggéré que les dix équipes existantes n’ont pas toutes signé en même temps. L’une des pierres d’achoppement était la taxe dite « anti-dilution » que la nouvelle équipe Cadillac devait payer pour 2026. Selon certaines informations, le montant final s’élèverait à 450 millions de dollars. Cet argent serait réparti à parts égales entre les dix équipes existantes.

Mais des dispositions pour une éventuelle douzième équipe à l’avenir devaient également être inscrites dans le nouveau Concorde, Auto Motor und Sport expliquant : « L’objectif est d’éviter à tout prix une répétition du drame Andretti. »

Quant au retard dans l’obtention de la signature finale de la FIA, la publication explique que le blocage est dû aux « désaccords répétés sur l’élaboration des règles » récemment, tandis que le président Ben Sulayem a demandé « un financement nettement plus important pour l’avenir, en invoquant l’augmentation de la charge de travail et des besoins en personnel ».

« Selon les représentants de la FIA », conclut le correspondant allemand, « les négociations avec la Formule 1 sont en phase finale. Les questions de réglementation et de marketing ont apparemment été résolues. Il ne reste plus qu’à obtenir l’approbation juridique. »

Pas encore de décision sur un lancement groupé des équipes F1 en 2026

La Formule 1 n’a pas encore décidé si elle organiserait chaque année un événement de lancement groupé des nouvelles livrées des équipes.

Bien qu’il n’ait pas été très populaire auprès des pilotes, le dernier événement baptisé « F1-75 », qui s’est tenu à l’O2 Arena de Londres, a été un franc succès d’un point de vue médiatique et organisationnel et a touché une frange d’audience différente de celle vue dans le passé.

Tout comme dans un casino français en ligne, où l’organisation d’événements promotionnels attire une clientèle variée, la F1 cherche à capter de nouveaux publics en lançant des événements plus modernes et interactifs.

« On voit très bien que les jeunes femmes sont le groupe cible où le sport se développe le plus rapidement », a déclaré le patron de Mercedes, Toto Wolff.

Il a ajouté que cela était particulièrement visible dans la zone des autographes lorsque les pilotes sont entrés dans le paddock à Melbourne.

« Il y avait environ 2000 personnes et 80 % d’entre elles étaient des filles », a-t-il souri. « Cela montre également que l’impact des jeunes pilotes et des médias sociaux est vraiment en train de se faire sentir. »

Comme on pouvait s’y attendre, Red Bull, dont le patron Christian Horner et le pilote Max Verstappen ont été hués par le public de l’O2, n’est pas très enthousiaste à l’idée d’un lancement de style F1-75.

« Le 75e anniversaire de la Formule 1 le justifiait », a déclaré le conseiller de l’équipe, le Dr Helmut Marko, à Servus TV, « mais je ne peux pas imaginer le faire chaque année maintenant. C’était un public pro-(Lewis) Hamilton. On le sentait vraiment. »

En fait, la FIA a même publié une déclaration condamnant les sifflets. « Nous n’avons certainement rien demandé de tel », a insisté Horner. « Je n’ai eu aucune conversation avec la FIA après l’événement. »

Le PDG de la F1, Stefano Domenicali, a déclaré qu’aucune décision n’avait été prise quant à la tenue ou non d’un événement similaire en 2026.

« Il est certain que de nombreux promoteurs du monde entier sont intéressés et aimeraient, disons, l’envisager comme un 25e Grand Prix pour lancer la saison », a admis l’Italien.

« Nous allons prendre la décision très, très bientôt. »

Cadillac admet que la F1 est un univers sous « intense pression »

Alors que l’entrée de Cadillac en 2026 est désormais gravée dans le marbre, avec la signature de Dan Towriss sur les nouveaux Accords Concorde, le chef du projet Cadillac s’est confié sur le processus « intense » traversé par la marque pour faire son entrée en F1 en 2026.

Face à la vive opposition initiale du propriétaire de la F1, Liberty Media, et des dix équipes existantes, le projet de l’équipe Andretti, préalablement approuvé par la FIA, s’est enlisé dans une lutte politique qui a atteint les plus hautes sphères du gouvernement américain.

Tout comme dans l’univers des jeux en ligne, où les nouveaux sites de casino en ligne doivent surmonter de nombreux obstacles pour obtenir leur licence et prouver leur légitimité, Cadillac a dû faire face à une résistance intense avant d’obtenir son entrée en Formule 1.

Rappelant le GP de Miami de 2024, la légende de la F1 Mario Andretti a révélé il y a quelques mois que l’ancien PDG de Liberty, Greg Maffei, s’était approché de lui et lui avait dit : « Mario, je veux te dire que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que Michael n’entre jamais en Formule 1. »

Finalement, le retrait de Michael Andretti de sa propre organisation – le projet de F1 ayant été rebaptisé Cadillac avec le soutien de GM – a permis à l’équipe de décrocher son ticket pour le départ.

Ainsi, interrogé sur l’évolution intense du projet Andretti-Cadillac F1, Towriss a déclaré au journal Indianapolis Star : « Il suffit de revenir à la citation de Greg. Il a dit ce qu’il a dit. »

Towriss est le PDG de TWG Motorsports, désormais propriétaire majoritaire d’Andretti Global, mais c’est TWG Motorsports qui supervise désormais le programme Cadillac F1.

Il se souvient que l’ancien pilote de F1 Michael Andretti a réalisé à un moment donné qu’il devait prendre du recul. « Il a commencé à exprimer le désir de se retirer et que ce n’était plus amusant à ce stade », a déclaré Towriss, 51 ans. « À ce moment-là, on se dit : ‘OK, trouvons comment faire ça’. Mais évidemment, nous avons beaucoup investi dans Andretti Global et (Indycar) dans son ensemble. Alors, comment faire en sorte que cette transition se fasse en douceur de ce point de vue ? »

Faisant référence à la bataille avec la F1 pour entrer au sommet du sport automobile, Towriss poursuit : « La pression était intense. Il y a eu des réunions très difficiles avec la F1 et d’autres événements se sont produits à l’extérieur, et quand vous réunissez ces autres championnats de sport automobile, c’est une grande opération, et je pense donc que cela nous a en quelque sorte amenés à ce point. C’est devenu très politique. Certains aspects de la candidature n’étaient pas bien compris, et c’était difficile. Ils (la F1) étaient très attachés à certaines questions. »

Il semblerait que, pour apaiser quelque peu les 10 équipes de F1 existantes, Cadillac ait dû accepter de payer une taxe anti-dilution de 450 millions de dollars, soit plus du double de la taxe payée par de nouvelles entrées similaires dans le passé.

Ocon impuissant : « La performance nous a manqué » en Australie

Le moins que l’on puisse dire est qu’Esteban Ocon avait sûrement rêvé d’une bien meilleure introduction à la saison 2025 de Formule 1 que ce premier rendez-vous de la saison, à Melbourne. Pour ses débuts avec Haas, le Français en partance d’Alpine a connu un week-end globalement difficile, qui ne peut annoncer que meilleur pour la suite.

Pour cette première course de l’année, Esteban Ocon a finalement rallié l’arrivée 13e, une position devant son rookie d’équipier Ollie Bearman, 14e.

Tout comme dans un casino en ligne fiable, où chaque mise peut changer le cours de la partie, Ocon et son équipe Haas ont tenté de tirer le meilleur parti des conditions changeantes, mais les choix stratégiques n’ont pas toujours payé.

Après une entame de week-end particulièrement alarmante sur piste sèche pour l’équipe américaine, Ocon s’est élancé de la 19e place en pneus intermédiaires après la pluie tombée pendant la préparation de la course, tandis que Bearman a pris le départ depuis la voie des stands – également en gommes intermédiaires – après que des modifications aient été apportées à la suspension de sa VF-25. Ocon s’est hissé à la 15e place au départ, Bearman à la 17e, avant que les deux pilotes ne chaussent un autre jeu de gommes intermédiaires au 4e tour, pendant une période de voiture de sécurité.

Ocon s’est ensuite installé dans un rythme jusqu’à une nouvelle période de voiture de sécurité, restant d’abord en pneus intermédiaires, avant de rentrer au stand au 40e tour pour chausser des pneus mediums alors que les conditions s’amélioraient. Une nouvelle averse s’est néanmoins abattue sur l’Albert Park et un nouveau train d’intermédiaires a été nécessaire au 46e tour sous la Voiture de Sécurité. Ocon est resté propre jusqu’au drapeau à damier mais n’a pu réaliser un coup comme l’ex-pensionnaire de l’équipe Haas, Nico Hülkenberg, qui a ravi sa nouvelle équipe Stake en lui offrant la septième place à l’arrivée.

« C’est vraiment la performance qui nous a manqué dans cette course et si nous avions eu un peu plus, nous aurions été dans le coup pour les points », estime Ocon. « Les voitures se battaient à l’avant et j’étais juste là, il n’y avait pas de position pour que je rentre dans le top 10, je n’ai pas pu suivre malheureusement. Nous devons bien étudier la situation – ce n’est pas ce que nous avons vu, c’est donc assez inattendu d’être là où nous sommes ce week-end – mais je suis sûr que nous allons nous en sortir. »

Conscient du fait que son team était en effet attendu bien plus haut après des essais hivernaux encourageants à Bahreïn, Ayao Komatsu, Team Principal, ne cède pas à la panique : « Avec les problèmes de voiture que nous avons eus cette semaine, nous savions que ce serait difficile, mais il était vraiment important de terminer avec les deux voitures. Nous devions recueillir autant de données que possible ainsi que les commentaires des pilotes, et avec de nouveaux membres de l’équipe dans l’ingénierie, c’était une course difficile à gérer. Je suis toutefois très heureux que les nouveaux membres de l’équipe d’ingénierie aient fait du très bon travail. Évidemment, sur le plan opérationnel, il y a encore des choses à améliorer, mais je suis heureux que nous travaillions bien ensemble. Les données et les commentaires que nous avons obtenus aujourd’hui nous aideront à prendre des décisions sur la façon d’améliorer la VF-25 dans un avenir proche, » veut-il commenter avec optimisme.

Williams crédite Sainz pour la cinquième place d’Albon à Melbourne

Après avoir accidenté son auto lors du Grand Prix d’Australie, Carlos Sainz a aidé son coéquipier Alex Albon à prendre la cinquième place, a tenu à rappeler son équipe Williams.

L’Espagnol a été l’un des trois pilotes à ne pas avoir bouclé un seul tour, mais plutôt que de se cacher à l’arrière de l’hospitalité ou de se rendre à l’aéroport, Sainz a choisi d’utiliser sa vaste expérience pour aider son coéquipier dans des conditions difficiles. C’est cette attitude qui reflète l’esprit d’équipe, tout comme dans le monde du meilleur casino en ligne de France où la stratégie et l’entraide peuvent faire la différence.

« Les arrêts aux stands étaient absolument parfaits… la stratégie… bravo à eux », a déclaré James Vowles, le patron de l’équipe, à la fin de la course. « Un point à noter sur la stratégie est que nous avions un stratège supplémentaire aujourd’hui : c’était Carlos », a-t-il ajouté.

« Sa perspicacité a été incroyablement utile lors de la transition vers les Inters », a révélé le Britannique. « On a vu un certain nombre d’équipes hésiter… Mais Carlos était catégorique : ‘Vous ne survivrez pas avec ça dans les derniers virages’. Et il avait raison. Il nous a aidés à atteindre cet objectif ».

Williams n’est ainsi pas tombé dans le même écueil stratégique de fin de course que son ancienne équipe de Sainz, Ferrari, ou Racing Bulls avec Yuki Tsunoda.

Avant l’arrêt, Albon occupait la septième place, mais une fois que ses rivaux se sont également arrêtés, il s’est remonté à la quatrième place, avant d’être dépassé par Kimi Antonelli à deux tours du drapeau à damier.

Albon a brièvement hérité de la quatrième place lorsqu’Antonelli a reçu une pénalité de 5 secondes pour une sortie de piste dangereuse. Cependant, à la suite d’un droit de regard, cette pénalité a été annulée et l’Italien a récupéré la quatrième place. Pas assez pour teinter la joie de James Vowles, qui pardonne aussi à Sainz sa sortie de piste.

« C’est un peu bizarre, donc nous devons l’examiner plus en détail. En fait, il s’agissait d’un changement de vitesse à mi-régime, mais il y avait plus de couple que ce à quoi il se serait attendu à ce moment-là », s’est-il contenté de déclarer, allant dans le sens de son pilote qui avait immédiatement communiqué par radio avoir reçu un comportement anormal dans le couple moteur à la réaccélération.

Comment la Formule 1 génère-t-elle ses revenus ?

Vous entendez régulièrement que la Formule 1 se porte mieux depuis la reprise par Liberty Media et qu’elle traverse même un âge d’or en termes de rentabilité. Les revenus des équipes sont fortement influencés par ceux du promoteur de la discipline : intéressons-nous donc à la manière dont la Formule 1 génère ses revenus en 2025. Contrairement à de nombreuses idées reçues, la vente de billets est loin, très loin d’être la principale source de revenus pour les promoteurs.

Les données financières communiquées par la F1 et SportsPro permettent de distinguer quatre grands secteurs de revenus pour la Formule 1.

  1. Les frais de promotion des courses

Cette catégorie représente 29% des recettes. Chaque Grand Prix, à l’exception de la course du Grand Prix de Las Vegas de Formule 1, qui appartient directement à la F1, est organisé par des promoteurs qui paient des frais substantiels à la F1 pour avoir le droit d’organiser et commercialiser les courses.

Ces contrats prévoient souvent des indexations annuelles, même si les contrats sont signés sur du très long terme. Ainsi, un deal passé pour une dizaine d’années suit le cours de l’indexation prévue, ce qui assure à la F1 des revenus prévisibles et stables par rapport au « coût de la vie ».

  1. Droits médiatiques

Cette catégorie représente 33% des recettes. Les contrats de diffusion avec des réseaux comme ESPN aux États-Unis et Sky Sports au Royaume-Uni constituent la plus grande part des revenus de la F1 et demeurent le véritable nerf de la guerre, en dépit de tout ce que l’on peut entendre sur la place de la télévision dans le monde depuis l’essor des plateformes de diffusion de contenu. En réalité, ces nouveaux canaux de diffusion représentent même de nouvelles opportunités de développement commercial pour la F1, qui doit s’ouvrir à celles-ci tout en maintenant un habile équilibre et laissant aux diffuseurs payant grassement les droits une certaine notion d’exclusivité.

  1. Parrainage et sponsoring

Cette catégorie représente 19% des recettes de la F1. Il s’agit-là d’un secteur qui augmente très sensiblement sous l’initiative de Liberty Media. Avec les nouveaux accords passés avec les teams, il est devenu plus facile pour la FOM d’être en « concurrence » avec les équipes elles-mêmes au moment de tenter de signer de très grosses multinationales ou de proposer de nouveaux produits très visibles et rémunérateurs, sans toutefois heurter les teams qui visent ces mêmes cibles. Et pour cause : il peut être plus intéressant pour les équipes de récolter une « petite part du grand gâteau » que génère Liberty media plutôt que de dévouer des ressources importantes à la chasse à certains sponsors volatiles et exigeants. 

Des marques mondiales telles que LVMH, Salesforce et Aramco investissent massivement pour s’aligner sur l’image glamour de la F1. Ces partenariats vont de la publicité en bord de piste aux collaborations exclusives sur des éléments visuels ou des expériences nouvellement créés sur les Grands Prix. Cette dynamique de sponsoring évoque par bien des aspects l’univers du casino en ligne argent réel, où l’image, la visibilité et la rentabilité sont également au cœur des stratégies commerciales.

  1. Autres sources de revenus

Cette catégorie représente 19% des recettes. Ce fourre-tout est lui aussi très important. Il comprend les packages d’hospitalité du Paddock Club (expériences VIP, pouvant coûter près de 100 fois le prix d’un billet en enceinte générale), mais aussi les revenus issus des séries de soutien telles que la Formule 2, la Formule 3, la F1 Academy, le licensing sur les marques ainsi que divers services auxiliaires allant jusqu’à la vente d’objets de collection ou le naming sur le drapeau à damier.

 

Le super coup de Hülkenberg pour sa première avec Stake

Voilà bien une équipe que personne n’attendait dans le coup pour jouer les points en Australie ! En capitalisant sur l’expérience et la solidité de Nico Hülkenberg dans des conditions traitresses, Stake a d’ores et déjà signé un résultat très significatif et apporté beaucoup de joie à ses membres en ramenant des points de la course de Melbourne.

KICK Sauber F1 Team a e effet ramené six précieux points d’un Grand Prix d’Australie palpitant, Nico Hülkenberg terminant à une impressionnante P7 pour sa première course avec l’équipe, dimanche, par conditions météorologiques jouant un rôle crucial.

L’Allemand, qui s’est élancé de la 17e place sur la grille, a fait preuve d’une grande sérénité au cours d’une journée qui a mis à l’épreuve tous les pilotes. Régulièrement à l’aise sous la pluie ou par conditions changeantes, l’expérimenté ex-pilote Haas a délivré une grande performance.

Ce résultat permet à l’équipe de se hisser à la 6e place du championnat des constructeurs, tandis que la course elle-même a été un excellent exemple du spectacle palpitant qu’offre la Formule 1.

« C’est un résultat absolument positif pour l’équipe et cela me donne le sourire », exulte Hülkenberg, dont la performance a été saluée par de nombreux pairs dans le paddock. « Nous ne l’avions pas vu venir après notre performance en qualification. Dans les conditions difficiles du jour, nous n’avons pas commis d’erreurs et nous avons eu quelques bons choix stratégiques. Il était très difficile de garder la voiture sur la piste et de lire les conditions », savoure-t-il.

« Les circuits urbains dans ces conditions ne pardonnent pas. Vous êtes constamment sur le fil du rasoir. Dans la première moitié de la course, j’ai eu beaucoup de mal avec les pneus intermédiaires. Il s’agissait de rester dans la course et d’attendre notre chance. La voiture de sécurité nous a évidemment remis dans la course pour les points, lorsqu’il a commencé à pleuvoir vers la fin. Nous avons réussi à passer au stand au bon moment, avant les autres. Parfois, il faut avoir de la chance. Alors que d’autres avaient des problèmes, nous sommes restés propres et nous nous sommes récompensés avec ces six points. Je tiens à remercier toute l’équipe pour le travail acharné qu’elle a fourni pour y parvenir. »

Récompensé par le podium, Russell s’est « bien amusé » en Australie

George Russell a terminé troisième du Grand Prix d’Australie, manche d’ouverture de la saison 2025 de Formule 1. Le Britannique a su dompter la pluie et les températures ambiantes plus froides du dimanche, qui ont fait suite à un beau soleil durant le reste du week-end.

La course a débuté par un départ arrêté traditionnel la grille a opté pour le pneu intermédiaire en raison des conditions. George Russell, qui s’alignait à une solide P4 sur la grille, est parvenu à conserver sa position dès le début. Avec une légère bruine tombant en courtes ondées, l’Intermédiaire est resté le pneu de choix jusqu’à ce qu’un Safety-Car à la mi-course n’offre l’opportunité de passer à un pneu sec sans perdre de position.

C’est ainsi que Russell a opté pour la gomme dure jusqu’à ce qu’une autre averse de pluie se développe au-dessus de la mer, près du circuit. À un peu plus de 10 tours de la fin, la pluie a fini par tomber et une averse, la plus forte du Grand Prix, a forcé les équipes à réajuster leur stratégie. L’équipe Mercedes a bien évalué le croisement et a fait passer ses pilotes en intermédiaires au 44e tour. Cela a permis à Russell de se hisser P3.

« C’était une belle course », savoure le Britannique dans un large sourire. « Je veux juste dire un grand bravo à Lando [Norris]. Je pense que dans une course comme celle-là, quand vous êtes en tête, c’est probablement votre pire cauchemar. Mais il a fait un excellent travail. De même, Kimi [Antonelli, son équipier Mercedes, ndlr] s’est très bien débrouillé pour revenir en P5, ce qui est vraiment impressionnant pour une première course. Pour nous, ce n’était pas notre meilleur week-end, mais finir sur le podium, c’est super ! »

 » Je me suis bien amusé, pour être honnête, parce que j’espérais que les deux gars devant feraient une erreur et que je pourrais passer, mais ça n’a pas été le cas ! C’est vraiment délicat, mais c’est ça la F1, et c’est ce qui la rend excitante pour nous. J’espère que tout le monde a apprécié à la maison. »

Christian Horner souligne une particularité « assez étrange » de la McLaren

Après le Grand Prix d’Australie de Formule 1, Christian Horner, le patron de Red Bull, trouve « assez étrange » que les McLaren puissent chauffer leurs pneus tout en profitant d’une faible dégradation.

Alors que Max Verstappen a terminé la course à moins d’une seconde de Lando Norris, sans les événements de fin de Grand Prix, les McLaren semblaient être dans une catégorie à part. Au 34e tour, Verstappen était à 18 secondes de la tête de la course alors qu’il avait du mal à gérer la dégradation de ses pneus intermédiaires.

Tout comme dans un top casino en ligne, où il est essentiel de trouver le bon équilibre entre stratégie de jeu et gestion des risques pour maximiser ses gains, McLaren semble avoir parfaitement maîtrisé l’équilibre entre la mise en température des pneus et leur faible dégradation.

Après la course, Horner a souligné les points sur lesquels McLaren devance les autres équipes.

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« Je pense que c’est différent pour tout le monde, oui, et ce qui est assez étrange, c’est qu’ils bénéficient d’une excellente mise en température, mais aussi d’une très faible dégradation », a déclaré Horner.

« Habituellement, l’un se fait au détriment de l’autre. Donc, sur ce circuit, ils semblent certainement avoir maîtrisé cela. »

Horner estime qu’en Australie, la monoplace de McLaren était dans « une position idéale » et « très bien équilibrée ».

« Quand on a une voiture très bien équilibrée, tout le monde a l’air différent. C’est toujours une interaction entre l’aérodynamique et la mécanique.»

« Vous pouvez voir la McLaren, ils sont dans une position idéale, en particulier sur ce circuit. Ensuite, cela s’accompagne d’une très bonne dégradation. La voiture est très douce avec les pneus. »

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McLaren va-t-elle outrageusement dominer la saison de F1 2025 ?

McLaren a entamé la saison de Formule 1 2025 en tant que grand favori, une étiquette qui s’est encore renforcée après le Grand Prix d’Australie.

Lando Norris a converti la pole position en victoire à Albert Park, devant Max Verstappen et George Russell. Tout semblait indiquer que McLaren allait réaliser un doublé, mais Oscar Piastri a été victime d’un tête-à-queue en fin de course après avoir été surpris par une averse soudaine et violente.

Verstappen n’a pas pu rivaliser avec les McLaren, le Néerlandais ayant révélé après le Grand Prix que l’équipe basée à Woking gérait incroyablement bien ses pneus.

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En qualifications, Norris a été quatre dixièmes plus rapide que le quadruple champion du monde en troisième position, illustrant l’avantage de McLaren sur un tour.

Tout comme dans un meilleur casino en ligne de France, où la stratégie et la précision sont essentielles pour décrocher la victoire, McLaren a su faire la différence sur le circuit en optimisant la gestion de ses pneus.

Beaucoup dans le paddock s’attendent à ce que McLaren soit rattrapé par Red Bull, Mercedes et Ferrari.

Lando Norris a égalé un record de Lewis Hamilton en remportant le GP d’Australie

Le week-end dernier, à Melbourne, Lando Norris a en quelque sorte marqué l’histoire avec sa victoire au Grand Prix d’Australie, s’emparant de la tête du championnat.

La victoire de Lando Norris au Grand Prix d’Australie, qui a ouvert la saison 2025 de F1, a non seulement lancé idéalement sa course au titre, mais elle a également marqué un tournant historique.

En battant Max Verstappen dans des conditions difficiles à Melbourne, Norris a signé sa cinquième victoire en carrière depuis ses débuts en 2019. Ce succès lui permet de devenir le premier pilote McLaren à prendre la tête du Championnat du monde depuis Lewis Hamilton, après le Grand Prix du Canada 2012. Un exploit remarquable qui rappelle que, tout comme choisir le meilleur casino en ligne de France, il faut savoir saisir les bonnes opportunités pour atteindre la victoire.

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À 25 ans, le Britannique a mis fin à une série de 1 029 jours et 63 courses, ou l’on voyait Max Verstappen en tête du classement des pilotes, une domination qui remontait au Grand Prix d’Espagne 2022.

C’est également la première fois que Norris enchaîne deux victoires consécutives en F1, après sa victoire lors de la dernière course de la saison 2024 à Abu Dhabi. Il devient ainsi le premier pilote autre que Verstappen à réaliser cet exploit depuis Hamilton en 2021, lors de ses victoires au Brésil, au Qatar et en Arabie Saoudite.

À 25 ans, le Britannique a mis fin à une série de 1 029 jours et 63 courses, où l’on voyait Max Verstappen en tête du classement des pilotes, une domination qui remontait au Grand Prix d’Espagne 2022.

C’est également la première fois que Norris enchaîne deux victoires consécutives en F1, après sa victoire lors de la dernière course de la saison 2024 à Abu Dhabi. Il devient ainsi le premier pilote autre que Verstappen à réaliser cet exploit depuis Hamilton en 2021, lors de ses victoires au Brésil, au Qatar et en Arabie Saoudite.

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Ferrari reconnaît avoir commis une erreur stratégique majeure avec Hamilton et Leclerc

Fred Vasseur, directeur de Ferrari, a reconnu que son équipe avait « mal réagi » en tardant à faire rentrer ses pilotes aux stands lorsque la pluie s’est abattue sur le Grand Prix d’Australie.

Tout comme dans un meilleur casino en ligne de France, où une prise de décision rapide et judicieuse peut faire toute la différence entre gain et perte, la stratégie de Ferrari s’est avérée coûteuse en termes de positions sur la piste en raison d’un mauvais choix au moment critique.

Alors que Charles Leclerc et Lewis Hamilton occupaient les cinquième et huitième places, la plupart des concurrents ont opté pour des pneus intermédiaires, tandis que Ferrari a choisi de laisser ses pilotes en slicks. Un pari également tenté brièvement par Red Bull avec Max Verstappen, avant que l’équipe ne corrige rapidement sa stratégie.

Leclerc et Hamilton ont momentanément pris la tête de la course avant que Lando Norris, déjà en pneus intermédiaires, ne les dépasse. Lorsque la pluie s’est intensifiée, l’erreur stratégique de Ferrari est apparue évidente. L’écurie a finalement rappelé ses pilotes au 47e tour.

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À leur retour en piste, Leclerc et Hamilton se sont retrouvés aux neuvième et dixième places.

Vasseur a expliqué cette décision par l’incertitude des conditions : « C’était une situation étrange car les secteurs un et deux étaient encore secs et le secteur trois était complètement mouillé. Je pense que Red Bull et nous avons parié sur le fait que nous devions rester sur la piste et attendre la dernière partie de la course avec des pneus slicks. »

« Quand Mercedes et McLaren, mais McLaren, c’est aussi parce qu’ils sont sortis et ont fait un arrêt au stand deux tours avant. Nous avons pris la mauvaise décision, car je pense que la meilleure option était de faire un arrêt au stand au même tour que Max, et nous avons fait le mauvais choix à ce stade. »

Leclerc a réussi à gagner une place pour terminer huitième, tandis que Hamilton n’a pu prendre que la 10e place après avoir été dépassé par Oscar Piastri de McLaren dans le dernier tour.

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Vasseur a été interrogé sur la confusion apparente dans la communication entre pilotes et ingénieurs de course chez Ferrari.

« Oui, mais c’est très difficile de ne pas avoir de capteur pour la pluie, cela signifie que c’est plus une sensation, c’est ce que nous pouvons voir à l’écran, ce que nous pouvons avoir sur le radar, c’est vrai d’un virage à l’autre », a-t-il déclaré.

« Je pense que nous avons tous été surpris par la quantité de pluie à ce stade de la course, McLaren d’abord, et maintenant nous avons débattu pour rester sur la piste avec les slicks et survivre, mais ce n’était pas la bonne décision. »

La FIA va renforcer ses contrôles sur les ailerons flexibles

Les équipes de F1 feront face à des contrôles plus stricts sur la flexibilité des ailes dès le Grand Prix de Chine. Après avoir introduit une directive technique sur l’aileron arrière lors du GP d’Australie, la FIA a jugé nécessaire de durcir les tests.

Tout comme dans un casino en ligne fiable, où la transparence et la conformité aux réglementations sont essentielles pour garantir l’équité entre les joueurs, la FIA cherche à renforcer les contrôles pour assurer que toutes les équipes respectent les règles techniques concernant la flexibilité des ailes.

Initialement prévue pour le GP d’Espagne en juin, la réglementation sur l’aileron avant (TD18) sera désormais appliquée dès Shanghai.

Après analyse des premières courses, la FIA a estimé avoir des « motifs suffisants » pour introduire des tests plus rigoureux. Les équipes ont été informées de ces nouvelles exigences lundi matin.

« Comme cela a déjà été communiqué, entre la fin de la saison 2024 et le début de la saison 2025, la FIA a exercé l’autorité qui lui est conférée en vertu de l’article 3.15.1 du Règlement technique pour introduire des tests de charge-déformation nouveaux ou plus exigeants pour l’aileron avant (à partir de la neuvième course, Grand Prix d’Espagne), l’aileron arrière supérieur et le montant de l’aileron arrière. En outre, la FIA a demandé aux équipes d’utiliser des caméras lors des séances d’essais libres afin de surveiller les déformations sur piste des voitures lors du Grand Prix d’Australie. »

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« Après avoir analysé les images des déformations de l’aileron arrière combinées aux déflexions statiques mesurées à l’intérieur du garage de la FIA à Melbourne, la FIA a conclu qu’il existait des raisons suffisantes pour introduire un test plus strict sur l’aileron arrière supérieur à partir du prochain Grand Prix de Chine. »

« Plus précisément, l’article 3.15.17, introduit en 2025, stipule que si une charge verticale de 75 kg est appliquée sur l’une ou l’autre extrémité du plan principal de l’aileron arrière, la distance entre le plan principal et le volet (également appelée « fente ») ne doit pas varier de plus de 2 mm. À partir du prochain Grand Prix de Shanghai, cette limite sera réduite à 0,5 mm. En raison du court délai pour Shanghai, seule une tolérance de 0,25 mm sera ajoutée à cette nouvelle limite. »

Malgré l’introduction de ce test plus strict, la FIA a souligné que toutes les voitures se sont avérées légales à la suite des contrôles effectués en Australie.

« La FIA souhaite confirmer que lors de l’épreuve de Melbourne, toutes les voitures testées conformément aux exigences de l’article 3.15.17 et jugées conformes, ont donc été considérées comme légales », ont-ils conclu.

Lando Norris a remporté la course de F1 2025 de dimanche devant Max Verstappen de Red Bull, confirmant ainsi la position de favori de McLaren pour le championnat.

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Alpine admet sa part de responsabilité dans le “battage médiatique“ autour de Doohan

Oliver Oakes a reconnu qu’Alpine était à l’origine du « battage médiatique » entourant Jack Doohan, dont l’avenir en Formule 1 reste incertain alors qu’il entame sa première saison complète avec l’écurie.

Le directeur de l’équipe d’Enstone estime que le pilote australien n’a pas été placé « dans les meilleures conditions », en raison des spéculations persistantes sur la suite de sa carrière.

L’arrivée de Franco Colapinto en tant que pilote de réserve, pour laquelle Alpine a déboursé plusieurs millions afin de le débaucher de Williams, a renforcé les rumeurs selon lesquelles Doohan disposerait de peu de temps pour faire ses preuves avant d’être potentiellement écarté. Toutefois, ces spéculations restent infondées à ce stade.

Colapinto partage son poste avec Paul Aron, Ryo Hirakawa et le pilote de F2 Kush Maini, une stratégie qu’Oakes défend comme bénéfique pour l’équipe. Il admet néanmoins éprouver de la compassion pour Doohan face à cette pression accrue.

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« Je pense qu’il est juste de dire que nous avons causé tout ce battage », a déclaré le Britannique. « En toute franchise, nous ne l’avons pas mis dans la meilleure position. »

« Mais je pense aussi que, d’un autre côté, nous avons le devoir, en tant qu’équipe, de performer, nous avons 900 personnes qui dépendent de nous pour faire le bon choix pour l’équipe, et je pense que beaucoup de ses circonstances aussi, n’est-ce pas ? »

« Parce que vous êtes en train de changer de règlement, nous avons maintenant quatre réserves. En tant qu’équipe, nous devons le faire parce qu’il est juste de garder un œil sur l’avenir. »

Pendant ce temps, dans le monde du divertissement numérique, les joueurs français sont toujours plus nombreux à rechercher un casino en ligne fiable, garantissant sécurité, variété de jeux et paiements rapides — des critères aussi cruciaux que ceux d’une écurie de F1 choisissant son futur pilote.

« Mais je le comprends, car en fin de compte, tout ce bruit a probablement été provoqué par ce que nous avons fait », a conclu Oliver Oakes.

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Helmut Marko juge les larmes d’Isack Hadjar « un peu embarrassantes »

Helmut Marko, conseiller de Red Bull, a jugé « un peu embarrassante » la réaction d’émotion d’Isack Hadjar après son accident lors du Grand Prix d’Australie.

Dans un univers aussi compétitif que la Formule 1, où la pression est constante et les attentes élevées, montrer ses émotions peut parfois surprendre. À l’image d’un joueur qui perd lors d’une session de casino en ligne fiable, il est essentiel de savoir gérer ses frustrations et de se préparer à rebondir.

Pour sa première course en Formule 1, le pilote de Racing Bulls a perdu le contrôle de sa monoplace dès le tour de formation à Melbourne, piégé par une ligne blanche glissante dans le premier enchaînement de virages.

Visiblement bouleversé, le jeune Français de 20 ans a fondu en larmes en rejoignant le paddock, où il a été réconforté par Anthony Hamilton, le père de Lewis Hamilton, venu lui apporter son soutien, puis par Stefano Domenicali, PDG de la F1. Une attitude qui n’a toutefois pas ravi Helmut Marko, responsable du programme des jeunes pilotes de Red Bull. « Isack Hadjar a un peu pleuré après son accident. C’était un peu gênant », a-t-il déclaré à ORF.

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Cet abandon d’Isack Hadjar avant même le début de la course, alors qu’il s’élançait depuis la 11e place sur la grille de départ, représente l’éventuelle perte de précieux points, alors que plusieurs écuries concurrentes du milieu de peloton ont déjà débloqué leur compteur.

Alex Albon (Williams) a réalisé une performance solide en décrochant la cinquième place, suivi par Lance Stroll (Aston Martin) et Nico Hülkenberg (Sauber), respectivement sixième et septième. Yuki Tsunoda, en position de marquer des points en début de course, a vu ses espoirs s’envoler après une stratégie mal ajustée face à l’arrivée de la pluie, un scénario qui a également piégé Ferrari.

Le jeune pilote français va rapidement devoir oublier ou se servir de cette déconvenue pour rebondir dès le week-end prochain, à l’occasion du Grand Prix de Chine.

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Piastri : « Je n’ai que moi-même à blâmer »

Un doublé McLaren, sans parler d’une opportunité de victoire historique à domicile d’Oscar Piastri, a été gâchée par une erreur du jeune Australien.

Suivant son coéquipier et libre de courir, le jeune pilote a, comme Norris, pris large virage le 12e virage au 44e tour, avant de se retrouver coincé sur un gazon fortement détrempé et devoir amorcer une manœuvre de marche arrière pour reprendre la piste. Il a ainsi permis à Max Verstappen et à beaucoup d’autres de le dépasser, tandis que son coéquipier McLaren disparaissait seul en tête.

Dans le monde des jeux en ligne, tout comme dans une course de F1, la moindre erreur de stratégie peut coûter cher. Choisir le meilleur casino en ligne de France permet de maximiser ses chances de succès, tout comme une bonne gestion de course en F1 est essentielle pour rester en tête.

Bien qu’il ait pu regagner plusieurs positions et finir dans les points, ces derniers restent une maigre récompense pour le pilote qui semblait avoir la victoire à portée de mains, ou a minima la seconde place du podium pour un beau lancement de sa campagne pour le titre mondial 2025.

« C’est évidemment assez décevant pour le moment », a-t-il déclaré aux journalistes après la course. « J’ai l’impression qu’à l’exception d’un tour, j’ai fait une course incroyablement solide et c’est vraiment dommage de ne pas avoir le résultat à la hauteur. Je n’ai personne d’autre à blâmer que moi-même », a-t-il ajouté. « Je suis juste déçu, évidemment. Honnêtement, je ne sais pas quoi dire, vraiment. Évidemment, c’est de ma faute, mais je pense que les conséquences ont été un peu malheureuses. Je ne peux m’en prendre qu’à moi-même », a-t-il admis. « J’ai essayé de trop pousser dans ces conditions. Mais les 56 tours et trois quarts restants ont été très bons. Je suis évidemment très déçu, mais je pense qu’il y a beaucoup de points positifs à retenir. »

Après avoir perdu la première place au profit de Verstappen dans le premier tour, le pilote McLaren a repris sa position au 17e tour lorsque le Néerlandais a commis une erreur. Alors qu’il se rapprochait de son coéquipier, Piastri a d’abord été invité à rester en place avant de recevoir l’autorisation de se battre avec Norris pour la première place. Interrogé sur les raisons pour lesquelles, malgré la promesse faite avant la course que ses pilotes étaient libres de se battre, l’équipe était revenue, bien que temporairement, sur sa promesse, Andrea Stella a expliqué :

« Nous avons donc laissé passer les retardataires [sous voiture de sécurité] et attendu les prévisions météo, ce qui nous a amenés à interrompre brièvement la course interne entre nos deux pilotes jusqu’à ce que nous ayons une idée claire des prévisions météo, de ce que cela signifiait pour la façon dont nous devions utiliser les pneus, puis jusqu’à ce que nous ayons réglé la question du dépassement des retardataires. Une fois que cela a été fait et que la météo a été évaluée, nous avons rouvert la course. Les pilotes étaient au courant lorsque nous avons donné l’ordre à l’équipe de conserver ses positions », a-t-il insisté. « Ensuite, ils étaient au courant lorsque nous leur avons dit d’être libres de courir. »

Selon l’Italien, l’erreur commise par Piastri par la suite a remis en cause l’ordre initial de l’équipe.

« Je pense qu’il était difficile de maintenir un rythme constant à ce stade des courses, ce qui est également l’une des raisons pour lesquelles nous voulions interrompre la compétition interne pendant quelques tours, car les deux pilotes commettaient de petites erreurs ici et là. Je pense que dès que vous mettez les pneus sur une portion légèrement plus mouillée, vous pouvez avoir un survirage soudain, vous pouvez avoir un petit blocage parce que l’avant gauche était déjà assez usé », a-t-il déclaré.

« Je ne sais donc pas exactement quel genre de problèmes il a pu avoir en termes de rythme dans cette phase de la course, mais je soupçonne que cela pourrait être lié à ces petits problèmes que j’ai régulièrement observés chez l’un ou l’autre des pilotes lorsqu’ils attaquent à ce niveau dans ces conditions. »

Norris solide sous pression : « Stressant avec Max derrière moi »

Vainqueur à Melbourne et premier leader du championnat du monde des pilotes F1 2025, Lando Norris se réjouit que McLaren tire les leçons de ses erreurs passées.

À l’instar d’un joueur expérimenté dans un casino en ligne avec argent réel, qui apprend de ses erreurs pour maximiser ses gains lors des prochaines sessions, McLaren a su tirer parti de ses expériences précédentes pour signer un départ de saison parfait.

McLaren a appris de ses erreurs passées, estime le Britannique, qui réalise une entame de championnat parfaite et bénéficie aussi de la difficile issue de la course de son équipier Oscar Piastri, dont il est certain qu’il représentera l’une des menaces les plus constantes pour le #4.

Lorsque les pluies tardives se sont abattues sur la course, l’écurie de Woking, qui avait prévu l’averse et a su gérer son intensité et sa durée, a gardé son sang-froid, et cela a porté ses fruits.

« La course a été difficile », a déclaré Norris peu après avoir franchi le drapeau à damier. « Surtout avec Max derrière moi.

« J’ai poussé, surtout dans les deux derniers tours », a-t-il ajouté. « C’était un peu stressant, je ne vais pas mentir. Mais c’est une excellente façon de commencer l’année. »

« C’était une course difficile parce que nous sommes sortis, nous avons roulé dans les graviers, nous avons subi des dommages, des conditions délicates, mais ces courses sont agréables, amusantes et imprévisibles. Cette fois, nous avons réussi et nous sommes arrivés en tête », a-t-il souri. « Nous nous sommes souvent trompés l’année dernière, alors nous avons appris de nos erreurs. Nous avons perdu à Silverstone et au Canada à cause d’une course comme celle-ci. »

Le premier round

« Ce n’est que le premier round des 24, a-t-il poursuivi, alors j’ai dû faire face à la pression, à Max et à Oscar, et j’ai poussé tout au long de la course. C’est une course difficile, alors ne pas faire trop d’erreurs ou une erreur qui m’a coûté quelque chose, je peux m’en féliciter ».

Norris peut également se féliciter d’avoir évité des dommages qui auraient pu s’avérer coûteux.

« L’un des problèmes que nous avons rencontrés dans les derniers tours de la course avec Lando, c’est que son plancher était très endommagé », a révélé Andrea Stella. « Il a perdu – je n’ai pas encore entendu les chiffres – mais il a perdu de la performance aérodynamique et cela signifiait qu’il ne pouvait pas utiliser tout le rythme de la voiture. »

« Je pense que la situation est devenue plus tendue qu’elle ne l’aurait été normalement en raison des dommages subis par la voiture de Lando », a-t-il ajouté. « Je pense que la voiture était très forte, nous avons pu voir qu’Oscar a regagné trois ou quatre positions en l’espace de quelques tours », a déclaré l’Italien, faisant référence à la sortie coûteuse de Piastri. « Je pense donc que dans des circonstances normales, cela n’aurait pas dû être si difficile pour Lando ».